[RP] Au Chaudron Buveur : Taverne-Auberge...

Aloe_sonia

Sonia se leva à l'aube pour préparer le petit déjeuner.
Elle fit sa toilette s'habilla.
La taverne était calme et elle posa les bols et le lait chaud ainsi que des miches de pain.

Mikaphile

Une bonne nuit de sommeil dans un bon lit lui avait fait du bien. Elle se réveilla, s'étira comme un jeune chat, eut une pensée pour son Himm qui avait dû passer la nuit dans sa charrette quelque part en rase campagne, pourvu qu'il ne lui soit rien arrivé, fit un brin de toilette et s'habilla avant de redescendre dans la salle commune, où un petit déjeuner l'attendait déjà.

Sonia, vous êtes là ? Vous avez déjà déjeuné ? ou je vous attends ?
Vous n'auriez pas une promenade à me conseiller dans Dijon, pour m'occuper un peu en attendant le départ de ce soir ?
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--Kale

Kale, dans son long manteau noir, et son large chapeau, descendit lentement sans un sourire et le regard percant, se dirigea vers le comptoir et fit en versant des ecus je pense que je vais rallonger mon sejour d'une semaine, et si vous pouviez me servir une biere s'il vous plait .

Puis il s'installa , au bout d'un moment, un de ses volatiles appelé Pijeon rentra dans la taverne et se posa sur la table devant lui !
Kale considera l'animal un instant puis murmura lentement he bien si ce n'est pas du service bien rodé ca !
Il prit le message et le lut ....
Il exprima alors un leger sourire en le repliant et le rangea dans sa poche et renvoya le pigeon

Aloe_sonia

Citation:

Sonia, vous êtes là ? Vous avez déjà déjeuné ? ou je vous attends ?
Vous n'auriez pas une promenade à me conseiller dans Dijon, pour m'occuper un peu en attendant le départ de ce soir ?

Sonia sourit en voyant Mikaphile et lui repondit :

- Je suis là Mika', viens donc me rejoindre, dejeunons ensemble.
Elle reflechit un court instant et reprit :
- Il y a la forêt, si tu veux, et le marché, on a un vendeur un peu spécial sur place.

Elle rit doucement, en se rememorant le personnage.

Sonia se retourna en entendant des pas dans les escaliers et elle alla à la rencontre de cette homme.

Elle jeta un coup d'oeil autour d'elle, se demandant ou était Gertrude.

Elle ramassa les sous et tout en souriant elle lui servit une chope. Et nota son nom sur le registre.
Elle regarda le volatille entrer et se diriger vers lui.

Elle retourna prendre place près de Mika'.

Domdom

[Quelques jours plus tard...]

De retour à Dijon après un court voyage vers Bourg , en compagnie de Sonia et Mikaphile, l'encapuché avait quitté les deux femmes sur la place de la mairie pour aller retrouver sa maisonnée qu'il avait laissée à l'auberge de la "Queue du Chat".

Ils s'étaient tous donné rendez vous au "Chaudron" pour un peu plus tard , le temps de passer aux étuves et prendre un peu de repos .

Après avoir retrouvé ses enfants et leurs nourrices à l'auberge qu'il occupait depuis son arrivée à Dijon , Dom donna le signal de départ à sa petite troupe ,en direction de la taverne du "chaudron Buveur".

Aussi , le conteur fut il surpris de ne trouver personne icelieu , une fois toute sa petite famille installée à table :

Sonia ? Mika ?
Vous êtes là ?
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Tombé au champ d'honneur sous les coups de la tyrannie

Mikaphile

Enfin arrivés ! Les voyages, elle adorait ça, la presque vieille, pour rien au monde elle n'aurait admis que ce n'était plus vraiment de son âge. N'empêche que ça la fatiguait.
A peine arrivée, elle s'était effondrée toute habillée sur son lit, pour faire une sieste.

Sonia ? Mika ?
Vous êtes là ?

Il lui sembla avoir entendu des voix dans la salle commune, elle se leva et descendit l'escalier, les yeux bouffis de sommeil.

Dom ! c'est vous ! Avec vos enfants ? vous me les présentez ?
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Aloe_sonia

Sonia arriva à son tour dans son auberge taverne et sourit en voyant Dom' avec sa famille et Mika'.

Elle servit du bon lait chaud aux enfants et prit place près d'eux et les regarda se chamailler.

- Je vous fait préparer des chambres, dit-elle à ses amis.

Valerien

C'est où qu'on va Poppa ?

Pendant tout le trajet , le petit blondinet avait assommé son père de questions.
C'est qu'il l'énervait , Poppa , à ne pas vouloir lui répondre, avec son air mystérieux.

D'énervement , Valérien avait même failli se venger sur Chouchen , son chien , qui avait eu le malheur de le frôler de trop près : seul un réflexe du chien jaune avait sauvé sa queue des mains du gamin.

La petite troupe arriva alors devant une porte , que Poppa ouvrit, après y avoir discrètement frappé.

Valerien ne savait pas encore lire , mais il savait reconnaitre une taverne, quand même !

Encore une taverne ...
furent les trois mots que laissa échapper le gosse en rentrant dans la salle d'auberge , vide de tout occupant.

Un peu plus tard , alors qu'il était attablé avec le reste de la famille , le gosse entendit du bruit provenant de l'escalier qui montait aux étages.
Levant la tête , il vit une dame aux longs cheveux gris nattés.
Puis il entendit :

Dom ! c'est vous ! Avec vos enfants ? vous me les présentez ?

Valérien n'avait jamais vu encore cette dame qui semblait connaitre Poppa .
Il sauta du banc et se dirigea vers la dame pour se présenter , un grand sourire aux lèvres :

Bonzour Madame...
Ben moi , ze suis Valerien et z'ai sept ans !
Et pis mon ssien , là y s'appelle Ssoussen ...
Et pis...

Un bruit provenant du cellier coupa la suite : une dame blonde que le gosses avait déjà vu lors de la veillée aux contes venait d'arriver dans la salle avec une jatte pleine de lait chaud et une brioche croustillante à la main.

Délaissant la présentation, le gamin revint vers la table à toute vitesse en criant :

C'est pour moi tout ça ?
Youpiiiieee...
C'est que z'ai une faim de loup , moi !

Domdom

L'encapuché considéra son fils d'un sourire tendre : toujours à se mettre en avant son futur écuyer !
Mais il le faisait avec une telle candeur, qu'il en était touchant à chaque fois.

Dom interpella Mikaphile , qui venait de s'installer à leur table :

Je ne vous présente pas Valérien,ma chère ...Il l'a bien fait lui même

Puis, il ajouta , un grand sourire aux lèvres :

Et encore heureux que Sonia l'ait dérangé !
Sinon, il aurait déballé sa vie à vous faire attraper une migraine.

Le Calvaphile se tourna alors vers Sonia, qui venait de leur amener de bien bonnes choses à manger , puis de leur annoncer qu'elle faisait préparer des chambres pour les accueillir:

Nous te remercions ma Choupinette...
Mais nos affaires sont restées à l'auberge de la " Queue du chat "

Coup d'oeil vers la nourrice de ses gosses , qui , comme à son habitude , était occupée à glousser avec Mary , la gouvernante :

Alexandrine...Vous accompagnerez Sonia là haut , puis vous passerez à notre auberge , récupérer nos effets:
D'accord ?

Se tournant à nouveau vers Mika , qui en avait profité pour prendre Katell sur ses genoux,le conteur se souvint alors qu'il n'avait toujours pas présenté sa maisonnée à sa Rillette d'amie
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Tombé au champ d'honneur sous les coups de la tyrannie

Aloe_sonia

Sonia se dit que deux chambres seraient nécessaire. Elle vit une femme qui la suivit : Alexandrine.
Elle lui sourit et elles préparèrent les chambres.
Sonia eut une pensée pour Dame Gertrude, elle se demandait ou elle était.

Mikaphile

Un des grands garçons avait sauté du banc et était venu à sa rencontre, se présentant comme un petit homme, avant de retourner s'attabler devant du lait fumant apporté par Sonia.
La presque vielle l'avait regardé attendrie, avant de s'avancer à table, où elle ne trouva de la place qu'en soulevant une charmante fillette pour la prendre sur ses genoux.

C'est qu'il y en avait, du monde ! deux paires de jumeaux, à en croire leurs tailles respectives, une nourrice, une gouvernante ....

Et encore heureux que Sonia l'ait dérangé !
Sinon, il aurait déballé sa vie à vous faire attraper une migraine.

Ne vous en faites pas, Dom, laissez le donc parler, ce petit !

Puis, s'adressant à la mignonne qu'elle avait sur les genoux :

Tu aimes la confiture de framboise, ma jolie ?

Et à son père :

J'en ai fait ce tantôt, vous les autorisez à venir avec moi au coin de la cheminée, racler le chaudron dans lequel elle a cuit ? Faites moi penser de vous donner un pot pour eux, quand elle aura refroidi, mais il faudra attendre quelques semaines avant de la manger, trop fraîche, elle n'est pas si bonne.
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Valerien

Encore attablé , Valérien n'arrêtait pas de suivre la dame blonde des yeux.
Qu'est ce qu'elle ressemblait à Margot , sa future fiancée !
Lorsqu'il la vit commencer à monter l'escalier, juste devant Alexandrine , le gamin sauta du banc , aussitôt suivi du chien Chouchen et leur fila le train en s'écriant :

Attendez moi...Ze viens avec vous !

Et tant pis pour la confiture de framboises...

Domdom

L'air amusé , Domdom regarda son fils et le chien Chouchen rejoindre Sonia et Alexandrine dans l'escalier.
Il ne les lâcha du regard que quand ils eurent disparu à l'étage.
Décidément, son ainé était particulièrement attiré par les blondes.

Puis l'encapouché se tourna vers Miquette , qui avait entrainé la brune Katell vers une marmite qui ronronnait dans l'âtre :

Faites donc mon amie.
Mary ne sera pas contre le fait que vous la déchargiez d'une partie de sa tâche.

Puis, désignant un petit garçon silencieux aux cheveux châtain bouclés , qui suivait les nervures du bois de la table :

J'en profite pour vous présenter Adelin , le petit frère de Valérien.
Il a quatre ans

Et enfin, l'encapuché se leva pour prendre un petit blond de deux ans dans ses bras , tout en continuant :

Et voici Aubry , frère jumeau de la fillette que vous tenez dans vos bras.
Aussi blond que sa soeur est brune

Son fils toujours dans les bras, le conteur s'approcha de la Bretonne et huma la bonne odeur qui émanait de la marmite :

Ca m'a l'air très appétissant, ma Nattée...
Même pour des restes !

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Tombé au champ d'honneur sous les coups de la tyrannie

Aloe_sonia

Sonia se retourna lorsqu'elle entendit une voix dire :

Citation:

- Attendez moi...Ze viens avec vous !

Elle s'arrêta sourit et dit :

- Venez beau prince, vous me direz quelle chambre vous plait?

Elle attendit qu'il arrive à son niveau et lui tendit la main.

Mikaphile

La Bretonne avait regardé d'un œil amusé le petit bout d'homme disparaître dans les escaliers à la suite de Sonia.

J'en profite pour vous présenter Adelin , le petit frère de Valérien.
Il a quatre ans

Quatre ans ? il était grand pour son âge, elle l'avait cru jumeau de celui qui venait de monter !

Son ami lui présenta encore le frère de la petite qu'elle avait dans les bras. Il ne lui avait toujours pas dit son nom, à cette petite.

Elle posa la petite par terre près de la cheminée, lui recommandant de ne pas trop s'approcher, pour ne pas se bruler, le chaudron était encore très chaud.

Elle prit une cuiller, et commença à racler les bords de la marmite, passant la cuiller à la petite pour qu'elle goûte la confiture encore tiède.

Approchez, les gourmands ! Dom, prenez une autre cuiller et aidez moi, je ne veux pas risquer que vos bambins se brûlent en raclant eux mêmes
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Au Chaudron Buveur : Taverne-Auberge...

Dellacasa

Elle souriait à ces mots .

Pour être mort .. ça l'est, vraiment ! On va bien les réveiller, j'sens qu'j'vais m'donner à fond, moi !

Puis Elle prit une chope et commença à sirotter doucement en l'écoutant .

C'est vrai qu'on voit toujours les mêmes têtes en halle .. Alors au bout d'un certain temps .. L'ennuie prend place ! S'pas faux ça hein ?
J'espère vous voire toujours aussi présente en halle, ET en taverne ! Continuez, vous allez voire que certains vont vous suivre dans votre chemin de folie !
Besoin de vous comme besoin de tout le monde ! C'est juste que je vous trouve un peu plus "agitée" que les autres, je me dis enfin une personne qui déteste le calme autant qu'moi ...
Et les nouveaux habitants j'essaie doucement de les attirer en halle !
Vous aurez surement l'occasion de les connaitres, enfin j'espère !

Elle dit ces mots puis vida le reste de son verre d'un trait

H2d2

Hersande rentra dans la taverne

Bonjour Mes Dames. Comment allez vous?

Puis se tournant vers la tavernière.

Un ballon de Bourgogne s'il vous plait. Du 1456 si vous avez.

Puis récupérant son verre, il commença à le siroter tranquillement en laissant discuter ces jolies femmes.

Lulli

Elle fut surprise du ton de Dame Gertrude à l'encontre de Mary, ce demandant ce qui pouvais provoquer pareil animosité. Elle ne protesta cependant pas, laissant un peu en suspend ses réponses.

Elle sourit à Gertrude, le temps de reprendre le fil de la conversation.

Je... tout c'est passer très vite... Je dormais un peu. Il m'a frapper la jambe pour que je ne puisse pas fuir. Il était énerver d'avoir tenter de me voler parce que je n'avais rien sur moi à part un morceau de pain et trois écus. Et puis... il... il...

Son regard s'affolait un peu, elle se forçat à se calmer et à regarder son interlocutrice.

Il m'a forcé à faire des choses innommable.

Un long frisson parcoure son échine, comme une bête traquer elle se recroqueville et dit tout bas.

Je... j’attends un bébé de lui...

Sunev

C'était un plaisir d'entendre la voix mate et veloutée du conteur. Elle se remémorait les histoires qu'elle avait eu la chance d'entendre de sa bouche.
Elle le regardait parler et se mit à sourire.
Non, c'était bien toujours le même!

Elle finissait sa tisane quand Dom lui fit signe d'embrayer le pas à la vieille bonne femme. C'est ce qu'elle fit.
Blonde, mais sage.
Elle fit à peine trois pas que Dom l'arrêta.

Laissons la mitonner un peu mijoter dans son jus

Tu es dur avec elle!
J'espère que tu joues au coq parce que je suis là et que d'habitude t'es plus sympa avec elle!

Elle ne put s'empêcher de rire des facéties de son ami.

Raconte moi un peu ce que tu deviens
Et Seb, comment va-t-il ?

J'aurais peut être du commencer par ça, non ?
Tu te rends compte à quoi tu as échappé, Sun ?
Tu aurais pu épouser un goujat encapuché , manquant singulièrement d'éducation !

Oh bah tu sais moi...
Y'a pas grand chose à raconter.
Toujours blonde et toujours fiancée à Seb justement.
Seb va bien aussi même s'il semble pas pressé de m'épouser. Il doit hésiter tuvois...

Sourire en coin comme pour répondre au sien puis ajoute d'un ton malicieux.

Tu te rends compte à quoi il s'expose, Dom?
Il aurait pu choisir de se fiancer à n'importe quelle brune qu'il aurait trouvé mais nan! Il tombe sur moi!
Après il traine il traine... J'ai deux hypothèses pour expliquer cela:
La première, c'est qu'il a vu ma vraie nature, n'ose pas se désengager mais repousse l'échéance de son suicide marital programmé.
La seconde c'est qu'il est toujours amoureux de sa mule et qu'il regrette de l'avoir laissée pour moi.
Il se laisse une chance de la retrouver mais comme il n'a pas envie d'être seul, il me garde sous l'coude en attendant.

Mouais en quelques sortes, ces deux hypothèses se recoupent hein?
T'en penses quoi toi?

Réfléchit un instant puis:

Bon on peut rejoindre Gertrude maintenant?
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Domdom

Dom avait laissé la vieille vipère lâcher sa bile sans répliquer.
L'heure n'était pas à l'affrontement , mais plutôt à l'apaisement et à la recherche d'une solution pour la pérennité de l'auberge.
Et puis Mary et Michel étaient tellement habitués à ses prises de bec avec Gertrude, qu'ils n'y prêtaient même plus attention.
De toute façon, au vu de l'état physique de Mary, il paraissait évident qu'elle rêvait d'un bon sommeil réparateur.
L'encapuché lui répondit affectueusement:

Pas de problème, Mary
Allez vite vous reposer et vous nous raconterez vos aventures quand vous serez plus en forme

Puis, après une petite pichenette taquine sur la joue de la rousse , comme au bon vieux temps , il enchaîna:

Cà tombe bien, car je dois avoir une conversation importante avec Gertrude et Sun concernant l'avenir de l'auberge
Et vu comment est remontée la rombière , ça risque d'être épique

Le calvaphile accompagna sa dernière saillie d'un petit sourire complice , suivit un moment des yeux le couple qui commençait à monter l'escalier , puis tourna les talons et entra dans la cuisine.

Gertrude et Sun l'attendaient : l'une assise à table à éplucher ses légumes, l'autre , devant le chaudron dont l'eau bouillonnait dans l'âtre.
S'asseyant d'un air las, l'encapuché planta ses yeux dans le visage parcheminé de Gertrude et se lança , après avoir poussé un petit soupir :

Gertrude , il nous faut parler sérieusement de l'avenir du Chaudron Buveur
Vous, moi et Sun

Dom appréhendait un peu la réaction de la vieille à ce qu'il allait lui proposer , mais il n'entrevoyait pas d'autre solution.
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Tombé au champ d'honneur sous les coups de la tyrannie

Dame_gertrude.

La vieille servante était occupée à rentrer le bois dans le cellier attenant à la cuisine, corvée dont s'acquittait habituellement demoiselle Lysbeth.
Mais la jeune maman n'avait pas reparu à l'auberge depuis plusieurs jours déjà , ce qui inquiétait sérieusement Gertrude.

C'est en se relevant difficilement, le dos complètement cassé par l'effort, qu'elle crut entendre la porte d'entrée de la salle s'ouvrir, puis la voix du conteur appeler.

La première réaction de Gertrude fut l'incrédulité : comment se pouvait il que ce soit lui, alors qu'il était parti depuis des mois et avait claironné sur tous les toits qu'il ne mettrait plus les chausses en Bourgogne ?

Soupirant un grand coup, elle lâcha la bûche qu'elle avait en main , s'essuya les mains sur son tablier et se dirigea vers la salle, après avoir traversé la cuisine.

Malgré sa mauvaise vue, elle reconnut la silhouette de l'autre escogriffe, assis à table et qui semblait penché en avant .
C'était bien lui, hélas
Essayant de cacher son désappointement concernant des retrouvailles impromptues qu'elle ne désirait manifestement pas , elle répondit d'un ton neutre:

B'jour m'sire Dom
J'v'z'attendais pas
J'pensais même plus jamais vous r'voir , pour dire vrai

Gertrude s'avança vers la table où se tenait son interlocuteur, afin d'essayer de voir ce qu'il était en train de fabriquer, puis continua :

Des chambres de prêtes , y'en a
quand j'vois l'monde qu'y a actuellement à Dijon, j'me d'mande où ils logent tous
Surtout par un temps pareil !

Puis, après s'être approchée de la cheminée de la salle , elle enchaina :
Une seule chambre, alors ?
Vot' p'tite famille n'est point avec vous ?

Gertrude le regardait se chauffer les pieds devant la cheminée, espérant de tout coeur qu'il lui réponde que sa ménagerie n'était pas à Dijon.

Mary.

Voilà bien longtemps qu'ils avaient quitté Dijon, son Michel et elle. Et après un séjour à Genève, une tentative de retour qui s'était soldée par un repli rapide sur la Franche Comté, la Bourgogne étant à feu et à sang à ce moment là, et un brigandage entre Saint Claude et Genève, après une tournée des villes savoyardes, où ils avaient croisé le patron au début de leur séjour à Bourg, ils revenaient enfin s'occuper un peu de leurs champs.
Où aller prendre pension si ce n'est au Chaudron Buveur, qui avait abrité leurs amours naissantes ? Ils y retrouveraient vraisemblablement Alexandrine et les gosses du conteur, ce dernier ayant certainement été trop occupé pour enfin leur trouver un logis digne de ce nom...

C'est ainsi que la rousse gouvernante poussa la porte de l'auberge, ce matin là, et fut témoin bien malgré elle, depuis le couloir d'entrée, de la fin de la conversation de la vieille grognonne et de la jeune femme qui lui faisait face.

Elle entra dans la pièce et vint se planter près de la table.

Bj'our Gertrude, b'jour mamzelle, y m'semble qu'on s'était croisées, c't'hiver, avant mon départ en voyage ?
Faut pas dire des choses comme ça, Gertrude, Y sont pas tous comme ça, les hommes ! Regardez mon Michel, depuis c't'hiver qu'il m'a attirée dans sa couche, comme vous dites, ben il a jamais songé à m'quitter ! Et pis ça l'a pas empêché d'me faire voyager ! Vous verrez, mamz'elle, j'suis sûre qu'vous trouv'rez un jour un gars bien, vous aussi. Dit-on pas qu'chaque marmite a son couvercle ?

Pis dame Gertrude, lui faites pas peur avec vos histoires de chat dans l'horloge ! D'puis c't'hiver Michel m'a pas mise grosse, pourquoi voudriez vous qu'son galant lui ait laissé un polichinelle dans l'tiroir ? ça s'rait vraiment pas d'chance, pour le coup !
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--Dame_gertrude

Gertrude essuyait la vaisselle, depuis un certains temps, elle avait beaucoup de travail. Si ce n'était pas les chambres, c'était de faire la cuisine ou sinon de ranger, toujours ranger...

Elle vit une blonde s'approcher et finit par la reconnaitre quand elle déposa son écu et demanda une chope. C'était Gabrylla.

- B'soir et bienv'nue au Chaudron buveur, Une chope? c'est parti mon kiki.

Ce matin, elle était d'humeur joyeuse, Sonia n'était pas dans la taverne, donc elle ne recevrait pas d'ordre. Sauf si... Son frère Dom' arrivait, il lui donnerait des choses à faire, c'est sur.
Il aime tellement boire, qu'il la surveillait à chaque fois qu'elle allait ranger les bouteilles.
Mais elle ferait attention dorénavant.

Pour l'instant, aucun des deux, donc elle mit la pièce dans sa poche et posa une chope devant Gabrylla.

Domdom

La plume crissait sur le vélin en un petit bruit rappelant vaguement un grignotement de souris.
De temps à autre, l’encapuché tournait la tête vers Sonia, essayant de la réconforter , un beau sourire d’espoir aux commissures.
Dom avait remarqué que sa soeurette forçait le sourire qu’elle lui rendait : il aurait tant voulu qu’elle partage son enthousiasme.

Tout en écrivant au capitaine breton , le conteur s’adressait à la blonde tribun :

Tu sais Sonia , ce genre de choses peut très bien arriver après la bataille.
Je ne t’en ai jamais parlé , mais j’ai été militaire , dans le passé….

Léger voile qui passe devant le regard du brun , en souvenir de son enrôlement de force dans l’armée d’Artois et des guerres contre l’Angloys.
Il continua cependant sa missive, tout en soliloquant :

J’en ai vu des enchevêtrements de corps aux membres arrachés, des visages réduits en bouillie , complètement méconnaissables…
Alors , je ne serai nullement surpris qu’on ait confondu un autre soldat avec Miquette.

L’air dégoûté que prit le visage de la blonde Dijonnaise en entendant ses paroles bien crues , l’obligea à trouver un argument plus positif.

Et si ça se trouve , on recevra bientôt une missive de la Nattée, nous donnant de bonnes nouvelles …
Qui sait ?

C’est sur cette note d’espoir que le grand brun finit sa missive, séchant l’encre en agitant le parchemin d’un geste régulier, puis la cacheta.

Après avoir attrapé bien difficilement le volatile breton (aussi têtus que les humains de la même contrée , c’t’engeance !) , il le relâcha, par la fenêtre ouverte , muni de sa missive :

Allez…Retourne d’où tu viens , bel emplumé
Et ramène moi de bonnes nouvelles

Observant le vol un peu lourd du voyageur ailé , Dom fut alerté par le bruit d’une porte qui s’ouvre, suivi de piaillements et d’une cavalcade dans l’escalier : Enfants, nourrice , gouvernante , ainsi que le chien Chouchen venaient le rejoindre dans un joyeux tintamarre : ils étaient prêts pour aller au marché .

The show must go on* … murmura l’encapuché.

* Petite pensée pour Freedy Mercury
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Tombé au champ d'honneur sous les coups de la tyrannie

Dame_gertrude.

[x]

Lulli

Elle sourit en voyant la tenancière arriver.

Oui, je suis déjà venue ici, avant mon départ pour l'Italie, j'y avait croiser Messire Dom. Je suis Lysbeth. Merci pour le vin.

Elle s'attendait à cette question et était incapable de mentir, elle répondit donc en baissant un peu la voie.

J'étais partie en voyage avec mon ami mais il à préférer continué la route avec une autre femme, alors je suis allez seule à Venise et je suis revenu à Dijon. En passant par le cote, je me suis fait agresser plusieurs fois. Voilà pourquoi j'ai la jambe blesser.

Elle aurait aimé dire qu'on l'avais aussi forcé à bien pire mais elle préféra se taire, sa grossesse ne se voyait pas encore de trop, et cela viendrai bien assez vite d'avoir à justifié cela au yeux de tous. Elle regarda Gertrude et lui sourit.

Et vous, tout va bien ici ?

Dame_gertrude.

Laissant les deux femmes bavarder entre elles , Gertrude était allée préparer une tisane [Le thé ne sera introduit qu'au 17 ème siècle en Europe] pour la soeur de sa regrettée patronne , puis en profita pour verser une lichette de vin au romarin dans un verre pour la dénommée Pralyn.

Elle tendit pour l'une son verre et pour l'autre sa tasse , en leur souriant, de sa bouche édentée :

Et v'là un' tisane à la valériane pou' vous, dame Sun
Mais prenez garde de n'point vous brûler, c'est chaud !

Quant à vous , demoiselle Pralyn , ça, c'est un verre de vin au romarin, en guise de bien venue au Chaudron Buveur.

Quand v'l'aurez bu, on montera à l'étage et j'vous montrerai vot' chambre

Sunev

La boisson chaude lui faisait du bien.
C'est qu'elle avait eu si froid dehors....

Elle s'amusait de voir les volutes de vapeur s'échapper de sa tasse et soufflait doucement dessus pour y faire apparaître quelques fantasmagoriques figures.

Des bruits de pas qui finissent de descendre l'escalier.

Une silhouette qui passe.

Un conteur qui s'installe face à elle.

Dom!

Bien le bonjour ma tite Belette.
Merci d'être passée aussi vite.
J'imagine que tu as bien reçu ma missive?

Elle lui lance un immense sourire puis d'un bond se lève pour le bisouiller par dessus la table.

C'est toi? C'est bien toi?
Ca fait si longtemps!
Laisse-moi te r'garder!
T'as pas changé d'un iota!
Quelques rides tout au plus
Rires en cascades de la blonde qui reprend de plus belle son babillage irrepressible.
Biensur que je l'ai reçu ta lettre sinon qu'est-ce que tu crois que j's'rais venue faire ici hein?
Bon alors?
Qu'est-ce que c'est que cette histoire de taverne?
Elle est très belle d'ailleurs et dame Gertrude est bien comme tu me l'avais décrite sauf qu'elle a l'air très gentille contrairement à c'que tu m'as écris.
Oh! Je parle je parle mais ma tisane va refroidir!

Elle prend la tasse en main et la porte à sa bouche pour aspirer une gorgée de liquide mais fait bien vite la grimace car c'est encore brûlant.

Ouh! C'est chaud!

Sun prend la cuillère et touille.
Elle souffle un peu plus fort sur le breuvage aussi.
Ce faisant elle observe Dom qui va se servir une bière avant de revenir s'asseoir face à elle.

Tsss! Une bière? A cette heure?C'est pas bien raisonnable ça!

Que penses tu de ma proposition , Sun ?

J'en pense j'en pense... Que tu vas devoir m'expliquer un peu plus de quoi il en retourne.
J'ai transmis aussi la proposition à Seb. Y'a plus qu'à attendre pour lui...
Il viendra peut-être si j'lui laisse acheter une mule et la caser dans l'étable à côté...

Hausse les épaules d'un air de dire: j'en sais rien. On verra bien.

Tu sais Dom, moi j'y connais rien aux tavernes.
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Domdom

C'est qu'elle n'allait pas s'en tirer comme ça, la vieille chouette !
L'encapuché n'avait pas eu le temps de lui répondre , que la Gertrude avait déjà coupé court à la conversation.
Pourtant, il avait des choses à lui dire, le grand brun.
Plongeant son regard dans la marmite qui continuait de chantonner dans la cheminée , il entendit soudain une voix féminine provenant de la salle commune.
Une voix féminine qu'il aurait reconnue entre cent mille autres !

Non....Celà ne pouvait être.....

GABBYYYYYYYYYY !!!!

Et le conteur de gicler hors de la cuisine, comme un diable sorti de sa boîte, de se précipiter dans la salle et se serrer son ami entre ses bras et de la faire virevolter autour de lui , en disant :

Te voilà enfin revenue, mon amie...
Quelle bonne nouvelle !

Puis, l'entraînant avec lui vers la grande table de châtaignier :

Viens...Viens vite toute me raconter, blondinette
Ca fait si longtemps !
Je veux tout savoir...

Puis, se tournant vers Dame Gertrude :

Pour moi, ce sera une bière, Gertrude
Et fraîche , hein ?

Les yeux brillants comme un gosse, écoutait Gabrylla parler
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Tombé au champ d'honneur sous les coups de la tyrannie

Dame_gertrude.

Un bruit de porte qui s'ouvre détourna Dame Gertrude de sa conversation avec Lulli.
Sa mauvaise vue l'empêchait de discerner précisément qui venait d'entrer, mais la vieille servante reconnut quand même une jeune femme aux cheveux blond vénitien, qu'elle avait déjà remarquée plusieurs fois, en compagnie du conteur.

En parlant de l'autre malotru, elle se rendit compte que la gouvernante de ses mioches avait disparu .
Sans doute était elle discrètement montée à l'étage, où le conteur louait encore deux chambres , pour sa famille, alors que lui même allait se prélasser dans la couche d'une veuve, c'était de notoriété publique, à Dijon.

Elle se releva avec difficulté, attendant quelque temps que la circulation sanguine se rétablisse dans ses vieilles jambes.
Clopinant vers la table où s'était assise la nouvelle arrivante , elle l'interpella de sa voix haut perchée :

Bien l'bonjour, demoiselle..
Ce s'ra quoi , pour vous ?

Domdom

La nuque et chacune de ses chevilles reposant sur le bord du baquet , le grand brun savourait , les yeux clos , les bienfaits d'un bain bien chaud , pris dans sa chambre.

Quel plaisir de se détendre , après ces derniers évènements crispants , qui l'avaient fait revenir au triple galop à Dijon.

Il avait dû se coltiner lui même, dans l'escalier , le baquet , ainsi que les seaux d'eau bouillante .
Il fallait bien se rendre à l'évidence : la vieille ne pouvait plus tout assumer toute seule dans l'auberge.
Il faudrait recruter des bras supplémentaires, jeunes et vigoureux, si possible.
Domdom avait déjà sa petite idée sur la question : Lison , la fille du père Thomas, serait tout à fait capable de seconder Gertrude et Lulli, si cette dernière revenait un jour.
De plus, le père Thomas verrait d'un bon oeil le placement de sa fille à l'auberge : ça lui ferait une source de revenus supplémentaire, et 'une bouche de moins à nourrir.

Restait encore à trouver quelqu'un de confiance pour s'occuper de la gestion courante de l'auberge : tenue des comptes et relations avec les fournisseurs , notamment.

Le conteur y avait déjà réfléchi au problème et un nom s'était imposé à son esprit : Sunev ...
Il savait la blondinette apte à s'acquitter de cette tâche , qui ne nécessiterait pas non plus une présence de tous les jours.
De plus, Sun était la soeur Sonia, propriétaire de l'auberge , dont personne n'avait de nouvelles depuis plus d'un an.
Restait maintenant à convaincre la Belette , ainsi que son barbu de fiancé.
Plongeant le buste et la tête en totalité sous l'eau, Domdom se prit à imaginer Sun et Seb, gérants du "Chaudron".
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Tombé au champ d'honneur sous les coups de la tyrannie

Dame_gertrude.

Occupée à essuyer des verres dans la salle commune vide de clients , la vieille servante tourna la tête et sourit de sa bouche édentée , lorsqu’elle entendit la jeune femme entrer.
C'est qu'elle l'avait reconnue bien avant qu'elle ne dise un mot , la petite blonde !
Pour compenser ses problèmes de vue , Gertrude avait appris à identifier les gens rien qu’à leur façon de bouger ou de se déplacer

Demoiselle Lysbeth…Qué bonne surprise !
Vous vous faisiez si rare par ici
J’ vous avais r’connue d’suite
Elle a ben mauvaise vue , la Gertrude, mais encore l'ouie fine, v’savez !

Citation:

Bonjour Gertrude ! Vous allez bien ? cela fait un moment que je ne suis pas passer ici... j'ai plusieurs choses à vous dire mais avant tout j'ai quelqu'un à vous présenté...

C'est qu'elle était ravie de revoir la petite jeune fille, si mal en point , qu'elle avait accueilli il n'y a guère , avec sa démarche boiteuse et sa canne , et pour laquelle elle s'était prise de tendresse.
Tout en envoyant une main parcheminée caresser la joue de la jeune femme , qui s'était approchée d'elle , elle lui répondit d’un ton las :

Oh v’savez, la santé à mon âge…
Si j'vous contais tous mes p 'bread malheurs, y en aurait jusqu'à d'main , demoiselle Lysbeth

Elle avait à peine fini sa phrase , qu'elle remarqua que son interlocutrice tenait un tout petit bébé emmailloté entre ses bras
Le visage ridé de la vieillarde s'illumina d'un petit sourire :

Ah ben çà y est
Z'avez enfanté, ma fille ?
Bien bel enfantelet que voilà !

Puis, se rappelant les conditions bien particulières de la conception du poupon, elle ajouta:
Tout l'portrait d'sa mère, à part les cheveux

Gertrude n'avait jamais été très portée sur les enfants .
Ca fait du bruit et c'est source d'embêtements , les mioches .
Elle était bien contente que le conteur et ses gamins aient déménagé hors de la ville, elle ne pouvait plus supporter les cris et les allées et venues de tout ce cheptel , la Gertrude.
Elle avait toujours refusé d'en avoir, au grand désespoir de son Gaston , qui l'avait noyé dans l'alcool.
A vrai dire, y avait pas besoin de le pousser fort , le Gaston, pour qu'il tombe dans le tonneau !

Gertrude fut alors alors sortie de ses songes par les derniers mots de la jeune blonde, qui lui résonnaient dans la tête :Je... je voulais savoir si vous accepteriez que je vous aide ici...

Plissant les yeux, elle se pinça la peau ridée de son dos de main, pour se demander si elle rêvait.
Mais Lysbeth continuait, de plus belle :

Citation:

Avec ma petite, je suis tout le temps seule, ici il y a du monde mais je ne puis rester en taverne tout le jour sans travailler... je me demandais si vous ne serriez pas d'avis de m'apprendre votre métier, que je le face avec vous.
Si il y a une chose que je ne sais pas faire c'est bien de compter les sous mais si vous ça ne vous pose pas de problème, je pourrai vous aidé pour nettoyer la salle ou servir quelques clients, et même pour arranger les literies dans les chambres au premier...

La gorge serrée , tenaillée par l'émotion , la vieille servante arriva enfin à répondre difficilement,tout en serrant nerveusement l'avant bras de la blondinette :

Si j'veux ben d'vot' aide, Lysbeth ?
Mais ben sûr que oui !
Y a r'en qui m'ferait plus plaisir...

Puis, elle enchaîna,les larmes aux yeux :

V' savez...
J'me sens si seule depuis que Demoiselle Sonia, la patronne est partie.
Ca fait un grand vide .
Et puis, ce métier , c'est plus trop d' mon âge
Place aux jeunes

Un gros reniflement ému plus tard:

Par contre, pour vot' salaire, va falloir voir avec son frère, l'conteur !
C'est lui qui s'occupe des chiffres
J'arrive déjà à compter les écus avec ben du mal, alors faut pas m'en d'mander plus.

Gertrude était heureuse de la proposition de sa nouvelle amie.
Le plus dur serait de demander l'accord de l'autre gougnafier , qui se prenait pour le patron.

Sortant une bouteille de vin au romarin et deux verres, qu'elle remplit d'une main tremblante, elle continua, un petit sourire aux lèvre :

Allez ...Ca mérite ben un p'tit coup d'gnôle, ça , hein?

Dame_gertrude.

Gertrude était tout occupée à essayer de réconforter la blondinette , quand elle aperçut ,malgré sa mauvaise vue, l’autre peste de gouvernante des braillards du conteur , ouvrir la porte d’entrée et se mêler d’emblée de leur conversation.

Elle était déjà rentrée de voyage , celle là ? En tous cas, elle ne lui avait pas manqué.
Autant elle aimait bien Alexandrine, la brave fille qui servait plus de bonniche que de nourrice des gosses, qu’elle avait du mal à supporter la rousse avec son air déluré et son côté sans gêne.
Quelle effrontée !
Et pour couronner le tout, elle avait ramené son galant à l’auberge, sous les yeux des gamins qu’elle était censée éduquer.
Belle moralité !
Et évidemment, le conteur ne s’en était même pas offusqué.

Sans se retourner vers la nouvelle arrivante, la vieille lui répondit , après que la rousse eut fini de parler :

Plutôt que d’la ramener, allez vous servir quequ’chose à boire, Demoiselle Mary…
Z’avez pas b’soin d’ moi pour ça
Vous savez bien le faire vous-même , habituellement

Puis, après avoir écouté Lysbeth, elle ajouta :

Et n’oubliez pas de payer !

Sa vieille main toute fripée toujours posée sur celle de Lysbeth , Gertrude l’écoutait toujours, puis se pencha péniblement sur le côté , quand la jeune blonde lui désigna sa jambe blessée :

Didiou…Il vous a pas ratée, celui qui vous a fait ça !
Y z’était plusieurs ?

Malgré sa mauvaise vue, la servante avait bien remarqué les gestes et les regards embarrassés de la petite femme au sourire si triste, assise face à elle
C’est qu’on ne lui fait pas, à la Gertrude !
La petite Lysbeth devait certainement cacher quelque chose d’autre.
Quelque chose de certainement plus douloureux qu’une jambe blessée

D’un hochement de tête , elle encouragea son interlocutrice à se confier davantage :

Racontez moi donc comment ça s’est passé …

Lulli

Lysbeth fut surprise du geste tendre de la vieille dame et lui sourit, cela faisait longtemps qu'on ne l'avais un temps soit peu maternée. Elle sourit encore en entendant les exclamations à propos de l'enfant, Gertrude comprenait ce qui la chagrinait et cela lui faisait plaisir.

Oui, elle à les cheveux bien sombre... mais... ça... ça lui ira sans doute bien...

Lysbeth se demandais si la Gertrude allait l'accepter et en entendant ses mots, elle ne pus s’empêcher de sourire... Au moins elle fessais deux heureux, le patron et la servante d'une pierre de coup.

J'ai connu un peu Demoiselle Sonia il me semble il y a longtemps... je suis désoler de sa perte...

Elle posa sa main sur le bras de Gertrude et lui sourit.

Pour le conteur, je m'en charge, ne vous inquiétez de rien ma dame Gertrude,je le connais un peu... et je pense qu'il m'aime bien !

Elle sourit très rassurer, Dom était vraiment très médisant quand à cette femme adorable, évidement qu'elle voulais bien de son aide et qu'elle en était contente, même l'enfant ne l'avais pas trop déranger... non vraiment, Dame Gertrude et elle ferrait une bine belle équipe pour cette taverne un peu délaisser... Elle sourit à Gertrude qui lui tendais un verre et le levât bien haut :

A notre collaboration Madame Gertrude et longue vie à la taverne !

Elle but en souriant, déposât son enfant endormis dans ses couvertures, se tourna souriante vers Gertrude.

Je commence par quoi ?

Michelkourou

La première impression qu'eut Michel en poussant la porte de l'auberge était qu'il en était parti la veille, alors que plusieurs mois s'étaient écoulés.
il tenait la main de Mary, la pauvre était encore si faible qu'elle se cramponnait à lui de peur de vaciller
"Y'a t'il âme qui vive dans cette maison ?Gertrude vous etes là?" Il était pressé d'étendre sa bien aimée dans leur chambre préférée afin qu'elle se repose pendant qu'il lui commanderait un bon repas.
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Aloe_sonia

Sonia arriva du marché, le panier plein de provision.
Elle avait le projet de fabriquer une charrette, mais il lui manquait des stères de bois, et le prix ce matin était trop chers.
Elle remit donc son projet à plus tard.

Elle espérait voir Gertrude, qui pourrait l'aider à la débarrasser du panier qui devenait de plus en plus lourd.
Elle poussa la porte et s'arrêta un court instant.

Elle remarqua une silhouette attablé, avec une capuche qui ne lui était pas inconnu.
Elle posa son panier et courut vers son frère.

- Dom'!!! Tu es arrivé quand? tu vas bien? Et ton voyage?

Elle le bisa très fort et lui sourit et près de lui et resta pendu à ses lèvres, l'écoutant avec beaucoup d'attention.

Sunev

Gertrude part accueillir les visiteurs, bientôt suivie par Dom.

Désolé, ma belette
Je vais saluer des amis que je n'ai pas revus depuis bien longtemps
Tu dois les connaître aussi non ?
Il s'agit de Mary et Michel

Oui Dom... Je me rapelle d'eux.

Elle s'en rappelait certes, mais pas au point d'aller s'immiscer dans des retrouvailles.

J't'en prie va donc leur dire bonjour.

Sun regarda tout autour d'elle, dans cette cuisine ou régnait un âtre dans lequel était suspendu un gros chaudron suspendu sur une crémaillère.
Ca sentait bon le chou.
Elle s'approcha du chaudron et huma le parfum qui s'en dégageait.

Hummm!
J'en piquerais bien un p'tit morceau moi...
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Gabrylla

La demoiselle remarqua que Sonia n'était pas là et qu'elle devait donc être partit faire une promenade, ni Dom ou Dylan...enfin venant de Dylan, elle n'était pas surprise, lui qui voulait jamais sortir en ville...
Gaby regarda Gertrude préparer sa choppe puis la déposer devant elle et mettre l’écu dans sa poche, la jeune femme souris et la remercia poliment, elle bu une gorgée et dit à la vieille Dame :

Hum..Georg..euh, Gertrude ?? Comment allez-vous ?? Gaby lui sourit avec son petit air malin. Sonia n'est pas présente ??

Gaby bu quelque gorgée en écoutant la vieille tavernière...

Dame_gertrude.

Elle avait peut être une vue de taupe, mais elle avait encore l'ouie fine, la Gertrude !
Aussi , encore dans la cuisine, entendit elle la porte de l'auberge s'ouvrir en un petit bruit de crissement, juste après qu'elle se fut débarrassée du conteur.
Et c'est en clopinant qu'elle se dirigea vers le comptoir, pour y accueillir une jeune femme blonde, qu'il lui semblait déjà avoir vue à l'auberge.

Citation:

Hum..Bonjour ! Je pourrais avoir une tisane s'il vous plait ?? Légère sa serais parfait...

Après avoir ramassé les pièces, que la cliente avait fait rouler sur le comptoir, avec une vitesse et une précision insoupçonnables pour une personne de cet âge, elle se retourna pour préparer le breuvage demandé, tout en questionnant la blondinette :

M'est avis qu'on s'connaît, non ?
Z'êtes déjà v'nue ici
Et plusieurs fois, si j'me trompe pas....

Michelkourou

Merci chère madame, c'est bien aimable à vous de m'accueuillir à cette heure tardive

Il emboita le pas à la vieille dame tout en regardant Mary , il ne pouvait détacher son regard de la jeune fille il etait comme hypnotisé, il aurait voulu graver au fond de sa rétine son sourire et l'emmener dans son sommeil, peu lui importait l'état dans lequel il allait trouver la chambrée
Il réussit à balbutier quelques mots :
Bonne nuit Mary, n'oubliez pas de venir me reveiller pour vous accompagner au marché
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Dame_gertrude.

Gertrude avait laissé la demoiselle et l'autre gougnafier discuter ensemble et s'en était retournée dans sa cuisine.

Encore une fois , il lui avait coupé la parole, le conteur.
Elle n'avait même pas eu le temps de répondre à la jeune blonde , qu'il se l'était accaparé, sans se soucier le moins du monde qu'il dérangeait une conversation .

Le savoir vivre n'était pas son fort, à celui là !

En plus, il lui avait commandé une bière, comme à une domestique, sans un s'il vous plait" , ni "merci".

Qu'est ce qu'on lui trouvait ?
Déjà qu'il avait embobiné Mademoiselle Sonia , au point de se faire passer , en l'absence de la propriétaire des lieux, pour le patron de l'auberge.
Penser à sa jeune patronne , dont elle n'avait aucune nouvelle , tira une larme des yeux de la vieille servante.
Où pouvait elle bien être?
Que faisait elle ?
Pourquoi ne donnait elle pas de nouvelles ?

Même l'autre casse pied , dans la pièce d'à côté , n'en savait rien.
Une si longue absence devenait inquiétante.

Reniflant un bon coup , puis s'essuyant les larmes d'un revers de manche , Gertrude s'approcha de la porte de la salle , pour écouter un peu mieux la conversation d'à côté.
Des fois qu'elle apprenne des nouvelles sur ce que devenait Mademoiselle Sonia.

Mary.

Famélique, elle était, la pauvre Mary, et encore, si Michel n'était pas venu la chercher à Autun la veille, c'est mourante, qu'elle serait arrivée à Dijon.
Un premier brigandage entre Saint Aignan et le noeud à l'est de Bourges, elle avait perdu les quatre pains achetés pour la route, et les trois stères de bois qu'elle rapportait pour les vendre à un boulanger de Dijon.... suivi d'un deuxième brigandage entre ce noeud à l'est de Bourges et le noeud à l'est de Nevers ! Décidément les routes étaient peu sures, dans le coin ! Pauvre brigand, il avait du être bien désappointé de la brigander elle, qui n'avait plus rien, et pas ce riche marchand qu'elle avait croisé dans la nuit, dont la bourse tintinnabulait joyeusement à chacun de ses pas .... Il y en avait pour plus de cinq mille écus, au bruit que ça faisait.... Elle avait eu pitié de lui, qui avait passé sa nuit à attendre une proie pour ne rien trouver, elle lui avait montré ses trois tablettes, en compensation, celles qui permettaient d'aller apprendre l'arabe à Alexandrie, si on avait le courage d'entreprendre un tel voyage....
Enfin elle était de retour à Dijon, au bras de son Michel, et ils avaient convenu la veille de passer la première nuit dans la chambre du Chaudron buveur qui avait abrité leurs premières amours, plus d'un an auparavant.

Trop fatiguée pour héler elle aussi la vieille servante, elle murmura à l'oreille de son compagnon :

Vous croyez que la chambre que Dom avait louée pour moi quand je m'occupais de ses gosses est libre aujourd'hui ? J'aimerais tellement qu'on puisse la ravoir pour ce soir !
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Domdom

[Plus tard...Bien plus tard...]

L'encapuché ouvrit la porte du Chaudron Buveur en hésitant, presque timidement.
Arrêté sur le seuil, il balaya du regard la pièce commune , vide de monde.
Ce qu'il découvrit le rassura un peu :rien n'avait changé ici .
Comme si le temps avait suspendu sa course.

Alors que Dijon et ses alentours était devenue une véritable ruche bourdonnante , résonnant du bruit des bottes sur le pavé , du cliquetis des armes et des cris des soldats , l'auberge , que feue Sonia lui avait laissée , restait un ilot de calme et de sérénité au milieu d'un océan déchainé.

Mais ce calme n'allait pas durer bien longtemps.
La vieille chouette n'avait pas encore pointé le bout de son museau.
Etonnant...

Domdom s'assit sur le banc jouxtant la grande table de bois de chataignier et entreprit d'enlever sa pelisse de fourrure et ses bottes, cadeaux de Noel de Lena, sa vicomtesse d'amour.

Puis il interpela :

Gertrude...Lulli...
Y a quelqu'un ?
Je suis de retour !
Veuillez me préparer une chambre et un bon bain bien chaud
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Tombé au champ d'honneur sous les coups de la tyrannie

Aloe_sonia

[Quelques jours plus tard...]

C'est en charrette qu'elle avait quittée et c'est à pied qu'elle arriva à Dijon. Elle était parti rejoindre son frère Dom' à Chalon.

Après un court séjour à Bourg, ou la mairesse Eden lui était venue en secours, après son agression. Elle fut soulagée d'arriver enfin chez elle.

Un courrier lui réchauffa, le cœur, un courrier de Aryanha, le procureur de Dijon, ils avaient attrapé son agresseur et un procès était en cours.
Elle devait préparer un document, relatant les faits. Mais...
Oui, Sonia ne savait pas écrire, elle demanderait l'aide de Dom', c'est un conteur, il doit savoir faire ça.

Elle posa ses bagages, et monta à l'étage pour voir la famille de Dom'.

Domdom

Occupé à l’écurie , avec Valérien , son ainé , à soigner Robin , son vieux cheval , puis ayant sa charrette à décharger par la suite , l’encapuché avait laissé Sonia rentrer seule à l’auberge .
Ce n’est qu’après avoir bouchonné et nourri son vieux compagnon , puis s’être assuré qu’il ne restait rien dans la charrette , que le grand brun et son fils se décidèrent enfin à franchir la porte du « chaudron Buveur » , les bras pleins de bagages.

Il furent t surpris de ne trouver personne, ni dans la salle commune, ni dans la cuisine : pas de Sonia , qui avait laissé ses affaires auprès de l'escalier , ni de clients , ni même le reste de la petite famille du conteur , encore moins de Gertrude , la vieille sorcière qui secondait la patronne.
Cependant, le bruit de la marmite qui sifflait au dessus du feu dans la cheminée et la bonne odeur de soupe indiquaient que la ratatinée ne devait pas être bien loin.

Un peu déçu de ne pas avoir été accueilli par le reste de sa petite tribu , qui devait quand même être impatiente de le retrouver après une aussi longue absence , Domdom déchargea son bardas au sol , puis aida Valérien à en fair e de même.
Puis, il s’accouda à la rambarde de l’escalier permettant d’accéder aux chambres de l’étage , tout en appelant :

Y a quelqu’un ???
Ouh Ouh….
Sonia , Mary, Alexandrine…
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Tombé au champ d'honneur sous les coups de la tyrannie

Gabrylla

La blondinette l'écouta attentivement et sourit en le voyant guetté Gertrude, elle vit Dom poser la carte sur la table et leva un sourcil attentive.

Oui, dit moi tout

Elle l'écouta en regarda la carte, suivant son doigt et sourit tous en hochant la tête. Une fois Dom finit Gaby posa sa main sur celle de Dom et le remercia puis enleva sa main et lui répondit doucement

Merci Dom, c'est très gentil de ta part, mais je ne préfère pas...Tu le sais, je en veux pas...Lenada voyagera avec vous, et elle ne m'apprécie pas, je ne veux gâcher son voyage donc votre voyage. Vous seriez bien mieux tous les deux. Sa vous fera du bien à tous les deux de voyager ensemble et je ne veux m'interposer là dedans.

Elle s'arrêta un peu bu une gorgé de la choppe de Dom car elle avait finit sa tisane, replaça ses boucles blonde, sourit et continua

Je te remercie vraiment, mais je préfère me débrouiller, ne t'inquiète pas pour moi.
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Dame_gertrude.

Gertrude avait attendu un petit moment sur le palier de l’étage, avant de redescendre l’escalier de son pas prudent et hésitant de vieille femme.
En bas, dans la salle , le conteur ,attablé ,discutait avec la jeune femme blonde , la sœur de sa regrettée patronne.
Que pouvait il bien lui raconter ?
Gertrude, entendait des bribes de conversation, mais n’arrivait pas à former un ensemble cohérent dans son esprit.
Juste au moment où elle posait les pieds sur le sol de terre battue de la salle , l’encapuchonné la désigna à dame Sunev , d'un léger coup de menton.
Pas de doute : ils devaient certainement parler d'elle.
Instinctivement, la vieille servante se sentit sur ses gardes.

La meilleure défense étant l'attaque , Gertrude ne lui donna pas le temps de finir , qu’elle l’apostrophait déjà d’un ton n’amenant aucune réplique

Dame Pralyn a d’mandé l’baquet…
J’espère qu’vous l’avez vidé..
J’m’en vas y faire chauffer d’l’eau et finir d’ préparer la soupe
Par cont’, c’est vous qui y amènerez l’baquet et l’eau chaude…

Puis , elle ajouta , plus bas, d’un ton dédaigneux : Patron …

H2d2

H2 sourit a Gaby

Non sa ne s'arrange pas.

Citation:

Tu as essayez de mettre une pommade et de massez, sa te ferais peux être du bien ??

J'ai tout essayé Gaby sa ne marche pas. Je vais amputer peut être que sa ira mieux.

H2 sourit et but son verre en saluant les personnes qui arrivaient

Gabrylla

Gaby le regardait, souriante en buvant quelques gorgées, Dom lui avait vraiment man??qué, elle adorait passée du temps avec lui. Elle avait effectivement changer, le voyage l'avait fatiguée, beaucoup d'histoires...beaucoup trop...Et maintenant Dom était en couple, il aussi avait changer..beaucoup même mais est-ce que cela n'était pas mieux pour lui

Je ne sais vraiment pas non plus...C'est terrible dès qu'il y a une armée, je me la prend ! Pff...que des violents ! Pas possible, il ne connaisse pas la gentillesse, halala...Moi, petite et sans défense ! Et si parfaite...

La blondinette sourit malicieusement et reprit

Je n'ai aucune nouvelle...Ezio m'a dit qu'il est restée sur Dijon, c'est tous ce que je sais, je lui est envoyer une missive, il y a peu de tant mais aucune réponse...J'espère qu'il va bien..! Mais bon, je ne m'en fait pas pour François, où qu'il soit, il reviendra !

Gaby l'écoute en buvant quelques gorgées, elle regarda autour d'elle voir si des personnes était présente, puis elle reposa ses yeux que Dom en souriant

Oui Tarbes, on m'attend la-bas, je dois allez chercher un ami, qui reviendra ensuite à Dijon avec mi, enfin normalement...
Oui en effet...Chalon, mais bon ! En même temps qu'elle idée de m'attaquer dans ma propre ville ! Idiote d'armée !
Hum...Et quelle solutions ?
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Domdom

Tout en ingurgitant un gorgeon de bière , le passeur d'histoires écoutait le gazouillis printanier de Sun , d'un air amusé.
Eh bien non, elle n'avait pas changé , la Blondinette !
Elle était le genre de personne à qui on demande l'heure et qui vous répond en vous racontant sa vie , mais Domdom l'adorait , sa Belette.

Le grand brun reprit la parole , d'un ton enjoué , afin de tenter de la rassurer :

Ce que je te demande n'a rien de compliqué, Sun
Et si je m'adresse à toi , c'est aussi parce que j'ai entièrement confiance en toi.
Avant que je reparte , si toutefois les armées des Royalos ne m'ont pas occis avant , on fera ensemble la tournée des fournisseurs et je te présenterai à eux

Petite pause , que le Normand d'origine met à profit pour finir sa chope, détestant par dessus tout boire une bière tiédasse , puis il continue :

Pour ce qui concerne la vieille , ravi de savoir que tu la trouves sympathique.
Fais t'en donc une alliée, mon amie...
Elle t'expliquera en détails comment fonctionne l'auberge

Le bruit de craquement caractéristique des pas dans l'escalier fit tourner la tête du conteur vers la vieille Gertrude qui le descendait , en faisant attention où elle aventurant les pinceaux , essayant de tenir fermement à la rambarde

Petit clin d'oeil entendu du brun a l'intention de Sun , en désignant Gertrude d'un hochement de menton :

Quand on parle du loup...
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Tombé au champ d'honneur sous les coups de la tyrannie

Domdom

Sortant de sa chambre, les cheveux encore humides , l'encapuché croisa Gertrude qui montait l'escalier en soufflant , accompagnée d'une jeune femme, visiblement une cliente.
Il apostropha la vieille pie, un petit sourire en coin:

Vous ne pouvez pas savoir quel bien ça fait de prendre un bon bain, Gertrude...
Ca non... Vous ne pouvez pas savoir!

