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[RP]Cérémonie d'intronisation du Franc Comte et allégeances

Flory..
Un regard inquiet en voyant la petite bete blanche dans les grosses mains velues du garde, si jamais il lui faisait le moindre mal, il aurait affaire à elle puis regarda à nouveau le franc Comte.

Qu'aristote vous protège pendant votre règne comte.

Elle tourna les talons, un signe de la tête à la gouvernante qui l'accompagnait, pour elle il était l'heure de reprendre la route vers Orléans pour les funérailles de son père Fur de Cheroy.
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Hooks
Hooks toujours dans son coin observait la scene .......... Medea , tenant a peine debout ... limite poussée par Imladris ...... tout çà pour un titre ou pour se faire mousser .......... Il se retenais dans son coin.

Puis Fleur qui intervient, se fait rappeler a l'ordre .................... C'en est trop pour lui ........ Lui qui pourtant avait grande foi en Leonin, Qui pourtant avait jurer de defendre la FC ............ Il assistait a ni plus ni moins qu'un autre etalage de titre , de gens se prenant pour plus haut qu'il ne soit ..........

Il preferais sortir ..... que de commettre une bevue pour defendre Fleur ..... Il serra les dents et son épée et quitta les lieux .......

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Zephirin
Jetant un œil à la construction en remontant un peu son ceinturon, Zéphirin s’arrêta un moment et fronça le nez, passant la main en visière pour regarder le clocher s’évitant le soleil. Réflexe d’ingénieur d’observer la construction. Le bâtiment en était un qui datait déjà de plus de 200 ans. Il y était bien une cathédrale avant, et avant, mais celle-là avait remplacé celle détruite par le feu en 1212. Travail de précision et ornement de qualité, rien à dire.
Reprenant sa canne, il se remit en direction des marches du parvis et lissa rapidement sa veste de sa main restante avant de vite la remettre au fourreau de sa rapière qui lui happait la jambe à chaque pas. D’un mouvement à trois temps, il s’exécuta à l’escalier.
Toc ! La canne. Poc! Le pied droit. Heerhop ! Hisser la jambe gauche. Ainsi s’était escaladé les 30 marches avec une pause et une légère grimace à la 14ième. C’est sur la route d’Autun qu’il avait entendu la nouvelle; Léonin serait Franc-Comte. L’ex-militaire qui avait eu peine à faire comme capitaine était maintenant à la tête du comté. Mais..ce n'était qu'un homme à l'époque. M’enfin, peut-être qu’un homme qui avait l’expérience militaire serait plus apte à comprendre l’importance d’une capitale forte dans une ensemble fort, et surtout, qui ne se laisserait pas insulter par les armées de France ou d'ailleur comme ses prédécesseurs . S' il revenait à peine en ce jour d’Octobre, c’était bien parce qu’une poignée d’hommes de la Maxima et de l'Helvétie avaient dû faire le travail de réparation que le parlement n’avait pas su faire. Mais bon, les choses avaient probablement changé.


Refermant sa large main à la poignée, le lourd sénéchal avait fait ouvrir l’immense porte de bois débouchant sur l’arrière, lui permettant de s’immiscer à l’intérieur, hochant la tête aux hommes de gardes surveillant l’entrée. Il serait certes la nomination ou l’assermentation, mais aussi, les vœux d’allégeances de toute la haute classe de Comté. Votre splendeur…je promets de manger dans votre main…et bla bla bla…et de défendre de ma lame que je ne sais pas tenir…votre personne et votre royaume...mais pas trop loin car…je pourrais me faire mal. Psfff !! Mais bon, ainsi allaient les choses. Il avait été aux services de plusieurs sans être noble et encore cette fois, il venait voir avec qui..il aurait à faire.

Relevant le pan de sa veste pour poser le pouce à son ceinturon, il avança doucement en hochant la tête légèrement à une femme rousse qui sortait. S’écartant un peu en prenant appuie sur sa canne, il reprit sa marche à son passage et s’inséra dans les derniers bancs, près de la porte.

