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[RP] Au Chaudron Buveur : Taverne-Auberge...

Domdom
La plume crissait sur le vélin en un petit bruit rappelant vaguement un grignotement de souris.
De temps à autre, l’encapuché tournait la tête vers Sonia, essayant de la réconforter , un beau sourire d’espoir aux commissures.
Dom avait remarqué que sa soeurette forçait le sourire qu’elle lui rendait : il aurait tant voulu qu’elle partage son enthousiasme.

Tout en écrivant au capitaine breton , le conteur s’adressait à la blonde tribun :


Tu sais Sonia , ce genre de choses peut très bien arriver après la bataille.
Je ne t’en ai jamais parlé , mais j’ai été militaire , dans le passé….


Léger voile qui passe devant le regard du brun , en souvenir de son enrôlement de force dans l’armée d’Artois et des guerres contre l’Angloys.
Il continua cependant sa missive, tout en soliloquant :


J’en ai vu des enchevêtrements de corps aux membres arrachés, des visages réduits en bouillie , complètement méconnaissables…
Alors , je ne serai nullement surpris qu’on ait confondu un autre soldat avec Miquette.


L’air dégoûté que prit le visage de la blonde Dijonnaise en entendant ses paroles bien crues , l’obligea à trouver un argument plus positif.

Et si ça se trouve , on recevra bientôt une missive de la Nattée, nous donnant de bonnes nouvelles …
Qui sait ?


C’est sur cette note d’espoir que le grand brun finit sa missive, séchant l’encre en agitant le parchemin d’un geste régulier, puis la cacheta.

Après avoir attrapé bien difficilement le volatile breton (aussi têtus que les humains de la même contrée , c’t’engeance !) , il le relâcha, par la fenêtre ouverte , muni de sa missive :


Allez…Retourne d’où tu viens , bel emplumé
Et ramène moi de bonnes nouvelles


Observant le vol un peu lourd du voyageur ailé , Dom fut alerté par le bruit d’une porte qui s’ouvre, suivi de piaillements et d’une cavalcade dans l’escalier : Enfants, nourrice , gouvernante , ainsi que le chien Chouchen venaient le rejoindre dans un joyeux tintamarre : ils étaient prêts pour aller au marché .

The show must go on* … murmura l’encapuché.


* Petite pensée pour Freedy Mercury
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Tombé au champ d'honneur sous les coups de la tyrannie
Aloe_sonia
Sonia suivit toujours Dom' du regard. Son visage, toujours si expressive, passa de l'étonnement au dégouts et à la surprise.

Mika, pourrait ne pas être morte, elle voulait tellement y croire.
Les larmes continuèrent à couler, pendant que son frère écrivit sa missive.

C'était la missive de tous les espoirs. Il fallait qu'elle arrive à bon port, il fallait que le destinataire nous réponde, mais surtout que ce pigeon nous apporte de vrai et bonne nouvelle.

L'arrivée des enfants et des gouvernantes, fit réagir Sonia. Elle détourna son regard et en profita pour essuyer ses larmes.
Se leva les bisa un à un, et les regarda partir, quitter la taverne pour le marché.
Domdom
[Quelques jours plus tard…]

C’est un encapuché survolté , au visage cramoisi et tout essoufflé, qui ouvrit la porte de l’auberge à la volée , en brandissant un vélin comme s’il agitait un mouchoir :

Sonia..Sonia …Viens vite !!

Ils étaient rentrés de Franche Comté depuis deux jours déjà , et Dom n’avait pas eu un seul instant à lui , entre son emménagement à Dijon et les adieux aux bretons , repartis la veille au soir.
Même pas le temps ,non plus , de penser à Evanaëlle, son fantôme , qu’il n’avait pas revue depuis si longtemps , qu’il ne se souvenait même plus à quoi elle pouvait ressembler.

La tête de Gertrude apparut dans l’entrebaillement de la porte de la cuisine .
Dom l’interpela , tout excité :


Gertrude…Filez vite chercher Mademoiselle Sonia !
Dites lui que j’ai une nouvelle de la plus haute importance .


