Afficher le menu
Information and comments (1)
<<   <   1, 2, 3, ..., 7, 8, 9, 10   >   >>

[RP]Cérémonie d'intronisation du Franc Comte et allégeances

Criss
Criss regardait le manège de la Baronne...Ben voyons...Décidément la Franche-Comté était aller bien bas!

Et Maintenant un Franc-Comte faisait ces excuses en public...Sa sera quoi la prochaine fois?Du grand n'importe quoi ces allégeances!Heureusement qu'elle avait prêter allégeance car elle ne saurait sûrement pas aller après cette scène.

Criss n'en revenait pas du bordel que Fleur faisait pour une mise au point...certes non justifier...mais bon aller elle nous ferait quoi la prochaine fois...L'imitation de sa mise à mort...juste pour avoir l'attention de tous? Enfin bon...Décidément son avis ce confortait.

Elle ce dit que même son fils Noa qui avait pourtant beaucoup d'imagination n'arrivait pas à la cheville de Fleur et de son mélo drame

_________________
Fleur


Fleur eut du mal à comprendre le sens des paroles du Franc-Comte et pourtant, il s'excusait bel et bien auprès d'elle... Elle releva la tête un instant et lorsqu'elle vit son sourire avenant et sincère, un énorme poids s'envola. Pour certains de l'assemblée, cela ressemblerait à un manège où elle tenait à être le centre d'attention et pourtant, sa seule envie était de se terrer dans une souricière et de disparaître pour toujours à l'insu de tous. Elle savait que des personnes seraient choquées par les excuses publiques du franc-comte envers elle, après tout, elle avait beau être sa compagne, il n'avait point à s'excuser. Les critiques et attaques allaient certainement fusées. Elle avait eu un petit aperçu quand elle s'était fait dire qu'elle ne pensait qu'à elle... si c'était vraiment le cas, elle aurait démissionné depuis belles lurettes et laisserait les gens critiquer à tout va le Parlement actuel, alors que CHACUN s'efforçait de faire tourner ce Comté malgré tout. Peu importe, les premiers à le faire pensaient tout savoir et pourtant ils étaient loin de tout savoir. Bref, il était temps de porter allégeance et de cesser de penser.

Votre Grandeur, vous êtes trop bon et magnanime envers une de vos vassales qui n'aurait jamais dû prendre la parole sans y avoir été invitée. De ce fait, Moi, Fleur, au nom de mon fils Robin, héritier de la Baronnie de Quingey, je vous prête allégeance ainsi qu'au Parlement et le peuple comtois. Je m'engage à servir fidèlement et loyalement notre Comté en vous offrant mes conseils, mon aide et mon bras armé en tout temps, tant qu'un souffle de vie m'animera.

_________________
En reconstruction...
Fleur de Monmouth
Baronne douairière de Quingey
Dame de Villers-Farlay
Nufilen
La cérémonie se poursuivait tranquillement mis à part un rustre de plus qui prenait le Bon Dieu pour son laquait, ce n'est quand même pas compliqué ! Dans une cathédrale, personne n'est plus important que le maître des lieux : le Seigneur. Nufilen était tombé à la renverse quand on l'avait bousculé pour prendre sa place, place qu'il avait reprise, à côté de Léonin. Il gardait néanmoins le sourire, si tous les sots devaient aller sur la lune, Dieu devrais sans doute engager un architecte et un paquet d'ouvriers pour faire agrandir le domaine. Il s'était contenté de tendre son anneau vers l'opportun et un fois l'incident passer, de poser sa main sur l'épaule du comte et de lui sourir pour lui signifier que tout cela n'était rien.
_________________
Heloise_marie
Secouant sa tête blonde de gauche à droite, la jeune fille haussa les sourcils et regarda l’ignoble personne face à elle avec un visage dégouté. Alors c’était donc ça, ses parents. Au final, ce n’était que ce qui l’intéressait chez elle. Comme si elle jouait un rôle dans la vie d’Erine et De Bobyzz autre que la fille modèle et aimée de toute la famille. Cette image de perfection et hautaine qu’elle se donnait alors depuis le début de la cérémonie et chaque fois qu’elle était conviée à des soirées ou des événements en tout genre pris un dessous considérable, et la jeune Sparte fut même un moment tentée de lui donner un bon coup de genoux pour ensuite prendre ses jambes à son cou.

