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[RP]Cérémonie d'intronisation du Franc Comte et allégeances

Criss
Criss était en train d'attendre de pouvoir aller prêter allégeance au nom de son cousin et surtout suzerain...Le temps passait vraiment lentement...Et que dire du cirque de certain nobles...à ce demander ou était passer la bonne éducation!

Enfin bon...Elle avait fait prévenir le Franc-Comte par un de ces gardes...Qu'il lui suffisait de l'appeler quand elle pourra faire son devoir de vassale.

Le Franc-Comte l'appela enfin!Elle s'avança quand elle arriva devant son beau-frère...ben oui...Le nouveau Franc-Comte était le frère de son mari...Enfin bon Elle posa un genou à terre et commença l'allégeance.

Votre Grandeur,
Me voici devant vous pour représenter mon cousin et suzerain qui est souffrant!

- Nous, Criss de Valfrey, vassale de sa Grandeur Fccasper de Valfrey, Comte de Saint Amour ,Baron de Champagney, prêtons allégeances en son nom au Parlement de Franche-Comté et à son peuple. Nous jurons fidélité, conseil, aide et service armé.

Attendit de voir ce que son beau-frère allait lui répondre.
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Zephirin
L’artilleur fronça légèrement le nez en écoutant la gamine lui répondre. Bien sûr elle n’y était pour rien, il le savait. Cependant, il devait savoir. Il souleva un sourcil et laissa entrevoir un léger haussement de commissure à sa phrase le défiant. Et ben ! Elle avait le culot de son père la blondinette et l’insouciance de sa mère. Contrant sans trop de résistance son mouvement de bras qui cherchait à l’éloigner. Étirant le bras gauche en ouvrant la main, il la déposa au mur, à plat, frôlant l’oreille de la Sparte et la fixa en serrant un peu la mâchoire. Elle voulait taire à ses parents… voila une offre qui prêtait a réflexion. Mais pas cette fois. Si les Français avaient foulé le sol Comtois pour attaquer Genève, c’était en partie à cause de son père. Si lui, le Blaireau, s’était pris un carreau dans le bras à Pontarlier en tentant de le coincé, c’était en partie grâce à père. Si lui, le sénéchal, et des Comtois s’étaient pris la première armée Mannoise en pleine gueule au sortir de Touraine en allant venger le pillage de Dole, c’était en partie grâce à sa mère.
Si lui, l'artilleur et la Maxima ont dû faire ce boulot sans la reconnaissance du parlement, c’était aussi grâce à sa bonne mère. Alors, pourquoi ses parents n’étaient pas la…pour prêter eux même allégeance et offrir leurs lames au service du Franc-Comte ? La question méritait d’être posée, au bout de son nez. C'était pas compliqué ça..pour une enfant.


Et ils sont oû…vos parents ? Hein ? En train de marchander je ne sais quoi de Franche-Comté en échange d'une prochaine demeure en Savoie ?
Imladris
Imladris était revenu sur le chemin du retour vers Voiteur... Il était pensif... Son attitude n'avait pas été des plus correctes. Certes, il était de mauvaise humeur. Certes, cette cérémonie l'agaçait au plus haut point mais devait-il être ignoble avec une personne qui ne lui avait rien fait...

Il fit arrêter sa petite troupe et chercha de quoi écrire.

Il écrivit une missive à l'attention d'une personne. Il s'en foutait des autres... Il connaissait déjà leur "avis"...


Citation:

A vous, dame Medea, Dame de Villers-la-Combe
De Nous, Imladris Van Ansel, Vicomte de Voiteur, Seigneur de Charency

Ma Dame,
Je tiens à vous faire part de mes excuses les plus sincères et profondes face à mon attitude égoïste et fort peu galante à votre encontre lors de la cérémonie d'allégeance.

Ma colère et ma mauvaise humeur a pris le dessus au cours de la cérémonie et vous avez payé pour d'autres. Mon comportement a été inadmissible et je tiens à vous demander pardon même si le mal est fait.

Je suis donc votre obligé.

Soignez-vous bien.

Cordialement
Imladris Van Ansel
Vicomte de Voiteur
Seigneur de Charency



Imladris scella le pli et le tendit à un de ses hommes. Il lui dit :

Remets ce pli à dame Médéa de Villers-la-Combe puis rejoins-moi à Voiteur

Imladris remonta sur son cheval et repris la route vers Voiteur



NDLR : Courrier envoyé également IG

Rappel : les courriers RP ne sont utilisables par d'autres qu'avec l'accord de l'auteur

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Leif_
Faut qu’il arrête le chanvre le Leonin Monmouton parce qu’on ne dirait pas comme ça, mais cela pouvait expliquer sa laideur et son intelligence très très profond ...