Puis, il se permit d’ajouter :

Et même si vous la trouvez en tête à tête avec son tendre , n’hésitez pas à la déranger !

L’encapuché passa alors derrière le comptoir et se servit une chope .
Une bonne bière bien fraiche : rien de tel pour le calmer.

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Tombé au champ d'honneur sous les coups de la tyrannie
--Dame_gertrude


Gertrude était dans la cuisine, elle préparait le repas. Elle voulait tellement retourner dans l'écurie qu'elle choisit une recette simple à faire.

Elle était concentré à tournoyer sa louche dans la marmite, quand elle sursauta.
Elle se dit : Mais pourquoi il cri? Il se passe quelque chose...

Elle posa sa louche et alla observer, discrètement.

Elle rougit quand Dom' l'interpella, elle n'était pas si discrète que ça, apparemment.
Elle l'écouta et quitta les lieux en marmonnant :
Il m'appelle Gertrude, je suis Dame Gertrude et je dois aller chercher
Mademoiselle, oui c'est ça Mademoiselle.


Elle alla à sa recherche.
Aloe_sonia
Sonia arriva en courant. Elle était au marché et avait les paniers pleins de nourriture.
Elle avait remis les paniers à Gertrude, afin d'arriver rapidement.
Elle voulait savoir, elle voulait comprendre.


- Dom', qu'y a t-il? Que se passe t-il?

Son coeur battait la chamade, elle était inquiète.
Espérait qu'il n'allait pas lui annoncer une mauvaise nouvelle, elle
ne pense pas qu'elle le supporterait.

Elle préféra s'asseoir et le regarda.
Gabrylla
Gaby arriva du marché avec un panier remplie de biscuit, confiserie et légume...Elle entra dans la taverne elle baissa sa capuche qui laissa ses cheveux blond se remettre en place, sourit et s'assit sur un tabouret en saluant tous le monde. Elle posa son panier à coté d'elle pour ne gêné personne et lit une missive puis demanda à la tavernière une tisane bien chaude pour se réchauffer un peu...Elle attendit tranquillement en sortant un parchemin et une plume pour répondre à la missive, une fois finit elle regardait l'intérieur de la taverne et frotta ses mains pour les réchauffer...
Domdom
Toujours sa missive en mains , Domdom , incapable de rester en place , allait et venait , à travers la salle commune de l’auberge , sous les regards indifférents des quelques convives ,dont une femme inconnue ,qui lisait une missive , dans un coin .
Une fois que Sonia se fut installée, les coudes piqués sur le dessus de la table et le menton reposant sur ses doigts entrecroisés , l’encapuché la rejoignit , posant une fesse sur le rebord de la table.

Passant et repassant ostensiblement le courrier devant le nez de sa sœur de cœur , il l’interrogeait d’un ton de lutin malicieux :



Sonia…c’est tu ce que c’est , ça ?

Souhaitant faire durer davantage le suspense , il continua , les yeux brillants de mille étoiles :

Ce sont des nouvelles…

Nouvelle pause , sadiquement bien placée :

Et des nouvelles de qui ?
J’te l’donne en mille ?


Petit sourire entendu , avant de placer une nouvelle banderille :

De Mikaphile …

N’y tenant plus, l’encapuché partit dans une tirade « cyranesque » :

Elle est vivante , notre tite vieille , Choupinette …
Bien Vivante !
Et c’est même elle qui écrit
Preuve qu’elle va bien et qu’à défaut de pouvoir se servir à nouveau d’une épée, elle peut au moins se servir d’une plume !


Prenant la blonde tribun par les épaules , le passeur d’histoires la secouait dans tous les sens : il fallait qu’il évacue le trop plein d’émotion et d’excitation qu’il avait en lui :

J’y croyais Sonia…
J’y ai toujour cru !


