G_de_b
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[RP] Guide RP Moyen-âge / Le théatre de "Ora et Labora"
G_de_b
-> Essayez d'oublier les films (souvent idiots et faux) de capes et d'épées que vous avez vu.
-> Soyez indulgent envers l'autre car ceci se base sur de vraies connaissances historiques du Moyen-âge, mais étant adaptées au Moyen-âge des RR's qui n'est pas identique à celui de la réalité (malheureusement ou heureusement ce n'est pas le débat
)
-> Malgré que les RR's soit une Uchronie (déf), et fait que le Moyen-âge soit adapté et qu'il existe des erreurs historiques, il ne serait pas bon de faire des RR's un XXI éme siècle Bis. Tous est fait pour que le jeu se passe en 1458.
-> Gardons un minimum de logique, nul part il est écrit que le monde des RR's se passe, 2010, mais bien au Moyen-âge. Et cela malgré les problèmes d'encodage comme le Maïs et le Droit de vote aux Femmes. Le premier est du à la bonne bêtise des créateurs qui fuyaient les cours d'histoire pour aller en salle info
et le deuxième est pour ne pas vexer les femmes (sont susceptibles 
)
-> Mais comment ne pas produire d'erreurs historiques, que nos chers bisounours, mélangistes, ou juste les personnes qui comme moi n'étaient pas super forts en histoire géo au collège ou au lycée?
-> Alors imaginons que le Maïs soit européen (nous n'avons pas le choix), mais il n'est pas mentionné que l'Amérique existe et que le chocolat vient déjà faire mal à nos petits foies
-> Donc parlons Maïs mais pas de chocolat ni d'Amérique
-> Donc parlons de droit de vote aux femmes, mais pas de faire l'amour en taverne
-> En dehors de toutes polémiques, ce RP est là pour vous instruire et vous permettre d'avoir un RP moyen-âgeux qui se tienne. Il vous permettra (je l'espère) de comprendre à quelle période vit votre personnage.
-> D'ailleurs si des "hérétiques" (déf) veulent participer ils le peuvent mais dans les conditions d'un RP logique * * * j'espère que vous comprendrez que même si ce RP n'est pas là pour faire la propagande de l'EA (église aristotélicienne: religion en vigueur dans les RR's) Il sera fait mention de l'église plus que de la réforme, puisque la réforme n'existait pas au vrai Moyen-âge, et que dans les RR's, la réforme est apparue pour aider ceux qui n'arrivaient pas a accepter le fait qu'ils vivaient au Moyen age et qu'au moyen age on est croyant de l'église officiel* * * Petite taquinerie (mais pas tout à fait fausse)
-> Donc si un hérétique vient faire son petit malin ici, il risque de se prendre un RP procés pour hérésie Logique en même temps...
-> Je vois deux problèmes a lancer des polémiques et débats ici:
-> Si vous voulez développer ou traiter d'un sujet, alors que vous êtes hérétiques envoyer moi un MP, on s'arrangera Logiquement aucun hérétique n'irait voir un curé pour ses connaissances sur le monde qui l'entoure 
-> Si vous êtes fidèles (baptisés) ou simples croyants (tous les autres :clown: ), faites nous un joli RP qui consiste à faire venir votre personnage à la rencontre du curé (mon perso) et qui lui pose la question.
-> Donc tous peuvent intervenir; en questionnant, ou en participant (sous autorisation de ma part: m'envoyer un texte, que je vous autoriserez ou non à poster) (je ferai intervenir la censure s'il le faut.
-> Ce sujet à pour but la connaissance du Moyen-âge, de manière RP, ainsi comprenez bien toutes ces précautions ( Je serai impartial, sérieux et j'essayerai de répondre à vos questions si je le peux)
-> Nouveau post tous les vendredis au mieux ( ainsi vous aurez une semaine pour bien comprendre le test, poser vos questions et demander à développer le sujet, où pour simplement demander à étudier un sujet bien particulier la prochaine fois)
-> Vous n'aurez plus de raison de dire que vous ne saviez pas.
-> Merci.
PS: Ce qui est écrit entre parenthèse, est une annotation ou une précision historique HRP
Sommaire:
Sujet: Pièce Une; La vie de la cité
descrition: Comment est planté le décor de nos villes en 1458?
Sujet: Pièce deux; Le matin et le repas
descrition: Le matin jusqu'au midi
Sujet: Pièce Trois; La chasse et le soir
descrition: L'aprés midi et le soir.
Sujet: Pièce Quatre; la vie d'un artisan
descrition: Comment était le mobilier et que portions nous?
Sujet: Pièce Cinq; Les distractions
description:
Sujet: Pièce Six; Le théatre
description: Comment se déroule le théatre au Moyen-âge.
Sujet: Pièce sept; l'enseignement
description: Comment au Moyen-âge enseignait-on.
[url=]Sujet: Pièce ----; -----[/url]
description: ---------
-> Soyez indulgent envers l'autre car ceci se base sur de vraies connaissances historiques du Moyen-âge, mais étant adaptées au Moyen-âge des RR's qui n'est pas identique à celui de la réalité (malheureusement ou heureusement ce n'est pas le débat
) -> Malgré que les RR's soit une Uchronie (déf), et fait que le Moyen-âge soit adapté et qu'il existe des erreurs historiques, il ne serait pas bon de faire des RR's un XXI éme siècle Bis. Tous est fait pour que le jeu se passe en 1458.
-> Gardons un minimum de logique, nul part il est écrit que le monde des RR's se passe, 2010, mais bien au Moyen-âge. Et cela malgré les problèmes d'encodage comme le Maïs et le Droit de vote aux Femmes. Le premier est du à la bonne bêtise des créateurs qui fuyaient les cours d'histoire pour aller en salle info
et le deuxième est pour ne pas vexer les femmes (sont susceptibles ) -> Mais comment ne pas produire d'erreurs historiques, que nos chers bisounours, mélangistes, ou juste les personnes qui comme moi n'étaient pas super forts en histoire géo au collège ou au lycée?
-> Alors imaginons que le Maïs soit européen (nous n'avons pas le choix), mais il n'est pas mentionné que l'Amérique existe et que le chocolat vient déjà faire mal à nos petits foies
-> Donc parlons Maïs mais pas de chocolat ni d'Amérique
-> Donc parlons de droit de vote aux femmes, mais pas de faire l'amour en taverne
-> En dehors de toutes polémiques, ce RP est là pour vous instruire et vous permettre d'avoir un RP moyen-âgeux qui se tienne. Il vous permettra (je l'espère) de comprendre à quelle période vit votre personnage.
-> D'ailleurs si des "hérétiques" (déf) veulent participer ils le peuvent mais dans les conditions d'un RP logique * * * j'espère que vous comprendrez que même si ce RP n'est pas là pour faire la propagande de l'EA (église aristotélicienne: religion en vigueur dans les RR's) Il sera fait mention de l'église plus que de la réforme, puisque la réforme n'existait pas au vrai Moyen-âge, et que dans les RR's, la réforme est apparue pour aider ceux qui n'arrivaient pas a accepter le fait qu'ils vivaient au Moyen age et qu'au moyen age on est croyant de l'église officiel* * *
Petite taquinerie (mais pas tout à fait fausse) -> Donc si un hérétique vient faire son petit malin ici, il risque de se prendre un RP procés pour hérésie
Logique en même temps... -> Je vois deux problèmes a lancer des polémiques et débats ici:
- Noyer les connaissances et informations dans une polémique indigeste et qui ne mènera forcément à rien, n'aidera pas aux nouveaux joueurs à retrouver les informations
- Je vous brule (logique et d'ailleurs si un hérétique veux faire un RP de bucher -> MP )
-> Si vous voulez développer ou traiter d'un sujet, alors que vous êtes hérétiques envoyer moi un MP, on s'arrangera
Logiquement aucun hérétique n'irait voir un curé pour ses connaissances sur le monde qui l'entoure -> Si vous êtes fidèles (baptisés) ou simples croyants (tous les autres :clown: ), faites nous un joli RP qui consiste à faire venir votre personnage à la rencontre du curé (mon perso) et qui lui pose la question.
-> Donc tous peuvent intervenir; en questionnant, ou en participant (sous autorisation de ma part: m'envoyer un texte, que je vous autoriserez ou non à poster) (je ferai intervenir la censure s'il le faut.
- N'oubliez pas que le texte doit être sous la forme d'un RP théâtre
- Pas de parti pris (ou pas trop :heart: )
- Pas trop long
-> Ce sujet à pour but la connaissance du Moyen-âge, de manière RP, ainsi comprenez bien toutes ces précautions ( Je serai impartial, sérieux et j'essayerai de répondre à vos questions si je le peux)
-> Nouveau post tous les vendredis au mieux ( ainsi vous aurez une semaine pour bien comprendre le test, poser vos questions et demander à développer le sujet, où pour simplement demander à étudier un sujet bien particulier la prochaine fois)
-> Vous n'aurez plus de raison de dire que vous ne saviez pas.
-> Merci.
PS: Ce qui est écrit entre parenthèse, est une annotation ou une précision historique HRP
Sommaire:
Sujet: Pièce Une; La vie de la cité
descrition: Comment est planté le décor de nos villes en 1458?
Sujet: Pièce deux; Le matin et le repas
descrition: Le matin jusqu'au midi
Sujet: Pièce Trois; La chasse et le soir
descrition: L'aprés midi et le soir.
Sujet: Pièce Quatre; la vie d'un artisan
descrition: Comment était le mobilier et que portions nous?
Sujet: Pièce Cinq; Les distractions
description:
Sujet: Pièce Six; Le théatre
description: Comment se déroule le théatre au Moyen-âge.
Sujet: Pièce sept; l'enseignement
description: Comment au Moyen-âge enseignait-on.
[url=]Sujet: Pièce ----; -----[/url]
description: ---------
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G_de_b
Pièce Une; La vie de la cité.
[Cher Guillaume]
Le théâtre de "Ora et Labora".
Cela sonnait bien dans la bouche de Guillaume.
Guillaume avait travaillé toute la nuit pour sa première pièce et tout était prêt.
Y aurait il assez de monde?
Il demanda à un crieur de l'aider.
Le théâtre de "Ora et Labora" vous ouvre ses portes. Répéta t il alors avec un sourire aux lèvres
Oyez, oyez !
Gens de tous les horizons , venez assister à la toute première représentation de la troupe de l' "ORA ET LABORA".
Le Théâtre qui cultive toutes bonnes âmes.
Vous voulez connaitre le vérité sur tout ce qui se passe dans votre vie ?
Vous voulez savoir ce que veut dire travailler de nos jours ?
Vous voulez tout connaitre sur votre époque?
Vous voulez savoir comment la vie est faite?
Alors vous devez venir assister aux scènes de notre théâtre!
Oyez, oyez !
Venez apprendre tout en vous amusant!
Oyez, oyez !
Venez suivre les merveilleuses histoires vraies de Guillaume.