Passant l’index au col de sa chemise, il l’étira un peu et déposa sa canne avant de se laisser doucement asseoir au banc. Jetant un œil à la rose de Saint-Jean au devant, il plissa légèrement les yeux pour tenter de reconnaître les… allégeux. Beaucoup d’inconnus depuis le temps. Remontant le regard lentement en scrutant les bancs, il souleva un peu les sourcils en apercevant de vieux fidèles à la défense des intérêts du Comté. Le compagnon Acis qui depuis la milice accumulait les années à former des militaires. Il était maintenant capitaine selon les pigeons reçu à Autun. Krane ! Bon sang…il y était toujours le compagnon de Vesoul ! L’archer et ex-capitaine Dina qui avait fière allure au bras d’un homme qu’elle avait prise pour époux. Et quoi encore ?
5 mois d’absences...il en serait certainement du nouveau ! S'y courbant un peu, l'artilleur remonta ses guêtres et redressant le dos, croisa les mains sur ses cuisses et observa la suite du déroulement.
Adrien72
Adrien revenait tous juste de son voyage en Anjou; qu'il devait déjà rejoindre les allégeances sous la demande de Melisende... Le temps de mettre la tenue officiel, de se coiffait correctement, et il se dirigea vers la cathédrale. Il courait, bousculant les villageois sans trop s'excuser. Il avait mal partout, son voyage et ses combats l'avait fortement affaiblie et en même il avait un morale plus fort qu'a son départ. Fixant la cathédrale, il resta devant en pensant a sa fille qui n'était pas si loin... "vivement que je la rejoint à Luxeuil". A peine il commençait à montait les marches qu'il vit une femme à genoux habillé en tenue de cèrémonie qui tenait son cou... elle s'ettoufait !

En s'approchant Adrien reconnu derrière le visage qui devenait violet une nobles de FC, la douairière... Fleur, il se dépêcha de la soulever, et la tête en avant, il tapa 2 fois sur le dos et tenta la technique de la virgule qu'on lui avait enseignée à l'armée, il fallait y aller doucement, la jeune dame n'etait pas forte, plutôt fragile. Adrien ne savait pas si elle allait mieux, il se demanda donc si la campagne d'Anjou était réellement terminé...

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Hooks


Hooks était sorti, l'air frais lui faisait du bien , lui remettait un peu les idées en place ......
La mairie de Poligny lui prenait du temps, la désertification de la Franche Comté l'inquiétait, il avait même penser retourner dans sa patrie , l'Artois ......... Pourtant il savait que c'était ici qu'il se sentait le mieux .
Il réfléchissait encore a ce qu'il venait de voir ....... Il fut surpris par l'arrivée d'un homme , revenant a priori d'une campagne a son allure et soes cicatrices encore fraiches ...... Il semblait fatigué mais gardait fiére allure.......
Hooks tira sa pipe , et son tabac........ decidemment il c'était remis a fumer depuis peu ...... il bourrais sa pipe ................................................

Il bondit au perron de l'eglise lorsqu'il vit l'homme a genoux tenant Fleur dans ses bras , et tentant de la faire reprendre souffle ............Il etait tellement dans ses pensées , a ruminer comme a
son habitude , qu'il n'avait pas fut qu'elle etait sortie en suffocant .......

Messire, puis je vous aider ?................... Fleur tu m'entends ?? Tu vas ??? ...........

Il etait un peu embrouillé face a la situation et l'aissait l'homme oeuvrer .....
Acis
Acis était toujours présent à la cérémonie, comme il se devait. Un à un, les nobles venaient prêter leur serment de fidélité envers la Franche-Comté, par l'intermédiaire de sa Grandeur Leonin. première fois qu'il assistait à une cérémonie, depuis son début, il l'avait fait, même prêter serment, mais on lui avait fait savoir que lui, ce n'était pas la peine. Il avait eu la honte de sa vie, mais sa Grandeur Erine avait été gentille, de ne pas l'avoir ridiculiser en public, seuls les plus proches l'avait vu ... Mais ce temps était loin maintenant, petit à petit, il apprenait les règles de la noblesse, il s'y était fait, il était noble désormais.

Cela était fastueux. Mais il avait eu vent d'une autre nouvelle, le retour des combattants de l'Anjou ... Une merveilleuse nouvelle pour ces héros de la Franche-Comté, il connaissait les noms de par les missives reçues au Château, mais pour la plupart, ne les avait pas revu depuis son long périple en Normandie, Lothilde, Spike et Zephirin, Green, Valaraukar ... Que des grands noms du Comté. Puis, il en connaissait deux plus que les autres, des anciens de la milice, ah ce temps lointain, mais la nostalgie le gagnait toujours, il se plaisait à retourner de temps à autres dans les anciens locaux.

