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[RP] Au Chaudron Buveur : Taverne-Auberge...

Domdom
C’est encore plongé dans ses songes que le passeur d’histoires vit arriver une Sonia toute guillerette , son lourd panier chargé de légumes , de viande et de pain , au bras.

Citation:
- Dom'!!! Tu es arrivé quand? tu vas bien? Et ton voyage?


Sonia , en vraie petite fée qu’elle était , avait le pouvoir de redonner instantanément le sourire à l’encapuché.

Je suis rentré de ce matin, ma belle…
Mon voyage s’est bien passé , pas de gros problème , mais pas mémorable , non plus.


Puis, se saisissant du panier , après avoir bisé sa soeurette :

Mais laisse moi donc porter ton panier , tu vas finir par pencher sur le côté…
Comme Gertrude !


Et c’est un Domdom au pas décidé qui porta le panier dans la cuisine et le posa sur la table.
Puis, il se tourna vers Sonia, qui enlevait sa pelisse , tout en tentant de se réchauffer les mains :


Y a pas un chat , ici , Sonia …
Ils sont partis où , tous ?

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Tombé au champ d'honneur sous les coups de la tyrannie
Valerien
D’un air peu inspiré ,Valérien s’occupait à empiler des cubes de bois les uns sur les autres et à les faire tomber d’un geste rageur de sa main en faucheuse.
C’est qu’il s’ennuyait ferme, dans la chambre de l’auberge , le blondinet !
A côté de lui , Adelin, son frère , comme à son habitude , traçait des arabesques du bout de son index humecté d’encre , sur un vieux vélin donné par son père.
Alexandrine , la nourrice , semblait assoupie , son ouvrage de broderie sur les genoux.
Valérien arrêta son œuvre de destruction et l’observa quelques instants : c’est qu’elle semblait bien piquer du nez, l’Alexandrine !
Le blondinet se leva alors et ouvrit la porte de la chambre avec une précaution de chirurgien.
Il savait qu’il n’avait pas le droit de sortir, mais il s’ennuyait tellement et déjouer la surveillance d’Alexandrine était si facile , qu’il ne put résister à la tentation.

Quelques instants plus tard , il descendait l’escalier menant vers la pièce commune et fut alerté par un bruit de conversation qui provenait de la cuisine.
Il reconnut de suite les voix de Sonia et surtout de son père.

Le gamin se glissa subrepticement vers la cuisine et écouta la conversation des adultes , à la porte.
Son père était rentré le matin même d'un nouveau voyage.
Combien de temps allait il rester avant de repartir ?

N'en pouvant plus, Valérien entra dans la cuisine, l'air de rien , et interpela son père , tout en se plaquant contre les jambes de Sonia :


Dis poppa ...
La prossaine fois que tu pars en voyaze ,tu m’emmènes ...Dis ?
Sitiplé …


Il prit alors l'air implorant qu'il savait sibien utiliser quand il voulait arriver à ses fins

Aloe_sonia
Sonia écouta Dom' et le laissa faire, quand il prit son panier.
Elle se demanda ou était Gertrude, pour une fois qu'elle avait besoin d'elle.


Citation:
Y a pas un chat , ici , Sonia …
Ils sont partis où , tous ?


- Euh... ben ... on va dire que... je ne sais pas.

Elle rit doucement et vit une tête blonde et son petit Valérien près de ses jambes.
Elle lui passa une main dans les cheveux et regarda Dom' pour entendre
la réponse à la question de l'enfant :


Citation:
Dis poppa ...
La prossaine fois que tu pars en voyaze ,tu m’emmènes ...Dis ?
Sitiplé …


Elle imita Valérien et s'adressa à Dom' :
- Oui papounet, tu m’emmèneras quand tu partiras? Dis Soutouplé.