Lâchant enfin Sonia , il reprit le vélin entre ses mains et entreprit de le lire à haute voix :

Ecoute ce qu’elle écrit :






Dom, mon cher ami,

J'ai repris connaissance dans la nuit, il parait que je suis restée une semaine entre la vie et la mort, après un vilain coup d'épée reçu sous les murailles d'Orléans...
Me voici squelettique, heureusement la Loire regorge de poissons et j'ai toujours ma barque, chaque jour j'irai pêcher une truite, ou une carpe, et ainsi pourrai me remplumer un peu.
J'ai hésité longuement à revenir parmi les vivants.

Il faut dire que la veille de ma mort, je m'étais brouillée assez sévèrement avec Jules --mais vous ai-je déjà parlé de Jules ? j'y reviens plus loin-- j'y ai vu un signe du destin.
Après avoir perdu Himm, que je n'espère plus voir sortir un jour du monastère, vous avoir perdu vous, ni niez pas, je ne serai jamais qu'une amie, pour vous, je l'avais perdu, lui, lui qui m'avait en une nuit fait oublier toutes les vicissitudes de la vie, lui entre les bras de qui j'oubliais mon âge, mes soucis, Himm, votre absence, la guerre, .... Que reviendrais-je faire sur cette terre ?
Mais je ne pouvais me résoudre à abandonner les Myosotis, mes frères et soeurs d'armes, en pleine guerre... l'éternité à me reprocher de n'être pas revenue les aider, j'ai eu peur que ça ne me paraisse long...
Me revoilà ainsi, avec encore une bonne semaine avant de pouvoir bouger, le temps que cette vilaine blessure cicatrise assez pour que je puisse retourner au combat.

Mes forces diminuent, je vais devoir poser la plume.
Embrassez vos enfants pour moi, mon ami, et votre soeur, si vous êtes auprès d'elle.

En espérant que cette guerre cessera bientôt, et que j'aurai alors le loisir de vous rendre visite, je vous embrasse, mon cher Dom.

Votre amie, Mika


Le grand brun attendait la réaction de l’aubergiste , un petit sourire aux commissures
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Tombé au champ d'honneur sous les coups de la tyrannie
--Dame_gertrude
Gertrude suivit Sonia et était surtout curieuse de savoir le contenu de cette missive. Voulait savoir ce que Domdom avait à dire.

Elle remarqua une jeune femme blonde, c'est la première fois qu'elle la voyait. Elle espérait qu'elle n'était pas de la famille de Sonia.
Déjà sa mère, Ellana, son frère de coeur et sa grande famille, elle arrivait plus à les supporter.

Elle lui apporta une tisane et la salua d'un signe de la tête.
Gabrylla
Gaby finit sa missive et rangea sa plume. Elle vit la tavernière arrivée. La jeune demoiselle sourit à la vieille Dame, prit la tisane et posa des écus sur la table pour la payer et dit poliment :

Merci Dame...Cela va me faire grand bien

La jeune femme prit la tisane entre ses mains pour se réchauffer et prit une gorgée.
Aloe_sonia
Sonia le regarda, elle était inquiète, en panique. Elle posa une main sur sa bouche, imaginant le pire.

Citation:
Dom' : Sonia…c’est tu ce que c’est , ça ?


Elle regarda en direction du courrier, elle préféra dire non de la tête.
Elle avait l'impression qu'elle allait craquer, pourquoi la faisait il languir.
Elle déglutit quand il s'arrêta de parler, il reprenait son souffle ou choisissait les
mots adéquates pour lui dire la nouvelles.

Toujours sa main sur la bouche, elle sursauta quand il prononça le nom de Mikaphile.
Et finit par un souffle de soulagement, mais elle ne put s'empêcher de lâcher une petite larme.

Citation:
Domdom : Elle est vivante , notre tite vieille , Choupinette …
Bien Vivante !
Et c’est même elle qui écrit
Preuve qu’elle va bien et qu’à défaut de pouvoir se servir à nouveau d’une épée, elle peut au moins se servir d’une plume !


Elle sourit et rit doucement pendant que Dom' la secouait. Elle était aussi heureuse que lui.


- Tu m'as fait peur, j'ai cru que...


Elle le regarda et souffla en l'écoutant lire :


- Je suis contente de savoir qu'elle est vivante. Et elle a penser à moi, dans son courrier, ça me touche.