Mais dans l’insouciance de la jeunesse et dans la faiblesse de la féminité qu’elle possédait, elle se savait dans l’incapacité totale, outre par ses paroles, d’échapper au monstre.


Sachez... pauvre fou...que mes parents font ce qu’ils veulent de leur vie et que c’est point à vous que je dirais ce qu’ils ont comme projet de faire. Surtout dans ces... conditions ignobles que vous m'imposez

Glissant ses mains contre le mur froid qui lui servait de glaçon dans son dos, elle serra la mâchoire et le défia du regard, une lueur mauvaise au fond des yeux même si elle devait retenir les sanglots qui commençaient à s’annoncer en suivant les battements de son coeur. Après tout, une fois encore, on la méprisait rien qu'à cause de son nom et non pour sa personne. Reprenant un peu de confiance en elle et d’espoir, car, pour le moment, il ne lui avait fait aucun mal si ce n’est celui de l’importuner et de lui imposer sa présence, Héloise laissa glisser ses yeux azur sur le gros homme, soit il avait peur des représailles, soit il n'osait pas s'en prendre à une gamine, soit il était couard tout court et il faudrait jouer la dessus.
Je vous ordonne de me laisser partir. Je ne vous dirais rien, rien du tout et vous ne pouvez rien contre moi. A nouveau elle baissa les yeux maudissant son insouciance et d’avoir laissé les gardes qui devaient normalement sur ordre de ses parents, l’accompagner partout, dehors de la cathédrale. Elle aurait pu négocier son laisser passé pour la sortie moyennant quelques informations, mais elle répugnait à trahir ses proches. Elle aurait pu négocier, faire du chantage, mais ce n’est point du haut de ses treize printemps qu’elle était capable d’une quelconque magouille et, jusqu’à présent, tout le monde il était beau et tout le monde il était gentil. Se laissant glisser contre le mur et vers la gauche pour échapper à l’homme face à elle, elle regarda avec espoir la porte par laquelle ils étaient passés, comme si quelqu’un allait la franchir et sauver la jeune Sparte.

Vous m’importunez et je ne désire en rien continuer cette conversation, alors je vous serai gré de bien vouloir me laisser m’en aller si vous ne voulez point que je provoque un esclandre !
Ô douce insouciance, ô douce jeunesse. Que puisse encore jouer la pitié qu'il ne serait capable de l'éprouver?
_________________
Erwin
Le temps passait. Leurs bêtises étaient amusantes un temps, mais par la fenêtre on pouvait voir lentement la nuit s'approcher, la lenteur dont ils faisaient tous preuve était exaspérante, et par leur faute, bon nombre ne pourraient pas prêter allégeance dans les temps s'ils ne faisaient pas plus efficacement leur boulot, il était bien beau de retenir les gens pour respecter une pseudo hiérarchie, mais il ne fallait pas oublier ce qui était le plus important : faire passer tout le monde. Le seigneur s'approcha donc du trône, et se faufila juste après le passage de Fleur.

Hum. J'ai quelques lettres pour vous, je ne suis pour celles ci que le messagers, aussi je vous laisse répondre aux expéditeurs par vous même, si vous n'y voyez pas d'inconvénient, ce n'est plus ma tâche.

C'est pas une mauvaise chose les démissions, ça évite la paperasserie prise de tête. Le jeune homme tire donc les lettres de ses poches.



Citation:
Au Comte de Franche-Comté Leonin de Monmouth,
Salutations.

Nous, Uruk de Margny-Riddermark, Prince de Condé, vous reconnaissons par la présente pour suzerain de nos terres comtoises, et vous prêstons allégeance pour nostre Baronnie de Jussey. Nous vous jurons a nouveau respect, aide et conseil, a vous et au peuple de Franche-Comté.

Nous faisons savoir que si un conflit venait vous opposer vous, Comte, nostre suzerain ou la Franche-Comté, à un tiers, nous jurons que nous prendrions cause pour vous, et pour nul autre.

Qu'il soit su.

Fait a Bourbon-Lancy, le dix-huitième jour d'octobre mil quatre cent cinquante-huit.