Mais quelle fut sa surprise de revoir, là, Zephirin Blaireau, le Sénéchal comtois, assister à la cérémonie. Il semblait l'avoir vu également. Lorsqu'il croisa son regard, il ne put s'empêcher de lui sourire, lui dans son nouvel uniforme de Capitaine, lui, toujours haut de sa prestance, arborant les habits d'un héros. Il lui fit un hochement de tête, respectueux d'un très vieux ami. Ah qu'il lui plairait de lui reparler tranquillement ... Il y a des gens comme cela, à qui il plaira toujours de converser, longuement même, autour d'une bonne bière. Zephirin, Spike et Lothilde étaient de ceux-là, pour le désormais vieil Acis, appelé au sein de la caserne, le Capitaine Tyran pour sa fâcheuse tendance à vouloir envoyer tout le monde au gnouf ... Il sourit à se remémorer tout cela ... Le temps était aux retrouvailles ...

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Heloise_marie
C’est vrai qu’je suis belle. Se plaindre. Se plaindre encore et toujours, le plaisir total de pouvoir ouvrir la bouche et émettre une contradiction envers une personne. Le simple fait de décider, de voir les gens s’activer autour de soi lorsqu’on n’est pas content, pour qu’on puisse le devenir à sa guise. Soit, la jeune Sparte entrait dans la salle des allégeances en plissant le nez d’un air mécontent. Le pire était qu’ici personne ne viendrait assouvir son caprice, le service laissait toujours à désirer dans ces cérémonies pompeuses, qu’elle appréciait malgré tout.

Vêtue de vert sapin aux dorures jonquille, la petite s’avança dans la salle. Sans vraiment regarder les personnes autour d’elle. Oh, certes elle croisa fort bien le Vicomte ; le dit Vicomte dont on ne puis prononcer le nom sans se damner la langue, tout en affaire et en grande hâte. Mais que le diable l’emporte, il n’était pas assez important pour accrocher son regard. Esperance subtile de pouvoir voir sa cousine, son cher oncle, ou même, ô délice du rêve, son père, mais non.

Personne dans cette vaste pièce ne répondait aux conditions imposées pour qu’elle daigne leur adresser la parole. Et puis elle était lasse de ces manières, et ne voulait que se poser, et admirer les gens se pavaner sans rien comprendre à leur triste vie.
Soit, revenons à cette odeur désagréable. Se raclant la gorge, elle se souvint où elle avait auparavant croisé cette senteur nauséabonde. Les basses ruelles de Pontarlier, les endroits louches, où l’on rencontrait ces personnes louches nommées mendiants.

Grands Dieux non, pas ici je l’espère. Remarque qui lui avait échappé malgré elle, et oui, il arrive parfois que même les personnes les plus adeptes au perfectionnisme aient quelque fois la minuscule envie de parler seul ou de s’exprimer oralement, seul.

Soit, son regard azur fit rapidement le tour de la salle et des personnes présentes ; il y en avait d’ailleurs beaucoup qu’elle ne connaissait point, mais ne remarqua rien de suspect à la vue. Sortant tout de même un foulard parfumé, elle le porta à son nez et tenta d’échapper à l’odeur. Ses doigts blancs touchèrent alors un parchemin plié et un gros sceau dont elle se souvint qu’il pesait lourd dans sa poche. Hochement du visage puis, se rapprocher du trône pour d’un ensemble, remettre la lettre de sa mère et prêter allégeance au nom de Cartil.

Préférant se mettre totalement à l’opposé de l’endroit où se tenait Dina et le… enfin… ouais, son époux, elle se tint droite et prête à prendre place devant le Comte, qu’elle n’avait jamais vu de sa vie, une fois que la place serait libre. Observant un valet à sa droite qui se tenait coi l'air égaré, elle vint se poser devant lui et, haussant le menton et posant ses mains sur ses hanches l'observa.

Ola, vilain, réveille toi!
Haussement d'un sourcil puis sourire simple et crispé. Glissant une pièce dans la main du laquais elle montra la porte d doigt.
Va donc te poster là et dès que le Comte de Sochaux arrive, vient donc me le dire. Et hâte toi!
Chose faite, il parti et la jeune Sparte se remit droite, en attente...
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Hooks


Les minutes passaient ..................... lui paraissant des heures ......... alors qu'il etait là depuis a peine quelques seconde .... suffisamment pour voir encore du pompeux se promener en couleur vert et jaune ......... Il s'excusa auprès du messire qui s'occupait fort bien de Fleur ........