[Le matin de la représentation]
Guillaume soupira avant de sortir, car il a plu le matin et il craignait que dans les rues étroites le cheval d'un cavalier, ou tout simplement un de ces innombrables pourceaux qui cherchaient leur nourriture dans les ordures, ne viennent éclabousser le ruisseau central, à moins qu'un locataire inattentif ne déversa sur lui un pot d'eaux sales et nauséabondes.
Il arriva devant la scène qu'il avait fait installer la veille avec l'aide de ses paroissiens. Celle ci n'avait pas pour but d'accueillir les comédiens, elle était trop petite pour cela, juste la place pour un homme.
Cette scène devait accueillir le curé afin qu'il lance le théâtre de rue.
Les pièces de théâtre organisées par Guillaume se passeraient sur le parvis de l'église.
Iil posa son pied sur la première marche puis prit la parole après avoir toussé pour s'éclaircir la voix.
Chers Amis, Frères, Soeurs, Pères, Mères, Fidèles! Bienvenus à la première représentation du théâtre de l'Ora et Labora!
Sur le parvis de l'église, les fidèles se réunissaient tout au tour de la petite scène.
Les comédiens se réunir alors devant la scène pour jouer, Le narrateur serait alors Guillaume.
Les acteurs avait des cochons, des chevaux ainsi que des habits très colorés.
Mes amis, aujourd'hui, nous vous conterons la vie dans nos chers villes et cela tel qu'on pourrait les voir.
Il toussa à nouveau et les acteurs prirent place.
La population passe sa journée dans les rues: en effet, toutes étroites, disjointes et mal tracées qu'elles soient, celles-ci, en dépit même des ruisseaux qui parfois les interrompent, sont toujours parcourues par une foule dense.
Les comédiens installèrent alors des tables et lachèrent des cochons. Pendant que les animaux circulaient librement et amusaient les enfants, les comédiens mimèrent un faux marché et échangeaient des marchandises virtuelles.
Aux premières heures du jour, continua Guillaume, a lieu le marché: on vend sur la voie publique des légumes, des fruits, de la viande de sanglier ou de chevreuil, du gibier (faisans, perdrix...), des fromages, du bois, du vin et du sel pour conserver la nourriture.
Il y a même dans certaines villes, telle ou telle petite place qui se retrouve destinée à la vente d'un produit déterminé.
Aussi, quel effroyable embarras lorsque parmi la foule compacte et bigarrée, une charrette, un cavalier, veulent se frayer un passage
C'est à ce moment là qu'un comédien, sur l'un des chevaux essaye de passer et chute grotesquement sans se faire mal, mais laissant quelques rires s'échapper dans la foule.
Et si d'aventure quelqu'un n'a rien de mieux à faire, il va assister à l'exécution des condamnés.
Un petit sourire cherchant les hérétiques du regard.
Vous pouvez contempler, sur la place publique réservée aux châtiments, les malfaiteurs enfermés dans des cages, en proie aux quolibets, des badauds, ou ceux que l'on fustige sans pitié; peut-être aurez vous l'occasion de voir une décapitation.
J'espère que les parents ne vont pas aller faire croire que leurs enfants seront punis sur cette place s'ills ne mangent pas leur plat de maïs.
Souriant encore une foi:
Mais le soir tombe, les cloches de la cathédrale ou de l'église ont sonné le couvre feu :
Aussitôt les rues se vident; elles sont plongées dans la plus complète obscurité et il est souvent interdit, sous peine d'amende, de sortir de nuit sans avoir de lumière.
C'est alors qu'un comédien, munit d'une torche non allumée fitt semblant de circuler dans les rues.
Cette lumière, sert plutôt à signaler une présence. en effet, regardez ce qu'il se passe la nuit quand on ne nous voit pas.
C'est alors qu'un autre comédien vient jeter de l'eau sur la tête du porteur de la torche.
Attendant que les spectateurs arrêtent de rire comme des baleines, il reprit.
Pendant les heures nocturnes, il est permis de jeter par les fenêtrse toutes sortes de détritus; si donc vous vous trouvez en dessous, gare aux surprises
Guillaume souriait. C'était plutôt amusant sans être trop compliqué à comprendre. Il était fier de lui.
Fort heureusement, il est recommandé d'avertir les passants par des cris; c'est ainsi qu'à Paris, on peut entendre
-"Gar'l'eau".
Cette torche sert aussi car souvent les forêts s'étendent jusque sous les remparts de la ville, et, parmi les mauvaises rencontres que vous pouvez faire dans les rues au cours de la nuit, il n'est pas rare de compter des bêtes sauvages.
C'est alors qu'un chien déguisé en loup se chamailla avec l'un des comédiens pendant que deux autres, faisant les pitres, essayent de se cacher derrière les spectateurs
Mais heureusement que nous avons nos chers gardes ! Des bons gardes qui veillent sur le sommeil des fidèles: Voire parfois leur propre sommeil, Une chronique datée de 1233 :
" Des "veilleurs de nuit" ont été surpris à sept tandis qu'ils dormaient profondément... et une amende de 12 écus leur a été infligée à chacun!"
Guillaume descendit alors de sa scéne, puis accompagna les comédiens dans un salut aux fidéles spectateurs.
Le crieur prévint alors que le spectacle était finit
Oyez, oyez !
Gens de tous les horizons , vous venez d'assister à la toute première représentation de la troupe de l' "ORA ET LOBRA".
Le Théâtre qui cultive toutes bonnes âmes.
Oyez, oyez !
Source:
Premiére correction par Yann le Terrible le 18 juin
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[Cher Guillaume]
Le théâtre de "Ora et Labora".
Cela sonnait bien dans la bouche de Guillaume.
Guillaume avait travaillé toute la nuit pour sa première pièce et tout était prêt.
Y aurait il assez de monde?
Il demanda à un crieur de l'aider.
Le théâtre de "Ora et Labora" vous ouvre ses portes. Répéta t il alors avec un sourire aux lèvres
Oyez, oyez !
Gens de tous les horizons , venez assister à la toute première représentation de la troupe de l' "ORA ET LABORA".
Le Théâtre qui cultive toutes bonnes âmes.
Vous voulez connaitre le vérité sur tout ce qui se passe dans votre vie ?
Vous voulez savoir ce que veut dire travailler de nos jours ?
Vous voulez tout connaitre sur votre époque?
Vous voulez savoir comment la vie est faite?
Alors vous devez venir assister aux scènes de notre théâtre!
Oyez, oyez !
Venez apprendre tout en vous amusant!
Oyez, oyez !
Venez suivre les merveilleuses histoires vraies de Guillaume.
[Le matin de la représentation]
Guillaume soupira avant de sortir, car il a plu le matin et il craignait que dans les rues étroites le cheval d'un cavalier, ou tout simplement un de ces innombrables pourceaux qui cherchaient leur nourriture dans les ordures, ne viennent éclabousser le ruisseau central, à moins qu'un locataire inattentif ne déversa sur lui un pot d'eaux sales et nauséabondes.
Il arriva devant la scène qu'il avait fait installer la veille avec l'aide de ses paroissiens. Celle ci n'avait pas pour but d'accueillir les comédiens, elle était trop petite pour cela, juste la place pour un homme.
Cette scène devait accueillir le curé afin qu'il lance le théâtre de rue.
Les pièces de théâtre organisées par Guillaume se passeraient sur le parvis de l'église.
Iil posa son pied sur la première marche puis prit la parole après avoir toussé pour s'éclaircir la voix.
Chers Amis, Frères, Soeurs, Pères, Mères, Fidèles! Bienvenus à la première représentation du théâtre de l'Ora et Labora!
Sur le parvis de l'église, les fidèles se réunissaient tout au tour de la petite scène.
Les comédiens se réunir alors devant la scène pour jouer, Le narrateur serait alors Guillaume.
Les acteurs avait des cochons, des chevaux ainsi que des habits très colorés.
Mes amis, aujourd'hui, nous vous conterons la vie dans nos chers villes et cela tel qu'on pourrait les voir.
Il toussa à nouveau et les acteurs prirent place.
La population passe sa journée dans les rues: en effet, toutes étroites, disjointes et mal tracées qu'elles soient, celles-ci, en dépit même des ruisseaux qui parfois les interrompent, sont toujours parcourues par une foule dense.
Les comédiens installèrent alors des tables et lachèrent des cochons. Pendant que les animaux circulaient librement et amusaient les enfants, les comédiens mimèrent un faux marché et échangeaient des marchandises virtuelles.
Aux premières heures du jour, continua Guillaume, a lieu le marché: on vend sur la voie publique des légumes, des fruits, de la viande de sanglier ou de chevreuil, du gibier (faisans, perdrix...), des fromages, du bois, du vin et du sel pour conserver la nourriture.
Il y a même dans certaines villes, telle ou telle petite place qui se retrouve destinée à la vente d'un produit déterminé.
Aussi, quel effroyable embarras lorsque parmi la foule compacte et bigarrée, une charrette, un cavalier, veulent se frayer un passage
C'est à ce moment là qu'un comédien, sur l'un des chevaux essaye de passer et chute grotesquement sans se faire mal, mais laissant quelques rires s'échapper dans la foule.
Et si d'aventure quelqu'un n'a rien de mieux à faire, il va assister à l'exécution des condamnés.
Un petit sourire cherchant les hérétiques du regard.
Vous pouvez contempler, sur la place publique réservée aux châtiments, les malfaiteurs enfermés dans des cages, en proie aux quolibets, des badauds, ou ceux que l'on fustige sans pitié; peut-être aurez vous l'occasion de voir une décapitation.
J'espère que les parents ne vont pas aller faire croire que leurs enfants seront punis sur cette place s'ills ne mangent pas leur plat de maïs.
Souriant encore une foi:
Mais le soir tombe, les cloches de la cathédrale ou de l'église ont sonné le couvre feu :
Aussitôt les rues se vident; elles sont plongées dans la plus complète obscurité et il est souvent interdit, sous peine d'amende, de sortir de nuit sans avoir de lumière.
C'est alors qu'un comédien, munit d'une torche non allumée fitt semblant de circuler dans les rues.
Cette lumière, sert plutôt à signaler une présence. en effet, regardez ce qu'il se passe la nuit quand on ne nous voit pas.
C'est alors qu'un autre comédien vient jeter de l'eau sur la tête du porteur de la torche.
Attendant que les spectateurs arrêtent de rire comme des baleines, il reprit.
Pendant les heures nocturnes, il est permis de jeter par les fenêtrse toutes sortes de détritus; si donc vous vous trouvez en dessous, gare aux surprises
Guillaume souriait. C'était plutôt amusant sans être trop compliqué à comprendre. Il était fier de lui.
Fort heureusement, il est recommandé d'avertir les passants par des cris; c'est ainsi qu'à Paris, on peut entendre
-"Gar'l'eau".
Cette torche sert aussi car souvent les forêts s'étendent jusque sous les remparts de la ville, et, parmi les mauvaises rencontres que vous pouvez faire dans les rues au cours de la nuit, il n'est pas rare de compter des bêtes sauvages.
C'est alors qu'un chien déguisé en loup se chamailla avec l'un des comédiens pendant que deux autres, faisant les pitres, essayent de se cacher derrière les spectateurs
Mais heureusement que nous avons nos chers gardes ! Des bons gardes qui veillent sur le sommeil des fidèles: Voire parfois leur propre sommeil, Une chronique datée de 1233 :
" Des "veilleurs de nuit" ont été surpris à sept tandis qu'ils dormaient profondément... et une amende de 12 écus leur a été infligée à chacun!"
