Afficher le menu
Information and comments (1)
<<   <   1, 2, 3, ..., 8, 9, 10   >   >>

[RP]Cérémonie d'intronisation du Franc Comte et allégeances

Erwin
La cathédrale se remplissait doucement, c’était un peu le but. Mais rien ne pouvait commencer tant que n’arrivaient pas le Franc Comte, et l’Archevêque. Le premier déboula sur son coté sans qu’il ne l’eu vu venir, et tira un sursaut phénoménal au héraut, qui pendant quelques secondes, regarda le futur Franc Comte les yeux écarquillés et la bouche stupidement ouverte. Le temps que son cœur reprenne un rythme normal, et il adressa un sourire à l’homme.

Bonjour, oui ça va, ce qui me faut est là, tu es là et… l’archevêque arrive.

En effet, ne voulant pas se faire avoir une seconde fois, son regard avait noté la présence de l’homme qui remontait en leur direction. Par contre celui-ci lui posa un problème autrement plus grand que le fait qu’il allait devoir diriger sans concertation au préalable une cérémonie inventée de toute pièce, ce ne fut pas sa question qui le troubla, mais la main tendue vers lui. Devant un noble, l’absence de contacts primait, les révérences, saluts discrets de la tête et autres primaient, mais devant un religieux… Lui serrer la main semblait autant insultant que de l’ignorer, il se souvenait d’avoir vu certains embrasser le dos de la main de religieux, mais il trouvait l’idée farfelue, réservant le baisemain aux dames et encore il ne se souvenait pas en avoir jamais fait. Aussi afficha-t-il rapidement un teint un peu rougi et un air confus, ne sachant que faire.

Oindre et bénir votre Excellence. Je ne sais si tous les conseillers sont arrivés, mais je les ai invités.
_________________
Mousseline
Mouss encore perdu dans tous ces murs. Elle se demandait comment elle finirait par y arrivée. La juge avait du demander son chemin jusqu'ici. Décidément elle arrivera encore en retard.

A l'entrée de le l'endroit de la cérémonie, elle ouvrit la porte. Soulagée de voir que cela n'était pas commencé elle allait s'assoir près de Madalen


Coucou toi... vraiment il va me falloir un guide.. je m'y perd...

Timide elle regardait par terre
Katarina
Katarina avait reçu comme a chaque début de mandat, la missive l'invitant à venir prêter allégeance, avec un petite nouveauté cette fois ci. Elle se mit donc directement en chemin .. pour ne pas arriver en retard. Elle pénétra dans la salle, dévisagea les personnes présentes, faisant un signe de main discret à ceux et celles qu'elle connaissait puis vit sa petite cousine.

Elle s'approcha d'elle, la salua chaleureusement.


Bonjour Elfriede ...
Te voila enfin en Franche Comté ... ravie de te voir .. mais étonné que ce soit dans un tel lieu.

_________________
Peccatore
Peccatore commençait à connaître par coeur le chemin de la cathédrale. our tout dire, il était plus souvent à présent à Besançon qu'à Poligny. Sans doute la folie des grandeurs... Souvent, il utilisait la cathédrale ordinairement déserte pour des occasions futiles... juste par commodité, la capacité de la cathédrale étant plus importante que celle de l'église du Bon Secours, mais aussi un tantinet par mégalomanie.

Toujours était-il que ce jour n'était pas le lieu d'une occasion futile. Le sacre du Franc-Comte, un Polinois qui plus est, ne se pouvait manquer. Encore moins quand l'on avait été réquisitionné par l'Archevêque pour co-célébrer. Cette fois-ci, le vicaire de Poligny tiendrait un rôle de faire-valoir. Ce n'était pas pour son plus grand plaisir, mais la pénurie de clercs le contraignait à supporter ce genre de tâches peu gratifiantes, qu'il eût volontiers laissé à des inférieurs, eussent-ils existé.

Puisqu'il économisait ses écus depuis des semaines dans l'espoir d'entamer des études à moyen terme, le nonce n'avait pas un sou pour lui. Et ce fut donc fort logiquement qu'il remit son unique aube de cérémonie, celle qui lui servait pour les messes, pour les baptêmes, ou pour parader fièrement.