Messire je vous laisse avec Fleur .......... Jen e me suis même pas presenté ......... Pffffffff pas le temps on verra plus tard ......... je vais chercher un medicastre ........... MAis pourquoi j'ai pas continuer apres les bases pffffffffffff bon .........allez ..........

Puis il se dirigea vers l'intérieur ......... toujours aussi discret grâce a son armure d'apparat ^^......... Il aperçut Caro......... quel meilleur medicastre qu'elle ??......... il l'avait déjà appeler antan quand Fleur allait accoucher ....... Decidemment ........ pourquoi paniquait-il toujours dans ces moment là ..... Il essayait de rester le plus discret possible .... Il s'approcha de Caro........

Caro , je suis désolé de t'attrapper comme çà ...... MAis là il y a urgence .... Fleur........... Elle ......... enfin je sais pas ........ elle c'est ecroulée dehors sur le parvis ...... un messire essaye de lui insuffler de l'air ......... il lui faut vite un medicastre ....... JE previens Léo ......... enfn si il se soucie un peu de sa dulcinée ..............


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Leonin


Le malheureux incident comme il se disait en lui-même était terminé, quoique ... Pas certain.

La jeune demoiselle tourner des talons et s'en aller, il attendit patiemment que le prochain noble revienne. C'est justement à ce moment-là qu'il pensait qu'il avait mal agi. Non, pas mal agi, mais agi de manière trop brusque envers Fleur, sa compagne. D'ailleurs, quand il regarda dans l'assemblée, sa place était vide. Tout à coup un frisson lui traversa le dos. Et c'est justement à cet instant qu'il remarqua qu'il manquait aussi Caro et Hooks qui avaient quitté leur place. Décidément, il n'en loupait pas une ... Il faisait gaffe sur gaffe. Décidément son mandat commençait bien. Et évidemment, un serviteur s'approcha et lui présenta une missive. Le Franc-Comte la prit et la déplia. Il la lut discrètement et malgré lui il devint blême. Que faire ? Que répondre ?

Alors, discrètement il envoie le garde à la recherche de sa compagne avec des instructions précises qu'il lui souffla à l'oreille.

Lui, toujours debout, avec la couronne trop lourde et qui glisse, attendait qu'un nouveau noble vienne faire son allégeance. Alors, malgré le tension interne qui le travaillait, les questions qu'il se posait sur Fleur et sur ce qui lui arrivait, il regardait l'assemblée et il remarqua qu'il y avait des gens qu'il connaissait ou qu'il avait connus qui entraient notamment, Zephirin qu'il n'avait pas rencontré depuis fort longtemps.

Pendant ce temps-là, le garde avait rencontré Hooks qui lui avait dit de quoi il en retournait. Alors le brave soldat était revenu en courant vers Léonin qui avait réellement blêmi cette fois-ci. Il ne pensait plus qu'à une chose : Fleur. Mais celui-ci le rassurait. Adrien était là pour s'occuper d'elle. Donc, le Franc-Comte se sentait un peu mieux. Il donna un dernier ordre au brave garde, celui de se rendre vers Fleur et dès qu'elle se sera remise de la faire revenir à sa place et tout doucement pour que personne l'entende, qu'il lui ferait des excuses pour s'être "un peu" emporté ce que l'homme fit sur le champ.

Maintenant, Léonin, un peu rassuré mais pas beaucoup, attendait qu'un autre noble vienne lui prêter allégeance.

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Léonin de Monmouth, Vicomte de Sellières et de Doubs
Caro
L'air pur ferait du bien à la jeune femme, d'ailleurs à moi aussi. Car si je ne m'étais pas retenue je crois bien que j'aurai dit mes quatre vérités à Leonin et ce devant tout le monde....

Alors que nous étions à peine au dehors, voici que la jeune femme voulait me faire faux-bonds. Je me mettais à courir légèrement pour la rattraper.


Demoiselle ... où allez-vous comme cela ? ...