Il allait rajouter : ...et mon petit doigt me dit que vous n'avez sans doute jamais connu ce plaisir de votre longue vie, mais il s'en abstint et préféra plutôt saluer la jeune femme qui suivait Gertrude , d'un petit hochement de tête :

Bonjour gente dame, je suis Dom, gérant de cette auberge
Bienvenue au « Chaudron Buveur »
Si vous avez besoin de quoi que ce soit, demandez donc à Gertrude
Et n'hésitez pas, hein?

C'est alors que la silhouette d'une blondinette,assise à une table et qui semblait souffler sur sa tasse , se figea dans La rétine du conteur .
Il sentit un petit sourire lui fleurir aux lèvres , puis s'installa face à Sun

Bien le bonjour ma tite Belette.
Merci d'être passée aussi vite.
J'imagine que tu as bien reçu ma missive?

Il regarda attentivement son interlocutrice remuer sa cuillère dans sa tasse, tout en continuant de souffler dessus pour la refroidir.
Il n'avait pas revu Sun depuis plusieurs mois , déjà.
La blonde Dijonnaise n'avait pas changé : elle était toujours aussi fraîche et pétillante.

Le brun se leva, alla tirer une bière au fût et revint s'asseoir face à son amie

Ca fait un sacré bail, n'est ce pas ?
Que penses tu de ma proposition , Sun ?
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Tombé au champ d'honneur sous les coups de la tyrannie

Dame_gertrude.

La tavernière tira d’autorité un siège à elle et s’assit avec difficulté face à la jeune femme blonde sans attendre son autorisation.
La détresse émanant de ce petit bout de femme recroquevillé dans un coin sombre du Chaudron Buveur la touchait au cœur .

C’est avec un triste sourire lui barrant son vieux visage ridé , qu’elle lui répondit :

Aahhhh…Les hommes…Faut jamais leur faire confiance !
Ca vous fait d’belles promesses, juste histoire d’vous attirer dans leur couche.
Et après, t’as l’bonjour d’Alfred ! Les v’là qui vous laissent tomber comme un vulgaire sac de patates.
Au moins, l’vôtre vous a fait visiter l’Italie, mon petit.

La vieille hasarda une main parcheminée sur le dos de celle de Lysbeth et la fixa avec un petite lueur d’empathie dans les yeux :

Comme vous avez dû souffrir pendant l'voyage du r'tour, Demoiselle Lysbeth…
Dites moi…Y n'vous a pas laissé un souv’nir dans l'ventre, j'espère ?

Sa main était restée posée sur celle de la jeune femme, cherchant à lui transmettre un peu de chaleur humaine.

Domdom

S’il était une chose que le passeur d’histoires adorait chez son interlocutrice ,c’était bien l’ écouter babiller, comme un petit oiseau
Combien de soirées avaient ils passé à se raconter tout et n’importe quoi , juste pour le plaisir de délirer et de rire ensemble ?
Et même si Gaby avait changé, ces derniers temps, ayant perdu sa légèreté de ton , au profit d’une attitude plus sage et sérieuse , Dom devait bien s’avouer que leurs conversations lui avaient sacrément manqué , pendant tout ce temps .

Après avoir trempé les lèvres dans la chope que la vieille baderne venait de lui poser sous le nez , il prit la parole, tout en dévisageant la jeune femme , qui buvait sa tisane avec prudence.

Fais attention Gab , c’est brûlant

Puis il continua, un petit sourire aux lèvres :

Je ne sais pas comment tu fais , toi…Mais tu as l’art de te trouver toujours à l’endroit et au moment où il ne faut pas ;
A croire que tu attires les armées en faucheuse ou les brigands en manque de deniers.

Quant à passer quarante cinq jours à Chalon…Faut il que le vieux barbu, là haut , t’en veuille , pour t’infliger pareille pénitence !
Je ne souhaiterai même pas ça à mon pire ennemi.

En plus, Delamark et Elsaria , qui ont subi la même punition que toi ,n’en sont toujours pas revenus , c’est dire !

A propos , as-tu des nouvelles de François ?
Pour ma part, je n’en ai aucune

Petite pause , que l’encapuché mit à profit pour boire un nouveau gorgeon, puis il enchaîna :

Quant à moi, je reviens de prendre une bonne respiration en Savoie, avec Lena.
En fait , je n’ai qu’une seule envie : c’est de quitter à nouveau la Bourgogne.
On se demande vraiment à quoi ça a servi tout ça, quand on voit les mêmes qu’avant , à la tête du Duché.

Petite moue de dépit de l’encapuché, avant de reprendre :

Tarbes, me dis tu, Gaby ?
Franchement, je ne te vois pas traverser la moitié des Royaumes toute seule
Déjà qu’aller à Chalon pour toi, c’est la grande aventure …

Le conteur posa à nouveau son regard sur son son amie et finit par ajouter :

Je crois avoir trouvé la solution à ton problème, ma belle
Ou tout au moins , en partie…
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Tombé au champ d'honneur sous les coups de la tyrannie

--Pralyn

Pralyn écouta Sun avec grande attention.

La moutarde est donc un condiment qui se mange avec de la viande. Je ne connaît pas, mais dès que j'en trouve j'y gouterai.

Pendant qu'elle discutait avec Sun, Dame Gertrude lui proposa un verre :

Citation:

Quant à vous , demoiselle Pralyn , ça, c'est un verre de vin au romarin, en guise de bien venue au Chaudron Buveur.

Quand v'l'aurez bu, on montera à l'étage et j'vous montrerai vot' chambre

Pralyn pris le verre.

Je vous remercie Dame Gertrude pour votre attention, je suis très contente de ce charmant petit accueil.

Pralyn finit son verre et suivi Dame Gertrude jusqu'à sa chambre.
En montant l'escalier, elle aperçut un homme qui se présentant à elle :

Citation:

Bonjour gente dame, je suis Dom, gérant de cette auberge
Bienvenue au « Chaudron Buveur »
Si vous avez besoin de quoi que ce soit, demandez donc à Gertrude
Et n'hésitez pas, hein?

Pralyn n'eut pas le temps de répondre, que l'homme était descendu les escaliers 4 part 4 lorsqu'il aperçut la silhouette de Sun.

Pralyn se retourna vers Dame Gertrude : Qui est donc cet homme ?

Sunev

Sun regarda pralyn et lui répondit gentiment.

Dame ce que l'on nomme moutarde, c'est un condiment préparé à base de graines d'un plante que l'on appelle moutarde mais vous la connaissez peut-être sous le nom de sénevé. Ces graines sont écrasées et macèrent avec des épices dans du verjus. La bourgogne en a fait une spécialité depuis le 14ème siècle.

Elle se dit que peut-etre la dame ne savait pas non plus ce qu'était le verjus si elle était ici en voyage alors elle précisa:

Oh et le verjus, c'est un jus acide extrait de raisin blanc n'ayant pas mûri. Une sorte de vinaigre mais en meilleur.
Et comme nous avons aux alentours de Dijon bon nombre de vignobles nous avons du bon verjus qui fait la réputation de la moutarde d'ici.

Vous devriez y goûter pendant que vous êtes à Dijon. C'est excellent pour agrémenter des viandes par exemple.

Sun glissa ensuite un oeil du côté de dame Gertrude pour voir si le thé serait bientôt prêt.
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Dame_gertrude.

Une fois débarrassée de l'autre importun de conteur ,Gertrude était retournée dans la cuisine pour éplucher les légumes de la soupe du soir.
C'est au moment où elle avait ramassé une bûche , qu'elle avait oublié , tout à l'heure, que la servante sentit une présence à ses côtés.
Surprise, elle tourna la tête et remarqua qu'une femme inconnue l'avait aidée à soulever la bûche :

Citation:

................. Pardon, ....... voulez-vous de l'aide pour ramasser votre bûche, ........ je ........... je vois bien que vous avez un peu de mal.

Merci ,ben aimable à vous , hein !
J'vous avions point oui arriver

Elle n'eut pas le temps d'engager la conversation plus avant avec l'inconnue, qu'une voix se fit entendre dans la salle commune :

Héo!
Y'a quelqu'un là dedans?
Je suis Sun!
L'amie de Dom!

Trainant à nouveau sa vieille carcasse jusqu'à la salle , Gertrude s'apprêtait à répondre à la nouvelle arrivante qu'elle avait de drôles de fréquentations , lorsqu'elle reconnut , malgré sa mauvaise vue , la silhouette de le jeune femme , qui se tenait devant le porte d'entrée.

S'approchant de sa démarche de fourmi fatiguée , plus près de la femme blonde, elle s'arrêta devant elle et la dévisagea de ses petits yeux de taupe :

Vingu d'vingu !!!
J'vous ai d 'jà rencontrée, vous à c't'heure !
Seriez point la sœur de Demoiselle Sonia?
Aristote ait son âme !

Et pour c'qui est d'vot'...ami...
Y prend son bain là haut , dans sa chamb'

Gertrude avait bien insisté sur la mot "ami" pour faire comprendre à la visiteuse que ce n'était pas le genre de référence à se prévaloir devant elle.

Aloe_sonia

Elle rit doucement en le regardant boire aussi vite. Il a peut etre rendez-vous avec saintte boulasse.

- Tu sais quoi, Noctis? Tu viens de m'apprendre quelque chose, qu'il fallait une autorisation pour habiter à Dijon.

Elle repensa à son amie Imerysa qui était venue de Conflans et s'était installé à Dijon.

- Ben, je pense qu'il n'y a pas de raison pour te refuser ton emménagement. Au fait il se fait tard, donc je te propose de dormir ici, je vais raccompagner ceux qui ne peuvent aller seul dans leur chambre.

Elle rit doucement en s'imaginant porter certaines personnes.

Colombe_de_singrist

La jeune Colombe était arrivée le matin même à Dijon. Elle avait croisé son frere à la taverne du pain doré, et celui-ci l'avait encouragée à descendre à l'auberge du chaudron buveur. Après tout, elle restait à Dijon quelques jours. Autant y prendre une chambre.

Elle se présenta donc devant ladite auberge, mais ayant vu de loin que la propriétaire, dont Dom lui avait dressé un fidele portrait, était fort occupée à converser avec une jeune fille, elle se tint à l'écart quelques instants. Après tout, le soleil n'etait pas encore prêt à se coucher, elle pouvait attendre un peu.
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Dame_gertrude.

Le verre de vin aromatisé dans sa main tremblotante, Gertrude considérait la jeune blonde et son poupon, toujours collé contre sa poitrine, avec une sourire empreint de tendresse.
Pourtant ,elle n'était pas du genre à s'attacher, la Gertrude .
A vrai dire, ce n'était pas dans son caractère et en plus ,elle n'en avait guère eu le temps dans sa vie , obligée de travailler d'arrache pied pour gagner les écus, juste assez pour effacer une partie des ardoises que le Gaston laissait à chaque fois dans les tavernes.
Son homme était parti retrouver Aristote et sa fanfare depuis bien longtemps, déjà , mais Gertrude avait continué à trimer, besogneuse.
Avec son air de petit oiseau tombé trop tôt de son nid , Lysbeth était la première personne pour qu'il la vieille ressentait un début de compassion.

Ce n'est qu'après avoir vidé son verre, que Gertude répondit à la question de la fragile petite blonde , de sa vois chevrotante :

Ben...pour commencer , j'm'en vas vous faire visiter vot' royaume, princesse
A commencer par l' bas , la salle, la cuisine , l'cellier …
Ensuite , on montera voir les chambres , à l'étage.

Posant sa main sur l'avant bras de la petite blonde, elle continua, un peu hésitante:

Dites, demoiselle Lysbeth ,j'avais pensé …
J'avais pensé qu'vous pourriez p't'être v'z'installer avec vot' tiote dans une des chambres, là haut
Comme ça, ce s'rait plus pratique pour vous : seriez su'place!

La vielle servante avait failli ajouter que ça lui ferait énormément plaisir, mais elle n'avait pas osé.
Elle se sentait si seule , depuis la disparition de sa patronne.
Elle posa son regard de taupe sur le visage de son interlocutrice, attendant sa réponse, tremblant de tous ses membres , comme une jouvencelle à son premier rendez vous galant.

Valentin_de_rochelle

Il faisait encore nuit quand Valentin, Eitou, Barramir et Lily arriverent a Dijon. On n'entendait que le bruit de leurs charrettes ecrasant les pierres du chemin et la route avait eu raison de leurs forces. Passant sous les remparts de la ville, les 4 compagnons de Nevers s'offrirent un beau sourire. C'etait la fin de leur voyage. Chacun allait pouvoir vaquer a ses occupations et Valentin avait garde en tete sa premiere halte, l'auberge de Sonia. Il n'eut pas de mal a trouver l'endroit que lui avait decrit son amie rencontree un soir a Tours. A l'entree de l'auberge :

- Bien le bonjour, quelqu'un ici ? Il nous faut l'hebergement et le souper pendant quelques jours pour quatre personnes..Mais surtout, je viens voir Sonia. Dites lui, je vous prie qu'un joueur de flute l'attend.

Un sourire aux levres, il prit soin de ne pas s'annoncer pour garder toute la surprise de sa visite.
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--Pralyn

Pralyn écouta la vieille dame.
Je vous remercie Dame Gertrude.
Pouvez-vous me montrer où se trouve ma chambre s'il vous plaît.

Dame_gertrude.

Une fois revenue dans la cuisine, La vieille servante avait mis de l'eau à chauffer dans le chaudron qui pendait à la crémaillère .
Puis , elle s'était assise à la table et avait commencé à éplucher le chou, qui agrémenterait la soupe au lard , prévue pour le soir.

Elle se demandait bien ce que l'autre énergumène et dame Sunev avaient à lui dire , avec les mines de conspirateurs qu'ils avaient arboré , tout à l'heure , quand elle était redescendue de l'étage.

Bah...Elle le saurait assez vite, après tout !
Tiens, justement, les voilà qui arrivent et s'asseyent face à elle:

Citation:

Nous voilà, Gertrude

Un petit relevé de tête vers la jeune femme blonde, assorti, d'un léger sourire, mais pas un regard vers l'encapuchonné : Gertrude a plus urgent à faire que de le regarder.
Déjà qu'elle fait un gros effort pour écouter ce qu'il a à lui dire.

C'est au moment où elle sentait qu'il allait commencer à vider son sac, qu'elle entendait la porte d'entrée de l'auberge s'ouvrir et une voix masculine s'écrier:

Citation:

"Y'a t'il âme qui vive dans cette maison ?Gertrude vous etes là?

Ca, sans se tromper, c'était la voix de messire Michel , le galant de la rouquine Mary , l'ex gouvernante des mioches du conteur.
Pas désagréable comme homme : gentil et serviable.
A se demander ce qu'il faisait avec cette petite dévergondée.

Abandonnant son chou et ses interlocuteurs, Gertrude se leva d'un air las, dévisagea les deux autres , avant de sortir de la cuisine , de son pas traînant:

J'crois qu'on m'mande...
Si vous v'lez ben m'excuser

C'est qu'elle n'était pas mécontente de le faire patienter , le conteur : elle en aurait presque embrassé l'homme et la femme qui se tenaient devant la porte d'entrée et qu'elle reconnaissait, malgré sa mauvaise vue :

Messire Michel et Demoiselle Mary !
Ca f'sait ben longtemps que je n'vous avais point r'vus!

Puis, s'approchant davantage

Quel bon vent vous amène?

A vrai dire, elle se foutait bien du sens du vent .
Elle jubilait intérieurement de laisser l'encapuchonné sur sa faim.

Gabrylla

La blondinette était enfin rentrée à Dijon...Certes cette ville avait changer mais elle lui avait manqué...Beaucoup de souvenirs lui revint...Peux être un peu trop à son gout.
Elle ne savait pas si c'était Dijon qu'elle aimait où lui...A vrai dire, elle ne savait plus rien en ce moment.

La demoiselle traversait les ruelles de Dijon jusqu'à arrivé dans son auberge préférée, celle de son ancienne amie. Elle marcha longuement pour y arriver...Il était assez tôt, le jour s'était levé il y a peu, la brise du matin était fraiche, le vent fouettait son visage, sa capuche relevée cachait ainsi sa crinière blonde...Elle avait laissé son cheval aussi, marcher lui faisait le plus grand bien, elle tapait dans quelque petits cailloux qui était sur son passage tous en regardant autour d'elle.
Les habitants sortant tous juste de chez eux...Quelques personnes par ci et là, mais rien comparé à ce qu'est Dijon habituellement...
Tous semble paisible autour de la jeune femme. Des odeurs d'herbe mouillée émanent, voluptueuse, des champs épais, d'un vert malachite dense.
La blonde passe devant une maisonnette, une fenêtre ouverte par la qu'elle nous pouvons voir une personne, Gaby hôche doucement la tête en guise de bonjour et continue jusqu'à arrivée devant l'auberge.

Elle passe la porte, souriante et s’installe au comptoir, elle regarde doucement autour d'elle, puis s'arrête sur Gertrude qui la dévisage...

Hum..Bonjour ! Je pourrais avoir une tisane s'il vous plait ?? Légère sa serais parfait...

La blondinette sourit à la vieille dame tous en attendant sa tisane avec impatience et dépose quelque écus devant elle...
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Michelkourou

Michel fut réveillé par des cris d’enfants et de joyeuses pagaille qui venait d’en bas, il eut du mal à ouvrir les yeux et à s’extirper du grand lit qui gardait encore les effluves de cette inoubliable soirée
Il ouvrit la fenêtre, Le pale soleil d’hiver se levait péniblement lui aussi et le froid glacial emplit la pièce en moins de temps qu’il n’en fallut à Michel pour prestement la refermer.
Il rassembla ses affaires éparpillées aux 4 coins de la chambrée, s’habilla puis descendit le grand escalier
Arrivé à mi palier il aperçut Mary déjà toute encapuchonnée riant avec les enfants qu’elle essayait tant bien que mal d’emmitoufler de vêtements chauds.
« Mary, ma douce, ou aller vous donc de si bon matin, si vous allez au marché je tiens à vous y accompagner et je ne vous ferais pas faux bonds cette fois, parole d’helvète !»Il attendit sa réponse en la contemplant, sous sa capuche et sa grosse écharpe il ne pouvait voir que ses yeux et une mèche de ses cheveux, cela lui suffisait pour faire battre son cœur -Mon dieu qu’elle est belle se dit il en dévalant les marches
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Pralyn, incarné par Chocolatine

Pralyn entra dans les lieux et s'assied à une table,

Elle voyait une vieille dame toute courbée qui n'avait pas l'air de très bonne humeur en train de ramasser une bûche au sol.

Pralyn se lève, alla vers la vieille dame et lui dit tout doucement et la voix un peu hésitante :

[b]................. Pardon, ....... voulez-vous de l'aide pour ramasser votre bûche, ........ je ........... je vois bien que vous avez un peu de mal.[/b]

Sunev

Plus d'un an...

Voilà plus d'un an maintenant que Sun avait été agressée.
Voilà plus d'un an qu'elle ne parvenait pas à se remémorrer sa vie d'avant.
Un an durant lequel tout ce qu'elle savait d'elle-même, de son enfance, de sa jeunesse et de ses premières amours lui avait été conté par autrui.

On lui avait parlé du chaudron buveur bien sûr. Mais Sun n'y avait pas remis les pieds depuis plus d'un an. Si elle se fiait à sa pauvre mémoire, c'était donc comme si elle n'y avait jamais mis les pieds.
Savoir que Sonia n'était plus n'avait sans doute pas aider à lui donner l'envie d'y venir.

Mais voilà que Dom lui avait fait la singulière demande de veiller sur l'auberge en son absence. Faire les comptes, tout ça...
Il lui avait dit qu'elle connaissait la vieille Gertrude, mais là encore niveau mémoire, c'était zéro.

Et comme Sun était une gentille fille, elle avait accepté bien évidemment.
La voilà qui frappe à la porte. Une lourde porte de bois massif que le temps avait légèrement noirci.
Pas de réponse.
Nouveaux coups assénés sur cette porte, avec plus de force et de conviction.
Toujours pas de réponse.

Sun se dit que soit il n'y a personne ici. Soit la vieille Gertrude est complètement sourde; détail que Dom aurait omis de lui préciser.

Elle pousse la porte et entre.
Elle lance un long regard sur la vaste pièce principale dans laquelle trônent quelques tables poussiéreuses.

Héo!
Y'a quelqu'un là dedans?

Attends quelques instants puis reprend.

Je suis Sun!
L'amie de Dom!
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Dame_gertrude.

Décidément, y changera jamais çui là…
T’jours à m’prendre pou’ sa bonniche !

Tout en versant de l’eau dans la marmite qui pendait à la crémaillère de la cheminée de la cuisine , Gertrude bougonnait dans ses moustaches, vitupérant contre le conteur et sa manière d’arriver en terrain conquis , après plusieurs mois d’absence.
Même pas une question pour s’enquérir de la santé de son employée .
Comme si elle était une jeunette en pleine forme ...
Et en plus, il la laissait préparer son bain, alors qu’il savait très bien qu’elle n’avait plus grand force, le bougre.

Le point positif était qu’il ne s’éterniserait pas ici.
Il pouvait bien aller en enfer lunaire, s’il le voulait : ça lui était égal à Gertrude, du moment qu’il débarrassait le plancher ,le conteur.

Lorsqu’elle lui avait répondu , tout à l’heure , qu’elle n’avait pas revu demoiselle Lysbeth depuis plusieurs jours, alors que la jeune femme occupait une chambre , là haut, à l’étage , l’encapuchonné n’avait pas eu l’air de s’en émouvoir plus que ça et avait juste répondu :Bah…Elle est peut être partie visiter de la famille avec sa petite…
Comme si c'était le genre de la petite blonde de s'absenter plusieurs jours sans prévenir !

Maugréant toujours ,Gertrude alla chercher le baquet de bois dans le cellier, puis le traîna difficilement jusqu'à la salle commune, là où se trouvait encore le conteur , dos à elle , et qui se réchauffait toujours devant la cheminée.
Il aurait pu l'aider , quand même !
Avec le raffût qu'elle avait fait en tirant le baquet de bois, à travers la cuisine il devait bien se douter ce qu'elle était en train de faire , ce mécréant .
Relevant la tête , elle l'apostropha d'un ton rogue :

J'vous préviens tout d'suite, m'sieur Domdom
Si v'voulez prend' vot' bain dans vot' chambre, va falloir monter l' baquet et l'eau chaude là haut vous même.
C'est ben au delà d'mes forces, maint'nant !

Gertrude se redressa péniblement, puis , les poings sur les hanches , attendit que l'autre se bouge enfin.

Asclepiade

Il écouta Sonia :

Merci Sonia d'avoir pensé à moi. Je suis très content que tu m'ais choisi comme parrain.
Je vais donc tenir ce rôle correctement. Il ne faut jamais plaisanter avec la Religion !!!

Puis elle regarda s'il n'avait pas de blessures.

Non non c'est bon Sonia, juste quelques égratignures mais rien de grave... Rien qui puisse me faire louper ton baptesme va.

Et il se mit à sourire...
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Lulli

Lysbeth entre dans la taverne lentement. Elle s’appuie sur sa cane et boite toujours. Elle fait moins maladive qu'à son arriver à Dijon, elle se nourrit et cela se vois. Elle jette un regard à la salle et se dirige vers une table un peu excentré, elle est fatigué et contente de pouvoir se posé. Elle étend précautionneusement ses jambes sous la table. Elle regarde à nouveau autour d'elle mais ne reconnais personne en particulier. Elle vie la tenancière de loin et lui fit un signe de la main. Avec sa patte endolorie elle hésitait à se lever pour commander. Lui laissant le temps d'arriver, elle lui sourit.

Bonjour ma dame, pourrais-je avoir du vin au romarin, s'il vous plait ?

Elle sourit encore à la tenancière en attendant son breuvage.

Domdom

Le grand brun était déçu de se trouver face à la vieille bique , tout autant qu'elle d'ailleurs , sauf qu'il ne le montrait pas, lui.
Il aurait préféré mille fois être accueilli par Lulli , avec son sourire un peu triste, d'autant plus qu'il lui avait proposé de seconder Gertrude à l'auberge , juste avant son départ en voyage.

Rapprochant un siège devant le feu , afin de se réchauffer les pieds et les mains , il répondit à la vieille harpie , tout en tournant la tête vers elle, un petit sourire en coin :

Non, Gertrude , je suis seul...
Enfin, juste en compagnie de Dame Lenada
Dijon est un endroit plutôt déconseillé aux enfants , ces derniers temps , n'est ce pas ?

Le conteur laissa passer un petit moment , remarquant une petite lumière de satisfaction dans les yeux de myope de la vieille pie.
Puis il reprit :

Vous n'aurez pas longtemps à me supporter, je vous rassure, Gertrude .
Et je prendrai ma chambre habituelle

Domdom s'apercevait bien que Gertrude mourait d'envie d'en savoir plus sur le sens caché de ce qu'il venait de dire.
C'est qu'il la connaissait bien , la Gertrude !
La laissant sur ses interrogations, il changea de sujet :

Allez donc me préparer mon bain !
Et n'oubliez pas de mettre une brique chaude dans ma couche

Au fait...Je pensais trouver Lulli, ici
Comment va-t-elle ?

L'encapuché commençait à ressentir une douce sensation de chaleur aux pieds et aux mains, il ferma les yeux de félicité , en attendant que la servante prépare le baquet.
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Tombé au champ d'honneur sous les coups de la tyrannie

--Pralyn

Parlyn tourna la tête pour répondre à la Dame qui lui disait :

Citation:

Bonjour dame Pralyn, je suis Sun de Dijon.
Comme la moutarde...

Enchantée Dame, comme la moutarde dîtes-vous ? Qu'est ce donc ?

Maelya..

maelya arriva avec sa poupée dans les bras enfin devant l'auberge quelle avait eu du mal as trouvé elle se mit sur la pointe des pied et frappa a la porte, elle s'asseya sur le porche pour joué en attandant qu'on lui reponde .

Gabrylla

Gabrylla avança vers la taverne ou elle allait le plus souvent, espérant trouver quelque personnes malheureusement celle-ci avait l'air...vide !
Elle décida tous de même d'entrer pour se reposer un peu et boire une choppe.
Elle entra dans la taverne sourit aux quelques personnes présente en guise de Bonjour et s'assit au comptoir puis demanda poliment :" Une choppe s'il vous plait " Elle regarda autour d'elle en attendant sa choppe se disant que Dijon avait l'air...vidé lui aussi.
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Domdom

Cela faisait bien un an, déjà , que ces deux là parlaient de s’unir devant Aristote.
A chaque fois, ils repoussaient leur projet aux calendes grecques , par manque de curés , selon eux .
Pourtant, les curés, ce n’est pas ce qui manque , en Bourgogne , surtout en ce moment !
Aussi, Dom ne prenait il même plus la peine d’aborder ce sujet, quand il les rencontrait.

Il avait écouté , un petit sourire aux lèvres, les options joliment fantaisistes que venait de développer son amie , avant qu’elle ne lui demande son avis sur la chose .

Ce que j’en pense , Sun ?

Après un léger temps de réflexion :

Eh bien…Si vous êtes heureux comme ça, je ne vois pas en quoi le mariage vous rendra plus heureux , encore.
A part peut être pour le plaisir de ripailler entre amis et passer une belle journée dans une magnifique robe blanche , que tu mettras peut être des mois à rembourser.
Et si ça se trouve , chose que je ne vous souhaite pas , bien entendu , peut être serez vous déjà divorcés , avant que vous n’ayez fini de payer cette journée inoubliable

La vision furtive de Douchka, son amie bretonne , s’imposa un court instant dans l’esprit du grand brun : il la revoyait encore , plantée en pleurs devant l’église de Fougères, par un futur époux qui ne s’était jamais présenté à la cérémonie nuptiale .
Jamais ne s’effacerait en lui l’image d’un bouquet de fleurs blanches gisant sur le parvis d’une l’église.

Emergant de ses songes, il répondit à Sun :

Oui, Belette …Allons rejoindre Gertrude

Il la prit à nouveau par l’aile et l’entraina d’un pas décidé vers la cuisine , s’asseyant à la grande table , face à la servante, qui épluchait les légumes pour la soupe
Il attendit que Sun en fasse autant, avant de se lancer :

Nous voilà, Gertrude
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Tombé au champ d'honneur sous les coups de la tyrannie

Cara.

Avant d'aller manger elle décida d'aller faire un tour à cette taverne ou elle n'avait jamais mis les pieds.Elle ouvrit la porte s'approcha du comptoir, s'assit sur un tabouret et dis:
Une bière s'il vous plait monsieur le tavernier !
Elle regarda le Tavernier remplir sa chope et s'approcher d'elle en disant:
Tenez mademoiselle ! C'pour vous !
Elle le remercia d'un signe de tête puis pris la chope et lui dis:
A la santé de Dijon cette bien belle ville !
Elle but une gorgée de sa chope et dis:
C'est la première fois que je m'est les pieds dans cette taverne.
Et il me répondit:
C'là fait un bout de temps que j'travail ici et j'trouve que c'est bien !
Elle lui sourit puis finit sa chope et lui tendis quelques écus :
Tenez Tavernier voici pour vous!
Il prit les écus et les rangea.
Cela vous gènes t-il si j'reste encore un peu ?
Il dit:
Non pas du tout Dame faites comme chez vous!
Elle lui sourit puis s'installa à une table en admirant cette merveilleuse taverne..
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Colombe_de_singrist

Elle sourit poliement et s'avança un peu plus. Il est vrai qu'à cet age, la tenancière de l'auberge n'avait peut-etre plus toute son acuité visuelle.

Excusez-moi, Dame Gertrude. Je ne souhaitais poinct vous interrompre. J'aurais pu patienter quelques instants que vous finissiez vostre conversation. Je m'appelle Colombe. Colombe de Singrist.
J'arrive tout juste de Cosne, où je suis lieutenant de Police, et je voudrais savoir s'il vous reste quelque chambre pour que je puisse y séjourner avant de reprendre la route dans une petite semaine, voire moins.
Je ne voudrais poinct vous importuner trop longtemps, voyez-vous...

C'est à ce moment là, lorsqu'elle entra dans la pièce, que la bourse fraichement attachée à sa ceinture, chut sur le sol en pierre. Elle ramassa les ecus et lui sourit, lui tendant la bourse en question.

Oh, j'ai de quoi payer. Vous trouverez dans cette bourse tous les ecus que j'ai trouvé lors de mes fouilles à Dijon ce matin. Il doit bien y avoir là environ 102 ecus. A vrai dire, je me suis arretée à 100. Bien sur c'est peu de chose, vous en conviendrez, mais j'estime qu'il est préférable que je vous paie mon séjour à l'avance.
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--Pralyn

Pralyn regardait la chambre, tout en écoutant Dame Gertrude.

Citation:

Vlà vot' chambre , madame
Elle est très calme ,car elle donne sur l'arrière cour
Z'avez d'la chance v'savez...La paillasse a été changée la s'maine dernière
Pou' c'qui concerne vot' bain, j'm'en vas mett' de l'eau à chauffer , pendant que j'finirai d'préparer la soupe.
Et j'demand'rai à m'sire Domdom de vous libérer l'baquet

Bien, la chambre me convient. Je vous remercie Dame Gertrude.
Pouvez-vous dire à Messire Domdom qu'il m'apporte le baquet dans ma chambre lorsqu'il aura terminé, ainsi que l'eau chaude ?
Je descendrai en soirée pour prendre mon repas. A tout à l'heure Dame Gertrude.

Pralyn regarda la vieille dame sortir de la chambre, avant de s'allonger sur la paillasse.

Dame_gertrude.

Occupée à nettoyer une des tables ,que des maquignons, tout juste repartis au marché aux bestiaux, avaient laissé encombrée des reliefs de leur casse croûte , Gertrude tourna la tête vers l'entrée de l'auberge.

C'est en bougonnant contre ces hommes "qui ne font jamais attention à rien" , qu'elle crut discerner une petite silhouette ratatinée , appuyée sur une cane , claudiquer vers une table à laquelle elle s'assit difficilement.

Finissant sa besogne , la vieille servante laissa la nouvelle venue s'installer, puis lui commander un vin au romarin , avant de se diriger vers elle, une bouteille et un verre en main.

Quelle ne fut pas sa surprise , en arrivant auprès de la cliente , de s'apercevoir que cette dernière n'était pas une femme âgée, comme Gertrude l' avait cru au départ, mais bien une frêle jeune femme , au teint livide et au sourire effacé , qu'elle avait déjà vue ici.

Tout en posant la bouteille et le verre devant la petite blonde infirme, la vieille sentit un grand élan de commisération pour cette pauvre âme lui étreindre le coeur :

Bonjour demoiselle...
Maint'nant que j'vous vois d'près , y m'semble ben vous r'connaitre
Mais par Aristote , quel grand malheur vous est tombé d'sus ?

Dellacasa

La jeune femme était pensive, peut-être rêveuse peut-être nostalgique. Elle ne savait même pas d'où venaient ces images là dans sa tête, elle aurait tant aimé le voire partager leur bonheur ensemble, mais tant pis ! On fait avec les moyens du bords et si on a rien, on a quand même de la folie. Et un seul grain, suffit pour remplir de joie une vie. C'était ce qu'elle ne cessait de se dire, de se répéter, pour ne pas sombrer dans le silence une deuxième fois. Depuis bien longtemps elle fait ça et elle n'arrêtera pas, jamais ! Elle n'arrêtera jamais de rompre le calme et de le briser. C'était une promesse. Et elle la tient toujours.
C'est donc perdue dans ses pensées que la jeune femme arriva vers les tavernes. Elle reconnut Gaby dans le Chaudron Buveur. Elle avait ce sentiment que c'était la dame qu'il lui fallait. Une dame qui avait ce grain de folie en elle, tout comme elle. Enfin .. Une dame qui n'aimait pas le calme, et ça, c'était parfait

Elle pénétra donc dans la taverne-auberge et vit quelques personnes trop silencieuses à son gout.

eey , Bonjour Bonjour ici ! Mais ou sont donc les dijonnais ? On a l'impression d'être dans un cimetières .. Un peu de bruit .. N'oublions pas que c'est une taverne tout de même ! Nan mais ohh !! depuis quand une taverne c'est aussi calme ?

Elle y est allé fort, c'est vrai. Mais quoi de mieux pour réveiller des ch'bread vieux qui roupillent ? Surtout qu'il n'aiment pas sa ! Hihi !
Elle alla s'installer dans une table et salua Gaby de la main.

Vous savez ce qui fait qu'ils dorment toujours ? C'est que personnes ne les réveille ! Personne ne leurs demandes de s'bouger l'cul ! Et personne ne leurs propose de faire quelque chose ... Je crois que vous êtes assez "présente" pour vous mettre à l'animation ! j'aurais besoin de vous moi , vous êtes géniale ! Je le sais parce que vous êtes la seule que je vois partout ! Sa fait enfin plaisir de voire quelqu'un qui bouge pour de vrai .. !

Elle lui sourit puis regarda le tavernier et cria :
Deux chopes s'il vous plait !

Domdom

L’encapuché laissa passer un peu de temps, avant de répondre à Gabrylla.
Le temps que la vieille pie , qui traînait toujours derrière le comptoir, l’oreille aux aguets , ne quitte la salle commune en direction de la cuisine.

Baissant la voix , ce qui lui donnait un ton de conspirateur , il enchaîna, son éternel petit sourire aux lèvres :

Eh bien...Voilà ce que je te propose, Femme Parfaite …

Après un râclement de gorge , histoire de la faire patienter un peu plus :

Je dois partir pour le Poitou d’ici quelques jours… Pour Saintes, plus précisément …
Je vais escorter là bas une petite fille de huit ans , Jenny , qui va y retrouver sa mère , Psy , une amie que je n’ai pas vue depuis longtemps et à qui j’avais promis une visite.

L’encapuché se pencha alors vers sa besace et en extirpa un vieux vélin tout fripé , qui se révéla être une carte des Royaumes , qu’il étala sur le bois de la table de chataignier , juste entre eux deux.

Posant le doigt sur un point de la carte, il reprit :

Regarde…Saintes est ici , un peu au nord de Bordeaux, près de l’océan
Et Tarbes est…..

Domdom chercha un instant , puis pointa un autre endroit sur la carte , un peu plus au sud :

ici !

Le conteur redressa la tête vers la blondinette, afin de s’assurer qu’elle avait bien suivi ,puis il continua :

Sachant que Dijon se trouve là haut , plus au nord est , on pourrait faire un bon bout de chemin ensemble , Gaby.

Laissant glisser son doigt sur la carte , pour matérialiser le trajet qu’il avait déjà imaginé , il stoppa son action sur un point :

Au moins jusqu’à Sarlat , ici … ou Perigueux , un peu plus à l’ouest…
Ensuite , il te resterait à peu près six jours de route jusqu’à Tarbes.

Nouveau regard interrogateur vers son amie :

Que penses tu de ma proposition, Gaby ?
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Tombé au champ d'honneur sous les coups de la tyrannie

Valerien

Tout à ses retrouvailles bien humides avec son compagnon à quatre pattes , Valerien avait délaissé quelque peu le reste de la famille.
C’est quand son regard croisa celui d’Alexandrine , restée au pied de l’escalier aux côtés de Sonia , que le gamin y lut la détresse de la jeune femme , qui semblait au bord des larmes.
Il repoussa alors un peu Chouchen, qui commençait à devenir encombrant , se leva , puis alla s’abattre dans les jupes de la nourrice :

Ssandrine…Ze suis heureux de te revoir , tu sais…
Le voyaze , c'était formidable !
Z'ai vu plein de ssozes et rencontré tout plein de militaires

Tournant la tête vers son père , l'air implorant :

Poppa , c'est quand qu'on repart en voyaze ? Dis ?

Puis, levant des yeux rieurs vers la nourrice :

Baisse toi , Ssandrine…Que ze peux te faire un gros poutou
Après , z'irai faire un calin aux petits

Alexandrine

[Chambre à l'étage, puis salle commune du bas]

La nourrice veillait sur les jeux des enfants dans la chambre qui leur servait de logement depuis que le conteur avait établi ses quartiers au Chaudron Buveur. Une maille à l'endroit, une maille à l'envers, petit à petit une nouvelle écharpe pour Adelin prenait forme.
Sa quiétude fut troublée, d'un coup, par du remue ménage en bas.
Elle tendit l'oreille, et si c'était ... ?

Y a quelqu’un ???
Ouh Ouh….
Sonia , Mary, Alexandrine…

Le conteur ! c'était le passeur d'histoires ! Elle aurait reconnu sa voix entre mille !

Les enfants ! C'est Poppa ! Posez vos jeux, on descend l'accueillir !

Elle même posa son tricot en vrac sur sa chaise, au risque d'en perdre des mailles, prit par la main un des jumeaux de chaque côté, s'assura qu'Adelin suivait, et s'engouffra dans l'escalier.

Quelle fête les petits firent à leur père ! Et à leur aîné ! Ils se cramponnaient à lui au risque de l'étouffer !

Poppa ! Valérien ! Moi ze suis bien content de vous revoir ! C'est Mary qui aura une bonne surprise ce soir en revenant du couvent !
Mon Poppa ! Valéïen ! Souette !
M'sire Domdom ! Vous revoilà ! Que le temps nous a semblé long, à Mary et à moi ! Et surtout à moi cette semaine qu'elle était au couvent !

Valérien ? C'est bien toi ? Que tu as grandi ! Et tu as pris de belles couleurs, mon garçon ! C'que Mary va être contente de te revoir !

Quelle joie de les revoir en bonne santé, après une si longue absence, la traversée des royaumes en guerre d'Est en Ouest puis d'Ouest en Est ! La nourrice en perdait son flegme légendaire !

Faudra organiser un festin, pour fêter vot'retour, m'sire Domdom ! Au moins ça ! Dès que Mary rentre du couvent, on s'y met !

Albine.

Bonjour !! Rester donc vers nous !! Vous allez bien ??
C'est votre chien cette petite chose ??

Large sourire, et Albine ne se fait pas prier 2 fois... Son petit monstre s'agite dans sa capuche. Machinalement, elle rassemble ses cheveux et les tourne et les fait glisser sur le côté pour éviter de se les faire à nouveau arracher.

Bonjour ! Oui, je vous présente Canadadraille puis davantage à l'attention de l'animal qui va rester sagement dans sa capuche... Je suis très heureuse de vous revoir.

elle incline délicatement la tête à l'encontre de tous, puis lève sa chope.

aux amitiés nouvelles et aux voyages ! N'oubliez point de tous me rendre visite si vos chausses vous conduisent à Clermont...

Puis elle engloutit le contenu de sa chope

J'ai tout essayé Gaby sa ne marche pas. Je vais amputer peut être que sa ira mieux.

Ce me semble exagéré, mais cela peut te rendre service, je dois avoir mon épée dans mon paquetage...répond-elle malicieusement... Juste une proposition pour rendre service bien entendu ! sourire d'oreille à oreille
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Valerien

Comme pour se faire pardonner , Valérien fit un énooooorme calin à la nourrice , perturbé par un Chouchen , jaloux comme pas un , qui avait essayé de s'interposer en eux , déclenchant de grands éclats de rire .

Le gosse s'était alors dirigé vers ses frères et soeur , et les avait embrassé , comme seuls les grands frères savent le faire avec leurs cadets.

C'est seulement à cet instant là , qu'il s'aperçut qu'il manquait quelqu'un , dans ce comité d'accueil : sa confidente, celle à qui il livrait tous ses petits secrets ou chagrins : Mary , la gouvernante.

Interrogeant les adultes du regard , l'un après l'autre , il questionna :

Et Mary ?
Elle est où ?
Ze veux la voir aussi , moi

Lulli

[Pas mal de temps plus tard, deux mois peu être]

Lysbeth, entourer d'un châle sombre, entre dans la taverne qu'elle connaît bien. Elle referme sans faire trop de bruit la lourde porte en bois en sentant l'odeur qui se dégage du lieu. Elle ne savait pas tout à fait si Germaine serrait d'accors pour l'arrangement mais elle avait préparer ses arguments. Elle se dirigeât droit sur la vieille derrière son comptoir et lui fit un large sourire.

Bonjour Germaine ! Vous allez bien ? cela fait un moment que je ne suis pas passer ici... j'ai plusieurs choses à vous dire mais avant tout j'ai quelqu'un à vous présenté...

Lysbeth fit un sourire voilant tout ses sentiments contradictoires, elle ouvrit d'un geste théâtre son châle. Dans ses bras, un petit bébé au cheveux sombre regardait autour de lui sans proférer un son. Son regard se portât vers Germaine et l'enfant la dévisageât.

J'aurai du venir plus tôt, elle à déjà trois semaine, j'ai accoucher dans la nuit du 16 au 17 septembre il me semble... avant que vous me posiez la question : elle n'a pas encore de nom. C'est un enfant qui devait ressembler à ce que je fut... elle ne pleur ni ne cris, elle observe le monde...

Lysbeth sourit à Gertrude, puis se décidat à lui dire le fond de sa pensée et le but de sa pensée.

Depuis que j'ai la petite, je ne vais pas très bien... j'oscille entre amour et haine, regardez ses cheveux sombres... Je ne sais jamais que pensée... Certaines personnes me sermonne de n'avoir assez d'amour pour la petite comme si tout était si simple... Je n'ai plus vraiment de proche sur Dijon, plus vraiment de lieu de recueillement non plus... Je... je voulais savoir si vous accepteriez que je vous aide ici...

elle fit un geste de son bras libre pour englober l'espace et ce dit qu'elle avait été peu être un peu trop brutal. Elle sourit donc à Gertrude qu'elle aimait sincèrement bien.

Avec ma petite, je suis tout le temps seule, ici il y a du monde mais je ne puis rester en taverne tout le jour sans travailler... je me demandais si vous ne serriez pas d'avis de m'apprendre votre métier, que je le face avec vous. Si il y a une chose que je ne sais pas faire c'est bien de compter les sous mais si vous ça ne vous pose pas de problème, je pourrai vous aidé pour nettoyer la salle ou servir quelques clients, et même pour arranger les literies dans les chambres au premier...

Lysbeth sourit à nouveau à Germaine, elle espérait obtenir gain de cause pour son ami Dom qui repartais pour toujours, rien que d'y pensé son cœur se serrai mais cela valait mieux, surtout si la femme avec lui partait aussi, elle n'avait rien contre elle d'autre que la violence de ses jugements. Elle ne digérais pas le fait d'être rabaisser, sans pouvoir répondre, par de beau sentiment d'une jolie personne.

Noctis.lucis.caelum

il remercia sonia et vide sa chope d'un trait puis il dit

ben non se n'est pas que je ne suis pas sur mais vue que les frontiere son fermé je ne peut pas encore m'installer je doit attendre la reponse de la duchesse ou la reouverture des frontiere

Aloe_sonia

Elle vit qu'il vida d'un trait sa chopine, il devait avoir très soif. Alors elle décida de faire deux tournée générale.

Elle servit deux chopines et deux tisanes à toutes les personnes présentes.

- Tu es obligé de demander une autorisation? Ben j'espère qu'elle acceptera.
Et tu comptes partir ou après?

Noctis.lucis.caelum

j'espere aussi qu'elle dira oui mais je suis sur qu'elle dira oui vue que j'ai les main blanche et que j'ai de la famille ici

puis vida c'est deux chopine d'un trait

Dame_gertrude.

Gardant toujours la main de la jeune femme sous la sienne , la vieille Gertrude versa une nouvelle rasade de vin au romarin , d'une main tremblotante, dans le verre de Lysbeth:

Allez...R'prenez un verre !
T'façon...Vu votre état , ça peut pas vous faire d'mal

Elle en avait pourtant vu et entendu dans sa vie , Gertrude !
Mais la mauvaise aventure vécue récemment par la jouvencelle , assise en face d'elle , la touchait plus particulièrement.
Encore heureux que l'autre sauvage ne l'ai pas égorgée, une fois son affaire faite.
Mais quelle idée , aussi, de voyager toute seule sur les routes des royaumes
Là, ça frisait l'inconscience !

Jugeant que ce n'était pas le moment de faire la morale à la blondinette, mais plutôt de la réconforter, elle lui sourit de sa bouche édentée :

Bon, maintenant, faut songer à bien vous r'poser et vous soigner vot' jambe et vot' âme
Et puis, faut penser aussi au cadeau empoisonné qu'on vous a fait .

La fixant droit dans les yeux, la vieille ajouta :

Z'avez l'intention d'quoi faire, à ce sujet là ?

--Dame_gertrude

Gertrude regarda toutes les personnes dans la taverne. Elle servit à boire.
Et écouta Gabrylla qui parlait de cet homme dont elle ignorait le nom.

- Il est célibataire?!?

Gertrude se recoiffa, tentant de se mettre en valeur. Elle lui donna un autre verre et lui fit un de ses meilleurs sourire. Mais ces dents noircissaient, elle avait oublié de se brosser les dents et elle posa rapidement une main devant sa bouche.

- Vous restez, un peu ici?

Elle tapota sa robe pour faire tomber la poussière, et le regarda.

Gabrylla

Citation:

Tu vas voir toi !
Tu vas entendre parler de mes golfes...pas très clairs, ho Gaby !

Bon ! on se les boit ces grogs ?
Fait pas chaud ce matin mine de rien !

Et cette auberge appartient ainsi à Sonia ?
Elle a fort bon goût...jusque dans le choix tu petit personnel !

Oh que oui ! Sonia à très bon gout !! Une Dame parfaite !! Comme moi! Enfin normale..vous sommes blondes...
Oui! on les boit !!

Gaby rit et fit oui de la tête en regardant Gertrude puis elle donna un coup de coude à François et boit doucement en souriant.
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Sunev

Une vieille.
Ridée jusqu'à l'os.
Edentée plus qu'il ne le faut.
Tellement voutée qu' elle ne devait pas lui arriver plus haut que l'épaule.

Une vieille qui du fond de sa mémoire semble la reconnaître, ce qui n'est évidemment pas son cas.
Sun a appris à masquer sa surprise devant des visages qui lui semblent inconnus lorsque ces inconnus là s'adressent à elle en terrain connu.

Vingu d'vingu !!!
J'vous ai d 'jà rencontrée, vous à c't'heure !
Seriez point la sœur de Demoiselle Sonia?
Aristote ait son âme !

Et pour c'qui est d'vot'...ami...
Y prend son bain là haut , dans sa chamb'

Avec un petit sourire gêné, elle acquiesse.

Oui c'est bien ça, je suis la soeur de Sonia.
Cela fait euh... - Petit coup d'oeil circulaire dans cette grande pièce centrale qui ne lui dit rien - longtemps que je n'étais pas venue! Il va falloir que je me réhabitue aux lieux, je ne sais même plus où est quoi!

Quand à Dom... s'il prend son bain et bien fort bien!
Oh moins comme ça il ne sentira pas mauvais lorsque je le verrais.
Auriez-vous la gentillesse de me préparer un petit thé bien chaud en l'attendant? C'est qu'il ne fait pas chaud là dehors.

Elle aurait bien envie de demander qui elle est cette petite vieille ratatinée, mais elle a peur de la vexer.
Fort heureusement la jeune femme dénommée pralyn était là et la vieille se présenta à elle sous le nom de Gertrude.
Yesss se dit-elle: une boulette de moins en prévision.

Elle se tourna vers Pralyn et se présenta.

Bonjour dame Pralyn, je suis Sun de Dijon.
Comme la moutarde...
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Lulli

Elle sourit à Dame Gertrude quand elle se plaçât à sa table et fut réconforter par la main câline.

Elle s'apprêtait à répondre quand la gouvernante qui s’occupait des enfants de Dom entra en coup de vent et se planta là à défendre les hommes. Elle rit de bon cœur, partager entre sa vérité et le plaidoyer de la rousse.

Bonjour Dame, oui on s'est croisé il y a quelques temps, il était question d'un enfant égaré si ma mémoire est bonne...

Elle hésitât un instant avant de poursuivre.

Tout les hommes ne sont pas comme lui, cela est sur, quand on bébé... Il ne m'a jamais toucher, je l'aurai pas permis. Enfin, on en a jamais discuter vraiment... Ce... C'est...

Elle se troubla, regardât son ventre et leva un regard un peu vide cherchant à quoi se rattraper, elle tombât sur leur deux mains l'une sur l'autre et dit en un souffle.

On... m'a pas demander mon avis, sur une route en Italie. Puis seule j'ai pas pus résister, il m'a frapper à la jambe... j'ai pas reçut... [size=7]que des coups... [/size]

Elle baissa le regard, ferma les yeux et parvient à retenir les larmes. Elle sortie la jambe de sous la table, un bandage neuf avait été fait. Elle se forçat à sourire et retrouvât une contenance.

C'est pas d'chance comme vous dite, mais le Diacre il dit que c'est un cadeau de Dieu. Et pour la jambe elle devrai se remettre vite !

Sunev

Après quelques jours sombres à se demander quoi faire et où aller, ne se sentant plus à sa place à Cosne auprès de sa soeur et de toute la petite famille; elle avait finalement et tout naturellement décidé de rentrer chez elle.
Thema lui avait proposé de l'accompagner avant de partir en retraite, mais elle ne s'était pas senti le courage de voyager 2 jours entier collée contre son dos et bercée par le pas hâtif de son cheval. Cela aurait remué trop de choses en elle...
C'est ainsi qu'elle avait pris la route à pied, avec simplement son baluchon sur le dos.
Le froid et la neige avaient envahis la Bourgogne et c'est les doigts de pied à demi congelés qu'elle arriva enfin chez elle.
Elle avait ouvert la porte, aéré et balayé la pièce principale. Elle avait également allumé un feu dans l'âtre et changé de vêtements. Puis, elle s'était assise sur une chaise, les yeux perdus dans les flammes dansantes.
Même ici, au calme, dans sa demeure, tout lui faisait penser à lui...
Sa présence, son rire, son regard si sombre qu'on pouvait parfois se demander si ce n'était pas dans ses prunelles que dansaient des flammes vives... Et puis ses colères aussi, et leurs incompréhensions mutuelles bien trop nombreuses.

Sun soupira: Bon ma belle, rien ne sert de rester seule ici à te morfondre. C'était la meilleure solution et tu le sais.

Elle se leva, mis un mantel à capuche en lainage rouge, prit son courage à deux mains pour affronter de nouveau le froid et se dirigea droit au chaudron buveur ou elle était presque sûre de trouver Sonia.

Elle frappa à la porte en appelant: Ouvrez! C'est moi! C'est Sun!
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Aloe_sonia

Sonia goutait la boisson qui lui avait apporter Paryk, quand elle reconnut une voix.
Elle se retourna et c'était bien elle, sa grande sœur Athia.
Elle alla l'embrasser.

- Comment vas-tu ma belle?

Elle l'aida en portant ses bagages.

- Donne moi, ma nièce que je regarde son visage. Elle prit le bébé et la bisa.
Vous n'êtes pas trop fatigué? en s'adressant à la mère.

- Hé! les amis, je vous présente ma grande sœur, une grande voyageuse, Athia.
Elle fit les présentations et l' accompagna dans sa chambre. Elle avait choisit la même décoration que celle d'Imerysa.

Dame_gertrude.

Gertrude se retourna vers la dénommée Pralyn et la considéra , les yeux écarquillés d'étonnement :

Ben moi, c'est Gertrude...
Dites donc, vous choisissez ben vot' moment pour aller visiter vot' soeur, vous !
Av'c toutes les armées en vrac qu'y a à c'te heure à Dijon, p'vez remercier Aristote d'ê't arrivée entière jusqu'ici ..

Puis elle continua :

Pour les chambres , pour sûr qu'y en a d'libres, ma p'tite dame.
Et le r'pas , j'étais justement en train d'y mett' la main quand v' z'êtes arrivée , t'aleur
Quant au baquet d'eau, va falloir attendre qu'il soit libéré avant d' pouvoir l'utiliser.
J'en ai qu'un !

Et la vieille servante se soupirer in petto , en espérant que le conteur n'ait pas trop éclaboussé le sol d'eau, là haut.
De toute façon, il était hors de question que ce soit elle qui nettoie ses saletés.

Michelkourou

Michel observa la servante qui s'approchait et se dit qu'elle avait pris un sacré coup de vieux, il se souvenait de ses joues rebondies et colorées.
"Ah Gertrude! quel plaisir de vous voir, Mais dites -moi vous avez bien maigri, vous avez du souffrir pendant cette dure période."Il passa son bras autour des frèles épaules de sa dulcinée et sans attendre la réponse de Gertrude il dit : " Pourrions-nous nous installer dans la chambre de Mary, le temps qu'elle se repose et reprenne quelques forces?"
Il entendit des voix venant de la grande pièce et se demanda qui pouvait bien se trouver là
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Domdom

Habitué depuis longtemps au ton persifleur et aux sarcasmes de la vielle hulotte (il n'était d'ailleurs pas en reste , de son côté) , le conteur ne releva pas , mais répondit d'un ton posé à une Gertrude , qui commençait à se diriger vers la cuisine , de son pas traînant :

Le baquet est déjà vidé, Gertrude , je n'ai point l'habitude de laisser les choses traîner
Vous devriez le savoir, depuis le temps

Pas mécontent de cette petite pique au passage , le grand brun se leva , incitant Sunev à l'imiter d'un petit geste de la tête , puis poursuivit , à l'attention de Gertrude :

Nous vous accompagnons à la cuisine , Sun et moi, Gertrude
Nous avons des choses à vous dire, pendant que l'eau chauffera et que vous préparerez les légumes pour la soupe.

Et le calvaphile d'ajouter , d'un ton mystérieux, adorant faire mitonner Gertrude dans son jus :

Des choses importantes ...
Qui vous concernent ...

La vieille continua alors vers la cuisine , tout en haussant les épaules , d'un air que Domdom savait faussement détaché.

Le grand brun se tourna vers Sun , qu'il arrêta , la main sur l'avant bras , alors qu'elle emboîtait déjà le pas de Gertrude.
Il lui intima à voix basse :

Laissons la un peu mijoter dans son jus
Raconte moi un peu ce que tu deviens
Et Seb, comment va-t-il ?

C'est alors que Dom s'aperçut que c'était en fait , la première chose qu'il aurait du lui demander
Il offrit un petit sourire malicieux d'excuse à sa blonde amie , puis s'en sortit par une pirouette :

J'aurais peut être du commencer par ça, non ?
Tu te rends compte à quoi tu as échappé, Sun ?
Tu aurais pu épouser un goujat encapuché , manquant singulièrement d'éducation !
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Tombé au champ d'honneur sous les coups de la tyrannie

Gabrylla

Citation:

M'est avis qu'on s'connaît, non ?
Z'êtes déjà v'nue ici
Et plusieurs fois, si j'me trompe pas....

La blondinette regarda Gertrude et sourit en hôchant la tête

Oui oui, je suis venue plusieur fois ici en effet, bonne mémoire !
Hum...C'est Gaby, sa n'a toujours changer !
Comment allez-vous ??

La jeune femme n'avait pas eu le temps de finir sa phrase que elle se retrouvait dans les airs serrée dans les bras de Dom, elle essaya tant qu'elle pu de respirer pour remis ses pieds à terre en souriant.

Dom !! Et oui je suis enfin revenue !!

Il lui pris la main et l'emmena s'assoir vers une grande table, Dom n'avait pas changer toujours sa capuche, ses yeux pétillant, ses trait réguliers et son visage de petit insolant, Gaby sourit en coin.