Guillaume descendit alors de sa scéne, puis accompagna les comédiens dans un salut aux fidéles spectateurs.
Le crieur prévint alors que le spectacle était finit
Oyez, oyez !
Gens de tous les horizons , vous venez d'assister à la toute première représentation de la troupe de l' "ORA ET LOBRA".
Le Théâtre qui cultive toutes bonnes âmes.
Oyez, oyez !
Source:
Premiére correction par Yann le Terrible le 18 juin
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Alinoe_de_chenot
Les rayons du soleil entrèrent par la fenêtre grande ouverte de la chambre d'Alinoë. Un rayon dans sur son nez et elle ouvrit les yeux.
Maussade, elle s'assit sur son lit. Elle avait encore sommeil. Elle avait mal dormi.
Il faut dire qu'elle était restée tard dans son salon de musique à jouer à la lumière des chandelles.
- Vous avez faim, Damoiselle ?
C'était Pervenche qui entrait avec un grand plateau qu'elle posa sur une table. Pervenche était la femme de chambre de la jeune duchesse de Luserne
- Grumph !
Puis lorgnant sur le plateau
- C'est toi qui a ouvert la fenêtre si grand ? J'ai encore sommeil !!
La femme de chambre sourit
- Il est tard, Damoiselle et vous m'avez demandé hier de vous réveiller. Je vous ai préparé de la tisane avec du miel comme vous aimez, du pain, de la confiture et un bol de soupe de hier soir. Il parait que votre mère aussi aimait manger de la soupe le matin.
Alinoë ne répondit pas, elle n'avait pas envie de bavarder mais de dormir mais voyant que la femme de chambre n'avait pas du tout l'intention de la laisser se rendormir, elle fit contre mauvaise fortune bon cœur, et réclama son petit déjeuner. Qui a dit que les femmes de chambres n'avaient aucun pouvoir sur leurs maitresses nobles ? Une personne qui n'en avait jamais eu, cela est certain.
Tandis que Pervanche servait sa petite duchesse, elle continuait son bavardage.
- Il parait que le curé de la ville d'Annecy donne une représentation théâtrale aujourd'hui et...
Alinoë déposa son bol, intéressée
- Une pièce de théâtre ? ah ? tu sais où ? quand ça commence ?
Pervenche sourit. Elle savait que cela allait intéresser la jeune fille.
- Non je ne sais pas tout mais je me renseignerais si vous le désirez.
Alinoë lui fit un geste de la main qui ovulait dire va sort de la pièce
- Oui ! va te renseigner et reviens me dire tout ça dans une heure !
La jeune fille ne perdant pas le nord, se dit qu'elle pourrait encore dormir une heure de plus.
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Maussade, elle s'assit sur son lit. Elle avait encore sommeil. Elle avait mal dormi.
Il faut dire qu'elle était restée tard dans son salon de musique à jouer à la lumière des chandelles.
- Vous avez faim, Damoiselle ?
C'était Pervenche qui entrait avec un grand plateau qu'elle posa sur une table. Pervenche était la femme de chambre de la jeune duchesse de Luserne
- Grumph !
Puis lorgnant sur le plateau
- C'est toi qui a ouvert la fenêtre si grand ? J'ai encore sommeil !!
La femme de chambre sourit
- Il est tard, Damoiselle et vous m'avez demandé hier de vous réveiller. Je vous ai préparé de la tisane avec du miel comme vous aimez, du pain, de la confiture et un bol de soupe de hier soir. Il parait que votre mère aussi aimait manger de la soupe le matin.
Alinoë ne répondit pas, elle n'avait pas envie de bavarder mais de dormir mais voyant que la femme de chambre n'avait pas du tout l'intention de la laisser se rendormir, elle fit contre mauvaise fortune bon cœur, et réclama son petit déjeuner. Qui a dit que les femmes de chambres n'avaient aucun pouvoir sur leurs maitresses nobles ? Une personne qui n'en avait jamais eu, cela est certain.
Tandis que Pervanche servait sa petite duchesse, elle continuait son bavardage.
- Il parait que le curé de la ville d'Annecy donne une représentation théâtrale aujourd'hui et...
Alinoë déposa son bol, intéressée
- Une pièce de théâtre ? ah ? tu sais où ? quand ça commence ?
Pervenche sourit. Elle savait que cela allait intéresser la jeune fille.
- Non je ne sais pas tout mais je me renseignerais si vous le désirez.
Alinoë lui fit un geste de la main qui ovulait dire va sort de la pièce
- Oui ! va te renseigner et reviens me dire tout ça dans une heure !
La jeune fille ne perdant pas le nord, se dit qu'elle pourrait encore dormir une heure de plus.
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_tine_
Tine ce matin brava la pluie pour se rendre à la grande chapelle de Chambéry, elle voulait se recueillir un instant pour faire le point avec elle même. Encapuchonnée elle arriva dans les rues étroites et bouseuses déjà pleines de marchands, d'ivrognes n'ayant pas encore cuvés, évitant de peu un seau jeté d'un fenêtre, mais elle en avait l'habitude, c'était le lot des grandes villes et elle se félicitait d'habiter un petit moulin en bord de forêt.
La surprise fut totale, arrivant près de l'église le spectacle n'était pas habituel, une estrade minuscule, le père Guillaume perché dessus, des cochons, des gens vêtus de couleurs, guenillés plus qu'habillés, un spectacle étonnant.
Elle s'approcha pour entendre ce que le père avait à dire et sourit dès les premières paroles.
Quelle belle initiative, sous forme de théâtre, il avait entrepris de raconter notre vie de Savoyards. On ne se voyait pas vivre et de l'entendre décrire les attitudes quotidiennes amusait fortement Tine qui resta jusqu'à la fin du premier acte.
Espérant que le spectacle ne s'arrêterait pas une seule représentation, elle se glissa dans la Grande chapelle et y resta un long moment à prier ou à attendre que la pluie cesse, elle seule le savait
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Kolmar
G_de_b
Un crieur.
Oye, oye !
Gens de tout les horizons , venez assister à la représentation de la troupe de l' "ORA ET LOBRA".
Le Théâtre qui cultive toutes bonnes âmes.
Vous voulez connaitre le vérité sur tous ce qui se passe dans votre vie?
Vous voulez savoir ce que veut dire travailler de nos jours?
Vous voulez tout connaitre sur votre époque?
Vous voulez savoir comment la vie est faite?
Alors vous devez venir assister au scène de notre théâtre!
Oye, oye !
Venez apprendre tout en vous amusant!
Oye, oye !
Venez suivre les merveilleuses histoires vraies de Guillaume.
[Le matin de la représentation]
Guillaume soupire avant de sortir, car il a plu le matin et il craint que dans les rues étroites le cheval d'un cavalier, ou tout simplement un de ces innombrables pourceaux qui cherchent leur nourriture dans les ordures, ne vienne éclabousser le ruisseau central, à moins qu'un locataire inattentif ne déverse sur lui un pot d'eaux sales et nauséabondes.
Il arriva devant la scène qu'il avait fait installer la veille avec l'aide de ses paroissiens. Celle ci n'avais pas pour but d'accueillir les comédiens, elle était trop petite pour cela, juste la place pour un homme.
Cette scène devait accueillir le curé afin qu'il lance le théâtre de rue.
Le parvis de l'église serait là où se passerait les pièces de théâtre organisé par Guillaume.
il posa son pied sur la première marche puis prit la parole après avoir toussé pour s'éclaircir la voix.
Cher Amis, Frères, Pères, Mères, Fidèles! Bienvenu à la première représentation du théâtre de l'Ora et Labora!
Sur le parvis de l'église, les fidèles se réunissaient tout au tour de la petite scène.
Les comédiens se réunir alors devant la scène pour jouer, Le narrateur serait alors Guillaume.
Les acteurs avait des cochons, des chevaux ainsi que des habits très colorés.
Mes amis, aujourd'hui, nous vous conterons le déroulement d'une journée.
Aujourd'hui nous parlerons du début de la journée, et la semaine prochaine, nous traiterons l'après midi.
Il toussa à nouveau et les acteurs prirent place.
Dans sa chambre du premier étage, Martin (nom courrant au Moyen-âge) vient de se lever. Il jette un coup d'oeil satisfait à son beaux lit de "millieu" entouré de courtines (rideaux), changer la paillasse sur laquelle est placé le matelas de laine, par contre la courtepointe (sorte d'édredon rempli de coton) est toute neuve.
Un lit avait été installé sur la place, fait exeptionnel vu que l'objet , en chêne massif et très imposant, avait prit toute la matinée à être bien monté. Peut de personne parmis les spectateurs auraient eu l'occasion de voir un lit comme celui ci, coutant trop cher pour la plupart des paroissiens.
Un des comédiens habillé d'une simple et longue chemise baillait en faisant mine de se reveiller et mimer toute les actions décrites par Guillaume. Cependant le Comédiens qui n'avait pas apprit le déroulement de la scéne, agissait avec un train de retard. Le comédiens n'était pas très doué mais était très décallé.
Le jours passe faiblement à travers les feuilles de parchemin huilé qui servent de carreaux (le verre est trop cher au Moyen-âge). Martin espère bien pouvoir les faire remplacer un jour par des vitraux, fait de morceaux de verres colorés et sertis dans d'étroites lamelles de plomb.
A prèsent et à la manière d'un vendeur le comédien se léve du lit pour aller présenter une à une les pieces du mobilier au rytme des paroles de Guillaume. La pin Up du Moyen-âge!
Peu de meubles dans la pièce en dehors du lit: Un grand coffre pour les vêtements de rechange et un fauteil de bois sculpté. L'essentiel du mobilier se trouve en faite dans la salle à manger qui sert également de cuisine, où nous nous rendons.
En un claquement de main, quatre hommes apportèrent des tréteaux et de grandes planches.
Il est la Dix heures du matin! Il est temps d'aller prendre le "Diner". Les serviteurs arrive das la grande salle qui est aménagée pour le repas. Un repas pantagruélique! Les domestiques ont apporté des trétaux pour monter la table en U.
Un gros bonhomme arrive habillé d'une houpelande (on ne mange pas en pijama au moyen-âge) et se place au centre de la table, sur un banc qui se trouve d'un seul coté de la table de chêne, l'autre coté étant reservé au service, à ses cotés ce qui semble être sa famille. ces repas peuvent parfois durer plusieurs heures.
En face des convives (s'il y en a) c'est la grande cheminée où brulent toujours d'énorme bûches posées sur les chenêts; à la tige de fer de la crémaillère est suspendue l grosse marmite de fonte où mijote la soupe; à portée de main sont pendus écumoire, cuiller-à-pot, pincettes, tisonnier et soufflet.