Le Comte de Sochaux se leva donc en soupirant, le faire lever était déjà d’un affront en soit et qu’en plus il devait brûler sa chemise à son retour au domaine tout cela à cause d'un Franc Comte en manque d'amour alors en plus osé le déplacer ... La noblesse n’était plus respecté et l’Empereur devait bien en rire ou en pleurer …


- Oh mon ami la couronne de Franc Comte te fait perdre la tête, TU devras certainement prendre du repos dans 30 jours … dit Sochaux en accentuant bien le "Tu".

L’actuel Franc Comte qui est actuellement en poste a surement usé le passe droit en forniquant les gueux et les hommes d’église, cela expliquait le pourquoi des gueux dans cette dites salle et son attachement pour les hommes d’église, aimé les hommes est un point, mais le revendiquer est un autre. Enfin ça le regarde et chacun ses plaisir personnelle, hein.

L’illustre Comte de Sochaux qui fit honneur de sa présence dans la cathédrale, s’ennuyait à en mourir. Un Franc Comte se doit de divertir ses pairs et ses nouveaux « futur » confrères nobles au lieu de les mélanger avec de la gueusaille sans vergogne apparent. Donc, l’illustre prit place autre part que la chaise qu’il avais déjà élu sa propriété et pris une nouvelle place non loin du Franc Comte, en prenant le soin bien avant de se curer le nez et de le balancer discrètement sur la tête du Monmouton , discret hein !

Donc pour passé le temps comme on peut, Leif, pris un parchemin et écrit les désastres d’un Franc Comte, une cérémonie ennuyeuse, un règne ennuyeux, des nobles souiller et des gueux honorer … Tout en baillant à s’en décrocher la mâchoire.


- Vivement que c’est fini …
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Medea7
Medea était donc retourné, comme un pantin dans la cathédrale... ne pourrait-elle pas... être tranquille un moment ! Elle en avait assez de ce monde... assez des vivants... assez de cette foule de noble qui s'agitait comme des pendules et qui se pavanait... elle retroussa son nez... les parfums empestaient. La Dame de Villers-La-Combe se sentait encore plus mal qu'avant. Elle regarda d'un oeil résigné la cérémonie se dérouler... Lorsqu'elle vit un homme aux armes de Voiteur. Elle se demanda ce qui allait encore lui tomber dessus... ne pouvait on pas laisser une veuve en paix? Elle vit la missive tendue par le messire. Le sceau du Vicomte y était aposée, d'un signe courtois elle demanda à l'homme d'attendre un instant. Elle décacheta la missive et fut positivement surprise. Elle demanda l'aide du Messire pour sortir de la cathédrale discretement, contre une choppe en taverne.
Merci de cette missive mon brave... voulez vous bien me suivre en taverne? Que je puisse répondre à votre maitre... je vous paierais pitance et boisson pour l'attente.
Et ce fut fait.

Les voilà dans la plus proche taverne, Medea sortant de sa besace plume et velin... mais comment devait-on écrire à un Vicomte... elle avait peur de le froisser encore une fois. C'est la plume hésitante d'un poignet faible et peu sur qui gratta contre la peau... Elle devrait lui demander des cours de Haute Noblesse... plutôt que cette simplette réponse.



Citation:
A vous, Imladris Van Ansel, Vicomte de Voiteur, Seigneur de Charency,
De moi, Medea, Dame de Villers-La-Combe.

Monsieur le Vicomte,

Je tiens à vous tenir informer de la bonne reception de votre missive. J'avoue qu'elle m'a surprise, agréablement. Je note vos excuses. Et je vous présente les miennes pour avoir outrepassé les régles, qui me sont inconnues, de notre monde de noble. Je ne savais point qu'il y avait un ordre de passage à respecter. Croyez bien que ceci ne se reproduira plus.

Esperant donc par ces échanges de missives l'incident clos,
J'espere un jour vous croiser dans la boue roturiére des tavernes pour échanger des mots plus agrèables et plus festifs que ceux échanger sous l'oeil d'Aristote autour d'un bon verre.

Les plaies de coeur sont dures à soigner, mais je travaille pour cicatriser.

Cordialement,
Medea
Dame de Villers-La-Combe.


Elle attrapa un cierge qui brulait dans le coin de la taverne, cacheta la missive et la tendit à l'homme du Vicomte.

Merci de votre attente mon brave. Vueillez rapporter réponse à votre Maitre, avec ma plus sincére sympathie.

Elle lui donna quelques écus et resta assise là seule un moment avant de repartir pour Poligny... elle avait finalement réussi à fausser compagnie à ses amies.
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Leonin
Léonin s'était enfin débarrassé de Leif. Il préféra ne plus répondre ça ne valait plus la peine. Maintenant, c'était Criss qui avait fait son allégeance, au nom de Fccasper. Quelqu'un que le Franc-Comte appréciait un peu pour l'avoir rencontré seulement quelque fois. Alors, tout sourire, il répondit.

