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[RP anim]Les histoires d'horreur finissent mal .. en général

Angecassis_lasteyrie
Citation:
"Oyé Oyé !

Dans les bois de Bourges se tiendra une veillée,
venez nous voir, nous compteur de la nuit,
nous réciterons prêt du feu des histoires à vous faire peur,
de l'horreur en abondance.

Rendez-vous le 31 Octobre dans les bois !

Et un concours se tiendra, chaque personne qui viendra
aura la chance de voter pour élire notre compteur de l'horreur.

Le champion remportera un super prix .
Les petits monstres vous attendent, mouahahahaha.



[(Chaque personne pourra raconter son histoire, bien sûr il faut respecter le contexte du moyen-âge mais, les morts vivants auraient très bien pu exister à vous d'avoir de l'imagination). A la fin du rp, les joueurs disposeront de quelques jours pour voter]
Angecassis_lasteyrie
CAssis revient sur les lieux du crime arrangeant l'affiche qui par le mauvais temps s'etait presque détacher espérant que les première personne allait arriver 'cetais bientot la nuit de l'horreur ....
Enaelle
Enaëlle avait enfin trouvé l'affiche concernant l'activité dont Ange lui avait parlé, elle s'approcha, la lut, réfléchit et se dit qu'il y avait peu de chance qu'elle y participe car ses donc de poète étaient extrêmement limités voire inexistants. Mais elle serait curieuse d'entendre des récits d'horreur, elle qui n'a jamais eu peur de rien, peut-être frissonnerait-elle à certaines histoires.
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Calixte
Le jeune homme voulait s'investir dans son nouveau duché, et quoi de mieux pour decouvrir de nouvelles tetes de participer aux activités, soit en venant encourager ou meme participer.
Il avait donc vu cette affiche et ne savait s'il prendrai la parole ou non.
Il y reflechirai assurement et resta un instant a regarder l'affiche.
Alfred555
En avance pour cause d'absence le 31


Alfred arriva devant l’affiche. Tiens donc… conter des histoires qui font peur ? Je crains de n’pas savoir… J’sens que les miennes vont avoir l’effet inverse. Enfin, réfléchissons toujours, nous verrons bien ce qui sortira comme bétise.

Après un instant de réflexion, voyant que personne ne se lançait, il osa :



Il était une fois, dans un fief du sud du Berry, une blonde Duchesse toute de bleu vêtue. Une personne très bien sous tous abords : belle, charmante, intelligente, intègre, d’une chasteté à toute épreuve, très dévote, à raison de huit messes par jour (notez bien le côté horrible de la chose), sans compter vêpres, mâtines, laudes et les innombrables séances de confessions consistant entre autre, à expier l’infâme et abominable péché qu’est celui de ne point s’être confessé dans les dix minutes précédentes. Un excellent parti, en fin de compte.

S’emportant :

Mais ! Car il fallait qu’il y en eut un ! Si notre charmante Duchesse était tantôt douce et apaisante en public comme la brise du printemps qui souffle doucement au premier rayon du soleil sur l’innocente pâquerette attendant, la sève en émois, l’arrivée du bourdon qui viendra la butiner sauvagement, il n’en était plus de même lorsqu’elle était en son castel. Ou plutôt, ce qui en restait : son domaine avait récemment été dévasté par une horde de brigands assoiffés de sang, d’or et de jeunes vierg… de bonne chair, et elle n’en avait réchappé que grâce à ses deux plus fidèles atouts. L’épingle à cheveux dans une main, sa lime à ongle affûtée dans l’autre, elle avait transpercé le kef de ces barbares de part en part, et de bas en haut, le laissant agoniser dans une mare de sang, sans laisser à ce maraud le plaisir de la… Toute tremblante, choquée… outragée ! Brisée ! Martyrisée ! Elle avait occis un homme, pour la première fois de sa vie, de la façon la plus barbare qui soit. De retour à son château en ruine, elle n’était plus la même. Une haine atroce et féroce venait de germer en elle. Un dégoût profond des hommes, ces mâles imbus et tout-puissants, qui allait grandissant. Bien pire, son fiancé ne donnait plus de nouvelle depuis bientôt quatre longues années, ce qui n’allait point lui faire recouvrer la raison.

