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[RP] Au Chaudron Buveur : Taverne-Auberge...

Valentin_de_rochelle
Un sourire apparut sur le visage de Valentin quand il eut confirmation de l'identite de la jeune fille. Parfois perdu dans ses pensees, dans ses souvenirs, il peut arriver qu'on prenne un parfait inconnu pour un autre plus proche. Mais non, c etait bien elle, Lulli prenait peu a peu ses reperes dans la ville et on pouvait donc a present la croiser a differents endroits, comme n importe quel bon citoyen dans sa ville.

- et bien oui, le groupe m attend pour le depart. Nevers a besoin de nous, tout n est pas rose la bas mais je vois que tu te portes tres bien. Tu connais donc enfin ce lieu...arff toujours pas de chausse on dirait. Ecoute, je reviendrai sans doute a Dijon mais pas avant quelques semaines. Cela te laissera le temps de d'acheter des chausses et quelques vetements...Je serai ravi de te revoir et pour l heure je dois recuperer quelques denrees au marche avant de reprendre la route des cette nuit. Je te dis donc a tres bientot petite princesse

La princesse aux pieds nus, ou la petite bohemienne aurait on pu l'appeler mais rien ne pouvait gacher l image de cette jeune fille adorable. C'etait le souvenir que Valentin emporterait avec lui...
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Lulli
Lulli écoutât Valentin, rit à l'idée des chausses et des vêtements mais à peu moins à celle de l'attente.

Bon voyage quoi qu'il en soit Messire, et bonne route à votre troupe !


Elle fit un salut et le vit partir, elle finit son verre rapidement, repris sa lanterne et son bâton, hésitât un instant puis s'en retournât chez elle. Ses pensés la conduire à bon port.
Michelkourou
Michel fut réveillé par des cris d’enfants et de joyeuses pagaille qui venait d’en bas, il eut du mal à ouvrir les yeux et à s’extirper du grand lit qui gardait encore les effluves de cette inoubliable soirée
Il ouvrit la fenêtre, Le pale soleil d’hiver se levait péniblement lui aussi et le froid glacial emplit la pièce en moins de temps qu’il n’en fallut à Michel pour prestement la refermer.
Il rassembla ses affaires éparpillées aux 4 coins de la chambrée, s’habilla puis descendit le grand escalier
Arrivé à mi palier il aperçut Mary déjà toute encapuchonnée riant avec les enfants qu’elle essayait tant bien que mal d’emmitoufler de vêtements chauds.
« Mary, ma douce, ou aller vous donc de si bon matin, si vous allez au marché je tiens à vous y accompagner et je ne vous ferais pas faux bonds cette fois, parole d’helvète !»Il attendit sa réponse en la contemplant, sous sa capuche et sa grosse écharpe il ne pouvait voir que ses yeux et une mèche de ses cheveux, cela lui suffisait pour faire battre son cœur -Mon dieu qu’elle est belle se dit il en dévalant les marches
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Alexandrine


[Salle commune]

Pauvre Alexandrine ! Elle avait trouvé les gosses agités après le départ de leur père, mais elle se rendait compte à présent que ce n'était rien à côté d'aujourd'hui !
Il faut dire que la bonne ville de Dijon s'était réveillée emmitouflée dans un somptueux manteau blanc rehaussé de minuscules paillettes argentées. Il avait neigé toute la nuit, et à présent la bise avait nettoyé le ciel, permettant à un soleil radieux d'allumer des milliards de scintillements à la surface de la neige. Et comme chacun sait, la neige, il n'y a rien de tel pour énerver des enfants.

Adelin en oubliait sa réserve naturelle.


La neize ! La neize ! Alessandine, ze peux aller faire un bonhomme de neize ?


Les jumeaux n'étaient pas en reste :


Didine, on va zouer à la neize ?

Pauvre nourrice ! Elle qui n'aimait rien tant que rester au calme au coin du feu avec son tricot ou sa broderie sur les genoux !