En effet, sa fait longtemps...trop longtemps même ! Et bien, j'étais à Chalon...je crois que ce village est pire que Chinon !!

Un petit rire s'échappa puis elle reprit...

Oh, tu sais, rien de bien passionnant, je me suis fait poutrer par l'armée de mon village...N'est ce pas magnifique ??! La prochaine fois je m'allongerais à terre et ferais la morte, sa passera peux être mieux !!
Je suis revenue voir comment était Dijon, mais je ne pense pas rester bien longtemps, je veux aller dans le sud ouest voir un ami, malheureusement je ne sais pas par où passé, c'est assez loin...J’emmènerais aller à Tarbes...

Elle le regarda un moment le sourire aux lèvres et reprit :

Et toi alors Dom, que deviens-tu ??
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--Pralyn

Pralyn retourna vers la vieille dame, qui parlait à une jeune femme.

Pardon, excusez-moi, je suis Pralyn, je suis venue en vacances dans votre ville pour voir ma soeur. Je voudrais donc savoir si vous aviez une chambre pour quelques jours, et si il était possible d'avoir un repas, et de prendre un bain.

Pralyn regardait la vieille dame et attendait sa réponse ......

Dame_gertrude.

La vieille servante était occupée à passer le balai de genêt dans sa cuisine, surveillant en même temps la marmite qui ronronnait dans l’âtre, lorsqu’elle entendit du bruit semblant provenir de la salle commune.
Se dirigeant vers la porte de son pas de petite souris, elle reconnut de suite , malgré sa mauvaise vue , la silhouette de l’autre enquiquineur de conteur, qui se détachait dans l’encadrement de la porte .
Haussement d’épaules désabusé de la vieille:

L’était pas parti chez les moines, c’t y là ?maugréa-t-elle dans sa barbe.
’Reusement qu’sa ménagerie n’est point là , sinon ça nous ferait un sacré cirque avec tous ses braillards…sans compter le chien , qu’arrête pas d’aboyer ,en plus !

Après s’être assurée qu’il n’y avait personne d’autre que lui dans la salle commune, Dame Gertrude s’en retourna à ses tâches domestiques.
S’il voulait quelque chose, il n’avait qu’à se déplacer lui-même…

Domdom

Adossé contre le chambranle de la porte qui donnait sur la cuicsine, Domdom regardait silencieusement la vieille s'affairer autour de la marmite qui ronronnait dans l'âtre.
Les effluves de ragoût qui s'en échappaient et qui titillaient les narines du passeur d'histoires étaient pour lui une vraie torture, tant son estomac criait famine.
Mais le brun s'interdisait tout geste , toute parole, pour l'instant.
Il savait que la Gertrude avait bien remarqué sa présence, mais qu'elle jouait délibérément la sourde oreille.
A ce petit jeu , c'était à lui de se découvrir le premier.
C'est avec un petit sourire en coin qu'il lança, d'un ton à la fois désabusé et ironique :

Bonjour, Gertrude
Mes enfants et leur nourrice ne sont pas là, n'est ce pas ?
Et j'imagine que vous ne savez pas où ils sont ?

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Tombé au champ d'honneur sous les coups de la tyrannie

Cara.

Naru sourit à Della, et s'approcha discrètement et s'assit à côté de Gaby'.
Elle les écouta papoter pendant un long moment puis dit pour ne pas s'endormir:

Vous allez tous me manquer à Dijon...j'aurais bien aimée rester, mais je doit quand même partir, pour ma famille.

Elle poussa un léger soupire, puis les laissa parler tranquillement.Elle prit sa chope la leva et trinqua avec eux, et bue une gorgée.
Gaby sera la proie parfaite ! Ou si il n'est pas intéressé par les blondes .. Il y a toujours moi et Naru ...

Hé Ho là ! Moi je veux pas me faire manger par un chien...de toutes façon je sais qu'il m'apprécie.

Elle regarda le chien, et lui sourit. Elle s'approcha doucement vers le chien, et le caressa en souriant.

Qu'il est gentil se chien chien ! Moi et les animaux sa fait beaucoup !

Elle leurs sourit puis se redressa, et finit sa chope d'un trait.
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--Canadadraille

J'aime les caresses ! oh oui encore encore !!!... Quoi c'est tout ?!!! bon d'accord c'est juste parce vous n'avez pas vu comme je suis belle ! M'en vais vous le montrer !

Voilà, je suis leste et en même temps toute ma quincaillerie sonne merveilleusement. Et hop quelques cheveux en moins... oups, elle va encore râler... Mais regardez moi, j'ai le museau en l'air et la queue bien en l'air !

Mais c'est que le messire ne m'a ni regardé ni flatté !

Ouaf !

Là c'est mieux, pour sûr il m'a vue !
Les gling gling sortent de son collier joyeusement tandis qu'elle lui tend la patte.

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H2d2

Hersande regarda le chien et avec un ultime effort plia son genou et lui serra la main

Tu es une joli chienne toi.

Il la caressa

Tu sais chez moi il y a plein de bon nonoss pour toi. Viens quand tu veux. Mon tuyé t'es grand ouvert

Puis s’appuyant sur son bâton il se releva avec la seule force des ses bras

Domdom

[Deux longs mois plus tard]

A peine avait il escaladé les hauts murs du monastère dans lequel il était retenu prisonnier depuis plusieurs jours déjà , que le grand brun , prit derechef la direction de l'auberge "Chaudron Buveur".
Toutes ses pensées d'entrechoquaient dans sa tête, un peu comme des armées s'affrontant sous les remparts d'un château .
Il tempêtait intérieurement de ne pas avoir été davantage présent pour aider à libérer sa ville , mais aussi pour donner son avis sur la façon plutôt grotesque et désordonnée dont se déroulaient les dernier évènements.

Mais pour l'instant, il avait très peu de temps pour apprécier sa liberté et la priorité était donnée à sa famille : ses enfants et celle qui faisait chanter dans son coeur la douce mélodie de l'amour.
Il savait que Lenada vivait un moment particulièrement difficile et qu'elle avait besoin de se sentir soutenue.

C'est en songeant à tout ceci ,que l'encapuché ouvrit la porte de l'auberge de sa soeur , Sonia, dont il n'avait plus aucune nouvelle depuis de longues semaines.
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Tombé au champ d'honneur sous les coups de la tyrannie

Dellacasa

La jeune femme heureuse de voire Albine venire parmis eux, elle réclama une tournée générale !
Puis une auutre tournée ne lui fera pas de mal ! Attendons de voire, avec le temps ...

Citation:

qui va rester sagement dans sa capuche... Je suis très heureuse de vous revoir.

Voyons, voyons ! un chien avec une capuche ? Mais quel bordel, là, s'en est un, à vrai dire. Elle s'approche doucement de la petite bête pour lui caresser doucement les pattes. Puis se relevant dit à Albine : Mais il est tout mignon ce chien, je pense pas qu'il va nous mordre .. à moins que les blondes l'attirent .. ! et je n'en vois qu'une seule, Gaby sera la proie parfaite ! Ou si il n'est pas intéressé par les blondes .. Il y a toujours moi et Naru ... Je crois que je vais éviter de trop m'en approcher aussi .. On sait jamais hein, malgré que ce soit un petit chien ! elle lui sourit angélique, telle une petite fille qui supplie qu'on écarte l'animal. Elle n'aiment pas les chiens, du moins certains .. Celui la ne lui disaient rien .. Ni trop gros, ni trop petit. Tant qu'elle ne l'a encore jamais vu en action, elle évitera de lui faire beaucoup de caresse.
Ses pensées prennent leurs envoles quand elle entend Hersande dire qu'il allait peut-être amputer sa jambe ... Un petit sourire au lèvres elle s'adresse à ce dernier :

Eh bien, Albine vous propose son épée, moi je me propose pour faire le truc .. Vous voyez quoi .. J'ai jamais essayé, j'aimerais bien voire .. voire ce que sa fait de voire une jambes tomber par terre !

Dame_gertrude.

Toujours penchée sur sa marmite , Gertrude se retourna lentement , non seulement du fait de son vieux corps , qui s’acharnait à ne plus vouloir répondre promptement aux injonctions de son cerveau , mais surtout pour montrer à son interlocuteur qu’elle n’était pas aux ordres.

Non mais , pour qui il se prenait celui là , avec ses sous entendus ?

C’est après avoir planté son regard de myope dans celui de l’autre énergumène, qu’elle lui répondit d’un ton détaché :

Sont partis tôt c’matin…
M’ont pas dit où , par contre…

Puis, après un petit silence :

C’est pas mon travail de surveiller vot’ maisonnée, m’sire Domdom
Pourtant cette pov’ Alexandrine a ben du souci , avec tous vos loupiots…
On peut pas dire que vous l’aidez beaucoup
Z’êtes jamais là !

Réprimant l'envie d'ajouter un "fort heureusement pour moi... ,la vieille servante , continuant de touiller machinalement avec une cuillère en bois dans la marmite , lui tourna à nouveau le dos , histoire de montrer au conteur qu’elle avait autre chose à faire que de perdre son temps avec lui.

Dellacasa

Sirotant doucement sa chope, elle hochait la tête quelques fois quand Gaby parlait. Voire toujours les mêmes têtes .. Sa peut d'venir chiant .. nan sa peut pas le devenir, sa le devient ! Si au moins on voyait des têtes différentes, ça serait bien ! Mais les si seulement et les si seulement on peut pas toujours faire en sorte que sa soit vrai ! Trop de personne se plaignent, trop de personnes disent que c'est mort mais ces mêmes personnes là ne font plus le minimum pour que la ville revive. Fallait faire en sorte que tout ce calme s'en va, que tout ce silence meurt, ce qu'elle a toujours voulu faire. Sa n'a pas toujours était facile, mais elle n'a jamais baisser les bras ou perdue espoir. Combien de personne lui on parler de Dijon ? Combien de personne rêvaient de s'y installer ? Quand on y est vraiment, on se rend compte que Dijon n'est pas ce qu'on croit, Finalement, Faut croire que ce sont nous, qui sommes morts.
Mais, il fallait changer tout ça, il fallait tout secouer, il fallait rajouter quelques graines de folie, dans les animations, ainsi que dans tout. Dijon deviendra une ville pimentée, et ce n'est que comme ça qu'elle sera digne de son nom. Enfin, arrêter de penser, et se mettre au travail ! Peu importe le temps que sa prendra .. Sa finira par arriver ! Nan nan .. C'est vrai !

Je ne pourrais jamais comprendre ceux qui préfèrent la discrétion, le silence, dans le jour comme dans la nuit, d'ailleurs ! Certes, il faut faire en fonction de son temps, Gaby ! mais tu es assez présente, je te vois partout, ça me fait plaisir .. Si ils étaient tous comme toi, je crois que Dijon serait une belle ville, une ville parfaite ! C'est vrai que sa fait penser à autre chose, enfin pour ceux qui pensent .. Suffit de pas penser .. Enfin penser à penser il ne faut pas ! Il faut penser à ne pas penser et je crois que sa ira .. !

Partie dans un débat, elle était prête à ne plus s'arrêter ... Non mais surtout qu'elle ne savait pas comment l'expliquer. S'arrêtant un instant pour reffléchir, des pas se faisaient entendre venant de l'entrée. Elle tourne la tête pour voire qui était l'heurex venu puis avec un grand sourire lache un "Bonjour Hersande, ça va et vous ? On voit que vous boitez encore ! Ni une ni deux ! Juste un salut de sa part et le voila déjà entrain de commander d'la bière .. Nan mais alors ces hommes qui pensent qu'à boire .. Non non enfaite, c'est bien ! Faut tout vider les tonneaux ! A Vos chopes .. Dijonnais !
Pas le temps d'ajouter autre chose, que voila Naru ! Naru .. Sa vieille amie. Non pas vieille, nouvelle mais cela n'a d'importance aux yeux de Della, elle avait l'impression de la connaître depuis des années. En quelques jours elle s'était attaché à elle. Qui a cru qu'elle partirait si vite ? Et cette .. cette Naru qui ne veut pas changer d'avis ! même si c'est juste pour une visite chez sa famille .. L’Espagne c'est loin !
Bref, la jeune femme sourit à son amie après lui avoir dit de les rejoindre, quelle idée de s'isoler dans le coin avec le tavernier .. Enfin .. faut pas se faire des idées n'est-ce pas ? Naru est une jeune fille très gentil, jamais elle ne s'attaquerait au tavernier !

Viens donc Naru, viens avec nous, tu pars ce soir .. Je n'ai pas envie de rater un instant que j'aurais pu passer avec toi !

Un sourire adressé à sa petite Naru. Mais encore une fois la porte s'ouvre et une autre tête fait son entrée.Finalement c'est plutôt pas mal, c'était Albine. Albina ... Non c'est Albine hein ! Sa serait honteux d'oublier son prénom, surtout que la dame va l'aider pour l'animation. Elle lui tiendra compagnie tiens, si jamais y a personne ! Mais ça ne risques pas d'arriver .. Non non non ! ça ne risque pas d'arriver que personnes ne viennent participer à ses animations .. Sinon .. Quel bordel ! Arf, ça ne serait même pas un bordel, le pire !

Ohh Bonjour Albine ! Viens toi aussi, avec nous ! d'ailleurs tu tombes à pic .. On parlait de l'animation ! et puisque ça te plairait d'en faire bin .. J'me dis qu'on devrait en parler !

Aloe_sonia

Sonia suivit toujours Dom' du regard. Son visage, toujours si expressive, passa de l'étonnement au dégouts et à la surprise.

Mika, pourrait ne pas être morte, elle voulait tellement y croire.
Les larmes continuèrent à couler, pendant que son frère écrivit sa missive.

C'était la missive de tous les espoirs. Il fallait qu'elle arrive à bon port, il fallait que le destinataire nous réponde, mais surtout que ce pigeon nous apporte de vrai et bonne nouvelle.

L'arrivée des enfants et des gouvernantes, fit réagir Sonia. Elle détourna son regard et en profita pour essuyer ses larmes.
Se leva les bisa un à un, et les regarda partir, quitter la taverne pour le marché.

Gabrylla

Gaby était assis au comptoir avec Della, elles buvaient leurs choppe tout en papotant de l'animation qu'il y avait à Dijon.

Citation:

C'est vrai qu'on voit toujours les mêmes têtes en halle .. Alors au bout d'un certain temps .. L'ennuie prend place ! S'pas faux ça hein ?
J'espère vous voire toujours aussi présente en halle, ET en taverne ! Continuez, vous allez voire que certains vont vous suivre dans votre chemin de folie !
Besoin de vous comme besoin de tout le monde ! C'est juste que je vous trouve un peu plus "agitée" que les autres, je me dis enfin une personne qui déteste le calme autant qu'moi ...
Et les nouveaux habitants j'essaie doucement de les attirer en halle !
Vous aurez surement l'occasion de les connaitres, enfin j'espère !

Gaby le sourire au lèvres répondit :

Oui, je n'aime pas vraiment le calme c'est vrai, seulement je n'ai pas toujours le temps d'aller en ville faire les activités, mais j’essaie d'y allez le plus que je peux ! Et puis, j'aime sa, sa me fait penser à d'autre chose, voir des nouvelle têtes, c'est toujours un plaisir !

Gaby bu quelque gorgée de sa choppe quand un homme entra en taverne, une voix plutôt...familière !! La blondinette se retourna et sourit à Hersande, le pauvre boitait toujours, son genoux le faisant toujours autant souffrir, elle s'en voulait, mais elle aussi avait eu mal...Elle lui adressa un petit signe de la main en lui disant de venir vers elle et lui dit :

Coucou Toi !! Très bien, merci et toi, tu vas bien ?? Alors, ce genoux ça va un peu mieux ou toujours pareil ?? Tu as essayez de mettre une pommade et de massez, sa te ferais peux être du bien ??

Tous en disant ses dernière phrase, la porte de la taverne s'ouvrit, et bien ! Que de monde aujourd’hui pensa la blondinette. Elle sourit en voyant Naru passer la porte, elle fit un hochement de tête en guise de Bonjour et lui dit d'approcher un peu vers elle.

Comment vas-tu Naru ?? Je ne te vois pas souvent ici dit donc !! Tu devrais venir plus souvent, on n'y est bien !!

Naru et Gaby papotaient ensemble quand Albine fit sont entrée. Elle la regarda et sourit en lui disant :

Bonjour !! Rester donc vers nous !! Vous allez bien ??
C'est votre chien cette petite chose ?? Dit-elle tous en regardant le chien

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Aloe_sonia

Sonia avait fait un saut dans sa chambré, pour se faire une toilette.
Elle ne voulait pas apparaitre comme une souillon devant les enfants.
Il fallait montrer l'exemple.

Elle en profita pour dépoussiérer le miroir et vit que sa chambre était à l'abandon. Elle lâcha un juron et se demandait ou se trouvait Gertrude.

Mais des cris de joie la firent sursauter, des retrouvailles. Ceux de la famille de Dom'.
Elle sourit et préféra les laisser ensemble. Un mois que son frère avait pris la route. Ils devaient avoir des choses à se dire.
Elle savait qu'ils avaient le projet de quitter son auberge et d'avoir un chez eux. Elle savait que c'était dans l'ordre des choses, mais elle appréhender cette instant. Le jour, où ils lui diront au revoir, le jour ou elle les verrait déménager.
Elle posa une plaid sur son lit et s'y allongea, elle posa sa tête sur ses mains.
Elle se leva, et se dirigea vers la porte, et descendit les escaliers.

Elle vit qu'Alexandrine, elle lui sourit et la salua.
Elle chercha du regard Gertrude.

Alexandrine

[Salle commune]

Pauvre Alexandrine ! Elle avait trouvé les gosses agités après le départ de leur père, mais elle se rendait compte à présent que ce n'était rien à côté d'aujourd'hui !
Il faut dire que la bonne ville de Dijon s'était réveillée emmitouflée dans un somptueux manteau blanc rehaussé de minuscules paillettes argentées. Il avait neigé toute la nuit, et à présent la bise avait nettoyé le ciel, permettant à un soleil radieux d'allumer des milliards de scintillements à la surface de la neige. Et comme chacun sait, la neige, il n'y a rien de tel pour énerver des enfants.

Adelin en oubliait sa réserve naturelle.

La neize ! La neize ! Alessandine, ze peux aller faire un bonhomme de neize ?

Les jumeaux n'étaient pas en reste :

Didine, on va zouer à la neize ?

Pauvre nourrice ! Elle qui n'aimait rien tant que rester au calme au coin du feu avec son tricot ou sa broderie sur les genoux !

Du calme, du calme ! Finissez d'jà vot' déjeuner ! Et pas question de mettre une oreille dehors par ce froid de gueux !

Mary.

La rousse gouvernante, elle, était d'avis de les emmener se défouler dehors, les gosses. Ils reviendraient épuisés mais ravis, on les frictionnerait, on leur remettrait des vêtements bien secs qu'on aurait mis près de la cheminée avant de partir, et on aurait la paix le reste de la journée. Sans compter qu'une bonne bataille de boules de neige ... elle la ferait bien volontiers avec eux !

Alexandrine, ne sois pas rabat joie comme ça ! Reste ici si tu veux, moi je les emmène au marché, ils pourront faire des batailles de boules de neige en route, et construire un bonhomme sur la place du marché !

Christos ! Mais cette fille est folle ! Tu veux leur faire attraper la mort ?

Alexandrine, enfin ! Il ne fait pas si froid que ça ! en jouant ils se réchaufferont ! On va bien les couvrir, ça ne risque rien !
Quand même les enfants, écoutez moi bien : pour jouer à la neige, vous mettrez vos gants dans vos poches, parce que des gants mouillés, par ce vent, ça devient très vite des glaçons ! et quand vous commencez à avoir froid aux mains, vous remettez les gants, mais vous arrêtez de toucher la neige, d'accord ?

Pendant que les gosses terminaient leurs tartines et leur bol de lait fumant, elle prépara les vêtements de rechange près de la cheminée. C'est alors qu'elle même, après avoir fait passer leurs manteaux de lainage aux enfants, se couvrait de sa cape et de sa grosse écharpe qu'elle entendit du bruit dans l'escalier, puis la voix tant aimée de Michel :

Mary, ma douce, où allez vous donc de si bon matin, si vous allez au marché je tiens à vous y accompagner et je ne vous ferai pas faux bond cette fois, parole d’helvète !

Ah ! Vous tombez bien, Michel ! Venez vous joindre à nous ! Comme ça nous pourrons porter chacun un des jumeaux, pour éviter que leurs chausses ne se mouillent trop vite, et qu'ils n'aient froid à leurs petits petons !

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Albine.

Fraîchement arrivée d'un long voyage, Albine entre dans une taverne pour se désaltérer, certes, mais surtout pour faire des rencontres, bref, papoter (son passe-temps favori). Elle avait laissé ses parents devant une échoppe merveilleuse, mais qui se trouve diviser le couple sur l'achat d'une nouvelle robe...

Bref, il était tant de fuir et les laisser se décider sans elle.

En entrant, elle retire sa capuche et y glisse son chien en le priant de rester sage.

Le bonjour ! claironne-t-elle, son sourire le plus charmant sur les lèvres.

Elle avance vers le comptoir, et passe commande.

Chope servie, chope payée. Elle balaye d'un regard la salle pour savoir où s'installer sans déranger, mais quand même pas trop loin pour pouvoir éventuellement... et bien papoter ! Canadadraille (ça ressemble à un chien, il paraît que c'en est un, mais personne n'en a encore fait la preuve...) sort sa tête de la capuche et commence à fleurer les nouvelles odeurs humaines ou culinaires.
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Gabrylla

Gaby assis au comptoir entendit une voix de femme, elle se retourna et vit Della, elle lui sourit.

Citation:

eey , Bonjour Bonjour ici ! Mais ou sont donc les dijonnais ? On a l'impression d'être dans un cimetières .. Un peu de bruit .. N'oublions pas que c'est une taverne tout de même ! Nan mais ohh !! depuis quand une taverne c'est aussi calme ?

Coucou !! Oui, c'est vraiment mort !! Y a personne ! Il faut absolument faire bouger tous sa !! J'espère que sa va revenir vite !! On va leurs bouger les fesses !

La blondinette sourire aux lèvres

Citation:

Vous savez ce qui fait qu'ils dorment toujours ? C'est que personnes ne les réveille ! Personne ne leurs demandes de s'bouger l'cul ! Et personne ne leurs propose de faire quelque chose ... Je crois que vous êtes assez "présente" pour vous mettre à l'animation ! j'aurais besoin de vous moi , vous êtes géniale ! Je le sais parce que vous êtes la seule que je vois partout ! Sa fait enfin plaisir de voire quelqu'un qui bouge pour de vrai .. !

Oui, mais le faite que par énormément de monde viennt en ville ( halle ) et bien...c'est assez ennuyant, il faut que plus de monde viennent, sa arrangerait tous !! Oui, je suis très présente, toujours en taverne entrain de faire et dire n'importe quoi ! J'aime profiter !! Besoin de moi ?? Et bien ! C'est gentille, mais oui pourquoi pas je verrais bien, je dois parler un peu à Ezio avant pour le poste de responsable au commerce, j'ai déjà été animatrice à Dijon avant de partir en voyage. Mais, faut que j'apprenne à connaitre les nouveaux habitants !!

Gaby sourit doucement et pris sa choppe en la sirrotant
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Alexandrine

Au bord des larmes, elle était au bord des larmes quand enfin le gamin avait relevé les yeux vers elle, puis était venu lui enserrer les jambes à travers ses jupes et jupons, manquant la faire tomber .

Alors ça t'a plu, l'voyage ? T'vas être comme ton Poppa, twâ, toujours par monts et par vaux ?
Des militaires ! Christos Maria Giosep ! Mais à quoi pense ton père de t'emmener au milieu des armées !
Quand est-ce que tu r'pars ? mais t'es pas encore rentré qu'tu veux d'jà r'partir ?

Obéissant à l'injonction du gosse de se baisser, elle s'assit sur la troisième marche de l'escalier, et le serra dans ses bras, si heureuse de le retrouver, priant pour que son père le laisse là la prochaine fois qu'il partirait en vadrouille. C'est qu'il lui avait manqué, ce p'tiot !

Alexandrine

[salle commune, les retrouvailles]

Elle en avait gros sur la patate, la nourrice ! Envolée, la joie de les revoir ! Le gamin l'avait carrément ignorée, préférant ouvertement cette espèce de grand chien jaune qu'il semblait considérer comme un ami. Pas un regard pour elle !
Elle ruminait là-dessus, absorbée dans sa mauvaise humeur, tout juste si elle entendait le patron parler.

.........Vous avez raison, Alexandrine, nous ferons une grande fête , au retour du couvent de Mary , non seulement pour fêter nos retrouvailles , mais aussi pour pendre la crémaillère de notre nouveau logis.

A ce propos , où en êtes vous de vos démarches concernant notre future demeure ?
Mary n’en a pas fait mention dans ses missives.

Heuuuu... Hein ???? Ch'sais pô, moi, c't'elle qui s'en est occupé, faudra lui d'mander à son r'tour

Et elle continua à regarder le gamin faire des papouilles à son chien, le regard plus bovin que d'habitude si c'était possible.

Domdom

Comme lors de chaques retrouvailles avec sa petite famille , Domdom ne savait plus où donner de la tête.
Submergé par la démonstration d’affection de ses gosses , il finit par s’asseoir sur le banc , sa brune Katell sur le genou droit, le blond Aubry sur le gauche , Adelin, toujours aussi discret , plaqué tout contre lui.
C’est qu’ils lui avaient manqué ses angelots , pendant tout ce temps passé sur les routes sans eux.
Et le peu de nouvelles que lui avait donné Mary de ses enfants et de la vie Dijonnaise , pendant que lui et Valérien arpentaient les chemins , n’avait fait que stigmatiser ce vide .

Tout en calinant ses cadets , le calvaphile observait les retrouvailles entre son aîné et Chouchen, le chien jaune , d’un œil amusé .
La fine équipe était enfin reconstituée : on allait vite entendre la vieille grognon de Gertrude les houspiller à nouveau, les menaçant de son balai de genêts , ce qui habituellement lui donnait une allure de vieille sorcière édentée.

Lâchant les duettistes du regard , un grans sourire aux lèvres , il tourna la tête vers Alexandrine , que Sonia avait rejointe au bas de l’escalier :

Quel bien ça fait de rentrer chez soi !
J’aime voyager, mais j’aime aussi revenir…

Puis, répondant à la remarque de la nourrice des petits :

Vous avez raison, Alexandrine, nous ferons une grande fête , au retour du couvent de Mary , non seulement pour fêter nos retrouvailles , mais aussi pour pendre la crémaillère de notre nouveau logis.

A ce propos , où en êtes vous de vos démarches concernant notre future demeure ?
Mary n’en a pas fait mention dans ses missives.

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Tombé au champ d'honneur sous les coups de la tyrannie

Valerien

C’est un Valérien à la fois fourbu et fier comme un chevalier rentrant victorieux de la guerre ,qui entra dans l’auberge , en compagnie de son père , ses petits bras chargés à ras bord.

Pff…c’est lourd…Z’en peux plus !

Fort heureusement, la main secourable de Poppa arriva juste à propos , avant que Valérien ne lâche sa charge d’un seul coup par terre.

Le blondinet de huit ans était content de rentrer , de retrouver tout son monde, après un long voyage plein d’aventures .
Pour son premier voyage avec son paternel , mais sans le reste de la famille , il avait été gâté, le blondinet.
Pendant ce long périple , ils n’avaient pas rencontré de brigands, fort heureusement , mais ils avaient croisé beaucoup de militaires pressés, galopant à bride abattue, ou contrôlant les villes qu’ils avaient traversé.

Valérien s’était fait des copains, aussi et surtout, il avait retrouvé Lupin, à Rennes , celui qui élève des vers de terre et qu’il avait déjà rencontré à Dole.

Une fois qu’il fut libre de ses mouvements , il entreprit de fouiller le rez de chaussée de l’auberge , mais n’avait trouvé personne :

Dis Poppa…
Pourquoi y sont pas là ?
Et il est où , Ssoussen ?

Il n’eut pas le temps d’ajouter quelque chose, qu’il entendit la porte d’un des chambres s’ouvrir et une cavalcade dans l’escalier .
C’était Alexandrine, avec ses frères et sœurs , qui descendaient à leur rencontre , dans une joyeuse cacophonie, se coupant tous la parole.
Valérien entendit quand même Alexandrine les interpeller :

Citation:

M'sire Domdom ! Vous revoilà ! Que le temps nous a semblé long, à Mary et à moi ! Et surtout à moi cette semaine qu'elle était au couvent !

Valérien ? C'est bien toi ? Que tu as grandi ! Et tu as pris de belles couleurs, mon garçon ! C'que Mary va être contente de te revoir !

C’est alors qu’une boule de poils jaunes lui sauta dessus , le léchant à grands coups de langue baveux , déclenchant des rires chez le gosse :

Ssoussen…Ze suis si heureux de te retrouver, mon ssien..
Attention …Tu vas me faire…
Tomber…

Trop tard !
Le gamin s’était retrouvé par terre , les quatre fers en l’air , son chien continuant de le lécher à qui mieux mieux.

--Dame_gertrude

Citation:

- Gertrude, Gertrude.... Viens donc m'aider à décharger.

Gertrude sursauta en entendant Sonia, et grimaça :

- Arf, viens m'aider, viens m'aider! Qui t'a dit d'aller dévaliser le marché, maugréât elle dans son châle.

Elle se leva, tant bien que mal et alla décharger la charrette, la salua d'un signe de la tête, elle n'arrivait pas à en croire ses yeux, Sonia avait apporter des choses lourdes : échelles, bois, tonneaux et beaucoup de choses.
Elle classa les ingrédients dans sa cuisine.

Assises dans la cuisine, elles finirent le rangement et burent un verre ensemble. Gertrude commença à parler :

- Dame Sonia, ou est votre petit Valérien? Ça fait longtemps que je l'ai vu?

Gertrude la regarda et continua à boire.

Michelkourou

Michel ne put s’empêcher de rire en regardant l’air désespéré d’Alexandrine, il s’approcha d’elle et lui fit une bise sur le front essayant de lui communiquer sa bonne humeur « arrêtez de faire cette tète Alexandrine, profitez en vous aussi pour vous amuser et qui sait, peut être un gentil fiancé vous attends dehors sous la neige »
Michel avait bien changé depuis que Mary lui avait ouvert son cœur, lui si taciturne et solitaire avait laissé sa carapace d’ours et était devenu jovial et plein d’en- train. Il parait même qu’on l’avait entendu chanter lorsqu’il prenait son bain.
Il Déposa un doux baiser sur les lèvres de Mary puis lui prit les mains
"Allons y ma princesse, je porterais le plus lourd de ces petits anges, même les deux si vous voulez…"
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Lulli

Lulli sursauta en entendant prononcé son nom... elle avait oublié l'endroit où elle se trouvais et jusqu'à l'heure même ! Elle se redressât, remis ses quelques souvenirs en place. Elle laissât sa mère et son père ses frères et ses sœurs repoussant presque à regret la petite Aline qui lui offrait tant de cailloux et galets... Ce tournât vers la voie lentement afin d'être un minimum présentable, enfin de visage puisque pour le reste c'était perdu d'avance ! Dés qu'elle reconnu l'homme, elle se levât d'un bon pour faire un salut alambiqué un brin malhabile.

- Messire ! Bien le bon soir !

Elle souriait, ravis de le revoir mais elle vit ses baguage en même temps !

- ça y'es ? le grand départ ?

Elle fit une moue un brin boudeuse en venant vers lui et croisât les bras sur sa poitrine.

- Vous reviendrais nous voir au moins ?

Elle restait à distance de Valentin, un sourire un brin taquin, un brin timide au lèvre. Elle n'était pas certaine de savoir sur qu'elle pied dansé...

Valentin_de_rochelle

Un sourire apparut sur le visage de Valentin quand il eut confirmation de l'identite de la jeune fille. Parfois perdu dans ses pensees, dans ses souvenirs, il peut arriver qu'on prenne un parfait inconnu pour un autre plus proche. Mais non, c etait bien elle, Lulli prenait peu a peu ses reperes dans la ville et on pouvait donc a present la croiser a differents endroits, comme n importe quel bon citoyen dans sa ville.

- et bien oui, le groupe m attend pour le depart. Nevers a besoin de nous, tout n est pas rose la bas mais je vois que tu te portes tres bien. Tu connais donc enfin ce lieu...arff toujours pas de chausse on dirait. Ecoute, je reviendrai sans doute a Dijon mais pas avant quelques semaines. Cela te laissera le temps de d'acheter des chausses et quelques vetements...Je serai ravi de te revoir et pour l heure je dois recuperer quelques denrees au marche avant de reprendre la route des cette nuit. Je te dis donc a tres bientot petite princesse

La princesse aux pieds nus, ou la petite bohemienne aurait on pu l'appeler mais rien ne pouvait gacher l image de cette jeune fille adorable. C'etait le souvenir que Valentin emporterait avec lui...
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Lulli

Lulli écoutât Valentin, rit à l'idée des chausses et des vêtements mais à peu moins à celle de l'attente.

Bon voyage quoi qu'il en soit Messire, et bonne route à votre troupe !

Elle fit un salut et le vit partir, elle finit son verre rapidement, repris sa lanterne et son bâton, hésitât un instant puis s'en retournât chez elle. Ses pensés la conduire à bon port.

Valentin_de_rochelle

Quelques jours a Dijon, de doux moments a rire en taverne, des belles rencontres, retrouver Angelyque, Aleryk. Ce passage en la capitale ne laisserait que de bons souvenirs a Valentin qui preparait ses affaires pour le retour vers Nevers. Les ventes sur le marche avaient ete bonnes et il rentrait avec de quoi largement aider la mairie qui avait serieusement besoin de fonds apres la revolte. Emportant avec lui le dessin que lui avait laisse Lily, il le glissa sous sa chemise. Non pas qu'il pouvait avoir froid mais il voulait cette pensee tout pres de son coeur, a sa place.

Puis fermant la porte de la chambre laissee vide, il descendit quelques marches, la cle a la main qu il reposa sur le comptoir, laissant ainsi quelques ecus pour payer sa note. Il n'avait pas pu voir Sonia mais il avait fait la rencontre du maire Delamarck et d'Asclepiade qui lui avaient prodigue quelques conseils. Il sentait la une grande solidarite du duche envers sa ville.

La, dans l'auberge alors qu il allait franchir la porte, il s arreta un moment croyant reconnaitre.... :

- Lulli ? Est ce bien toi ?

Lulli la jeune fille qu'il avait croise en taverne, encore au debut de sa vie, pas meme des chausses pour marcher, ni meme quelques vetements pour la proteger du froid. Il la savait courageuse, espiegle, drole et d une grande repartie. La jeune fille etait encore toute gentille de ne pas encore avoir souffert des petits malheurs de la vie . Il 's approcha peu a peu craignant de faire peut etre erreur sur la personne.
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Lulli

Lulli poussât lentement la porte de l'auberge, comme par peur de déranger et se glissa à l'intérieure. La chaleur la fit sourire, elle regarda autour d'elle et vit une table un peu à l'écart, elle déposa sa lanterne et son bâton.

Une fois installer, elle regardât autour d'elle, on vient lui demander ce qu'elle désirait boire et elle commandât une tisane pour délacé son être du temps glaciale. Songeuse elle laissât son regard errer. A chaque fois qu'un moment s’offrait ainsi à elle, c'est à sa mère que ses rêves revenait, sa mère et les petits derniers aussi... Un peu son père mais la douleur était trop vive.

Elle fit rouler entre ses doigts les cailloux qu'elle gardait précieusement dans une petite bourse en peau de mouton que son père lui avait construite quand elle était si petite qu'on lui ébouriffait les cheveux. A ce souvenir elle souriait toujours et attablé, cela la repris aussitôt. Sa tisane lui fut servit elle posât les mains sur le gobelet, heureuse de la douce brulure sur la pulpe de ses doigts fatigué par le travail à la mine.

Lentement une forme de mélancolie la repris, et les yeux dans le vague elle se demandât pourquoi elle avait pris ce chemin si loin de son passer... Elle n'était pas malheureuse mais sa famille, sa seule force, elle l'avait abandonner pour son propre plaisir... Son regard tombât sur le bois de la table et s'y abimât. Parfois, au grès des souvenirs, un sourire naissait et disparaissait de son visage.

Lily-es

Pendant son court sejour à Dijon, Lily avait eu le temps de voir son amie Angélyque. Elles avaient discutées plusieurs fois, repensées à leurs souvenirs communs et renouées les liens de l'amitié.

Il était temps pour elle de repartir. Tout en faisant son sac, elle repensait à la motivation qui l'avait incité à modifier son parcours. Cela maintenant la faisait sourire surtout lorsque son regard parcourait la pièce faite d'un désordre amoureux.

Pourtant elle avait été prête à avoir le coeur déchiré par une incompréhension, une peur inavouée.

Mais tout cela était du passé, maintenant la vie s'ouvrait devant elle, claire et radieuse, faite de matins ensoleillés meme quand il pleuvra dehors.
Elle aurait pu rester... elle aurait aimé rester, son coeur et son corps lui demandaient de rester mais chez Lily, souvent le cerveau décidait en dernier,

Là encore il avait eu le dernier mot... le souci de la parole donnée avait été le plus fort. Il lui fallait partir, quelqu'un l'attendait pour partir

et plus loin au bout de la route, une tache à accomplir l'attendait également. Pourtant cette tache lui ouvrirait les portes du paradis.

Aussi c'est confiante dans son avenir, dans leur avenir qu'elle boucla sa besace.

Avant de quitter cette chambre, elle déposa sur l'oreiller renversé un parchemin sur lequel elle avait juste dessiné un énorme coeur contenant deux initiales.

Un dernier regard et elle ferma la porte, déposa la clé sur le comptoir et prit la rue menant aux remparts et à la porte de la ville.
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Valentin_de_rochelle

Les premiers rayons de soleil caressant son visage, le jour s'etait leve et Valentin ouvrit enfin les yeux. Dans un grand souffle, il s'etira et posa son bras sur le cote, tatonna legerement sur le drap, personne ! Se redressant legerement il observa le lit vide, les alentours, guettant le moindre bruit puis s'affala sur le confortable edredon. Lily etait partie, comme prevu.

Un instant fixant le plafond dans un grand silence, il pensa a ces quelques jours passes avec elle, les conversations, leurs fous rires. Puis enfin se decidant a se lever, il tomba sur le parchemin et un sourire illumina son visage a la vue de leurs initiales.

L'amour est souvent plus fort quand il souffre l'absence mais la journee sans nulle doute allait etre longue. Une longue journee de vaine attente, faite de souvenirs, d'angoisses et d'espoir. Il la retrouverait bientot mais le retour vers Nevers n'etait pas encore pour ce jour, ce temps les separerait bien plus que la distance.
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Dame_gertrude.

Gertrude avait failli s'étouffer , pas seulement à cause de l'effort qu'elle avait fait pour monter l'escalier, mais aussi lorsque l'autre malotru s'était présenté à Pralyn comme le « gérant » de l'auberge.
Décidément, il ne manquait pas d'aplomb , celui là !

A la question de sa cliente, elle marmonna entre ses dents:

Pfff...c'est r'en c't' homme...
Sous prétexte qu' la patronne y a d'mandé d'veiller su' l'auberge en son absence, y's ' prend pou' l'maitre, ici
Reus'ment qu'il n' est point souvent à Dijon
Mais assez parlé d'lui
L'est point interessant !

Arrivée sur le palier de l'étage ,la vieille servante s'arrêta devant une porte et en tira la chevillette, ce qui eut pour effet de faire choir la bobinette .
Gertrude poussa la porte ouverte, laissant passer dame Pralyn devant elle:

Vlà vot' chambre , madame
Elle est très calme ,car elle donne sur l'arrière cour
Z'avez d'la chance v'savez...La paillasse a été changée la s'maine dernière

La servante posa ses petites yeux de myope sur la cliente , qui inspectait la chambre

Pou' c'qui concerne vot' bain, j'm'en vas mett' de l'eau à chauffer , pendant que j'finirai d'préparer la soupe.
Et j'demand'rai à m'sire Domdom de vous libérer l'baquet

Gertrude resta quelques instants encore , des fois que madame Pralyn ait d'autres exigences : ça lui éviterait d'avoir à monter à nouveau l'escalier

Lily-es

En arrivant à Dijon, Lily était épuisée. La route avait été tranquille pourtant et bien agréable à deviser avec ses compagnons de voyage.
Mais sans doute le fait d'avoir à charger puis décharger les marchandises, elle ne sentait plus ses bras.

Dijon était une ville qu'elle avait dû déja traverser mais la jeune femme n'en gardait pas de souvenir précis. Aussi elle était contente d'y passer quelques jours et puis elle devait voir son amie Angelyque. Elle était venue pour cela !!

Pour l'heure, Lily avait été très contente que Valentin connaisse une auberge ce qui avait éviter à leur groupe d'errer dans la ville à la nuit tombée à la recherche d'un logis.

Une fois, la charette remisée et les chevaux pansés et nourris, ils étaient entrés tous les 4 dans la grande salle qui semblait déserte à cette heure.
Chacun ensuite était libre de ses mouvements.

Lily serrant ses bras autour d'elle se mit à bailler lamentablement.

Voyant que Valentin cherchait à voir une personne, elle lui sourit :

Bien, désolée, mais je vais me coucher, je te laisse le soin de nous enregistrer si tu restes ici encore un peu ?

Lily lui fit une bise, salua Eitoue et Barrmir, prit une clé au hasard, regarda le numéro.

- Tiens j'ai la 10, j'espère qu'elle est confortable, je vais de ce pas tester mon lit
La bonne nuitée à vous.

Et elle monta à la recherche de la chambre n° 10
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Valerien

D’un air peu inspiré ,Valérien s’occupait à empiler des cubes de bois les uns sur les autres et à les faire tomber d’un geste rageur de sa main en faucheuse.
C’est qu’il s’ennuyait ferme, dans la chambre de l’auberge , le blondinet !
A côté de lui , Adelin, son frère , comme à son habitude , traçait des arabesques du bout de son index humecté d’encre , sur un vieux vélin donné par son père.
Alexandrine , la nourrice , semblait assoupie , son ouvrage de broderie sur les genoux.
Valérien arrêta son œuvre de destruction et l’observa quelques instants : c’est qu’elle semblait bien piquer du nez, l’Alexandrine !
Le blondinet se leva alors et ouvrit la porte de la chambre avec une précaution de chirurgien.
Il savait qu’il n’avait pas le droit de sortir, mais il s’ennuyait tellement et déjouer la surveillance d’Alexandrine était si facile , qu’il ne put résister à la tentation.

Quelques instants plus tard , il descendait l’escalier menant vers la pièce commune et fut alerté par un bruit de conversation qui provenait de la cuisine.
Il reconnut de suite les voix de Sonia et surtout de son père.

Le gamin se glissa subrepticement vers la cuisine et écouta la conversation des adultes , à la porte.
Son père était rentré le matin même d'un nouveau voyage.
Combien de temps allait il rester avant de repartir ?

N'en pouvant plus, Valérien entra dans la cuisine, l'air de rien , et interpela son père , tout en se plaquant contre les jambes de Sonia :

Dis poppa ...
La prossaine fois que tu pars en voyaze ,tu m’emmènes ...Dis ?
Sitiplé …

Il prit alors l'air implorant qu'il savait sibien utiliser quand il voulait arriver à ses fins

Mary.

[Dans la chambre des gosses du conteur]

C'est une tornade rousse qui fit son entrée dans la chambre, avant de remarquer l'air triste d'Adelin, et la mine revêche de la nourrice.
Elle s'agenouilla près du premier, et le prit dans ses bras, lui demandant :

Ben qu'est-ce qui ne va pas, mon p'tit gars ? tu t'ennuies sans Valérien, c'est ça ?

Hochement de tête affirmatif du garçonnet, gros câlin de la gouvernante. Quant à la nourrice, pas le temps de lui demander ce qui causait cette mine boudeuse :

Ah te v'là, tââ ! Où qu'tu trainais, encore ? toujours avec ton godelureau ? Te f'rais mieux d'm'aider à occuper c'gamin, t'pourrais l'emm'ner avec toi quand tu sors, il va bientôt être aussi blanc qu'un radis noir !
(le lecteur a sûrement déjà remarqué combien la chair du radis noir est blanche, sous la pelure ?)
Bon, main'nant qu't'es là, lis donc ça qu'est arrivé c'tantôt !
La rousse gouvernante s'empara du vélin que lui tendait la nourrice, et commença à le déchiffrer à haute voix. Le patron lui avait appris à lire, fort heureusement, mais elle n'y était pas encore très habile. Il lui fallut trois essais avant de prononcer le mot "Berruyère"

Mary,

Juste quelques mots griffonnés dans une taverne Berruyère .
Le voyage se passe bien jusque là , mais la traversée du Berry s'annonce délicate.
J'espère que ma petite tribu est en pleine forme et que je ne vous manque pas trop à vous tous.

A très bientôt, pour une nouvelle missive.

Domdom

Vous entendez ça, les enfants ? Votre Poppa va bien ! On va lui répondre ? Adelin, tu devrais lui faire un beau dessin, ça lui fera sûrement plaisir, un beau dessin de son p'tit bonhomme !

Des milliers de petites étoiles s'étaient allumées dans les yeux du garçonnet, alors qu'il écoutait le courrier de son père. Il s'empressa d'aller chercher ses couleurs et se mit aussitôt à dessiner, la langue passée au coin de la bouche tant il y mettait d'application.

Tout en le regardant faire, la rousse gouvernante s'ouvrit d'un projet qu'elle avait à cœur :

Dis-moi, Alexandrine, le patron avait évoqué avant son départ la possibilité de trouver une petite maison à louer, ce ne serait pas plus mal, il y aurait un jardinet dans lequel les enfants pourraient prendre l'air, et on pourrait y faire pousser quelques légumes, on aurait chacune notre chambre au lieu de nous entasser avec les gosses, j'ai bien envie d'aller demander au cadastre si on peut nous aider à en trouver une, sans attendre son retour, qui risque de ne pas être pour tout de suite, tu en dis quoi ?

Regard de la blonde presque aussi expressif que celui d'une vache ruminant dans un pré ...
Ben ch'sais pô, moi ! T'as qu'à t'en occuper si te penses qu'c'est mieux qu'rester ici ! Pis j's'rais pas trop rassurée, deux femmes seules dans eun'maison avec des mioches, t'aurais pas peur, toi, la nuit ?

Ah, mais on ne s'rait pas seules avec les p'bread ! On n'a qu'à d'mander à Michel de v'nir avec nous ? ça f'rait un homme pour veiller sur les p'bread et nous deux, ça s'rait pas plus mal ? j'vais en parler au patron dans la lettre que j'dois lui écrire pour lui donner des nouvelles, tiens !

Là dessus, la rousse gouvernante sortit le nécessaire à écrire, et prépara la réponse au courrier du conteur.
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Aloe_sonia

Sonia arriva de Dole, elle avait une charrette cette fois-ci. Marre de marcher.
Elle avait chargé son véhicule, d’échelles, bois, miche de pain...

Elle voulait avoir du stock, pour permettre à Gertrude de bien s'occuper de la famille de Dom' en son absence.
Elle ne voulait pas qu'ils aient froid et surtout faim.

Elle savait que Dom' était parti avec son Valérien, mais elle avait hâte d'arriver pour voir le reste de la tribu.

Elle mit le frein sur sa charrette et cria :

- Gertrude, Gertrude.... Viens donc m'aider à décharger.

Elle commença à poser à terre le contenu de sa charrette.

Alexandrine

[Quelques jours plus tard]

Ils étaient tous partis : Sonia d'un côté, le conteur et son aîné de l'autre, laissant là la nourrice, Alexandrine, la gouvernante, Mary, et les trois autres enfants, Adelin et les deux jumeaux, Katell et Aubry.

C'était la première fois que le conteur emmenait seulement son aîné, jusqu'ici, soit il partait seul, soit sa petite famille au grand complet l'accompagnait dans ses déplacements.

Adelin d'ordinaire si calme, ne tenait plus en place, allant et venant dans la pièce, écoutant près de la porte, revenant vers le coffre où étaient rangés les cubes de son aîné, repoussant ses couleurs, lui qui d'habitude aimait tant dessiner.

Elle n'en pouvait plus, la pauvre nourrice !

Adelin, tiens-toi un peu tranquille, mon garçon ! C'est ton frère qui t'manque comm'ça ? Si encore Mary était là, all' pourrait lire le courrier qui est arrivé, c'est sûr'ment des nouvelles de nos voyageurs, mais j'me d'mand' bien où qu'elle traîne encore avec son Michel, celle là ! On n' peut pas dire qu'all' m'aide beaucoup, elle, en c'moment !

Et tout en ronchonnant, elle lui sortait d'autres jeux, ses billes, ses cartons découpés, ... espérant trouver à l'occuper, tout en surveillant les jumeaux qui jouaient ensemble dans un coin de la pièce

Domdom

Décidément Sonia avait un rire communicatif : le père et le fils se mirent à rire aux éclats , en même temps que la blonde tribun.
Reprenant un peu son souffle, Domdom s’adressa à son fils :

Tu sais , Valerien , que si tu pars en voyage avec moi ,tu ne reverras pas Sonia de sitôt ?
Elle ne m’accompagne pas toujours lors de mes déplacements
Il va falloir que tu fasses un choix.
Mais faire des choix, c’est déjà devenir un homme

L’encapuché considérait son blondinet , toujours agrippé aux jupes de Sonia , d’un regard tendre : le gamin en parlait très peu , mais il souffrait de la disparition si précoce de sa maman , qu’il n’avait quasiment pas connue et ce n’est pas la vie dissolue de son père , à ce niveau là , qui pouvait améliorer les choses.
En fait, Sonia était la seule personne de sexe féminin , en dehors de Mary et Alexandrine ,qui restait stable dans son univers de petit garçon de sept ans.
Les autres ne faisait que passer.
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Tombé au champ d'honneur sous les coups de la tyrannie

Aloe_sonia

Sonia écouta Dom' et le laissa faire, quand il prit son panier.
Elle se demanda ou était Gertrude, pour une fois qu'elle avait besoin d'elle.

Citation:

Y a pas un chat , ici , Sonia …
Ils sont partis où , tous ?

- Euh... ben ... on va dire que... je ne sais pas.

Elle rit doucement et vit une tête blonde et son petit Valérien près de ses jambes.
Elle lui passa une main dans les cheveux et regarda Dom' pour entendre
la réponse à la question de l'enfant :

Citation:

Dis poppa ...
La prossaine fois que tu pars en voyaze ,tu m’emmènes ...Dis ?
Sitiplé …

Elle imita Valérien et s'adressa à Dom' :
- Oui papounet, tu m’emmèneras quand tu partiras? Dis Soutouplé.

Elle éclata de rire.

Gabrylla

Gaby entendu un homme l'appeler...Elle se retourna et vit François, elle sourit et lui fit signe de venir à coté d'elle

Citation:

Gaby, ho ! Gaby !
Quelle bonne surprise de te trouver ici !

Dis moi, à qui appartient cette magnifique auberge ?
C'est superbe ici !

Tiens ! Comment vas-tu ?? Et bien, c'est la taverne de Sonia, dame Gerturde est la tavernière !!

Citation:

Gaby tu en prend deux aussi ?

Oh ben, oui pourquoi pas !!

Gaby sourit et l'écouta parler à Gertrude...

Gaby se pencha vers Gertrude et dit doucement :

Il est célibataire !!

Elle sourit et regarda François en riant
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Aloe_sonia

Sonia quitta sa chambre, en s'étirant. Elle n'avait pas dormi longtemps.
Elle voulait profiter de soeur de coeur et voulait tout savoir et tout lui raconter.

Elle chercha du regard Gertrude, et lui donna les consignes : le rangement,
le marché, chauffer le lait et faire le pain.

Elle descendit doucement les escaliers, et alla vers sa soeur. Elle lui sourit et attendit un court, moment. Gertrude déposa le lait chaud et la bonne miche de pain.

- Bonjour Sun'
J'ai bien dormi, et toi ma belle? Saches que tu as toujours une chambre de libre à ta disposition.

Sonia remarqua un morceau de papier sous la porte d'entrée, se leva et alla le chercher.

Et elle murmura : un message de François, bon... faut que je prépare mes affaires, je dois reprendre la route.

Elle serra la feuille entre ses mains et elle reprit sa place près de Sun' et commença à manger en silence, pensive.

Dame_gertrude.

Dame Gertrude jeta un regard torve en direction du conteur.
Fallait bien se douter qu'il allait la ramener , celui là !
Cà devait follement l'amuser de la voir monter et descendre l'escalier, à chaque fois.
Son coup d'oeil incendiaire se transforma vite en petit sourire entendu, puis elle se tourna d'emblée vers le couple , laissant délibérément l'encapuchonné en dehors de la conversation:

Vot' chambre , elle est d'jà prête , les amoureux
Personne ne l'a r'prise d'puis vot' départ
Et la paillasse est toute fraîche , en plus

Appuyant ses paroles d'un geste de bras, désignant l'étage , elle continua:

J'vous montr ' pas l'chemin, hein ?
Vous connaissez la maison
Et si vous avez un souci, d'mandez donc à m'sire Dom
Moi, j'm'en va finir d'préparer ma soupe

Elle salua le couple d'un bref de tête, passa devant l'autre sans le regarder , puis se dirigea à nouveau vers la cuisine.
Avant d'en franchir le seuil, elle se retourna une dernière fois et apostropha Domdom:

J'espère qu' vos r'trouvailles n' vont pas vous faire oublier qu' Dame Pralyn a d'mandé l' baquet et d'l'eau chaude !

C'est contente d'avoir retourné la situation en sa faveur qu'elle pénétra dans la cuisine , où demoiselle Sun était restée seule.

Domdom

C’est encore plongé dans ses songes que le passeur d’histoires vit arriver une Sonia toute guillerette , son lourd panier chargé de légumes , de viande et de pain , au bras.

Citation:

- Dom'!!! Tu es arrivé quand? tu vas bien? Et ton voyage?

Sonia , en vraie petite fée qu’elle était , avait le pouvoir de redonner instantanément le sourire à l’encapuché.

Je suis rentré de ce matin, ma belle…
Mon voyage s’est bien passé , pas de gros problème , mais pas mémorable , non plus.

Puis, se saisissant du panier , après avoir bisé sa soeurette :

Mais laisse moi donc porter ton panier , tu vas finir par pencher sur le côté…
Comme Gertrude !

Et c’est un Domdom au pas décidé qui porta le panier dans la cuisine et le posa sur la table.
Puis, il se tourna vers Sonia, qui enlevait sa pelisse , tout en tentant de se réchauffer les mains :

Y a pas un chat , ici , Sonia …
Ils sont partis où , tous ?
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Tombé au champ d'honneur sous les coups de la tyrannie

Michelkourou

Michel sourit en entendant la dame ; Oh que oui ! Sonia à très bon gout !! Une Dame parfaite !! Comme moi! Enfin normale..vous sommes blondes...
Oui! on les boit !!
Quelques heures loin de Mary lui avait paru une eternité et plus jamais la perfection n'aura à ses yeux une autre couleur que la flamboyante chevelure de sa princesse, n'en déplaisse à la dame
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Domdom

[Plus tard...]

L'encapuché poussa la porte du Chaudron Buveur sans frapper , car en tant que client régulier depuis des semaines et frère de coeur de la patronne , il n'en voyait pas l'utilité.
Personne dans la salle commune : même pas l'ombre d'un client , ni celle de Sonia, encore moins la vieille mégère de Dame Gertrude , espèce d'antiquité qui la secondait , laissant trainer ses oreilles contre les portes , des fois qu'il y ait des potins croustillants à raconter au marché.

S'asseyant à la grande table de chataignier , le passeur d'histoires laissa son regard parcourir la pièce vide : il était grand temps de commencer à chercher une maison en ville , dans laquelle s'installer , sa petite tribu se trouvant bien à l'étroit dans les trois chambres exigües qu'ils occupaient à l'étage.

Peut être pourrait il s'y mettre entre deux voyages , ou s'en remettre au bon goût de Mary , la gouvernante de ses gosses ?
Il en repoussait toujours l'échéance , à chaque fois.

En fait, il n'avait aucune envie de chercher quoique ce soit actuellement...
Il n'avait aucune envie du tout , même...
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Tombé au champ d'honneur sous les coups de la tyrannie

Michelkourou

Entre mille il aurait reconnu les pas legers de Mary dévalant l'escalier vermoulu
Il eut a peine le temps d'ecarter ses larges bras pour qu'ele finisse confortablement sa course sur son poitrail
Mary, oui je suis là, votre absence me pesait vraiment trop
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Oscar_w.

François eu du mal à ne pas se retenir d'éclater de rire devant la présentation ainsi faite à la vieille Gertrude, sous son regard torve...

Il maugréa tout de même un peu pour le principe à Gaby :

Tu vas voir toi !
Tu vas entendre parler de mes golfes...pas très clairs, ho Gaby !

Bon ! on se les boit ces grogs ?
Fait pas chaud ce matin mine de rien !