Hors de question que dans son état elle file. J'allais lui demander de me suivre afin que je puisse l'ausculter au moment où Hooks arrivait en courant. A ses mots je regardais la jeune femme en lui demandant de rester dans le coin qu'il fallait que je l'examine, que j'étais désolée mais que je me devais d'aller voir pour Fleur.

Ni d'une ni de deux, je me mettais à courir. Superbe idée quand même que de ne pas avoir revêtue de robe et d'avoir gardé mes sempiternelles braies et cuissardes.

Sans me retourner je répondais à Hooks


Oui va le prévenir, c'est de sa faute tout ça...... je m'occupe de Fleur.....

En passant près de la fontaine non loin, j'ôtais le foulard que j'avais autour du cou pour aller le passer sous l'eau et de monter les marches par deux pour très vite voir mon amie couchée par terre, un homme à costé d'elle....

Messire, je suis médicastre et amie de Fleur..... je prends le relais et merci pour ce que vous avez déjà fait pour elle.

Je m'agenouillais à ses costés, sentant son pouls et sa respiration.... le tour avait été très vite fait. L'émotion lui avait causé un malaise, et dans ce cas premier essai pour la ramener à elle en lui tapotant les joues

Fleur.... ouhouhhhh Fleur, reviens parmi nous.... allez Fleur....

Je la prenais dans mes bras et lui passais à présent le foulard mouillé et froid sur le visage.....
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[en cours de modification]
Baronne douairière d'Autry
Dame de Toulouse-le-Château
Heloise_marie
Retenant un instant sa respiration et sans du tout se soucier de ce qui l’entourait a part si l’entrée fracassante du comte de Sochaux ne lui parvenait aux oreilles, la jeune Sparte aperçut qu’enfin l’allée vers le trône était libre de toute personne couronnée ou non.

Parce qu’apparemment aujourd’hui c’était toute la société de la Franche Comté qui était venue profiter du buffet et d’un coin chaud où poser son céans durant au moins quelques heures. Confortable bonheur que pour ces personnes. Sortant la lettre de sa poche, la jeune fille fit quelques pas en direction du trône où se trouvait le Franc Comte.

Flute flute… Comment il s’appelait encore ? Elle n’en avait plus la moindre idée. L’avait-elle sut déjà ? Ah oui, on le lui avait dit et en plus elle se devait de connaitre le conseil sur le bout des doigts. Mais diantre, que ce nom lui échappait. Espérant qu’elle ne se trouve pas dans la délicate situation, du je dois dire un nom mais je ne sais plus du tout comment il se prononce ni même de quelles lettres il est formé, la jeune Sparte se décoiffa, c’est tout de même la moindre des choses, et plia le genou devant l’homme inconnu.

Son Franc Comte. Une main tenant son chapeau, l’autre déposa le courrier de sa mère devant le Franc Comte.
De sa voix mélodieuse, car oui elle l’était et de ses yeux azur, Héloise leva le menton et sourit.


Cher… cher Franc Comte. Je me présente devant vous au nom de Cartil de Margny Riddermark, je suis moi-même sa vassale, Héloise Marie De Sparte.
Raclement imperceptible de la gorge puis, se souvenir des paroles pour ne point refaire la même scène qu’avec Goclad.
Nous, Cartil De Margny Riddermark, en la voix et la présence d’Héloise Marie De Sparte, nous prêtons allégeance au nouveau Franc Comte pour notre baronnie d’Arbois. Nous lui jurons fidélité, obéissance et … et respect. Nous jurons que si un conflit vous opposait à un tiers nous prendrons partis pou votre cause. C’en était tout, tant de mots pour finalement ne rien dire de bien particulier. La jeune fille se redressa et salua son Franc Comte avec respect, du moins une courbette qui se voulait respectueuse mais elle ne savait pas très bien ce qu’elle donnait finalement puis attendis la réponse.


Citation:
A Leonin Monmouth, Franc-Comte.

Salutations.

Nous, Erine von Riddermark, épouse de Sparte, Comtesse de Salins-les-Bains, Vicomtesse de Saulx, Baronne de Valdoie, Dame de Mélisey, de Menotey et de Montcourt,

Vous reconnaissons, par la présente, pour suzerain de nos terres franc-comtoises et de ce faict, nous renouvelons nostre allégeance, au nom de nostre Vicomté de Saulx et au nom de nostre Seigneurie de Mélisey, envers l'Empereur, la Franche-Comté, son peuple, son parlement et son Franc-Comte légitimement élu.