En public, elle tenait parfaitement son rang. Mais dès lors qu’elle se retrouvait seule… elle devenait terrible et impitoyable comme la vague assassine d’un hiver brestois qui vient s’abattre avec fracas sur le visage impassible d’une austère bigouden attendant son marin pour qu’il la ravage comme un ouragan contre la froideur du mur en granit de la cuisine, entre un bol de cidre et une tranche de kouign-amann.

Cela avait commencé par un maraud ivre qui l’avait apostrophée un soir dans la rue, et qu’elle avait convié dans son carrosse, le priant de bien vouloir l’accompagner à son château. Le pauvre diable avait accepté, bien évidemment. Après une visite des caves du domaine, nul ne l’avait jamais revu à la surface. La fois d’après, c’était un vagabond de passage dans les environs. Un disparu de plus. Puis un autre. Encore un autre. Uniquement des hommes. Tant que ces disparition s’étaient cantonnée à des personnes de petite condition, nul n’y avait vraiment prêté plus d’attention que cela.

Tout allait pour le mieux dans le plus terrible des mondes possible jusqu’à ce qu’un marchand ambulant officiel du duché advint à disparaître. Après une longue enquête qui ne donna aucun résultat, le dossier fut classé, sans suite. On supposa qu’il avait été enlevé ou tué par des brigands, avant de lui subtiliser ses marchandises, mais le mystère restait entier. Le juge du duché, qui n’avait rien d’autre à faire de ses journée à part bailler aux corneilles ou condamner des vaches et des chenilles, décida d’aller faire un tour là où s’étaient arrêtées les investigations. Aux environs du domaine de la dite duchesse, il décida de s’y arrêter afin de la saluer, faire une pause, s’y restaurer, faire causette…

Il fut reçu avec tous les honneurs. La Duchesse recevait déjà sa marraine, une Baronne rousse flamboyante à même traits de caractère qu’elle. Entre deux confesses de la Duchesse, l’on potina sur tout et rien, l’on bu, collationna. L’on visita les rénovations, suite au sinistre, ainsi que les nouvelles caves. D’où l’on ne sorti point. Enfin pas le juge tout du moins. Et pas entier…


Il fit une légère pause, puis reprit :

La Duchesse, suite à sa mésaventure, était devenue experte dans l’art de la torture sur mâle. Elle pratiquait toute sorte de sévices subtils et raffinés qu’elle améliorait au fil des expériences, et suivant ses goûts et idées du moment, et s’en délectait. Elle raffolait tout particulièrement de l’usage du poulpe, dont elle avait un élevage dans les douves de son château. Cette fois-ci, elle était accompagnée de sa chère et douce marraine qui, comme elle, vouait une haine toute particulière à la gent masculine, après que son odieux mari ait l’ait lâchement abandonnée en Berry, préférant partir en Auvergne pratiquer sa chasse favorite. Son animal de compagnie, quant à elle, était l’anguille… qu’elle avait bien sûr toujours avec elle, bien blottie dans sa besace.

On vous épargnera les détails des sévices infligés au pauvre homme, en plus de la pendaison par l’anguille, l’écartèlement par quatre poulpes fort coriaces, le découpage des membres restant à la lime à ongle, l’huile bouillante sur les plaies, le pal sur une tentacule pointue et durcie, les morsures diverses et variées…. Toujours est-il qu’on entendit jusqu’au village voisin des hurlements, des cris, des rugissements, des bruits d’os broyés, de déchirures…

Bien entendu, les restes du cadavre avaient été balancés nonchalamment dans la fosse aux poulpes, dévorés en quelques instants par les sanguinaires bêtes gluantes et répugnantes, toujours affamées de mets de choix. Aucune trace ne resta de lui, comme pour les autres.

Depuis, nul n’a plus jamais osé s’aventurer dans cette région. Si un jour, en Berry vous croisez une Duchesse blonde accompagnée d’une rousse maniérée, passez votre chemin au plus vite. Peut-être serez-vous le suivant… à disparaître… torturé à mort… dévoré… broyé… et nul ne vous retrouvera jamais !