Elle resta là, assise. Elle avait besoin d'un instant pour réaliser.













Gabrylla
Gaby finit sa tisane qui avait un peu tit gout assez étrange vers la fin...Elle posa sa tisane et fit un sourire à Sonia puis se leva et lança à la tavernière :

Dame, votre argent est sur la table, merci à vous.
Bonne fin de soirée à tous !!


Gaby se leva puis partit de la taverne en fermant délicatement la porte pour allez voir si il y avait des nouvelles au tire à l'arc. Gaby espérait que beaucoup de monde s'inscrirais, se jeu pourrai devenir très amusant !!
Domdom
Dom , encore sous le coup de la nouvelle, n’était pas encore redescendu sur son petit nuage.
Pour la millième fois au moins , il relisait les mots qui lui dansaient devant les yeux , comme s’ils allaient s’effacer.

C’est qu’il l’aimait bien sa Nattée !
Elle avait toujours été présente , à ses côtés , dans les moments les plus difficiles , ces derniers mois .
Par sa présence discrète et ses mots si pleins de bon sens , Mikaphile avait toujours essayé de le conseiller, ravalant les pleurs de son propre coeur, lorsqu’il lui confiait ses chagrins sentimentaux.

Le calvaphile avait ressenti le départ de sa meilleure amie pour la Bretagne, l’été dernier, comme une vraie déchirure , tellement elle faisait partie de son quotidien.

Tournant à nouveau les yeux vers Sonia, dont le visage s’était d’un coup éclairci , il la laissa digérer lentement la nouvelle.

Puis , se levant d’un coup , du bout de table sur lequel il était assis , il annonça :


Allez…On fête ça !
C’est ma tournée !


L’encapuché se tourna alors vers la vieille Gertrude qui , l’air de rien , avait écouté leur conversation , l’oreille trainante , tout en s’occupant les clients de l’auberge de son allure lymphatique.
Nul doute que tout Dijon ne tarderait pas à apprendre la nouvelle : ça allait cancanner grave , au marché.

Il l’apostropha :


Gertrude…
Allez donc nous chercher cette bouteille de vin de Champagne que j’ai repérée sous un fagot de bois , dans le cellier.


Puis, après un petit clin d’œil vers sa franginette, comme pour s’excuser d’avoir donné un ordre à sa vieille servante à sa place

J’imagine que vous la gardiez pour les grandes occasions, n’est ce pas ?

Dom accompagna d’un air ironique la vieille servante qui se dirigeait déjà vers le cellier , de sa démarche clopinante.

Nouveau regard vers la blondinette , dont le visage , maintenant , s’ornait d’un magnifique sourire :


Je vais répondre à Miquette de ce pas.
La connaissant , elle doit attendre de nos nouvelles avec impatience, ma vieille pie.


Et le calvaphile de s’asseoir sur le banc , juste en face de Sonia , et de commencer à coucher quelques mots sur vélin :
« Ma chère Mika… »
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Tombé au champ d'honneur sous les coups de la tyrannie
Sunev
Après quelques jours sombres à se demander quoi faire et où aller, ne se sentant plus à sa place à Cosne auprès de sa soeur et de toute la petite famille; elle avait finalement et tout naturellement décidé de rentrer chez elle.
Thema lui avait proposé de l'accompagner avant de partir en retraite, mais elle ne s'était pas senti le courage de voyager 2 jours entier collée contre son dos et bercée par le pas hâtif de son cheval. Cela aurait remué trop de choses en elle...
C'est ainsi qu'elle avait pris la route à pied, avec simplement son baluchon sur le dos.
Le froid et la neige avaient envahis la Bourgogne et c'est les doigts de pied à demi congelés qu'elle arriva enfin chez elle.
Elle avait ouvert la porte, aéré et balayé la pièce principale. Elle avait également allumé un feu dans l'âtre et changé de vêtements. Puis, elle s'était assise sur une chaise, les yeux perdus dans les flammes dansantes.
Même ici, au calme, dans sa demeure, tout lui faisait penser à lui...
Sa présence, son rire, son regard si sombre qu'on pouvait parfois se demander si ce n'était pas dans ses prunelles que dansaient des flammes vives... Et puis ses colères aussi, et leurs incompréhensions mutuelles bien trop nombreuses.