Du calme, du calme ! Finissez d'jà vot' déjeuner ! Et pas question de mettre une oreille dehors par ce froid de gueux !
Mary.
La rousse gouvernante, elle, était d'avis de les emmener se défouler dehors, les gosses. Ils reviendraient épuisés mais ravis, on les frictionnerait, on leur remettrait des vêtements bien secs qu'on aurait mis près de la cheminée avant de partir, et on aurait la paix le reste de la journée. Sans compter qu'une bonne bataille de boules de neige ... elle la ferait bien volontiers avec eux !

Alexandrine, ne sois pas rabat joie comme ça ! Reste ici si tu veux, moi je les emmène au marché, ils pourront faire des batailles de boules de neige en route, et construire un bonhomme sur la place du marché !


Christos ! Mais cette fille est folle ! Tu veux leur faire attraper la mort ?

Alexandrine, enfin ! Il ne fait pas si froid que ça ! en jouant ils se réchaufferont ! On va bien les couvrir, ça ne risque rien !
Quand même les enfants, écoutez moi bien : pour jouer à la neige, vous mettrez vos gants dans vos poches, parce que des gants mouillés, par ce vent, ça devient très vite des glaçons ! et quand vous commencez à avoir froid aux mains, vous remettez les gants, mais vous arrêtez de toucher la neige, d'accord ?


Pendant que les gosses terminaient leurs tartines et leur bol de lait fumant, elle prépara les vêtements de rechange près de la cheminée. C'est alors qu'elle même, après avoir fait passer leurs manteaux de lainage aux enfants, se couvrait de sa cape et de sa grosse écharpe qu'elle entendit du bruit dans l'escalier, puis la voix tant aimée de Michel :

Mary, ma douce, où allez vous donc de si bon matin, si vous allez au marché je tiens à vous y accompagner et je ne vous ferai pas faux bond cette fois, parole d’helvète !

Ah ! Vous tombez bien, Michel ! Venez vous joindre à nous ! Comme ça nous pourrons porter chacun un des jumeaux, pour éviter que leurs chausses ne se mouillent trop vite, et qu'ils n'aient froid à leurs petits petons !


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Michelkourou
Michel ne put s’empêcher de rire en regardant l’air désespéré d’Alexandrine, il s’approcha d’elle et lui fit une bise sur le front essayant de lui communiquer sa bonne humeur « arrêtez de faire cette tète Alexandrine, profitez en vous aussi pour vous amuser et qui sait, peut être un gentil fiancé vous attends dehors sous la neige »
Michel avait bien changé depuis que Mary lui avait ouvert son cœur, lui si taciturne et solitaire avait laissé sa carapace d’ours et était devenu jovial et plein d’en- train. Il parait même qu’on l’avait entendu chanter lorsqu’il prenait son bain.
Il Déposa un doux baiser sur les lèvres de Mary puis lui prit les mains
"Allons y ma princesse, je porterais le plus lourd de ces petits anges, même les deux si vous voulez…"
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Aloe_sonia
[Quelques jours plus tard...]

C'est en charrette qu'elle avait quittée et c'est à pied qu'elle arriva à Dijon. Elle était parti rejoindre son frère Dom' à Chalon.

Après un court séjour à Bourg, ou la mairesse Eden lui était venue en secours, après son agression. Elle fut soulagée d'arriver enfin chez elle.

Un courrier lui réchauffa, le cœur, un courrier de Aryanha, le procureur de Dijon, ils avaient attrapé son agresseur et un procès était en cours.
Elle devait préparer un document, relatant les faits. Mais...
Oui, Sonia ne savait pas écrire, elle demanderait l'aide de Dom', c'est un conteur, il doit savoir faire ça.

Elle posa ses bagages, et monta à l'étage pour voir la famille de Dom'.
Domdom
Occupé à l’écurie , avec Valérien , son ainé , à soigner Robin , son vieux cheval , puis ayant sa charrette à décharger par la suite , l’encapuché avait laissé Sonia rentrer seule à l’auberge .
Ce n’est qu’après avoir bouchonné et nourri son vieux compagnon , puis s’être assuré qu’il ne restait rien dans la charrette , que le grand brun et son fils se décidèrent enfin à franchir la porte du « chaudron Buveur » , les bras pleins de bagages.