Arrivé dans la nef, le visage fermé, l'adolescent apparut bien vite son supérieur hiérarchique. L'Archevêque était en pleine concertation avec un homme. Son nom, Peccatore l'ignorait. Mais son visage ne lui était pas inconnu... il se souvenait l'avoir vu quelques jours auparavant, également à la cathédrale.

Le vicaire avança d'un pas rapide en direction des deux hommes. Arrivé à leur hauteur, il salua d'un bref mouvement de chef le vis-à-vis du prélat et s'inclina devant ce dernier pour baiser son anneau.


Bonjour Monseigneur. Je suis prêt.

Laconique était le mot. Il n'allait pas raconter sa vie.
_________________
Frère Peccatore, vicaire diocésain de Besançon, vicaire de Poligny, nonce apostolique en FC et ami lescurien
Nufilen
Le sourire de Nufilen disparut lentement, sa gène fut comparable à celle de l'homme à qui il se présentait, voila bien la première fois dans sa vie que l'on refusait de le saluer. Lui qui tendait toujours la main de façon à laisser deux possibilités à son interlocuteur : la poignée de main ou le baisemain il ne compris pas pourquoi, après quelques longues secondes, Erwin ne faisait rien. Il regarda l'homme qui se décomposait devant une simple main tendue et bredouillait une instruction sans rendre le bonjour. L'archevêque baissa sa main, puis la ramena contres on corps pour faire mine de remettre en place sa soutane liserée de mauve. Puis ce fut le silence. Un silence interminable durant lequel Nufilen adressa un sourire gêné au Comte. Peccatore vint rompre ce silence. L'archevêque adressa un dernier regard interrogateur à Erwin, puis au Comte, haussa les épaules et dit à Erwin après un léger toussotement et un sourire entendu.

Je vous prie de bien vouloir m'excuser, je tacherais de me laver les mains mieux que cela la prochaine fois. Prévenez moi quand je devrais commencez mon fils.

Puis il reporta son intention sur Peccatore.

Allez donc vous habiller mon Frère et tâchez d'afficher une mine réjouie ! C'est un grand jour pour la Fc et pour l'Église.
_________________
dina_
Lorsque le serviteur lui apporta la lettre envoyée par son époux, Dina eut un soupir de soulagement. Sans nouvelles d'Erwin depuis son éclat lors de la cérémonie de fin de mandat de Goclad, elle essayait de le retrouver... ou du moins d'en avoir quelques nouvelles... Des rumeurs de plus en plus persistantes laissaient penser qu'il fréquentait le Saint-Abandon et les tavernes environnantes.
Cette missive arriva donc au moment où elle avait décidé d'aller se rendre compte par elle-même, quitte à aller frapper à la porte du célèbre bordel de Dole... Elle aimait son époux et avait bien l'intention de lui montrer que rien ne l'empêcherait de le retrouver !

Elle lut rapidement le court message... le relut encore et encore sans très bien comprendre... Erwin avait finalement retrouvé ses esprits et s'occupait de la cérémonie en l'honneur du nouveau Franc-Comte.

N'ayant pas l'habitude de prêter allégeance, comme il le lui était demandé sur cette fameuse lettre, elle décida de revêtir une des nombreuses tenues offertes par son mari.

Ce fut donc habillée d'une robe d'un vert d'eau qu'elle affectionnait tant qu'elle pénétra dans la grande salle. Au premier regard elle aperçut Erwin qui discutait avec Leonin et se promit de ne pas quitter la cérémonie sans lui avoir parlé.

Ses yeux sombres parcoururent l'assemblée... Beaucoup de monde qu'elle connaissait... S'avançant vers Criss, elle salua les amis et connaissances.

Bonjour Criss ! Comment va Poligny ?
_________________
Medea7
La jeune Medea se faisait discrète ces temps ci... Elle était malade, un mal qui ne se voit pas mais qui ronge le coeur. Elle avait recouvrer quelques forces grace à son parrain, le franc comte, et à Fredy. Mais c'est pale e trés maigre qu'elle arriva, nageant dans la belle robe qu'elle avait mit pour l'annoblissement d'un des vassal de Léo. La robe était magique et à cette époque lui allait bien... mais là... la Dame de Villers-La-Combe nageait dedans. Elle se rendit comme elle pu à Besaçon, elle vit Criss et Fleur, les salua de la tête et alla s'assoir isolée dans un coin sombre, elle rabaissa le capuchon de sa cape sur ses épaules, et observa... elle était lasse.
Elle vit son parrain entrer... quelle prestance. Elle attendait que se déroule la cérémonie pour repartir dans sa tannière.