La servante pose sur la table les plats couverts pour que les mete ne se refroisissent pas. [color=gray](d'où vient d'ailleurs le terme : mettre le couvert).Après la soupe, servie dans des écuelles de bois ou faïence chacun pose sa cuillère de bois et saisit son couteau quand on découvre le plat de porc garni de fèves. Tandis qu'il découpe sa viande sur la tranche de pain (qu'il lui sert d'assiette) pour la porter ensuite à sa bouche, avec ses doigts. (la fourchette est encore pratiuement inconnue). Il faut se laver les mains plusieurs foi les mains: Avant, pendant, et après le repas et on s'essuie sur la nappe (la serviette n'existe pas encore).[/color]
A la midi, les mets se succèdent avec profussion qui pourrait nous effrayer nous gens simple: du cerf bien poivré, du sanglier saignant, de la volaille rôtie, farcie, truffée, au lard, à l'ail. Le tout bien arrosé de bon vin du pays.
Nous voici arrivé au desserts [color=gray](pas de crème glacée bien sur). Et ils sont aussi très copieux; tartes, gauffres, fruits, accompagnés d'un vin sucré aux épices, la "laituaire": sorte de liqueur.[/color]
Pour distraire tous le monde, on fait venir des jongleurs, des saltimbanques, des musiciens, des trouvères [color=gray](poètes), des ménestrels, des montreurs d'animaus. Les chansons à boire sont pittoresques et pleines d'entrain, parfois même un peu trop...[/color]
l'un des comédiens, imitant un personnage Ivre, titubait d'un manière pitoresque et humouristique, créant sourire et rire parmi la foule.
Après le repas, on fait la conversation. Les amateurs de jeux s'adonnent aux dés ou aux échec. Les dames se reposent. Partout on se détend. Mais bientôt les trompes sonneront à nouveau, et l'activité renaîtra.
Guillaume déscendit alors de sa scéne, puis accompagna les comédiens dans un salut au fidéles spectateur.
Le crieur prévint alors que le spectacle était finit
Oye, oye !
Gens de tout les horizons , vous venez d'assister à une représentation de la troupe de l' "ORA ET LOBRA".
Le Théâtre qui cultive toutes bonnes âmes.
Oye, oye!
Source:
_________________
Oye, oye !
Gens de tout les horizons , venez assister à la représentation de la troupe de l' "ORA ET LOBRA".
Le Théâtre qui cultive toutes bonnes âmes.
Vous voulez connaitre le vérité sur tous ce qui se passe dans votre vie?
Vous voulez savoir ce que veut dire travailler de nos jours?
Vous voulez tout connaitre sur votre époque?
Vous voulez savoir comment la vie est faite?
Alors vous devez venir assister au scène de notre théâtre!
Oye, oye !
Venez apprendre tout en vous amusant!
Oye, oye !
Venez suivre les merveilleuses histoires vraies de Guillaume.
[Le matin de la représentation]
Guillaume soupire avant de sortir, car il a plu le matin et il craint que dans les rues étroites le cheval d'un cavalier, ou tout simplement un de ces innombrables pourceaux qui cherchent leur nourriture dans les ordures, ne vienne éclabousser le ruisseau central, à moins qu'un locataire inattentif ne déverse sur lui un pot d'eaux sales et nauséabondes.
Il arriva devant la scène qu'il avait fait installer la veille avec l'aide de ses paroissiens. Celle ci n'avais pas pour but d'accueillir les comédiens, elle était trop petite pour cela, juste la place pour un homme.
Cette scène devait accueillir le curé afin qu'il lance le théâtre de rue.
Le parvis de l'église serait là où se passerait les pièces de théâtre organisé par Guillaume.
il posa son pied sur la première marche puis prit la parole après avoir toussé pour s'éclaircir la voix.
Cher Amis, Frères, Pères, Mères, Fidèles! Bienvenu à la première représentation du théâtre de l'Ora et Labora!
Sur le parvis de l'église, les fidèles se réunissaient tout au tour de la petite scène.
Les comédiens se réunir alors devant la scène pour jouer, Le narrateur serait alors Guillaume.
Les acteurs avait des cochons, des chevaux ainsi que des habits très colorés.
Mes amis, aujourd'hui, nous vous conterons le déroulement d'une journée.
Aujourd'hui nous parlerons du début de la journée, et la semaine prochaine, nous traiterons l'après midi.
Il toussa à nouveau et les acteurs prirent place.
Dans sa chambre du premier étage, Martin (nom courrant au Moyen-âge) vient de se lever. Il jette un coup d'oeil satisfait à son beaux lit de "millieu" entouré de courtines (rideaux), changer la paillasse sur laquelle est placé le matelas de laine, par contre la courtepointe (sorte d'édredon rempli de coton) est toute neuve.
Un lit avait été installé sur la place, fait exeptionnel vu que l'objet , en chêne massif et très imposant, avait prit toute la matinée à être bien monté. Peut de personne parmis les spectateurs auraient eu l'occasion de voir un lit comme celui ci, coutant trop cher pour la plupart des paroissiens.
Un des comédiens habillé d'une simple et longue chemise baillait en faisant mine de se reveiller et mimer toute les actions décrites par Guillaume. Cependant le Comédiens qui n'avait pas apprit le déroulement de la scéne, agissait avec un train de retard. Le comédiens n'était pas très doué mais était très décallé.
Le jours passe faiblement à travers les feuilles de parchemin huilé qui servent de carreaux (le verre est trop cher au Moyen-âge). Martin espère bien pouvoir les faire remplacer un jour par des vitraux, fait de morceaux de verres colorés et sertis dans d'étroites lamelles de plomb.
A prèsent et à la manière d'un vendeur le comédien se léve du lit pour aller présenter une à une les pieces du mobilier au rytme des paroles de Guillaume. La pin Up du Moyen-âge!
Peu de meubles dans la pièce en dehors du lit: Un grand coffre pour les vêtements de rechange et un fauteil de bois sculpté. L'essentiel du mobilier se trouve en faite dans la salle à manger qui sert également de cuisine, où nous nous rendons.
En un claquement de main, quatre hommes apportèrent des tréteaux et de grandes planches.
Il est la Dix heures du matin! Il est temps d'aller prendre le "Diner". Les serviteurs arrive das la grande salle qui est aménagée pour le repas. Un repas pantagruélique! Les domestiques ont apporté des trétaux pour monter la table en U.
Un gros bonhomme arrive habillé d'une houpelande (on ne mange pas en pijama au moyen-âge) et se place au centre de la table, sur un banc qui se trouve d'un seul coté de la table de chêne, l'autre coté étant reservé au service, à ses cotés ce qui semble être sa famille. ces repas peuvent parfois durer plusieurs heures.
En face des convives (s'il y en a) c'est la grande cheminée où brulent toujours d'énorme bûches posées sur les chenêts; à la tige de fer de la crémaillère est suspendue l grosse marmite de fonte où mijote la soupe; à portée de main sont pendus écumoire, cuiller-à-pot, pincettes, tisonnier et soufflet.
La servante pose sur la table les plats couverts pour que les mete ne se refroisissent pas. [color=gray](d'où vient d'ailleurs le terme : mettre le couvert).Après la soupe, servie dans des écuelles de bois ou faïence chacun pose sa cuillère de bois et saisit son couteau quand on découvre le plat de porc garni de fèves. Tandis qu'il découpe sa viande sur la tranche de pain (qu'il lui sert d'assiette) pour la porter ensuite à sa bouche, avec ses doigts. (la fourchette est encore pratiuement inconnue). Il faut se laver les mains plusieurs foi les mains: Avant, pendant, et après le repas et on s'essuie sur la nappe (la serviette n'existe pas encore).[/color]
A la midi, les mets se succèdent avec profussion qui pourrait nous effrayer nous gens simple: du cerf bien poivré, du sanglier saignant, de la volaille rôtie, farcie, truffée, au lard, à l'ail. Le tout bien arrosé de bon vin du pays.
Nous voici arrivé au desserts [color=gray](pas de crème glacée bien sur). Et ils sont aussi très copieux; tartes, gauffres, fruits, accompagnés d'un vin sucré aux épices, la "laituaire": sorte de liqueur.[/color]
Pour distraire tous le monde, on fait venir des jongleurs, des saltimbanques, des musiciens, des trouvères [color=gray](poètes), des ménestrels, des montreurs d'animaus. Les chansons à boire sont pittoresques et pleines d'entrain, parfois même un peu trop...[/color]
l'un des comédiens, imitant un personnage Ivre, titubait d'un manière pitoresque et humouristique, créant sourire et rire parmi la foule.
Après le repas, on fait la conversation. Les amateurs de jeux s'adonnent aux dés ou aux échec. Les dames se reposent. Partout on se détend. Mais bientôt les trompes sonneront à nouveau, et l'activité renaîtra.
Guillaume déscendit alors de sa scéne, puis accompagna les comédiens dans un salut au fidéles spectateur.
Le crieur prévint alors que le spectacle était finit
Oye, oye !
Gens de tout les horizons , vous venez d'assister à une représentation de la troupe de l' "ORA ET LOBRA".
Le Théâtre qui cultive toutes bonnes âmes.
Oye, oye!
Source:
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Kehl
Popov
Aelis
A la fois partout et nulle part, il semble que l'on donne une pièce de théâtre.
C'est au détour d'une promenade qu'elles la découvrirent.
Elle, la douce, et elle, sa pupille, sa "fille", la blonde Louise.
Les deux, juchées sur le palefroi de la damoiselle, observent.
La petite, ce qui se passe sur scène.
La grande, le visage des badauds.
Rire retenu en entendant la déclaration de messire Kehl... Qu'elle n'a jamais vraiment porté dans son cœur, il serait vain de le nier.
Quant à Louise, elle fixe avec attention le ballet des comédiens, distraite de son éternelle queste de sucreries.
- Dis Maman, pourquoi qu'il font presque tout comme chez nous ?
Éclat de rire maternel, et baiser déposé sur la tempe de la petite.
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C'est au détour d'une promenade qu'elles la découvrirent.
Elle, la douce, et elle, sa pupille, sa "fille", la blonde Louise.
Les deux, juchées sur le palefroi de la damoiselle, observent.
La petite, ce qui se passe sur scène.
La grande, le visage des badauds.
Rire retenu en entendant la déclaration de messire Kehl... Qu'elle n'a jamais vraiment porté dans son cœur, il serait vain de le nier.
Quant à Louise, elle fixe avec attention le ballet des comédiens, distraite de son éternelle queste de sucreries.
- Dis Maman, pourquoi qu'il font presque tout comme chez nous ?
Éclat de rire maternel, et baiser déposé sur la tempe de la petite.
_________________
G_de_b
Un crieur.
Oye, oye !
Gens de tout les horizons , venez assister à la représentation de la troupe de l' "ORA ET LOBRA".
Le Théâtre qui cultive toutes bonnes âmes.
Vous voulez connaitre le vérité sur tous ce qui se passe dans votre vie?
Vous voulez savoir ce que veut dire travailler de nos jours?
Vous voulez tout connaitre sur votre époque?
Vous voulez savoir comment la vie est faite?
Alors vous devez venir assister au scène de notre théâtre!
Oye, oye !
Venez apprendre tout en vous amusant!
Oye, oye !
Venez suivre les merveilleuses histoires vraies de Guillaume.