Et cette auberge appartient ainsi à Sonia ?
Elle a fort bon goût...jusque dans le choix tu petit personnel !

Une fois de plus François failli piquer un fou-rire qu'il noya dans son grog brûlant.
Soudain il entendit le nom de Mary et se retournant, la vit se jeter contre la poitrine de ce qui semblait pour le moins être son amant à moins que ce ne fût un mari...

Mary !
Te voilà de retour, quelle bonne surprise !
Quand t'auras fini les papouilles, tu viendras biser les amis !

Et compliments Messire !
Vous avez une perle de femme !
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Sunev

Sun espérait voir ici Sonia...Et c'est un Dom qu'elle y trouva.
A peine l'eut-elle aperçu s'avançant vers elle de sa haute stature et de sa démarche assurée, qu'elle se retrouva dans ses bras pour une accolade amicale et chaleureuse.

Oh! Dom!

Coucou ma Belette…
Quelle surprise !
Tu aurais pu me prévenir que tu rentrais.

Et bien c'est que je ne te savais pas ici.
C'est Sonia que je venais trouver.

Sun était un peu sur la défensive. Elle ne s'attendait pas à tomber sur Dom et bien que cela lui fasse plaisir de le revoir, le passé se rappelait à sa mémoire.
Sa vie était déjà bien compliquée et revoir Dom risquait de ne pas arranger les choses.
Elle songea à Thema et à l'inimitié qui s'était installée entre les deux hommes la dernière fois qu'ils s'étaient croisés. Elle savait que c'était de sa faute...
Elle songea aussi que si Thema apprenait qu'elle avait croisé Dom...cela risquait de faire des histoires. Mais il était le frère de Sonia et ça... Rien ne le changerait. En outre, elle lui avait conservé son amitié.
Elle pesta contre elle même en se disant: toutes façons... Thema et moi ça ne colle pas alors qu'est-ce que j'ai besoin de me demander s'il sera content que je fasse ci ou ça? Je suis libre de faire c'que j'ai envie!

Elle soupira.

Les tergiversations de son cerveau de blondinette ainsi que son teint pâle et ses traits tirés n'avaient pas du passer innaperçus aux yeux perçants du conteur puisqu'il lui demanda:

Eh bien dis moi , ça n’a pas l’air d’être la forme pour toi…

Elle hésita. Que faire? Dire? Expliquer? Ou se taire et nier?
Elle leva son regard sur lui et lut dans son regard qu'il savait... ou du moins en partie.
Il enchaina ne lui laissant pas le temps de répondre et c'était tant mieux.

Assieds toi et réchauffe toi, mon amie…
On va te remonter le moral , tu vas voir

N'était-elle pas précisément venue pour cela? Pour trouver compagnie plaisante et oreille patiente? Pour retrouver l'envie de rire et le goût de sourire? Alors elle le suivit et s'installa sur une chaise non loin de l'âtre. Elle le regarda s'asseoir à son tour puis se décida à rompre son silence.

Et bien Dom...
Je te remercie pour ta sollicitude.
Je crois que j'ai précisément besoin de chaleur et de réconfort.
Puis, après un bref instant de réflexion:
J'crois qu'un de tes contes me ferait le plus grand bien, surtout s'il est accompagné du verre de vin chaud que j'ai demandé à mi-mot à Gertrude tout à l'heure.
Mais avant cela, dis-moi, que fais-tu là?
T'es-tu finalement installé à Dijon comme tu le projetais?
Et où se cache donc Sonia?
Et avec ta douce? Comment cela se passe-t-il?
Allez, donne-moi des nouvelles!

La voilà qui devenait soudain très bavarde et quans elle s'en rendit compte, elle esquissa un léger sourire un peu gênée.

Oups...Pardon...Peut-être une seule question à la fois?
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Michelkourou

Michel poussa la porte de la taverne , il y avait encore des bougies allumées à cette heure avancé, c'etait bon signe se dit -il
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Mary.

La rousse gouvernante entra sur les talons de l'homme avec qui elle avait eu tant de plaisir à bavarder ce soir en taverne

Gertrude ? il reste bien une chambre pour messire au bout du couloir, non ?

Dame_gertrude.

Laissant dame Sunev , la patronne et son faux frère discuter entre eux, mais ayant l'oreille toujours aussi affûtée , Gertrude avait commencé à débarrasser l'autre bout de la grande table de chataignier.

Elle fut alertée par la porte d'entrée qui s'ouvrit sur un homme de haute stature : certainement un voyageur .

Abandonnant sa corvée, la vieille servante se dirigea alors vers l'homme , resté immobile contre la porte , en lui disant , son beau sourire édenté aux lèvres :

B'soir et bienv'nue au Chaudron buveur .
Z'allez pas rester planté là , comme une croix de cimetière , quand même !
Entrez donc .

Puis , arriva juste derrière lui la gouvernante des petits monstres de l'autre enquiquiqneur :

Citation:

Gertrude ? il reste bien une chambre pour messire au bout du couloir, non ?

La vieille servante grommela un "Pour sûr...mais j'ai pô eu l'temps d'faire l'ménage"

Suivez moi

Gertrude précéda l'homme et la rouquine dans l'escalier qui desservait les chambres, à l'étage , se demandant si la rousse délurée n'avait pas dans l'idée de partager le chambre avec le voyageur

Domdom

Domdom ne put retenir un petit soupir , une fois que Gabrylla eut fini de lui répondre.
Il connaissait d’avance la réponse de la blondinette, concernant l’inimitié de Lenada vis-à-vis d’elle.
Il se leva et se dirigea vers le comptoir , dont il revint avec deux nouvelles chopes pleines, qu’il posa sur la table, devant eux :

Tiens, c’est pour toi…
C’est autre chose que cette pisse d’âne que t’a servi Gertrude !

Puis, s’asseyant sur une fesse sur le rebord de la table, il continua

Gaby…Il est hors de question que je te laisse partir toute seule sur la route
Avec ta chance ,tu risquerais de t’envoler au premier coup de vent contraire

Pour ce qui concerne Lena, j’en ai discuté avec elle.
Certes, elle ne te porte pas dans son cœur, mais elle a quand même accepté que tu voyages en notre compagnie.

Après avoir ingurgité une bonne rasade de bière, il enchaina :

Et puis, notre groupe sera assez conséquent pour que vous n’ayez pas à vous croiser
Ensuite, à vous d’éviter de vous trouver en même temps dans la même taverne.

Puis, lui posant affectueusement la main sur l’épaule :

De toute façon , nous aurons bien le temps encore d’en parler à nouveau , car ce n’est pas encore d’actualité.

Un bruit indéterminé , provenant de l’entrée ,lui fit brusquement tourner la tête.
Après quelques instants passés à scruter la porte , il se tourna à nouveau vers la blonde, un petit sourire d'excuses aux lèvres :

Je croyais que c’était mes gosses et leur nourrice qui rentraient…
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Tombé au champ d'honneur sous les coups de la tyrannie

--Dame_gertrude

Citation:

Hum..Georg..euh, Gertrude ?? Comment allez-vous ?? Gaby lui sourit avec son petit air malin. Sonia n'est pas présente ??

Gertrude continuait à essuyer la vaisselle, elle leva la tête et dit :

- Ze vais bien et vous? Sonia? pourquoi vous la demandé,vous avez besoin d'elle. Ma compagnie ne vous plait pas?

Elle la fixa un court instant et reprit :

- vous êtes de Dijon? qu'est ce que vous racontez de beau?

Michelkourou

Michel ouvrit un oeil, la lueur blafarde d'un matin d'hiver lui parvenait à travers les jointures des volets, le jour etait levé depuis un certain temps.
Il rassembla ses esprits, non pas qu'ils fussent embrumés par ce qu'il aurait pu boire la veille, les tonneaux des tavernes étaient désespérement vides.
Il entendit des bruits de voix et de pas venant d'en bas, sans doute etait -il le dernier à etre encore au lit.
Il se leva d'un bond : Mary ! ou pouvait etre Mary, il sortit de la chambre tout paniqué en criant à tue tête
"Mary, ou est Mary, !!! elle a disparue! "
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Mary.

[un peu plus tôt]

Les gamins s'étaient réveillés tôt, comme chaque matin, affamés. La nourrice avait fait patienter un peu les jumeaux, pas encore complètement sevrés, mais les deux ainés menaçaient de réveiller tout le monde si on ne faisait rien.

La rousse gouvernante leur avait fait enfiler un lainage, des chaussons, et les avaient amenés dans la salle d'auberge, où elle avait ranimé le feu, mis de l'eau et du lait à chauffer, et coupé de larges tranches de pain, qu'elle leur avait recouvert de la confiture de framboises que dame Mika avait laissée cet été.

Pendant qu'ils mangeaient, la nourrice les avaient rejoints, un des jumeaux sur chaque hanche.
C'est alors que Mary s'était rappelé qu'elle devait réveiller Michel pour aller au marché.

Elle remonta donc l'escalier, parcourut le couloir... et se cogna dans "z'yeux d'velours" qui criait :

"Mary, où est Mary, !!! elle a disparu ! "

Chhhhhut ! vous allez réveiller l'patron et dame Gertrude !

Michelkourou

Ah Mary, j'ai eu si peur, je ne sais pas ce qui m'arrive,
Michel s'arréta net dans l'escalier en la voyant.Il reprit son souffle et se rendit compte du ridicule de cette situation, lui d'ordinaire si calme et réfléchi etait en train de perdre la tête.
Jamais une telle chose ne lui etait arrivé, il etait comme envouté, comment cette jeune femme dont il pensait ignorer jusqu'à l'existence la veille pouvait avoir pris une telle place dans sa vie.
Il décida d'ignorer ce mystère existentiel , et de profiter pleinement de sa présence
Alors Mary vous etes toujours partante pour me faire découvrir les faubourg de Dijon ? dit -il en essayant de prendre un air anodin
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Mary.

Alors Mary vous etes toujours partante pour me faire découvrir les faubourgs de Dijon ?

Vous allez manger un peu, avant ? Venez, les petits sont en train de déjeuner, joignez vous à nous !

Elle passa sa petite main sous son bras, et l'attira dans la salle du bas, où elle lui servit un bol de lait fumant et des tartines.

Alexandrine, tu veilles à ce que Messire ne manque de rien ? Je remonte avec Adelin et Valérien, les débarbouiller un peu, puis nous irons au marché !
Tu restes avec les jumeaux, c'est décidé ?

La voilà de nouveau dans les escaliers, avec les deux aînés.

Quelques minutes plus tard, ils étaient propres comme des sous neufs, bien couverts pour sortir dans le froid vif de décembre, piaffant d'impatience près de la porte. La rousse gouvernante quant à elle avait jeté sur ses épaules sa cape de lainage, et relevé ses cheveux en un lourd chignon, pour l'heure caché sous sa capuche.

Voilà, Michel, nous sommes prêts ! Vous nous accompagnez au marché ?

Aloe_sonia

Sonia quittait sa chambre, elle avait été se reposée après sa discussion avec son frère.
Elle l'avait laissé, un court moment.

Elle crut avoir reconnu la voix de Sun'. Elle l'avait vu, il y a un mois et depuis rien.
Quelques missives, mais Sun lui manquait et elle se rapprocha et la reconnue.
Elle alla à sa rencontre.

- Coucou ma belle, tu vas bien?

Elle prit place près de Sun et Dom'.

Sunev

Elle assaillait le pauvre Dom de questions auxquelles il n'avait ni le temps ni peut-être l'envie de répondre que soudain elle vit Sonia s'approcher d'eux tout sourire et lui demander comment elle allait.

Sun, se leva d'un bond de la chaise sur laquelle elle s'était assise peu avant, délaissa bien vite son ami pour se tourner vers Sonia qu'elle serra fortement entre ses bras.

Oh ma Sonia! Ma Sonia! C'que tu m'as manqué!
J'suis contente de te voir!

Et de parler avec sa soeur de coeur une bonne partie de la nuit. Et de lui demander des nouvelles de ses animations, de son activité, de ses voyages et de son amour....
Et de lui raconter à son tour tout des derniers tournants qu'avaient pris sa vie, et de se confier à elle, et de lui ouvrir son coeur et ses craintes...

[LE LENDEMAIN APRES UNE COURTE NUIT PASSEE DANS UN PETIT COIN DE L'AUBERGE]

Sun s'était levée au son des rires d'enfants. Les enfants de Dom... Savait-il combien il était chanceux d'en avoir tant?
Petit soupire d'une blonde qui se croyait bien incapable de concevoir la vie en ses entrailles.
Elle vit s'affaire les deux femmes dévouées à ces "chères têtes blondes" et remarquer l'homme qui dévorait littéralement du regard la jolie rouquine de gouvernante.
Elle sourit.
En voilà deux qui semblaient faits pour former un joli couple.

Elle attendit que Sonia s'éveille à son tour pour partager avec elle la joie d'un petit déjeuner au cours duquel elle pourraient de nouveau bâvacher.
La voilà qui arriva.

Bonjour Sonia!
Tu as bien dormi?
Merci de m'avoir hébergée exceptionnellement pour la nuit. Je me voyais mal repartir jusque chez moi à 3 heures du matin par ce froid de canard. Je crois que je serais morte congelée. Et puis... Ca m'fait plaisir de discuter avec toi tu sais...
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Gabrylla

Gaby marchait dans la ville quand elle arriva devant la taverne de...Sonia ! Elle se dit alors qu'elle avait bien besoin d'une choppe...Elle repensait à hier soir, soupirais et s'avança vers la taverne...Elle poussa doucement la porte et passa la tête pour voir qui il y avait...Elle vit quelque personne et entra.

Bonjour tous le monde !! La jeune femme alla s'assoir devant le comptoir et demanda à la vieille...tavernière une choppe. Elle déposa quelques écus qui devrais la satisfaire et attendit.

Mary.

La rousse gouvernante était rentrée du marché de fort mauvaise humeur....
Elle ne savait pas si elle était plus fâchée contre lui et sa fuite inexpliquée du marché, ou contre elle-même et sa trop grande naïveté.... Elle s'était laissée ensorceler, sans vouloir se l'avouer, par ce beau parleur, elle l'avait cru différent des autres, jusqu'à ce qu'il s'évapore sans crier gare, en promettant des explications qui n'arrivaient pas .
Elle tentait de passer à autre chose, en faisant réaliser aux gosses de petites figurines de paille pour décorer le sapin que Sonia avait demandé au conteur d'installer sur la grand-place de la ville, quand elle entendit en provenance de la pièce du bas :

Mary? c'est moi je suis revenu

Cette voix ! lui ! c'était lui ! il était là ! il était revenu !
Elle dévala l'escalier quatre à quatre et se jeta dans ses bras, le serrant à l’étouffer.

Michel ! J'ai eu si peur de ne jamais vous revoir !
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Mary.

Épuisée par ses jours de jeûne forcé, Mary avait laissé Michel conduire l'entretien, s'était fendue d'un pauvre sourire quand son ancien patron avait commenté sa petite mine, et fut soulagée d'apprendre que leur chambre était déjà prête, qu'elle n'aurait plus besoin de se tenir sur ses jambes flageolantes.
Michel, vous allez m'aider à monter l'escalier ? Je n'en ai plus la force.
Patr... Dom, excusez-moi pour le peu de conversation, je n'en peux plus ! Après un peu de repos et un bol du bouillon au chou dont l'odeur vient me chatouiller les narines, ça devrait aller mieux, mais là....
Elle ne put rien ajouter, s'affaissant dans les bras de Michel.
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Michelkourou

Les bottes crottées fourbu par tant de marche Michel poussa la porte de l'auberge
Comment avait-il pu s'eloigner de Mary plus de 2 jours?, il lui avait écrit et esperait qu'elle avait eu connaissance de sa lettre
Mary? c'est moi je suis revenu I l il etait persuadé en entrant , qu'elle lui sauterait dans les bras de joie alors il attendit sourire aux levres
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Gabrylla

Citation:

Ze vais bien et vous? Sonia? pourquoi vous la demandé,vous avez besoin d'elle. Ma compagnie ne vous plait pas ?

Gaby sourit en coin, la regarde et répond poliment :

Non, pour savoir, je ne l'avais pas vu depuis un petit moment déjà...Si Si, votre compagnie est très charmante..ne m'agressez pas...Sourit gênée...

Gaby buva quelque gorgées de sa tisane et la vieille reprit :

Citation:

vous êtes de Dijon? qu'est ce ce que vous racontez de beau ?

La jeune femme sourit et répondit :

Oui, je suis de Dijon, depuis environ 1 mois maintenant je dirais...Oh, et bien rien de spécial vous savez ! Et vous ??

Gaby la regarda en buvant sa tisane...
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Oscar_w.

Par les frimas des matins de cette fin d'année 1458, François arpentait en solitaire les rues désertées de Dijon comme à son habitude, humant la fraicheur vive de l'air et appréciant le calme des rues avant qu'une foule bigarrée ne les envahissent...

Il aperçut soudain sur sa dextre une charmante petite maison qui avait tout l'air d'être une auberge.
il en poussa la porte qui grinça doucement et entra dans la salle de belles et bonnes pierres.
Un feu crépitait dans l'âtre, l'oeuvre sans doute de la vieille femme qui se tenait au comptoir.

Une cliente était de dos, mais la silhouette lui sembla familière, ainsi que les longs cheveux blonds qui lui couvraient les épaules...
Il la reconnut en s'approchant davantage.

Gaby, ho ! Gaby !
Quelle bonne surprise de te trouver ici !

Dis moi, à qui appartient cette magnifique auberge ?
C'est superbe ici !

Puis s'adressant à la vieille femme :

Bonjour Dame !
N'êtes vous point trop âgée pour travailler ainsi ?

Mais en attendant une prochaine et fort méritée retraite, auriez vous la gentillesse de nous préparer deux grogs ?
Gaby tu en prend deux aussi ?
bon hé bien quatre grogs alors !

De fort joyeuse humeur, François se mit à rire !

Mais présentons-nous, vous me reverrez souvent je pense...
Mon nom est François, tout nouveau Dijonnais, venant de Cosne.
Et le vôtre ?

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Mary.

La vieille grincheuse avait ronchonné, comme à son habitude, mais elle avait quand même fini par conduire "z'yeux d'velours" à la chambre du fond.
Il lui semblait bien, à la rousse gouvernante, qu'elle était libre, cette chambre, et qu'il n'y avait aucune raison qu'on les serre ainsi à six dans la même, la nourrice, les quatre gosses et elle !
Évidemment, la vieille, elle y gagnait le ménage d'une chambre, et elle était bien capable d'écouler au marché noir le bois économisé, entre une chambre vide et l'autre où on se réchauffait mutuellement.
Elle admirait le voyageur de réussir à parler aimablement à la vioque, surtout fatigué comme il l'était !

Bonne nuit Mary, n'oubliez pas de venir me réveiller pour vous accompagner au marché

Bonne nuit, Michel, n'ayez crainte, quatre gosses qui se réveillent dans la chambre voisine de la vôtre, m'étonnerait que vous fassiez la grasse matinée !

Elle entra dans la chambre où dormaient depuis longtemps déjà les quatre enfants et la nourrice, se prépara pour la nuit et se glissa dans son lit.

Domdom

Pris par la rédaction de sa missive à l’attention de son amie , la miraculée bretonne , Domdom sursauta au bruit que fit la bouteille de Champagne , lorsque la vieille servante la posa brutalement sur la table , dans un geste de réprobation.
L’encapuché haussa les épaules, jeta un coup d’œil à Sonia , puis reprit sa rédaction.

Quelques instants plus tard , il sentit un courant d’air froid lui envelopper le corps .
Il allait crier un : « La porte …Didiou… » d’énervement , quand il entendit la vieille grincheuse s’exclamer :

Citation:

B'jou Dame Sunev...Rentrez vite ,sinon z'allez attraper la mort

Se tournant vers la porte, il dut admettre qu’il n’avait pas rêvé :
C’était bien Sun qui discutait avec Gertrude , à l’entrée.
Une Sunev frigorifiée et dont l’air maussade trahissait la tristesse qui devait lui étreindre le cœur.
La vue de son amie si désespérée , eut pour effet de faire retomber de suite , chez le grand brun , l’ excitation de savoir Mikaphile vivante.

Il se dirigea vers les deux femmes , puis étreignit la blondinette :

Coucou ma Belette…
Quelle surprise !
Tu aurais pu me prévenir que tu rentrais.

Puis, après une bisouille amicale sur la joue , il l'interrogea :

Eh bien dis moi , ça n’a pas l’air d’être la forme pour toi…

Se doutant un peu de la cause de la mine défaite de Sun , l’encapuché la traina d'autotité vers la table où trônait la bouteille de Champagne , désespérément seule.

Assieds toi et réchauffe toi, mon amie…
On va te remonter le moral , tu vas voir
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Tombé au champ d'honneur sous les coups de la tyrannie

Sunev

Après quelques longues secondes aux allures d'éternité à cause de ce froid glacial qui lui sifflait aux oreilles, on vînt lui ouvrir la porte.
C'était Gertrude qui se tenait - décidément de plus en plus rabougrie - sur le pas de la porte.
Une grimace étira son visage flétri et Sun savait qu'il s'agissait là d'un sourire. Puis la gentille vieille lui libéra un passage par lequel elle se dépécha d'entrer.

B'jou Dame Sunev...Rentrez vite ,sinon z'allez attraper la mort

Oh oui, oh la la oui! Quel froid!

Elle se frictionna les bras puis les cuisses avant de tapoter des pieds sur le sol de la taverne cherchant à dompter les frissons et les tremblements qui lui saisissaient le corps tout entier par l'effet du changement brusque de température. Après un moment à ce régime là Sun reprit peu à peu contenance.

FFFiouuuuffff, ah la la ça va mieux. Oh mais je manque à toutes les politesses... Bonjour Gertrude. Cela fait bien longtemps que je ne suis pas passée, je le sais mais, s'il vous plait, ne m'appelez pas Dame...
Fuite fugace de son regard qui se perdit l'espace d'un instant dans la tristesse qui lui étreignait le coeur.
Je n'ai rien d'une Dame...
Elle enchaine, craignant un commentaire ou une remarque.
Sonia est-elle ici? J'espérais si elle était disponible pouvoir passer un peu de temps à bavasser avec elle au coin du feu et... s'il était possible d'accompagner tout cela d'un petit vin chaud, ce serait pas de refus.

Sun attendait, confiante pensant voir apparaître quelque part dans son champ de vision sa blonde amie; sa soeur de coeur...
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Dame_gertrude.

Grmmmpfff.....Grmmmmpffff...
M'énerve çui lô ...
A s'donner des airs d'grand seigneur

Gertrude marmonnait dans sa barbe contre l'encapuchonné , tout en écartant les fagots de bois sous lesquels elle avait caché une bouteille de Champagne.
Elle pensait bien se la réserver pour son usage personnel (un p'tit coup d' temps en temps, ça fait pas d' mal , hein ?) , mais l'autre fouineur l'avait repérée.

Pfff...T'jours à fourrer son nez partout , l'aut'.
Peux pô êt' tranquille...
Viv'ment qu'y s'n'aille d'ici avec sa bande de petits gueulards...

Revenant vers la salle , de sa démarche lente , elle réfléchit à la suite que Sonia donnerait à tout ça : allait elle la gronder ou pire , la renvoyer ?
Elle jeta un coup d'oeil en direction de Sonia, qui semblait ne pas réagir, rêvant les yeux ouverts.

Elle pensait à tout ça , quand elle posa la bouteille sur la table , d'un geste brusque , exprimant son mécontentement , juste devant le frère de sa patronne , qui continuait d'écrire , quand elle entendit soudain frapper à la porte.

Quelques instants plus tard , elle ouvrit la porte et reconnut dame Sunev, la soeur de la patronne .
Un sourire édenté s'afficha sur les lèvres de Gertrude à la vue de la belle blonde, nettement plus gentille et discrète que l'autre , là .

Gertrude s'effaça pour faite entrer la nouvelle arrivante , qui semblait transie de froid.

Elle grommela un B'jou Dame Sunev...Rentrez vite ,sinon z'allez attraper la mort

--Dame_gertrude

Gertrude suivit Sonia et était surtout curieuse de savoir le contenu de cette missive. Voulait savoir ce que Domdom avait à dire.

Elle remarqua une jeune femme blonde, c'est la première fois qu'elle la voyait. Elle espérait qu'elle n'était pas de la famille de Sonia.
Déjà sa mère, Ellana, son frère de coeur et sa grande famille, elle arrivait plus à les supporter.

Elle lui apporta une tisane et la salua d'un signe de la tête.

--Dame_gertrude

Gertrude était dans la cuisine, elle préparait le repas. Elle voulait tellement retourner dans l'écurie qu'elle choisit une recette simple à faire.

Elle était concentré à tournoyer sa louche dans la marmite, quand elle sursauta.
Elle se dit : Mais pourquoi il cri? Il se passe quelque chose...

Elle posa sa louche et alla observer, discrètement.

Elle rougit quand Dom' l'interpella, elle n'était pas si discrète que ça, apparemment.
Elle l'écouta et quitta les lieux en marmonnant :
Il m'appelle Gertrude, je suis Dame Gertrude et je dois aller chercher
Mademoiselle, oui c'est ça Mademoiselle.

Elle alla à sa recherche.

Aloe_sonia

Sonia arriva en courant. Elle était au marché et avait les paniers pleins de nourriture.
Elle avait remis les paniers à Gertrude, afin d'arriver rapidement.
Elle voulait savoir, elle voulait comprendre.

- Dom', qu'y a t-il? Que se passe t-il?

Son coeur battait la chamade, elle était inquiète.
Espérait qu'il n'allait pas lui annoncer une mauvaise nouvelle, elle
ne pense pas qu'elle le supporterait.

Elle préféra s'asseoir et le regarda.

Gabrylla

Gaby arriva du marché avec un panier remplie de biscuit, confiserie et légume...Elle entra dans la taverne elle baissa sa capuche qui laissa ses cheveux blond se remettre en place, sourit et s'assit sur un tabouret en saluant tous le monde. Elle posa son panier à coté d'elle pour ne gêné personne et lit une missive puis demanda à la tavernière une tisane bien chaude pour se réchauffer un peu...Elle attendit tranquillement en sortant un parchemin et une plume pour répondre à la missive, une fois finit elle regardait l'intérieur de la taverne et frotta ses mains pour les réchauffer...

Domdom

Toujours sa missive en mains , Domdom , incapable de rester en place , allait et venait , à travers la salle commune de l’auberge , sous les regards indifférents des quelques convives ,dont une femme inconnue ,qui lisait une missive , dans un coin .
Une fois que Sonia se fut installée, les coudes piqués sur le dessus de la table et le menton reposant sur ses doigts entrecroisés , l’encapuché la rejoignit , posant une fesse sur le rebord de la table.

Passant et repassant ostensiblement le courrier devant le nez de sa sœur de cœur , il l’interrogeait d’un ton de lutin malicieux :

Sonia…c’est tu ce que c’est , ça ?

Souhaitant faire durer davantage le suspense , il continua , les yeux brillants de mille étoiles :

Ce sont des nouvelles…

Nouvelle pause , sadiquement bien placée :

Et des nouvelles de qui ?
J’te l’donne en mille ?

Petit sourire entendu , avant de placer une nouvelle banderille :

De Mikaphile …

N’y tenant plus, l’encapuché partit dans une tirade « cyranesque » :

Elle est vivante , notre tite vieille , Choupinette …
Bien Vivante !
Et c’est même elle qui écrit
Preuve qu’elle va bien et qu’à défaut de pouvoir se servir à nouveau d’une épée, elle peut au moins se servir d’une plume !

Prenant la blonde tribun par les épaules , le passeur d’histoires la secouait dans tous les sens : il fallait qu’il évacue le trop plein d’émotion et d’excitation qu’il avait en lui :

J’y croyais Sonia…
J’y ai toujour cru !

Lâchant enfin Sonia , il reprit le vélin entre ses mains et entreprit de le lire à haute voix :

Ecoute ce qu’elle écrit :

Dom, mon cher ami,

J'ai repris connaissance dans la nuit, il parait que je suis restée une semaine entre la vie et la mort, après un vilain coup d'épée reçu sous les murailles d'Orléans...
Me voici squelettique, heureusement la Loire regorge de poissons et j'ai toujours ma barque, chaque jour j'irai pêcher une truite, ou une carpe, et ainsi pourrai me remplumer un peu.
J'ai hésité longuement à revenir parmi les vivants.

Il faut dire que la veille de ma mort, je m'étais brouillée assez sévèrement avec Jules --mais vous ai-je déjà parlé de Jules ? j'y reviens plus loin-- j'y ai vu un signe du destin.
Après avoir perdu Himm, que je n'espère plus voir sortir un jour du monastère, vous avoir perdu vous, ni niez pas, je ne serai jamais qu'une amie, pour vous, je l'avais perdu, lui, lui qui m'avait en une nuit fait oublier toutes les vicissitudes de la vie, lui entre les bras de qui j'oubliais mon âge, mes soucis, Himm, votre absence, la guerre, .... Que reviendrais-je faire sur cette terre ?
Mais je ne pouvais me résoudre à abandonner les Myosotis, mes frères et soeurs d'armes, en pleine guerre... l'éternité à me reprocher de n'être pas revenue les aider, j'ai eu peur que ça ne me paraisse long...
Me revoilà ainsi, avec encore une bonne semaine avant de pouvoir bouger, le temps que cette vilaine blessure cicatrise assez pour que je puisse retourner au combat.

Mes forces diminuent, je vais devoir poser la plume.
Embrassez vos enfants pour moi, mon ami, et votre soeur, si vous êtes auprès d'elle.

En espérant que cette guerre cessera bientôt, et que j'aurai alors le loisir de vous rendre visite, je vous embrasse, mon cher Dom.

Votre amie, Mika

Le grand brun attendait la réaction de l’aubergiste , un petit sourire aux commissures
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Tombé au champ d'honneur sous les coups de la tyrannie

Domdom

Dom , encore sous le coup de la nouvelle, n’était pas encore redescendu sur son petit nuage.
Pour la millième fois au moins , il relisait les mots qui lui dansaient devant les yeux , comme s’ils allaient s’effacer.

C’est qu’il l’aimait bien sa Nattée !
Elle avait toujours été présente , à ses côtés , dans les moments les plus difficiles , ces derniers mois .
Par sa présence discrète et ses mots si pleins de bon sens , Mikaphile avait toujours essayé de le conseiller, ravalant les pleurs de son propre coeur, lorsqu’il lui confiait ses chagrins sentimentaux.

Le calvaphile avait ressenti le départ de sa meilleure amie pour la Bretagne, l’été dernier, comme une vraie déchirure , tellement elle faisait partie de son quotidien.

Tournant à nouveau les yeux vers Sonia, dont le visage s’était d’un coup éclairci , il la laissa digérer lentement la nouvelle.

Puis , se levant d’un coup , du bout de table sur lequel il était assis , il annonça :

Allez…On fête ça !
C’est ma tournée !

L’encapuché se tourna alors vers la vieille Gertrude qui , l’air de rien , avait écouté leur conversation , l’oreille trainante , tout en s’occupant les clients de l’auberge de son allure lymphatique.
Nul doute que tout Dijon ne tarderait pas à apprendre la nouvelle : ça allait cancanner grave , au marché.

Il l’apostropha :

Gertrude…
Allez donc nous chercher cette bouteille de vin de Champagne que j’ai repérée sous un fagot de bois , dans le cellier.

Puis, après un petit clin d’œil vers sa franginette, comme pour s’excuser d’avoir donné un ordre à sa vieille servante à sa place

J’imagine que vous la gardiez pour les grandes occasions, n’est ce pas ?

Dom accompagna d’un air ironique la vieille servante qui se dirigeait déjà vers le cellier , de sa démarche clopinante.

Nouveau regard vers la blondinette , dont le visage , maintenant , s’ornait d’un magnifique sourire :

Je vais répondre à Miquette de ce pas.
La connaissant , elle doit attendre de nos nouvelles avec impatience, ma vieille pie.

Et le calvaphile de s’asseoir sur le banc , juste en face de Sonia , et de commencer à coucher quelques mots sur vélin : « Ma chère Mika… »
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Tombé au champ d'honneur sous les coups de la tyrannie

Gabrylla

Gaby finit sa tisane qui avait un peu tit gout assez étrange vers la fin...Elle posa sa tisane et fit un sourire à Sonia puis se leva et lança à la tavernière :

Dame, votre argent est sur la table, merci à vous.
Bonne fin de soirée à tous !!

Gaby se leva puis partit de la taverne en fermant délicatement la porte pour allez voir si il y avait des nouvelles au tire à l'arc. Gaby espérait que beaucoup de monde s'inscrirais, se jeu pourrai devenir très amusant !!

Gabrylla

Gaby finit sa missive et rangea sa plume. Elle vit la tavernière arrivée. La jeune demoiselle sourit à la vieille Dame, prit la tisane et posa des écus sur la table pour la payer et dit poliment :

Merci Dame...Cela va me faire grand bien

La jeune femme prit la tisane entre ses mains pour se réchauffer et prit une gorgée.

Aloe_sonia

Sonia le regarda, elle était inquiète, en panique. Elle posa une main sur sa bouche, imaginant le pire.

Citation:

Dom' : Sonia…c’est tu ce que c’est , ça ?

Elle regarda en direction du courrier, elle préféra dire non de la tête.
Elle avait l'impression qu'elle allait craquer, pourquoi la faisait il languir.
Elle déglutit quand il s'arrêta de parler, il reprenait son souffle ou choisissait les
mots adéquates pour lui dire la nouvelles.

Toujours sa main sur la bouche, elle sursauta quand il prononça le nom de Mikaphile.
Et finit par un souffle de soulagement, mais elle ne put s'empêcher de lâcher une petite larme.

Citation:

Domdom : Elle est vivante , notre tite vieille , Choupinette …
Bien Vivante !
Et c’est même elle qui écrit
Preuve qu’elle va bien et qu’à défaut de pouvoir se servir à nouveau d’une épée, elle peut au moins se servir d’une plume !

Elle sourit et rit doucement pendant que Dom' la secouait. Elle était aussi heureuse que lui.

- Tu m'as fait peur, j'ai cru que...

Elle le regarda et souffla en l'écoutant lire :

- Je suis contente de savoir qu'elle est vivante. Et elle a penser à moi, dans son courrier, ça me touche.

Elle resta là, assise. Elle avait besoin d'un instant pour réaliser.

Aloe_sonia

Sonia regarda sa soeur rejoindre Noctis.

- Bonne nuit vous deux...

Elle resta en haut et dit aux filles d'en bas et à Mortios.

- Je vais allée dormir, bonne nuit à tous, vos noms sont sur les portes, vous ne pouvez pas vous tromper.

Elle alla dormir.

Mortios

Mortios dit :Bonnz nuit sonia moi aussi je vais aller me coucher bonne nuit puis il alla dans sa chambre dormir

Bella.c

Anouck ce balader dans le village, a la recherche d'une auberge ou passez la nuit. Elle s'arrêta devant une qui lui paraissez chaleureuse de l'extérieur, Anouck poussa la porte et entra en souriant. L'endroit été aussi chaleureux que l'aspect qu'il donnais de l'extérieur.

Elle ne connaissez pas encore tout le monde, mais vit quelque visage quel avais croiser dans les tavernes, depuis son arriver. Anouck salua d'un signe de tête, les quelques personne qu'elle connaissez et s'approcha du comptoir.

Bonsoir, je suis de passage dans votre belle ville et je voudrais savoir s'il vous rester pas une chambre?

Anouck sourit et commanda une bière en attendant qu'on lui réponde.
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Marylise

"Bonne nuit ma soeuradorée"
Athia fit la bise à sa soeur et pris le bras de son amour Noctis

"Tu viens on va dans ta chambre.Mais fait que je préne le lit de la petite et mes affaires"

Elle alle chercher ces affaires puis le lit de safille et l'emena dans la chambre 4 ou se trouvé Noctis et ou elle allait dormir.

"Chéri on va dormir? Bonne nuit dort bien et fait de beaus rêves amour"
Elle embrassa Noctis puis alla se couché avec lui.
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Aloe_sonia

Sonia, dans sa chambre, entendit les portes des chambres s'ouvrirent et se refermer.
Mais, un court instant, elle crut reconnaitre le grincement de la porte d'entrée.
Elle se leva et mis un peignoir et alla jeter un coup d'œil rapide dans la taverne.

Elle vit une jolie jeune femme, ce n'était pas un visage familier.
Elle bailla, et pris son courage à deux mains pour accueillir cette personne.
Et se dit : Courage ma belle c'est un client...

- Bonsoir damoiselle, bienvenue dans la taverne le Chaudron Buveur.

Elle lui servit une grosse chopine fraiche et reprit :

- Voila, comment allez vous? J'ai encore des chambres de disponible.

Elle remit une stère de bois dans la cheminée.
Elle attendit qu'elle finisse son verre.

Aloe_sonia

Le lendemain, Sonia se leva tôt. Elle avait beaucoup de corvée à faire aujourd'hui.
Tout en se lavant, elle essaya d'organiser sa journée dans sa tête.

- Bon je vais préparer du pain, nettoyer la taverne. Ensuite Accueillir les personnes qui se réveillent. Et je dois aller au marché faire quelques emplettes.

Elle sortit de la baignoire, et attrapa une serviette et continua :

- Déposer le tout dans la taverne et allez à la cueillette. Je n'aurai pas le temps de préparer le repas du midi. Mais c'est pas grave, je ferai un bon repas pour le diner.

Elle commença à s'habiller et reprit :

- Je devrais peut être embaucher quelqu'un pour s'occuper de la taverne avec moi, on verra au moment venu.

Elle se brossa les cheveux et forma un chignon et descendit préparer le pain.

Mortios

Mortios qui se reveilla vue so puis lui dit Salut ca va ce matin ? quoi de neuf ?

Misscerise

Après une longue journée de travail , Coupdesoleil qui se ballade tranquillement dans les rues voit cette auberge ouverte, elle trouvait que cette auberge avec une belle façade , elle se dit qu'elle allait entré pour un bon pti verre de jus de Pomme , elle adorait la pomme! du cidre,du jus , un délice!!Aglaya arrive à l'auberge

Hey il y a quelqu'un ? elle va s'assoir sur un tabouret à coté de bar de l'auberge j'aimerais boire un bon verre de cidre de Bretagne , celui de Normandie est trop fort

Aloe_sonia

Sonia vit Mortios descendre, le premier levé.

Elle se dit qu'il mangerait du pain bien chaud et du lait chaud.

- Bonjour, Mortios tu as bien dormi? Viens manger...

Elle lui servit le repas. Et elle s'essaya en face de lui et l'accompagna.
Elle vit entrer Soleil et lui dit :

- Nous sommes là, Soleil, la bière de Normandie! Ah! je ne connais pas, viens gouter celle de bourgogne.

Elle lui servit une grosse chopine. Et ils discutèrent tous les trois.

Mortios

Mortios sourit puis dit oui j'ai bien dormit je doit i aller je te dois combien pour la nuit ?

Angel

Angel entra dans la taverne de Sonia avant de partir pour Cosne

coucou vous allez bien?je viens dire au revoir je pars ce soir

puis elle fit la bise aux personnes presente

Nans

Nans était pas à sa dernière balade et il y avait cette taverne un peu bizarre.
Il avait vu allant chercher le pain , une veille dame en train de balayer et semblait travailler là .
Il s'approcha des marches et n'osa pas franchir le seuil, ses parents étaient clair avec ça, il ne devait pas rentrer dans les tavernes seul .
Aussi, il monta sur le petit banc sous la fenêtre et regarda à l'intérieur. Il y avait pas grand monde , mais il aperçu la vieille mémére.
Elle avait pas l'air commode et il préféra descendre de son perchoir et sur le seuil de la porte entrepris à nouveau ses roulements de tambour

Viiiillaazeeeoiiiiis !!!!
viiiiiendeeeez à la loooooteriiiiiiie de la viiiiiille !!!
y aaaa plein de numéroooos pour les gagnnnaaants !!!
Viennnndeeeeez par iiiiiciiii !!
eeeet Viiiieeeendeeeeeez paaaarrr lààààà !!!!

Et ni une ni deux, il repartit espérant que les gens à l'intérieur auraient entendu son rafus , bien qu'il eut un doute pour la vieille , se souvenant que les mémés souvent ça entendaient pas grand chose......

Domdom

[Quelques jours plus tard…]

C’est un encapuché survolté , au visage cramoisi et tout essoufflé, qui ouvrit la porte de l’auberge à la volée , en brandissant un vélin comme s’il agitait un mouchoir :

Sonia..Sonia …Viens vite !!

Ils étaient rentrés de Franche Comté depuis deux jours déjà , et Dom n’avait pas eu un seul instant à lui , entre son emménagement à Dijon et les adieux aux bretons , repartis la veille au soir.
Même pas le temps ,non plus , de penser à Evanaëlle, son fantôme , qu’il n’avait pas revue depuis si longtemps , qu’il ne se souvenait même plus à quoi elle pouvait ressembler.

La tête de Gertrude apparut dans l’entrebaillement de la porte de la cuisine .
Dom l’interpela , tout excité :

Gertrude…Filez vite chercher Mademoiselle Sonia !
Dites lui que j’ai une nouvelle de la plus haute importance .

Puis, il se permit d’ajouter :

Et même si vous la trouvez en tête à tête avec son tendre , n’hésitez pas à la déranger !

L’encapuché passa alors derrière le comptoir et se servit une chope .
Une bonne bière bien fraiche : rien de tel pour le calmer.
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Tombé au champ d'honneur sous les coups de la tyrannie

Valerien

Citation:

D'ailleurs, demain, tu viendras avec moi au marché, on ira acheter une belle miche de pain, ou mieux, de la brioche, pour en faire de belles tartines pour ton gouter, d'accord ?

Le blondinet se tourna vers sa gouvernante et lui offrit un sourire à la fois gourmand et réjoui , marquant davantage les deux fossettes qui lui encadraient les lèvres.

Oh oui…Mary !
Ze veux biiiiiiiiiiien

Se rendant compte qu’il avait haussé la voix , il jeta un rapide coup d’œil en bas, à travers les barreaux de la rambarde du palier , en direction de son père et de Sonia.
Ouf ! Ils n’avaient rien entendu !
Le gosse observait son père en train de marcher nerveusement , de long en large , dans la salle .
Puis son regard se posa sur Sonia , comme aimanté : Elle pleurait doucement …Elle était triste …

L’espace d’un instant , Valérien eut l’idée de dévaler les escaliers menant au rez de chaussée , afin de consoler Sonia , lui montrer qu’il était là , à ses côtés.
Mais dans son for intérieur, il admettait que c’était des affaires d’adultes, toujours compliquées.

Si son père et Sonia avaient seulement levé la tête vers le haut de l’escalier, ils auraient pu s’apercevoir que deux paires d’yeux et d’oreilles indiscrets guettaient leurs moindres gestes et paroles et Poppa en aurait été furieux .

Tout en caressant le pelage de son chien Chouchen , Valérien inclina la tête contre le bas de l’épaule de Mary , puis lui chuchota , sur un ton de conspirateur :

Dis Mary ?
Tu penses que ze pourra épouser Sonia , quand ze suis grand ?

Puis, écoutant son père , qui commençait à reprendre espoir :

Tu crois vraiment que Dame Mika elle aurait mourru avant de nous donner sa recette de confitures de framboises , toi ?

Mary.

Le gamin avait eu l'air ravi à l'idée de manger des tartines de confiture de framboises, un peu trop ravi, même !

Oh oui…Mary !

Ze veux biiiiiiiiiiien

Chhhhuuuuuttttt ! tu vas nous faire repérer !

Le petiot était resté un bon moment à observer son père aller de long en large, puis son regard avait été comme aimanté par Sonia. Il est vrai que le gosse avait toujours eu un faible pour les blondes.
Il avait alors appuyé sa tête contre le bras de la rousse gouvernante, dans un geste à la fois confiant et tendre, puis avait confirmé son gout pour la blonde Sonia :
Dis Mary ?
Tu penses que ze pourra épouser Sonia , quand ze suis grand ?

avant de passer à un tout autre sujet :

Tu crois vraiment que Dame Mika elle aurait mourru avant de nous donner sa recette de confitures de framboises , toi ?

Que répondre à ça ? Rester honnête sans lui briser le coeur ?
Tu sais, quand tu seras grand, Sonia ne sera plus aussi jeune, tu regarderas les filles de ton âge ...
Quant à Dame Mika, ça m'étonnerait qu'elle parte en laissant ici tous ceux qui comptent sur elle, pas son genre. C'est le genre de femme qui pense toujours aux autres avant de penser à elle. D'ailleurs, tu ne crois pas que si elle avait un peu pensé à elle, elle aurait un compagnon ? Je veux dire, un vrai, pas comme ce Himm qui voyageait avec elle au printemps !
Allez, viens, allons dans la chambre avant de nous faire repérer !

Et elle s'était relevée et avait entraîné le petit dans la chambre qu'elle occupait avec les enfants et la nourrice.

Aloe_sonia

Sonia garda la tête penchait, et se dit qu'elle avait posé sa question, sans attendre une réponse.
Que pouvait il dire, à part d'aller aux funérailles.

Elle sursauta quand il commença à parler d'une erreur, elle le suivit du regard.
Il voulait y croire, il voulait qu'elle ne soit pas morte.
Comment pouvait-il y avoir une erreur, c'est l'armé.

Elle prefera se taire, elle ne voulait pas le ramener à la réalité.
La mort de son amie l'avait affecté.

- Oui écrit Dom', oui c'est une bonne idée.

Mais ses larmes continuèrent à couler.

Domdom

C’est avec un sonore Coucou…c’est mouaaahhh ! que l’encapuché entra dans la pièce commune de l’auberge du Chaudron.Buveur
Sonia l’avait averti par une missive , qu’elle était enfin ressortie du couvent dans lequel elle se morfondait depuis des semaines.

Dom , de retour de Franche Comté , avait traîné un temps ses chausses dans une Dijon aussi animée qu’ un cimetière , avant de filer vers Cosne , pour raccompagner une blondinette jusqu’à la capitale bourguignonne.

Ayant laissé la blonde devant sa porte , une fois sa mission d’escorte finie , le passeur d’histoires , n’avait eu qu’une hâte : filer jusqu’à l’auberge de sa soeurette , afin de la serrer fraternellement dans ses bras et prendre des nouvelles.

La salle commune était vide , mais l’encapuché reconnut de suite la silhouette de Sonia dans l’encadrement de la porte qui donnait sur la cuisine.
Juste le temps de la rejoindre, de la bisouiller et les premières questions fusaient ;

Te voilà enfin , Sonia…
Quel plaisir de te revoir…
Raconte moi un peu comment ça s’est passé chez les nonnes
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Tombé au champ d'honneur sous les coups de la tyrannie

Domdom

[Il faut sauver le soldat Mika]

Citation:

Dom' on fait quoi? On fait quoi maintenant?

Ce que nous allons faire ?

Travelling panoramique d’un regard absent et vide à travers la taverne : le pigeon de l’armée Bretonne continuant de picorer les miettes sur le sol de terre battue , juste aux pieds de deux paysans taiseux attablés , un verre de marc de Bourgogne à la main …Un peu plus loin, la silhouette arthritique de la vieille Gertrude , se détachant dans l’encadrement de la porte de la cuisine , penchée sur la marmite de soupe aux choux , qu’elle s’évertuait à touiller avec une grande cuiller en bois .

La Nattée était morte , didiou !
Comment se pouvait il que la terre continue de tourner , que chacun continue de vaquer à ses occupations, alors que quelque chose venait de se casser dans le cœur et l’âme de l’encapuché et certainement de Sonia, aussi ?

Le passeur d’histoires finit par poser ses iris sur les yeux cernés et encore rougis de larmes de sa sœur de coeur
Et , si finalement …. ?
Mais oui , bien sûr !
Cà ne pouvait être qu’une erreur …Une méprise !
Ohhhh !!!! La vilaine « Killing Joke » que voilà ![p’tit clin d’œil à Jaz Coleman en passant]

Comme s’il avait des ressorts sous sa croupe callipyge (qualificatif certifié par de nombreux témoignages féminins ) , Domdom se redressa d’un coup sur son siège , déséquilibrant presque Sonia :

Je vais répondre à cette missive , Choupinette
Demander plus de détails…
Peut être se sont ils trompés de nom dans la mêlée tumultueuse de la bataille ?
Peut être n’est elle que blessée ?

A l’abattement avait succédé l’espoir.
L’enpapuché ne tenait plus en place : il se leva d’un bond puis arpenta la salle du « Chaudron Buveur » , faisait les cent pas sous les yeux étonnés de Sonia et des deux paysans.
Il pensait déjà mettre un plan de bataille en marche …
Il fallait sauver le soldat Mika !
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Tombé au champ d'honneur sous les coups de la tyrannie

Aloe_sonia

Sonia prit la lettre que lui tendit Dom, elle le regarda un court instant. Et sentit que le contenu n'allait pas être gaie.
Elle commença à lire et plus elle lisait, plus son cœur se serrait et des larmes commencèrent à couler.

Elle resta, là, figée, tête baissée et écouta Dom' lui expliquer que Mika n'avait pas souffert...

Mais là, c'est eux qui souffraient, de l'absence de leur vieille amie, c'est eux qui pleuraient. Sonia sanglotait et se blottit contre son frère quand elle sentit son bras autour d'elle.

Elle réussit à dire :

- Dom' on fait quoi? On fait quoi maintenant?

Mary.

Arrivée en haut de l'escalier, tout à son inquiétude concernant le sort de cette pauvre Mika, la rousse gouvernante manqua bousculer Valérien, l'ainé des enfants du conteur, et son chien jaune, Chouchenn.
A peine eut-elle le temps de voir son beau sourire illuminer sa bouille d'angelot, qu'il lui dit sur un ton de conspirateur :

Tiens , t'es revenue, toi ?
Poppa y te cherche partout et y dit que ça va te ssauffer...
Z’écoute ce qu’ils disent en bas , Mary
Viens t’installer à côté de moi
On est bien , là !

Comment résister à des ordres si gentiment donnés ? Elle se mit donc à croupetons près du gosse, l'entourant d'un bras protecteur.

Tu as entendu ? cette pauvre Mika ? Tu crois qu'elle va redescendre, ou rester près d'Aristote ? Moi j'aimerais bien qu'elle revienne, elle ne m'a pas encore donné la recette de confiture, tu sais, la bonne confiture qu'elle avait faite ici même pour ta petite sœur ? D'ailleurs, demain, tu viendras avec moi au marché, on ira acheter une belle miche de pain, ou mieux, de la brioche, pour en faire de belles tartines pour ton gouter, d'accord ?

Si elle pouvait détourner son attention , il avait déjà trop souvent été confronté à la mort d'êtres chers, ce petit, pourtant encore si jeune !

Aloe_sonia

Sonia fixa Mortios, il voulait payer, elle n'en croyait pas ses oreilles.
Mortios a toujours été présent pour elle.

- Mortios, tu es mon meilleur ami, donc c'est gratuit pour toi.

Elle se retourna et embrassa amicalement Angel, qui partait.

- Angel, ou pars-tu? pourquoi? Tu m'avais dit que tu resterez à dijon.

Elle eut les larmes aux yeux.

- Tu reviens quand?

Mary.

Visiblement Sonia n'en savait pas plus qu'elle sur la cause de ce désarroi chez le conteur. La rousse gouvernante, curieuse comme pas deux, aurait bien essayé de déchiffrer le courrier que son patron tenait à la main, mais au moment où elle s'apprêtait à s'en emparer, il releva les yeux sur elle, et lui lança un tel regard, lui enjoignant de filer s'occuper des gosses, qu'elle n'y songea plus.
Elle s'engouffra dans l'escalier, d'où elle entendit encore :

Ça s’est passé dans la nuit d’avant-hier à hier, sous les murs d’Orléans, d’après ce que dit ce capitaine Valoche, chef de l’armée « Myosotis ».
Mikaphile n’a pas souffert, Sonia…
Le premier coup d’épée qu’elle a reçu lui a été fatal.

Dieux du ciel ! Mika ? morte ? le cœur de la rousse gouvernante manqua plusieurs battements... Non, ce n'était pas possible, elle allait revenir, elle devait être en train de négocier ça avec Aristote ?
Pauvre conteur ! Mary comprenait maintenant son visage ravagé de chagrin, quand il avait levé les yeux sur elle ! c'est qu'il l'aimait bien, sa tit'vieille !

Elle se dépêcha d'aller retrouver Alexandrine, la nourrice, auprès des enfants. Elle attendrait qu'ils dorment tous pour lui annoncer la terrible nouvelle : la petite Katell, en particulier, s'était attachée à la Bretonne, son père saurait mieux qu'elle trouver les mots pour la mettre au courant en douceur.

Aloe_sonia

Sonia se retourna, crut reconnaitre la voix du conteur, de Dom'. Elle l'accueillit en lui souriant et va à sa rencontre pour le biser à son tour.

Elle fit un signe à Gertrude, pour qu'elle s'occupe d'installer les affaires.

Sonia chercha du regard Valérien et répond aux questions de Dom', quand il évoqua son séjour chez les nones et préféra lui chuchoter qu'elle avait toujours envie de sortir, que ses amis lui manquait et que son frere-conteur Dom' aussi.

Elle l'invita à s'asseoir et lui versa un verre et lui posa des questions à son tour, elle voulait tout savoir, ses voyages, ses amis, ses etats d'ame, ses enfants, ses rencontres, ses projets.

Elle enchaina les questions sans attendre les réponses, et finit par éclater de rire.

Domdom

Après avoir écouté Sonia , Dom avait parlé , parlé , parlé , dans un enchevêtrement inextricable de mots...
Passant d’un coup de ses deux longues semaines dans sa sinistre cellule du monastère à ses projets de création de compagnie de négoce avec son amie Mikaphile , revenant entre temps sur sa rupture avec Oberthur , ses séjours à Saint Claude et à Cosne …
Il avait tellement à dire à une Sonia qui l’écoutait sagement , les coudes plantés sur la table de bois, le menton reposant dans la coupe de ses mains , que lui même perdait le fil de sa narration : un comble pour un conteur !

Après une courte pause , il remit un peu d’ordre dans ses idées et poursuivit :

Quant aux enfants , je les ai laissés à Saint Claude , sous la surveillance de Mary et Alexandrine.
Leur place n’est pas sur les routes , à suivre les incessants voyages de leur père.

Petit sourire crispé du grand brun , qui enchaîne aussitôt

Valérien doit m’en vouloir à mort de ne pas l’avoir emmené…
Surtout s’il apprend que je suis ici ,c’est ce pas ?

Petit clin d'oeil complice à la blondinette

De toute façon, je reviendrai à Saint Claude , dans un mois, trois mois ou un an , peut être.
Sonia…Je reviendrai vers Oberthur…

Sentant sa gorge se nouer à l’évocation de sa blonde ,l’encapuché préféra couper court par un :

Mon estomac réclame son dû , ma Choupinette , j ‘avalerai bien une bonne soupe.
Te connaissant, je suis sûr que tu as quelque chose de bon qui mitonne dans ta marmite
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Tombé au champ d'honneur sous les coups de la tyrannie

Aloe_sonia

Sonia était triste d'apprendre leur rupture, mais elle ne voulait pas poser de questions, elle se dit que ce n'était pas le moment et surtout, par respect pour son frère, elle ne voulait pas lui faire subir le supplice de narrer cette rupture douloureuse, pour Ober' et lui.

Elle le fixa, et se dit qu'elle aussi et un peu triste de ne pas voir Valérien, avec sa tête blonde.

Elle esquissa un sourire et se leva d'un trait. Elle n'avait rien à lui proposer à manger, elle n'avait pas eu le temps de faire des courses, et savait que Gertrude sans ses ordres n'avait rien préparé.

Elle dit d'un trait :

- Ben ça te dit de manger dehors, ça nous permettra de rencontrer d'autres personnes.

Elle espérait que sa pirouette allait passé inaperçu.

Domdom

Laissant Sonia parcourir la missive qu’il lui avait tendue , l’encapuché leva un visage ravagé par les larmes vers la porte d’entrée de l’auberge , qui venait de s’ouvrir , dans son petit bruit de chuintement assez caractéristique.

A travers le brouillard des larmes , le grand brun discerna la silhouette de Mary , qui se détachait dans l’encadrement de la porte.

D’un geste de la tête , et sans répondre à la question de la gouvernante , il lui indiqua l’escalier qui montait à l’étage , lui signifiant ainsi , que sa présence était plus nécessaire auprès des enfants là haut , qu’en bas , avec lui et sa sœur.
Il serait bien temps , plus tard , d’avoir une explication franche avec cette tête de linotte , qui prenait des libertés dans la tâche pour laquelle il la payait.
Ah…S’il n’avait pas fait serment à sa défunte Lysannabelle , sur son lit de mort , de garder cette péronnelle de Mary à son service , il s’en serait séparé depuis longtemps , déjà !

Tournant la tête vers Sonia , il attendit qu’elle ait fini de lire la missive , avant de reprendre :

Ca s’est passé dans la nuit d’avant-hier à hier, sous les murs d’Orléans , d’après ce que dit ce capitaine Valoche , chef de l’armée « Myosotis ».
Mikaphile n’a pas souffert, Sonia…
Le premier coup d’épée qu’elle a reçu lui a été fatal.