_________________
Criss
Criss vu arrivée Fleur qui lui parla...elle la salua et répondit

Bonjour Fleur, merci du compliment...pourquoi serais tu arrivée en retard voyons...crois tu que Léo aurait commencer la cérémonie si tu étais pas présente?

Criss apperçu Dina elle lui sourit puis vit rentrée Medea...elle prit congé de Fleur.

Oh excuse moi Fleur...je vois que Dina arrive et je souhaiterais lui parler...Et puis il y a Medea...je vais aller voir comment elle ce porte!

Arrivant vers Dina elle lui fit la bise

Mais bonjour toi! Comment tu vas?

Hum...comment va poligny? ben d'après certain...bien...d'après moi...le village sera bientôt vide!

Tiens je vois Medea toute seule vient nous allons lui parler un peu...Elle n'a pas l'air en grande forme en ce moment!


Sourit à Dina
_________________
Leonin


Léonin avait remarqué un certain malaise entre l'Archevêque et Erwin. Il n'en fit pas cas ou presque. Mais ce malaise était tel qu'il n'avait salué personne.

Bonjour Monseigneur. Alors êtes-vous prêt pour cette cérémonie ? Je dois avouer que c'est la première fois que je participe à ça. Et disons que c'est encore pire si j'en suis la vedette.

Il lui tendit sa main se demandant s'il le pouvait. Il n'avait pas encore l'habitude d'être avec des gens d'une grande importance. Pourtant il devrait s'y habituer.
Il se demandait s'il faudrait pas commencer. Il regarda un peu autour de lui, voyant des amis arriver. Criss, Dina, mais dans un coin sombre Medea qui semblait aller un peu mieux. Il leur fit un signe discret.

Mais il y avait enfin celle pour qui il n'aurait pas commencé la cérémonie et qu'il aurait fait attendre tout le monde : sa Fleurounette. Elle était magnifique dans sa robe et il en était encore plus amoureux. Doucement dans sa tête, une idée ... A elle aussi, il lui fit un signe qui se voulait discret mais qui finalement ne le fut pas du tout car tout le monde ou presque put le voir. Ce qui le mit dans une situation inconfortable, un malaise passager, une petite honte. Il sentait qu'il rougissait un peu.

Alors, pour cacher son mal être, il se retourna vers l'Archevêque et Erwin.

Alors ... Allons-nous commencer ? Pas que je sois pressé, mais va falloir s'y mettre. Non ?

Il pouffa de rire. Oui c'était pour cacher qu'il commençait à se faire du soucis et à se demander si ça se passerait bien. Il se le disait bien qu'il n'y avait pas de raisons pour qu'il y ait un soucis.

_________________
Léonin de Monmouth, Vicomte de Sellières et de Doubs
Fleur


Fleur venait de saluer Criss et n'eut pas trop l'occasion de lui parler davantage si ce n'est lui dire le pourquoi elle avait eu si peur d'arriver en retard. En disant ces mots, elle vira au rouge.

Et bien... j'ai dû mal lire la missive qu'Erwin m'a adressée, je me suis présentée à la salle habituelle pour les allégeances à Dole et je n'y ai vu personne, sans compter que la salle était loin d'être prête pour une telle cérémonie. C'est un garde moqueur qui m'a indiqué qu'elle avait lieu ici même à la Cathédrale de Besançon. J'étais totalement désemparée et il a fait appel à un de ses amis cochers qui m'a amené ici à toute vitesse... j'ai tellement prié pour arriver entière et à l'heure, que le Très-Haut a dû m'entendre car je viens juste d'arriver après plusieurs heures à être ballotée dans le carrosse. Enfin voilà le pourquoi j'ai eu si peur d'arriver en retard.