[Le matin de la représentation]
Guillaume soupire avant de sortir, car il a plu le matin et il craint que dans les rues étroites le cheval d'un cavalier, ou tout simplement un de ces innombrables pourceaux qui cherchent leur nourriture dans les ordures, ne vienne éclabousser le ruisseau central, à moins qu'un locataire inattentif ne déverse sur lui un pot d'eaux sales et nauséabondes.
Il arriva devant la scène qu'il avait fait installer la veille avec l'aide de ses paroissiens. Celle ci n'avais pas pour but d'accueillir les comédiens, elle était trop petite pour cela, juste la place pour un homme.
Cette scène devait accueillir le curé afin qu'il lance le théâtre de rue.
Le parvis de l'église serait là où se passerait les pièces de théâtre organisé par Guillaume.
il posa son pied sur la première marche puis prit la parole après avoir toussé pour s'éclaircir la voix.
Cher Amis, Frères, Pères, Mères, Fidèles! Bienvenu à la représentation du théâtre de l'Ora et Labora!
Sur le parvis de l'église, les fidèles se réunissaient tout au tour de la petite scène.
Les comédiens se réunir alors devant la scène pour jouer, Le narrateur serait alors Guillaume.
Les acteurs avait des cochons, des chevaux ainsi que des habits très colorés.
Mes amis, aujourd'hui, nous vous conterons le déroulement d'une journée.
Aujourd'hui nous parlerons du début de l'après midi.
Il toussa à nouveau et les acteurs prirent place.
Que ce passe t il dans la vie d’un noble une foi l’après-midi venu?
Et bien les filets sont levé pour couper la retraite au gibiers.
L’après-midi, le grand événement est la chasse. Elle a lieu presque tous les jours, même par mauvais temps.
Des comédiens se promènent en guenilles et portant des filets qu’ils tendent tout en hauteur. Rien ne pourrait y passer à travers, mais un chemin à travers y était laissé volontaire. Un passage en forme d’entonnoir, et tout le monde comprend que les chasseurs se mettent à la sortit afin de chasser la bête qui se serait risqué à pénétré dans l’entonnoir de filets.
C’est le sport par excellence qui permet aux chevalier de maintenir leur forme guerrière en temps de paix.
C’est aussi un besoin, la campagne française au moyen-âge n’est pas un tapis de terrains cultivés: partout il y a d’épaisses forêts, des marécages, des régions peu peuplées, où abondent les loups, les sangliers, les ours et autre animaux sauvages. Il faut protéger les paysans contre ces bêtes féroces, en les chassant sans cesse.
Selon les genre de gibier, on chasse aux faucons ou avec les chiens, les animaux sont soigneusement entraînés dans le château par des écuyers spécialisés. Cet entraînement fait aussi partie de la formation des futurs chevaliers, qui doivent en connaître tous les secrets.
Pour le fait exeptionnel des écuyers était venu faire voler leur faucons et celà impressionna les fidèles.
Le départ pour la chasse est joyeux et coloré. Au son des trompes, les chevaliers franchissent le pont-levis, précédés des servants et des écuyers, tous richement habillés. Les chiens excités mêlent leurs aboiements à l’animation générale.
Quelques heureux après, fatigués mais heureux, les chasseurs reviendront avec leurs trophées, fiers de raconter leur prouesses.
Une dizaine de chasseurs-comédiens portaient leur chasse... Perdrix, faisants, lapins, qui fut pour l'occasion offert aux spectateur aristotéliciens.
Après un dîner frugal, on se réunit autour du feu, dans la grande salle du château. Les veillées sont longues et calmes en hiver, plus animées en été. Les femmes filent ou brodent. Les hommes, fatigués des exercices de la journées sommeillent.
C’est l’heure où les troubadours chantent les gestes vaillants des légendes passés. Les pèlerins et voyageurs, accueillis au château pour y passer la nuit, entretiennent leurs hôtes du récit de leur voyages. Ceux qui reviennent des pays lointains laissent les auditeurs bouche bée par leur descriptions imagées et féériques.
C'est alors que des troubadours firent leur tour suivit par les jongleurs et les autres, comme une grande fête.
La musique est très appréciée. Les joueurs de viole, de luth, de flûte, donnent à la soirée une atmosphère douce et harmonieuse. Certains seigneurs arrivent même à former un petit orchestre.
Les jours de cérémonie: tournois, batteurs, et mariage ou réception d’hôtes de marque, on donne de grandes fêtes dans le château.
La salle sera alors richement décorée de tapisserie, les dames et les chevaliers mettront leurs plus riches costumes, et on dansera tard dans la nuit.
Des Faux nobles en armure se battent avec des épées en carton.
Dans la cour, le petit peuple s’amusera avec les jongleurs et les montreurs d’animaux, et mangera des bœufs, grillés tout entier à la broche.
La nuit est tombée. Les trompes ont sonnée pour la dernière fois. Le pont-levis a été relevé, la grille abaissée.
Après le vin du soir, mélangé au miel, les châtelains montent se coucher. Un grand silence descend sur le château. Seul, en haut du donjon, les guetteur monte la garde. L’ambiance est sereine et paisible.
Bizarrement des hommes sortir des broches, et là commença un vrai festin avec tous les spectateurs. On reconnu alors même des réformés et on oublia alors tous pour manger. Les lions avaient laissé leur épées cher eux. Et pour l'occasion, Guillaume laissa faire.
Guillaume déscendit alors de sa scéne, puis accompagna les comédiens dans un salut au fidéles spectateur.
Le crieur prévint alors que le spectacle était finit
Oye, oye !
Gens de tout les horizons , vous venez d'assister à une représentation de la troupe de l' "ORA ET LOBRA".
Le Théâtre qui cultive toutes bonnes âmes.
Oye, oye!
Source:
_________________
Oye, oye !
Gens de tout les horizons , venez assister à la représentation de la troupe de l' "ORA ET LOBRA".
Le Théâtre qui cultive toutes bonnes âmes.
Vous voulez connaitre le vérité sur tous ce qui se passe dans votre vie?
Vous voulez savoir ce que veut dire travailler de nos jours?
Vous voulez tout connaitre sur votre époque?
Vous voulez savoir comment la vie est faite?
Alors vous devez venir assister au scène de notre théâtre!
Oye, oye !
Venez apprendre tout en vous amusant!
Oye, oye !
Venez suivre les merveilleuses histoires vraies de Guillaume.
[Le matin de la représentation]
Guillaume soupire avant de sortir, car il a plu le matin et il craint que dans les rues étroites le cheval d'un cavalier, ou tout simplement un de ces innombrables pourceaux qui cherchent leur nourriture dans les ordures, ne vienne éclabousser le ruisseau central, à moins qu'un locataire inattentif ne déverse sur lui un pot d'eaux sales et nauséabondes.
Il arriva devant la scène qu'il avait fait installer la veille avec l'aide de ses paroissiens. Celle ci n'avais pas pour but d'accueillir les comédiens, elle était trop petite pour cela, juste la place pour un homme.
Cette scène devait accueillir le curé afin qu'il lance le théâtre de rue.
Le parvis de l'église serait là où se passerait les pièces de théâtre organisé par Guillaume.
il posa son pied sur la première marche puis prit la parole après avoir toussé pour s'éclaircir la voix.
Cher Amis, Frères, Pères, Mères, Fidèles! Bienvenu à la représentation du théâtre de l'Ora et Labora!
Sur le parvis de l'église, les fidèles se réunissaient tout au tour de la petite scène.
Les comédiens se réunir alors devant la scène pour jouer, Le narrateur serait alors Guillaume.
Les acteurs avait des cochons, des chevaux ainsi que des habits très colorés.
Mes amis, aujourd'hui, nous vous conterons le déroulement d'une journée.
Aujourd'hui nous parlerons du début de l'après midi.
Il toussa à nouveau et les acteurs prirent place.
Que ce passe t il dans la vie d’un noble une foi l’après-midi venu?
Et bien les filets sont levé pour couper la retraite au gibiers.
L’après-midi, le grand événement est la chasse. Elle a lieu presque tous les jours, même par mauvais temps.
Des comédiens se promènent en guenilles et portant des filets qu’ils tendent tout en hauteur. Rien ne pourrait y passer à travers, mais un chemin à travers y était laissé volontaire. Un passage en forme d’entonnoir, et tout le monde comprend que les chasseurs se mettent à la sortit afin de chasser la bête qui se serait risqué à pénétré dans l’entonnoir de filets.
C’est le sport par excellence qui permet aux chevalier de maintenir leur forme guerrière en temps de paix.
C’est aussi un besoin, la campagne française au moyen-âge n’est pas un tapis de terrains cultivés: partout il y a d’épaisses forêts, des marécages, des régions peu peuplées, où abondent les loups, les sangliers, les ours et autre animaux sauvages. Il faut protéger les paysans contre ces bêtes féroces, en les chassant sans cesse.
Selon les genre de gibier, on chasse aux faucons ou avec les chiens, les animaux sont soigneusement entraînés dans le château par des écuyers spécialisés. Cet entraînement fait aussi partie de la formation des futurs chevaliers, qui doivent en connaître tous les secrets.
Pour le fait exeptionnel des écuyers était venu faire voler leur faucons et celà impressionna les fidèles.
Le départ pour la chasse est joyeux et coloré. Au son des trompes, les chevaliers franchissent le pont-levis, précédés des servants et des écuyers, tous richement habillés. Les chiens excités mêlent leurs aboiements à l’animation générale.
Quelques heureux après, fatigués mais heureux, les chasseurs reviendront avec leurs trophées, fiers de raconter leur prouesses.
Une dizaine de chasseurs-comédiens portaient leur chasse... Perdrix, faisants, lapins, qui fut pour l'occasion offert aux spectateur aristotéliciens.
Après un dîner frugal, on se réunit autour du feu, dans la grande salle du château. Les veillées sont longues et calmes en hiver, plus animées en été. Les femmes filent ou brodent. Les hommes, fatigués des exercices de la journées sommeillent.
C’est l’heure où les troubadours chantent les gestes vaillants des légendes passés. Les pèlerins et voyageurs, accueillis au château pour y passer la nuit, entretiennent leurs hôtes du récit de leur voyages. Ceux qui reviennent des pays lointains laissent les auditeurs bouche bée par leur descriptions imagées et féériques.
C'est alors que des troubadours firent leur tour suivit par les jongleurs et les autres, comme une grande fête.
La musique est très appréciée. Les joueurs de viole, de luth, de flûte, donnent à la soirée une atmosphère douce et harmonieuse. Certains seigneurs arrivent même à former un petit orchestre.
Les jours de cérémonie: tournois, batteurs, et mariage ou réception d’hôtes de marque, on donne de grandes fêtes dans le château.
La salle sera alors richement décorée de tapisserie, les dames et les chevaliers mettront leurs plus riches costumes, et on dansera tard dans la nuit.
Des Faux nobles en armure se battent avec des épées en carton.
Dans la cour, le petit peuple s’amusera avec les jongleurs et les montreurs d’animaux, et mangera des bœufs, grillés tout entier à la broche.
