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[RP]Cérémonie d'intronisation du Franc Comte et allégeances

Pigeonneau dodu, incarné par Derdekan




Un gras pigeonneau arriva à la salle des allégeances. Il attendit son tour comme un pigeon bien élevé et tendit la patte au franc comte intronisé afin qu'il lise la missive.

Citation:
Mon cher Léonin,

J'ai cru comprendre dans la rumeur bruissante que tu étais devenu Franc-Comte. Je t'en félicite bien que mes félicitations ont aussi peu de valeur que la place que tu occupes. N'y vois point insulte envers ta personne mais j'ai bien peu de foi envers l'avenir du comté que tu gouvernes.

Quoi qu'il en soit, mes terres ne sont pas inhabitées et mes gens souhaitent vivre au mieux. Ainsi, il est nécessaire que je t'apporte mon soutien durant ton mandat. Si tu as besoin de conseil, d'hommes d'armes, de vivres, il te suffira de m'en parler.

Comme le veux la procédure, je vais prêter serment pour t'assurer de mon aide et que tu sois certain de ne pas te retrouver mon hallebarde planté dans le dos.

Moi, Derdekan d'Argenteuil,Baron de Clairvaux les lacs, te reconnaît par la présente pour suzerain de mes terres comtoises. Je prête allégeance, au nom de ma baronnie, à l'Empereur, à la Franche-Comté, à son peuple, à son parlement et à son Franc-Comte légitimement élu.

Puisse ton mandat redresser la barre du navire comtois qui dérive ...

Jade.de.sparte
Elle était de retour en Franche-Comté après une absence de quelques semaines, absence des plus bénéfiques lui ayant permis d'apprécier les joies du mariage loin des querelles incessantes. Elle avait bien reçu un pigeon pendant son voyage, missive du même héraut qui avait quitté la cérémonie d'allégeance et qui lui demandait son serment ! L'audace frôlait le ridicule ! L'impétueuse rousse chiffonna le document et le jeta au feu... elle prêterait allégeance lorsque le fief lui serait remis pas avant ! Et comme elle devait revenir en Franche-Comté pour cela... et bien soit ! Cela attendrait son retour. Mais on y était... il fallait bien se présenter !

Jade décida de revêtir ses couleurs pour l'occasion, elle ne portait que peu le rouge, trouvant que les teintes avaient la fâcheuse habitude de jurer avec sa chevelure mais elle avait trouvé, en dictant ses choix à la tisserande, une façon harmonieuse de disposer les couleurs, le corsage, les manches et la jupe ouverte prédominait dans les teintes d'un jaune doré très seyant à sa carnation alors que l'ouverture laissait apparaître un somptueux mélange d'or, de rouge et de noir, rendant la tenue des plus élégantes tout en accentuant la fine silhouette de la jeune femme. Sa longue chevelure bouclée était rehaussée de rubans dorés, heureux contraste qui magnifiait le tout, le collier offert par son oncle Goclad à son mariage complétait la tenue avec grâce.

Elle entra donc, après s'être fait annoncer, la pièce était pleine, trop de gens pour tous les remarquer. Jade se dirigea donc vers sa mère et l'embrassa discrètement en essayant de voir où en était les allégeances avant de se présenter devant le Franc-Comte.

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Heloise_marie
D’un regard, elle jugea son kidnappeur puis haussa les sourcils. Après tout, elle avait les gardes dehors, elle avait sa famille jamais loin, elle avait tout plein de gens autour d’elle et était, normalement et à part aujourd’hui, elle était tout le temps en sécurité.

Évidemment, avoir été enlevée en plein milieu d’une cérémonie d’allégeance où plein de monde est présent, où, avec ses atours et sa belle robe et son joli minois et son nom qui semblait gravé sur son front où qu’elle aille, elle devrait, normalement, ne pas assez inaperçu et pourtant, oui, elle avait été enlevée lors de cette cérémonie. A croire que finalement elle n’attirait pas tant les regards que ça, ou alors uniquement ceux de tortionnaires comme le personnage face à elle qui ne pensait qu’à intervenir auprès d’une gamine pour avoir des informations sur ses parents.