Elle éclata de rire.
Domdom
Décidément Sonia avait un rire communicatif : le père et le fils se mirent à rire aux éclats , en même temps que la blonde tribun.
Reprenant un peu son souffle, Domdom s’adressa à son fils :


Tu sais , Valerien , que si tu pars en voyage avec moi ,tu ne reverras pas Sonia de sitôt ?
Elle ne m’accompagne pas toujours lors de mes déplacements
Il va falloir que tu fasses un choix.
Mais faire des choix, c’est déjà devenir un homme


L’encapuché considérait son blondinet , toujours agrippé aux jupes de Sonia , d’un regard tendre : le gamin en parlait très peu , mais il souffrait de la disparition si précoce de sa maman , qu’il n’avait quasiment pas connue et ce n’est pas la vie dissolue de son père , à ce niveau là , qui pouvait améliorer les choses.
En fait, Sonia était la seule personne de sexe féminin , en dehors de Mary et Alexandrine ,qui restait stable dans son univers de petit garçon de sept ans.
Les autres ne faisait que passer.

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Tombé au champ d'honneur sous les coups de la tyrannie
Alexandrine


[Quelques jours plus tard]

Ils étaient tous partis : Sonia d'un côté, le conteur et son aîné de l'autre, laissant là la nourrice, Alexandrine, la gouvernante, Mary, et les trois autres enfants, Adelin et les deux jumeaux, Katell et Aubry.

C'était la première fois que le conteur emmenait seulement son aîné, jusqu'ici, soit il partait seul, soit sa petite famille au grand complet l'accompagnait dans ses déplacements.

Adelin d'ordinaire si calme, ne tenait plus en place, allant et venant dans la pièce, écoutant près de la porte, revenant vers le coffre où étaient rangés les cubes de son aîné, repoussant ses couleurs, lui qui d'habitude aimait tant dessiner.


Elle n'en pouvait plus, la pauvre nourrice !

Adelin, tiens-toi un peu tranquille, mon garçon ! C'est ton frère qui t'manque comm'ça ? Si encore Mary était là, all' pourrait lire le courrier qui est arrivé, c'est sûr'ment des nouvelles de nos voyageurs, mais j'me d'mand' bien où qu'elle traîne encore avec son Michel, celle là ! On n' peut pas dire qu'all' m'aide beaucoup, elle, en c'moment !

Et tout en ronchonnant, elle lui sortait d'autres jeux, ses billes, ses cartons découpés, ... espérant trouver à l'occuper, tout en surveillant les jumeaux qui jouaient ensemble dans un coin de la pièce
Aloe_sonia
Sonia arriva de Dole, elle avait une charrette cette fois-ci. Marre de marcher.
Elle avait chargé son véhicule, d’échelles, bois, miche de pain...

Elle voulait avoir du stock, pour permettre à Gertrude de bien s'occuper de la famille de Dom' en son absence.
Elle ne voulait pas qu'ils aient froid et surtout faim.

Elle savait que Dom' était parti avec son Valérien, mais elle avait hâte d'arriver pour voir le reste de la tribu.

Elle mit le frein sur sa charrette et cria :


- Gertrude, Gertrude.... Viens donc m'aider à décharger.

Elle commença à poser à terre le contenu de sa charrette.
Mary.
[Dans la chambre des gosses du conteur]


C'est une tornade rousse qui fit son entrée dans la chambre, avant de remarquer l'air triste d'Adelin, et la mine revêche de la nourrice.
Elle s'agenouilla près du premier, et le prit dans ses bras, lui demandant :


Ben qu'est-ce qui ne va pas, mon p'tit gars ? tu t'ennuies sans Valérien, c'est ça ?

Hochement de tête affirmatif du garçonnet, gros câlin de la gouvernante. Quant à la nourrice, pas le temps de lui demander ce qui causait cette mine boudeuse :


Ah te v'là, tââ ! Où qu'tu trainais, encore ? toujours avec ton godelureau ? Te f'rais mieux d'm'aider à occuper c'gamin, t'pourrais l'emm'ner avec toi quand tu sors, il va bientôt être aussi blanc qu'un radis noir !
(le lecteur a sûrement déjà remarqué combien la chair du radis noir est blanche, sous la pelure ?)
Bon, main'nant qu't'es là, lis donc ça qu'est arrivé c'tantôt !
La rousse gouvernante s'empara du vélin que lui tendait la nourrice, et commença à le déchiffrer à haute voix. Le patron lui avait appris à lire, fort heureusement, mais elle n'y était pas encore très habile. Il lui fallut trois essais avant de prononcer le mot "Berruyère"



Mary,

Juste quelques mots griffonnés dans une taverne Berruyère .
Le voyage se passe bien jusque là , mais la traversée du Berry s'annonce délicate.
J'espère que ma petite tribu est en pleine forme et que je ne vous manque pas trop à vous tous.