Nous vous jurons respect (obsequium), aide (auxilium) et conseil (consilium) sur nostre vie et nostre foy.

Nous faisons savoir que si un conflit venait vous opposer vous, Comte Leonin, nostre suzerain, à un tiers, nous jurons que nous prendrions cause pour vous, et pour nul autre.

Qu'il soit su.

Faict à Salins-les-Bains, le 26 octobre de l'an de grace 1458

Erine von Riddermark-de Sparte
Comtesse de Salins-les-Bains
Vicomtesse de Saulx
Baronne de Valdoie
Dame de Mélisey, de Menotey et de Montcourt

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Leif_
Il paraitrait que dans le plus grand des hasards anodin qu’un Léonin avait été élu Franc Comte, par quel magie ou par quel sortilège un tel événement dérisoire était possible ? Léonin était bête, un Franc Comte normalement c’est un tant soit peu intelligent comme son frère Goclad ou bien entendu ça belle sœur Erine … Tous n’avais pas les mêmes valeurs …

Leif von Dumb de Sparte, avait reçu une lettre d’un Erwin qui demandait à La Grandeur suprême qu’est Leif de venir prêter allégeance à un Franc Comte qui mange des fraises, bon c’est vrai qu’il aurait pu envoyer une lettre, écrit par des serviteurs, mais non ce n’était pas digne d’un Comte. Sochaux aurait tout aussi bien pu envoyer ses vassaux, mais cela impliquait de les faires souffrir de voir un Franc Comte pareil … Donc en Suzerain courageux, il allait lui-même accomplir un tel fardeau.

C’était donc un Comte de Sochaux dans son gigantesque carrosse qui était en route pour la cérémonie d’allégeance, il avait emmené musiciens, danseuses, acrobates, cuisiniers et même des bouffons bien que le Franc Comte était un bouffon à lui tout seul dans la cérémonie, le Sochalien lui avait ramené avec gentillesse et respect, des confrères à lui.

Donc un gigantesque carrosse arriva aux portes de la cérémonie, des portes drapeaux qui portaient fièrement les drapeaux de Sochaux et de sa famille étaient autour du carrosse. Le Comte sortie enfin de son carrosse porter par une chaise à porteur avec six serviteurs bien musclé qui portait fièrement leur maitre, les musiciens annonça la venu de Sochaux musique triomphale et glorieuse avec des portes voix au coté de la chaise à porteur …


VLAN !

La cérémonie accueillait à présent le Comte de Sochaux …

Une porte voix prit la parole, pendant que la chaise à porteur s’avança dans la salle doucement pour que tous admire le Comte.


- Sa Grandeur, Leif von Dumb de Sparte, Comte de Sochaux, Vicomte de Rochefort sur nenon, Baron de Mouthe, fils du sixième Franc Comte régnant pour la Franche Comté et vassal fidèle de l’Empire et de l’Empereur ! Arrive !


Sa Grandeur qui sirotait le vin de Sochaux sur sa chaise qui était composé de doux tissu, regarda la cérémonie et la salle avec un regard désapprobateur. La noblesse avait été souillée par un tel spectacle, médiocre. L’odeur des gueux était empressant dans la dites salle et qu’un Franc Comte supportait cela n’était en tout point qu'un irrespect total de la glorieuse noblesse … Le Comte regarda un Franc Comte assit, avec une couronne qui lui n’allait pas, un rôle qui lui n’allait pas, tout n’allait pas dans cette cérémonie même les nobles qui se trouvait dans la salle sonnait faux …

- Serviteurs qui me porte, portez moi et posez moi au coté du frel … Franc Comte Léonin c’est la seul place convenable dans une pièce aussi odorante de gueux … Et faite parvenir à mes serviteurs de parfumé un peu la salle, je ne voudrais point attraper une maladie quelconque !

Les serviteurs exécuta les ordres, le Comte n’était pas le chef de salle ici même, mais il n’allait pas tout de même subir l’odeur et approuver des gueux dans une salle ou généralement seul les nobles était accepté, les gueux c’est dehors, très loin dehors, très très très loin dehors …
Après un dur combat acharné d’évitement de gueux, la chaise à porteur qui portait son illustre Comte de Sochaux prit enfin place au coté du soit disant Franc Comte, Leonin Monmouth on l’appelait … Leonin Monmouton était plus véridique et avait plus de sens.