D’un côté, l’excitation du moment et la sensation uniquement d’être un pion qui pouvait jouer un rôle immense dans la vie des gens lui donnait une importance qui grandissait de plus en plus. Mais elle n’en avait cure, finalement, d’être en danger. Elle venait de découvrir qu’elle aimait presque ça. Était-ce peut-être parce qu’elle n’avait pas eu à subir de violence. La peur de souffrir était un de ses plus grands cauchemars. Mais plus encore et le gros ne semblait l’avoir remarqué, la peur de voir les personnes qu’elle aime souffrir. Jamais, avec la menace de mort ou de quoi que ce soit d’autre qui lui planait dessus, elle aurait vendu une quelconque information. Si on touchait à sa sœur, à sa mère tant aimée où à ses oncles/tantes/cousines/arrières cousines, et tutti quanti, parce que la famille l’est grande, là oui, elle était terrifiée. Se raclant la gorge, elle fit un pas, puis un autre, puis encore un autre en direction de la porte. Doucement, de peur qu’il ne la rattraper en luis déboitant le bras ou l’épaule si elle s’en allait à toue vitesse, et pour ne point perdre son sang-froid également. Si elle se mettait à courir, elle aurait finit en larme de peur qu’il ne la traque.

C’est qu’à 13 ans on peut-être très imaginatif.

Glissant sa main sur la poignée de la porte, elle se tourna vers l’homme.

Je ne sais pas qui vous êtes, monsieur. Je ne sais pas pourquoi vous chercher à m’aider, mais sachez qu’on a rien sans rien. Je n’ai pas peur des autres et je mettrai ma famille en garde contre les sois disant menaces que vous proférez. Mais… Si vous en voulez plus de moi, alors j’en attends autant de vous. Puisque vous savez qui je suis, et que je ne veux en aucun cas savoir qui vous êtes, car rien que votre nom me donnerais des hauts le cœur, allez-y. Vous saurez me retrouver non ? Après tout, je suis une Sparte et je n’ai pas peur de le montrer !

Puis elle lui tourna le dos et passa par la porte…
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Gundard
Gundard qui revenait d'un long voyage fit un saut rapide pour saluer le Franc comte et lui prêter allégeance



Moi Gundard De Moulain Baron de Vernier Fontaine prête allégeance et jure fidélité, aide, service armée et conseil à l'Empereur, à la Franche-Comté, à son peuple, à son parlement et à son Franc-Comte.



Il attendit la réponse du Franc comte puis se retira rapidement pour aller se reposer
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Baron De VernierFontaine

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Zephirin
L’artilleur écouta la jeune femme lui raconter sa petite histoire qui faisait à peine plus d’ombre que sa petite personne. Y’a pas a en douter, c’était une Sparte et bien la fille se son père. Secouant les doigts, il l’invita à prendre la porte. Après tout, c’était bien pour accélérer les choses qu’il avait tenté cette occasion, mais il ferait tout aussi vite en contactant quelques amis toujours en FC et bien au fait des déplacements de monsieur...et madame. Ouais, bien comme son père. Il avait pris les jambes à son cou à Aix-La-Chapelle, et encore à Pontarlier. Fronçant légèrement le nez, Zéphirin remonta son ceinturon et s’envoya derrière la jeune femme, avant de couper court vers la première porte donnant à l’extérieur. Plissant les yeux en débouchant à la lumière du parvis, il scruta des yeux les gens plus bas en descendant lentement les marches s’appuyant sur sa canne.
Leonin


Léonin ne s'impatientait plus maintenant ... Il était passé à autre chose, si ce autre chose existait. De nouveau, une nouvelle lettre qu'il lut comme les autres à voix presque haute. Il sourit, ça faisait longtemps qu'il n'avait pas eu de ses nouvelles. Alors, il lui répondit immédiatement.

Citation:
A Derdekan d'Argenteuil,Baron de Clairvaux les lacs,
Salutations.

Je te remercie pour ta lettre qui fut ... Originale. Je vais avouer que je suis heureux d'avoir quelques unes de tes nouvelles et que oui, dès que j'aurais besoins de conseils, je n'hésiterais pas à venir te voir. Je vais tenter de reprendre la barre de ce bateau ivre qu'est la Franche-Comté. Et on verra, peut-être qu'enfin la Comté aura un avenir ?

Mais passons aux choses sérieuses, ma réponse à tes allégeances qui seront un peu pompeuses, mais c'est la règle ...

Nous, Léonin de Monmouth, trente-sixième Franc-Comte, sous le regard du Très-Haut, nous vous assurons et ce, pour la durée de notre mandat, protection, justice et subsistance pour vos personnes, votre famille et vos sujets pour votre Baronnie de Clairvaux les lacs.

Rédigé et scellé au Castel de Dole, le trèzième jour du mois de novembre de l'an grâce MCCCCLVIII.