A très bientôt, pour une nouvelle missive.

Domdom


Vous entendez ça, les enfants ? Votre Poppa va bien ! On va lui répondre ? Adelin, tu devrais lui faire un beau dessin, ça lui fera sûrement plaisir, un beau dessin de son p'tit bonhomme !

Des milliers de petites étoiles s'étaient allumées dans les yeux du garçonnet, alors qu'il écoutait le courrier de son père. Il s'empressa d'aller chercher ses couleurs et se mit aussitôt à dessiner, la langue passée au coin de la bouche tant il y mettait d'application.

Tout en le regardant faire, la rousse gouvernante s'ouvrit d'un projet qu'elle avait à cœur :


Dis-moi, Alexandrine, le patron avait évoqué avant son départ la possibilité de trouver une petite maison à louer, ce ne serait pas plus mal, il y aurait un jardinet dans lequel les enfants pourraient prendre l'air, et on pourrait y faire pousser quelques légumes, on aurait chacune notre chambre au lieu de nous entasser avec les gosses, j'ai bien envie d'aller demander au cadastre si on peut nous aider à en trouver une, sans attendre son retour, qui risque de ne pas être pour tout de suite, tu en dis quoi ?

Regard de la blonde presque aussi expressif que celui d'une vache ruminant dans un pré ...

Ben ch'sais pô, moi ! T'as qu'à t'en occuper si te penses qu'c'est mieux qu'rester ici ! Pis j's'rais pas trop rassurée, deux femmes seules dans eun'maison avec des mioches, t'aurais pas peur, toi, la nuit ?

Ah, mais on ne s'rait pas seules avec les p'bread ! On n'a qu'à d'mander à Michel de v'nir avec nous ? ça f'rait un homme pour veiller sur les p'bread et nous deux, ça s'rait pas plus mal ? j'vais en parler au patron dans la lettre que j'dois lui écrire pour lui donner des nouvelles, tiens !

Là dessus, la rousse gouvernante sortit le nécessaire à écrire, et prépara la réponse au courrier du conteur.

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--Dame_gertrude


Citation:
- Gertrude, Gertrude.... Viens donc m'aider à décharger.


Gertrude sursauta en entendant Sonia, et grimaça :

- Arf, viens m'aider, viens m'aider! Qui t'a dit d'aller dévaliser le marché, maugréât elle dans son châle.

Elle se leva, tant bien que mal et alla décharger la charrette, la salua d'un signe de la tête, elle n'arrivait pas à en croire ses yeux, Sonia avait apporter des choses lourdes : échelles, bois, tonneaux et beaucoup de choses.
Elle classa les ingrédients dans sa cuisine.

Assises dans la cuisine, elles finirent le rangement et burent un verre ensemble. Gertrude commença à parler :


- Dame Sonia, ou est votre petit Valérien? Ça fait longtemps que je l'ai vu?

Gertrude la regarda et continua à boire.
Valentin_de_rochelle
Il faisait encore nuit quand Valentin, Eitou, Barramir et Lily arriverent a Dijon. On n'entendait que le bruit de leurs charrettes ecrasant les pierres du chemin et la route avait eu raison de leurs forces. Passant sous les remparts de la ville, les 4 compagnons de Nevers s'offrirent un beau sourire. C'etait la fin de leur voyage. Chacun allait pouvoir vaquer a ses occupations et Valentin avait garde en tete sa premiere halte, l'auberge de Sonia. Il n'eut pas de mal a trouver l'endroit que lui avait decrit son amie rencontree un soir a Tours. A l'entree de l'auberge :

- Bien le bonjour, quelqu'un ici ? Il nous faut l'hebergement et le souper pendant quelques jours pour quatre personnes..Mais surtout, je viens voir Sonia. Dites lui, je vous prie qu'un joueur de flute l'attend.