Uruk de Margny-Riddermark.


Un soupir lorsqu'il en vint à donner celle de Mun, il avait beau insister sur le fait que le titre était celui de Franc Comte et non Franc Comtois, il faisait encore et toujours l'erreur, de là à rendre la validité du document discutable, ce n'était pas son affaire.



Citation:
Nous Mun von Frayner von Strass, Vidames Vice Dominus Vétéranus, Régent de la province de Trêves, Duc de Vittel, Régent des Baronnies de Fontnoy et d�Amance et Seigneur de Montigny,
Commandeur de l'ordre de l'Alérion Lorrain, Etoile de Rubis d'Isendul, Grand Officier de l'Ordre de Sainte Kyrène et Lieutenant Banneret de l�Office des Trois Ecus.

Reconnaissons comme Franc Comtois , Léonin, et pour cela nous lui rendons hommage.
Nous leur promettons fidélité, conseil, aide, protection et assistance, en échange de protection, justice et subsistance.
Tout en renouvelant notre prime allégeance à Rome.

Fait à Vittel
En ce dix neuvième jour du onzième mois de l'an de grâce MCCCCLVIII
Scellons de notre estampille pour authentifier le parchemin.


Un sourire en repensant à l'endroit d'où Titannick écrit... Chinon, on y fait du bon vin...



Citation:
Par la présente, Nous, Titannick von Dumb, Dame des Planches-en-Montagne, reconnaissons comme comte de Franche-Comté et notre véritable suzerain, Léonin de Monmouth.

Nous lui prestons allégeance et lui jurons fidélité, aide et service armé ainsi que conseil.

Faict à Chinon, le vingt-sixième jour d'Octobre de l’An de Grâce 1458.

Titannick von Dumb

Maintenant on en venait aux deux dernières qui nécessitaient qu'il ouvre de nouveau la bouche.



Citation:
Je serais honorée que vous me représentiez à la prochaine cérémonie, ayant encore à faire du coté de la Touraine et du Poitou. Et les nouvelles Lois concernant le poids maximal autorisé dans les chariottes ne facilite pas les déplacements !

Cordialement, je signe icy à Loches qui est en Touraine
Rubella Baronne-Marchande de Maîche


Commençant par lire le message qui ne convaincrait pas forcément, il exécuta donc la demande de celle avec qui il ne s'entendait pas du tout, pourtant désolé de savoir à l'avance que sa demande ne passerait surement pas, après tout il n'était pas un de ses vassaux, et n'avait pas de lien qui l'autorisa à parler pour elle, mais en même temps aucun écrit n'interdisait ça, il était seulement demandé que parvienne une allégeance...

Ainsi donc, malgré des relances à la baronne pour obtenir une véritable allégeance dans les normes, n'ayant pas eu d'autre réponse, je me plie à sa requête, et votre grandeur, je jure en son nom, pour ses terres de Maîche, allégeance à notre comté et ses représentants, vous assurant de sa part le traditionnel obsequium, auxilium, consilium.

Un sourire amusé s'étira sur ses lèvres et il choisi de ne pas montrer la lettre de son père et suzerain lui demandant de le remplacer à cette corvée, et décida d'effectuer sa tâche comme le ferait son père, posant genou à terre, et baissant la tête.

Je me permet, sur demande de mon père et suzerain de le remplacer et le représenter dans son devoir. Je jure donc aujourd'hui, en son nom, que la couronne de Rougemont reste fidèle à notre comté fusse au péril de sa vie, pour vous offrir conseils, aide et service armé. Rappelant par la même occasion que ce fut le cas, lors de l'expédition en Anjou, où mon père risqua sa vie, et fut gravement blessé, y perdant des armes de belle qualité. Ainsi comme le décret l'autorise, il est aussi de mon devoir, de rappeler à votre grandeur la perte subite par mon père, dans l'espoir de ne pas le voir oublié.