La nuit est tombée. Les trompes ont sonnée pour la dernière fois. Le pont-levis a été relevé, la grille abaissée.
Après le vin du soir, mélangé au miel, les châtelains montent se coucher. Un grand silence descend sur le château. Seul, en haut du donjon, les guetteur monte la garde. L’ambiance est sereine et paisible.
Bizarrement des hommes sortir des broches, et là commença un vrai festin avec tous les spectateurs. On reconnu alors même des réformés et on oublia alors tous pour manger. Les lions avaient laissé leur épées cher eux. Et pour l'occasion, Guillaume laissa faire.
Guillaume déscendit alors de sa scéne, puis accompagna les comédiens dans un salut au fidéles spectateur.
Le crieur prévint alors que le spectacle était finit
Oye, oye !
Gens de tout les horizons , vous venez d'assister à une représentation de la troupe de l' "ORA ET LOBRA".
Le Théâtre qui cultive toutes bonnes âmes.
Oye, oye!
Source:
_________________
G_de_b
Un crieur.
Oye, oye !
Gens de tout les horizons , venez assister à la représentation de la troupe de l' "ORA ET LOBRA".
Le Théâtre qui cultive toutes bonnes âmes.
Vous voulez connaitre le vérité sur tous ce qui se passe dans votre vie?
Vous voulez savoir ce que veut dire travailler de nos jours?
Vous voulez tout connaitre sur votre époque?
Vous voulez savoir comment la vie est faite?
Alors vous devez venir assister au scène de notre théâtre!
Oye, oye !
Venez apprendre tout en vous amusant!
Oye, oye !
Venez suivre les merveilleuses histoires vraies de Guillaume.
[Le matin de la représentation]
Guillaume soupire avant de sortir, car il a plu le matin et il craint que dans les rues étroites le cheval d'un cavalier, ou tout simplement un de ces innombrables pourceaux qui cherchent leur nourriture dans les ordures, ne vienne éclabousser le ruisseau central, à moins qu'un locataire inattentif ne déverse sur lui un pot d'eaux sales et nauséabondes.
Il arriva devant la scène qu'il avait fait installer la veille avec l'aide de ses paroissiens. Celle ci n'avais pas pour but d'accueillir les comédiens, elle était trop petite pour cela, juste la place pour un homme.
Cette scène devait accueillir le curé afin qu'il lance le théâtre de rue.
Le parvis de l'église serait là où se passerait les pièces de théâtre organisé par Guillaume.
il posa son pied sur la première marche puis prit la parole après avoir toussé pour s'éclaircir la voix.
Cher Amis, Frères, Pères, Mères, Fidèles! Bienvenu à la représentation du théâtre de l'Ora et Labora!
Sur le parvis de l'église, les fidèles se réunissaient tout au tour de la petite scène.
Les comédiens se réunir alors devant la scène pour jouer, Le narrateur serait alors Guillaume.
Les acteurs avait des cochons, des chevaux ainsi que des habits très colorés.
Mes amis, aujourd'hui, nous vous conterons la vie d'un artisan .
Il toussa à nouveau et les acteurs prirent place.
Apres s’être longuement nourrit l’homme il regarde sa maison et va se reposer dans sa chambre à nouveau.
Bien qu’il dispose d’une assez grande fortune, maître guillaume n’est pas suffisamment riche pour posséder une belle maison de pierre comme celle d’un seigneur ou d’un grand bourgeois: la sienne à des murs en torchis (mélange de terre et de paille) qu’il faut rénover tout les ans, et renforcé de poutres apparentes. Elle est relativement exigüe car la ville étant resserrée dans ses murailles, la place manque.
Les tous les comédien essaye de se monter l’un sur l’autre, ceux du dessous essayant de s’en sortir et celui qui est tout en haut fait mine de planter un drapeau en papier mâcher.
Les étages s’avancent en surplomb au dessus de la rue étroite, et de ses fenêtre maitre Martin pourrait presque serrer la main de son voisin d’en face.
Là deux homme qui portait des fenêtre en carton pate s’installe face à face, passe leurs mains à travers celles-ci, et se serre la main.
Guillaume continue en parlant du rez-de-chaussée
Le rez-de-chaussée est occupé par la boutique, au dessus de laquelle se balance une belle enseigne en fer forgé représentant une tête de cochon. Qui indique qu’ici se trouve une boucherie. En effet, Martin est un boucher reconnu de toute la ville.
Avant de redescendre pour travailler à sa boutique et rejoindre ses apprentis qui travail toute la journée eux, Martin enfile d’abord sa « chainse » (chemise) qu’il avait glissée sous l’oreiller, puis il saisit ses autres habits déposés la ville au soir, sur une perche horizontale.
Sur le coté des comédien en tenu d’apprentis tape du pied et se moque du noble car l’homme qui a passer son début de journée a manger et à dormir arrive bien en retard dans la boucherie.
Une panne d’oreiller? Peut être!
Guillaume sourit.
Les apprentis aime respecter leur maitre et pourtant le craigne car leur vie dépendra ce Martin. Car c’est lui le maitre qui décidera quand il pourront partir ouvrir leur propre échoppe.
Martin met alors ses chausses, sortes de grands bas collant serrant en même temps de pantalon, puis sa colle, sorte de tunique qui tombe jusqu’au genou et qui sera sa tenue de travail.
Parfois il enfile par-dessus le tout son « surcot » à demi-manche.
A ses pieds il a des chaussures fabriquées par le « cordouannier » (Ainsi nommé parce qu’il travaille le cuir à la façon des artisans de Cordoue).
S’il fait encore frais, il n’hésite pas à prendre le coffre, sa belle houppelande.
Guillaume déscendit alors de sa scéne, puis accompagna les comédiens dans un salut au fidéles spectateur.
Le crieur prévint alors que le spectacle était finit
Oye, oye !
Gens de tout les horizons , vous venez d'assister à une représentation de la troupe de l' "ORA ET LOBRA".
Le Théâtre qui cultive toutes bonnes âmes.
Oye, oye!
Source:
_________________
Oye, oye !
Gens de tout les horizons , venez assister à la représentation de la troupe de l' "ORA ET LOBRA".
Le Théâtre qui cultive toutes bonnes âmes.
Vous voulez connaitre le vérité sur tous ce qui se passe dans votre vie?
Vous voulez savoir ce que veut dire travailler de nos jours?
Vous voulez tout connaitre sur votre époque?
Vous voulez savoir comment la vie est faite?
Alors vous devez venir assister au scène de notre théâtre!
Oye, oye !
Venez apprendre tout en vous amusant!
Oye, oye !
Venez suivre les merveilleuses histoires vraies de Guillaume.
[Le matin de la représentation]
Guillaume soupire avant de sortir, car il a plu le matin et il craint que dans les rues étroites le cheval d'un cavalier, ou tout simplement un de ces innombrables pourceaux qui cherchent leur nourriture dans les ordures, ne vienne éclabousser le ruisseau central, à moins qu'un locataire inattentif ne déverse sur lui un pot d'eaux sales et nauséabondes.
Il arriva devant la scène qu'il avait fait installer la veille avec l'aide de ses paroissiens. Celle ci n'avais pas pour but d'accueillir les comédiens, elle était trop petite pour cela, juste la place pour un homme.
Cette scène devait accueillir le curé afin qu'il lance le théâtre de rue.
Le parvis de l'église serait là où se passerait les pièces de théâtre organisé par Guillaume.
il posa son pied sur la première marche puis prit la parole après avoir toussé pour s'éclaircir la voix.
Cher Amis, Frères, Pères, Mères, Fidèles! Bienvenu à la représentation du théâtre de l'Ora et Labora!
Sur le parvis de l'église, les fidèles se réunissaient tout au tour de la petite scène.
Les comédiens se réunir alors devant la scène pour jouer, Le narrateur serait alors Guillaume.
Les acteurs avait des cochons, des chevaux ainsi que des habits très colorés.
Mes amis, aujourd'hui, nous vous conterons la vie d'un artisan .
Il toussa à nouveau et les acteurs prirent place.
Apres s’être longuement nourrit l’homme il regarde sa maison et va se reposer dans sa chambre à nouveau.
Bien qu’il dispose d’une assez grande fortune, maître guillaume n’est pas suffisamment riche pour posséder une belle maison de pierre comme celle d’un seigneur ou d’un grand bourgeois: la sienne à des murs en torchis (mélange de terre et de paille) qu’il faut rénover tout les ans, et renforcé de poutres apparentes. Elle est relativement exigüe car la ville étant resserrée dans ses murailles, la place manque.
Les tous les comédien essaye de se monter l’un sur l’autre, ceux du dessous essayant de s’en sortir et celui qui est tout en haut fait mine de planter un drapeau en papier mâcher.
Les étages s’avancent en surplomb au dessus de la rue étroite, et de ses fenêtre maitre Martin pourrait presque serrer la main de son voisin d’en face.
Là deux homme qui portait des fenêtre en carton pate s’installe face à face, passe leurs mains à travers celles-ci, et se serre la main.
Guillaume continue en parlant du rez-de-chaussée
Le rez-de-chaussée est occupé par la boutique, au dessus de laquelle se balance une belle enseigne en fer forgé représentant une tête de cochon. Qui indique qu’ici se trouve une boucherie. En effet, Martin est un boucher reconnu de toute la ville.
Avant de redescendre pour travailler à sa boutique et rejoindre ses apprentis qui travail toute la journée eux, Martin enfile d’abord sa « chainse » (chemise) qu’il avait glissée sous l’oreiller, puis il saisit ses autres habits déposés la ville au soir, sur une perche horizontale.
Sur le coté des comédien en tenu d’apprentis tape du pied et se moque du noble car l’homme qui a passer son début de journée a manger et à dormir arrive bien en retard dans la boucherie.
Une panne d’oreiller? Peut être!
Guillaume sourit.
Les apprentis aime respecter leur maitre et pourtant le craigne car leur vie dépendra ce Martin. Car c’est lui le maitre qui décidera quand il pourront partir ouvrir leur propre échoppe.
Martin met alors ses chausses, sortes de grands bas collant serrant en même temps de pantalon, puis sa colle, sorte de tunique qui tombe jusqu’au genou et qui sera sa tenue de travail.
Parfois il enfile par-dessus le tout son « surcot » à demi-manche.
A ses pieds il a des chaussures fabriquées par le « cordouannier » (Ainsi nommé parce qu’il travaille le cuir à la façon des artisans de Cordoue).
S’il fait encore frais, il n’hésite pas à prendre le coffre, sa belle houppelande.
Guillaume déscendit alors de sa scéne, puis accompagna les comédiens dans un salut au fidéles spectateur.
Le crieur prévint alors que le spectacle était finit
Oye, oye !
Gens de tout les horizons , vous venez d'assister à une représentation de la troupe de l' "ORA ET LOBRA".
Le Théâtre qui cultive toutes bonnes âmes.
Oye, oye!
Source:
_________________
G_de_b
De plus en plus de monde venait mais il était tous silencieux. Dommage.
Un crieur.
Oye, oye !
Gens de tout les horizons , venez assister à la représentation de la troupe de l' "ORA ET LOBRA".