Un sourire aux levres, il prit soin de ne pas s'annoncer pour garder toute la surprise de sa visite.
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Lily-es
En arrivant à Dijon, Lily était épuisée. La route avait été tranquille pourtant et bien agréable à deviser avec ses compagnons de voyage.
Mais sans doute le fait d'avoir à charger puis décharger les marchandises, elle ne sentait plus ses bras.

Dijon était une ville qu'elle avait dû déja traverser mais la jeune femme n'en gardait pas de souvenir précis. Aussi elle était contente d'y passer quelques jours et puis elle devait voir son amie Angelyque. Elle était venue pour cela !!

Pour l'heure, Lily avait été très contente que Valentin connaisse une auberge ce qui avait éviter à leur groupe d'errer dans la ville à la nuit tombée à la recherche d'un logis.

Une fois, la charette remisée et les chevaux pansés et nourris, ils étaient entrés tous les 4 dans la grande salle qui semblait déserte à cette heure.
Chacun ensuite était libre de ses mouvements.

Lily serrant ses bras autour d'elle se mit à bailler lamentablement.

Voyant que Valentin cherchait à voir une personne, elle lui sourit :


Bien, désolée, mais je vais me coucher, je te laisse le soin de nous enregistrer si tu restes ici encore un peu ?


Lily lui fit une bise, salua Eitoue et Barrmir, prit une clé au hasard, regarda le numéro.

- Tiens j'ai la 10, j'espère qu'elle est confortable, je vais de ce pas tester mon lit
La bonne nuitée à vous.


Et elle monta à la recherche de la chambre n° 10

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Lily-es
Pendant son court sejour à Dijon, Lily avait eu le temps de voir son amie Angélyque. Elles avaient discutées plusieurs fois, repensées à leurs souvenirs communs et renouées les liens de l'amitié.

Il était temps pour elle de repartir. Tout en faisant son sac, elle repensait à la motivation qui l'avait incité à modifier son parcours. Cela maintenant la faisait sourire surtout lorsque son regard parcourait la pièce faite d'un désordre amoureux.

Pourtant elle avait été prête à avoir le coeur déchiré par une incompréhension, une peur inavouée.

Mais tout cela était du passé, maintenant la vie s'ouvrait devant elle, claire et radieuse, faite de matins ensoleillés meme quand il pleuvra dehors.
Elle aurait pu rester... elle aurait aimé rester, son coeur et son corps lui demandaient de rester mais chez Lily, souvent le cerveau décidait en dernier,

Là encore il avait eu le dernier mot... le souci de la parole donnée avait été le plus fort. Il lui fallait partir, quelqu'un l'attendait pour partir

et plus loin au bout de la route, une tache à accomplir l'attendait également. Pourtant cette tache lui ouvrirait les portes du paradis.

Aussi c'est confiante dans son avenir, dans leur avenir qu'elle boucla sa besace.

Avant de quitter cette chambre, elle déposa sur l'oreiller renversé un parchemin sur lequel elle avait juste dessiné un énorme coeur contenant deux initiales.

Un dernier regard et elle ferma la porte, déposa la clé sur le comptoir et prit la rue menant aux remparts et à la porte de la ville.

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Valentin_de_rochelle
Les premiers rayons de soleil caressant son visage, le jour s'etait leve et Valentin ouvrit enfin les yeux. Dans un grand souffle, il s'etira et posa son bras sur le cote, tatonna legerement sur le drap, personne ! Se redressant legerement il observa le lit vide, les alentours, guettant le moindre bruit puis s'affala sur le confortable edredon. Lily etait partie, comme prevu.

Un instant fixant le plafond dans un grand silence, il pensa a ces quelques jours passes avec elle, les conversations, leurs fous rires. Puis enfin se decidant a se lever, il tomba sur le parchemin et un sourire illumina son visage a la vue de leurs initiales.

L'amour est souvent plus fort quand il souffre l'absence mais la journee sans nulle doute allait etre longue. Une longue journee de vaine attente, faite de souvenirs, d'angoisses et d'espoir. Il la retrouverait bientot mais le retour vers Nevers n'etait pas encore pour ce jour, ce temps les separerait bien plus que la distance.