La requête était difficile à formuler, son père lui avait demandé d'obtenir l'épée promise en dédommagement de ses blessures, et ce n'était pas le genre de choses qu'il était habitué à formuler.
_________________
Leonin


Léonin était content. Le problème était définitivement clos et bientôt oublié. Dans certains cas il se moquait royalement du qu'en dira t-on, se disant que finalement si on suivait ça, on ne pourrait jamais avancer. Alors, souriant, il sentit la main de Nufilen se poser sur son épaule. Quelqu'un de bien cet Archevêque se dit t-il. Mais, il devait continuer les allégeances qui commençaient à traîner vraiment beaucoup. Alors il mit un coup de collier comme on peut dire. Mais pour Fleur, il allait devoir répondre selon les règles, même s'il avait envie de faire autrement.

Dame Fleur, Baronne Douairière de Quingey, prêtant allégeance au nom de votre fils Robin pour la Baronnie de Quingey, je vous assure protection, justice et subsistance pour vos personnes, votre famille et vos sujets.

Que le Très Haut vous protège vous et les vôtres.

Vous pouvez vous relever.


Maintenant, d'autres allégeances ? Oui mais Erwin s'approche de lui et lui tend plusieurs feuillets. Il le prend et avant tout il écoute les deux allégeances que celui-ci fait avant de répondre aux lettres.

Erwin, j'accepte l'allégeance que vous faites au nom de Dame Rubella et de votre père Greenwarrior qui est un grand ami que je respecte profondément.

Messire Erwin, prêtant allégeance au nom de Rubella pour la Baronnie de Maîche, je vous assure protection, justice et subsistance pour vos personnes, votre famille et vos sujets.


Puis continuant directement en répondant à l'allégeance faite pour Greenwarrior.

Messire Erwin, prêtant allégeance au nom de Greenwarrior pour la Baronnie de Rougemont, je vous assure protection, justice et subsistance pour vos personnes, votre famille et vos sujets.

Que le Très Haut vous protège vous et les vôtres.

Cette fois-ci, vous pouvez vous relever.

Il est bien évident que je n'ai pas oublié la promesse faite par le Parlement précédent et que j'approuve totalement. Et concernant la demande faite par votre père, elle sera réglée en temps et en heure. Je le contacterais d'ailleurs personnellement à ce sujet.


Puis prenant les feuillets déjà prêts, il répondit aux allégeances faites par lettre.

Citation:
A Uruk de Margny-Riddermark, Prince de Condé, Baron de Jussey
Salutations.

Nous, Léonin de Monmouth, trente-sixième Franc-Comte, sous le regard du Très-Haut, nous vous assurons et ce, pour la durée de notre mandat, protection, justice et subsistance pour vos personnes, votre famille et vos sujets pour votre Baronnie de Jussey.

Rédigé et scellé au Castel de Dole, le septième jour du mois de novembre de l'an grâce MCCCCLVIII.

Sa Grandeur Léonin de Monmouth
Franc-Comte



Puis passant à la seconde :


Citation:
A Mun von Frayner von Strass, Vidames Vice Dominus Vétéranus, Régent de la province de Trêves, Duc de Vittel, Régent des Baronnies de Fontnoy et d'Amance et Seigneur de Montigny, Commandeur de l'ordre de l'Alérion Lorrain, Etoile de Rubis d'Isendul, Grand Officier de l'Ordre de Sainte Kyrène et Lieutenant Banneret de l'Office des Trois Ecus
Salutations.

Nous, Léonin de Monmouth, trente-sixième Franc-Comte, sous le regard du Très-Haut, nous vous assurons et ce, pour la durée de notre mandat, protection, justice et subsistance pour vos personnes, votre famille et vos sujets pour votre Baronnie d’Amance.

Rédigé et scellé au Castel de Dole, le septième jour du mois de novembre de l'an grâce MCCCCLVIII.

Sa Grandeur Léonin de Monmouth
Franc-Comte



Puis enfin la dernière :

Citation:
A Titannick von Dumb, Dame des Planches-en-Montagne
Salutations.

Nous, Léonin de Monmouth, trente-sixième Franc-Comte, sous le regard du Très-Haut, nous vous assurons et ce, pour la durée de notre mandat, protection, justice et subsistance pour vos personnes, votre famille et vos sujets pour vos terres de les Planches-en-Montagne.

Rédigé et scellé au Castel de Dole, le septième jour du mois de novembre de l'an grâce MCCCCLVIII.