Puis, essuyant ses larmes d’un revers de manche , il continua :

Finalement , elle aura eu la mort qu’elle désirait …Au combat !
Tu sais…Dans ses dernières missives, elle insistait sur le vide de sa vie actuelle , sur son envie d’en finir.
Elle s’était proposée plusieurs fois pour des missions périlleuses , dans un passé récent.

Domdom ne réalisait pas encore : Mikaphile morte …C’était tout simplement impossible , inconcevable…
Déjà , qu’il avait eu beaucoup de mal à l’imaginer soldat de l’armée Bretonne , sa petite vieille , plus à l’aise dans le maniement de l’aiguille que de l’épée .

L’encapuché passa alors son bras autour des épaules de Sonia et la serra contre lui , pour la réconforter.
Il savait que la blondinette appréciait beaucoup Mika et voyait sur le visage de sa frangine et les tremblements qui lui parcouraient le corps, qu’elle était bouleversée par la nouvelle.
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Tombé au champ d'honneur sous les coups de la tyrannie

Aloe_sonia

Sonia était en train de ranger la taverne, donnait des ordres à Gertrude.
Sortie rapidement pour vérifier l'état de l'étable et que les animaux soient bien installé.

Elle revenait de Langres, ou les tavernes étaient pleines de brigands. Ils avait hésité à venir à Dijon, peur de faire une mauvaise rencontre.
Mais le meneur : Gothyra, avait pris toutes les précautions et c'est sains et sauves qu'ils entrèrent dans la capitale.

Elle était dans la cuisine quand elle entendit Dom' l'interpelé. Elle jeta un coup d'œil vers Gertrude, comme pour lui dire : tu lui as bien donné son déjeuner?
Gertrude hocha simplement les épaules, comme pour dire : Je ne sais pas pourquoi il t'appelle.

Elle se dirigea vers la salle et son sang se glaça en voyant son visage blême et surtout quand il dit :

Citation:

Sonia...

Seules ces deux syllabes arrivèrent à sortir de la gorge du conteur , dont le bras tremblant tendait la missive vers sa frangine:

Citation:

Des nouvelles de Mika...
Elle est...
Elle est...

Elle jeta sa serviette à terre et courut vers lui, s'assied à ses côtés et dit :
- Quoi!!! Elle a quoi Mika?

Elle resta là, le regarda, espérait que se ne soit pas une mauvaise nouvelle.

- Dom'?

Elle vit Mary, esquissa un sourire et tenta de trouver la réponse dans ses yeux, savoir ce que Mika avait. Mais elle comprit que Mary l'ignorait aussi.

Domdom

Citation:

Ben ça te dit de manger dehors, ça nous permettra de rencontrer d'autres personnes.

L'encapuché avait remarqué que Sonia avait habilement éludé le sujet d'Ober , il la remercia d'un petit sourire , suivi d'un haussement d'épaules fataliste :

Pourquoi pas, Sonia...
Du moment qu'on ne croise pas le fantôme d'une rousse miraculeusement réapparue .

Le calvaphile se leva , puis se dirigea vers la blonde aubergiste ,lui posant une main sur l'épaule :

Mais d'abord , j'aimerais laisser mes quelques effets personnels ici.
As tu une chambre pour moi ?

Puis , il continua sur le même ton :

Ensuite, nous irons manger où tu voudras.
J'ai tellement faim que je mangerai même le brouet infect que Sunev m'a obligé à avaler ces temps derniers.
C'est dire !

Un grand rire succéda aux derniers mots du brun.
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Tombé au champ d'honneur sous les coups de la tyrannie

Mary.

La rousse gouvernante était rentrée dans Dijon sans encombre, après son escapade méditerranéenne. Le trajet du retour s'était bien passé, en compagnie de Boulie entre Marseille et Lyon, puis sans escorte pour la fin de la route.
Elle arriva à l'auberge pas très à l'aise, elle sortait de la taverne où elle avait appris que son patron était rentré depuis déjà deux ou trois jours.
Elle qui espérait rentrer avant lui, afin qu'il ne sache jamais qu'elle s'était absentée, c'était raté.
Elle entra donc sur la pointe des pieds dans la salle commune de l'auberge, se demandant comment elle allait annoncer son retour au conteur.

Tous les discours qu'elle avait pu préparer sur le chemin depuis la taverne s'évanouirent d'un coup, quand son patron entra dans son champ de vision : il était effondré sur la table, secoué de sanglots ! Elle ne l'avait plus vu dans cet état depuis la mort de la mère des jumeaux, à part peut-être quand il avait cru sa divine rousse condamnée.

Quelle affreuse nouvelle la missive qu'il tendait à sa sœurette avait-elle bien pu lui apprendre ?

Elle lança à cette dernière un regard interrogatif :

Qu'est-ce qui est arrivé ?

Domdom

[20 novembre 1459 : Jour maudit]

Assis à la grande table de l'auberge et la chope en main , l'encapuché observait d'un oeil interessé , Sonia et Gertrude préparer le repas du midi.
Sonia, rentrée à Dijon seulement la veille , n'avait pas perdu de temps , s'affairant comme une petite fourmi , entre cuisine , salle et chambres , donnant des ordres de sa voix douce , nettoyant ici, chassant la poussière là ...
De temps à autre , le grand brun jetait un furtif regard vers le haut de l'escalier qui menait à l'étage , là où étaient les chambres qu'il occupait avec sa petite famille, attendant impatiemment de voir apparaitre ses gosses et Alexandrine , leur nourrice.
C'était jour de marché aujourd'hui et Dom avait promis à sa petite tribu de les y emmener.

Alexandrine se retrouvait bien seule et désemparée, avec les quatre gosses du conteur , lâchement abandonnée par Mary , la gouvernante, qui s'était éclipsée vers le sud , pour aller voir la mer, avait elle dit.

Aaarrrghhh !!! Elle ne perdait rien pour attendre, celle là !
L'encapuché lui causerait du pays quand elle réapparaitrait !

Tout à ses songes de représailles à l'encontre de la rousse gouvernante , Domdom ne sentit pas immédiatement la présence du petit messager emplumé, porteur d'une missive, qui tapotait du bec sur le bois de la table.

Quelques instants plus tard, il avait en main une missive rédigée d'une main inconnue.

Courte...lapidaire...laconique...Un avis de décès...

L'encapuché sentit d'un coup son sang refluer se ses veines et , n'eut été sa position assise, il se serait effondré , comme un sac de farine.

Sonia...

Seules ces deux syllabes arrivèrent à sortir de la gorge du conteur , dont le bras tremblant tendait la missive vers sa frangine:

Des nouvelles de Mika...
Elle est...
Elle est...

Le grand brun ne put en dire davantage, s'effondrant en pleurs sur la table, manquant d'écraser le pigeon qui picorait des miettes
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Tombé au champ d'honneur sous les coups de la tyrannie

Aloe_sonia

Sonia entendit quelqu'un frapper à la porte de sa taverne.
Elle se redressa espérant que Gertrude allait ouvrir.
Mais le bruits persistaient.

Elle lança un juron, et se dit que Gertrude allait passer un mauvais quart d'heure.

Elle se couvrit et alla ouvrir. Elle regarda autour d'elle chez son domestique, mais rien. Son visage se couvrit d'un large sourire en voyant sa sœur.

Elle lui sauta au cou, lançant tomber la couverture qui la couvrait. Le vent lui caressa le corps et elle tira Sun' à l'intérieur de la taverne et referma la porte derrière elle.

- Viens on va manger un truc!

Elle l'invita à s'asseoir et cria :

- Gertrude...

--Dame_gertrude

Gertrude sursauta en reconnaissant la voix de Sonia. Elle dormait près des animaux, son lieux favoris et au chaud.
Elle secoua son châle rempli de paille.
Elle ignorait que Sonia était là.

Et à elle même : Mais elle est revenue quand? Rhaaa je vais devoir me remettre au travail!!! J'espère qu'elle va repartir!

- Oui Oui, j'arrive.

Elle salua les deux blondes, les deux soeurs et se fit réprimander par Sonia, comme d'habitude.

Elle alla leur servir à boire et à manger. Elle retourna dans la cuisine chauffer de l'eau, car elle savait que Sonia allait lui demander de le faire pour un bain.

Sunev

Ce matin là, lorsque Sun s'était réveillée, elle avait entendu des bruits dans les rues de Dijon; et une voix qu'elle reconnaitrait entre toutes. Elle se leva d'un bond en s'écriant: Sonia?!
Le temps d'émerger, et de se tirer du lit douillet dans lequel elle dormait, elle s'avança vers la fenêtre qui donnait sur la rue et elle ne vit... Rien...
Elle en conclut qu'elle avait sans doute rêvé et retourna retrouver la chaleur de ses draps.
Une fois la matinée bien avancée tout de même, elle se décida à aller vérifier à la taverne de Sonia.
Elle toqua à la porte en espérant entendre sa soeurette lui répondre.
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Aloe_sonia

Sonia arriva enfin à Dijon, après un long et fatiguant voyage.
Elle avait revu ses amis à Cosne : Garg', Christyl, Asclé et son frêre : Dom'.
Et c'est avec Balian qu'elle arriva, ils craignaient de faire une mauvaise rencontre, mais c'est sain et sauve qu'elle fut à Dijon.

Elle avait beaucoup de chose à faire, mais elle voulait voir Fleur, la compagne de Trix'. Elle elle voulait fabriquer une charrette, elle fut obliger de la vendre. Et elle devait voir Tonio.

Elle posa ses bagages et demanda à Gertrude de tout ranger et de donner une chambre à Balian, si l'en réclamait une.

Elle alla se reposer dans sa chambre.

Domdom

Arrivant tout juste de Dole , l'encapuché , sachant que sa soeurette n'était pas à Dijon , passa quand même devant "le Chaudron Buveur".
Il espérait que Gertrude , la vieille servante taciturne de Sonia serait là , pour les accueillir , lui et sa petite famille.

C'est sans vraiment y croire qu'il poussa la porte d'entrée de l'auberge , presque surpris de se trouver à l'intérieur.

Pas de Gertrude , mais une jeune femme , qui semblait attendre patiemment , assise à la grande table de chataignier.

Le passeur d'histoires s'approcha de l'inconnue , un beau sourire à la commissure:

Bonjour dame , je suis Dom , voyageur aux semelles de vent.
La propriétaire de cette auberge est absente de Dijon actuellement.
Mais, si vous le souhaitez , je vais me faire un plaisir d' aller quérir son employée

Le grand brun omit d'ajouter qu'il avait besoin lui aussi des services de la vieille ,voulant rendre sa proposition aussi chevaleresque que dénuée d'arrière pensée.
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Tombé au champ d'honneur sous les coups de la tyrannie

Pelagy

Bravant le froid, la pluie, la tempête, la grêle, la neige et le soleil avec une chaleur torride... Pélagie arriva....
Non... je commence mal

Toute fraiche, toute belle, toute douce ... Pélagie...
Nul aussi

fin pas trop non plus

Arrivée comme par enchantement à Dijon, Pélagie repéra immédiatement l'auberge.
Son groin à l'odorat hautement développé l'y avait dirigée...

Elle entra, jeta un regard rapide sur la populasse et s'installa.

- J'espère que je ne vais pas attendre la fin du monde avant qu'on daigne venir me servir !!!

Christian_de_tourn

regarda la jeune femme et sourit

non je ne suis que de passage je vais a bourges la
nourrir l'ost et puis je reviens a joinville mais je repasserais surement par ici.

commanda un verre et le buvais ensuite se leva et dit : je repasserais dans 8 jours promis

lui fit le baise main et dit

a bientôt Sonia puis sortit .....

Aloe_sonia

Sonia le regarda sortir.
C'est la première fois qu'elle rencontré un homme qui lui fit un baise-main.

Elle resta là, la main en l'air et la bouche bée.

Elle reprit ses esprit, et se leva pour préparer ses affaires, elle partait en voyage.

Aloe_sonia

Sonia était de retour à Dijon, elle s'était réveillé dans un champ.
Elle venait de se faire attaquée, il était plus fort qu'elle et lui avait tout pris.

Elle était en larme et se dépêcha d'aller dans sa chambre pour se laver et reprendre ses esprits, et elle irait voir le prevost et le maire pour demander les démarches à faire pour porter plainte.

Aloe_sonia

Sonia entendit la porte d'entrée, et se dirigea pour voir.
Elle ne connaissait pas cette personne et lui sourit et l'écouta.

- Enchantée, je suis Sonia, et merci pour le compliment.

Elle lui servit à boire et repris :

- Vous êtes un futur curé, c'est bien. Vous restez un peu à Dijon?
En tout cas, Soyez le bienvenu à Dijon.

Christian_de_tourn

entra dans la taverne et regarda le monde qu'il y avait et dit :

bonjour dame pas grand monde ici aujourd'hui.

je me présente rigwill Marchand Ambulant de joinville je ne fait que passé votre taverne est vraiment bien entretenue en tout cas .

s'installa au comptoir et dit : ah oui a mon retour de bourges je passe les cours pour devenir diacre et plus tard je compte devenir curé.

attendit qu'on lui réponde ...

Domdom

[Une chope plus tard]

Le conteur fit un signe discret à l'aubergiste , afin qu'il leur apporte une nouvelle bouteille de vin de Bourgogne , puis tourna à nouveau le regard vers sa soeur de coeur.
Un joli brin de fille par ailleurs , la petite blonde au doux sourire.
Pas étonnant de voir des hommes lui tourner autour .
Un sourire fraternel lui barrant le visage , l'encapuché lui répondit :

Ca ne dépend pas que de moi , ma Choupinette...
Je ne suis que la feuille d'automne livrée au bon vouloir du vent..
La Bretagne s'est trouvée dans l'obligation de déclarer la guerre au Royaume de France , le Poitou est resté fidèle à l'alliance : on se dirige vers une guerre presque inévitable.

Domdom eut une tendre pensée pour Douchka , qui avait inauguré son mandat de Duchesse de Bretagne d'une bien triste façon .
De plus, elle s'était complètement coupée de son peuple en demandant la destitution du Grand Duc...
Il soupira , sentant la fin politique de son amie imminente.

Se reprenant, il enchaina

Bref, je ne suis pas près de retourner en Bretagne.
En attendant , j'ai l'intention de repartir en Franche Comté , retrouver ma petite famille , mes enfants me manquent.
Et puis après , je visiterai peut être l'Helvetie.
Tu peux m'accompagner , si le coeur t'en dit.

Vidant sa chope d'un trait , après avoir versé une nouvelle rasade de vin rouge :

Mais je comprendrai que tu restes à Dijon, tu sais...
Tu y as ta vie, ta famille et tes activités

S'apercevant que Sonia avait fini son assiette , il lui proposa ,tout en lui versant du vin dans sa chope:

Tu vas prendre un dessert ?
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Tombé au champ d'honneur sous les coups de la tyrannie

Aloe_sonia

[à l'auberge de "La Queue du Chat"]

Sonia avait pris place, elle avait tellement faim qu'elle avait hate de manger.
Elle prit le menu du jour et laissa Dom' choisir.

Elle avait pris quelques verres pour s'ouvrir l'apétit avant de manger son lapin qui d'ailleur lui donner un peu de mal. Peut-être était il mal cuit?

Elle surprit Dom' entrain de la regarder se battre avec et esquissa un sourire, tentant de montrer qu'elle maitriser la situation.

Elle n'aimait pas trop la guerre, mais là ça lui rendait un peu service, Dom' ne pouvait pas partir trop loin, enfin c'est ce qu'elle croit.

Elle se redressa et rit quand il parla de ses changements d'avis et dit :
- Mais non, qu'est ce que tu racontes? Bien sur que je viens avec toi chercher Mika'. Je tiens mes promesses...

Elle rit et rajouta :
- Tu veux partir quand? Il faut que je prépare mes affaires, en plus j'ai des nouvelles robes en commandes donc faut que je les récupère, et il faut que j'aille au marché pour acheter les chausses qui vont avec et ...

Sonia continua à détailler tous les vêtements qu'elle avait prévu de prendre.

Elle posa l'os du Lapin et s'essuya les mains et la bouche.

Aloe_sonia

Citation:

Mais d'abord , j'aimerais laisser mes quelques effets personnels ici.
As tu une chambre pour moi ?

Sonia sourit, et dit :

- Tu as toujours une chambre pour toi, ici, ne t'inquiète pas Gertrude a déjà posé tes affaires et prépare ta chambre.

Elle jeta un cou d'oeil rapide en direction de Gertrude pour s'assurer qu'elle avait bien compris.

Elle éclata de rire en imaginant ce que Sun' lui avait donné à manger.

- Tu me diras dans les détails, allons, sortons....

Domdom

[Un peu plus tard , à l'auberge de "La Queue du Chat"]

Un petit sourire aux commissures , Domdom regardait Sonia se battre avec l'os de lièvre qu'elle essayait d'éplucher de ses dents et ses mains.

On dirait vraiment qu'il refuse que tu le manges , ce lapin , Choupinette...

Ils étaient attablés tous les deux dans la salle d'auberge quasiment vide , mis à part un voyageur solitaire , pensif devant une bouteille et un verre de marc de Bourgogne , posés devant lui.

L'encapuché avait déjà fini son estouffade de boeuf et faisait tourner sa chope entre ses mains, dévisageant sa vis a vis , puis il rompit le silence:

Il semblerait que les rumeurs de guerre entre le Domaine Royal et le Ponant se calment un peu , Sonia.
Je vais me renseigner plus avant , en espérant que les frontières se réouvrent bientôt et que les routes deviennent un peu plus sûres.

Petit clin d'oeil à l'attention de la blondinette , occupée maintenant à sucer son os de lapin :

Je suppose que tu es toujours d'accord pour m'accompagner aider Mikaphile à déménager ?

Puis , après un petit rire aigrelet :

A moins que tu ne changes d'avis quinze fois d'ici là , comme à ton habitude ?
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Tombé au champ d'honneur sous les coups de la tyrannie

Valerien

Sssuuttt , Sssoussen…
Pas aboyer, le chien !
Pas aboyer !

Agenouillé auprès de son chien jaune et le tenant par l’encolure d’une poigne ferme pour un gosse de sept ans , Valérien regardait et écoutait se qui se passait , en contrebas.

Il s’était préparé tout seul pour aller au marché , se glissant furtivement hors de leur chambre d’auberge, laissant Alexandrine, complètement essouflée et dépassée , s’escrimer vainement à apprêter les jumeaux pour l’occasion.

Le front appuyé contre les barreaux de la balustrade du palier du premier étage , il avait pu voir le pigeon entrer dans la salle par la fenêtre ouverte, puis se poser auprès de son père.
La suite était allée vite : Poppa s’effondrant en pleurs après avoir lu , puis tendu un courrier à Sonia , Mary entrant juste au même instant….

D’après les bribes de conversation que Valérien avait saisi , ils devaient parler de dame Mikaphile et ça devait être suffisamment grave pour déclencher des pleurs chez Poppa.

Happé par ce qui se passait en bas, il fut dérangé par un bruit , juste à côté lui : c’était Mary , sa gouvernante , qui avait monté l’escalier sans que le gamin la remarque.
Le gosse et le chien , qui n’avaient pas revu la gouvernante depuis longtemps , l’accueillirent d’un beau sourire pour l’un, d’un battement saccadé de queue pour l’autre , avant que Valérien ne reprenne à voix basse , d’un ton de lutin sarcastique:

Tiens , t'es revenue, toi ?
Poppa y te cherche partout et y dit que ça va te ssauffer...

Puis , d'un air de conspirateur :

Z’écoute ce qu’ils disent en bas , Mary
Viens t’installer à côté de moi
On est bien , là !

Et le mioche , poussant un peu son chien , de faire une place à la jeune femme rousse , toujours aussi curieuse.

Aloe_sonia

Sonia était dans sa chambre et préparait ses bagages.
Elle allait en voyage avec sa soeur Imé' et Dom'.

Un premier voyage avec Imé', elle était excitée en y pensant
Elle était devant son armoire et sa besace était au sol.
Elle y mit ses bottes, ses chausses, une houpelande, une braies....

Elle n'arrivait plus à fermer sa besace. Elle alla s'asseoir sur son lit
et refit un inventaire.
Elle prit l'essentiel et ferma le sac et descendit près de la porte
attendre Dom' et sa famille.

Valerien

Valerien...Au lieu de me trainer dans les pattes avec ton tas de poils jaunes , viens plutôt m'aider à charger la carriole, mon garçon...

Sur le coup , le gamin s'en voulut .
Quelle idée il avait eu de jouer du côté de l'entrée de l'auberge ...
et quelle idée Chouchen avait il eu de rentrer , aussi ?

Resté sur le seuil de la porte, il essaya de trouver un échappatoire :

Euh...ze suis cro piti , Poppa...
Et pis...Alexandrine et Mary , y peuvent le faire, elles...
Sont grandes
Ze veux bien m'occuper des petits , alors !

Devant l'air insistant de son père, le gamin obtempéra et commença a aider en portant ce qu'il pouvait.

Tout à coup , un sourire radieux traversa le visage du môme : Sonia decendait l'escalier, chargée de deux besace et venait les rejoindre.

Domdom

Quelques temps plus tard, il ne restait plus rien à l'intérieur de l'auberge du "Chaudron.." qui appartint à la famille Monderaines .
Tout avait été chargé dans la carriole.
Imerysa, la soeur de Sonia les avait rejoints et bien aidé à tout charger.
L'encapuché put enfin donner le signal du départ pour Dole.

Alors que Robin , son vieux cheval , tirait l'équipage dans les rues de Dijon, le passeur d'histoires se retourna une dernière fois en direction du bâtiment , un petit sourire au coin des lèvres

Il reviendrait sûrement un jour à l'auberge de sa frangine...
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Tombé au champ d'honneur sous les coups de la tyrannie

Aloe_sonia

[Quelques jours plus tard, ou plutôt un mois plus tard...]

Sonia venait tout juste de quitter le monastère. Elle posa son balluchon et se remémora ses derniers jours, avec ses moines et ses nones.
Elle avait tenter à plusieurs reprises de fuir mais elle se retrouva au mitard avec pain sec et de l'eau.

Elle trouva qu'elle avait perdu du poids et qu'il fallait qu'elle se remette à ses assiettes. Mais avant, elle voulait revoir ses amis et rire et surtout flâner dans Dijon.

Elle se posa beaucoup de questions, qu'elles étaient les nouvelles, est ce que Asclé était toujours maire, Imerysa tribun, est ce que les nouveaux n'ont pas été dur avec elle. Où sont Dom' et Ellana?...

Elle alla s'asseoir et resta pensive.

Ryxende

elle se savait la bienvenue en cette ville mais elle remercia tout de même Sonia de ses mots .. elle commençait à fatiguer un peu des voyages .. mais sa route n'était pas encore finie .. elle devait aller encore plus loin .. du moins pour un temps .. ensuite .. elle verrait .. trouver une ville qui l'accepte et qu'elle apprécie semblait difficile .. mais elle trouverait ..

finissant le lait et le pain elle regarde Sonia en souriant ..

" ben oui hein ?! vous devez vous ennuyer sans moi .. "

elle sait très bien que c'est faux .. mais s'en fiche .. veut juste profiter de l'instant ..

"ça à beaucoup changé ici .. c'est impressionnant .. je ne reconnais presque plus personne .. le temps file sans que je m'en rendre compte .. "

elle reste rêveuse en jouant avec les miettes sur la table ..

Domdom

L'encapuché , désirant laisser Sonia seule avec son amie , avait discrètement réuni sa petite maisonnée et une Mikaphile toujours aussi pipelette et les avait emmenés au marché.

Ce n'est que bien plus tard qu'ils en revinrent , sans Mika , partie faire une tour à la mairie et entrèrent dans la salle commune du "Chaudron".

Sonia et son amie étaient installées toutes les deux à la grande table en châtaignier et parlaient ensemble à mi-voix.
Aussi Domdom demanda-t-il à Mary et Alexandrine de monter à l'étage avec les enfants , puis vint s'installer à la table des deux femmes , un grand sourire aux lèvres :

Acceptez vous un conteur à votre table , mesdames ?
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Tombé au champ d'honneur sous les coups de la tyrannie

Aloe_sonia

Sonia rit doucement quand Ryx lui posait ses questions.
Elle l'écouta, comme elle aurait écouter son Frère de cœur Dom', comme une enfant devant un conte.

Citation:

Acceptez vous un conteur à votre table , mesdames ?

Elle sursauta, n'était pas sure de ce qu'elle venait d'entendre, la voix, si c'était bien lui.

Elle se leva et lui sauta au cou et le bisa et dit :

- hé! tu es arrivée quand? Rho j'ai mes amis près de moi, que demander de mieux.

Elle le lâcha et continua :

- Où es ta famille, tes affaires, tu restes un peu à Dijon?

Elle fit le même questionnement qu'à Ryx. Elle reprit ses esprits et les présenta.

Ryxende

la lorraine entend une voix puis voit un messire .. capuche en tête .. Sonia lui saute au cou ... pose une foultitude de questions ... puis les présente ..

"ravie messire Dom frère de coeur de Sonia !! "

lui faisant signe de s'assoir avec elle ..

"vous avez une famille ?? vous êtes un homme chanceux messire §§ une famille c'est important !! et conteur !! votre douce est comblée .. tout comme vos enfants je n'en doute pas "

elle lui sourit .. se disant qu'elle va peut être avoir droit à une histoire ..

Domdom

Dom considéra Sonia d’un air étonné.
Il n’était parti , en fait , que depuis une poignée d’heures seulement , laissant les deux femmes toutes à leurs retrouvailles.
Qu’arrivait il donc à Sonia ?

Son regard se fixa alors sur Rixende ,cherchant muettement son aide, puis se posa sur le chaudron , laissé par terre , à côté de la cheminée
Puis , changeant vite de sujet , sentant sa frangine dans l’embarras :

Hé bé…Je vois que la confiture aux framboises de Mikaphile a connu un franc succès .
Et pas seulement chez mes gosses…

Petit clin d’œil en direction de Ryxende , dont la commissure avait encore des vestiges de la confiture qu'elle venait de déguster, avant d'enchaîner:

Enchanté de vous connaitre , Dame Ryxende
Je souhaite que vous aussi ,connaissiez bientôt la joie d'avoir une famille autour de vous....
Pour ce qui est de mes contes...J'espère que vous les apprécierez tout autant que la confiture aux framboises !

Sourire en coin un peu niais du grand brun avant de continuer :

Excusez moi un instant, mesdames , mais je dois aller entreposer les provisions que j'ai achetées au marché

Sur ces paroles, le néo Comtois se dirigea vers le cellier, lourdement chargé de ses victuailles.
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Tombé au champ d'honneur sous les coups de la tyrannie

Ryxende

la lorraine n'a plus le temps .. elle voit le jour décliner .. le départ est proche ..
se léchant encore les lèvres pleines de sucre fruitier .. elle regarde Sonia ..

"je vais y aller .. tu salueras ton frère pour moi .. je n'ai plus le temps !!"

elle se lève et attrape ses besaces .. les jette sur ses épaules .. puis vient bisouiller Sonia

"prend soin de toi ma belle .. et ne crois pas tout ce que les hommes racontent !!"

elle part d'un éclat de rire .. puis se dirige vers la porte .. l'ouvre et file sur les routes ..

Aloe_sonia

Sonia fit la moue en la voyant prendre sa besace, ça y est, elle allait prendre la route.
Elle esquissa un sourire, ne voulait pas pleurer, mais son coeur se serra dans sa poitrine.
Elle voulait lui demander quand elle allait revenir, elle voulait lui dire qu'elle lui manquait déjà, mais les mots s'étranglèrent dans sa gorge.

Elle hocha la tête pour lui répondre, essuya ses larmes d'un revers de sa manche, et la regarda partir.

Domdom

Quelques temps plus tard , l'encapuché était de retour dans la salle commune de l'auberge de sa frangine.
Il fut surpris de n'y trouver que Sonia , presque les larmes aux yeux et lui demanda , en s'approchant d'elle :

Où est passée Ryxende , Sonia ?

Puis , se souvenant que l'amie de la blondinette avait prévenu qu'elle quittait Dijon ce soir , il en conclut que la jeune femme était repartie sur les chemins , poussée par le vent.

Il prit les mains de son aubergiste préférée dans les siennes pour la consoler :

Bah...c'est ça le voyage , tu sais...
Ici aujourd'hui...Ailleurs demain...
Ne t'en fais pas...
Vos chemins se croiseront à nouveau avec elle.

Enfin, la fixant :

Et puis ,je suis là , moi !
N'est ce pas ?
Allez...Fais un sourire à ton frangin...
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Tombé au champ d'honneur sous les coups de la tyrannie

Aloe_sonia

Sonia vit arriver Dom', elle esquissa un sourire, tentant de lui cacher la tristesse dû au départ de Ryx.

Elle l'écouta, et se blottit contre lui et murmura :

- Oui, je sais, mais c'est dur de voir partir une amie.

Sonia savait surtout qu'elle ignorait quand son amie reviendrait.
Elle serait pour elle, elle l'attendrait.

Valerien

Le blondinet avait encore réussi à déjouer la surveillance de Mary et Alexandrine et , bien caché en haut de l'escalier qui monte aux chambres de l'étage ,regardait discrètement ce qui se passait en bas.

Il avait assisté au départ de la dame qui avait rendu Sonia si triste , puis au retour de Poppa , qui essayait de consoler Sonia.

Valerien ne pouvait pas supporter sa savoir son amoureuse dans cet état : il dévala les marches de l'escalier quatre à quatre , au risque de se rompre le cou ,traversa la salle commune et s'abattit dans les jupes de sa blonde aimée en disant :

Sonia....Ze suis là et ze t'aime cré beaucoup !

Aloe_sonia

Sonia sentit le jeune Valérien contre elle. Elle essuya ses larmes, se détacha de Dom' et se retourna et se baissa à là hauteur de son Valérien.

Elle lui sourit et le serra contre elle.

- Oh Valérien! Je suis contente de te savoir près de moi, ca va mieux ne t'inquiète pas.

Elle le regarda et rajouta :

- Ca te dis de venir avec moi au marché, faire quelques emplettes?

Elle se rappela d'un coup qu'elle devait préparer le repas.

Domdom

[Quelques jours plus tard]

Mary...Alexandrine ....Tout est prêt , là haut ?

L'encapuché n'arrêtait pas d'aller et venir dans l'auberge , entre malles , coffres et caisses depuis le matin.
C'est que le départ d'une famille comme la sienne n'est pas une mince affaire !
Pas moins de sept personnes , sans compter Sonia , qui les accompagnerait un bout de chemin.

Pourtant, il en avait connu des passages en auberges, notre encapuché , en infatigable voyageur qu'il était.

Il considéra les caisses autour de lui d'un air fatigué : et dire qu'il allait falloir les monter une à une dans la carriole...

Il commençait à soulever une malle, quand il sentit quelque chose le frôler , le faisant sursauter .
C'était Chouchen , le chien jaune de la famille , le compagnon à quatre pattes de Valerien , qui venait de rentrer dans la salle d'auberge comme une fusée.

Bien évidemment , la silhouette d'un Valerien essouflé ne tarda pas à se dessiner dans l'encadrement de la porte :

Valerien...Au lieu de me trainer dans les pattes avec ton tas de poils jaunes , viens plutôt m'aider à charger la carriole, mon garçon...
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Tombé au champ d'honneur sous les coups de la tyrannie

Aloe_sonia

Sonia finissait de déjeuner, quand elle sursauta en entendant :

Citation:

"Sonia ????? t'es là ???? houhouuuuu !!! j'crois que ta lorraine préférée est de retours !!! "

Elle se dit : Mais la lorraine préférée, c'est Ryx', c'est elle ou quelqu'un qui lui faisait une blague.

Elle se leva, se retourna et la chercha du regard. Elle ne risquait pas de la voir de la cuisine, elle hâta le pas vers la salle principale, son coeur battait la chamade, elle allait revoir Ryx, cela faisait plusieurs mois qu'elle n'avait revu son amie.

Elle la vit, la reconnut, sourit, fit un large sourrire. Ryx' était là.
Elle arriva à sa hauteur, Ryx avait pris place, elle se plaça derrière elle, et l'enlaça.

- Coucou toi, tu vas bien? ton voyage, et toi , raconte moi? Tu es arrivée quand? Tu vas rester un peu à Dijon?

Sonia ne lui laissa même pas le temps de répondre, qu'elle l'assommer de questions

Elle prit place près d'elle et la bisa fort.

- Je suis contente de te revoir.

Ryxende

la lorraine toute à sa vision confituresque ne remarque pas Sonia derrière elle ... elle sent des bras qui l'entourent ... se retourne vivement pour voir Sonia .. en vrai .. là !!! ah ben il en fallait pas plus à la lorraine pour lui sauter dessus ... et vas y que je te bisouille ... trop contente la lorraine là ...

"j'vais !!!! j'suis arrivée ce matin !!!! j'sais pas si je reste longtemps .. mais au moins jusqu'à demain .. ça c'est sûr !!! "

elle chope son amie et lui fait un gros calin .... sautille sur place ..

"moi aussi .. trop contente de te voir !! ben dis donc .. toujours aussi bien ton auberge .. et toujours du monde à se que je vois ... "

la lorraine n'en peut plus .. elle plonge un doigt dans la confiture encore tiède et le lèche ... c'est pas qu'elle mourait de faim .. mais lui sortir une douceur sous le nez .. trop tentant .. elle fait un vague regard d'excuse .. mais n'en pense pas moins ..

"et toi ?? racontes moi tout !!! qu'est ce que tu deviens ?? un amoureux ??"

elle parle , parle , parle ... en riant et en suçotant son doigt

Aloe_sonia

Elle avait posé la question, tout en connaissant la réponse.
Mais elle avait envie, d'entendre autre chose, une autre réponse, une ou elle lui dirait qu'elle resterait à Dijon.
Mais elle connaissait bien Ryx, pour la savoir toujours en voyage.

Elle lui sourit et continua :

- En tout cas, sache que tu seras toujours la bienvenue à Dijon et j'aurai toujours une chambre pour toi.

Aloe_sonia

Sonia l'écouta et sourit en la voyant manger.
Elle se remémora le dernier bal et esquissa un sourire.

Et murmura : Oh oui que je m'en rappelle, il est gravé là dans ma tête.

Elle se ressaisit et dit :

- Un amoureux? Ben... on va dire que je n'ai pas cherché non plus. Et qu'on me cherche pas non plus.

Elle rit doucement et prit un morceau de pain et reprit :

- Tu restes un peu à Dijon?

Ryxende

la lorraine écoute .. dévorant le pain trempé dans la confiture ... revivant le bal .. souriant .. revoit les danses qu'on lui a offerte .. sa tenue non appropriée .. ses courses partout pour servir à boire .. et elle savait même pas ce qu'elle servait .. et Valmont ... elle soupire .. son ami perdu ..

mais elle reprend le sourire ... regarde Sonia ..

"ben remarque .. être seule c'est bien .. regarde moi !! "

elle entend enfin la question fatidique !!! elle s'y attendait .. aurait préféré qu'elle vienne pas .. mais c'est toujours ainsi ..

"non , Sonia .. je reste pas !! tu sais bien comment je suis !! fille du vent !! éternelle voyageuse !!"

Ryxende

Sonia lui apporte du pain .. arf !! gourmandise !!!!! elle arrache des bout et les trempent dans la confiture ... mord dedans à belles dents ..

se tourne vers Sonia la bouche pleine de confiture .. l'air étonnée ..

"comment ça se fait que t'as pas d'amoureux depuis le temps ??? moi ?? ça risque pas .. toujours sur les routes ... je reste jamais longtemps tu le sais !!! "

avale le lait que Sonia lui verse .. ça faisait longtemps qu'elle n'en avait pas bu ..

"bon .. et ce bal .. tu te souviens de l'autre ?? celui de la saint valentin ?? qu'est ce que je m'étais amusée .. c'est aussi la dernière fois que j'ai vu Valmont .."

soupire aux souvenirs .. un peu tristounette ..

Aloe_sonia

Sonia la bise à son tour et lui sourit.
La regarde plonger son doigt dans la confiture et lui rapproche la miche de pain.

Et pouffe de rire quand elle lui demande si elle a un amoureux.

C'est vrai que Ryx et elle s'était séparée, c'est vrai qu'il s'est passé des choses, mais Sonia voulait profiter de la présence de son ami.

- Non pas d'amoureux, et toi? Je te l'ai déjà dit, mais je suis vraiment contente de te voir. Au fait, on fait un bal, tu es la bienvenue.

Elle lui versa du lait chaud. et l'écouta.

Aloe_sonia

Sonia prit le bébé dans ses bras, le regarda et le berça doucement tout en écoutant Angel.
Elle sursauta quand elle l'entendit qu'elle aussi s'était fait rackettée, comme Asclé.

- Mais décidément, tu n'a rien tout va bien?

Elle fit signe à son domestique d'accompagné son amie dans une chambre.

- Suis le, Angel et repose toi un peu avant de reprendre la route.

Elle lui tendit le bébé.

- Je vais te faire couler un bain.

Elle donna ses ordres au domestiques et regarda son amie partir vers sa chambre.

Angel

c'est le moment des rackettes, non ca va je vais bien et les enfants aussi tant mieux!

angel vit le domestique arriver, elle ecouta son amie qui lui demandé de le suivre et s'executa

d'accord je le suis, puis reprit son ange qui dormait toujours

hummm un bon bain oui merci! elle sourit et partie vers la chambre avec ses enfants

Aloe_sonia

Sonia alla vérifier rapidement la chambre, en entrouvant la porte, en évitant de les déranger.

Elle sourit, c'est exactement celle-là qu'elle voulait lui donner. Elle sentit une présence derrière elle, se retourna et vit son domestique avec l'eau chaude.

Elle se poussa et le regarda le verser dans la bassine.

Elle retourna rejoindre Asclé et continua son massage.

--Dame_gertrude

Dame Gertrude sortit de chez elle tot le matin.
Elle s'était un peu maquillé pour être présentable, avait mis un peu de parfum.
Elle devait remettre un pli à Dame Aloe Sonia.
Elle ne la connaissait pas, mais elle devait la trouver. La seule indication qu'elle avait c'est qu'elle avait une taverne.

Elle prit sa cape direction le Chaudron Buveur. Mais elle s'arrêta car elle sentit que sa cape n'était pas très fraiche.

Elle la retira rapidement, la secoua, la dépoussiéra et la revêtit.

Mortios

Mortios qui aimait bien aller dans la tav de son amie sonia alla dans la tav de son amie sonia puis la chercha

Aloe_sonia

Sonia vit arriver deux personnes. Elle les salua et fit une bise à Mortios.

Elle les invita à s'asseoir et se présenta auprès de la vieille femme et lui proposa à boire à tout le monde.

- Comment allez vous?

Mortios

Mortios sourit en voyant sonia et lui dit [b]

tu naurait pas une chambre pour moi ?

Aloe_sonia

Sonia prit le pli que lui donna la dame.
Il y était écrit qu'elle s'appelait Gertrude, n'était pas commode et allait travailler pour elle.

Elle se retourna vers Mortios et lui sourit :

- Bien sur Mortios.

Elle se retourna vers Dame Gertrude :

- Vous voulez bien l'accompagné, les chambres sont en haut.

--Dame_gertrude

Elle la regarda lire le courrier et attendit une réaction.
Mais rien, elle trouva qu'elle était bizarre, elle lui posa aucune question
et elle lui demanda d'accompagner ce Messire.

Elle la dévisagea et invita cet homme à la suivre.

Aloe_sonia

Sonia était assise dans sa taverne, le visage vers la fenêtre, elle regardait les habitants, les voyageurs venir et parti, vaquer à leur occupations.

Elle avait l'habitude de sortir pour aller au marché, mais ce matin, elle voulait rester là à boire du lait chaud. Elle n'avait envie de rien faire, oui y a des jours comme ça.

Tout d'un coup, sa tranquillité fut perturbé par un pigeon qui arriva et se posa sur la table en face d'elle, doucement.

Elle eut un mouvement de sursaut, mais ne bougea pas, c'est la première fois qu'un volatile ne renverse rien, ne casse rien.
Elle l'attrapa et décrocha le message.

Elle ouvrit la fenêtre, pour le laisser repartir. Elle déroula le message.
Il était de Angel.
Elle commença à le lire et son coeur commença à se serrer, des larmes commencèrent à couler. Elle n'arrivait pas à y croire. Elle ne voulait pas y croire.
Elle continua la lecture, mais des sanglots l'empêchèrent d'aller jusqu'au bout.
Elle leva les yeux en l'air, comme si elle pouvait refouler ses larmes au fond de ses yeux, elle tenta de se calmer et termina la lettre.

Citation:

bonjour Sonia,

J'espere que tu vas bien...Comme tu as pu le remarquer je ne suis plus a Dijon j'ai prit la route il y a quelques jours pour le noeud apres Dôle...Je suis désolée je sais que tu vas etre triste mais j'ai decidé qu'il etait temps pour moi de rejoindre Yvain..j'aurai dû faire cela depuis longtemps deja, j'ai crû qu'un jour je serai heureuse mais cela ne fait qu'empirer, j'ai beau avoir mes amis et mes enfants il manque toujours quelque chose et je vais enfin le retrouver et ce que fourchafoin et jascques.sparo ont etaient raconté a Obe qui les a crû mon fait prendre enfin cette décision .

Surtout ne t'en fais pas pour Margot et Gaël, je ne les ai pas avec moi, j'ai rencontrer une dame sympathique a Dijon le jour de mon depart et apres lui avoir confier mes ecus je lui ai confier les enfants, je savais que vous seriez la pour surveiller qu'ils ne manquent de rien, je ne pouvais pas les emmener avec moi, ils sont jeune et on encore tant de chose a decouvrir...embrasse les pour moi et dit leurs que je les aimerai toujours...

Voila, il est l'heure pour moi d'aller le rejoindre...ne soit pas triste et dis toi que je serai enfin heureuse et surtout ne m'oublier pas car moi la ou je serai je vous aurai toujours dans mon coeur.Dit a Lohan, Obeone et Trix que je les remercie pour les bon moment passé avec eux et a mon frere que je m'excuse de l'abandonner...

Sonia tu restera toujours ma meilleure amie...

Adieu, ton amie Angel

Elle posa la lettre, les yeux dans le vide.

--Kale

Kale entra dans cette auberge et se dirigea vers le comptoir, un visage en lame de couteau le regard percant,vetu tout en noir un long manteau et un chapeau à large bords noir egalement bonjour ! .....hmm je voudrait une chambre ....pour au moins une semaine ....je paye d'avance....s'il vous plait ! fit il en regardant la jeune femme droit dans les yeux en souriant, il laissa tomber sur le comptoir, une somme importante en ecus et fit

Et ...j'aimerais une biere egalement !

--Dame_gertrude

Gertrude au comptoir, regarda de loin Sonia, elle avait l'air triste, mais Gertrude n'avait pas le cœur à la consoler, elle avait surtout beaucoup de travail.
Elle vit entrer un homme et l'écouta. Elle ramassa rapidement l'argent, le regarda de haut en bas, il n'était pas de Dijon, c'est sur, et lui dit :
- Pas de problème pour la chambre.

Elle lui servit une chope. Et rajouta :
- Voila la clé de votre chambre, elle porte le numéro 4, et elle se trouve à l'étage.

Elle lui tendit une clé.

Christyl

Chris poussa la porte en premier. Garg arriverait après, portant les bagages. Elle entra et appela

Soniaaaaaaaa tu es là ? On vient s'installer chez toi. Si tu as une chambre à nous louer pour la durée de notre séjour. On sera ici jusqu'à samedi. Garg arrive derrière avec les malles. Moi, dans mon état, je ne pouvais rien porter alors je suis partie devant. Si c'était possible ne nous mets pas trop "en hauteur". Il m'est devenu difficile de monter les escaliers avec tout ce poids à porter hihi. Et puis je n'ai pas envie que les efforts répétés me les fasse arriver trop tôt ces chérubins. Autant les garder encore au chaud un petit peu hein.

En attendant que Sonia lui donne la clé et que son tit mari arrive avec les affaires du voyage, Chris prit place à une table près de la fenêtre ouverte.

Je boirais bien une citronnade aussi si tu avais ça. Tu en bois une avec moi ?
_________________

Aloe_sonia

Sonia entendit du bruit à l'entrer dans la taverne. Et se mit à rire doucement en voyant Chris' et Garg'.
Elle alla à leur rencontre et les bisa.

Elle écouta Chris' qui avait tout enchainée sans s'arrêter, elle remarqua son ventre arrondi et lui sourit.

- Coucou Vous, prenez place, je vais demander à Dame Gertrude de monter vos bagages.

Elle s'installa près d'eux et fit signe à Gertrude de monter les bagages.
Elle donna une clé à Chris'.

- Des que tu te sens fatiguée, tu peux rejoindre ta chambre, c'est la numéro deux.

Elle servit à boire à Chris' et un pour elle et reprit :
- Et ta route? ton voyage?

--Dame_gertrude

Dame Gertrude arriva, salua d'un geste de la tête le couple.
Prit leurs bagages et dit tout bas :
- Mais pourquoi avoir autant de vêtement? Ca ne sert à rien.
Si à casser le dos des domestiques.

Elle les déposa dans leur chambre et vérifia la décoration et sortit.

Mikaphile

La presque vieille avait l'habitude de dormir dans sa charrette, en voyage, avec son Himm, mais là qu'il était parti traiter des affaires plus au Nord, elle avait un peu peur de dormir au bord de la route seule.
La tavernière lui avait parlé de son auberge, elle s'y rendit.

Bonjour, vous auriez une chambre pas trop chère pour cette nuit, par hasard ?
_________________

Aloe_sonia

Sonia sortit sa tête de la cuisine et reconnu Mikaphile.
Elle alla à sa rencontre et la salua.

- Gertrude va te montrer ta chambre, tu es l'amie de Dom', donc elle sera gratuite pour toi.

Elle fit signe à Gertrude.

--Dame_gertrude

Dame Gertrude était assise au fond de la taverne, quand elle vit entrer une femme.
Elle la guettait de loin, savait que Sonia lui demanderait de monter les bagages et d'accompagner cette personne.
Mais elle remarqua qu'elles se connaissaient, donc peut que Sonia ferait enfin, un effort pour faire le nécessaire.

Elle sursauta, c'est elle qui devait tout faire.
- Arf.

Elle s'approcha, la salua d'un signe de la tete, prit ses bagages et l'invita à suivre. Elle ouvrit la porte, posa les bagages près du lit.
Esquissa un sourire et quitta les lieux.

Valerien

Domdom

Tombé au champ d'honneur sous les coups de la tyrannie

Aloe_sonia

Mikaphile

Domdom

Tombé au champ d'honneur sous les coups de la tyrannie

Mikaphile

Elle continuait de régaler la petite Katell de confiture encore tiède, se délectant et de l'odeur de framboise cuite et des mines gourmandes de la mignonne, tout en regardant avec tendresse son grand ami dans ce rôle de père aimant qu'elle ne lui connaissait pas encore.

Elle l'avait certes bien souvent entendu évoquer ses gosses, mais ils étaient jusqu'ici restés pour elle une notion bien abstraite.

Elle comprenait mieux, à présent, le voile de tristesse qui obscurcissait sa voix quand il en parlait, loin d'eux.

Vous ne connaissez pas encore la totalité de ma petite tribu , mon amie...
J'ai aussi une grande fille de neuf ans, maintenant , elle se nomme Gaelle et vit chez sa mère , Mallory , en Irlande.

Elle sentait au son de sa voix à quel point l'éloignement était douloureux pour lui, et imaginait la détresse de cette petite fille, là-bas, par delà les océans, loin de son père.

Souhaitez-vous que je demande à Himm si lorsque son esquif sera construit, il veut bien l'utiliser pour vous mener auprès d'elle, mon ami ?

Elle était grande amie avec la petite Alkemie que nous avions croisée à Rennes, vous souvenez vous ?

Si je me souviens ? Pensez donc, une si charmante enfant ! En avez-vous des nouvelles ? et de sa tante, Tigresse ?
_________________

Domdom

[Pendant ce temps , dans la salle commune]

Suivant les bons conseils de Miss Tresses , l'encapuché , après avoir assis Aubry par terre , se saisit d'une cuillère en bois et se mit à gratter consciencieusement les rebords du chaudron ;
Il tendait de temps à autre la cuillère recouverte du merveilleux jus violet et sucré à ses gosses , qui ouvraient la bouche comme des oisillons.

Ces occasions de se retrouver en famille étaient assez rares, ces derniers temps et le conteur culpabilisait quelque peu de ses absences ,entre travail , voyages et ses longues visites au couvent de Dijon , où son Evanaelle avait pris retraite pour très longtemps.

Laissant la cuillère dans le chaudron , l'encapuché tourna la tête vers son amie Mika et lui dédia un regard à peine voilé par un nuage gris:

Vous ne connaissez pas encore la totalité de ma petite tribu , mon amie...
J'ai aussi une grande fille de neuf ans, maintenant , elle se nomme Gaelle et vit chez sa mère , Mallory , en Irlande.
Elle était grande amie avec la petite Alkemie que nous avions croisée à Rennes, vous souvenez vous ?

Domdom omit de confier à son amie qu'il n'avait pas revu sa petite fille depuis très longtemps et qu'il ne la reverrait pas non plus avant bien longtemps.
Sa gamine lui manquait tant...
_________________

Tombé au champ d'honneur sous les coups de la tyrannie

Aloe_sonia

Sonia sentit la main du jeune Valérien dans la sienne, ils partirent ensemble vers les chambres. Elle lui sourit et porta son attention vers Alexandrine, elle écouta ses recommandations pour que Dom' et sa famille soit à l'aise.

Elle sentit que le jeune Valérien tira sur sa robe. Elle s'arrêta et se mit à sa hauteur pour l'écouta. Il avait peut être fait un choix sur une chambre.
Elle lui sourit et l'écouta.

Citation:

-Dis madame ...
Tu veux bien être ma ramoureuse quand ze suis grand , plus tard ?

Elle lacha un petit rire, ne s'attendait pas à ça.

- Tu peux m'appeler Sonia, mais quand tu seras grand, je serai vieille et moche. Mais je serai toujours là pour toi.

Elle lui attrapa le menton et lui posa une bise sur la joue.

- Tu as choisi ta chambre?

Valerien

Pas intimidé pour un denier , le gamin prit la main que lui avait tendu la jolie dame blonde que Poppa avait appelée Sonia.

C'est qu'il était habitué aux chambres d'auberges, le blondinet !
Depuis son plus jeune âge, son paternel l'avait trimballé de village en village , de Duché en Comté : à sept ans , il lavait passé plus de temps sur les routes qu'à la maison .
Et encore, des maisons il en avait connu un sacré paquet...

Il entra dans la première chambre, juste derrière Sonia et Alexandrine, qui parlaient ensemble.

Le chien Chouchen faisait déjà le tour du propriétaire , explorant chaque recoin , la truffe au sol et la queue battante.

Valérien n'avait pas lâché la main de l'aubergiste quand il lui tira légèrement sur la robe, de son autre main :

Dis madame ...
Tu veux bien être ma ramoureuse quand ze suis grand , plus tard ?

Aloe_sonia

Sonia se retourna lorsqu'elle entendit une voix dire :

Citation:

- Attendez moi...Ze viens avec vous !

Elle s'arrêta sourit et dit :

- Venez beau prince, vous me direz quelle chambre vous plait?

Elle attendit qu'il arrive à son niveau et lui tendit la main.

Mikaphile

Aloe_sonia

Sonia rassurée, rit doucement.

- Merci en tout cas, d'accepter d'être mon parrain.

Elle reprit sa place et continua :

- Tu veux manger quelque chose? Au fait, ça avance les préparatifs de ton mariage? Moi je sais déjà comment je serai habillée.

Elle versa un autre verre.

- J'espère que Robi viendra nous rejoindre, comme ça on mangera ensemble.

Elle sourit et l'écouta. Et se leva pour se placer derrière lui, et commença à lui masser la nuque et les épaules.

Asclepiade

Asclé écoutait donc ce que disait Sonia.

Non non c'est normal. Pour ma masseuse, secrétaire, infirmière, conseillère etc etc, il n'est pas envisageable que je ne sois pas le parrain d'abord. Non mais !!

Il enchaina ensuite sur son mariage : vaste question !!

Ben oui ca avance doucement.. tant que cela recule pas on est bon mais on y va tranquille. Là j'attends que Robi voit avec l'Evesque mais elle a dit qu'elle avait pas trop le temps en ce moment alors je patiente je patiente ....

J'espère que Robi passera mais en ce moment elle est débordée. Mesme moi je la vois que peu juste le soir pour dormir sinon le reste du temps elle bat la poussière de Dijon...

Puis elle passa derrière lui et commença à lui masser les épaules et la nuque. Il frissonna et se laissa masser car il en avait bien besoin avec les soucis qu'il avait alors qu'il était sans grande fonction...

Continue, Sonia, va. Cela me fera grand bien. J'ai le dos en vrac complet...

Et il attendit tout en se reposant quelque peu...
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Angel

Angel de passage a Dijon ne pouvait pas s'empecher d'aller voir son amie sonia dans sa taverne...Elle ouvrit la porte doucement et entra, avec sa fille et son bébé dans les bras...Sonia etait la marraine et ne l'avait pas encore vue...

Bonjour tous le monde!!! Je vous ai manqué j'espere

Elle regarda Sonia et Asclé et leur sourit

Sonia, je te présente Gaël ton filleul...je te l'ai pas dit je voulais te faire la surprise...

Elle lui montra le petit avec un grand sourire aux levres puis elle prit place fatiguée par la route et les evenement passé durant ce weekend

Aloe_sonia

Sonia massait la nuque d'Asclé et vit entrer Angel.
Angel n'était pas seule, elle avait des petits, des enfants avec elle.

Citation:

Bonjour tous le monde!!! Je vous ai manqué j'espere

-Bonjour ma belle, bien sur que tu nous a manqué, comment vas-tu?

Elle fut émue, son filleul, elle s'approcha pour découvrir son visage. Elle lui sourit.
Elle les invita à prendre place et alla chauffer du lait pour les enfants.

- Je peux te donner une chambre, si tu veux te reposer.

Elle regarda Angel et sa petite famille.

- Angel! Je peux le prendre mon filleul?

Elle la regarda, elle allait prendre un bébé dans ses bras.

Mikaphile

Valerien

Aloe_sonia

Ryxende

la lorraine à Dijon !!!! qui l'aurait pensé ??? certainement pas elle .. mais bon .. ne posons pas trop de question .. faut pas .. pas en ce moment .. pas maintenant .. elle a pas envie .. pis elle a pas forcément de réponse .. c'est comme ça .. un appel .. un voyage .. et la voilà !!! pis c'est tout !!! elle veut tout voir .. c'est déjà bien amusée dans les villes mortes .. veut pas le faire ici .. pourtant ça serait drôle .. mais non !! pas ici .. elle veut pas .. pis on posera pas non plus la question .. parce qu'elle veut pas donner de réponse .. elle sera sage .. elle se l'est promis .. sauf si elle en a la permission .. mais ça .. seule une personne peut lui donner .. mais là non plus .. pas de question .. parce qu'elle dira rien .. en fait elle est en mode "j'fais ce que je veux .. j'dis ce que je veux .. pis m'embêtez pas !!"

elle file dans les rues .. regardant les gens qu'elle croise .. s'arrête parfois pour mieux regarder .. chercher un vague souvenir sur tel ou tel visage ..

"connais pas .. lui non plus .. elle .. ah non .. eux .. p't'être .. pis non ..."

rien de rien .. mais où sont donc les gens qu'elle connait ??? il existe bien encore tout de même ... faut pas pousser ...
une idée lui vient .. l'auberge de Sonia .. si elle existe encore .. là elle verra du monde connu .. ou pas .. 'fin elle verra bien .. alors elle fonce .. court .. allonge ses foulées .. et s'arrête en faisant rouler les cailloux sous ses bottes usées .. l'auberge et là !!! bon .. le nom est le même .. donc pas reprit par quelqu'un d'autre .. à moins qu'ils aient garder le même .. ou qu'elle soit parti en laissant les clés à quelqu'un pour le ménage .. ou qu'elle soit à l'abandon .. houlàààà .. ça fait beaucoup de chose ça .. mais elle veut pas le savoir .. 'fin si justement .. elle veut savoir mais pas dans ce sens là .. pis d'abord elle fait ce qu'elle veut .. non mais ho !! elle regarde par la fenêtre .. mais vite fait .. à juste le temps de voir deux trois personnes installées ... mais sait même pas qui c'est .. pas le temps de bien voir .. hop hop .. elle est déjà à la porte .. l'ouvre en grand .. mais pas à la volée hein ?! elle claque pas la porte contre le mur !! elle ouvre en grand .. juste ça !! elle entre tel une bourrasque ... regarde vite fait .. cherchant la tête blonde ... salue rapidement les personnes présentent .. elle est pressée mais pas incorrecte ..

"Sonia ????? t'es là ???? houhouuuuu !!! j'crois que ta lorraine préférée est de retours !!! "

attend à peine d'avoir une réponse .. fonce à l'étage ..