Sans plus attendre, Criss prit congé d'elle, la laissant planter là, seule. Elle eut une petite pointe de déception qu'elle ne fit pas paraître. Elle ne voyais plus ses amies ces derniers temps et le fait de se retrouver là toute seule la plongeait dans un profond désarroi.Elle vit Médea dans un coin sombre et lui fit signe de la main, la jeune fille semblait nager dans sa robe pourtant si belle, elle semblait si triste. Fleur ne savait plus si elle pouvait s'approcher redoutant qu'on l'expédie une fois de plus. Ne sachant pas vraiment où se placer et si elle aurait l'occasion de glisser un mot de réconfort à Léonin, elle tourna son regard azur vers celui qui faisait battre son cœur. Il lui fit un signe discret enfin qui se voulait discret car ce geste n'avait échappé à personne ce qui la fit rougir un peu plus. Cependant, elle eut le temps de lui envoyer un baiser de la main. Elle l'observa un peu et se rendit compte que leurs tenues étaient assorties. Elle sourit, décidément ils étaient faits pour s'entendre et dire qu'ils ne s'étaient même pas consulter sur le sujet, vu que ces derniers temps, la seule chose dont ils s'entretenaient entre deux dossiers c'était le travail et encore le travail. Finalement, elle opta pour aller voir comment se portait Médea. La filleule de son bien aimé était importante à ses yeux et elle lui avait fait causer pas mal d'inquiétudes durant leur voyage où plus d'une fois, elle leur avait faux bond pour s'imprégner de souvenirs locaux. À cette pensée, elle pouffa de rire... Ah sacrée Médéa. On t'aime tel que tu es.

Bonjour ma belle Médéa, tu n'as pas l'air en grande forme, dis moi. Aurais-tu quelques soucis en ce moment? Tu sais que tu peux compter sur moi en tout temps. Il est vrai que ces derniers temps j'ai été très prise m'empêchant de prendre du temps pour venir te voir dans ta maison à Poligny, mais si tu as besoin de quoi de soit, n'hésite pas à me le demander, il me fera toujours plaisir de te rendre service. Sinon, il est hors de question que tu restes à l'écart dans ce coin sombre, ton parrain me le pardonnerait pas. Viens avec moi, nous allons nous choisir de bonnes places pour ne pas perdre une miette de la cérémonie. Qu'en penses-tu?

_________________
En reconstruction...
Fleur de Monmouth
Baronne douairière de Quingey
Dame de Villers-Farlay
Melisende.


Curieuse à souhait était la duchesse. Aussi après avoir gérer ce qu’elle devait gérer, et ce pourquoi elle était si loin de sa Savoie natale, la Duchesse de Bielle fut attirée par la lumière et le bruit qui sortait de la sainte bâtisse.

Elle passait la grande porte et découvrit une cathédrale rayonnante, bien remplit. C’est la qu’elle comprit ce qu’il se passait. L’intronisation…. Elle se souvint de la conversation qu’elle avait eu avec erwinà ce sujet, et toujours poussée par la curiosité, elle entra complètement.

La sœur Grégorienne qu’elle était, se trouvait à sa place dans les lieux religieux. Elle regarda amusé le malaise qui se dégageait des 3 personnes que toute la salle appréciait à regarder. Amusée elle était la duchesse, curieuse et pressée de savoir comment les événements allaient se dérouler.


_________________
Medea7
Medea vit sa Fleur préférée prendre la direction de là ou elle était assise. Elle allait devoir se forcer à faire la conversation. Elle observait tout ce qui se passait... sans émotion aucune... elle était là... présente. Mais on esprit était bien loin. Elle se leva pour bisouiller, Fleur, non sans chanceller un peu, imperceptiblement... la tête lui tourna... elle se rassit. Fleur n'avait pourtant pas parlé beaucoup... mais elle n'a plus l'habitude qu'on lui parle la belle Medea... et tout ce bruit dans l'édifice.

Oh tu sais... j'ai plus envie.. enfin bref depuis que blouille... bref.
Euh... Jsuis bien dans ce coin moi... personne me voit !

Elle tenta bien de rester par là mais c'était sans compter sur la force de persuasion de la femme de son parrain... elle suivit donc. Elles se trouvérent de bonne place pour admirer le roi de la cérémonie. Medea se força à sourire, elle était contente pour lui.. contente pour la Franche Comte... mais plus rien ne lui importait... Elle se tourna vers son amie :

Et toi ? ça va?
_________________
Nufilen


Nufilen commençait à s'impatienter, le comte aussi visiblement, les gens autour aussi. Qu'attendaient-ils après tout ? L'archevêque tourna à droite, à gauche, recherchant sa crosse, il l'avait posé mais ou... Ah ! Elle se trouvait à droite de la porte, une simple crosse qui était en fait un pommeau vissé sur son bâton de marche, il s'en saisit.