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Lulli
Lulli poussât lentement la porte de l'auberge, comme par peur de déranger et se glissa à l'intérieure. La chaleur la fit sourire, elle regarda autour d'elle et vit une table un peu à l'écart, elle déposa sa lanterne et son bâton.

Une fois installer, elle regardât autour d'elle, on vient lui demander ce qu'elle désirait boire et elle commandât une tisane pour délacé son être du temps glaciale. Songeuse elle laissât son regard errer. A chaque fois qu'un moment s’offrait ainsi à elle, c'est à sa mère que ses rêves revenait, sa mère et les petits derniers aussi... Un peu son père mais la douleur était trop vive.

Elle fit rouler entre ses doigts les cailloux qu'elle gardait précieusement dans une petite bourse en peau de mouton que son père lui avait construite quand elle était si petite qu'on lui ébouriffait les cheveux. A ce souvenir elle souriait toujours et attablé, cela la repris aussitôt. Sa tisane lui fut servit elle posât les mains sur le gobelet, heureuse de la douce brulure sur la pulpe de ses doigts fatigué par le travail à la mine.

Lentement une forme de mélancolie la repris, et les yeux dans le vague elle se demandât pourquoi elle avait pris ce chemin si loin de son passer... Elle n'était pas malheureuse mais sa famille, sa seule force, elle l'avait abandonner pour son propre plaisir... Son regard tombât sur le bois de la table et s'y abimât. Parfois, au grès des souvenirs, un sourire naissait et disparaissait de son visage.
Valentin_de_rochelle
Quelques jours a Dijon, de doux moments a rire en taverne, des belles rencontres, retrouver Angelyque, Aleryk. Ce passage en la capitale ne laisserait que de bons souvenirs a Valentin qui preparait ses affaires pour le retour vers Nevers. Les ventes sur le marche avaient ete bonnes et il rentrait avec de quoi largement aider la mairie qui avait serieusement besoin de fonds apres la revolte. Emportant avec lui le dessin que lui avait laisse Lily, il le glissa sous sa chemise. Non pas qu'il pouvait avoir froid mais il voulait cette pensee tout pres de son coeur, a sa place.

Puis fermant la porte de la chambre laissee vide, il descendit quelques marches, la cle a la main qu il reposa sur le comptoir, laissant ainsi quelques ecus pour payer sa note. Il n'avait pas pu voir Sonia mais il avait fait la rencontre du maire Delamarck et d'Asclepiade qui lui avaient prodigue quelques conseils. Il sentait la une grande solidarite du duche envers sa ville.

La, dans l'auberge alors qu il allait franchir la porte, il s arreta un moment croyant reconnaitre.... :


- Lulli ? Est ce bien toi ?


Lulli la jeune fille qu'il avait croise en taverne, encore au debut de sa vie, pas meme des chausses pour marcher, ni meme quelques vetements pour la proteger du froid. Il la savait courageuse, espiegle, drole et d une grande repartie. La jeune fille etait encore toute gentille de ne pas encore avoir souffert des petits malheurs de la vie . Il 's approcha peu a peu craignant de faire peut etre erreur sur la personne.
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Lulli
Lulli sursauta en entendant prononcé son nom... elle avait oublié l'endroit où elle se trouvais et jusqu'à l'heure même ! Elle se redressât, remis ses quelques souvenirs en place. Elle laissât sa mère et son père ses frères et ses sœurs repoussant presque à regret la petite Aline qui lui offrait tant de cailloux et galets... Ce tournât vers la voie lentement afin d'être un minimum présentable, enfin de visage puisque pour le reste c'était perdu d'avance ! Dés qu'elle reconnu l'homme, elle se levât d'un bon pour faire un salut alambiqué un brin malhabile.

- Messire ! Bien le bon soir !

Elle souriait, ravis de le revoir mais elle vit ses baguage en même temps !

- ça y'es ? le grand départ ?

Elle fit une moue un brin boudeuse en venant vers lui et croisât les bras sur sa poitrine.

- Vous reviendrais nous voir au moins ?


Elle restait à distance de Valentin, un sourire un brin taquin, un brin timide au lèvre. Elle n'était pas certaine de savoir sur qu'elle pied dansé...
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