Le Théâtre qui cultive toutes bonnes âmes.
Vous voulez connaitre le vérité sur tous ce qui se passe dans votre vie?
Vous voulez savoir ce que veut dire travailler de nos jours?
Vous voulez tout connaitre sur votre époque?
Vous voulez savoir comment la vie est faite?
Alors vous devez venir assister au scène de notre théâtre!
Oye, oye !
Venez apprendre tout en vous amusant!
Oye, oye !
Venez suivre les merveilleuses histoires vraies de Guillaume.
[Le matin de la représentation]
Guillaume soupire avant de sortir, car il a plu le matin et il craint que dans les rues étroites le cheval d'un cavalier, ou tout simplement un de ces innombrables pourceaux qui cherchent leur nourriture dans les ordures, ne vienne éclabousser le ruisseau central, à moins qu'un locataire inattentif ne déverse sur lui un pot d'eaux sales et nauséabondes.
Il arriva devant la scène qu'il avait fait installer la veille avec l'aide de ses paroissiens. Celle ci n'avais pas pour but d'accueillir les comédiens, elle était trop petite pour cela, juste la place pour un homme.
Cette scène devait accueillir le curé afin qu'il lance le théâtre de rue.
Le parvis de l'église serait là où se passerait les pièces de théâtre organisé par Guillaume.
il posa son pied sur la première marche puis prit la parole après avoir toussé pour s'éclaircir la voix.
Cher Amis, Frères, Pères, Mères, Fidèles! Bienvenu à la représentation du théâtre de l'Ora et Labora!
Sur le parvis de l'église, les fidèles se réunissaient tout au tour de la petite scène.
Les comédiens se réunir alors devant la scène pour jouer, Le narrateur serait alors Guillaume.
Les acteurs avait des cochons, des chevaux ainsi que des habits très colorés.
Mes amis, aujourd'hui, nous vous conterons Distraction et occupation d'un Homme de nos jours.
Il toussa à nouveau et les acteurs prirent place.
« encore un jour de perdu pour le travail » heureux Martin, qui estime que les fête sont vraiment nombreuses dans l’année: plus de 180 jours chômés.
Les fidéles, enfants comme adultes, étaient heureux que l'on parle de jours chômés.
Il y a tout d’abord les grandes fêtes religieuse que personne ne songerait à manquer.
Guillaume préféra parler d'une fête que tous aimaient particulièrement.
C’est ainsi qu’à noël on se rend à l’église pour admirer la crèche avec ses personnages vivant.
On assiste dans la cathédrale à la messe dite par l’évêque élu seulement pour ce jours-là parmi les prêtre du diocèse.
Quelques jours après c’est d’autre fêtes.
Cela le fit un peu rêver lui même.
Souvent à l’occasion de ces fêtes religieuses, ont lieu, généralement sur le parvis de la cathédrale, de véritables spectacles: les « miracle », petites pièces représentée pour les fêtes de saints-patrons.
c'est à cet instant que les comédiens se mîme eux même. Qu'elle jolie mise en abyme de la chose que de voir de comédien faire enfin des représentation de scéne religieuse.
Un groupe de comédien représente la création, surtout le passage sur l'amour et le doute.
Un autre mîme le jugement divin, certain vont vers la représentation d'un soleil et d'autre vers la lune.
Des cries de peur s'entendent à la vue de la lune.
Et enfin le plus gros groupe joue la vie d'Aristote.
Il y a aussi d’autre fêtes: passage éventuel du roi, d’un grand seigneur, d’un haut prélat (évêque, cardinal…) de la saint église aristotélicienne, tournois, et surtout les foires qui attirent une foule énorme autour des marchands, des bateleurs et jongleurs.
A ces souvenirs Martin se déride un peu et finit par admettre que toutes ces réjouissance ne sont pas de trop pour oublier les grands maux qui menacent perpétuellement la vie de ses contemporains: guerres avec leurs massacres, épidémie de peste et famines.
Cependant une foi la fête terminé, compagnon et apprentis retournent à l’ouvroir (non donné à l’atelier).
Apres être resté un moment à servir les clients, à prendre les commandes, à surveiller et à rectifier le travail d’un apprenti, Martin se rappelle qu’il doit se rendre à l’hôtel de ville pour une réunion de sa « confrérie », véritable société de secours mutuel (chaque métier à la sienne) qui vient en aide aux orphelins, aux veuves, au vieux ouvriers, qui prend parfois à ses frais les obsèques de ses membres, qui distribue aussi des vivres et des vêtements dans les prisons.
Et là un prisonnier, avec des chaînes aux pieds s'avance portant des habits de noble. ce qui fit sourire les spéctateurs.
Au fer la noblesse!! s'entendit dans la foule ce qui créa un mouvement de foule vers la halle pour encore se plaindre.
Guillaume déscendit alors de sa scéne, puis accompagna les comédiens dans un salut au fidéles spectateur.
Le crieur prévint alors que le spectacle était finit
Oye, oye !
Gens de tout les horizons , vous venez d'assister à une représentation de la troupe de l' "ORA ET LOBRA".
Le Théâtre qui cultive toutes bonnes âmes.
Oye, oye!
Source:
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Un crieur.
Oye, oye !
Gens de tout les horizons , venez assister à la représentation de la troupe de l' "ORA ET LOBRA".
Le Théâtre qui cultive toutes bonnes âmes.
Vous voulez connaitre le vérité sur tous ce qui se passe dans votre vie?
Vous voulez savoir ce que veut dire travailler de nos jours?
Vous voulez tout connaitre sur votre époque?
Vous voulez savoir comment la vie est faite?
Alors vous devez venir assister au scène de notre théâtre!
Oye, oye !
Venez apprendre tout en vous amusant!
Oye, oye !
Venez suivre les merveilleuses histoires vraies de Guillaume.
[Le matin de la représentation]
Guillaume soupire avant de sortir, car il a plu le matin et il craint que dans les rues étroites le cheval d'un cavalier, ou tout simplement un de ces innombrables pourceaux qui cherchent leur nourriture dans les ordures, ne vienne éclabousser le ruisseau central, à moins qu'un locataire inattentif ne déverse sur lui un pot d'eaux sales et nauséabondes.
Il arriva devant la scène qu'il avait fait installer la veille avec l'aide de ses paroissiens. Celle ci n'avais pas pour but d'accueillir les comédiens, elle était trop petite pour cela, juste la place pour un homme.
Cette scène devait accueillir le curé afin qu'il lance le théâtre de rue.
Le parvis de l'église serait là où se passerait les pièces de théâtre organisé par Guillaume.
il posa son pied sur la première marche puis prit la parole après avoir toussé pour s'éclaircir la voix.
Cher Amis, Frères, Pères, Mères, Fidèles! Bienvenu à la représentation du théâtre de l'Ora et Labora!
Sur le parvis de l'église, les fidèles se réunissaient tout au tour de la petite scène.
Les comédiens se réunir alors devant la scène pour jouer, Le narrateur serait alors Guillaume.
Les acteurs avait des cochons, des chevaux ainsi que des habits très colorés.
Mes amis, aujourd'hui, nous vous conterons Distraction et occupation d'un Homme de nos jours.
Il toussa à nouveau et les acteurs prirent place.
« encore un jour de perdu pour le travail » heureux Martin, qui estime que les fête sont vraiment nombreuses dans l’année: plus de 180 jours chômés.
Les fidéles, enfants comme adultes, étaient heureux que l'on parle de jours chômés.
Il y a tout d’abord les grandes fêtes religieuse que personne ne songerait à manquer.
Guillaume préféra parler d'une fête que tous aimaient particulièrement.
C’est ainsi qu’à noël on se rend à l’église pour admirer la crèche avec ses personnages vivant.
On assiste dans la cathédrale à la messe dite par l’évêque élu seulement pour ce jours-là parmi les prêtre du diocèse.
Quelques jours après c’est d’autre fêtes.
Cela le fit un peu rêver lui même.
Souvent à l’occasion de ces fêtes religieuses, ont lieu, généralement sur le parvis de la cathédrale, de véritables spectacles: les « miracle », petites pièces représentée pour les fêtes de saints-patrons.
c'est à cet instant que les comédiens se mîme eux même. Qu'elle jolie mise en abyme de la chose que de voir de comédien faire enfin des représentation de scéne religieuse.
Un groupe de comédien représente la création, surtout le passage sur l'amour et le doute.
Un autre mîme le jugement divin, certain vont vers la représentation d'un soleil et d'autre vers la lune.
Des cries de peur s'entendent à la vue de la lune.
Et enfin le plus gros groupe joue la vie d'Aristote.
Il y a aussi d’autre fêtes: passage éventuel du roi, d’un grand seigneur, d’un haut prélat (évêque, cardinal…) de la saint église aristotélicienne, tournois, et surtout les foires qui attirent une foule énorme autour des marchands, des bateleurs et jongleurs.
A ces souvenirs Martin se déride un peu et finit par admettre que toutes ces réjouissance ne sont pas de trop pour oublier les grands maux qui menacent perpétuellement la vie de ses contemporains: guerres avec leurs massacres, épidémie de peste et famines.
Cependant une foi la fête terminé, compagnon et apprentis retournent à l’ouvroir (non donné à l’atelier).
Apres être resté un moment à servir les clients, à prendre les commandes, à surveiller et à rectifier le travail d’un apprenti, Martin se rappelle qu’il doit se rendre à l’hôtel de ville pour une réunion de sa « confrérie », véritable société de secours mutuel (chaque métier à la sienne) qui vient en aide aux orphelins, aux veuves, au vieux ouvriers, qui prend parfois à ses frais les obsèques de ses membres, qui distribue aussi des vivres et des vêtements dans les prisons.
Et là un prisonnier, avec des chaînes aux pieds s'avance portant des habits de noble. ce qui fit sourire les spéctateurs.
Au fer la noblesse!! s'entendit dans la foule ce qui créa un mouvement de foule vers la halle pour encore se plaindre.
Guillaume déscendit alors de sa scéne, puis accompagna les comédiens dans un salut au fidéles spectateur.
Le crieur prévint alors que le spectacle était finit
Oye, oye !
Gens de tout les horizons , vous venez d'assister à une représentation de la troupe de l' "ORA ET LOBRA".
Le Théâtre qui cultive toutes bonnes âmes.
Oye, oye!
Source:
LE VERT N'EST QUE POUR LA CENSURE. COMBIEN DE FOIS FAUDRA-T-IL LE DIRE ? {Smiley}
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Aurea.du.perray
G_de_b
Un crieur.
Oye, oye !
Gens de tout les horizons , venez assister à la représentation de la troupe de l' "ORA ET LOBRA".
Le Théâtre qui cultive toutes bonnes âmes.
Vous voulez connaitre le vérité sur tous ce qui se passe dans votre vie?
Vous voulez savoir ce que veut dire travailler de nos jours?
Vous voulez tout connaitre sur votre époque?
Vous voulez savoir comment la vie est faite?
Alors vous devez venir assister au scène de notre théâtre!
Oye, oye !
Venez apprendre tout en vous amusant!
Oye, oye !
Venez suivre les merveilleuses histoires vraies de Guillaume.