Il furent t surpris de ne trouver personne, ni dans la salle commune, ni dans la cuisine : pas de Sonia , qui avait laissé ses affaires auprès de l'escalier , ni de clients , ni même le reste de la petite famille du conteur , encore moins de Gertrude , la vieille sorcière qui secondait la patronne.
Cependant, le bruit de la marmite qui sifflait au dessus du feu dans la cheminée et la bonne odeur de soupe indiquaient que la ratatinée ne devait pas être bien loin.

Un peu déçu de ne pas avoir été accueilli par le reste de sa petite tribu , qui devait quand même être impatiente de le retrouver après une aussi longue absence , Domdom déchargea son bardas au sol , puis aida Valérien à en fair e de même.
Puis, il s’accouda à la rambarde de l’escalier permettant d’accéder aux chambres de l’étage , tout en appelant :


Y a quelqu’un ???
Ouh Ouh….
Sonia , Mary, Alexandrine…

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Tombé au champ d'honneur sous les coups de la tyrannie
Alexandrine


[Chambre à l'étage, puis salle commune du bas]

La nourrice veillait sur les jeux des enfants dans la chambre qui leur servait de logement depuis que le conteur avait établi ses quartiers au Chaudron Buveur. Une maille à l'endroit, une maille à l'envers, petit à petit une nouvelle écharpe pour Adelin prenait forme.
Sa quiétude fut troublée, d'un coup, par du remue ménage en bas.
Elle tendit l'oreille, et si c'était ... ?


Y a quelqu’un ???
Ouh Ouh….
Sonia , Mary, Alexandrine…


Le conteur ! c'était le passeur d'histoires ! Elle aurait reconnu sa voix entre mille !

Les enfants ! C'est Poppa ! Posez vos jeux, on descend l'accueillir !



Elle même posa son tricot en vrac sur sa chaise, au risque d'en perdre des mailles, prit par la main un des jumeaux de chaque côté, s'assura qu'Adelin suivait, et s'engouffra dans l'escalier.

Quelle fête les petits firent à leur père ! Et à leur aîné ! Ils se cramponnaient à lui au risque de l'étouffer !


Poppa ! Valérien ! Moi ze suis bien content de vous revoir ! C'est Mary qui aura une bonne surprise ce soir en revenant du couvent !

Mon Poppa ! Valéïen ! Souette !
M'sire Domdom ! Vous revoilà ! Que le temps nous a semblé long, à Mary et à moi ! Et surtout à moi cette semaine qu'elle était au couvent !

Valérien ? C'est bien toi ? Que tu as grandi ! Et tu as pris de belles couleurs, mon garçon ! C'que Mary va être contente de te revoir !


Quelle joie de les revoir en bonne santé, après une si longue absence, la traversée des royaumes en guerre d'Est en Ouest puis d'Ouest en Est ! La nourrice en perdait son flegme légendaire !


Faudra organiser un festin, pour fêter vot'retour, m'sire Domdom ! Au moins ça ! Dès que Mary rentre du couvent, on s'y met !
Valerien
C’est un Valérien à la fois fourbu et fier comme un chevalier rentrant victorieux de la guerre ,qui entra dans l’auberge , en compagnie de son père , ses petits bras chargés à ras bord.

Pff…c’est lourd…Z’en peux plus !

Fort heureusement, la main secourable de Poppa arriva juste à propos , avant que Valérien ne lâche sa charge d’un seul coup par terre.

Le blondinet de huit ans était content de rentrer , de retrouver tout son monde, après un long voyage plein d’aventures .
Pour son premier voyage avec son paternel , mais sans le reste de la famille , il avait été gâté, le blondinet.
Pendant ce long périple , ils n’avaient pas rencontré de brigands, fort heureusement , mais ils avaient croisé beaucoup de militaires pressés, galopant à bride abattue, ou contrôlant les villes qu’ils avaient traversé.

Valérien s’était fait des copains, aussi et surtout, il avait retrouvé Lupin, à Rennes , celui qui élève des vers de terre et qu’il avait déjà rencontré à Dole.