Sa Grandeur Léonin de Monmouth
Franc-Comte



Puis, une fois qu'il a répondu à cette lettre, une nouvelle allégeance, de nouveau de quelqu'un qu'il apprécie : Gundard. Sachant qu'il avait beaucoup de travail à l'Université il se dépêcha de répondre.

Gundard De Moulain, Baron de Vernier Fontaine, prêtant allégeance pour la Baronnie de Vernier Fontaine, je vous assure protection, justice et subsistance pour vos personnes, votre famille et vos sujets.

Que le Très Haut vous protège vous et les vôtres.

Vous pouvez vous relever.


Il attendit la suite des allégeances.

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Léonin de Monmouth, Vicomte de Sellières et de Doubs










dina_
Elle avait assisté avec curiosité aux différents incidents émaillant cette cérémonie des plus ennuyeuses... Erwin ayant prêté allégeance pour son père et l'attendant pour enfin partir en voyage, Dina se présenta devant Leonin.
D'une voix claire, un sourire quelque peu ironique aux lèvres, elle fit comme ceux qui étaient passés avant elle...

Moi Dina Galli Adams de Melincour, Dame de Combeaufontaine et de Nans, prête allégeance et jure fidélité, aide, service armée et conseil à l'Empereur, à la Franche-Comté, à son peuple, à son parlement et à son Franc-Comte.

Elle attendit la réponse du Franc-Comte, puis quitta la cathédrale.
Enfin elle allait pouvoir faire ce voyage qu'elle avait reporté depuis des semaines.
Sortant de la bâtisse, elle eut un sourire de soulagement en appercevant son époux au bas des marches.

Voyant Zephirin juste devant elle, Dina s'approcha et le salua.

Bonjour Sénéchal ! Heureuse de vous savoir de retour.
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Leonin


Large sourire.
C'était cette fois-ci à Dina de passer. Comme les autres elle fit une allégeance parfaitement dans les règles de l'art. Alors il lui répondit avec les termes déjà mainte fois répétés :

Dina Galli Adams de Melincour, Dame de Combeaufontaine et de Nans, prêtant allégeance pour vos terres de Combeaufontaine , je vous assure protection, justice et subsistance pour vos personnes, votre famille et vos sujets.

Que le Très Haut vous protège vous et les vôtres.

Vous pouvez vous relever.


Il la laissa repartir et attendit que les derniers nobles passent.

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Léonin de Monmouth, Vicomte de Sellières et de Doubs
Debenja
Le Comte sorti de la cathédrale, la petite n’était pas là évidement. Quelque chose de louche se passait, Debenja le sentait. Il se dirigea vers Perceval, son homme de main, qui lui, pour ne pas changer, regardait avec grande attention, les jolies donzelles qui se baladaient sur la place. On voit bien qu’il avait été formé par Dwiral …

Perceval !

Mais aucune réaction du petit gars de la campagne que le comte avait embauché il y a quelques années déjà. C’est donc en lui tapotant l’épaule que Debenja attira son attention.

Dis-moi, est-ce que tu as vu la petite Héloise passer ?

Qui ? lui répondit Perceval qui était toujours fixé sur les donzelles et non sur le comte.

Et c’est avec des yeux noirs que Deb vint se planter devant son homme de main qui, comme par hasard, ne porta plus son attention que sur son maitre.


Ah, la petite de m’dame vot’ sœur ? Non pas vu !


Et le sénéchal, est-ce que tu as vu le sénéchal sortir ? lui demanda le Comte

Oui, m’sieur. Il est d’ailleurs parti par là, il avait d’ailleurs une robe en main je pense, je ne suis pas sur, je … je … parcourais du regard la place pour être sur que rien ne vous arriverait.

Mais bien sur … tu regardais les donzelles oui, pensa Debenja. Et le comte se dirigea vers l’endroit qu’on lui avait indiqué. Un lieu plus ou moins sombre, impossible de voir par les fenêtres au loin, mais même en s’approchant, rien de plus à voir. Il s’approcha de la porte et entendit la voix de sa nièce. Elle était donc là. Lorsqu’il arriva à la hauteur de la porte, celle-ci s’ouvrit. C’était sa nièce qui sortait en tenant tête à quelqu’un. D’un geste de la tête le Comte vit que le sénéchal était cette personne. Et oui cette petite n’avait peur de rien … mais quand même. Debenja alla à sa rencontre pour lui demander ce qui c’était passé. Tout en posant un dernier regard méfiant sur Zeph. Que c’était-il passé ? Debenja emmena Héloise auprès de Perceval qu’il chargea de reconduire là où la petite le désirerait, mais qu’il ne devait pas la quitter d’une seconde !