[Le matin de la représentation]
Guillaume soupire avant de sortir, car il a plu le matin et il craint que dans les rues étroites le cheval d'un cavalier, ou tout simplement un de ces innombrables pourceaux qui cherchent leur nourriture dans les ordures, ne vienne éclabousser le ruisseau central, à moins qu'un locataire inattentif ne déverse sur lui un pot d'eaux sales et nauséabondes.
Il arriva devant la scène qu'il avait fait installer la veille avec l'aide de ses paroissiens. Celle ci n'avais pas pour but d'accueillir les comédiens, elle était trop petite pour cela, juste la place pour un homme.
Cette scène devait accueillir le curé afin qu'il lance le théâtre de rue.
Le parvis de l'église serait là où se passerait les pièces de théâtre organisé par Guillaume.
il posa son pied sur la première marche puis prit la parole après avoir toussé pour s'éclaircir la voix.
Cher Amis, Frères, Pères, Mères, Fidèles! Bienvenu à la première représentation du théâtre de l'Ora et Labora!
Sur le parvis de l'église, les fidèles se réunissaient tout au tour de la petite scène.
Les comédiens se réunir alors devant la scène pour jouer, Le narrateur serait alors Guillaume.
Les acteurs avait des cochons, des chevaux ainsi que des habits très colorés.
Mes amis, aujourd'hui, nous vous conterons l'histoire du théatre
Il toussa à nouveau et les acteurs prirent place.
Ce sont les manifestations religieuse qui nous donnent un exemple de ce qu’est le théâtre de 1458.
De nos jours [color=gray](1458), la nuit de noël, le jour de l’Epiphanie, et surtout pendant la semaine de Pâque, des rites solennels se déroulent dans tous les pays Aristotéliciens.[/color]
A ces occasions, d’étrange spectacles ont lieu dans certaines ville anciennes, en Espagne, en France, en Allemagne, en Italie.
Des hommes en costume de curé font des tours de transformiste et se retrouvent habillés en personnage du livre des vertus que l'on reconnait bien à leurs attributs
Des hommes de Foy se transforment en acteur et en actrices, et revêtent des costumes rappelant un peu ceux de l’époque romaine; draps, couvertures de couleur, fausses barbes, casque et bouclier en carton suffisent à opérer la métamorphose.
Tchac tchac tchac dit l'un des comédiens en combatant un adversaire imaginaire, pour imité le son de l'épée.
Reportons nous en esprit en 1457, et pénétrons dans une élise pleine de monde où se célèbre l’office du dimanche.
Les fideles, sui en général comprennent la langue latin, sont attentif aux paroles des prêtres: ils entendent le récit ------ rapporté dans une forme aisée et claire.
Enthousiasmés, ils désirent bientôt « voir » une représentation, plus proche de la réalité des faites que l’on évoque pour eux, pendant les cérémonies religieuses.
Rappelons que , depuis l’Antiquité, il n’existe aucune forme de spectacle! L’Eglise elle-même a interdit la représentation du théâtre romain, jugé trop souvent immoral.
Cette fois, en 1457, elle encourage le juste désir des fidèles et introduit dans la liturgie d’autre dialogue de plus en plus longs, de plus en plus complets.
Peu à peu on fait usage de vêtement, de symboles, d’objets particuliers qui permettent de reconnaître les personnages.
C'est alors qu'un comédien portant la rose de Saint Etienne de Harding arrive et jéte quelques piecettes au passant, symbolisant la charité.
On en arrive ainsi à une première et très rudimentaire « mise en scène ». Mais on ne peut encore parler de théâtre.
Avec le temps, les exigences « scénique » se précisent de plus en plus: peu de personnages, peu de costumes, peu d’accessoires, peu d’espace: tout cela devient vite insuffisant. La « scène » qui se déroulait auparavant à l’autel, prend maintenant lace dans les nefs.
Un peu plus tard, les « représentations » se font plus complexes. Elles exigent d’avantage d’espace: elle commence à avoir lieu sous le portique de l’église, puis sur le parvis.
Le théâtre était né.
Cependant parvenu a ce point de leur développement, les « scènes » ne sont plus parlée en latin.
Avec le temps, le nombre de personnes qui comprennent le latin diminues: l’Eglise, voyant qu’il ne s’agit plus désormais de liturgie mais de véritable spectacle destinés tout à la fois à divertir, finit par adopter la langue « vulgaire » (c’est-à-dire parler par tout le monde), pour ces représentations.
Mais le sujet gardent toujours un caractère religieux, d’où le nom de « miracles » au XIII ème siècle, puis de « mystères » de nos jours
Il faut raconter, en un seul spectacle, toute la vie d’un saint. Le caractère particulier de ces sujets détermine un des principaux traits du théâtre de nos jours: la représentation simultanée de milieux très divers, ce qui a pour effet de disperser l’attention des spectateurs.
Vous êtes en 1458, année saintement aristotélicienne et vous pouvez en être fier.
Guillaume déscendit alors de sa scéne, puis accompagna les comédiens dans un salut au fidéles spectateur.
Le crieur prévint alors que le spectacle était finit
Oye, oye !
Gens de tout les horizons , vous venez d'assister à une représentation de la troupe de l' "ORA ET LOBRA".
Le Théâtre qui cultive toutes bonnes âmes.
Oye, oye!
Source:
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Oye, oye !
Gens de tout les horizons , venez assister à la représentation de la troupe de l' "ORA ET LOBRA".
Le Théâtre qui cultive toutes bonnes âmes.
Vous voulez connaitre le vérité sur tous ce qui se passe dans votre vie?
Vous voulez savoir ce que veut dire travailler de nos jours?
Vous voulez tout connaitre sur votre époque?
Vous voulez savoir comment la vie est faite?
Alors vous devez venir assister au scène de notre théâtre!
Oye, oye !
Venez apprendre tout en vous amusant!
Oye, oye !
Venez suivre les merveilleuses histoires vraies de Guillaume.
[Le matin de la représentation]
Guillaume soupire avant de sortir, car il a plu le matin et il craint que dans les rues étroites le cheval d'un cavalier, ou tout simplement un de ces innombrables pourceaux qui cherchent leur nourriture dans les ordures, ne vienne éclabousser le ruisseau central, à moins qu'un locataire inattentif ne déverse sur lui un pot d'eaux sales et nauséabondes.
Il arriva devant la scène qu'il avait fait installer la veille avec l'aide de ses paroissiens. Celle ci n'avais pas pour but d'accueillir les comédiens, elle était trop petite pour cela, juste la place pour un homme.
Cette scène devait accueillir le curé afin qu'il lance le théâtre de rue.
Le parvis de l'église serait là où se passerait les pièces de théâtre organisé par Guillaume.
il posa son pied sur la première marche puis prit la parole après avoir toussé pour s'éclaircir la voix.
Cher Amis, Frères, Pères, Mères, Fidèles! Bienvenu à la première représentation du théâtre de l'Ora et Labora!
Sur le parvis de l'église, les fidèles se réunissaient tout au tour de la petite scène.
Les comédiens se réunir alors devant la scène pour jouer, Le narrateur serait alors Guillaume.
Les acteurs avait des cochons, des chevaux ainsi que des habits très colorés.
Mes amis, aujourd'hui, nous vous conterons l'histoire du théatre
Il toussa à nouveau et les acteurs prirent place.
Ce sont les manifestations religieuse qui nous donnent un exemple de ce qu’est le théâtre de 1458.
De nos jours [color=gray](1458), la nuit de noël, le jour de l’Epiphanie, et surtout pendant la semaine de Pâque, des rites solennels se déroulent dans tous les pays Aristotéliciens.[/color]
A ces occasions, d’étrange spectacles ont lieu dans certaines ville anciennes, en Espagne, en France, en Allemagne, en Italie.
Des hommes en costume de curé font des tours de transformiste et se retrouvent habillés en personnage du livre des vertus que l'on reconnait bien à leurs attributs
Des hommes de Foy se transforment en acteur et en actrices, et revêtent des costumes rappelant un peu ceux de l’époque romaine; draps, couvertures de couleur, fausses barbes, casque et bouclier en carton suffisent à opérer la métamorphose.
Tchac tchac tchac dit l'un des comédiens en combatant un adversaire imaginaire, pour imité le son de l'épée.
Reportons nous en esprit en 1457, et pénétrons dans une élise pleine de monde où se célèbre l’office du dimanche.
Les fideles, sui en général comprennent la langue latin, sont attentif aux paroles des prêtres: ils entendent le récit ------ rapporté dans une forme aisée et claire.
Enthousiasmés, ils désirent bientôt « voir » une représentation, plus proche de la réalité des faites que l’on évoque pour eux, pendant les cérémonies religieuses.
Rappelons que , depuis l’Antiquité, il n’existe aucune forme de spectacle! L’Eglise elle-même a interdit la représentation du théâtre romain, jugé trop souvent immoral.
Cette fois, en 1457, elle encourage le juste désir des fidèles et introduit dans la liturgie d’autre dialogue de plus en plus longs, de plus en plus complets.
Peu à peu on fait usage de vêtement, de symboles, d’objets particuliers qui permettent de reconnaître les personnages.
C'est alors qu'un comédien portant la rose de Saint Etienne de Harding arrive et jéte quelques piecettes au passant, symbolisant la charité.
On en arrive ainsi à une première et très rudimentaire « mise en scène ». Mais on ne peut encore parler de théâtre.
Avec le temps, les exigences « scénique » se précisent de plus en plus: peu de personnages, peu de costumes, peu d’accessoires, peu d’espace: tout cela devient vite insuffisant. La « scène » qui se déroulait auparavant à l’autel, prend maintenant lace dans les nefs.
Un peu plus tard, les « représentations » se font plus complexes. Elles exigent d’avantage d’espace: elle commence à avoir lieu sous le portique de l’église, puis sur le parvis.
Le théâtre était né.
Cependant parvenu a ce point de leur développement, les « scènes » ne sont plus parlée en latin.
Avec le temps, le nombre de personnes qui comprennent le latin diminues: l’Eglise, voyant qu’il ne s’agit plus désormais de liturgie mais de véritable spectacle destinés tout à la fois à divertir, finit par adopter la langue « vulgaire » (c’est-à-dire parler par tout le monde), pour ces représentations.
Mais le sujet gardent toujours un caractère religieux, d’où le nom de « miracles » au XIII ème siècle, puis de « mystères » de nos jours
Il faut raconter, en un seul spectacle, toute la vie d’un saint. Le caractère particulier de ces sujets détermine un des principaux traits du théâtre de nos jours: la représentation simultanée de milieux très divers, ce qui a pour effet de disperser l’attention des spectateurs.
Vous êtes en 1458, année saintement aristotélicienne et vous pouvez en être fier.
Guillaume déscendit alors de sa scéne, puis accompagna les comédiens dans un salut au fidéles spectateur.
Le crieur prévint alors que le spectacle était finit
Oye, oye !
Gens de tout les horizons , vous venez d'assister à une représentation de la troupe de l' "ORA ET LOBRA".
Le Théâtre qui cultive toutes bonnes âmes.
Oye, oye!
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