Il salua bien bas l’auditoire. Il vérifia que ni la blonde ni la rousse n’étaient dans l’assemblée… sait-on jamais…
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Ysabeau
Ysabeau écouta en tremblant comme une feuille l'affreux récit du bel Alfred. Norf de norf, elle se promit d'avertir tous les mâles berrichons de ne point se rendre sur les terres de la duchesse, surtout son cher, très cher Oxytan... Norf de norf, qui l'eût cru ?... Mais... connaissant le bel Alfred, cette histoire était-elle véridique ? Ou juste destinée à faire peur à ceux qui passeraient par là, les inciter à ne pas aller... Là où lui, passait des jours heureux, dans le confort d'un castel luxueux et partageant avec la dite duchesse des mets raffinés... héhé, qui sait ?

Elle aurait peut-être une histoire à raconter. Mais après celle-là... ça serait difficile.
Enfin, se dit-elle, attendons le jour fatal...

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Calixte
Calixte avait écouté avec attention l'histoire d'Alfred, ouvrant des grands yeux, d'enfant. Frissonnant, même par moment.
Il trouvait l'exercice intéressant et décida donc de prendre la suite.
Il prit donc la place d'Alfred et allumant une torche.
Gonflant le torse, il pointa le bois lointain.


-Oyez, Gentes dames et Gentils messieurs, la terrible histoire de la femme à l'enfant.

Il s'arrêta pour l'effet, et s'approcha des personnes présente faisant tournoyer sa torche, puis reprit.

-Il y a bien longtemps, à l'époque ou Saint Aignan, n'était que petit bourg, une femme que les habitants évitaient, vivait dans un bois près des marais.
Celle-ci, ne descendait que rarement au village, trainant le pas de ses pieds nus écorchés. Sa chevelure terreuse ruisselait le long de ses épaules décharnées et dénudées. Une robe déchirée et maculée de mousse, venait recouvrir le reste de son corps.
Point de sourire sur ce visage maigre, buriné par les saisons d'où scintillaient des yeux verts perçant à vous glacer les sangs.
Les paysans du coin la nommé la Sorcière des marais, car aucun ici ne savaient qui elle était.
Certains, ventant leur mérite ce pendant, de l'avoir approché et colportèrent l'idée qu'ils l'avaient vu prier et que du sans nom, elle se serait liée.
La solitude était son lot et tous ici le savaient. Un jour ce pendant, a la ville descendit la femme accompagnée, non point d'un mari ou de quelques amis retrouvés, mais bien d'un enfant qu'en ses mains elle tenait.


Calixte s'arrêta encore un instant ayant mené le sujet, jouant de sa torche pour donner de l'effet, soufflant, par instant et reprenant après vivement.

-> crièrent les paysans effrayés.
Bientôt une milice au bras armée, décidaient de traverser le bois en direction du marais.
Une cabane de Branches entrelacées, abritait le bébé qui dans les bras de la mère pleurait.
Les paysans avides de colère et bien plus de peur encore arrachèrent à la mère l'enfant.
Pendirent cette dernière par les pieds à l'arbre le plus près,lui ouvrirent le ventre et de ses entrailles la privèrent, pour que du diable elle ne puisse enfanter.
Quant, à l'enfant le même sort lui fut fait, jusqu'au moment ou le souffle de vie des deux les aient quitté.
Les villageois haineux et leur besogne effectuée, jetèrent les entrailles aux boueux marais.


Il tendit une foi de plus sa torche vers les personnes ici réunies et de nouveau reprit.


-La Femme et l'enfant restèrent ainsi pendues, les paysans passant de temps en temps pour surveiller qu'ils restaient pendant. Le troisième jours, ce pendant, point de corde et de corps restant, nul trace de la mère et de l'enfant.

La voix de calixte se fit plus amère et presque en chuchotant, comme pour exprimer un secret que peu devrait prendre compte.

-Il y a maintenant peu de temps, un voyageur désireux de couvrir les lieux de nuit, pour rejoindre au plus vite l'être aimée, s'engagea sur le chemin des bois des marais, guidé par la lune rousse qui maintenant était bien dégagée. Brusquement sur le côté, près des fourrés une femme prostrée, chantait pour l'enfant qu'elle tenait.
Le voyageur s'arrêta...
La femme se leva et pivota.
Dans ses bras l'enfant sanglant, d'entrailles était dépourvu et la femme son ventre ouvert et vide d'organes exposa.
Le voyageur horrifié couru a tout va, suivi de près de la femme à l'enfant qui des tripes de l'homme désirait se munir.
Dans le marais, l'homme fut figé, car de sang celui-ci était nappé.
La femme à l'enfant l'avait rattrapée, mais sur le bord était restée, vociférant , crachant la nuit durant.
Au petit matin, le voyageur tremblant et frigorifié n'avait plus devant lui que le terrible marais et sa vie était sauvée.