Sochaux prit la parole en respirant par la bouche.


- Mon ami Leonin ! Félicitation pour avoir accéder au poste de Franc Comte, j’en suis ému. Une phrase remplie de mensonge et d’imposture.

- J’ai amené avec moi pour vous distraire, votre Grandeur, des bouffons pour vous amuser un peu, je suis sur que c’est un stress quotidien d’être dans cette salle …

Mensonge et mensonge ! Tout en mentant sans gêne et en fessant feinte d’approuver le choix du peuple, il sirotait son vin tranquillement, assis au coté du Franc Comte régnant.
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Hooks


Hooks avait rencontrer le garde envoyer par le franc comte........ Il aurait preferé allez lui donner les nouvelles de lui même , mais pourtant il compris la situation ....... il expliqua brievement au garde de quoi il retournait ....

Par contre il comprennait aussi pour quoi d'habitude de telles simagrées etaient privées ......... voir la poupée en jaune et vert avec son mouchoir a la main l'aurait fait rire si la situation avait été autre ........ puis une chaise a proteur................... 6 hommes pour une pauvre chaises, l'homme dedans devait etre d'un poids enorme qu'il ne lui faille autant de porteurs .......... mais si il etait incapable de marcher ceci expliquait celà............ voyant ces ridicules nobliaux se pavaner dans moulte parfums s'entremelant et formant un nuage digne des pire ecuries par le melange ......... il prefera retourner auprés de Caro et Fleur ............. là on respirait au moins .

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Adrien72
Adrien, laissa Fleur à la dame en espérant qu'il faisait le bon choix, ensuite il entra dans la cathédrale puis il fixa le monde qu'il lui donnait envies de fuir, enfin il affronta la dure réalité et se dirigea vers le bureau adjacent au trone. Il arriva sur son bureau et il sortit c'est affaire, il salue la maréchal et lui demanda où elle en était pour mettre le tous au point. Il entendit un bruit et leva le sourcil devant la discrétion de Leif, il souffla un coup et se dit que se soir tous serait fini.
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Debenja
Allégeance, quoi déjà. Et le comte posa le courrier de son filleul sur le bureau de Villers. En voyant l'auteur de la lettre, Debenja pensa qu'il allait enfin présenter ses excuses à la petite mais non même pas. Soit ... il fait y aller. Pas le choix ... vivement que se bon vieux Dwiral sorte de son monastère ou il ne fait que boire à toute heure de la journée et de la nuit ...

Tagada Tagada Tagada, le comte pris donc la route pour Dole.

Quelques Tagada plus tard, environs euh beaucoup de tagada. Car en fait un tagada n'est pas mesurable car il y a les taga da il y a les ta gada et il y a aussi les ta ga da. Et un tagada est différent d'un autre tagada.

Le Comte arriva à Dole donc quelques tagada plus tard. Il pris la peine de s'arrêter par sa taverne avant de se rendre à la cérémonie. Il fit le plain de délicieuses liqueurs ambrées à boire, et même quelques blondes. Il se souvenait de la dernière cérémonie, avec Goclad sur le trône. Que c'était infect ce qu'il proposait à boire !!

Hop, direction le bis ... la salle de cérémonie. Tout le gratin était déjà la bien entendu. Bah tiens, en retard comme d'habitude pour le Comte de Villers Buzon. Le jour Deb sera à l'heure il n'est pas encore arriver.

Il remarqua que la douce Héloïse était occupé à prester allégeance pour son cousin et sa soeur. Tiens étonnant qu'elle ne soit pas là. Hum qu'est-ce qu'elle mijote encore la soeurette ? Il ne tarderait pas à aller la voir ... si elle veut bien encore le voir. Le Comte sourit lorsque la petite se releva. Enfin petite, elle n'était plus si petite que ça et il ne fallait surtout pas le dire devant elle sinon, c'était la crise assurée, et avec cela, la défaite aussi ... elle gagnait toujours ... et oui bien la fille de sa mère !

Et puis VLAN! Ah bah tiens, il y avait longtemps. En voilà un autre de petit ... ca c'est ce qu'on peut appeler une entrée que l'on remarque ... mais bon on ne peut le lui reprocher, il apporte un peu d'amusement à cette cérémonie sérieuse ...

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