"Sonia !!! mais t'es où ???? "

dévale les escaliers .. puis s'installe à une table .. bien décidée à l'attendre .. non mais ho .. elle reprend un peu son souffle .. sourit aux gamins .. fait un léger signe de tête pour saluer les adultes

"pardonnez moi , je me présente .. Ryxende , lorraine , éternelle voyageuse .. "

elle regarde la confiture avec envie .. "non !! allez !! soit sage un peu !! fait pas l'enfant !! ils vont pas comprendre !!"

--Kale

Aloe_sonia

Citation:

Sonia, vous êtes là ? Vous avez déjà déjeuné ? ou je vous attends ?
Vous n'auriez pas une promenade à me conseiller dans Dijon, pour m'occuper un peu en attendant le départ de ce soir ?

Aloe_sonia

Sonia se leva à l'aube pour préparer le petit déjeuner.
Elle fit sa toilette s'habilla.
La taverne était calme et elle posa les bols et le lait chaud ainsi que des miches de pain.

Mikaphile

Aloe_sonia

Sonia arriva dans sa taverne et posa sa besace.
Elle sentit un odeur, elle chercha et vit un beau bouquet de fleurs.

Elle l'approcha et huma le bouquet, elle ferma les yeux un court instant.

Elle sourit, mais ignorait de qui elle venait.
Elle avait hâte de savoir.

Elle alla se coucher sur son lit, pour se reposer un peu.

_mellye..

Le lendemain, Sonia était revenue de voyage. Mély se dirigea donc tout naturellement vers l’auberge de son amie avant qu’elle ne s’y rende pour l’attendre accoudée à son comptoir et lui sauter au cou en arrivant...

Elle poussa la porte de la résidence, sachant que personne n’y serait de si bonne heure et s’installa à une table, sortant parchemin et craie, elle dessina quelques croquis de robes, très concentrée sur son œuvre...

Mély pensait à sa jolie amie qui ne tarderait pas à rentrer d’ici peu et se dépêcha de finir ses brouillons avant qu’elle arrive...

Hihi, je te laisse le choix de lui faire la peur de sa vie ^^ Profites en bien

Aloe_sonia

Sonia allongée sur son lit et pensive, entendit du bruit.

Elle se leva doucement, et se dirigea vers l'endroit ou elle avait cru entendre le bruit.

Elle vit Méli, de dos, mais elle la reconnu. Elle sourit, s'avança tout doucement. Elle fit de son mieux pour ne pas attirer son attention.

Elle cherchait quelque chose du regard, quelque chose pour la surprendre. Mais rien, elle ne voyait rien.

Elle se posta derrière Méli et glissa ses mains sous sa chemise et remonta le long de son dos.

Elle éclata de rire en voyant sa réaction.

Ryxende

la petite lorraine était de retours . la première chose qu'elle fit , dès son arrivée , fut de se précipiter à l'auberge de son amie . harrassée par sa longue nuit de marche , elle marchait tout de même d'un bon pas tellement elle avait hate de la revoir .

elle arriva enfin en vue de sa bâtisse preferee . elle allongea encore le pas , presque courrante , comme à son habitude ....

arrivée devant la façade elle s'arreta , prenant le temps de gouter cette vision qui lui disait que quelque part elle était un peu chez elle .

comme à son habitude , elle n'entra pas directement . elle regarda par la fenêtre pour voir si quelqu'un se trouvait déjà à l'interieur . elle colla son nez au carreau et scruta l'interieur ...

oui , c'était bien ça ! tout était comme dans son souvenir ! peut être une ou deux choses ... mais toujours avec autant de gout !!

puis elle vit son amie ... Sonia !!! elle s'appretait à rentrer comme une charge de taureau pour sauter au cou de son amie et la bisouiller , lorsqu'elle apperçue une autre personne à l'interieur .

elle examina la dame plus précisément , elle l'avait déjà rencontré une fois , mais ne la connaissait pas . son envie de rentrer été très forte .

parler à Sonia , la voir ... elle y pensait depuis si longtemps ...

mais elle était intimidée par l'inconnue et puis elle ne voulait pas les déranger .

tant pis elle reviendrait plus tard , elle allait aller dans une taverne pour se réchauffer un peu , se reposer .

un peu triste quand même elle partit d'un pas lent de fatigue retrouver ses tavernes préférées .

Domdom

Tombé au champ d'honneur sous les coups de la tyrannie

Mikaphile

La Bretonne pur beurre était un peu gênée, elle ne demandait pas l'aumône, et puis elle aurait pu monter son petit balluchon elle même.
Enfin, c'était fait pour lui être agréable, elle n'allait pas bouder son plaisir.
Elle était fatiguée, elle se débarrassa de ses vêtements, s'engouffra sous l'édredon et s'endormit avant d'avoir eu le temps de dire "ouf".
Ses rêves furent peuplés de roitelets et d'aigles majestueux, cette nuit là.

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Angel

bien sur que tu peux le prendre elle lui mit le petit qui dormait paisiblement dans ses bras

Je vais bien et vous deux? je veux bien une chambre s'il te plait, je repars demain et un peu de repos me fera du bien et de plus je me suis fait racketter entre cosne et sémur je dois travailler un peu elle regarda Sonia et le petit et sourit vous m'avez manqué aussi...t'en fais pas je reviens pour ton bapteme je ne le raterai pas et je resterai un peu plus longtemps s'il le faut

Elle leur fit la bise et leurs sourit

Aloe_sonia

Sonia était éreintée, elle était encore entrain d'écrire ses courriers.
Mais il fallait qu'elle trouve un moyen de les envoyer rapidement, son attention fut attirer par un bruit, quelqu'un frappait à la porte.

Elle se leva et reconnut la voit d'Asclé', elle ne lui avait pas encore ouvert qu'elle pouffa de rire.

Elle ouvrit, lui sauta au cou et le bisa et lui dit :

- Je suis là, entre donc...

Elle l'invita à s'asseoir et lui donna à boire.

- Alors ton voyage, Robi, Joinville, tu vas bien? Tu sais que tu m'as manqué, je suis tellement contente de te voir.

Asclepiade

Peu de temps après il vit la porte s'ouvrir et Sonia lui sautait dessus.

Hey Sonia, comment va?

Il lui rendit la bise puis il enchaina :

Joinville ben c'est une ville... hum... morte et Robi me suivait. Elle vient assister au mariage de Tonio.
Vi vi je suis là et le voyage pas terrible. Je me suis fait brigander.

En mesme temps qu'il s'asseyait, il prenait le verre qu'elle lui tendait...
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Aloe_sonia

Sonia l'écouta et lui dit :

- Bien, tant mieux, je vais faire mon baptême le 17 mars, et je lui avait envoyé une invitation, je suis contente de vous savoir ici. Et je veux que tu sois mon parrain, j'allais t'écrire en plus.

Elle lui tendit la missive. Mais elle sursauta quand il parla de l'agression qu'il avait subi.

- Oh Asclé, tu n'es pas blessé au moins? On a une hospice on peut y aller si tu veux?

Elle se leva et s'approcha de lui et commença à le tapoter, touche sa tête, ses bras, son dos comme pour chercher une blessure.

_mellye..

[ Quelques jours après ... ]

Lors de son départ, elle lui avait promis de ne pas se promener seule dans le bois, même si leur loup était avec elle, les profondeurs de cette forêt n’étaient pas sur du tout… Aussi, prit-elle la direction de l’auberge de Sonia, elle lui avait demandé un service lors de son départ avec son Amour, elle se devait bien, en retour, de prendre soin de sa bâtisse…

Anubis juste derrière elle, Mély poussa la porte de l’auberge y trouvant un pigeon. Elle décrocha le parchemin qu’il avait à sa patte, et le laissa s’envoler. Bien sur elle ne le déroula pas et le rangea dans un verre, lui-même rangé dans un placard.

- Si il se perd ainsi, pour sur je suis maudite !

Elle passa un coup de chiffon sur le comptoir avant de ranger les chaises bien droites face à la table. Elle balaya de fond en comble, et monta à l’étage pour en faire de même. Elle sourit à Anubis qui faisait les mêmes trajets qu’elle.

- Tu sais, je suis peut-être maladroite, mais je ne vais pas me faire attaquer ici, tu peux prendre du repos aussi…

Mélinda s’accroupit, le câlinant puis lui posant un baiser sur sa tête toute poilue :

- Tu es le plus beau des loups toi, le meilleur compagnon qu’on puisse avoir !

Retournant à la salle principale, elle sortit de la taverne pour faire une surprise au retour de sa nymphe. Elle décampa de la ville, allant vers les champs et les cultures…

Plus loin, sur le chemin, elle coupa avec précision des brins de lavande. Petit à petit, dans sa main elle commença à former un bouquet. Au final, elle attacha le tout avec un bout de corde avant de reprendre la route de l’auberge.

De retour, elle déposa sur le comptoir le bouquet de lavande, seule fleur de saison en cette époque encore hivernale. Le parfum qu’il dégageait embaumé la pièce, et Mélinda respira à plein poumon cette odeur. Elle ferma les yeux un instant s’imaginant dans un champ de lavande, se délectant du merveilleux parfum.

- Bon bah, j’espère que ça fera plaisir à Sonia !

Un petit sourire aux lèvres avant de repartir chez elle écrire à son Amour, elle reviendrait ici le jour suivant pour voir la réaction de son amie et lui indiquer l’endroit de sa lettre.

Aloe_sonia

Après avoir été au bal, accompagnée par Zazzera.
Sonia allongée sur lit, n'arrivait pas à dormir, elle repensait à tous ces évènement, toutes ces disputes, ces réconciliations.

Mais ses yeux restèrent ouverts là à regarder le vide, elle repensait à sa rupture, à la tristesse dans laquelle, elle était ses derniers jours.

Grâce à la pastorale et aux soutiens de ses amis, elle commença à avoir le sourire et se surprenait des fois à rire.

Mais maintenant, elle devait se concentrer sur son baptême, avec Méli' sa nymphe comme marraine et Asclépiade comme parrain, il ne pouvait que bien se passer.

Elle alla s'asseoir sur une table de la taverne et envoya des invitations à ses amis. Certains n'étaient pas à Dijon, mais comme le baptême n'avait lieu que le 17 mars, elle espérait qu'ils auraient le temps d'être là.

Asclepiade

Asclepiade passait fort tard dans les rues de Dijon quand pour rentrer chez lui, il passa par la taverne de Sonia. Il vit de la lumière et alla toquer à la porte pour voir qui pouvait être dehors à pareille heure.

TOC TOC TOC

Y a quelqu'un dans la taverne????

Et il attendit qu'on lui ouvre...
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Aloe_sonia

Sonia entendit un toc, elle se redressa.
Elle regarda par la fenêtre, il était tard. Peut être un domestique qui lui rappela qu'elle devait se dépêcher.

Elle se leva et passa rapidement une main dans ses cheveux. Pris une cape, se couvrit et alla ouvrir.

Elle vit un homme, elle savait que Mortios devait venir, mais elle le fixa et reconnu Zazzera.
Il devait chercher Ellana, se dit-elle.

- Bonsoir messire.

Elle sourit et le regarda.

Zazzera

Porte froide. Le genre de porte qui offre une attente abominable. Des pas s'approchent, est-ce celle qu'il espère?

La porte s'ouvre, et découvre par la même occasion cette robe violette qui couvre le corps de la blonde qu'il attendait.

Bonsoir, ma Dame.

Il resta figé, contemplant l'esquisse beauté s'offrant à lui.

Auriez-vous l'extrême amabilité de me pardonner, je n'ai apporté présent... Comment trouver présent qui siérait à votre beauté? Il prit délicatement la main de la demoiselle pour la baiser, puis la laissa. Bien... À présent? N'était-il point conclu que nous y allions ensemble? Êtes-vous prêtre, 'dame Sonia?
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Aloe_sonia

[Un Jour avant le bal de la st Valentin...]

Sonia arriva en courant dans la taverne, le bal allait bientot commencer, et elle fallait qu'elle soit prete.

Elle décida de prendre un bain. Elle demanda au domestique de chauffer de l'eau et de faire couler un bain.

Elle se deshabilla, et prit place dans son bain, ou elle rajouta quelques petales de roses pour le parfumer.
Elle ferma les yeux et resta allonger un court moment.
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Elle quitta son bain, et s'essuya.

Nue, elle alla chercher sa robe dans la commode et commença à s'habiller.
Elle se maquilla les yeux avec du khol.
Attacha ses cheveux en chignons. Mis un peu de rouge à lèvres et mis un bracelet assorti à sa robe.

Elle alla se positionner devant le miroir et se contempla, et passa sa main dans ses cheveux et les lacha.
Se secoua la tête et mis une petite barrette.

Elle tournoya sur elle même en souriant et prit place sur son lit pour mettre ses chaussures et choisir un bon parfum.

Zazzera

L'heure tourne. Le retard? Il l'aime. Il a donc prit son temps pour aller chercher celle qu'il nomme 'Dame Sonia. Elle lui avait brièvement dessiné un plan, sur lequel, bien sûr, il ne s'était référé.

La porte. C'est devant ce genre de porte que le doute survient. La liberté lui offre des choix, qu'il ne peut ignorer. Le choix de filer, pour la faire pleurer. Le choix d'y venir la quérir, en espérant la faire sourire.

Ce n'est pas du stress, qu'il y ressentit devant cette porte, ni de l'hésitation. Il avait déjà fait son choix, et pour une fois, il ne prendrait malin plaisir à constater les larmes ruisseler.

Il toqua.
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Mortios

Mortios qui s'ennuyer a mourrir alla dans la taverne de son amie sonia il entra et dit

salut sonia ca va ?

Aloe_sonia

Sonia se leva en voyant la porte s'ouvrir et vit Mortios.
Et dit :

- Oui je vais bien, et toi? Viens te joindre à nous.

Elle en profita pour aller chercher à boire et à manger.
Elle posa tout sur la table et les invita à manger.

_mellye..

Partit depuis quelques jours pour un voyage d’affaire, revenu ce matin même, Mélinda prit une offre d’emploi à la mairie avant de se diriger vers les tavernes. Il y en avait deux nouvelles, et aussitôt elle entra chez celle d’Angel pour visiter les lieux. Elle resta un long moment seule, profitant de sa solitude pour chanter d’un ton mélodieux. Aussi, devait-elle finir un poème, commençait depuis plus de deux semaines !
Elle mit quelques vers en plus, l’inspiration grandissante par un dialogue de la veille au soir. Puis, récupérant ses affaires, elle prit le chemin de l’auberge de son amie Sonia.

Arrivée au lieu dit, elle frappa quatre coups pour se faire reconnaître et entra comme une fleur, voyant la plus belle Dijonnaise en compagnie d’amis.

- Coucou toi ! – lui dit-elle, avant de reprendre pour tous le monde :

- Bonjour à tous !

Puis, se retournant vers la blonde :

- Comment vas-tu chère nymphe qui embaume mon cœur ?

Mélinda afficha un franc sourire à son visage, se retenant de rire par cette réplique si noble…
Elle la regarda espérant que le voyage ne l’ait point trop épuisée…

Aloe_sonia

Sonia qui mangeait avec Mortios et Gabriel s'arrêta net en voyant Melinda entrer.

Elle se leva et alla l'embrasser et rougit en l'écoutant et lui dit :

- C'est à toi que je dois demander comment tu vas? Et ton voyage.

Elle trouvait qu'elle rayonnait de bonheur et elle rajouta :

- Tu as l'air heureuse, ton cher et tendre s'occupe bien de toi, et ça se voit.

Elle lui fit un clin d'oeil et l'invita près du comptoir et lui servit à boire.

- Tiens ma belle. Tu ne vas pas quitter Dijon, tu restes un peu?

Elle prit une gorgée et l'écouta.

_mellye..

Mély lui sourit avant de renchérir :

- Bein je vais bien, tout va bien, le voyage tu l’as fait avec moi.

Elle haussa ses sourcils l’un après l’autre pour faire un genre : N’oublies pas ce qu’on à fait pendant ce voyage. Elle se mit à rire discrètement en y repensant.

- Heureuse ? Bien sûre que je suis au comble du bonheur. Phé est un amour, toi-même tu l’as vu à l’œuvre. Je suis bien trop chanceuse pour mériter un tel homme. Il est au dessus de la perfection, au-delà de ce qu’on peut rêver du prince charmant, c’est…

Elle respira n’en revenant pas d’avoir dit tant de choses à la fois sur une seule et unique personne, mais quelle personne ! Son homme, son éternel, celui qu’elle aimait bien plus que sa propre vie.

- Ouahhhh… Tu m’as comprise quoi… - dit t’elle en soupirant, avant d’esquisser un petit sourire malicieux, c'est qu'il l'inspirait au plus haut point son Prince...

Elle suivit la nymphe vers le comptoir, et décida de s’y asseoir dessus, ne sachant pas trop si elle en avait le droit ou non, au pire, elle lui ferait les yeux doux et tout serait accepter… Son verre en main, elle l’a remercia, bu une gorgée après son récit sur le bonheur qu’elle vivait aujourd’hui…

- Hummm… Quitter Dijon, en voilà une grande question. Existentielle je dirais même ! Ma chère Sonia !

Elle lui sourit, avant de reprendre plus sérieusement :

- Le jour où je quitterais Dijon, il faudra que tu t’en inquiètes, cela voudrait dire que je ne suis plus heureuse, et tant que Phé sera auprès de moi, mon bonheur sera extrême. Je ne quitterais Dijon que si je devais le suivre autre part… En fait, il faut que tu lui poses la question à lui, personnellement je me sens bien ici. J’aime Ma Ville ! J’ai tout ce qu’il me faut.

Elle l’enlaça par la taille, avant de déclarer :

- Vois tu l’Amitié et près de moi, ici, avec toi, et Matt. Une nouvelle famille car Chou m'appelle Tata... J’ai l’Amour grâce à Mister Dijon, j’ai la compagnie d’un animal en la présence d’Anubis, j’ai une maisonnette, un travail au jour le jour, je voyage quand je le peux…

Elle réfléchit un instant à ce qui manquait dans sa vie. Elle ne voyait rien mis à par la décision prise hier soir, peut-être cela se ferait-il où non… Le temps serait la meilleure réponse à son questionnement.

- Il ne me manque plus que mon champ et mon baptême !

Mélinda trempa ses lèvres dans son verre, et reprit :

- D’ailleurs, il faut que je choisisse une date, tu seras invité forcément, ne me poses même pas la question, c’est évident…

C’est qu’elle avait beaucoup parler la blonde, il fallait maintenant qu’elle lui fasse un simple retour de la conversation :

- Et toi, te sens tu heureuse dans ta vie ?

Elle la regarda d’un petit air interrogateur, cherchant son regard si fatale…

Mortios

Mortios qui avait envi d'aller a tonnere envoya un message a sonia pour lui dire ou il i avait de marquer

Citation:

sonia je vais a tonnere je revien bientot

puis le pigeon attendi que quelqun lui enleve le message a la pate

_mellye..

[ Toujours en conversation avec Sonia... ]

Mély avait passer son temps à parler de son petit bonheur, elle ne faisait que du « moi je », impolitesse et égoïsme, ce qui n’était pas du tout dans son genre, elle se rattrapa en posant quelques questions à son amie et l’écoutait avec attention.

Elle la regardait qui réfléchissait et lui répondit :

- Tu as raison, la liberté, y’a que ça de vrai, enfin c’est ce qu’on dit…

Mélinda était comme elle à un moment, écœurée par l’Amour elle s’était consacrée à l’Amitié et était donc libre de tous choix, mais c’était avant… Aujourd’hui elle vivait, et menée sa vie comme elle le souhaitée, guider par l’Amour de son tendre Phébus…

Elle lui sourit, en écoutant Sonia, c’était elle auparavant… Seul l’Amitié lui apporter Bonheur, et tant que son amie était heureuse, c’était le principal…

Mély prit possession du verre et le finit d’une traite…

- Ma chère nymphe, non pas que tu m’ennuies, mais voilà qu’il se fait tard…

Elle l’embrassa chaleureusement, avant de lui lancer :

- Au plaisir de converser à nouveau avec toi…

Puis elle sortit à toute vitesse…

Aloe_sonia

Sonia buvait doucement son verre tout en écoutant Méli.
Elle souriait ou hochait la tête de temps en temps.

Citation:

- Et toi, te sens tu heureuse dans ta vie ?

Sonia la regarda et reflechit en même temps et lui dit :

- Ben, j'aime ma liberté, je peux aller et venir comme je le sens.

Elle hocha les épaules et leva les yeux en l'air, comme pour trouver une idée et reprit :

- Et... j'ai des amis, on s'entend bien, on rigole bien, donc on va dire que tout va bien.

Elle lui fit un clin d'oeil et lui servit un verre.

Aloe_sonia

[Quelques jours plus tard...]

Sonia était parti en ville et avait fait un tour dans la taverne de Mortios.
Mais c'est le coeur triste qu'elle entra dans son auberge, prit place à une table.

Elle venait d'apprendre que plusieurs de ses amis allaient quitter Dijon, Bc et Lol, Oursblanc.
Déjà, Ryx était parti, Asclé.

Elle se tenait la tête entre les mains et regardait dans le vide.

Harry44

Angegabriel entra dans la taverne ,regarda sonia et lui demanda se quelle avait ??

Aloe_sonia

Sonia leva la tête en voyant Gabriel et lui sourit.

- Tu vas bien Gabriel?

Il voulait savoir ce qu'elle avait, mais avant de répondre elle rajouta :

- Gabriel, dis moi que tu restes à Dijon, tu ne vas pas partir?

Elle attendit sa réponse.

Harry44

gabriel la regarda quelque minutes et se resigna a lui dire qu'effectivement il partirais

Aloe_sonia

Sonia sentit des larmes coulaient sur ses joues.
Elle dit :

- Mais pourquoi, tout le monde part? pourquoi tu pars?

Harry44

gabriel la regarda et lui dit : -je reviendrais au plus vite ne t'inquiete pas sur ce il la regarda longuement cherchant une excuse[/b]

Aloe_sonia

Sonia l'écouta et la regarda espérant voir quelque chose. Quoi? Elle même ne le savait pas. Mais elle ne voulait admettre que Ryx allait partir.

Sonia commença à rougir et lui dit :

- Ryx, pourquoi partir, tu ne la connais pas cette Lily, reste à Dijon. A blaye tu connais personne...

Sonia parlait sans s'arrêter, essayant de la convaincre de rester, mais ses larmes commencèrent à couler.

Ryxende

la petite lorraine regardait son amie éffarée . elle la voyait visiblement troublé . elle parlait sans reprendre son souffle , et puis ces larmes !!! Ryxende ne comprenait pas son émoi . mais elle était touchée par tant de gentillesse à son égard .

"ma belle calme toi ! explique moi ! je ne connais pas Lily tu as raison , en plus elle me fait faux bonds ! elle vient en taverne sans venir ne serait ce que me saluer ! "

elle prend doucement la main de Sonia et essait de la calmer .

" tu vas retrouver Angel , ta meilleure amie ! ne pleure plus s'il te plait !"

elle la prit dans ses bras pour la caliner et la calmer

Aloe_sonia

Sonia sentit la main de Ryx dans la sienne et ses larmes coulèrent de plus belle.
Elle n'arrivait pas à la comprendre, elle voulait lui dire, elle voulait lui faire comprendre qu'elle ne devait pas partir.

Mais les mots restèrent coincé dans sa gorge, elle ouvrait la bouche mais seule des sanglots en sortaient.

- Ryx....

En entendant, le nom d'Angel, Sonia se sentait encore plus seule.

Ryxende

Ryxende la calina longtemps , très longtemps . Sonia pleurait tellement qu'elle n'arrivait pas à parler .

- Ryx.... c'est tout ce qu'elle arrivait à dire .

la lorraine la berça doucement , ne la lacha pas . à force de larmes Sonia s'endormie doucement dans ses bras .
Ryxende la garda encore un long moment contre elle . elle ne bougeait pas . le froid commençait à se faire sentir , la cheminée était éteinte , la nuit était tombée . les ombres étaient immobiles tout comme Sonia dans ses bras , sa respiration était calme et régulière. elle la déposa doucement sur le tapis . montat furtivement à l'étage chercher des couvertures . la couvrit avec . sans faire trop de bruit elle ralluma le feu et y mis plusieurs buches . ensuite elle s'assit à la table et lui écrivit un mot :

coucou Sonia
tu vois je t'écris alors que je ne suis même pas encore partit . tu es là devant moi et tu dors .
je te remercie de ton amitié et de ton accueil . tu es quelqu'un de bien . ne laisse personne te dire le contraire .
j'ai reçu un pigeon de messire égo en personne . ne t'inquiète pas il va bien . je devrais le croiser en chemin .
tu vas retrouver ton amie Angel et tu iras bien .
je te laisse un petit souvenir en attendant de nous revoir .
prend soin de toi et reste comme tu es !!!
ton amie
Ryx

après avoir écrit Ryxende fouilla dans sa besace et en sorti une petite pierre de lune .
elle la posa sur le velin qu'elle venait d'écrire , regarda une dernière fois Sonia endormie , murmura

"oui on se reverra je te le promet "

et sortie doucement de la douce auberge chaude pour partir vers l'océan . le vent froid la frappa de plein fouet lorsqu'elle ouvrit la porte . elle referma doucement derrière elle et partie en courrant ses larmes coulants sur ses joues .

Ryxende

Ryxende poussa la porte de l'auberge .
jeta un rapide coup d'oeil pour s'assurer qu'il n'y aurait personne .
rassurée elle s'avança lentement .

la pièce était chaude et agréable . son amie Sonia avait bon gout . Ryxende s'agenouilla devant la cheminée et entreprit d'enlever les cnedre froide et de refaire un bon feu .

Aloe_sonia

Sonia entra dans sa taverne, elle poussa la porte et remarqua que sa taverne était propre.
Elle se dit :
- Oh! Rich a tenu sa parole, merci.

Elle posa sa besace et prit place et regarda dans la direction de la cheminée et remarqua une présence.
Elle fixa son regard et courut en direction de la personne et lui sauta dans les bras.

- Ryx, comment vas tu? Je suis contente que tu sois encore à Dijon

Elle la lâcha et l'écouta.

Ryxende

Ryxende hypnotisée par les flamme qu'elle avait fait naitre , n'entendit pas la porte s'ouvrir . elle se retrouva , d'un coup , affaleé sur le sol avec Sonia la bisouillant .
après un moment de surprise , elle reconnue son amie et rit en la bisouillant aussi .

Ryx, comment vas tu? Je suis contente que tu sois encore à Dijon dit Sonia

après s'être assise par terre , elle regarde son amie .

"ça va , je t'attendais juste pour te dire au revoir ! je pars mercredi . ça fait plaisir de te revoir tu sais . je me suis permise de faire du feu . dis donc tu as une auberge superbe !!! félicitation !! "
elle se relève et va s'épousseter dehors .

Aloe_sonia

Elle l'écouta et lui sourit et la regarda se diriger vers la sortie.

- Tu pars? mais pourquoi tu pars, reste à Dijon.

Elle alla chercher à boire et posa un tapis au sol, et l'invita à s'asseoir près d'elle.

Ryxende

elle se retourna et vit Sonia assise sur un tapis . Ryxende aimait être assise par terre , les chaises , bancs , toubourets ... ne serait jamais aussi confortable que le sol . elle regarda son amie qui d'un geste l'invita à s'assoir avec elle .
la douce lumière du feu fesait danser les ombres . la lumière du jour habillait de sa clarté l'interieur . elle s'agenouilla à coté de Sonia .

"je ne peux pas rester Sonia , je me suis engagé auprès de Lily . je dois l'emmener à Blaye . "

la petite lorraine souriait à son amie , mais son coeur était triste de partir . elle avait des amis ici . certes peu , mais elle y tenait .

"et puis je vais réaliser mon rève . je vais voir l'océan !!"

elle se mit à rever de rouleaux fracassants , de vent puissant , d'embruns salé , d'écumes moussantes .....

Pasoa

Il lui avait semblé reconnaître la silhouette de Bc dans la pénombre. Elle poussa donc la porte et put apprécier le bon goût de la décoration.
Dans la grande salle que la pénombre noyait mis à part le reflet des flammes dansantes dans la cheminée, elle repéra quasi de suite son aimé affalé sur une table, rompu de fatigue.

Elle vint s'asseoir près de lui le considérant longuement. Cheveux soyeux s'échappant du ruban trop lâche, nuque ployée, front appuyé sur les bras croisés, il était bien parti au domaine des rêves...
Après un long moment elle se pencha et baisa doucement le haut d'une pommette murmurant :

"Mon Ange.... Et si nous dormions chez nous ?"

Bc_rich

La voix de LOL lui parvint avant qu'il ouvre les yeux..Une esquisse de sourire se peignit sur son visage. Fallait il qu'il l'aime à se point pour qu'elle viennent illuminer ses rêves?
Songe si réel qu'à présent il sentait son parfum et la caresse de ses lèvres sur son visage.

"....mamour?"

Il acheva son somme accueillit par le rougeoiement des braises. Il avait du dormir un sacré bout de temps bercé par la lente combustion de la buche.
Il se pencha pour reposé sa tête sur se sein de son ange...doux nid

"Ya longtemps que t'es là?....j'étais passé pour le ménage, mais y avait pas grand chose a faire.."

Il prit sa main et baisa ses doigts.

"Douce proposition que j'espère ne pas avoir rêvé! Ne perdons pas de temps rentrons...."

Aloe_sonia

Sonia salua Mortios, et écouta Ame.

Elle les accompagna dans leur chambre.

Elle rangea la taverne et alla se coucher.

Mortios

Mortios remarcia sonia pour la chambre puis alla se coucher

Angel

Angel alla faire une tour pour verifier que tout aller bien dans la taverne de sonia, celle ci etant en voyage elle ne pouvait pas s'occupé de la taverne.Angel ranga un peu verifia que les chambres sont impeccable puis repartie

Aloe_sonia

Sonia arriva tôt de Langres. Elle se dirigea vers sa taverne-auberge. Elle savait qu'elle avait beaucoup de travail. Mais il fallait le faire pour accueillir convenablement les clients.

En poussant la porte, elle vit que tout était propre, rangé et parfumé.

- Oh! Mais...

Elle resta bouche bée.

Elle était contente et voulait savoir qui avait tout pu ranger.

Phebus..

phébus qui venait d'arriver de voyage alla faire un tour à l'auberge, il voulait saluer son amie sonia il entra l'auberge était propre et accueillante,il regarda autour de lui cherchant sonia ne la voyant pas il cria

Coucou sonia tu es là c'est moi phé je suis rentré et je voulais te dire que j'avais rapporté ce que tu m'as commandé

il entendait bien quelqu'un dans les chambres la haut probablement sonia qui rangait il attendit elle allait surement descendre après l'avoir entendu l'appeler
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Aloe_sonia

Sonia était passée voir les chambres une à une et fut très impressionnée. Elles étaient rangées.
Dans sa chambre, elle entendit une voix familière, elle se leva d'un coup et se dirigea vers la taverne.

Elle sourit en voyant Phébus et lui dit :

- Oh Phébus, coucou toi!

Elle descendit et alla le rejoindre. L'invita à s'asseoir et lui donna du bon lait chaud pour qu'il se rechauffe un peu et une miche de pain.

Et mit une stère de bois dans la cheminée et alluma le feu.

Et reprit :

- Comment vas-tu? Et ton voyage? et elle lui murmura : Et ma commande?

Elle but son verre de lait et l'écouta.

Phebus..

Phébus vit sonia descendre il ne c'était pas trompé c'était bien elle qui rangée là haut

bonjour toi lui dit il en l'embrassant je vais bien le voyage c'est bien passé je te remercie.

il accepta avec plaisir le verre de lait chaud, apprécia la chaleur de la taverne et après avoir bu une gorgée lui dit

ta commande est là comme promis de plus j'ai moi aussi une commande à te passer j'aimerais une échelle il faudra que tu me donne tes prix?

il resta un moment dans la taverne a discuter avec son amie tout en buvant son lait chaud puis il parti non sans lui avoir fait la bise

au revoir sonia à très bientot en taverne, nous reparlerons de tout ça
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Aloe_sonia

- Tant mieux alors.

Sonia sourit et quitta Mortios, le laissa s'installer et retourna terminer la commande de Phebus.

Elle était fière de son travail.
Elle le posa l'objet et alla dans sa cuisine.

Bc_rich

"Ho he!! y a quelqu'un?"

Aucune réponse. BC entra dans la taverne baignée de pénombre.
Odeur de buche froide. Il s'assit à une table et se laissa bercer par le silence.
Il avait promis à Sonia de passer surveiller mais, à voir les meuble, la blonde avait fait le ménage avant de partir. Cela lui laissait tout loisir de savourer la quiétude du lieux.
Il se dirigea vers la cheminée pour faire renaitre une flambée.
Quand la chaleur revint, il se calla sur une chaise, bottes sur a table et se perdit dans les flammes. Il repensa à Lol et sourit se disant qu'une chose était sure. Sans elle, ben l'était pas heureux le BC. La danse hypnotique du feu, l'entraina, et fourbu par les rapports de la journée, il ferma les yeux pour s'endormir.

Mortios

Mortios la chercher et la vue :ah tu es la pas besoin de te moquer de moi tu n'aurait pas une chambre ?

Aloe_sonia

- J'ai toujours une chambre pour un ami.

Elle l'invita à le suivre à l'étage et lui montra une chambre.

- Voila, Mortios, j'espère qu'elle te plais?

Elle apporta des serviettes et de l'eau pour la toilette.

Mortios

Mortios suivi sonia il vue la chambre et dit : Oui sa me plait

Aloe_sonia

Sonia sourit en voyant entrer son amie Angel.
Phebus venait de sortir, elle était entrain de préparer sa commande.

Elle lui fit la bise et lui souhaita un bon voyage.

- Fait attention à toi, et reviens vite, ma belle.

Mortios

Mortios qui passait et qui avait envie de dormir autre part que chez lui alla dans la taverne dans son amie sonia il entre et dit :bonjour ya quelqun ?

Aloe_sonia

Sonia regarda Mortios, apparemment il ne la voyait pas.

Elle se leva et mit ses mains contre ses hanches et attendit sa réaction.

Elle rit doucement, et le regarda.

Elle avait terminer la commande de Phébus et elle devait le voir, et elle dit :

- Tu ne me vois pas, Mortios?

Elle ne put s'empêcher de rire.

Angel

Angel avait promis de venir dire au revoir a Sonia elle alla la voir dans sa taverne...

Coucou Sonia,je passe comme promis te dire au revoir..je reviens dans 4 ou 5 jours

elle lui fit la bise, reste un peu avec puis partie a Joinville

Asclepiade

Asclépiade donna un coup de tête a quelques domestiques pour les accompagner.

Ils obéirent rapidement et montèrent à l'arrière de la charrette.

Il était assis près d'elle attendant qu'elle démarre, essayant de faire bouger le cheval...en vain. Elle finit par lui rendre les rênes, dépitée...

Déjà fini? Allez laisse les grandes personnes conduire.

Se moquant d'elle :

Quelle idée saugrenue de l'avoir appelé Alfred toi aussi... Allez Tombeur, chevaucheur de Mort, hueee

Et la charrette s'ébroua direction la forêt...obéissant à la voix de son maistre
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Aloe_sonia

Sonia rit doucement. Et sentit la charrette bougeait.
Elle se retourna et vit des hommes prendre place

La charrette démarra. Ils traversèrent la ville et arrivèrent à la sortie, passèrent dans le verger et cherchaient une forêt.

Asclé qui connaissait les lieux s'arrêta, et descendit.
Elle le suivit et prit une hache.

- Ouch! elle est lourde.

Elle se pinça les lèvres et la serra dans ses mains.

- Bon on coupe quel arbre?

Elle se redressa et attendit la réponse d'Asclé'.

Mortios

Mortios qui attendi en avait marre de rester devant lentrer il essaya de trouver sonia

Mortios

Mortios entra dans la taverne de son amie il vue sonia et dit :salut ca va ?tauraitr pas une chambre pour moi?

Ophilya.

Pas le temps de répondre, que déjà les bagages étaient embarqués vers le haut et on se sait par quelle sortilège sa grande échelle vola en éclat dans les escaliers, au même moment un Messire entrait pour demander une chambre....

L'air ahuri, Ame regardait les éléments se déchainer et cherchait Scara du regard.

Ben il est passé où mon chouchou?

Puis elle se reprit en regardant Dame Sonia.

Je...je ...je boirais bien un petit verre de lait chaud sucré au miel.

Ame s'assit sur le premier truc venu, épuisée par tant de remue ménage...

Rooooo et mon maïs qui s'éparpille partout....

Aloe_sonia

Sonia entendit du bruit dans sa taverne.
Elle était dans sa chambre, près de la cuisine. Elle se leva et alla jeter un coup d'œil.

Elle ouvrit la porte et vit qu'elle ne connaissait pas la personne qui parlait.
Elle alla à sa rencontre. Elle lui sourit et vit qu'elle avait beaucoup de bagages.

- Bonsoir Dame, Je suis Sonia et soyez la bienvenue.

Elle fit signe à son domestique, pour qu'elle s'occupe de son bardas. Et lui chuchota : Mets ses affaires personnels dans la chambre du haut.

- Je fais installer vos affaires, faites comme chez vous. Je vous sers à boire?

Elle l'invita à s'asseoir.
Et reprit :

- Vous avez dit deux cœurs, mais ou elle votre moitié?

Elle sourit et l'écouta.

Aloe_sonia

Sonia les aida à mettre de l'eau sur les braises.
Elle regarda une dernière fois les cendres, les restes...
Elle alla prendre place dans la charrette, direction la ville, direction sa taverne.

Ophilya.

Nan vraiment l'hôtel était vraiment trop.......il fallait trouver mieux pour se reposer un peu, un jeune couple en voyage imaginez....
Des besaces vident de plein de trucs, des poissons séchés, une barque foutue, du bois pourri, une échelle supportable et des sacs de maïs pleins de fuites!
D'un pas trainant Ame entrainait Scara vers l'auberge.

Ohé aubergiste y'a de la place pour...deux coeurs et quelques bardas?

Asclepiade

Ils regardèrent le buché jusqu'à ce qu'il s'éteigne. La vieille servante n'avait plus d'enveloppe charnel. Elle s'en était rejoindre les dieux païens.

Une fois qu'il ne resta que des braises, ils mirent de l'eau dessus pour les éteindre. La cérémonie était fini. Il fallait rentrer maintenant. Le soir tombait...
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Aloe_sonia

Sonia se rapprocha d'Asclé et regarda le corps disparaitre dans les flammes.

Elle se disait que c'est la pire chose qu'on peut faire.
Et qu'elle irait se faire baptiser pour éviter de terminer comme ça.

Personne ne pourra lui rendre visite, pas de trace, rien...
Elle essuya son visage.
Et regarda le feu.

Asclepiade

Il la regarda et vit qu'à nouveau elle pleurait. Il n'ajouta rien et pris la torche.

Il avait pas plu depuis longtemps. C'était sec. La torche atterrit sur le buché qui prit rapidement.

Asclépiade se signa quand les flammes commencèrent à lécher le corps de cette pauvre femme et il resta jusqu'à ce que le buché soit éteint...
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Asclepiade

Arrivé à l'endroit prévu, ils descendirent de la charrette,

Il portèrent le cadavre dans ses langes.. en montant l'échelle. Deux hommes en haut sur le bucher et deux en bas, ils se firent passer le corps. Puis l'installèrent sur le bucher. Les brindilles et bois était prest.

Ils descendirent tous. Asclépiade se retourna vers Sonia.

Veux tu dire quelque chose et ensuite mettre le feu au bucher?
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Aloe_sonia

Sonia sursauta quand Asclé lui demanda si elle voulait dire quelque chose.
Elle prit sa tête entre ses mains et des larmes coulèrent rapidement.
Elle hocha la tête pour dire non.

Elle n'arrivait même pas à parler, tellement elle était triste.

Asclepiade

Il laissa quelques domestiques devant le bucher pour éviter les problèmes et ils rentrèrent à la Taverne de Sonia pour récupérer le cadavre de Rosely.

[Dans la taverne]

Sonia reste en bas. Je vais sortir cette pauvre femme avec mes gens. Pas besoin que tu l'as vois.

Ils sortirent donc la dépouille et l'attachèrent dans la charrette puis repartirent vers le bucher et son dernier endroit sur Terre.
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Aloe_sonia

Sonia resta dans la charrette et fit en sorte de ne pas les voir transporter le corps.
Elle resta dos à Rosely tout le long du chemin.
Une larme coula.
Mais elle devait être forte.

Arrivée à l'endroit, ou le bois était entreposer, elle quitta la charette.

Elle alla s'asseoir un peu plus loin et regarda la scène.
Elle n'avait pas le courage de participer.

Aloe_sonia

Sonia était devant son tas de bois.

Et, elle reprit la place dans la charrette et regarda le bois coupé par Asclé et ses amis.

Et se dit : Rien à voir.

Ils retournèrent chercher la dépouille de Rosely.
Son coeur se serra.

Asclepiade

A la fin de la journée, ils avaient récolté pas mal de bois pour faire un grand bucher.
Les brindilles de Sonia sur un côté et le bois de l'autre.

Va falloir trouver un endroit vaste et où y a peu de bois sec à côté sinon on risque de faire embraser la foret.

On va donc monter le bucher puis on la ramènera.

Il sortit la carte des environs et chercha le bon endroit...
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Aloe_sonia

Sonia qui tentait de tenir convenablement sa hache.
Rougit violemment quand Asclé', lui proposa de ramasser les brindilles.

Elle lâcha la hache et dit :

- Oui bonne idée, Asclé'.

Elle n'attendit pas sa réponse, elle alla à la recherche de brindilles.
C'est en bougonnant qu'elle fit le travail.

Elle fit son ramassage et fit des aller retour entre la charrette et la forêt.

Asclepiade

On va attaquer par ce bois là. Il a l'air d'être grand et épais. Ca fera du bon bois pour le bucher. Faut aussi prendre des brindilles sèches pour permettre la prise du feu.

Allons y Messieurs... Dame Sonia...

Il accentua sur les 2 derniers mots d'un air moqueur en la voyant galerer avec la hache.

Peut être que tu devrais récolter les brindilles Sonia. Ca serait mieux non.
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Aloe_sonia

Sonia pouffa de rire. Elle le regarda et dit, avec un air sérieux :

- Je sais conduire une charrette, je t'ai vu faire plusieurs fois.
C'est facile, tu tiens les cordes qui sont autour du coup du cheval et tu dis : UUhh Cheval et il avance.

Elle mima la scène.

- Voila, tu peux rien casser.

Elle le suivit direction : le 6, place d'Asclepiade

Aloe_sonia

Sonia arriva chez Asclépiade, au 6, place d'Asclepiade.
Elle s'arrêta pour regarder sa demeure.
Elle la trouva immense et particulière. Mais elle ne s'attarda pas dessus et se concentra sur la charrette.

- Elle est ou ta charrette?

Elle le suivit du regard et rajouta :
- Il faut des haches, tu en as?

Elle alla prendre place sur le véhicule à la place du conducteur et attendit la réaction d'Asclé'.
Elle prit une position, montrant qu'elle allait le faire démarrer.

Asclepiade

La Charrette est dans la cour extérieure près des écuries. Faut la faire atteler.

Il héla un domestique pour le faire.

Et donne nous des haches aussi. Nous allons couper un peu quelques arbres dans la forêt.

On y va que tous les deux, sonia? Ou j'en amène un peu de mes employés.

Il se retourna la chercha et la vit..... A LA PLACE DU CONDUCTEUR !!!

Il toussa fortement

Dis donc tu veux ajouter une nouvelle fonction à tes innombrables talents?? Tu vas nous faire tuer si tu conduis non?

Il sourit puis monte côté passager.

Et surtout ne tue personne pour aller dans la forêt.. Pas envie d'enterrer plus de monde...
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Aloe_sonia

Sonia se sentit un peu rassurer de voir Asclé' assis près d'elle.
Elle se poussa un peu.
Elle luit dit :

- Bon oui, Asclé', c'est mieux qu'on soit nombreux, on finira plus vite.

Elle sourit quand il parlait de ses talents, mais se rappela d'un coup qu'à Cosne il était près à la remplacer.

Elle serra les rênes entre ses mains. Car il n'allait pas la louper en cas de problème.
Elle esquissa un sourire.

Elle donna un petit coup, mais le cheval ne bougea pas.
Elle dit : Uhhh
Rien.
Elle fit la moue et rendit les rênes à Asclé'. Et dit :

- C'est toi qui lui a dit de ne pas bouger, j'en suis sur.

Elle croisa les bras, et bouda. Et elle se dit qu'il avait peut-être attelé à l'envers.

Baronsengir

Le prélat avait attendu son représentant de médecine, mais en vain. Il laissa un mot à Asclépiade avant de sortir.

Mon fils, celui que j'attendais n'est hélas pas venu. J'ai sommairement constaté son état, mais en l'absence de preuve de son baptesme, il ne puit estre possible de lui donner funérailles. Elle ne peut estre enterrée dans le cimetière afférent à l'église, aussi vous enjoins-je à l'installer parmi les tombes des non-baptisés, à l'extérieur de la ville, ou de lui confectionner buscher funéraire, là où ira votre préférence.

Messe ne pourra lui estre consacrée, mais si l'un proche souhaite dire quelques mots sur elle à la messe de dimanche, qu'il prévienne l'officiant avant que la cérémonie ne débute.

Pax vobiscum,
BaronSengir, évesque d'Autun

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Asclepiade

Asclepiade s'était absenté quand il rentra à l'Auberge, plus de curé. Où donc était il passé?
Il le chercha en vain lorsqu'il vit un message pour lui.

Il lisa donc le parchemin signé de la main de Monseigneur qui lui détaillait la marche à suivre. Il faudrait qu'il aille le remerciait.

Allant voir Sonia, il lui fit lire la lettre.

Bon Sonia tu vois ce qu'il nous reste à faire? On s'y met quand? Le plus tôt possible je pense.

Voyage à Cosne et retour sur Dijon qu'aujourd'hui. Désolé pour la suite du rp.

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Aloe_sonia

Sonia s'était tôt, et était restée dans sa chambre.
Elle se leva et fit sa toilette.
Face son miroir, elle se brossait les cheveux quand elle vit entrer Asclé.

Il lui tendit un papier, elle se retourna et le prit et le lut.
Elle leva les yeux vers lui.

- Oui, Asclé, faisons le nécessaire.

Asclepiade

On va lui faire un antique bucher funéraire. Donc on aura besoin de beaucoup de bois et de l'huile.

Avec la charrette on transportera d'abord le bois puis ensuite on l'amènera pour la faire brûler?

Et il attendit la réponse
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Aloe_sonia

Sonia se leva et acquiesça d'un hochement de tête.

- Je m'occupe du bois, je peux prendre ta charrette?

Sonia le regarda et reprit :

- Où tu viens avec moi, on va couper du bois dans la foret.

Elle attendit sa réponse et prit la mantel que Fallam lui avait donné à Cosne et le mit.

Asclepiade

Bon allez je viens avec toi. tu serais bien capable de me casser charrette maladroite comme tu es !!! Heureusement que tu sais cuisinier, soigner, faire la secrétaire et masser sinon rha la la

Allez faut passer chez moi avant récupérer la charrette et ensuite on pourra aller couper du bois dans la forêt.

Il prit son mantel direction le 6, place d'Asclepiade
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Asclepiade

A peine avait il fini de fermé la porte qu'il entendit son nom qu'on appelait :

Aloe_sonia a écrit:

- Asclé...

Ne sachant pas s'il avait cru entendre son prénom, il ouvrit de nouveau la porte, entra et souffla :

Oui Sonia tu m'as appelée? Qu'as tu?
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Aloe_sonia

Asclé apparut et lui parla et elle lui dit :

- Viens, s'il te plait. Tu veux bien rester près de moi, jusqu'à ce que je m'endorme, j'ai un peu peur.

Sonia se redressa et s'assit dans son lit et l'invita à s'asseoir près d'elle. Et reprit :

- Merci Asclé, pour tout ce que tu fais pour moi, merci.

Elle se remit à pleurer.

Asclepiade

Asclepiade écouta donc ce qu'elle avait à dire. En temps normal, il aurait trouvé la demande estrange mais la pauvre Sonia venait de découvrir sa première morte. Elle était encore sous le choc de la macabre découverte quand elle lui demanda :

Citation:

- Viens, s'il te plait. Tu veux bien rester près de moi, jusqu'à ce que je m'endorme, j'ai un peu peur.

Il réfléchit un peu puis écrivit rapidement un mot pour Robi qu'il fit envoyer chez lui pour pas qu'elle s'inquiète.

D'accord Sonia je reste près de toi jusqu'à ce que tu t'endormes.

Il enleva ses bottes, restant en braies et chemise et s'assit près d'elle. Elle le remercia et voila qu'elle se remettait à pleurer.

Aie aie, c'était bien sa veine. A ce rythme là, il allait devoir estre là toute la nuit!! La regarder, assise et pleurer c'était pas trop son truc.. alors il l'a prit dans ses bras et s'allongea sur un costé, Sonia dans ses bras, pleurant toujours... mais en adoptant une position propice au sommeil..

Il la serra le temps qu'elle se calme et surtout qu'elle s'endorme..enfin...

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Aloe_sonia

Sonia esquissa un sourit quand Asclé, accepta de rester. Elle se sentit rassurée.
Elle se poussa un peu pour lui laisser de la place. Elle le regarda se débarrasser de ses bottes et écrire un message.

Elle s'allongea, et se blottit contre lui, et se laissa bercer.
Elle se calma doucement et elle lui dit :

- Asclé, qu'est qu'on fait? J'ai envie de partir, quitter quelques jours Dijon, il faut que je m'aère la tête.

Elle se redressa pour le regarder et reprit :

- Je ne pensais pas que la mort de Rosely allait me toucher à ce point.

Asclepiade

Asclé était donc resté près d'elle puisque elle avait subi un sacré choc.

Une fois qu'ils étaient bien calés, l'un contre l'autre, elle se mit à parler et il l'écouta :

Aloe_sonia a écrit:

- Asclé, qu'est qu'on fait? J'ai envie de partir, quitter quelques jours Dijon, il faut que je m'aère la tête.

Elle se redressa pour le regarder et reprit :

- Je ne pensais pas que la mort de Rosely allait me toucher à ce point.

Il la regarda quand elle se redressa puis se mit à parler :

Oui j'ai vu cela. La première fois cela fait toujours un choc mais après tu t'y habitues un peu plus mesme si ce n'est jamais agréable.

Si tu veux Sonia, on peut partir vers Cosne. Le départ est demain. Robi doit y aller pour affaire. Si tu veux venir avec nous. Il n'y a pas de problème. Comme cela, on voyagera à nouveau tranquillement. On doit rester 4/5 jours... Qu'en dis tu??

Et il attendit qu'elle réponde...
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Aloe_sonia

Sonia se blottit contre lui, en l'écoutant.
En se redressant, elle sentit un courant d'air froid.
Elle remonta le drap et profita de la chaleur de son corps.

Ils partaient, pour Cosne, elle ne connaissait pas ce village, mais Angel, lui en avait parlé.

Elle s'imagina sur la route, peut etre une solution, une issue à sa tristesse.

- Ben...

Elle pensait à sa taverne. Mais chassa cette pensée, non elle demanderait à personne de la garder. Elle ne voulait pas que quelqu'un y meurt.

- Oui Asclé', je veux bien vous suivre. Merci de me le proposer.

Asclepiade

Elle avait accepté l'idée du voyage alors il lui répondit :

D'accord Sonia. Nous partirons demain donc. Prépare ce que tu veux pour voyager mais amène pas toutes tes affaires hein??

Et il resta comme çà, le drap presque sur leurs testes... Sonia, blottie contre lui... attendant qu'elle réponde ou s'endorme...
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Aloe_sonia

Elle se surprit à rire doucement quand il parlait de ses affaires.

- Ne t'inquiète pas, Asclé', je serai raisonnable.

Elle lui tourna le dos et se cala contre lui, et elle commença à dormir.

- On dort Asclé, demain on doit être en forme?

Elle cacha son visage sous les draps, pour rire, en imaginant sa tête.

Asclepiade

Asclepiade l'écouta parler. Il sourit quand il sentit qu'elle riait. C'est bien une femme pensa t il puis elle reprit :

Aloe_sonia a écrit:

Elle lui tourna le dos et se cala contre lui, et elle commença à dormir.

- On dort Asclé, demain on doit être en forme?

Elle cacha son visage sous les draps, pour rire, en imaginant sa tête.

Il y croyait pas. Elle pleurait y a pas longtemps et voila que presque elle lui disait quoi faire et le gronder. C'était pas possible ça.... Non mais il commençait à rouspéter intérieurement.. mais ne pu s'empêcher de dire :

Ben voyons....dis que je t'empêche de dormir quand tu y es??? Je rentre chez moi si je t'embête Mademoiselle Sonia....

Sourit attendant sa réponse...
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Asclepiade

Il l'écouta parler et sourit et dit

Oui je reste pour cette fois ci.

Puis il commença à sombrer dans le sommeil...car demain c'était le départ pour quelques jours..
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Aloe_sonia

Sonia sursauta quand il dit qu'il allait parti, et l'attrapa par le bras.

- Non, non ne pars pas, je te taquine.

Elle se retourna pour le regarder et reprit :

- Tu as réussi à me faire rire, depuis cette triste histoire , reste.

Elle le serra dans ses bras, et sourit rassurée.

Aloe_sonia

Sonia était entrain de préparer son fameux civet aux pruneaux quand elle entendit et vit la porte s'ouvrir.

- Asclé'.

Elle lui sourit et l'écouta :

Citation:

Sonia,

J'ai fait mander l'Evesque et il a besoin de toi pour avoir connaissance de la vie de la défunte. Pourrais tu venir avec moi pour en discuter au premier étage?

Elle sourire disparu au fil des mots d'Asclé. Elle se lava et la main et le suivit.
Vers la chambre, elle lui murmura :
- Mais Asclé, je ne sais pas si j'aurai la force de regarder le corps.
Son visage commença à devenir blême.

Il tenta de la rassurer, et elle esquissa un sourire.

Elle entra dans la chambre et salua le beau blond. Elle resta à la porte et répondit à la question de l'evesque, des larmes coulaient, elle ferma les yeux et dit :

- C'est une voyageuse, qui vient de Milliau, du Duché de Comté de Rouergue, elle est venue avec sa gouvernante Froncine, elle a un cheval et un ane qui sont dans l'écurie affaiblis.

Sonia essuya doucement son visage et reprit son souffle et continua :

- Elle avait un fils qui est décédé et une fille Ange qu'elle a laissé à son père. Je ne sais si elle était baptisé, et toutes ses affaires sont là.

.charmeur.

oukile ayant rencontre la dame dans la journee passa par l'auberge . il poussa la porte et ne voyant personne au comptoir s asseya et attendit
de son regard parcoura l'interieur de l'auberge ...la trouve si jolie ...se dit.. elle est comme la dame pleine d'elegance et de charme

apres un moment d attente se dit qu'il devrait manifester sa presence

hé..ho...y a t'il une aubergiste dans la salle ?

rit doucement et attendit...

Aloe_sonia

[Dans la Chambre de Rosely...]

Sonia regardait Asclé et le beau blond faire le nécessaire pour Rosely.
Quand elle entendit quelqu'un appelé dans sa taverne.

Citation:

hé..ho...y a t'il une aubergiste dans la salle ?

Elle les quitta et alla jeter un coup d'œil. Elle en profita pour essuyer ses larmes.
Arrivée en haut des escaliers, elle regarda et reconnu Oukile, le fils de Oukile de Dijon.

Elle descendit pour le rejoindre.

- Salut toi! Comment vas tu?

Elle lui servit à boire.

- Je suis contente de te voir, tu as passé une bonne journée? J'espère que tu passes la nuit, ici? J'ai des chambres de libre.

Elle lui sourit et l'écouta.

.charmeur.

apres un moment il entendit une personne venant du haut...il leve le regard et appercoit Aloe ..il ne pu se retenir de sourire ne sachant pas se qu'il se passait la haut

Citation:

- Salut toi! Comment vas tu?

bein ouais je vais bien et toi ?

elle lui servit a boire..son regard ne la quitte pas ..

Citation:

Je suis contente de te voir, tu as passé une bonne journée?

bein heu oui tres bonne et en lui souriant et toi ?

Citation:

J'espère que tu passes la nuit, ici? J'ai des chambres de libre.

bein disons que j'ai deja trouve un lieu pour dormir ..la bas pres des vergers..

toujours avec le sourire il rajouta

mais c est tres gentil de me le proposer ...ca a l air tres chaleureux ici

remarque quelle a les yeux rouge ...la fixe du regard ...

tu vas bien ? tu as l' air heuuuuuu comment dire...triste....comme si tu vennait de pleurer

la regarde.....

Aloe_sonia

Sonia le regarde et l'écoute. Il préférait dormir dehors.
Elle respecta son choix.

- Dommage, tu loupes quelque chose Oukile. Mais tu peux changer d'avis, tu seras le bienvenu.