Sun soupira:
Bon ma belle, rien ne sert de rester seule ici à te morfondre. C'était la meilleure solution et tu le sais.

Elle se leva, mis un mantel à capuche en lainage rouge, prit son courage à deux mains pour affronter de nouveau le froid et se dirigea droit au chaudron buveur ou elle était presque sûre de trouver Sonia.

Elle frappa à la porte en appelant
: Ouvrez! C'est moi! C'est Sun!
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Dame_gertrude.


Grmmmpfff.....Grmmmmpffff...
M'énerve çui lô ...
A s'donner des airs d'grand seigneur


Gertrude marmonnait dans sa barbe contre l'encapuchonné , tout en écartant les fagots de bois sous lesquels elle avait caché une bouteille de Champagne.
Elle pensait bien se la réserver pour son usage personnel (un p'tit coup d' temps en temps, ça fait pas d' mal , hein ?) , mais l'autre fouineur l'avait repérée.


Pfff...T'jours à fourrer son nez partout , l'aut'.
Peux pô êt' tranquille...
Viv'ment qu'y s'n'aille d'ici avec sa bande de petits gueulards...


Revenant vers la salle , de sa démarche lente , elle réfléchit à la suite que Sonia donnerait à tout ça : allait elle la gronder ou pire , la renvoyer ?
Elle jeta un coup d'oeil en direction de Sonia, qui semblait ne pas réagir, rêvant les yeux ouverts.

Elle pensait à tout ça , quand elle posa la bouteille sur la table , d'un geste brusque , exprimant son mécontentement , juste devant le frère de sa patronne , qui continuait d'écrire , quand elle entendit soudain frapper à la porte.

Quelques instants plus tard , elle ouvrit la porte et reconnut dame Sunev, la soeur de la patronne .
Un sourire édenté s'afficha sur les lèvres de Gertrude à la vue de la belle blonde, nettement plus gentille et discrète que l'autre , là .

Gertrude s'effaça pour faite entrer la nouvelle arrivante , qui semblait transie de froid.

Elle grommela un
B'jou Dame Sunev...Rentrez vite ,sinon z'allez attraper la mort
Sunev
Après quelques longues secondes aux allures d'éternité à cause de ce froid glacial qui lui sifflait aux oreilles, on vînt lui ouvrir la porte.
C'était Gertrude qui se tenait - décidément de plus en plus rabougrie - sur le pas de la porte.
Une grimace étira son visage flétri et Sun savait qu'il s'agissait là d'un sourire. Puis la gentille vieille lui libéra un passage par lequel elle se dépécha d'entrer.


B'jou Dame Sunev...Rentrez vite ,sinon z'allez attraper la mort

Oh oui, oh la la oui! Quel froid!


Elle se frictionna les bras puis les cuisses avant de tapoter des pieds sur le sol de la taverne cherchant à dompter les frissons et les tremblements qui lui saisissaient le corps tout entier par l'effet du changement brusque de température. Après un moment à ce régime là Sun reprit peu à peu contenance.

FFFiouuuuffff, ah la la ça va mieux. Oh mais je manque à toutes les politesses... Bonjour Gertrude. Cela fait bien longtemps que je ne suis pas passée, je le sais mais, s'il vous plait, ne m'appelez pas Dame...
Fuite fugace de son regard qui se perdit l'espace d'un instant dans la tristesse qui lui étreignait le coeur.
Je n'ai rien d'une Dame...
Elle enchaine, craignant un commentaire ou une remarque.
Sonia est-elle ici? J'espérais si elle était disponible pouvoir passer un peu de temps à bavasser avec elle au coin du feu et... s'il était possible d'accompagner tout cela d'un petit vin chaud, ce serait pas de refus.

Sun attendait, confiante pensant voir apparaître quelque part dans son champ de vision sa blonde amie; sa soeur de coeur...
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