Sa Grandeur Léonin de Monmouth
Franc-Comte



Voila qui était fait. Il attendit patiemment la suite. Patience qui s'effritait de plus en plus d'ailleurs. Il se demandait s'il pourrait boire un petit coup, car son gosier commençait à être particulièrement sec.

_________________
Léonin de Monmouth, Vicomte de Sellières et de Doubs










Leif_
D’un ennuie, profond et fastidieux …

Même le cirque débile provoquer par une Fleur et de son époux qui avait des préférences pour les hommes d’église et les gueux n’arrivait pas à le sortir de son ennuie …

Il avait écrit pendant se temps le Sochalien ça pour écrire il avait fait, limite et pour tout vous dire il avait écrit un livre maintenant restait la question qu’allait t-il en faire ? Lui le Comte qui s’ennuyait toujours quand il était dans ses latrines impérial il pouvait pour aider son impérial postérieur dans son combat quotidien ou une guerre, vous qui voyez, lire les bavures d’un Franc Comte moche et bête. Finalement cette cérémonie avait permis de soulager l’ennuie d’un Comte dans les latrines.

Enfin … Leif, vit qu’enfin la place pour prêter allégeance était enfin un peu libre, il prit donc place devant le Franc Comte.

Et d’un coup, mais vraiment d’un coup. Une crampe ! Le genou droit se plia et tomba à terre le Sochalien ne dis rien et ne fit rien voir pour pas qu’on le soupçonne d’avoir déjà à son jeune âge d’avoir des crampes … Tout s’enchaina , genoux à terre , devant le Franc Comte , humiliation en passant , bref il n’avais plus le choix le Comte devait prêter allégeance maintenant ou jamais , que pouvait t-il justifier d’être ainsi devant le Franc comte , devant une tel posture si ce n’est pour prêter allégeance …


- Nous, Leif von Dumb de Sparte, Comte de Sochaux, Vicomte de Rocherfort sur Nenon et Baron de Mouthe, prêtons allégeances pour Mouthe à l’empire, au parlement de Franche Comté et son peuple. Nous jurons fidélité, conseil, aide et service armé.

Ah ! La crampe était passée, tel un nuage noir dans un ciel bleu. Maintenant le Sochalien n’avait que d’autre choix que d’attendre le Franc Comte, Leonin Monmouton.
_________________
--Jean_luc
Un pigeon , un message ...

Citation:
Nous, Leonoria Di Césarini, Grand-Maitre de l'Ordre des Lames
A Sa Grandeur, le bien nommé Leonin Monmouth, Franc-Comte


Salut et paix.

En ce jour, par soucis du devoir accompli, nous prenons plume pour vous rappeler l'octroi du fief de Marchaux à l'Ordre des Lames par l'ancienne Franc-Comtesse, Macricri de Tornova, au mois de janvier de l'an de Grâce MCDLVI.

Il incombe habituellement à notre Commandeur comtois de se rendre à la traditionnelle cérémonie d'allégeance. Hors, ce poste étant actuellement vaquant, nous, Leonoria Di Césarini, promettons par ces mots à la Franche-Comté, son peuple ainsi qu'à son dirigeant temporel -ce au nom du futur Commandeur élu- obsequium, auxilium, consilium.

Enfin, nous souhaitons à Sa Grandeur pleine réussite au cours du présent mandat et espérons vivement qu'il se montre en tout temps digne de la confiance que les électeurs ont placé en lui.

Impérialement vôtre,

Leonoria Di Césarini.


Fait et rédigé par nos soins le VIIe jour de Novembre de l'An de Grâce MCDLVIII.
Et afin que nul ne puisse contester le présent document, y apposons le scel de l'Ordre des Lames.


Leonin


Voila qu'enfin Leif revenait pour faire son allégeance. Il envie pour une fois de lui faire entrer un peu de plomb dans la cervelle. Alors, sa patience revint comme par miracle alors il prit volontairement son temps.
Il écouta l'allégeance, faite selon les règles, mais avant de répondre il attendit quelques secondes, puis en parlant lentement il répondit.

Leif von Dumb de Sparte, Comte de Sochaux, Vicomte de Rocherfort sur Nenon et Baron de Mouthe, prêtant allégeance pour la Baronnie de Mouthe, je vous assure protection, justice et subsistance pour vos personnes, votre famille et vos sujets.