Son coeur se serra quand il parla de ses yeux. Elle qui pensait qu'il ne remarquerait pas.
Elle esquissa un sourire, mais son sourire était triste. Une larme commença à couler sur sa joue.
Elle détourna son regard. Et baissa sa tête. Et elle commença à lui raconter.

.charmeur.

Citation:

Dommage, tu loupes quelque chose Oukile. Mais tu peux changer d'avis, tu seras le bienvenu

merci c est gentil mais oui je verrais plus tard si je reste viendrais passe un moment chez toi

la regarde et se dit comme a son habitude "ne te mele pas de sa ouk surement une histoire de coeur"...il continua a boire doucement mais sans quitter son regard .

il remarqua quelle se retourne mais ne dis pas mot
puis il l entendit lui raconter se qu il y avait dans l'auberge

il ne pu que ecouter en silence en se disant bein mince ....

il attendit quelle ai fini et lui dit

puis-je vous offrir un verre pour vous remonter ?

Aloe_sonia

Sonia sanglotait, le fait de raconter, le fait de se remémorer la scène...
Mais elle devait se ressaisir.

Elle accepta son verre et commença à boire doucement. Elle leva les yeux vers les escaliers, et vit quelqu'un arriver.

Elle n'arrivait pas bien à le discerner ses yeux étaient remplis de larme.

Asclepiade

Asclepiade avait entendu quelqu'un parlait et cette voix ne lui disait pas trop alors il alla descendre pour savoir qui était présent.

Il arriva sur au rez de chaussé et vit Sonia pleurer de nouveau et oukile près d'elle.

Ne sachant pas trop pourquoi elle pleurer exactement il décida de faire peur a Ouki

dis donc toi le fils de ton père. Tu as de drôle de manière de faire pleurer ma secrétaire non mais. Attends un peu je vais t'apprendre les bonnes manières

Et il se fit méchant tout en se marrant interieurement.

Puis il alla vers Sonia et la prit dans ses bras..

allons allons sonia ne pleure plus va.

Il la berçait un peu en disant cela..
_________________

Aloe_sonia

Sonia eu un peu peur quand elle reconnut Asclé.
Elle eut peur qu'il lui annonce quelque chose concernant Rosely.
Elle ne supporterai pas.

Mais il s'adressa à Oukile, elle voulait répondre mais elle n'en avait pas la force.
Elle se blottit contre lui et se laissa bercer, elle se calma doucement.
Elle entendait les battements de son coeur, et elle commença à s'endormir.
Trop d'émotions, trop de fatigue...

Asclepiade

Il la tenait dans ses bras quand elle commença à s'endormir. Il la laissa fermer ses yeux et avoir une respiration calme.

dieu qu'elle devait estre fatiguée!!!

Il la souleva donc et l'amena dans sa chambre. la posa sur son lit... lui enleva les vestements superficiels, ses bottes.... et la borda comme une petite fille.

Une fois fini, il remit un stère de bois dans la cheminée et déposa un baiser dans ses cheveux.

Il lui murmura :

Dors bien sonia...

Il ferma la porte et decida de rester dans la cuisine au cas où...
_________________

Aloe_sonia

Sonia sentit les mains de Asclé', lui enlever ses bottes, et quelques vêtements superficiels.

Elle avait entrouvert les yeux quand il lui chuchota :

- Dors bien sonia...

Elle le suivit du regard et quand la porte fut presque fermée, elle le rappellera :

- Asclé...

La porte s'ouvrit.

Aloe_sonia

Sonia était seule avec Asclé' quand elle entendit une voix, la voix de Robi lui dire :

Citation:

Voilà, ton bain est prêt.
Besoin d'aide ? Je reste près de toi, si tu as besoin de quoi que se soit.

Elle se retourna pour etre sure, et elle lui prit la main et la suivit.
Elle était nue, et ne pensait à se cacher.
Elle se blottit contre Robi, et se remit à pleurer.

Elle lui murmura :
- Merci Robi, merci ...

Les mots s'étranglèrent dans sa gorge, elle voulait lui dire, lui expliquer la situation, mais c'était au dessus de ses forces.

Elle la suivit et pris place dans la baignoire, la chaleur du bain l'envahit et elle plia ses jambes contre elle et posa sa tête sur ses genoux.

Robinettedesbois

Son sourire n'avait pas quitté ses lèvres... Comment pouvait-elle sourire en pareil moment ? Elle ne savait pas. Mais elle ne pouvait faire autrement, Sonia était sous le choc, il fallait la préserver, elle !
Serrant doucement sa main dans la sienne, elle fit bien attention à elle lorsqu'elle se leva, certes elle était nue comme un vers, mais elle ne s'en soucia pas. Il fallait qu'elle se réchauffe, et qu'elle pense à autre chose.

Arrivée dans la salle de bain, et alors qu'elle ne s'y attendait pas, elle accueillit tout à coup Sonia dans ses bras, la laissant pleurer, elle glissa une main autour de ses épaules et l'autre dans ses cheveux la berçant tout doucement, lui chuchotant tout bas...

Tu n'as pas besoin de me remercier Sonia.
Je suis et je serai toujours là pour toi, n'hésites pas surtout...

Elle ne pouvait parler, cela était totalement compréhensible, le choc, l'émotion. Elle devait tout d'abord se détendre surtout !
La laissant donc entrer dans le bain, elle la laissa s'installer. Allant prendre de quoi la laver, elle s'occupa tout d'abord d'attacher ses cheveux. Mais sa main resta cependant en suspend, avant de commencer, là elle lui demanda dans un murmure...

Tu me fais confiance ?
Détends toi, ne pense à rien...

Debusy

Toine arriva en courrant a la taverne de sonia d'où il avait entendu des cris
Il arriva et entra dans la taverne

Il y a quelqu'un ?

Il attendait qu'on lui repond et en profitait pour reprendre ses forces
_________________
Antoine Debusy,
Vicaire de Dijon

Aloe_sonia

Sonia était détendu, et apprécier la présence de Robi.
Elle a toujours été douce et à l'écoute. Et elle la défendait toujours contre Asclé'.

Elle se laissa faire, et essayait de moins penser à Rosely.

Robi l'aida à quitter le bain et après s'être sécher la peau, elle alla se coucher.

Bc_rich

L'aube brumeuse...sans doute l'instant que BC préfèrait. Ce moment magique où tout pouvait étre et rien n'était vraiment.
A pas de loups il s'était glissé hors de la ville pour relever ses collets. Il ne fût pas peu fier voyant le beau lièvre qui se débattait encore la patte prise. Il sourit repensant à ses débuts, à la patience qu'avait eu son épouse pour l'instruire.
Un coup bien placé et l'animal fut dans sa besace. Il s'en retourna en ville. La beauté du brouillard avait cependant son désavantage. Ne connaissant pas encore bien la ville, il se perdit à maintes reprises avant de trouver enfin la porte de la taverne.
Aucune lumière....il actionna la clanche et poussa. Pas de résistance...il entra précosionneux déviter tout grincement.
Juste un temps d"arret pour laisser à ses yeux le temps de à l'iposante masse du comptoir de se modeler dans l'obscurité.
Il s'approcha zt y déposa le lièvre. Entre les pattes encores tièdes il glissa un mot:

" En remerciement pour votre accueil chaleureux. Le gourmand que je suis n'a pas oublié votre spécialité...et la mine sa creuse! Amicalement BC_RICH"

Il disparut rejoindre l'humidité des boyaux de pierre.

Aloe_sonia

Sonia se réveilla tout doucement, ses yeux restèrent un moment à fixer le plafond, comme si elle attendait une réponse ou quelque chose qui lui dirait que ces derniers évènements étaient un rêve.
Mais, rien...

Elle se leva, fit une toilette rapide.

Il faut te reprendre ma belle, tu as une taverne-auberge à faire marcher, se dit-elle.

Elle décida d'aller faire un tour et de tout reprendre en main.
Elle s'habilla légèrement et descendit.
Elle commencerait par le bas, pour pouvoir déjà donné une image de bonne tenue de sa taverne.

Elle commença à se parler:
- Bon, j'aurai bien préparer un civet aux pruneaux, donc j'irai au marché pour le lapin, ensuite je nettoie tout... Et il faut pas que j'oublie l'écurie.

Elle eut un sursaut en pensant à l'écurie :

- Oh les chevaux de Rosely! Ils doivent être mort de faim...

Tout en descendant elle énumérait toutes les taches. Quand elle aperçut, sur le comptoir, un animal mort.
Elle hata le pas, et remarqua qu'il était accompagné d'un message :

Citation:

" En remerciement pour votre accueil chaleureux. Le gourmand que je suis n'a pas oublié votre spécialité...et la mine sa creuse! Amicalement BC_RICH"

Elle se surprit à sourire.

- Merci souffla t-elle, moi qui voulait en préparer un, dieu fait bien les choses.

Elle alla dans sa cuisine, qu'elle rangea et nettoya en premier et commença à préparer son civet.

Tout en le préparant, elle se dit il faut que je lui envoi un message, pour qu'il vienne, nous le mangerons ensemble.

Baronsengir

Merci mon fils.

Le blond commença à inspecter le corps... mais il lui manquait connaissances médicales. C'est bien pour cela qu'il avait pris soin de faire appel à quelqu'un de particulier. Griffonnant un message, et nom et adresse du destinataire au dos, il fit demander employé de l'auberge auquel il confia la missive à faire livrer d'urgence.

Revenant vers Asclépiade.

J'ai fait mander spécialiste, qui m'aidera dorénavant à chaque funeste occasion. En attendant, pourriez-vous me faire résumé de la vie de la défunte, et ce qu'il en est de son appartenance ou non à la communauté des aristotéliciens baptisés?
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Asclepiade

Asclepiade attendait patiemment quand l'Evesque revient vers lui

Baronsengir a écrit:

J'ai fait mander spécialiste, qui m'aidera dorénavant à chaque funeste occasion. En attendant, pourriez-vous me faire résumé de la vie de la défunte, et ce qu'il en est de son appartenance ou non à la communauté des aristotéliciens baptisés?

Monseigneur,

Je ne puis vous en dire plus, ne l'ayant vu qu'une fois avant mon départ de Dijon. Je sais juste que c'était une servante mais la propriétaire des lieux, Dame Sonia, y sera y répondre mieux que moi mesme.

Je vais de ce pas la chercher

Et Asclépiade descendit les escaliers à la recherche de Sonia qu'il trouva en cuisine.

Sonia,

J'ai fait mander l'Evesque et il a besoin de toi pour avoir connaissance de la vie de la défunte. Pourrais tu venir avec moi pour en discuter au premier étage?

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Baronsengir

Son diacre s"était rendu en la taverne dont il avait entendu rumeurs de grande agitation. Mais il ne put lui en dire plus avant son départ de Chalon. L'evesque demeura lors au presbytère, le nez plongé en ses parchemins.
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Asclepiade

Asclepiade après avoir aéré les pièces et vetue décemment la vieille alla croit au presbytère chercher l'Evesque pour voir ce qu'il devait faire.

Il entra dans le lieu après avoir frappé et qu'on l'ai reçu.

Il s'agenouilla et baisa l'anneau avant de de le saluer comme ceci :

Pax vobiscum, pater.

Monseigneur

Nous avons une morte en l'auberge taverne de Dame Sonia. J'ai besoin de vous pour prendre la suite. Cette pauvre femme mérite d'estre enterrée dignement auprès du Très Haut.

Si vous voulez je puis vous montrer le chemin?

Et il attendit une réponse....
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Baronsengir

Snif même pas qu'on vient me chercher dans mon vrai presbytère.

L'évesque reçut le fidèle qui était venu le consulter au presbytère.

Le bon jour mon fils. Une morte? Et c'est maintenant que l'on me prévient? Bon, mène moi là-bas. J'aurai à appeler quelqu'un de ma connaissance si besoin.
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Asclepiade

ARf désolé j'y ai pas pensé

Oui Monseigneur je vous mène de ce pas à l'Auberge. Si vous voulez bien vous donnez la peine de me suivre?

Et ils partirent à travers les rues de Dijon pour finalement arriver en la Taverne de Sonia. Ils montèrent dans la chambre de la vieille au premier étage.

Voila, Monseigneur. La trépassée repose sur le lit. J'ai juste remis en place ses affaires. Si vous avez besoin d'aide, n'hésitez pas je serai derrière la porte le cas échéant

Il attendit que l'Evesque parle...
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Asclepiade

Robinettedesbois a écrit:

Peux-tu quitter la pièce ?
Je vais m'occuper du reste, ne t'en fais pas...
Vas aider Angel, elle doit en avoir besoin...

Le bain prest, Robi qui arriva sur ces entrefaites le congédia rapidement quand Sonia commençait à se dévestir.

Dommage se dit il, il verrait pas sa secrétaire avec moins de vestements. Il gagna l'étage pour aider Angel. Ils décidèrent d'envelopper le corps et de le sortir hors de la taverne pour qu'il soit préparé par les maistres embaumeurs...

Il commencèrent à mettre de l'ordre dans les affaires de la vieille femme
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Aloe_sonia

Sur son lit, Sonia s'est recroquevillée. Les larmes coulaient sur ses joues.
Des frissons parcouraient son corps.
Elle regardait Asclé' et Angel s'affairaient autour d'elle. Elle appréciait leur présence.
Elle savait que seule, elle ne pouvait rien faire.
Elle qui était pressée de rentrer, ne s'attendait pas à ça.

Asclé' préparait son bain, elle le regarda et esquissa un sourire en guise de remercie et d'acquiescement.

Elle se mit au bord du lit, pris le soin de lui tourner le dos, elle devait faire un effort, et commença à se déshabiller.

Robinettedesbois

Et Robi où était-elle ?! Oui, elle était là aussi...
Etait-ce un hasard ? Sans doute oui.
Elle avait entendu ce cri, alors qu'elle se tenait devant l'auberge, un cri à vous glacer le sang. Sonia ? Qu'était-il donc arrivé ? Pourquoi quelqu'un avait-il crié ? C'était la taverne-auberge de Sonia, lui était-il arrivé quelque chose ?

Ni une, ni deux elle était entrée à l'intérieur sans se poser de questions, et elle avait vu Sonia descendre recroquevillée dans les bras d'Ascle, les suivants jusque sa chambre c'est là qu'elle compris ce qu'il s'était passé en entendant Ascle parler à Angel. Celle-ci d'ailleurs retourna à l'étage.

Le laissant faire sle bain de Sonia, elle alla se place près d'elle, ne disant mot, lui prenant juste la main. Jusqu'à ce qu'elle commence à se déshabiller...
Là elle se releva et alla voir Ascle...

Peux-tu quitter la pièce ?
Je vais m'occuper du reste, ne t'en fais pas...
Vas aider Angel, elle doit en avoir besoin...

Et de le tirer par le bras pour le faire sortir de la pièce, faisant attention à ce qu'il ne voit plus que le dos de Sonia...
Une fois dehors, sans possibilités de ronchonneries, elle alla voir le bain et revint vers Sonia, lui annonçant tout bas...

Voilà, ton bain est prêt.
Besoin d'aide ? Je reste près de toi, si tu as besoin de quoi que se soit.

Lui tendant la main avec un sourire rassurant, elle attendit donc...

Asclepiade

Asclé revenait de Langres avec charette et dijonnaise plus une joinvilloise. Il alla d'abord déposer Robi chez lui et Misan qui habitait tout près puis il amena Sonia à sa taverne. Elle sauta lestement tout en mettant la couverture sur elle et l'invita :

D'accord Sonia je viens prendre un verre. Ca me fera du bien.

Il posa charrette et cheval et entra se rafraichir

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Aloe_sonia

Elle attendit qu'il soit à sa hauteur pour entrer dans sa taverne.
Elle avait hâte de voir ses amis, et surtout Rosely et Froncine.
Elle avait des cadeaux à leur remettre, elles avaient acceptés de garder, et d'accueillir les clients, pendant son absence.

Elle poussa la porte, et tout était calme, mais elle fut accueillit par une odeur.
Une odeur, soutenable, mais insupportable.

Elle jeta un coup d'oeil rapide vers Asclé'. Elle avait un peu honte de voir que sa taverne sentait...

Elle entra et observa l'intérieur, espérant trouver une explication. Et elle commença à appeler :

- Rosely, Froncine... Y a quelqu'un?

Elle posa son baluchon et monta d'un pas rapide vers les chambres.

Elle ouvrit doucement la première porte, la seconde et elle ne vit personne. Elle se dirigea vers celle Rosely. Son coeur commença à battre plus fort, elle angoissait.

Elle ouvrit la porte et elle cria.

Angel

Angel qui avait franchie la porte de la taverne de Sonia l'entendit crier son amie,elle se precipita pour voir ou elle etait et monta l'escalier le plus vite possible puis l'apercue au loin

Sonia ca va? qu'est ce qui t'arrive?pourquoi tu as crié?
elle s'avanca doucement pres de son amie

Asclepiade

Aloe_sonia a écrit:

Elle jeta un coup d'oeil rapide vers Asclé'. Elle avait un peu honte de voir que sa taverne sentait...

- Rosely, Froncine... Y a quelqu'un?
Elle ouvrit la porte et elle cria.

Asclé entra à sa suite et remarqua que l'endroit était fort calme... comme si la Mort était dans le coin.

La taverne sentait une odeur étrange, odeur qu'il avait déjà rencontré dans le passé.. odeur de la décomposition des corps...qu'on entassait sur les champs de bataille.

Sonia appelait mais en vain...

Il allait dire quelque chose et la prévenir mais trop tard elle ouvrait la porte et criait..

Alors il monta vite en espérant se tromper mais il y avait peu de chance...
_________________

Aloe_sonia

Sonia n'en croyait pas ses yeux.
Elle courut vers Rosely, elle était parterre, face contre terre. Elle l'a souleva doucement espérant...
Mais elle était sans vie.

Elle vit Asclé et Angel près d'elle, ses yeux étaient rempli de larmes. Elle s'adressa à Asclé :

- Asclé, fait quelque chose, aide la, aide moi, s'il te plait fait quelque chose, Angel ...

Elle commença à sangloter. Elle fut envahi par de la tristesse et par un sentiment d'incompréhension.

- Mais qu'est ce qui s'est passé? Ou est Froncine?

Elle commença à se sentir mal. Elle s'en voulait. Si elle lui aurait pas demandé de rester pour sa taverne. Elle serait vivante.

- Voilà, ton égoisme à couter la vie à une personne, se disait elle.

Elle essaya de se lever, mais ses pieds commençait à vaciller.

Aloe_sonia

Citation:

Alors il l'a pris dans ses bras et la força à se relever...

Sonia sentit des bras l'entourer et elle se blottit dans ses bras, pour pleurer. Elle n'arrivait pas à y croire.

Citation:

Allez Sonia du courage. Il n'y rien que nous puissions faire. Son heure était venue...

Elle hocha la tête, mais ses yeux restèrent figer sur le corps inerte de Rosely.
Il y a quelques heures, quelques jours, elle rigolait avec ses amis, alors que peut être, c'est sur même, Rosely était entrain d'agonir. Si elle était rentrée avant peut être que...

Ses larmes recommencèrent à couler.

Asclepiade

Aloe_sonia a écrit:

Sonia sentit des bras l'entourer et elle se blottit dans ses bras, pour pleurer. Elle n'arrivait pas à y croire.

Ses larmes recommencèrent à couler.[/i]

Il l'avait prise dans ses bras et voila qu'elle restait entre les siens et elle se mit à pleurer.
Il resta donc là, stoique avec sa blonde secrétaire en train de lui ravager ses vestements.

Il ne dit mots et commença à la bercer...tout en la laissant pleurer.

Une fois qu'elle aurait fini de pleurer, elle se sentirait plus soulagée alors il la laissa prendre son temps tout en l'enlaçant fort pour qu'elle sente qu'elle n'était pas seule..toute seule...dans son chagrin.
_________________

Angel

Angel vit le corps sans vie de Rosely,elle prit un drap blanc dans l'armoire de la chambre de celle ci et le posa delicatement sur Rosely puis fit un signe de croix,elle regarda son amie qui recommencait a pleurer et alla pres d'elle

Asclé a raison, on peut plus rien faire,faut que tu sois forte ,nous sommes la pour t'aider et surmonter ca,et surtout ne te crois pas coupable de ne pas avoir etait la,je te connais tu dois penser ca,ca n'aurai surement rien changer.

elle donna un mouchoir a son amie et lui prt la main

redescendons,rester dans la chambre ne la fera pas revenir on va discuter de ce qu'on va faire maintenant

Asclepiade

Angel... a écrit:

redescendons,rester dans la chambre ne la fera pas revenir on va discuter de ce qu'on va faire maintenant

Oui tu as raison Angel.

Il prit Sonia dans ses bras et la souleva. Elle était pas en état de marcher.
Il la descendit donc et décida de l'amener dans sa chambre. Elle tremblait d'effroi.

Il la posa sur son lit, tremblante puis il dit a Angel.

Ouvre les fenestres du haut de la taverne pour chasser cette odeur. Je vais mettre des stères dans cette cheminée et lui préparer un bain chaud. La pauvre est encore sous le choc.

Ensuite nous sortirons le corps et il sera préparé pour la cérémonie religieuse.

Maintenant va Angel et reviens vite. Il faudra que tu lui enlève ses vestements.

Il la regarda de temps en temps pour savoir où elle en était et commença à chauffer l'eau froide pour lui faire un bain très chaud. Quand l'eau fut parfaite, il rajouté au bain que voici, des herbes qui amènent le repos et le calme...

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Asclepiade

Aloe_sonia a écrit:

- Asclé, fait quelque chose, aide la, aide moi, s'il te plait fait quelque chose, Angel ...

Elle essaya de se lever, mais ses pieds commençait à vaciller.

Asclépiade arriva rapidement et vu la raideur de la vieille. Il était trop tard et depuis quelques temps déjà. Il n'y avait plus rien a faire pour elle.

Heu Sonia, c'est fini. Il y a plus rien à faire. Elle est morte et voila. Nous pouvons que l'enterrer et prier pour son asme.

Il remarqua que pour Sonia c'était dur et qu'elle n'arrivait pas à ce relever. Alors il l'a pris dans ses bras et la força à se relever...

Allez Sonia du courage. Il n'y rien que nous puissions faire. Son heure était venue...
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Mortios

Mortios qui était rentrer a Dijon passa a la tverne de sonia puis dit : Bonjour il a quelqun

Marylise

Elle était au bar quand elle vie Mortios arrivé.

"salut Mortios comment vas tu? quoi de neuf ?"

Elle lui sourit et lui fit la bise

Puis elle lui servie un verre et elle s'asseilla à une table avec lui.

"Alors tu as fait bonne route Mortios? Si tu as besoin d'aide je suis la Mortios en attendant que ma soeur revienne et je te montrerai ta chambre. Appelle moi en cas de besoin je suis toujours en bas"

Elle lui souria et se servie une tisane.
"A ta santé et j'suis contente de te revoir; sa me fait très plaisir"

Puis Athia resta sur sa chaise et discuta un long moment avec Motios....
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Mortios

oui je vais bien rien de neuf oui j'ai fait bonne route sa me plaisir de te revoir aussi

Puis il souria

Ellana...

Ellana entra dans la taverne de sa charmante fille, une lettre a la main. Elle cherchait quelqu'un...

Dame Froncine? Vous etes la? J'ai besoin de m'entretenir avec vous quelque instant si vous me le permettez

Elle s'assit en attendant une reponse
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Marylise

Athia vit sa mère en bas, assise a attendre quelqu'un.

"Maman?? tu fais quoi? tu attend quelqu'un??"

Elle fit la bise à sa mère et s'asseya.
Puis lui demanda:
"Tu veus boire quelque chose?"

Elle attendait une réponse..puis discuta un moment avec sa mèe...
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Mortios

Mortios qui avait bien discuté dit :Au fait c'est la quel ma chambre ?Car je commence a fatiguer puis il attendit la reponse

(jsuis trop content je suis encore sur la halle de Dijon)

Aloe_sonia

Sonia arriva de Langres. Asclé qui conduisait sa charrette, accepta de la déposer devant sa taverne.

Sonia était assise dans la charrette, elle commença à rapprocher son baluchon près d'elle. Elle le regardait le paysage, et son coeur se rempli de joie, elle était enfin à Dijon.

Il s'arrêta et elle sauta du moyen de locomotion, elle prit la couverture et se couvrit, il faisait froid.

Elle alla près de Asclé' et lui dit :

- Viens un moment, boire quelque chose de chaud avant de rentrer chez toi?

Elle lui sourit et attendit sa réponse.

Asclepiade

Aloe_sonia a écrit:

- Comment vas-tu Asclé? Tu manges?

- Tu as bien dormi? Tu es prêt pour partir.

Je vais MAL sonia MAL et MAL et oui je mange

J'ai tres bien dormi a part que mon dos me chauffait. A cause de ta défection j'ai mal au dos. Ta servante m'a littéralement torturé le dos c'est une honte. Enfin après cela allait mieux mais cela a bousillé ma nuit.

Je voulais TOI moa

!!!!

Enfin j'espère que tu es preste car on part tout a l'heure. Et ce soir sur les routes tu auras interet a te faire pardonner.

_________________

Aloe_sonia

Sonia commença à rire en écoutant Asclé' se plaindre.

- Tu voulais moi? mais l'importance c'est que tu sois bien accueillit.

Elle essuya les larmes de rire qui naissait dans ses yeux.

- Je suis prête Asclé', j'aurai voulu te présenter Rosely, je vais lui laisser ma taverne. Elle est très gentille.

Elle sourit et reprit :

- Tu as préparé tes affaires? tu es prêt?

Elle le regarda et l'écouta.

Asclepiade

Aloe_sonia a écrit:

- Tu as préparé tes affaires? tu es prêt?

Mouais pas sur que l'accueil suffise. Enfin enfin oui pourquoi pas me présenter ta remplaçante. Elle sera peut être mieux experte en bain hein??

Tu as de la chance que mon fouet sois resté chez moi sinon tu y aurais eu droit

Enfin demain matin tu t'occuperas de la cuisine voila pour toi .

Oui tout est prêt je crois qu'on peut y aller tranquillement.

J'ai pris ma charrette si tu es fatiguée tu pourras te reposer dessus.

Et il continua de manger pour prendre des forces...
_________________

Aloe_sonia

- Je voulais te la présenter, car c'est une amie.

Elle rit doucement en se disant qu'il n'arrivait pas à accepter.

- Je te promets que prêt de Robi' tu oublieras ça, elle saura s'occuper de toi.

Elle lui tira la langue et rit.

- C'est gentil pour la charrette, je pense que je montrais dessus dès le début de l'aventure. Asclé, on reste pas longtemps? On revient vite?

Elle commença à avoir les larmes aux yeux, elle fut triste de quitter Dijon, mais elle devait le faire. Elle détourna un peu le visage pour éviter qu'Asclé' s'en rende compte.

Asclepiade

Aloe_sonia a écrit:

- C'est gentil pour la charrette, je pense que je montrais dessus dès le début de l'aventure. Asclé, on reste pas longtemps? On revient vite?

Elle commença à avoir les larmes aux yeux, elle fut triste de quitter Dijon, mais elle devait le faire. Elle détourna un peu le visage pour éviter qu'Asclé' s'en rende compte.

Mais non on restera pas longtemps. Histoire de quelques jours on va dire. Faut pas avoir le mal du pays...

Il l'a vit tourner la tête et se douta qu'elle allait craquer un peu alors il passa sa main sur son visage pour qu'elle puisse le regarder... lui sourit.....et l'attrape dans ses bras pour l'enlacer...

Allez Sonia... faut pas estre triste on reviendra vite... Courage va tu vas vers l'aventure et puis tu es pas seule....

Il la garda un petit peu contre lui le temps qu'elle se reprenne...
_________________

Angel

Angel entra vite fait faire un tour dans la taverne de sonia avant de reprendre la route

Coucou y a quelqu'un?je passe dire au revoir
elle attendit que quelqu'un lui répond

Imerysa

Imerysa entra dans l'auberge du chaudron buveur pour prendre un bon repas.
Sonia n'était pas là mais elle savait que Rosely et Froncine étaient là pour accueillir ses clients .

Bonjour, il y a quelqu'un ?

Imerysa attendit une réponse.
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Asclepiade

Aloe_sonia a écrit:

- Merci Asclé, c'est la première fois que je quitte Dijon, mais ne t'inquiète pas, je ne craquerai plus.

- On y va? Mais j'aurai tellement voulu dire aurevoir aux filles.

Elle se dirigea vers la sortie et regarda une dernière fois sa taverne.

Aslcepiade posa quelques écus sur la table en guise de pourboire. Puis il prit ses affaires et dit :

D'accord sois forte Sonia et haut les coeurs nous nous en allons sur les routes ...
Bon on y va maintenant sinon on y sera pas avant la nuit.

Puis lui aussi se dirigea vers la porte et quitta la taverne pour la direction de Langres
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Rosely

ne nouvelle journée.

Dans l"auberge tout semble calme, Rosely vient de se lever, elle fait un brin de toilette avant de descendre à la cuisine voir ce qui se passe. Elle sait que Froncine est réveillée car c'est elle qui est venue lui porter un broc d'eau chaude.
Elle s'habille , enfin prête , elle ouvre la porte fenêtre et fait quelque pas sur le balcon , respire un bon coup et va rejoindre Froncine .

A peine arrivée en bas de l'escalier celle ci lui dit que le petit déjeuner est servi dans la salle à manger de l'auberge.
- venez votre tisane va être froide
- j'arrive j'arrive
Que ferait elle sans sa Froncine , elle s'installe et commence à déjeuner , Froncine leur a fait du pain grillé , ils sont encore tout chaud .
Tout en mangeant elles discutent de la journée.
- dame Sonia a tout ce qui faut pour faire un civet dans sa cuisine alors je le fais pour aujourd'hui.
- j'irais chercher le pain après avoir fait les chambres
- il reste encore de la tarte
- pas grave elle est bonne le lendemain aussi
- je serais bien venue vous aider pour le linge mais il faut toujours quelqu'un à l'auberge
- pas grave Froncine je me débrouille
- je sais bien
- finissons de déjeuner , on a du travail

Les chambres faites Rosely partit au marché laissant Froncine dans ses préparatifs en cuisine.
Elle devait acheter du bon pain frais et du lait avait dit Froncine ne pas oublier le lait , au passage Rosely avait prit un morceau de tarte .
- j'ai besoin de force
- mais oui c'est ça gourmande
Elles rient toutes les deux mais la porte fermée derrière Rosely , son visage s'assombrit , elle ne pouvais pas s'en pêcher de penser à celui qu'elle aimais , même si elle savait que cette fois c'était bien fini .

De retour du marché Rosely range le lait et mes les petits pains dans une corbeille , va dans la salle à manger chercher le vase de fleurs pour les remplacer par celles qu'elle a acheté ce matin.

Elle en profite pour préparer quelques tables et pose son nouveau vase sur une petite table dans un coin de la salle, elle s'éloigne un peu pour regarder l'effet , elle sourit contente d'elle .

La salle à manger était vide pas un seul client , Froncine avait fait son civet qui sentait bon dans la cuisine, il restait de la tarte et elle avait de la crème dans de petits ramequins .
- pas un client
-ben non mais moi je veux bien jouer la cliente j'ai faim
- roooh! alors vous
- ben quoi j'ai pas le droit de manger peut être?
Rosely rit en se mettant à table , Froncine la regarde et dit .
- apres tout ça serait dommage pour le civet je reviens avec le plat
Elle revient donc avec le plat et se mit à table aussi .
- bon appétit dame
- bon appétit Froncine

Aloe_sonia

Sonia sentit la main de Asclé' sur sa joue, et sentit qu'une larme commencé à perlé sur ses joues.

C'était la première fois quelle allait partir, elle appréhender.
Mais elle savait qu'elle était entourée.

Elle esquissa un sourire et se laissa aller dans ses bras, comme pour être rassurée.

- Merci Asclé, c'est la première fois que je quitte Dijon, mais ne t'inquiète pas, je ne craquerai plus.

Elle se leva, pris son courage à deux mains et lui dit :

- On y va? Mais j'aurai tellement voulu dire aurevoir aux filles.

Elle se dirigea vers la sortie et regarda une dernière fois sa taverne.

Aloe_sonia

Sonia sortit de sa chambre avec un gros balluchon.
Elle avait mis plein de vêtement, pour la pluie, en cas d'ensoleillement et des robes.
Elle se dit : on sait jamais s'il y a un bal, elle serait prête.

Sa taverne, sentait bon la tarte, elle sentit son ventre gargouiller. Et posa doucement sa main sur son ventre.

Elle sourit et rit doucement en voyant Asclé', et imaginait sa tête quand il s'était rendu compte qu'elle n'était plus dans chambre.

- Comment vas-tu Asclé? Tu manges?

Elle lui se servit du bon lait chaud et pris une miche de pain et prit la même chose que lui et reprit :

- Tu as bien dormi? Tu es prêt pour partir.

Elle commença à manger et l'écouta.

Asclepiade

Aloe_sonia a écrit:

- C'est bon Asclé', profites en bien. Tu as besoin d'autres choses, je vais aller rejoindre les autres.

Asclépiade la regarda arriver avec tout le matériel nécessaire à un bon bain.
Il l'aida même pour le second sceau : le galant homme. Elle lui dit qu'elle lui avait préparé une potion pour bien dormir. Il verrait cela demain matin au réveil

Oui Sonia j'ai encore besoin d'autre chose. Il faudrait que tu me laves le dos. Et ensuite promis je te libère pour que tu puisses aller a tes occupations. Pourrais tu le faire, s'il te plaît? En tout cas l'eau du bain est parfaite. Je ne me brulerai pas.

Il rentra dans le bain et attendit que Sonia l'aide...
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--Froncine

- Oui Sonia j'ai encore besoin d'autre chose. Il faudrait que tu me laves le dos. Et ensuite promis je te libère pour que tu puisses aller a tes occupations. Pourrais tu le faire, s'il te plaît? En tout cas l'eau du bain est parfaite. Je ne me brulerai pas.

Froncine croise dame Sonia devant la porte de messire Asclepiade,
- chut je vais m'occuper du dos de messire
lui dit elle en souriant , montant les manches de sa chemise elle approche du messire et lui lave le dos.
- voilà messire bonne nuit à vous
Elle sort de la chambre en riant de la surprise du messire et ferme la porte derrière elle.

Rosely

atiguée Rosely se déshabille pour la nuit , elle a enfin reçu le pigeon , elle peut encore rester à Dijon .
Elle se glisse dans les draps pour une bonne nuit de sommeil elle espère.

Aloe_sonia

[Dans la Chambre de Asclé'...]

Citation:

De Asclé' :
- Oui Sonia j'ai encore besoin d'autre chose. Il faudrait que tu me laves le dos. Et ensuite promis je te libère pour que tu puisses aller a tes occupations. Pourrais tu le faire, s'il te plaît? En tout cas l'eau du bain est parfaite. Je ne me brulerai pas.

Sonia commença à rougir, c'est la première fois qu'on lui demandait ça.
Et elle se dit :
- Voila, tu remets toujours tout à plus tard, tu devrais recruter quelqu'un.

Elle le vit se deshabiller et rentrer dans la baignoire. Il lui tournait le dos, attendant qu'elle lui frotte le dos. Elle commença à rougir de plus en plus. Et se demandait comment elle allait sortir de cette situation.

Quand elle entendit Frocine lui chuchoter :

Citation:

- chut je vais m'occuper du dos de messire

Sonia fut ravie et rassurée, elle qui s'inquiètait pour sa taverne pendant son absence. Elle avait trouvé Froncine. Mais il fallait qu'elle en parle à Rosely, espérait qu'il n'avait pas prevu de partir...

Elle lui céda la place, et dès que Froncine fit à sa hauteur, elle s'empressa de lui poser un bisou de remerciement sur la joue.
Et lui chuchota, pour éviter qu' Asclé' s'en rende compte :
- Merci Froncine.

Sonia les quitta et retourna près des autres convives.

Asclepiade

Aloe_sonia a écrit:

[Dans la Chambre de Asclé'...]
Elle le vit se deshabiller et rentrer dans la baignoire. Il lui tournait le dos, attendant qu'elle lui frotte le dos. Elle commença à rougir de plus en plus. Et se demandait comment elle allait sortir de cette situation.

Quand elle entendit Frocine lui chuchoter :

Citation:

- chut je vais m'occuper du dos de messire

Asclepiade attendait que Sonia lui lave le dos et en effet on lui lave le dos mais le rythme est pas celui qu'il pensait de Sonia aussi il tourna la tête et vit .... UNE VIEILLE arggg

Enfin tant pis se dit il, elle fera certainement l'affaire. au début ca faisait mal mais ensuite cela allait mieux. Peut être qu'elle prenait de l'assurance.

Bref le bain fut surprenant.

Quand ce fut fini il la remercia poliment et s'écroula dans son lit.

[LE LENDEMAIN]

Il se leva de bonne heure car il partait sur Joinville. Il fit ses affaires et descendit à la salle commune prendre une bonne collation.

Bonjour Bonjour tout le monde .

Bien dormi??

Et il alla manger un peu
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Aloe_sonia

[Dans la chambre de Sonia...]

Voila le Jour J, Sonia partirait ce soir. Elle se réveilla avec le cœur léger, elle savait que sa taverne était entre de bonne main.

Assise sur son lit, elle se remémora le moment ou elle avait discuter avec Rosely, le moment ou elle lui avait demandé de bien vouloir s'occuper de sa taverne.
Elle était angoissé, elle ne savait si elle allait accepté.
Sachant que Rosely était en voyage, elle allait lui imposer les corvées de sa taverne et de son écurie.

Mais elle accepta.
Sonia avait les larmes aux yeux, tellement sa réponse lui était allée droit au coeur.

Elle se leva, fit sa toilette et commença à préparer ses bagages.

Rosely

près une bonne nuit de sommeil Rosely et Froncine attaquent la journée de bonne heure.
Dame Sonia avait demandé de l'aide à Rosely elle avait dit oui de suite mais elles ne seraient pas de trop à deux pour faire son travail .
A table devant leur petit déjeuner , elles parlaient du travail a faire ,
- je m'occupe de la cuisine , j'ai vu qu'il y avait beaucoup de pommes je vais faire des tartes
- moi je vais m'occuper des chambres et de la salle a manger
-je vais aller faire des achats au marché
- bon pour l'instant déjeunons on verra tous cela après .

roncine est partie au marché , pendant ce temps Rosely lave la vaisselle et la range dans le vaisselier , nettoie les tables de la salle à manger et donne un coup de balai . Voilà fière d'elle elle regarde le résultat .
Mais pas le temps de rêvasser elle monte aux chambres défaire les lits et mettre des draps propres , un petit coup de balai un coup de chiffon et le tour est joué , elle va à la deuxième .
Le temps passe vite , ça sent bon la tarte aux pomme dans toute l'auberge , après avoir fini les chambres inoccupées Rosely est venue aider en cuisine, elle pèle les pommes car Froncine veut en faire plusieurs, pendant que celle ci prépare ses rôtis à la broche , qu'elle fera tourner doucement pendant la cuisson mais il est trop tôt pour l'instant .

près le déjeuner Rosely laisse Froncine à l'auberge et va au lavoir la lessive des draps n'attend pas , profitant qu'il fait encore beau Rosely part d'un pas décidé .

De retour de la lessive Rosely pense qu'elle doit s'occuper des bêtes aussi , elle laisse la panière de linges à Froncine et court vite à l'étable .
pour commencer un peu de nettoyage , elle enlève le foin sali et en remet d'autre ,fit la distribution d'eau et de foin et d'avoine .
J'aurais bien besoin d'un bain après ça pense t'elle en riant.

Aloe_sonia

Sonia sortit de sa chambre, elle avait fait un petit somme, en essayant de trouver une solution à son problème.
Demain, elle devait partir.

Elle vit que la taverne était pleine, et que les gens étaient servis et elle en fut ravie. Mais elle se demandait qui les avait servit.

Elle savait que Mortios et Asclé', n'irait pas se servir seul, mais elle chercherait la réponse.

- Bonjour à tous, comment allez vous?

Elle remarqua une jeune fille qu'elle ne connaissait pas, elle se présenta.

- Vous passez la nuit ici? Asclé' si tu es près je peux t'accompagner dans ta chambre et comme je sais que tu aimes être propre je chaufferai de l'eau pour que tu puisses prendre un bain.

Elle lui fit signe de la suivre et lui montra sa chambre. Elle le laissa prendre ses aises et retourna dans sa cuisine chauffée de l'eau pour sa baignoire.

Asclepiade

Aloe_sonia a écrit:

- Bonjour à tous, comment allez vous?[/b]

- Asclé' si tu es près je peux t'accompagner dans ta chambre et comme je sais que tu aimes être propre je chaufferai de l'eau pour que tu puisses prendre un bain.[/b]

Asclepiade vit arriver Sonia qui lui demanda plusieurs choses.

Je viens très bien Sonia, merci. Je viens te voir comme demain je pars j'ai fermé ma demeure. Ton gigot est bon et ta bière aussi. Je me suis régalé et répu je suis.

Il se leva donc et laissa quelques écus pour le service. Il prit ses affaires et suivit Sonia vers sa chambre.

Pendant qu'elle redescendait chauffer l'eau, il s'installa et se devêtit pour la nuit gardant seulement son bas pour prendre un bon bain bien mérité.
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Aloe_sonia

Sonia retourna dans la chambre d' Asclé' avec deux seaux rempli d'eau chaude.
Elle fit attention de marcher doucement, afin d'éviter de se bruler.
Elle versa le premier seau dans la baignoire.

Et Asclé' l'aida pour le second.

- Asclé' je vais parfumer un peu ton bain.

Elle y jeta quelque feuille de rose, qu'elle avait dans ses poches.

- Ça c'est pour avoir une jolie peau

Et y jeta une potion qu'il lui était personnel, Sonia aimait concocter des postions, mais seul ses amis pouvait en profiter.

- Et ça, c'est pour que tu passes une bonne nuit.

Elle rajouta un peu d'eau froide pour avoir une bonne température, tournoya l'eau avec sa main et se redressa et dit :

- C'est bon Asclé', profites en bien. Tu as besoin d'autres choses, je vais aller rejoindre les autres.

Elle attendit sa réponse.

--Froncine

Froncine regarde les deux messires entrer en les saluant .
- bien il y a moi , bonjour messires dame Sonia n'est pas visible mais je peux vous servir
Elle fit assoir les deux hommes et leur porta un chope de bière, va en cuisine et leur sert un bon gigot
- voilà messires bon appétit pour le reste il vous faudra attendre dame Sonia moi je retourne près de ma maitresse
elle les salua et monta l'escalier rejoindre dame Rosely.

Asclepiade

Froncine a écrit:

Elle fit assoir les deux hommes et leur porta un chope de bière, va en cuisine et leur sert un bon gigot
- voilà messires bon appétit pour le reste il vous faudra attendre dame Sonia moi je retourne près de ma maitresse

Fort bien dame je vous remercie de l'accueil et de la nourriture sur la table. Je vais donc l'attendre dame sonia. N'oubliez pas ma chanbre avec une bassine d'eau chaude pour mon bain.

Et il commença à manger et boire.

S'adresse à Mortios

Allez Mortios joint toi a moi et trinquons a dijon.

Et il recommanda plusieurs chopes pour continuer son repas.
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--Froncine

A peine dame Rosely avait fermé la porte que Froncine ouvra les yeux ,elle n'avait pas rêvé sa maitresse était venue dans sa chambre, elle passa la main sur le broc qui était chaud, profite pour faire un brin de toilette, s'habille et va voir dans la chambre de dame Rosely, elle comprit qu'elle était partie laver le linge .
Elle alla dans la cuisine et prépara un panier pour deux , pains jambon fruits et vin .
Sans oublier de laisser un mot à dame Sonia .

à dame Sonia

je me suis permis de prendre de quoi manger pour ma maitresse et moi , j'espère que vous ne m'en voudrez pas trop , je vais la rejoindre au lavoir.
Merci à vous.
Froncine

elle le posa sur la table et sortit de l'auberge.

Aloe_sonia

Sonia était partie dans son bureau, au conseil municipal, elle organisait le loto et devait régulièrement mettre à jour les numéros des joueurs.

A son retour, elle était entrain de lire un message de Garg' lui avait laisser, elle devait partir quelques jours pour lui à Joinville.

Elle entra dans sa taverne, et vit un autre message de Froncine, elle le lut et sourit et se dit :

- D'accord, pas de problème. Mais mon problème est celui de laisser ma taverne à quelqu'un de confiance pendant mon absence.Elle leva les yeux aux ciel et commença à réflechir.

Rosely

n pigeon est arrivé de mon matin, Rosely en est toute retournée , il va peut être lui falloir partir de Dijon , on lui demande un nouveau LP car celui qu'elle a date un peu , pas de sa faute à elle si elle se plait en Bourgogne .

Elle devait attendre donc la réponse , elle faisait les cent pas dans sa chambre inquiète .
Froncine vient la rejoindre .
- ne vous inquiétez pas dame ça ira et si il faut repartir on le fera
- je sais bien Froncine mais je suis fatiguée
- je sais on aurait du rester à Nevers vous alliez pêcher là bas on était bien , ici vous allez travailler à la mine tous les jours c'est pas une vie ça pour une dame .
Froncine sorte de la chambre de sa maitresse.

Li.

Lili venait d'arrive ici !

Bonjour je suis lili enhanté . Je pourrais prendre commande , svp ?

Lili attendit

ouh il fait froit un peu .... Mhhh tu me diras avec ma tenue légère aussi.

Lili sourit

--Froncine

Bonjour je suis lili enhanté . Je pourrais prendre commande , svp ?
Froncine n'était point sourde elle avait entendu dame lili depuis la chambre de damr Rosely , elle continue à descendre l'escalier en regardant la dame, celle ci attendait

-ouh il fait froit un peu .... Mhhh tu me diras avec ma tenue légère aussi.
la dame sourit, froncine aussi mais n'en pense pas moins.
- dame Sonia n'est pas là que voulez vous , manger boire ou les deux ?

c'est surtout une tenue pas très époque lol

Mortios

Mortios qui avait envi d'aller voir sonia alla dans sa taverne puis dit Bonjour ya quelqun c'est Mortios

Asclepiade

Asclepiade avait promis a Sonia de venir la visiter en sa taverne. C'est donc tout naturellement qu'il entra dans la taverne.

Ola braves gens, Asclepiade arrive et a faim et grand soif. Et j'ai besoin d'un lit et un bon!!Y a quelqu'un???
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Rosely

vant le déjeuner Rosely avait envie d'aller faire un tour à cheval.
Elle descendit vite en cuisine prendre un peu d'eau pour se laver et en profite pour se faire un bol de tisane et picore dans le panier à fruits quelques graines de raisin .
Après un brin de toilette elle s'habille , laisse un mot à Froncine qu'elle ne voulait pas réveiller.

Ma chère Froncine ,
je suis partie faire un tour dans la campagne avec Hisan
oui je sais je serais prudente .
On se retrouve pour le déjeuner.
Rosely

Un dernier regard à sa chambre, elle ferme la porte et va vite aux écuries seller Hisan et les voilà partis au galop .

Aloe_sonia

Sonia fut de retour du lavoir, éreintée. Elle devait encore étendre le linge mouillé et sec.
Elle aurait pu les laisser sécher sur place, mais elle craignait le mauvais temps et que son travail soit gâcher.

Elle alla derrière la taverne, tendre le linge. Elle se mit parterre après avoir mis le dernier drap et s'essuya le front.

- Repose toi, un peu ma belle, se dit-elle.

Après un court instant, elle retourna dans sa taverne. Elle remarqua que le panier n'était plus là.

- Elles sont sorties, je vais ranger les chambres.

Elle commença par celle de Dame Rosely et arrivée dans celle de Froncine, elle vit que la chambre était occupée.

- Oups, excusez moi, je pensais que vous étiez partie avec Dame Rosely.

--Froncine

A son réveil Froncine va voir Dame Rosely dans sa chambre , histoire de savoir ce qu'elles vont faire de leur journée.
Elle trouve la chambre vide mais elle voit un mot sur le lit., elle connait sa maitresse elle avait envie d'être seule , Froncine le comprend bien elle sait là où elle passe en ce moment , elle range le papier dans sa poche et va se chercher de l'eau chaude pour sa toilette.
Elle venait de finir quand elle vit entrer dame Sonia
- Oups, excusez moi, je pensais que vous étiez partie avec Dame Rosely.
- non dame Rosely est partie faire une promenade à cheval
je descends dans la salle à manger je vous laisse faire la chambre
A ces mots Froncine prend sa boite de couture et la houppelande de sa maitresse quelques retouches à faire elle à perdu quelques centimètres depuis son accouchement .

Aloe_sonia

Sonia était prête à faire demi-tour quand Froncine dit :

Citation:

- non dame Rosely est partie faire une promenade à cheval
je descends dans la salle à manger je vous laisse faire la chambre

- Très bien, dame Froncine, merci.

Sonia la laissa sortir et commença à ranger. Elle fit attention de ne pas toucher ses objets personnels.
Elle aéra en laissant les fenêtres ouvertes et sortit.

Elle décida d'aller jeter un coup d'œil sur son champ et surtout chercher un travail.

En descendant, elle vit Froncine entrain de coudre. Elle n'avait fait ça, sa curiosité fut piquée. Elle s'approcha d'elle et la regarda faire avec attention.

--Froncine

Toute à sa couture Froncine ne vit pas dame Sonia de suite , ce fut quand elle eu le nez sur son travail qu'elle la vit , elle sourit .
- c'est pas ce que je préfère faire attendez
Froncine fouille dans ses poches et en sort un joli carré un mouchoir quoi brodé de l'initiale R .

- regardez ! c'est un des mouchoirs de mon petit Rémy le premier fils de dame Rosely , qui malheureusement et mort
Froncine avait les yeux larmoyants , elle remit très vite le mouchoir dans sa poche et reprit sa couture, elle ne voulait pas en parler , elle en avait déjà trop dit , si sa maitresse savait ça elle serait en colère .

Rosely

u retour de sa ballade Rosely emmène Hisan à l'écurie, lui enlève sa selle et le brosse un peu , lui donne un peu d'eau et du foin , va jeter un coup d'oeil à Pipo et prend le chemin de l'auberge.
Elle a été du côté des vergers d'ailleurs elle a ramené des fruits pour dame Sonia. Qu'elle va apporter dans la cuisine , avant de retrouver Froncine dans la salle à manger de l'auberge.

- bonjour
- bonjour dame vous avez fait une bonne promenade ?
- oui très bonne ça m'a ouvert l'appétit
Rosely regarde autour d'elles où et donc dame Sonia , elle sourit mais son estomac criait famine .

Aloe_sonia

Sonia fut impressionnée par le travail de Froncine. Son travail était minutieux et jolie. Elle commença à imaginer son linge avec ses initiales : AS.
Elle commença à espérer qu'elles ne partent pas, afin de pouvoir apprendre.

Mais ses yeux quittèrent le carré de mouchoir, quand elle parla du défunt, le fis ainé de Rosely.

Elle se dit que cette femme avait du courage, essayer de vivre après la mort d'un enfant. Elle voulait en savoir un peu plus sur cette femme.
Etait elle mariée? Pourquoi était elle sur la route?
Elle apprécier cette femme, pourtant inconnu, mais quelque chose en
elle était agréable, son charisme, ses manières...

Et elle alla rapidement surveiller son civet qui chauffait doucement.
Quand elle entendit quelqu'un parler avec Froncine.

Et elle regarda dans la taverne et au même moment elle entendit :

Citation:

- oui très bonne ça m'a ouvert l'appétit

Sonia voulait poser des questions à Froncine, mais Rosely fit son apparition dans la taverne. Elle sortit de sa cuisine et lui dit :

- Le repas est près, nous pouvons passer à table, si vous voulez?

Elle lui sourit, tout en essuyant ses mains sur son tablier.

Rosely

osely et Froncine virent arriver dame Sonia .
- Bonjour Mesdames, vous avez bien dormi?
- oui
répondent les dames en coeur , et sourient en voyant dame Sonia rougir

- Voulez vous prendre un bain, avant de déjeuner? Je prépare le déjeuner.
- heu non merci nous avons fait un brin de toilette avant de descendre le bain sera pour une autre fois, Froncine a faim , nous n'avons pas diner hier trop fatiguées

dame Sonia posa sur la table les miches de pain encore chaudes et alla chauffer du lait, qu'elle apporta, Rosely lui dit
- j'espère que cela ne vous ennuies pas que je sois aller me prendre un broc d'eau chaude dans votre cuisine?

Rosely

peine avait elle dit ces mots qu'elle entendit derrière elle
- Le repas est près, nous pouvons passer à table, si vous voulez?
leurs regards se croisèrent, Sonia lui sourit, tout en essuyant ses mains sur son tablier., elle en fit de même en disant .
- on n' attend plus que vous Sonia et surtout votre plat , vous nous avez fait quoi de bon ?

Aloe_sonia

Sonia sourit en entendant Rosely.

Elle posa le plat sur la table.

Ouvrit son armoire et sortit les couverts et les assiettes, et mit la table.

- Je vous en prie, mesdames, prenez place.

Sonia versa de l'eau dans chaque vers et les miches de pain et les laissa manger. Elle regarda juste un instant que tout était bien installé.

Elle devait aller voir les animaux dans l'écurie. Et annoncer que le loto redémarré aujourd'hui avec 130 ecus à gagner.

Rosely

onia posa enfin le plat sur la table et mit les couverts et les assiettes.

-Je vous en prie, mesdames, prenez place.

Rosely et Froncine s'installèrent à table en regardant dame Sonia s'activer autour d'elles , elle leur versa de l'eau et leur donna une miche de pain à chacune d'elle et les laissa manger.
Rosely regarde le plat.
- miam miam ça a l'air bien bon
- oui dame n(attendons pas que ça refroidisse
- bonne idée
Rosely servit Froncine et elle même et commence à déguster le contenu de son assiette en se léchant les babines .
- hummmm je me régale
- moi pareil
- tout est parfait dans cette maison
En disant ces mots , Rosely se lèche les bouts de doigts en souriant
- j'en reprends un peu

Le repas terminé Froncine et Rosely montent à l'étage après un repas comme ça une bonne sieste sera la bien venue.
En montant l'escalier Rosely dit à Froncine
- je crois que je vais sauter le diner moi et carrément dormir jusqu'à demain
et partit d'un éclat de rire en ouvrant la porte de sa chambre
- voulez vous que je vous porte une tisane un peu plus tard ?
- non merci ma bonne Froncine ça ira .

e lendemain matin
- chut ! pas de bruit ces dames dorment

'est vers midi que Rosely ouvrit enfin les yeux, elle s'etira et se leva pour ouvrir la porte fenêtre de la chambre , le soleil inonda la pièce , elle respire un bon coup et se dit qu'après tout il était bon être encore de ce monde.
Elle enfila un vêtement et descendit à la cuisine prendre deux brocs d'eau chaude , elle chipa au passage une pomme qu'elle mordit à pleine dent, et remonte vite faire un brin de toilette mais avant elle déposa un des brocs dans la chambre de Froncine qui dormait encore .
- zut
Rosely regarde sa houppelande noire , toute sale du voyage ,elle va devoir aller au lavoir mai pour l'instant elle cherche son autre houppelande où est elle donc passée , quand elle la voit sur le dossier d'un des fauteuils , elle la prend la regarde et voit que Froncine l'avait remit en état , elle sourit cette bonne Froncine toujours là quand il faut , elle enfile sa houppelande , un dernière regard sur sa tenue et sort avec ses vêtements sales de sa chambre .
En descendant l'escalier elle se dit qu'elle devait manger quelque chose , elle prend donc la direction de la cuisine.
Il n'y avait que l'embarras du choix , des étagères de confitures , du jambon , des fruits des petits pains .
- oh! de la tarte roooh! si j'osais non ça ne serait pas bien
Rosely sourit en se coupant un petit pain en deux et en y mettant une tranche de jambon entre , mord dedans .
- très bien je suis prête pour le grand nettoyage .
Elle sort de l'auberge avec son panier de linge sous le bras et va en direction du lavoir.

Rosely

ame Sonia répondit :

- Non au contraire, vous avez bien fait, vous êtes chez vous

- Vous mangerez ici, pour le déjeuner, j'ai préparer un civet aux pruneaux, c'est bon pour la force...
- heu non merci mais un panier repas serait le bien venu on mangera en pleine campagne tant que le temps nous le permet

Dame Sonia revient de la cuisine et leur demande

- Je peux vous accompagner au lavoir si vous avez du linge sale, si vous voulez?
Rosely rit de bon coeur , elle voit bien que dame Sonia veut tout faire pour leur être agréable
- vous êtes gentille mais ça ira on va prendre notre petit déjeuner après nous allons faire un tour en ville le temps que vous nous préparez notre panier et après .....
ben on verra.

- Au fait, nous organisons un loto, il y a 100 écus à gagner, ça vous dit? le tirage a lieu aujourd'hui
Rosely regarde les écus qu'elle a en poche et fait la grimace
- non je crois pas pour ce coup là en tout cas .

Aloe_sonia

Sonia commença à débarrasser la table, les femmes avaient fini de manger.