Dame Criss de Valfrey, Vassale de Sa Grandeur Fccasper de Valfrey, Comte de Saint Amour ,Baron de Champagney, prêtant allégeance en son nom pour la Baronnie de Champagney, je vous assure protection, justice et subsistance pour vos personnes, votre famille et vos sujets.

Que le Très Haut vous protège vous et les vôtres.

Vous pouvez vous relever.


Une nouvelle allégeance avait été faite. Il attendit la suivante.
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Léonin de Monmouth, Vicomte de Sellières et de Doubs
Criss
Criss écoutent la réponse du Franc-Comte elle lui sourit et ce releva.


Un grand merci votre Grandeur...Je ferais part de vos paroles à mon Cousin et Suzerain...Et je suis certaine qu'il en sera ravi.
Je vais prendre congé en vous remerciant encore.


Criss prit congé et laissa la place pour le ou la prochaine noble.
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Katarina
Katarina avait vu le cirque fait par son mari et soupira. A toujours vouloir attirer l'attention sur lui .. il en devenait ... lassant ... Une fois que Criss se fut relevée, et après avoir vérifié que personne ne s'avancait, Katarina s'avança.

Elle s'agenouilla et fit allégeance.


Nous, Katarina de Sparte Von Dumb, Comtesse de Sochaux, Vicomtesse de Rochefort sur Nenon, Baronne de Mouthe, prêtons allégeances pour notre Vicomté au Parlement de Franche-Comté et à son peuple. Nous jurons fidélité, conseil, aide et service armé.

Elle resta ainsi quelques temps.
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Fleur


Fleur sentait que le moment était venu pour elle d'aller prêter allégeance. Elle attendit que Criss soit libérée et attendit un peu pour voir si d'autres nobles s'avançaient. Elle n'eut en fait pas le temps de se lever de sa chaise que la charmante Katarina s'agenouilla et prêta serment. Fleur eut un sourire et observa la jeune femme. Elle se demandait parfois comment une aussi charmante jeune femme comme elle pouvait avoir épousé un homme comme le Comte de Sochaux... Le cœur a ses raisons que la raison ignore, alors bon à quoi bon chercher à comprendre. D'ailleurs, n'était-elle pas elle-même très éprise d'un Franc-Comte qui l'avait bien rabrouée en public? À cette pensée, elle eut un frisson... qu'allait-il se passer une fois devant lui? Saurait-elle faire son allégeance correctement ou perdrait-elle tous ses moyens devant l'homme qu'elle aimait? La nervosité grandissait en elle de plus en plus. À tel point qu'elle décida que la prochaine à prêter allégeance ce serait elle. Plus vite ce serait fait mieux elle se porterait.

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En reconstruction...
Fleur de Monmouth
Baronne douairière de Quingey
Dame de Villers-Farlay
Madalen
Toujours en retrait observant, écoutant les uns et les autres Madalen vit Fleur prête à se diriger vers le Franc Comte et attendit son tour en tant que vassale de Sacrai d'Eirbal

La cérémonie la blasait il semblait que cela tournait au règlement de compte et quelque part cela en devenait agaçant vite que tout ceci se termine

La jeune femme avait appris à connaitre le Franc Comte, Fleur et quelques personnes qui travaillaient avec elle au Parlement peu à peu ses idées se forgeaient, son tempérament fougueux s'apaisait laissant la réflexion prendre le dessus oui elle savait maintenant où elle se dirigerait dans les mois à venir et surtout en qui elle pouvait placer sa confiance

Mada s'approcha discrètement espérant que son tour arriverait rapidement

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Hooks
Hooks regarda Medéa partir en lui faisant un petit sourire.......... elle avait pus se soustraire a cette torture ......... que n'aurait 'il donner pour pouvoir la suivre ......... pouvoir fuir cet immonde ramassis de nobliaux plus nefastes les uns que les autres.............. Il se dit en voyant Criss qu'il avait trop abandonné Poligny ces temps ci pour essayer de raisonner des murs.......... Ancienne Franche Comté, vieux et gras franc Comte en chaise a porteurs, petite noble pleurnicharde aux mouchoirs embaumés.......... Parfumeurs qui feraient mieux de laver la crasse de leurs propres maitres ........
Il avait ateint le point de non retour ............ soit un depart pour lui ........... comme celà tous ce petit monde serait heureux .......... soit le moment de redevenir lui même ............... Mais là il y aurait a craindre ...... Hooks serrait les dents ............ serrait ce qu'il pouvait pour ne pas encore plus deranger cette cérémonie ....