Silence.

Que le Très Haut vous protège vous et les vôtres.

Re silence.

Vous pouvez vous relever.

Une nouvelle missive à répondre. Chose faite sur le champ.

Citation:
A Leonoria Di Césarini, Grand-Maitre de l'Ordre des Lames
Salutations.

Nous, Léonin de Monmouth, trente-sixième Franc-Comte, avons bien reçu et pris note de votre missive et nous en prenons note.

Alors, sous le regard du Très-Haut, nous vous assurons et ce, pour la durée de notre mandat, protection, justice et subsistance pour les membres de l'Ordre des Lames pour le fief de Marchaux qui lui est accordé.

Rédigé et scellé au Castel de Dole, le septième jour du mois de novembre de l'an grâce MCCCCLVIII.

Sa Grandeur Léonin de Monmouth
Franc-Comte


_________________
Léonin de Monmouth, Vicomte de Sellières et de Doubs
Fredyanne
Ce fut avec un retard considerable que Fredyanne se présenta devant la cathédrale pour l'intronisation de sa Grandeur Léonin de Monmouth accompagné de sa dame de coeur Fleur .

Fredy avait appris qu'elle était devenue connétable dès son retour et en fut reconnaissante à tout le conseil et au Franc-comte qui lui avaient offert ce poste tout nouveau pour elle .

Discretement elle s'installa en faisant des signes d'amitiés à Crissou ,Mada Krane ainsi que d'autres personnes qu'elle reconnues et trouva une place où elle s'assit sans faire de bruit pour y suivre ce qu'il restait de la cérémonie qu'elle avait malheureusement manquée .

_________________
Zephirin
Soulevant un sourcil en pinçant un peu les lèvres, l’artilleur soupira longuement en baissant un peu le front. Petite peste. Qu’en tirerait-il ? Il ne pouvait quand même pas la secouer, il risquerait de la disloquer de partout. Le regard nerveux et méfiant de la jeune femme laissait bien comprendre qu’elle risquait de tenter un geste qui lui serait certainement fatal. Se poussant lentement sur sa main au mur, il recula d’un pas et posa un pouce à son ceinturon se passant la main à la mâchoire. Roulant les yeux en l’entendant lui ordonner de partir, il grimaça légèrement avant de reprendre sur un très bas ton pointant la porte du doigt.

Bon. Écoutez moi bien. Vous voulez partir ? Faites. Je ne vous y retiens pas, mais si vous tenez à vos petits yeux azur, votre petit nez et à tout le reste de votre petite personne, je serais attentive à ce que je vais vous dire. Vos parents, justement, ont fait ce qu’ils voulaient faire…mais se faisant, ils ont mis en danger tous ceux qui porte le nom de Sparte, et…vous aussi. Vous avez raison, pour ma part, je ne peux rien contre vous. Mais…il est des gens, nombreux, déterminés, organisés, décidés à venger certaines de ces décisions…vous me suivez… madame ? Et ils se préparent, maintenant. Alors, si j’avais, ne serais-ce…que votre collaboration pour savoir que font vos parents dans le moment…et l’endroit ou ils se terrent, je pourrais certainement permettre…d’éviter que d’autres...jouent… dans vos bouclettes du bout des doigts, en tenant votre tête dans un panier tressé. Alors, soit vous m’aidez et je ne vous importune plus, soit, vous partez maintenant vous verrez vraiment, de d’autres pauvres fous, ce que sont, des conditions ignobles.

S’y reculant d’encore un pas, il fixa Héloise_Marie, lui laissant le passage libre.