Personne ne lui disait de commencer, cela faisait de longues minutes... Mais après tout ... ? Il lui semblait bien qu'il était chez lui et que c'était lui qui allait introniser le franc comte... Chez lui... Il regarda autour de lui, oui c'était bien sa cathédrale... Mais alors ? Si il était chez lui... Il leva le bras et claqua des doigts, alors la chorale de l'archevêché entonna le chant prévu par le prélat. Le roux sourit, ça faisait son petit effet. Il s'approcha de Léonin et lui indiqua l'allée centrale et un fauteuil doublé de velours vert au milieu du chœur.


Marchez dans l'allée vers ce siège et à la fin de la musique, asseyez vous.

Nufilen commença alors à avancer pour remonter la nef, suivit de Peccatore et bénissant l'assemblée au passage. Ils rejoignirent le chœur et ils restèrent devant leurs sièges jusqu'à la fin de la musique, après quoi, le prêtre roux se rendît à l'ambon et s'adressa à la foule.

Le grâce de Christos notre Seigneur, l'Amour de Dieu et la Communion d'Aristote soient toujours avec vous.
Dominus a Dextris tuis... Dieu à ta droite. Vous avez entendu comme moi le chant d'entrée mes enfants. Aujourd'hui, la FC et l'EA sont en fête, l'une comme l'autre. Léonin ici présent demande la bénédiction et la légitimé de notre Seigneur et de son Église pour gouverner. Il place Dieu à sa droite dans la dure tâche que vous, comtois, lui avez confié. C'est tout à son honneur. Et c'est dans les murs de cette cathédrale qu'aujourd'hui, Léonin renouvelle les engagements de son baptême et reçoit la bénédiction de notre Dieu. Dieu donne en abondance et ne reprend pas.


Nufilen joignit les mains et se retourna vers Léonin en lui faisant signe de se relever.

Léonin, tu as été choisi par le peuple de FC pour le gouverner et le guider. Tu es un exemple pour ton peuple et un vivant témoignage de l'Amour de Dieu et de sa Force. Léonin, dans le but de gouverner au mieux et de servir le peuple qui t'a élu, accepte-tu de prêter serment ?

_________________
Imladris
Imladris leva les yeux au ciel... Génial, se dit-il en son fort intérieur... les amabilités hypocrites commencent... Bientôt ils vont tous se s'embrasser...

Il maugréa face à la longueur de cette cérémonie. Il était venu pour faire une allégeance, pas pour voir des nobles faire les pitres...


Bon, si on pouvait un peu accélérer et sauter quelques étapes... se dit-il tout bas

Il râla... Pourquoi n'était-il pas parti quand il avait l'occasion. Là, il doit se coltiner e genre de cérémonie....

_________________
Hooks


Hooks était venu, discrètement ......... d'habitude il ne se mêlait pas aux allégeance ..... La ville allait bien , il pouvait se permettre une petite virée rapide entre deux mandats.......... Il vit Medea .......... bien pâle et bien triste .. Puis Criss ........ Il regardais a droite et a gauche .... Là Imladris , surement en train de maugréer et raler pour un oui ou un non .
Pourtant plusieurs questions venaient ........ Il espérait que le parlement en place n'allait pas se prendre la grosse tête........... Il avait jurer de mettre son épée au service de Fleur et Leo .......... Il ne s'en dédierait pas ........ Mais les gens grondaient ..... il essayais de calmer les dire ...... mais celà grondait ......

MAis il n'etait pas là pour à a cet heure ......... il venait voir cette intronisation , et voir des amis ...... plus que des Comte ou supérieurs ...... Il se mit en retrait , comme a son habitude ...... discretement dans un coin contre un pilier ........ Fausant attention au cliquetis de son armure ........................... Un jour il s'achètera des vêtements plus saillants .......... si un jour il decide de laisser son armure de "ceremonie" .

_________________
See the RP information <<   <   1, 2, 3, ..., 8, 9, 10   >   >>
Copyright © JDWorks, Corbeaunoir & Elissa Ka | Update notes | Support us | 2008 - 2024
Special thanks to our amazing translators : Dunpeal (EN, PT), Eriti (IT), Azureus (FI)