Elle retourna dans sa cuisine et parlait en même temps :

- Très bien, je vais vous préparer un panier, vous avez raison profité de la ville

Elle commença à réfléchir à ce qu'elle allait mettre dans ce panier et reprit :

- Je vous laisse vous préparer et en descendant je laisserai le panier près des escaliers, j'ai encore des corvées à terminer.

Sonia continua à nettoyer la taverne et laissa les femmes retourner dans leur chambre.

Elle prépara le panier et le mit comme dit avant près des escaliers.

Elle alla prendre son linge sale, et sorti direction le lavoir.

Rosely

out en débarrassant la table dame Sonia dit
- Très bien, je vais vous préparer un panier, vous avez raison profité de la ville
- Je vous laisse vous préparer et en descendant je laisserai le panier près des escaliers, j'ai encore des corvées à terminer.
- très bien merci à vous , on vous laisse a vos occupations .
dit Rosely en montant avec Froncine un moment dans leurs chambres , à leur retour elles trouvent comme convenu le panier en bas de l'escalier.
Elles sortent de l'auberge et se dirigent tranquillement dans la première rue .

l faisait déjà nuit depuis longtemps quand les deux femmes arrivèrent à l'auberge .
Elles entrèrent sans se faire remarquer , Rosely alla poser le panier dans la cuisine et monta vite , elle retrouva Froncine devant sa chambre.
- bonne nuit dame Rosely , merci pour cette journée
- bonne nuit ma Froncine dormez bien à demain
Elle ferma la porte derrière elle , enfin seule.
Elle enleva ses bottes et ses bas , fit glisser sa jupe et enleva sa chemise avec des gestes lents , elle était morte de fatigue et d'inquiétude , ses larmes qu'elle avait retenu dans la journée coulaient sur ses joues encore rosées de la marche en plein air .
Elle se glissa dans les draps qui sentaient bon la lavande et ferma les yeux en espérant trouver vite le sommeil .

Aloe_sonia

Sonia était parti tôt le matin au marché, faire quelques emplettes.
Elle avait pas envie de préparer du pain, donc elle voulait profiter de la fournée du matin, pour acheter des miches de pain chaude.

Elle achetait de la viande et du poisson, les prix étaient intéressant.

Elle reprit le chemin de la taverne, et elle se dit qu'elle devait chauffer de l'eau pour que Rosely et Froncine puissent se laver.
Elle se hâta, pour arriver avant leur réveille.

Elle ouvrit la porte et elle vit Rosely et Froncine attablées. Elle se dépêcha d'entrer, posa son cabas au sol.

- Bonjour Mesdames, vous avez bien dormi?

Sonia commença à rougir, elle rougissait, mais ne savait pas pourquoi et cela commençait à la gêner, en espérant qu'elles ne remarqueraient pas.

- Voulez vous prendre un bain, avant de déjeuner? Je prépare le déjeuner.

Elle posa sur la table les miches de pain encore chaudes et alla chauffer du lait, qu'elle apporta.

Aloe_sonia

Citation:

- j'espère que cela ne vous ennuies pas que je sois aller me prendre un broc d'eau chaude dans votre cuisine?

Sonia répondit :

- Non au contraire, vous avez bien fait, vous êtes chez vous?

Elle se dit qu'elle devait avoir une aide dans cette taverne, heureusement que Rosely était autonome, d'autres personnes aurait attendu, les pauvres.

- Vous mangerez ici, pour le déjeuner, j'ai préparer un civet aux pruneaux, c'est bon pour la force...

Elle jeta un coup d'œil rapide vers ses cabas toujours à l'entrée, elle se leva et alla ranger ses courses et de la cuisine, elle dit :

- Je peux vous accompagner au lavoir si vous avez du linge sale, si vous voulez?

Elle aussi en avait, donc dans tous les cas, elle irait.

- Au fait, nous organisons un loto, il y a 100 écus à gagner, ça vous dit? le tirage a lieu aujourd'hui.

Elle avait terminé son rangement et gouta rapidement son civet préparé la veille.

Aloe_sonia

Citation:

En voyant votre taverne je suppose que toutes vos chambre sont luxueuses.

Elle regarda sa taverne, en employant le mot luxueuses, cela prouvait que les efforts fournies portaient leurs fruits.
Elle voulait une belle taverne, accueillante et jolie.

- Je possède de jolie chambre, c'est vrai.

Elle lui servit à boire.

- Pour votre arme, il faudrait la surveiller, je n'ai pas l'habitude d'en voir. Et je ne veux pas qu'elle blesse quelqu'un.

Phoenixbleu

Phoenixbleu Sourit.

Ne vous en faite pas pour mon épée. Pour le moment elle n'a blessée que des brigands.

Pour vos chambres je vais réfléchir si j'en prend une ou pas. Il faut dire que je ne suis pas habitué à cette proprté.

Aloe_sonia

Sonia l'écouta tout en souriant et lui dit :

- Vous venez d'où? votre voyage s'est bien passé?

Phoenixbleu

J'arrive d'un peu partout. Ca fait bien longtemps que je ne suis pas retourné chez moi.

Phoenix sourit en imaginant sa maison.

Ma maison doit ressembler à une ruine maintenant.

Sur les chemins il y a toujours un ou deux suicidaires qui ce prend pour un brigand. Je leur montre qu'ils n'ont rien à faire sur les chemins et je les renvois d'où ils viennent.

Aloe_sonia

Ils rencontrent des brigands, Sonia commença à l'imaginer entrain de se battre.

- Mais vous devez vous battre souvent? Et vous faites aussi des duels? Je connais des personnes qui aiment en faire.

Elle lui servit encore un verre et reprit :

- Vous aimerez en rencontrer en lice? Vous n'avez pas peur?

Phoenixbleu

Si j'aimerais rencontrer des hommes lors de duel en lice? Bien sur que oui je serais le premier dans l'arène. Je ne sais pas si je vais pouvoir rester asser longtemps ici pour en faire un. Mais si des gens sont d'accord envoyez moi un pigeon et j'arrive.

Phoenixbleu boit la timbale qu'elle lui avait servi.

Je suis toujours partant pour un bon combat.

Phoenixbleu sourit.

Même si je n'en sors pas vainqueur. Du moment que l'on c'est bien battu tout les deux je suis content. Comme quoi il ne faut pas grand chose pour faire plaisir à un homme.

Rosely

u petit matin , Rosely se lève , s'étire met le dessus de lit sur ses épaule et sans faire de bruit descend dans la cuisine de l'auberge , elle prend de l'eau chaud et repart comme elle est venue, discrètement avec son broc d'eau à la main.
Après un brin de toilette , elle s'habille quand elle entend gratter à sa porte.
- entrez
C'est Froncine encore toute endormie qui vient voir comment va Dame Rosely
- avez vous bien dormi dame ?
- oui merci et vous ma bonne Froncine ?
- j'avoue que oui mais j'ai été longue à trouver le sommeil
- pourquoi donc
- ben c'est tellement beau que j'ai regardé de partout avent de pouvoir fermer l'oeil
- Rosely sourit , elle aussi n'avait pas l'habitude de tout ce luxe
- dame Sonia a beaucoup de gout, ça se voit , il me reste de l'eau chaud en voulez vous Froncine
La vieille dame regarde le contenu du broc et sourit
- oui merci dame je retourne dans ma chambre
- moi je descend dans la salle à manger nous commander un petit déjeuner, on se retrouve en bas.
Froncine sort de la chambre en marmonnant un oui et ferme la porte.

n dernier regard sur sa tenue Rosely descend dans la salle à manger de l'auberge , fit quelques pas et va s'assoir à une table dans un coin de la salle , elle n'a pas encore vu dame Sonia , elle doit être occupée .
Elle attend donc sagement d'avoir le petit déjeuner.
Quand Froncine arriva la coiffe vissée sur la tête marchant à petits pas mais vite elle arriva à la table, prit place et demande à Dame Rosely
- on n'est pas venu vous prendre la commande , j'ai une faim de loup
- non Frocine dame Sonia doit être occupée
- je peux m'en charger si vous voulez ?
- heu non Froncine peux être que dame Sonia ne serait pas d'accord
Rosely sourit à Froncine elle la connaissait bien la, mais elle ne voulait pas froisser dame Sonia.
- attendons

Angel

non c'est pas terrible, enfin moi j'aime pas.Je repars demain soir si ca te dit tiens moi informé...
lui sourit et prit sa chope

Rosely

nfin arrivées à Dijon , Rosely et Froncine cherchent un endroit pour dormir plus question de monter la tente n'importe où.
Elle arrivent devant une auberge, Rosely saute de cheval et entre dans la bâtisse, d'un coup d'oeil elle voit que la maison est bien tenue, elle appelle quelqu'un .
- il y a quelqu'un ?
pourrais je avoir deux chambre svp ? pour mon amie et moi
......et une petite place dans l'étable pour nos bêtes ?

Aloe_sonia

C'était avec beaucoup de tristesse que Sonia écoutait Angel.
Elle allait encore prendre la route, elle aurait voulu partir, oui partir pour la première fois.
Elle lui dit :

- Je suis la responsable de l'animation, et je veux pas quitter mon poste sur un coup de tête, et je veux aider Garg' a bien remplir son mandat de maire.
Mais je te promets de faire la route avec toi un jour.

Elles continuèrent à boire quand tout elle entendit :

Citation:

- il y a quelqu'un ?
pourrais je avoir deux chambre svp ? pour mon amie et moi
......et une petite place dans l'étable pour nos bêtes ?

Elle se leva pour aller accueillir, la jeune femme.

- Bonjour Dame, soyez la bienvenue au Chaudron Buveur.

Elle s'approcha d'elle et regarda par la fenêtre pour vérifier le nombre d'animaux, et remarqua qu'il y avait un âne et un cheval.
Elle se dit que la route a du être fatigante et longue, et reprit :

- Mettez vous à l'aise, j'ai bien deux chambres et attachez votre cheval et votre ane, je les mettrai dans l'écurie et je leur donnerai à boire et à manger.

Elle lui sourit.

- Je vais vous montrer vos chambres, suivez moi.

Phoenixbleu

Oui mademoiselle , j'accepte de boire un coup volontier.

L'homme pose son sac pret de la porte d'entrée et s'assoit à une table.

En voyant votre taverne je suppose que toutes vos chambre sont luxieuses.

Aloe_sonia

Sonia était près du feu quand elle entendit la porte s'ouvrir et vit un jeune homme entrer.

Elle se dirigea vers lui pour l'accueillir et lui dit :

- Soyez le bienvenu, messire, je suis Sonia de dijon.

Elle le regarda, il était tout poussiéreux, elle se demandait d'où il pouvait venir. Elle l'avait rencontré en taverne et ils avait un ami en commun.
Et l'ami de son ami est son ami, alors elle lui avait proposer de passer la nuit dans sa taverne.

- Je vous sers à boire? vous voulez une chambre pour cette nuit?

Phoenixbleu

Un homme entre dans l'auberge. Il referme la porte derrière lui.

Il rajuste son chapeau devant ses yeux. Ses vêtements et son baluchon étaient recouvert de poussière, une épée pend le long de sa jambe et un bouclier accroché dans le dos.

Bonsoir, on m'a dit que je pouvais passer ici.

Aloe_sonia

Après la visite, Sonia regarda Rosely descendre et elle la suivit vers la sortie.
Elle rencontra une vieille femme et la salua :

- Bonjour Dame, soyez la bienvenue au Chaudron Buveur. Oui, comme l'a dit Dame Rosely, je vais m'occuper des animaux.

Sonia pris les harnais, et attendit un moment qu'elles prennent leurs bagages. Et alla vers les écuries.

Elle les plaça chacun dans un box individuel, et mit devant chaque bête un seau d'eau et du foin à coté. Elle caressa les animaux qui devaient être fatigués.

Elle retourna dans la taverne pour terminer le repas du soir.
Sur le chemin du retour, elle souriait, elle était contente d'avoir des clientes.
Elle se dit qu'elle devrait embaucher quelqu'un pour travailler avec elle, dans la taverne.
- On verra au moment voulu..., se dit-elle.
Elle hâta le pas.

Arrivée, elle se remit à préparer le repas. Il fallait qu'elle soit prête.

Elle mit des stères de bois dans la cheminée, pour créer une ambiance et surtout réchauffer les lieux.

Rosely

lles montèrent les escaliers et Sonia lui présenta deux chambres, de deux styles différents pour laisser le choix au dames, en espérant qu'elles plairont.

- Voila Dame Rosely...
- magnifique ..... il faudrait être difficile pour ne pas aimer

En sortant, dame Sonia lui demanda :

- Avez vous des bagages? Je peux vous aider à les monter.
- oui mais ça ira juste deux sacoches le reste n'est que pour camper vous pouvez tout laisser dans l'étable,...... Je vais chercher Froncine qui doit être impatiente on s'occupe de nos bagages .

A ces mots Rosely descend l'escalier et sort de l'auberge , trouvant Froncine près de Pipo , loin d'Hisan , elle sourit en voyant sa coiffe un peu de travers.
- venez Froncine nous avons deux belles chambres , prenons que nos sacoches , dame Sonia s'occupe des bêtes .
Les deux femmes entrent dans l'auberge, Rosely montre la direction à prendre à Froncine , qui monte l'escalier en regardant partout et en chuchotant .
- c'est beau ici
Rosely fait oui de la tête et ouvre la première chambre en lui disant .
- voilà votre chambre Froncine

-la la vous êtes sure que c'est ma chambre ?
- oui oui elle est belle , venez voir la mienne
Froncine suivit dame Rosely

- ooooooooooooooooh! que c'est beau
- allez maintenant , vous devez être fatiguée
Rosely regarde Froncine sortir de la chambre en fermant derrière elle , son sourire qu'elle avait gardé jusque là disparu de son visage , elle n'avait plus à faire comme si tout allait bien .
Elle se laissa aller sur le lit sanglotant , il lui manquait tellement .

--Froncine

Pendant que Dame Rosely sa maitresse demande des chambres Froncine attend avec Hisan et Pipo , Hisan joue , il essaye de lui prendre sa coiffe pas évident .
- roooh ! tu vas arrêter sale bête
Froncine échappe aux taquineries de Hisan en passant de l'autre côté de Pipo , lui il ne la cherche pas.
Dame Rosely en met du temps , elle doit avoir trouvé et discute avec l'aubergiste , Froncine donne une carotte à Pipo et regarde du coin de l'oeil Hisan ça t'apprendras pense t'elle .

Aloe_sonia

Elle fut enchantée, et commença à réfléchir aux chambres disponible et surtout ayant une vue sur la campagne.

- Oui j'ai ça, suivez moi.

Elles montèrent les escaliers et Sonia lui présenta deux chambres, de deux styles différents pour laisser le choix au dames, en espérant qu'elles plairont.

- Voila Dame Rosely...

Elle ouvrit les portes et lui fit une visite, tout en lui montrant les détails :

En sortant, elle lui demanda :

- Avez vous des bagages? Je peux vous aider à les monter.

Rosely

a dame commença à se diriger vers les escaliers et se retourna vers la jeune femme et lui dit :
- Je manque à mes obligations, excusez moi, je me présente Sonia de dijon.
- enchantée Rosely de Millau

Elle lui sourit et repris :

- Pour la chambre, avez vous des souhaits, l'étage? la vue?
- oui à l'étage svp avec vue sur la campagne ça serait bien
Rosely vit que dame Sonia la regardait attentivement cela la gênait un peu , elle continue de monter l'escalier à sa suite .

Aloe_sonia

Sonia commença à se diriger vers les escaliers et se retourna vers la jeune femme et lui dit :

- Je manque à mes obligations, excusez moi, je me présente Sonia de dijon.

Elle lui sourit et repris :

- Pour la chambre, avez vous des souhaits, l'étage? la vue?

Elle s'accouda sur la rampe et l'écouta et en profita pour la regarder, Sonia n'avait jamais voyager et essayait toujours d'être à l'écoute des voyageurs afin qu'ils soient à l'aise.

Angel

oui je suis sure qu'il part avec moi, c'est étonnant qu'il ne t'ai rien dit, ben moi j'ai plus rien a faire ici j'etait venue pour clo et mortios je sais pas trop

angel etait triste de la voir pleurer

on fera attention et t'en fais pas pour Mortios il est avec moi

angel l'embrassa amicalement et parti les larmes aux yeux

Aloe_sonia

Sonia se remit doucement de ses émotions. Elle prit congés de Soleil et lui dit :

- Je te laisse, je vais au marché. Au fait ça te dis de m'aider pour organiser un loto? Si oui, je passerai après dans mon bureau du conseil, je t'y attendrais.

Elle prit son panier et pris la direction du marché.

Aloe_sonia

Sonia retourna dans sa taverne avec son panier plein, et commença à préparer un repas.

Elle pensait à ses amis, ceux qui avaient la route, ceux qui restaient dans leur champs et qu'elle voyait de moins en moins.
Mais elle avait toujours l'espoir de les revoir.

Elle mit une stère de bois dans la cheminée et commença à préparer.

Mortios

Mortios qui rentrer de son voyage se rapella que son amis sonia avait une taverne puisqui voullait se reposer il alla dans la taverne puis vue sonia et lui dit salut sonia ca va ? quoi de neuf ?

Angel

de retour a Dijon apres une petite escapade a Cosne Angel alla voir son amie Sonia dans sa taverne.

Coucou tout le monde, vous allez bien? je fais que passer je repars ce soir pour Dole mais je pouvais pas repartir sans venir vous voir.

angel leur fit la bise

Aloe_sonia

Sonia était pensive dans sa cuisine, quand elle entendit du bruit.
Elle se lava rapidement les mains et les essuya sur son tablier tout ça en se dépêchant d'aller voir qui était là.

Quel fut sa surprise de voir ses deux amis, Mortios et Angel, elle les embrassa et cria de joie de les voir.

- Comment allez vous? Et votre voyage? Je suis contente que tu passes me me voir Angel, avant de reprendre la route.

Elle leur sourit et reprit :

- Repose toi un peu, buvons un peu, prenez place...

Ils s'installèrent et elle les écouta raconter leur aventure à Cosne.

Mortios

Oui je vais bien et toi ? Notre voyage cé bien passer

Angel

je vais tres bien et toi? le voyage c'est bien passé c'est pas loin Cosne,par contre sémur c'est nul je te deconseil d'y aller.Tiens la prochaine fois pourquoi tu viendrai pas avec moi?

angel posa le couffin et s'installa

Aloe_sonia

Sonia répondit :

- Tant mieux, si tout c'est bien passé et oui pourquoi ma belle, je viendrai avec toi la prochaine fois.

Se dit qu'elle doit voir Imerysa, pour programmer un petit voyage.

- Ah? Semur, c'est pas terrible?

Elle leur servit à boire.

Rosely

osely vit une dame s'approcher d'elle

- Bonjour Dame, soyez la bienvenue au Chaudron Buveur.

- Mettez vous à l'aise, j'ai bien deux chambres et attachez vos chevaux, je les mettrai dans l'écurie et je leur donnerai à boire et à manger.
- bonjour
La dame lui sourit. Rosely fit de même en lui disant
oui un cheval et un âne , mon amie n'aime pas les chevaux chut ne lui dites pas que je vous l'ai dit .

- Je vais vous montrer vos chambres, suivez moi.
- d'accord ,je vous suis

Marylise

Elle fit la bise a Occi et sa soeur puis Robi.

"Alors les filles comment allez vous?
Moi aussi je dors ici avec Arka et mafille dans un lendeau
Heureusement qu'elle a des chambres ma soeur sinon je sais pas où j'aurais dormis. Sans doute avec Arka sous le peuplier."
Elle leur fit un grand sourire.

"Ha oui soeurette j'veus bien une tisane enfate, labière c'est pas trop bon pour lesjumeaux mais chuttt.. si tu m'en donne une personne le saura hihi; à part les filles et puis sans doute Arka."

"A ta santé Occi et félicitation pour les charettes"
Elle trinqua avec lesfilles puis bu sa tisane doucement.
_________________

Occitane

Occi trinqua à son tour :

"merci Athia,t'inquiète pas ,personne dira rien pour la bière!! si Arkanis débarque à l'improviste ,on cachera ton verre ,ou je dirais que c'est le mien...elle sourit
" non ,sérieusement tu as raison ,il te vaut mieux une bonne tisane !
d'ailleurs ,je vais p't'être en prendre une aussi ,moi ,car je tiens pas à avoir la tête comme une roue de charrette demain...je vous raconte pas les parchemins que j'ai à écrire...

Elle finit son verre ,se tourne à nouveau vers Robi :

" quel bon vent t'amène à Dijon ?"

Marylise

"Oui Occi mais je pense que Arka hier m'a vu boire de la bière donc sans doute qu'il ne dira rien...Mais je pense que si Keltica me voyais....Elle me facherait
Elle se tourna vers Robi et souria

"Tu vois qui c'est au moins Keltica?
Hihi j'imagine même pas se qu'elle me dirait...sinon mes pauvres fesses en prendraient un coup...et puis la dernière fois que je suis aller la voir je suis ai tout dit, elle m'a juste dit que c'était pas bien...hummm..;on ne dira rien mais la tisane c'est pas trop bon je trouve, je préfère la bère en tout les cas."

i]Elle leur souria de nouveau puis finissa sa tisane tranquilement[/i]
"Bon enfaite le cou du peuplier c'était pour dessner plutôt ou bien quand j'aurais accouché...j'irai dormir avec Arka à la belle étoile."

Athia souria encore puis redemanda à sa soeur une tisane avec du miel

" Sonia tu n'aurais pas des gâteaux pour accompagné tout sa?
Je sais je suis gourmande... mais en se moment j'ai envie...une grosse envie de fraises.
Je pense qu'on doit encore en trouvé faudra que j'aille voir et que j'en cueulle sinon je n'aurais rien et j'aurais encore cette envie pour un bon moment."
_________________

Aloe_sonia

Sonia reprit place près de ses amies et continua à leur servir des chopines pour l'une et une tisane pour l'autre.

A peine assise, elle vit Mortios entrer, son meilleur ami, celui qui l'aidait toujours dans ses moments difficiles. Il avait sa taverne mais par amitié il venait dans la sienne.

Elle le salua et lui dit :

- Bienvenue Mortios, dans la taverne du "chaudron buveur", elle éclata de rire. Viens mon ami, j'ai une chambre pour toi, mais avant viens prendre place près de nous, tu seras bien entouré ce soir. Elle lui sourit.

Avant de prendre place, elle alla dans sa cuisine, chercher quelques gâteaux pour ses hôtes.

Elle se leva et alla mettre une stère de bois dans la cheminée, pour réchauffer la taverne.

Robinettedesbois

Proposant une chaise à Mortios afin qu'il ne reste debout, elle en profita pour trinquer avec elles au succès de la vente des charrettes de Occi !

Félicitations !
Et oui, tout se fête, heureusement pour nous !

Puis faisant glisser sa chope de bière vers Athia, elle lui dit en souriant...

On échange ?!
Il est sûrement préférable pour moi de prendre de la tisane, sinon je vais rouler sous la table, d'épuisement... Et je te dis pas le mal de tête de demain matin...

Laissant échapper un léger rire, et se tournant vers Occi, elle répondit à sa question...

Ce qui m'amène ici ?!
Hé bien, le baptême d'Ascle et l'on demande également à ce que je rentre à Joinville.
Comme cela fait au moins 4 ou 5 mois que je n'y ai pas été, certains veulent me voir un peu...
Mais je compte repasser ensuite, et d'abord rester un peu...

Puis se fut au tour de Athia de lui poser une question... Connaissait-elle Kelti ?! La réponse était des plus simples...

Bien évidemment, je la connais depuis tellement longtemps !
Normal qu'elle t'ai dit que ça n'était pas bien... Elle s'inquiète plus qu'elle ne te gronde, réellement...
Une vrai protectrice, ça c'est sûr !

Un sourire apparu de nouveau sur son visage, surtout lorsque Sonia réapparut avec des petits gâteux et une idée de bon feu...

Merci, merci !
Viens t'asseoir avec nous maintenant !
On te veut parmi nous, hoo !

Aloe_sonia

Sonia voulait que tout le monde soit à l'aise qu'elle en oubliait de se reposer.
Elle n'arrivait pas à suivre les conversations, mais fut ravie que tout le monde discute et échange.

Elle finit par s'asseoir et à boire avec tout le monde, dès que Robinette lui dit :

Citation:

Merci, merci !
Viens t'asseoir avec nous maintenant !
On te veut parmi nous, hoo !

- Je suis là, excusez moi, mais il y a tant de travail à faire. J'espère que tout va bien pour tout le monde.

Elle prit un gâteau et écouta ses hôtes.

Angel

je pars a Cosne un petit moment , oui je devais rester mais la situaion a changer depuis, clo ma quitté et je crois que je derange donc loin je serai mieux ca sera je pense je reviens pour mon bapteme et je repars a Fribourg apres, normalement on vient nous chercher

angel vit que sonia avait les larmes aux yeux,elle la prit dans ses bras et se mit a pleurer

Aloe_sonia

Sonia serra fort Angel dans ses bras et lui murmura :

- Je respecte ton choix, mais sache que tu me manques déjà. Fais attention à toi.

Elle se redressa et la regarda dans les yeux et lui dit :

- Je serai là pour ton baptême, reviens vite. Tu pars seule?

Angel

je ferai attention, j'ai Margot oublie pas je dois la proteger , tu me manques deja aussi.

angel la regarde et lui sourit

j'espere que tu sera la a mon baptême,non je pars avec mortios il va a cosne aussi avec moi, par contre je sais pas combien de temps il va y rester

Noctis.lucis.caelum

je suis d'accord sa changera de la paille et de l'odeur des ecurie

Il sourit et se dirigea vers sa chambre tout en se rendant compte qu'il ne savais pas ou elle etait il revint sur ces pas pour demmender ou etait sa chambre

Heu ... Sonia tu peut me dire ou et ma chambre s'il te plait

Aloe_sonia

Sonia éclata de rire quand elle entendit Noctis lui demander sa chambre.
Il avant peut-etre trop bu et voulut aller se coucher sans savoir quel chambre il pouvait occuper.

- Suis moi Noctis.

Ils montèrent les escaliers et elle lui présenta la chambre numéro 4.

- Voila messire, je vous souhaite une bonne nuit. Demain je préparerai des beignets avec du bon lait. Ca te va?

Aloe_sonia

Elle sourit à sa fille, tout en l'écoutant parlé.
Mais elle eut un choc en entendant que Mortios l'accompagnait.

- Mais il m'a rien dit? tu es sure? pourquoi vous partez tous, vous ne vous plaisez plus ici?

Elle pleurait en pensant à leur départ. Mais elle pouvait rien y faire. Ils avaient pris leur décision.
Elle essuya les larmes et reprit :

- Je vous souhaite un bon voyage, fais attention à Mortios.

Elle l'embrassa amicalement et les regarda partir tristement.

Noctis.lucis.caelum

Merchiii sa serat parfait pour demain Bonne nuit

Noctis ferma la porte en saluant sonia puis se jeta sur son lit pour dormir

Marylise

Athia qui aller dormir entendit sa soeur et une voix qu'elle reconnaissait celle de Noctis
Elle les regarda et souria
"coucou toi "

Elle regarda un long moment Noctis et l'embrassa.

"Tu es dans quelle chambre ? Si tu veus je viens avec toi et je laisse ma place pour d'autre j'ai un lit pour ma fille"

Elle lui souria et regarda sa soeur.

"Je vais dormir dans la même chambe que Noctis sa ira ma soeur?"
Elle souria de nouveau et pris la main de son amour.
_________________

Noctis.lucis.caelum

chuchota a sonia

ben si je tien toujours mais promesse mais si je met du temps

puis il repondit a la question de sonia

Oui je compte bien voyager mais avant cela j'aimerai m'installer a dijon

puis il dit en souriant

je peut avoir une petite bien s'il te plait

Aloe_sonia

Sonia l'écouta et fit un peu la moue quand il dit :

Citation:

je peut avoir une petite bien s'il te plait

Elle se dit qu'il devait parler d'une bière. Elle lui servit une grande chopine bien fraiche.

- T'installer à Dijon, bonne idée, ben pourquoi tu ne t'installe pas?
Tu n'es pas encore sur?

Noctis.lucis.caelum

Noctis arrivant en courant dans la taverne on lui avais dis qu'ici la bière était fraiche et qu'elle couler a flot

Bonjour tout monde Je viens juste faire un petit coucou et pendre quelque Chopine

Noctis fit un grand sourire et parti s'assoir

Aloe_sonia

Après un court instant, elle vit un jeune homme entré.
Noctis, il lui avait tellement promis de venir qu'elle n'y croyait plus. Elle se leva et l'accueillit.

- Bonsoir, Noctis, prends place, tu es le bienvenu.

Et elle lui chuchota :

- Je pensais que tu ne viendrais jamais.

Elle le présenta à l'ensemble de la tablée et lui dit :

- Alors quoi de neuf? Tu as l'intention de voyager?

Robinettedesbois

Elle était arrivée la veille et n'avait pas dormi de la nuit, trop occupée de-ci, de-là, à reprendre ce sur quoi elle était en retard... Cependant, ce soir, elle comptait bien dormir, comme elle avait pu tout rattraper durant la nuit !
Elle cherchait donc une auberge où elle pourrait dormir, lorsqu'elle vit l'enseigne du Chaudron-buveur... Tiens ?! Et pourquoi pas après tout ! Bien qu'elle pouvait dormir gratuitement ailleurs... Elle se l'était interdit, sa raison le lui interdisait ! Elle préférait encore bâillonner son coeur, toujours aussi perdue dans ses questions... Au moins pourrait-elle réfléchir au calme.

Elle entra donc dans l'auberge, tout en lançant à la volé...

Bonsoir, bonsoir !
Je cherche endroit où passer la nuit, y a-t-il des chambres de libres ?!

Puis regardant les trois personnes présentes, soit Occi, Athia et Aloe_sonia, elle sourit... Au moins elle les connaissait, ouf !

Aloe_sonia

Sonia se leva d'un bond, en entendant Robinette, les saluer.

- Bonsoir ma belle. Il y a toujours un endroit pour mes amies.

Elle lui fit la bise et l'invita à s'asseoir. Elle lui servit une chopine.
Sonia laissa les filles entre elle et alla préparer une chambre pour Robinette.

Elle revint quelques instant plus tard et dit :

- Ta chambre est prête, c'est la numéro 3, tu peux y aller quand tu veux.

Mortios

Mortios qui passait n'avait aucun endroit ou dormir puis il se souvenue que son amis sonia avait fait une taverne qui fesait oberge il alla dans la taverne vue sonia puis lui dit : Bonjour sonia tu aura pas une chambre pour moi? je peux dormir partout sa me gene pas tant que je peux dormir

Robinettedesbois

Elle eut juste le temps de répondre à la bise de Sonia, qu'elle était déjà partie...

Quelle rapidité !

Allant ensuite, faire la bise à Occi et Athia, elle s'installa avec la chope offerte...
Et un peu après Sonia revenait ! une chambre était prête, déjà !

Merci beaucoup !
J'irai après, déposer mes affaires...
Mais je reste avec vous, un peu quand même !
Je te fais confiance pour la chambre, bien sûr, elle doit être magnifique.

Esquissant un sourire, elle commença à se demander depuis combien de temps elle n'avait pas dormi dans une auberge à Dijon ?!
Depuis son départ... ou plutôt bien plus ?!

Et comment allez-vous toutes, aujourd'hui ?!

Puis entra Mortios, lui aussi cherchait une chambre...
La soirée s'annonçait enjouée et pleine de blabla, ça lui ferait du bien...

Occitane

Les gens arrivaient un à un ,et Occi eut l'agréable surprise de voir qu'elle les connaissait tous ;elle salua chacun puis lorsque Sonia revint :

"je te remercie Sonia ,c'est très gentil de ta part...une fois n'est pas coutume ,j'accepte volontiers ton offre...c'est pas que je sois loin,mais le feu a dû s'éteindre chez moi,et les nuits commencent à être fraîches !"

Elle sourit à Athia :

" alors ,toi aussi tu dors ici ? et bien c'est un bon choix ,toute la ville s'y retrouve déjà ! encore une preuve de mes dons de voyante !"

Elle rit :

" ben oui ,en arrivant ,j'ai dit à Sonia que son auberge serait une des préférées des Dijonnais ,et tu vois ,hop,c'est le cas....quand je dis que j'ai toujours raison......"

Elle se marre avant de hausser la voix :

"tavernière ,tournée générale : fêtons donc ...euh...fêtons la vente de mes deux charrettes tiens ! "

Elle fit un clin d'œil à Robi .

" tout se fête à Dijon !"

Occitane

Les clefs du bureau avaient été rendues ,les vieux papiers insignifiants et encombrants brûlés.......Occi était à nouveau libre comme l'air...enfin,pas tout à fait ,mais c'est le cœur presque léger qu'elle poussa la porte de la taverne qu'on lui avait indiqué plus tôt dans la journée.

" bonsoir ,bonsoir...........il y a quelqu'un ? c'est bien là la taverne de Sonia ?j'ai comme une petite soif...."

Aloe_sonia

Sonia près d'Athia, entendit son prénom, elle se leva d'un coup et alla jeter un coup d'œil.
Elle se dirigea en haut des escaliers et vit Occitane. Elle lui parla tout en se dirigeant vers elle.

- Bonsoir Occitane, tu es venue, c'est gentil.

Elle passa par le comptoir et versa une grosse chopine qu'elle luit remit.

- Alors quoi de neuf?

Occitane

" ba ,c'est normal ,tu m'invites ,je viens.....elle est pas mal du tout ta taverne d'ailleurs...je suis sûre qu'elle va devenir une des plus fréquentées de la ville !"

Elle saisit la chope :

" merci pour la bière......pour répondre à ta question......ben tu sais tout ! j'étais tribun ,je le suis plus... du coup ,j'ai fait du tri dans mes paperasses ,et me voici ! t'as des chambres à louer ? on sait jamais ,si un jour j'en ai marre de dormir chez moi..."

Occi rit ,puis ajoute :

" enfin bon.......je suppose que tu as des voyageurs qui les occuperont bien volontiers....."

Aloe_sonia

Sonia écouta Occitane et lui répondit :

- Merci Occitane, j'espère qu'il y aura du passage dans ma taverne, sache que tu es la bienvenue, et j'aurai toujours une chambre pour toi.

Elle se servit un verre et rajouta :

- Pourquoi n'es-tu plus tribun? Tu as d'autres projets?

Occitane

" j'avais plus assez de temps......tu sais entre ici , et le bureau à la basilique ,je passais mon temps à faire des allers-retours.....mon cheval commence de plus à se faire vieux....et j'ai mes études....je m'en sortais plus...et puis ,pour être franche ,ce travail me plaisait moins qu'avant ...donc comme j'ai appris que Clo,qui a déjà été tribun ,aimerait bien reprendre.....c'était l'occasion idéale pour laisser la place !et je vais te faire un aveu : je songe à devenir diseuse de bonne aventure !"

Occi pouffe de rire ,boit une gorgée :

" je serai crédible ,tu crois ? "

Elle regarde soudain au plafond :

" dis donc ,il y a du monde à l'étage ? j'entends marcher là-haut ..."

Marylise

Athia se releva du lit et entendit sa soeur parlé avec quelqu'un. Ne sachant pas qui c'était, elle descendit les marches et vit sa soeur et Occi qui étaient accoudé au comptoir.

"Re ma soeur et bonjour Occi.Désoler je me reposé un peu, magrossesse mefatigue un peu plus la route... sa mafatigué tout sa. Cinq jours de marche plus après Langres et Joinville"

Elle leur firt la bise et s'asseya a une table tout près d'elles et demanda à sa soeur:
"Es ce que je pourait avoir un peu de bière et un peu de tisane s'il te plais ma soeur?"

Athia souria à sa soeur Sonia et lui fit une petite bise tout en la remerciant.
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Aloe_sonia

Sonia hochait la tête en écoutant Occitane, et comprenait la situation.

- Je te comprends, tu as bien fait de céder ta place.

Elle sourit quand elle parla d'être une diseuse de bonne aventure et elle lui dit :

- Ah? Pourquoi pas, j'espère que tu pourras dire le mien...

Elle imagina un court instant Occitane entrain de dire son avenir. Tout d'un coup elle regarda vers le haut, et vit Athia arriver.

Elle lui servit une tisane, et reçut une bise en guise de remerciement.

- Une tisane, sœurette? Oui c'est mieux vu ton état.

Elle resservit un autre chopine à Occitane et lui dit :

- Tu peux rester dormir si tu veux?, il se fait tard.

Aloe_sonia

Sonia pris place près de sa soeur. Et lui prit les mains et lui dit :

- Raconte moi tout! Avec qui as tu fait la route? Je m'inquiète de voir que tu es venue seule dans ma taverne. Tout va bien?

Elle la fixa pour voir l'expression de son visage.

Marylise

"Un peu fatigué petite soeur. Besoin de repos. sinon je vais très bien, sa me fait plaisir de te revoir."

Elle souria à sa soeur

"T'es super ma soeur. je te l'avais pas montré ta nièce? Elle se nomme Francesca"

"Enchantée tout l'monde"

Elle souria aux gents qui était à l'hotel puis monta les escalier pour rejondre sa chambre et s'allonga sur le lit
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Angel

Angel regarda la dame et dit

je suis Angel je viens de m'installer enchantée

puis repondit a Aloe_sonia en prenant sa chope

ca peu aller merci et toi? Margot va bien, elle est sage

boit un peu et repose la chope sur la table

Aloe_sonia

Sonia souriait à l'enfant qui était près de cette femme.

- Vous habitiez ou avant? J'espère que vous vous plairez à dijon?

Sonia lui servit encore une autre chopine et lui dit :

- Je suis responsable de l'animation à dijon, j'espère que je pourrais compter sur vous au moment venu?

Et Sonia s'arrêta de parler, elle voulait écouter cette jeune femme.

Angel

angel prit sa fille a bras

je suis native d'ici mais j'ai fait la betise de partir vivre a Blaye , je ne sais pas si je vais rester mais pour le moment je ne compte pas partir

regarde la dexieme chope et sourit

si je peux me rendre utile le temps que je suis la, il n'y a pas de soucis je n'ai rien d'autre a faire de toute façon

Imerysa

Imerysa qui écoutait Angel se demanda pourquoi vivre à Blaye est une bêtise en soit, mais poser la question était peut être indiscret.
Tant pis elle était trop curieuse et la posa quand même.

Pourquoi est ce une bêtise de s'installer à Blaye ? Si je peux me permettre.

En attendant la réponse de la jeune dame, elle regarda le bébé et se demanda si son petit Lorenzo dormait encore mais comme elle n'entendit aucun pleurs se dit que oui.
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Angel

Angel reflechit a la question qui lui etait posée et essaya de donner une reponse sans trop detaillé sa vie tout en bercant la petite

Et bien car il s'est passé trop de mauvaise choses la bas, des choses de mon passé que je prefere oublié et meme si ma famille y vit et que je les aime, je ne veux plus y remettre les pieds et essayé de sauver la famille que j'avais construite avec celui que j'aime

elle regarda la dame pour savoir si la reponse etait satisfaisante

Aloe_sonia

Sonia écouta les filles, elle ne connaissait que Dijon. Et était curieuse d'entendre ce qui se passait ailleurs.

Et se leva, tout en aillant l'attention sur leur discutions et commença a préparer le repas.

Paryk

Paryk poussa la porte de la taverne que Sonia lui vait indiqué la veille. Il salua d'un "Bonjour tout le monde" les personnes présentes.

Il repartait le soir même vers Tonnerre.

Sonia,j'espère que tu viendras un jour à Tonnerre,pousser la porte de ma taverne à ton tour...En attendant,j'ai là un tonnelet de la bière qu'on y sert. Il va nous encombrer sur le retour, alors je te le laisse.Tu en feras bon usage je suis certain. Et il est estampillé "La Rose Salamandre",alors,une fois vide,tu peux venir le remplir à nouveau !!!

Paryk s'installa à table et commanda un repas bien chaud à Sonia.

Aloe_sonia

Sonia fut ravie de voir Paryk surtout avec son tonnelet.

- Bonjour Paryk, je te promets de venir à Tonnerre, et je viendrais te rendre visite.

Elle sourit et reprit :

- J'attends d'avoir un peu plus de force, elle montra ses petits muscles.
- Et je prendrais la route avec Imerysa.

Marylise

"Bonjour Sonia."

Athia arriva un peu chargé, portent d'un bras le coufin avec sa fille et de l'autre des sacs ou se trouvé les affaires de sa petite puce, celle de son compagnon et elle.

Elle entra dans l'hôtel et fit la bise à Sonia

"comment vas tu?
sa me fais plaisir de te revoir.
Je trouve que la route a été plus courte qu'à l'allée. c'est bizarrre...Pourtant j'ai pris le même chemin..."

Elle regarda Sonia et lui demanda:
"je te prend une chambre avec un lit a deux place et si tu as un lit pour ma fille s'il te plais?"

Elle souria à son amie puis s'accouda au contoir en attendant de savoir si il y avait une chambre pour elle.
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Imerysa

Imerysa qui était reposée, c'était réveillée de bon matin avec une faim de loup.

Veillant à ce Lorenzo dorme encore, elle sortit de la chambre en direction de la grande salle où elle y trouva Sonia chantonnant tout en balayant la pièce.

Coucou Sonia, comment vas tu ce matin ?
Tu veux de l'aide ? N'hésite pas à me le demander !
Pour l'heure je meurs de faim, est ce que tu as déjà manger sinon on mange ensemble.
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Aloe_sonia

Sonia essayait toujours de se lever avant ses convives, pour bien les accueillir.
Son pain chaud était toujours dans le four, sa liste de courses aussi.
Et son échelle, qu'elle avait nouvellement acquis.

C'est au moment ou elle nettoyait sa taverne qu'elle vit apparaitre Imérysa. Elle était resplendissante, et elle lui répondit :

- Bonjour ma belle, bonne idée mangeons ensemble. Mais ou est ton bout'chou? Il dort encore?

Sonia versa du lait dans deux grands bols et sortit les miches du pain du four, et s'installa à une table avec son amie.

Et elle reprit :

- Tu sais quoi? Sonia aimait commencer ses histoires avec cette expression. Et Iméryssa était la seule personne à qui elle disait ça.

- Non mais tu vas me le dire, répond Imérysa.

- J'ai envie de voyager de voir du pays, et toi? Elle lui sourit, en attendant sa réaction et continua : En plus Gargantua est le maire de Dijon, j'espère que nous le verrons prochainement.

Angel

Angel entra dans la taverne apres avoir etait invité par Aloe_sonia

Bonjour je ne vous dérange pas?

Elle posa le couffin et s'installa

Aloe_sonia

Sonia se retourna et vit entrer Angel.
Elle lui sourit, et fut contente qu'elle accepte son invitation.

- Bonjour, Angel, sois la bienvenue et sache que tu ne nous déranges pas.

Elle l'a regarda s'installer et lui servit une chopine. Et reprit :

- Comment vas-tu? et ta fille? Je te présente Imérysa.

Elle fit la présentation.

Dame_gertrude.

Gertrude avait laissé la demoiselle et l'autre gougnafier discuter ensemble et s'en était retournée dans sa cuisine.

Encore une fois, il lui avait coupé la parole, le conteur.
Elle n'avait même pas eu le temps de répondre à la jeune blonde, qu'il se l'était accaparé, sans se soucier le moins du monde qu'il dérangeait une conversation .

Le savoir vivre n'était pas son fort, à celui là !

En plus, il lui avait commandé une bière, comme à une domestique, sans un s'il vous plait", ni "merci".

Qu'est ce qu'on lui trouvait ?
Déjà qu'il avait embobiné Mademoiselle Sonia , au point de se faire passer , en l'absence de la propriétaire des lieux, pour le patron de l'auberge.
Penser à sa jeune patronne, dont elle n'avait aucune nouvelle , tira une larme des yeux de la vieille servante.
Où pouvait elle bien être?
Que faisait elle ?
Pourquoi ne donnait elle pas de nouvelles ?

Même l'autre casse pieds, dans la pièce d'à côté, n'en savait rien.
Une si longue absence devenait vraiment inquiétante.

Reniflant un bon coup , puis s'essuyant les larmes d'un revers de manche , Gertrude s'approcha de la porte de la salle , pour écouter un peu mieux la conversation d'à côté.
Des fois qu'elle apprenne des nouvelles sur ce que devenait Mademoiselle Sonia.

Aloe_sonia

Sonia qui discutait avec Imerysa et surtout attendait la réponse de cette dernière concernant le bain, elle entendit qu'on frappait à la grande porte d'entrée de sa taverne.

Elle se leva et alla accueillir la personne.
Elle l'accueillit avec un large sourire, Gargantua, le futur maire.
Elle pensait qu'il pouvait assumer ce role, il avait le charisme et était très pédagogue.

- Bonjour Garg'.

Elle rit doucement en regardant l'âne qui l'avait conduit jusque là, et elle reprit :

- Je lui donnerai des carottes. Merci Garg', sache que tu es le bienvenu.

Elle lui servit une chopine et donna un autre verre à Mortios.

Elle regarda par la fenêtre et dit :

- Au fait, comment s'appelle ton âne nain?

Imerysa

En attendant la réponse de Sonia, j'entendis la porte de la grande salle s'ouvrir et suivit instinctivement Sonia pour accueillir le nouveau venu.
C'était Gargantua notre peut être futur maire, Sonia l'espérais, moi étant nouvelle venu à Dijon je n'avais pas vraiment un jugement objectif mais faisais entière confiance en Sonia pour le sien.
Gargantua nous montra sa monture qui n'était autre qu'un âne et suivant c'est dire un âne nain ridicule et je sourit à cette déclaration.

Citation:

bonjour dame Imerysa! on s'est rencontré l'autre jour, je suis ravi de vous revoir si vite!

Bonjour Messire, ravie de vous revoir aussi !

Puis me tournant vers Sonia je lui dit tout bas :

Je vais prendre mon bain , à tout à l'heure.

Et me tournant vers Mortios et Gargantua :

J'ai été ravi de vous revoir, je vais vous laisser. Je vais faire un brin de toilette et me reposer un peu après ce voyage.

Laissant ce petit monde, je me dirige vers mon plus grand bonheur du moment : mon bain.
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Aloe_sonia

Sonia présenta la chambre à Imérysa. Espérant qu'elle lui plaira.

Elle l'aida à ranger ses affaires. Elle était si heureuse de revoir son amie.

- Je sais que tu dois être fatiguée, mais j'ai tellement hate que tu me racontes tout.

Elle lui sourit.

Elles s'installèrent sur le lit et commencèrent à papoter.
Sonia laissa Imérysa lui poser ses questions et elle répondait franchement à tout. Elle lui raconta ses déboires et ses bon moment.

Quand Imérysa finit par lui raconter son histoire, Sonia conclut en lui disant :

- Tu veux prendre un bain, ma belle?

Aloe_sonia

Sonia sourit en écoutant Imérysa, lui confirmer qu'elle allait prendre un bain.

Elle lui fit un clin d'oeil, pour lui faire comprendre que son bain était près.

Elle vit entrer le diacre, et lui sourit.

- Bonsoir Toine, sois le bienvenu. Il y a toujours quelque chose à boire.

Elle lui servit une bonne chopine. Et continua :

- Alors quoi de neuf?

Debusy

Toine se promenais dans dijon, il aperçu de la lumière a l'interieur d'ue taverne. Il passa la porte et vit Sonia.

Bonsoir bonsoir,

Tu peux me servire quelque chose a boire s'il te plait ?

Le diacre s'assit tranquillement en attendant le service.
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Antoine Debusy,
Vicaire de Dijon

Aloe_sonia

Sonia qui buvait avec Mortios, entendit la porte s'ouvrir.
Elle se retourna, et ...
Elle n'en croyait pas ses yeux, c'était Imerysa. Son amie de toujours...

Elle courut vers elle et la prise dans ses bras. Et la serra fort, très fort pour se rassurer, et surtout être sure qu'elle ne rêvait.

- Comment vas-tu ma belle?

Elle l'embrassa. Elles se sont retrouvées. Et elle reprit :

- Mais, tu as un joli bébé. Elle sourit vers l'enfant et rajouta :

- Oui, ma belle, nous avons beaucoup de chose à nous raconter. Mais avant, mets toi à l'aise. Je vais te montrer ta chambre.

Sonia l'aida à porter ses affaires, direction le haut de la taverne, direction la chambre.

En montant, elle se rappella que Mortios était en bas, elle fit la moue, et en haut de l'escalier, elle lui dit :

- Mortios, désolé, je t'ai pas présenter mon amie, mais dès qu'elle se sera reposée, je n'y manquerai pas.

Gargantua

des bruits de sabots approchaient très lentement, tactac tactac, puis le bruit s’arrêta devant la taverne et une ombre se dressa derrière la fenêtre! l'homme paraissait démesurément grand par rapport à ce qui devait être son cheval...
l'ombre disparue de la fenêtre et se dirigea vers la porte... TOC TOC TOC
la porte s'ouvrit pour laisser place à un homme tout de blanc et noir vêtu, de taille tout juste plus grande que la normale, un casque blanc sur la tête, c'était Gargantua...

salut sonia! j'ai appris que t'avais ouvert une taverne alors j'ai pris ma monture pour arriver au plus vite! mais bon, avec cet âne nain ridicule, je suis sur que j'aurai été plus rapide si j'était venu à pied...

il montra en envoyant son pouce au dessus de l'épaule en direction d'un âne aussi vieux et aussi misérable qu'une ruine grecque puis s’approcha un peu plus du comptoir

bonjour dame Imerysa! on s'est rencontré l'autre jour, je suis ravi de vous revoir si vite! et bonjour aussi à toi mortios, jamais absent lorsqu'il s'agit de boire un verre petit malin! puis en s’asseyant sur un tabouret devant le bar il sourit à sonia en lui disant: En tout cas c'est un très bel établissement que tu as là! félicitation
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Imerysa

Sonia me montra ma chambre, elle était magnifique décorée avec gout.
Après avoir rangé mes affaires, on se raconta pleins de choses puis finalement Sonia me proposa de prendre un bain.

oh,quel bonne idée !
J'accepte volontiers mais avant je vais allé voir si Lorenzo dort et s'il n'a besoin de rien.

Me levant, Je me diriga vers le petit lit de Lorenzo. Le petit dormait à poing fermé, un vrai petit ange. Un sourire au lèvre je lui remit sa couverture avant de partir sur la pointe des pieds pour rejoindre Sonia.

Tout va bien, il dort profondément.
Je sens que ce bain va être un régal.
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Mortios

Mortios une la nouvelle personne entrer ans la taverne il se disait que savrait etre des amis lui la salua respectueusement puis dit : d'acord sonia

Imerysa

Sonia m'aida à monter mes affaires dans ma chambre, j'étais exténuée.
Elle s'arrêta au milieu de escalier pour parler à une personne présente dans l'auberge.
Je souris à cette personne puis repris la monter de l'escalier en suivant Sonia.
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Domdom

Décidément...Il était dit que la discussion avec Gertrude et Sun sur l'avenir de l'auberge ne pourrait jamais avoir lieu.
C'est au moment où il avait commencé à prendre la parole, qu'il avait été coupé par l'interruption de clients , dans la salle commune.
Le grand brun avait bien été obligé de laisser Gertrude aller accueillir les nouveaux venus.
D'autant plus que Dom avait cru reconnaître le timbre si caractéristique de la voix un peu traînante de Michel , le compagnon de Mary, la sœur de lait de sa défunte Lysannabelle, devenue ensuite gouvernante de ses gosses.
Depuis, la rousse avait repris sa liberté , pour se lancer dans la viticulture avec son Michel.
A entendre le bruit étouffé de voix qui lui parvenait de l'autre côté, Dom en avait conclue que Mary était là, également.

Posant la main sur l'avant bras de Sun, l'encapuché se leva, avec un petit sourire d'excuses à l'attention de la blondinette:

Désolé, ma belette
Je vais saluer des amis que je n'ai pas revus depuis bien longtemps
Tu dois les connaître aussi non ?
Il s'agit de Mary et Michel

C'est donc un Domdom ravi qui déboucha dans la salle et se dirigea vers le couple d'amis, déjà en discussion avec la vieille chouette :

Bien le bonjour les vignerons !
Quel plaisir de vous revoir
Vous m'annonciez bien votre retour dans votre dernier courrier , mais je en savais pas exactement pour quand il était prévu
Enfin, vous voilà...Et presque entiers !

Puis , s'approchant davantage pour les saluer chaleureusement , il s'arrêta soudain, l'air une peu surpris , devant le teint livide et le maintien difficile de la rouquine:

Tudieu, Mary..
On ne peut pas dire que vous soyez resplendissante

Puis, se souvenant des mésaventures que lui avait contées dans sa dernière missive son ex employée , brigandée deux fois de suite sur les chemins berrichons, il se reprit vite , un sourire d'encouragement aux lèvres:

On va vous requinquer vite fait, les voyageurs !
N'est ce pas , Gertrude ?
Allez donc leur préparer leur chambre d'amoureux, là haut
Ca leur rappelera de bons souvenirs
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Tombé au champ d'honneur sous les coups de la tyrannie

Mortios

Mortios souria puis dit :
Je vais bien merci d'acord je veux bien pour le verre

Imerysa

Ça y est je suis à Dijon, je vais enfin revoir mon amie perdu de vue depuis des années...

Je relie la missive pour trouver l'adresse qu'elle m'a envoyé quelques semaines plus tôt me disant qu'elle s'était installée à Dijon, qu'elle avait une auberge et m'y attendait, la trouvant je remis la missive dans ma besace.

Après quelques temps de marche je trouve enfin l'endroit, devant son nom je sourie à la pensée d'agréables moments passés.

En entrant je vis mon amie, laissant tomber ma besace par terre je m'avance vers elle et la prie dans mes bras.

"Sonia, c'est bien toi !!
En recevant ta missive je n'y croyais pas, mais c'est bien toi !
Comment vas tu ?
On a tellement de chose à se raconter !"
_________________

Aloe_sonia

Sonia concrétisa son rêve, avoir sa taverne.

Un lieu ou elle pourrait y accueillir, ses amis, des voyageurs, sa famille.
Le lieu ou ils pourront y passer la nuit avant de reprendre la route pour certains.

Le nom de sa taverne-auberge, n'était pas anodin. Non pas anodin...
Une pensée pour un ancien ami : Lo33 qui était mort d'une chute dans la forêt en coupant des stères de bois.

Trop de souvenirs commençaient à revenir en mémoire, donc pour ne pas tomber dans la mélancolie, Sonia se ressaisit et continua la décoration de sa bâtisse.

Elle posa un bouquet de fleurs sur chaque table.

Elle alla préparer les chambres à l'étage.

Et elle posa l'affiche du menu à l'entrée :

Mortios

Mortios qui passa par la par hasart vue qui avait une nouvelle taverne il s'aproche et vi sonia et lui dit :
cé a toi cette taverne ?

Aloe_sonia

Sonia qui était à l'étage, entendit quelqu'un l'interpeller et elle descendit pour voir et accueillir le visiteur.

Elle reconnut Mortios, elle lui sourit.
Elle l'aimait bien, il a toujours été là quand elle était en difficulté, et elle lui en sera toujours reconnaissante.

- Bonjour Mortios, tu vas bien? Oui c'est ma taverne.
Comment la trouves-tu? Tu es mon premier visiteur, on va trinquer pour l'occasion, tu veux bien?

Dame_gertrude.

La servante leva son regard de myope vers l'homme qui lui faisait face, percevant dans sa voix un certain malaise.
C'était tout lui, ça, de tourner sans cesse autour du pot.
Il ne pouvait pas être direct, pour une fois ?
C'est qu'elle n'était pas pressée, Gertrude, de l'entendre déballer sa marchandise.
Pourtant, elle savait que ça ne pouvait continuer comme ça, à l'auberge.
Mais elle se régalait de le sentir dans l'embarras , le conteur.
Poussant l'avantage encore un peu plus, elle lui sortit d'un ton acide :

Pas comm' ça, qu'ma soupe va êt' prête , hein !
Et pisque v'z'êtes là , à pas savoir quoi faire d'vos dix doigts , pourriez p'têtre m'donner un coup d'main, nan ?

Elle glissa vers lui un coutelas qui traînait sur la table, lui désigna un chou bien paumé qui ne demandait qu'à être épluché, puis se pencha à nouveau sur sa tâche.

Seblebeau

Seb le beau trouvait le temps long a Dijon ; il ... s'ennuyait car la comté fournissait ses cochonais au compte goutte et du coup il n'avait aucune viande a decouper!! c'est l'air morose qu'il trainait les galoche quand il se retrouva non loin du chaudron buveur ; taverne qu'il avait evidement deja approché mais dont il n'avait franchi le seuil car la vieille dame qui le tenait n'avait pas l'air ragoutante.

C'est donc plus par curiosité que par envie qu'il entra...

Bonjour m'sieur dames

Le beau entra e ts'en alla s'assoir dans un coin pour zyeuter quel genre de gens pouvaient bie n v'nir ici s'desalterer...
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[RP] Au Chaudron Buveur : Taverne-Auberge...