Un; mettre en exil celui qui a vendu. Deux; venger ce qui a été commis. Trois; faire payer chèrement tout ceux qui ont soutenu. La liste de noms s’étendait d’Aix-La-Chapelle à la Savoie. Fronçant le nez légèrement, il resta immobile devant elle.
Kranelamarmotte
La cérémonie commençait à se faire longue, pompeuse ... Il savait que cela finirait par l'être, ce genre de cérémonies finit toujours par se passer comme cela ... Et selon les mandats, toujours les mêmes petites histoires ridicules, toujours l'un ou l'autre pour dérouler un cirque pathétique ... Au fur et à mesure que la cérémonie se passait, L'ex militaire sentait la fatigue monter en lui. Il remarqua dans la foulée sa fiancée, et un vieux compagnon aussi, un peu plus tard qui fit son apparition ... Celui-là, il était difficile de le rater quand il passait ... Toujours la même allure fière, un colosse ... Il aurait bien voulut passer tout azimut dans la foule pour les saluer, mais trop de monde, et puis il devait tenir sa place en tant que membre du conseil ... Les heures passaient, encore, et encore ... Chaque minute paraissait à présent une éternité ... Il avait envie de sortir de cet endroit, mais il se devait d'attendre la fin ... Soupirant discrètement, il croisa les bras, attendant que cette cérémonie se termine enfin.

_________________
[/quote]
Seigneur de Grand'Combe Châteleu
Anne_cyrella
Anne commençait e s'ennuyer ferme aussi décida- t-elle de partir en douce, elle se faufila adroitement, prenant bien garde à ne pas monter sur les pieds des personnes présentent, elle se dirigea vers la sortie!!!


Arrivée sur le parvis de la cathédrale se posa la question devait elle passer a Dole mais elle se dit que non ce n'était pas la peine Acis se trouvant ici, elle aurait voulu lui parler, mais cela aurait fait quoi de plus, rien bien sur !!!

Aussi la jeune femme repris son cheval et fila en direction de St Claude sans se retourner.

Elle revenait seule dans sa ville cela devenait pour elle une habitude

_________________
[/quote]
Criss
Criss soupirait d'ennuie...Elle en arrivait à compter le nombre de vitraux! Puis arrivée à un moment elle regarda une personne qui faisait un signe.

Elle reconnu sa chère amie Fredy,qui c'était fait rare ces derniers temps...Criss lui fit un sourire puis un signe de la main pour lui dire bonjour.

Voyant que Anne_Cyrella prenait le chemin de la porte...Criss ce dit qu'elle en ferait bien autant! Mais deux personnes qui sortent en même temps sa passerait pas vraiment inaperçu...Elle décida d'attendre un peu...puis partir discrètement au pire elle pouvait toujours dire qu'elle allait prendre l'air et elle en avait besoin.

Elle partie vers la porte et sortie ...arrivée dehors elle respira en grand coup et poussa un grand AHHHHH.

_________________
Leonin



Léonin commençait à s'ennuyer ferme. La cérémonie était décidément de plus en plus longue quand tout à coup, il reçu une missive de plus, une nouvelle allégeance, celle de Goclad.

Citation:
Au Franc-Comte Leonin de Monmouth,

Salutations.

Nous, Goclad Von Dumb,Vicomte de Villersexel, vous reconnaissons par la présente pour suzerain de nos terres comtoises. Nous prestons allégeance, au nom de notre Vicomté de Villersexel, à l'Empereur, à la Franche-Comté, à son peuple, à son parlement et à son Franc-Comte légitimement élu.

Nous vous jurons respect, aide, service armé et conseil.

Fait à Villersexel,
Le onzième jour du mois de Novembre de l'an de Grâce 1458.




Le Franc-Comte fut étonné de voir qu'il ne s'était pas rendu personnellement. Pourquoi ? Puis il ne se posa plus la question et immédiatement il répondit.

Citation:
A Goclad Von Dumb,Vicomte de Villersexel
Salutations.

Nous, Léonin de Monmouth, trente-sixième Franc-Comte, sous le regard du Très-Haut, nous vous assurons et ce, pour la durée de notre mandat, protection, justice et subsistance pour vos personnes, votre famille et vos sujets pour votre Vicomté de Villersexel.

Rédigé et scellé au Castel de Dole, le onzième jour du mois de novembre de l'an grâce MCCCCLVIII.

Sa Grandeur Léonin de Monmouth
Franc-Comte




_________________
Léonin de Monmouth, Vicomte de Sellières et de Doubs






See the RP information <<   <   1, 2, 3, ..., 7, 8, 9, 10   >   >>
Copyright © JDWorks, Corbeaunoir & Elissa Ka | Update notes | Support us | 2008 - 2024
Special thanks to our amazing translators : Dunpeal (EN, PT), Eriti (IT), Azureus (FI)