Calixte reprit tournant sur lui même et regardant chacune des personnes, pour donner un conseil.

-Ainsi, si un jour vous traversez le chemin du marais, faites qu'a la lune rousse, vous ne vous aventuriez, ou bien plus que votre âme mais vos tripes aussi perdrez, sauf...si dans le marais votre salut trouverez.
Par temps de vent du côté de Saint Aignan, on peut entendre par moment, les cris d'une mère et de son enfant.
Destinee...
Destinée avait écouter les histoires des deux sires. La catin frissonna au fur et a mesure que leur histoire avancer.
Perdu dans ses pensés apres leur histoire elle se mit a chantonner un aire inconnue et sombre, au aire sans paroles :

Hum...hummhummmhummm...hum..hummm
Assis sur un tronc mort autour d'un feu de bois elle pris son courage a deux mains et se mit a son tour a compter histoire sinistre qu'on lui avait raconter lorsque qu'elle était plus jeune, c'était une légende, une très vielle légende.
Une légende qui parler du sans nom, de possession et d'Aristote.
Elle essaya de se remémorer les terme exacte de cette histoire et ce lança.


Ici une légende galope à grand pas, on dit qu’un soir venant en sortant d’une auberge quelque tous jeune gens entirent étrange chant.
Un chant sombre emplie de méchanceté et de bestialité.
Mais l’un des compagnons ne craignant ni dieu, ni diable s'approcha de cette voix caverneuse et s’enfonça dans une petite ruelle sombre.
Les trop joyeux garçon remarquèrent que le chant s’arrêta.
Ils se jetterent un coup d'oeil affoler et virent leur compagnon ressortir. Quelque chose en lui avait changer...


La voix de Destinée s'abaissa.

Son visage était devenue sombre, il s'approcha d'un de ces compagnons en chantonnant.
Il chantait la même chansons qu'ils avaient entendu précédemment !
Un rire le secoua. Ces amis furent rassurer, il leur faisait une blague ! Mais que nenni ! Il se remit a chanter et s'approcha de son camarade a droit et lui murmura quelque chose.
Le troisième des garçons, vit son visage reprendre forme normale mais son autre amis a qui on avait murmurer quelque mots se mit a son tour a chanter...
Horrifié le plus jeune des trois se signa et courut vers l'église la plus proche. Il présenter quelque chose de terrible sous cette chansons et il ne se tromper pas. A peine eut t'il trouvé ce qu'il chercher que ces camarades étaient venu le rejoindre se demandant ce qu'il lui arriver...
Il vit qu'aucun d’eux ne chanter, mais la chansons continuer a se faire entendre...


Destinée s’arrêta et sourit en coin.


Voila que vingt trois ans exactement après cet évènement la chanson revint le hanter... Sa compagne la chantait pour endormir leur enfant.
Celui-ci paniqua et entraîna sa femme et son fils dans la foret.
Ce fut sanglant mais silencieux, en un coup de couteau il leur trancha la gorge. Ils moururent dans les secondes qui découlèrent. Puis a son tour il se trancha les veines afin qu'il puisse meurt a son tour, mais qu'il meurt lentement... Les dernières paroles qui prononcèrent fut un chant étranges... Hum...hummhummmhummm...hum..hummm....
Il avait appris que ce chant était celui du sans noms, était celui de la Possession, il avait appris comment il passait d'un corps a l'autres a travers le souffle, il s'avait que si le corps de son hôte mourrait, il ne pouvait emprunter celui de quelqu'un d'autre que dans un rayon de 1 kilomètre... C'est pour cela qu'il avait sacrifier ceux qu'il aimait le plus et sa propre vit après s’être assurer d’être posséder a son tour... Au milieu de la foret, nul chance que le sans noms survive....
Le sergent de la ville trouva les corps le lendemain... Seules leur emprunte était visible sur le sol plein de neige...les leurs....et celle d'un lapin qui avait pris la direction du nord....


Destinée arrêta son histoire et repris son chant, une lueur étrange dans les yeux...Hum...hummhummmhummm...hum..hummm
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