Pourtant il savait que Fleur et Léo faisaient ce qu'ils pouvaient ....... il sourit a Fleur qui s'approchait du Franc Comte ......

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Leonin


Le Franc-Comte était toujours debout. Malgré qu'il ait fait partie de l'armée, il commençait à avoir mal aux pieds à rester debout. Il est vrai que ça faisait pas mal de temps qu'il l'avait quittée et il avait largement perdu l'habitude qu'on leur apprenait de rester des heures quel que soit le temps qu'il faisait debout et au garde à vous. Il était en train de se dire que certaines personnes ici devraient suivre cet entraînement, pensant que ça pourrait leur faire les pieds. Pieds qui faisaient bien mal à Léonin.

Criss venait de quitter la place des allégeances et de reprendre son siège. C'était le tour de Katarina. Il avait remarqué que Fleur voulait passer. Ce serait pour plus tard. Katarina, une amie de longue date. Il l'avait connue alors qu'il venait tout juste d'arriver à Dole. C'était il y a bien longtemps. D'ailleurs il se demandait bien pourquoi ...

Il sourit et écouta avec attention l'allégeance et il lui répondit :


Dame Katarina de Sparte Von Dumb, Comtesse de Sochaux, Vicomtesse de Rochefort sur Nenon, Baronne de Mouthe, prêtant allégeance pour votre Vicomté, je vous assure protection, justice et subsistance pour vos personnes, votre famille et vos sujets.

Que le Très Haut vous protège vous et les vôtres.

Vous pouvez vous relever.


Il lui fit un signe de la tête avec un grand sourire et il attendit patiemment que la personne suivante s'approche.

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Léonin de Monmouth, Vicomte de Sellières et de Doubs
Fleur


Fleur prit son courage à deux mains, une fois que Katarina eut pris congé du Franc-Comte, elle s'avança, déterminée à en finir avec son allégeance. Elle s'avança lentement mais sûrement, encore sous l'effet de son malaise de tantôt. Ses mains tremblotaient un peu, tant sa nervosité prenait le pas sur son calme légendaire. Arrivée face au Franc-Comte, elle se défila à son regard, se plia en une révérence qu'elle voulait impeccable et ouvrir la bouche mais les mots avaient dû mal à sortir, et c'est toute bégayante qu'elle s'adressa à son bien aimé.

Mon... bien... aimé...

Elle rougit tant qu'elle en était encore plus confuse.

heu...non....Votre....Gran....deur... per....mettez-moi.... de...vous...prê...ter...allé...geance...pour...la.. Baronnie... de...Quingey. Je..


Fleur se tut, le Franc-Comte lui coupant la parole, elle leva les yeux sur lui, le suppliant du regard de ne pas encore une fois la rabrouer en public, elle ne le supporterai point.

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En reconstruction...
Fleur de Monmouth
Baronne douairière de Quingey
Dame de Villers-Farlay
Hooks


Hooks vit Fleur se diriger pour preter allégeance......... Elle bafouillait , se n'etait pas dans les habitude de son amie ......... elle si forte , elle si prompte a toujours allez de l'avant ........... Leo se le va et la regarda ....... C'en etait trop pour Hooks ......... IL avait pourtant une grande foi envers l'homme ....... car il le connaissait plus en temps que Leo que en temps que Franc Comte ........ il attendit pourtant ce qui allait ce passer......... et peu importe si la suite l'emmenrais vers une certaine anarchie ... il serait pres plus que de subir un joug longtemps mené ici ......

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Leonin


Léonin pensait. En fait il ne pouvait faire que ça pour le moment vu que la cérémonie n'avançait pas, ou si lentement. Il commençait à s'ennuyer et il se disait qu'il serait temps qu'elle se termine. Finalement, lui si patient, il commençait à en avoir marre. Quand tout à coup ce fut sa bien aimée qui se présenta. Il espérait ne pas trop l'avoir secouée tout à l'heure avec sa petite gueulante. Mais il en doutait fort, il la connaissait que trop bien. Et bien évidemment cette pensée fut confirmée. Elle bégayait. Il se dit que décidément il avait dû la choquer plus que de mesure et il se reprit. Il ne voulait pas qu'elle continue ainsi et qu'elle se rende encore plus ridicule. Alors il la coupa dans son élan.

Fleur, ma chérie. Excuse-moi pour tout à l'heure. Je sais que j'ai été un trop dur avec toi et avec Médéa. Alors, j'espère que tu m'excusera.

Il disait ça en faisant un grand sourire pour la convaincre. Il était très sincère et voulait qu'elle reprenne son allégeance sans bégayer et comme il le fallait. Alors il lui donna un peu de courage.

Ma chérie, je te laisse recommencer ton allégeance ... Excuse-moi encore.

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Léonin de Monmouth, Vicomte de Sellières et de Doubs
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