Mais une fois n’était pas coutume, le comte était encore dans les derniers à devoir prester allégeance, pourtant il était arrivé bien plutôt cette fois-ci, mais les évènements avec sa nièce avaient retardé l’échéance, c’est donc en se dépêchant que le Comte retourna vers la cathédrale pour y faire son devoir.
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Artifice
Alors qu'il finissait sa journée à la Prévôté, Artifice passa en coup de vent faire ces allégeances auprès du Franc Comte. Arrivé dans la salle, personne devant Léonin, il ne perdit pas de temps et s'agenouilla devant le trône

Nous, Artifice d'Ollivaud,Vicomte de Montaigu, Vicomte d'Héricourt, renouvelons allégeance à notre terre qu'est la Franche-Comté et à son représentant légal, vous Franc Comte ainsi qu'à l'Empereur.
Nous jurons tout aide, conseil et service armé au peuple franc comtois.
Lothilde
La garde prétorienne grimée aux couleurs des Sparte lui avait arraché un sourire goguenard, quand elle l'avait croisée sur le pont qui enjambe le Doubs...Et la jeune petite personne très pédante qui semblait repartir sagement dans sa tour d'ivoire était couvée comme le saint corps d'Aristote...Instinctivement, en la voyant lever le nez, lui vint à l'esprit ces animaux tenus au bout d'une chaîne que les saltimbanques exposent sur les places publiques pour gagner quelques écus...Dressée pour la parade et prisonnière, comme eux....encore qu'à la regarder toiser le monde d'en haut, elle semblait y trouver beaucoup de plaisir, l'héritière des Salins..Si elle avait eu une fille...l'idée la fit sourire. Bah, elle l'aurait sans doute très mal élevée, comme une sauvageonne...sans doute. Ou elle l'aurait perchée sur un vieux cheval qu'elle aurait poussé au galop...ou fait fabriquer une épée pour qu'elle pourchasse les poules sur les tas de fumier aux écuries...allez donc savoir...elle lui aurait appris le plaisir infini de sentir la terre sous ses pieds nus, aussi, ça, oui !
Elle tourna la tête pour regarder le cortège s'éloigner au pas amblé et haussa les épaules avant de pousser l'allure de son cheval. Il fallait alléger, hein ! Le rappel à l'ordre d'Adrien lui était parvenu alors qu'elle roupillait en compagnie de la maréchale d'armes au fond des salles d'archives du château d'Aachen et sans attendre le verdict, elle s'était remise en route...Puisqu'il fallait alléger dans les plus brefs délais, elle allait alléger...rapidement.
Dans la cohue qui prenait de l'ampleur dans la ruelle de la cathédrale, elle prit le temps d'observer les nobliaux qui allaient faire serment de tout un tas de choses.... Tiens, dame Jade Sparte-CaC-tus...c'était bien elle qui escaladait les marches...Oh oh...rien à dire, elle avait fait assaut d'élégance...c'était harmonieux, elle en était presque fâchée de le reconnaître, mais enfin...Et le joli cousin...eh ben, que du beau monde qu'elle ne rêvait pas de rencontrer, c'était peu de le dire...
Elle descendit de cheval et termina l'ascension de la ruelle à pied, marquant l'arrêt devant la belle demeure de l'archevêque...Adso...comme elle avait envie de le revoir, tout d'un coup, ce terrible petit Padre si peu conventionnel..devenu archevêque, tout de même..Pas à Besançon, dommage...sinon, elle se serait invitée et aurait épié tout ce petit monde derrière les fenêtres en se livrant à tout un tas de médisances...Ah, Debenja, maintenant...Ben lui non plus, elle n'avait pas envie de le saluer, hein ! ...lâcheur ! Elle allait lui envoyer un vieux pigeon déplumé avec plein de méchancetés, pour la peine...

Reprenant son chemin, elle serra instinctivement les mâchoires...la nouvelle cousine avait rejoint le joli cousin en bas des marches et...Zephirin ?? ...Mais..mais...Zephirin ??? mais..qu'est-ce qu'il...


Pardon...Poussez-vous ! je...

Bousculant sans ménagement un couple qui lui bouchait la vue, elle tordit le cou et se percha sur la pointe des pieds...Nom d'une pipe, c'était bien lui...mais qu'est ce qu'il était venu se fourvoyer dans cette faune qu'il détestait tant ?? Oh....pas normal, ça...Qu'est-ce qu'il mijotait donc, le grand diable de sénéchal, à rôder autour de la maison d'Aristote..si mal fréquentée aujourd'hui ?
Instinctivement, elle parcourut des yeux la foule qui se pressait sur les marches, à la recherche d'elle ne savait trop quel couronné ou plutôt...couronnée capable de l'avoir attiré dans un lieu aussi mal famé ! et trouvant autant de bonnes raisons à sa présence qu'il était de nobles sur la place, elle sourit et approcha lentement...Quand la...cousine aurait tourné les talons, elle irait lui servir une petite moquerie de bon aloi...Mettant rapidement son cheval à couvert sous un porche, elle attendit le moment opportun en enfournant paisiblement une bouchée de pain rassis. Suffisait juste d'être patiente...et justement, elle n'était pas du tout pressée...

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Fredyanne
Fredy attendait sagement en faisant des signes aux amis qui arrivaient et à ceux qui partaient ,elle avait deserter la cathédrale un instant souhaitant prendre l'air et voir si Blaky ne manquait de rien .

Une dame qu'elle ne connaissait pas mais dont elle avait beaucoup entendu parler notamment par sa Grandeur Léonin . dont il lui avait fait une admirable description ,qu'elle admirait d'ailleurs pour son franc-parler et son courage de dire tout haut ce que beaucoup pensait tout bas arriva avec sa monture dont elle prenait bien soin .

Elle la reconnue tout de suite et se dit qu'il y aurait certainement de l'ambiance dans les moments qui viennent ...

Le Pardon ... Poussez-vous ! attira un petit sourire sur les lèvres de Fredy

Fredy regagna sa place .
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Leonin


Voici qu'un nouvel arrivant se présentait devant lui. C'était l'actuel Major et maire de Vesoul, Artifice. Quelqu'un que Léonin appréciait quand même, malgré quelques coups de gueule entre eux. Alors, il lui répondit.

Artifice d'Ollivaud,Vicomte de Montaigu, Vicomte d'Héricourt, prêtant allégeance pour vos terres de Montaigu et d'Héricourt, je vous assure protection, justice et subsistance pour vos personnes, votre famille et vos sujets.

Que le Très Haut vous protège vous et les vôtres.

Vous pouvez vous relever.

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Léonin de Monmouth, Vicomte de Sellières et de Doubs
Jade.de.sparte
Elle avait laissé passer quelques personnes avant elle, guère pressée puis se décida, peu enthousiaste après la façon dont la cérémonie d'anoblissement s'était déroulée mais se convainquit qu'il s'agissait de son devoir.

Nous, Jade de Sparte von Frayner, Dame de Châtenois, Lignéville et Autrey-lès-Gray, preste pour cette dernière, allégeance, fidélité, aide, service armée et conseil à l'Empereur, à la Franche-Comté, à son peuple, à son parlement et à son Franc-Comte.

Elle attendit la réponse du Franc Comte avant de rejoindre les siens
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Zephirin
Se tailler sans trop attirer l’attention, c’était pour le moment, la priorité. Déjà, l’homme de main de Debenja s’occupait de la gamine, pendant que le vicomte de Marnay remontait en vitesse vers les grandes portes. Le Sénéchal s'y sentant observé s’évita de croiser son regard. Alors qu’il allait déboucher à la rue, une voix connue de femme l’interpella juste avant qu’il ne laisse les arches. Arff…impossible de passer son chemin, pas avec elle. Se frottant en vitesse la tempe, il afficha un sourire d’église et pivota d’un quart de tour en ouvrant légèrement les bras.

Damois..euh...Dame enfin..je veux dire...Capitaine Dina ! Bien à vous ! Vous me voyez aussi heureux d’être de retour en Franche-Comté ! Pour peu que l’on cesse de la maltraiter, je pourrais y rester un temps m’évitant de devoir aller la défendre partout ! Je vous prie également de m’excuser pour l’absence à votre mariage que j'ai su heureux, mais il m'était impossible d'y...et je crois qu’il en était mieux ainsi. J’ai un mal fou à entrer dans ces bâtiments. Certainement auront nous plaisir à nous y revoir prochainement Dame Dina que vous me racontiez, car pour l’heure..je...je dois quitter. Prenez soins capitaine.

Hochant légèrement la tête en lui servant un mince clin d’œil, il reprit son chemin pivotant à sa canne en passant les derniers arcs avant la rue.
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