Une fois qu’il fut libre de ses mouvements , il entreprit de fouiller le rez de chaussée de l’auberge , mais n’avait trouvé personne :


Dis Poppa…
Pourquoi y sont pas là ?
Et il est où , Ssoussen ?


Il n’eut pas le temps d’ajouter quelque chose, qu’il entendit la porte d’un des chambres s’ouvrir et une cavalcade dans l’escalier .
C’était Alexandrine, avec ses frères et sœurs , qui descendaient à leur rencontre , dans une joyeuse cacophonie, se coupant tous la parole.
Valérien entendit quand même Alexandrine les interpeller :


Citation:
M'sire Domdom ! Vous revoilà ! Que le temps nous a semblé long, à Mary et à moi ! Et surtout à moi cette semaine qu'elle était au couvent !

Valérien ? C'est bien toi ? Que tu as grandi ! Et tu as pris de belles couleurs, mon garçon ! C'que Mary va être contente de te revoir !


C’est alors qu’une boule de poils jaunes lui sauta dessus , le léchant à grands coups de langue baveux , déclenchant des rires chez le gosse :

Ssoussen…Ze suis si heureux de te retrouver, mon ssien..
Attention …Tu vas me faire…
Tomber…


Trop tard !
Le gamin s’était retrouvé par terre , les quatre fers en l’air , son chien continuant de le lécher à qui mieux mieux.


Domdom
Comme lors de chaques retrouvailles avec sa petite famille , Domdom ne savait plus où donner de la tête.
Submergé par la démonstration d’affection de ses gosses , il finit par s’asseoir sur le banc , sa brune Katell sur le genou droit, le blond Aubry sur le gauche , Adelin, toujours aussi discret , plaqué tout contre lui.
C’est qu’ils lui avaient manqué ses angelots , pendant tout ce temps passé sur les routes sans eux.
Et le peu de nouvelles que lui avait donné Mary de ses enfants et de la vie Dijonnaise , pendant que lui et Valérien arpentaient les chemins , n’avait fait que stigmatiser ce vide .

Tout en calinant ses cadets , le calvaphile observait les retrouvailles entre son aîné et Chouchen, le chien jaune , d’un œil amusé .
La fine équipe était enfin reconstituée : on allait vite entendre la vieille grognon de Gertrude les houspiller à nouveau, les menaçant de son balai de genêts , ce qui habituellement lui donnait une allure de vieille sorcière édentée.

Lâchant les duettistes du regard , un grans sourire aux lèvres , il tourna la tête vers Alexandrine , que Sonia avait rejointe au bas de l’escalier :


Quel bien ça fait de rentrer chez soi !
J’aime voyager, mais j’aime aussi revenir…


Puis, répondant à la remarque de la nourrice des petits :

Vous avez raison, Alexandrine, nous ferons une grande fête , au retour du couvent de Mary , non seulement pour fêter nos retrouvailles , mais aussi pour pendre la crémaillère de notre nouveau logis.

A ce propos , où en êtes vous de vos démarches concernant notre future demeure ?
Mary n’en a pas fait mention dans ses missives.


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Tombé au champ d'honneur sous les coups de la tyrannie
Aloe_sonia
Sonia avait fait un saut dans sa chambré, pour se faire une toilette.
Elle ne voulait pas apparaitre comme une souillon devant les enfants.
Il fallait montrer l'exemple.

Elle en profita pour dépoussiérer le miroir et vit que sa chambre était à l'abandon. Elle lâcha un juron et se demandait ou se trouvait Gertrude.

Mais des cris de joie la firent sursauter, des retrouvailles. Ceux de la famille de Dom'.
Elle sourit et préféra les laisser ensemble. Un mois que son frère avait pris la route. Ils devaient avoir des choses à se dire.
Elle savait qu'ils avaient le projet de quitter son auberge et d'avoir un chez eux. Elle savait que c'était dans l'ordre des choses, mais elle appréhender cette instant. Le jour, où ils lui diront au revoir, le jour ou elle les verrait déménager.
Elle posa une plaid sur son lit et s'y allongea, elle posa sa tête sur ses mains.
Elle se leva, et se dirigea vers la porte, et descendit les escaliers.

Elle vit qu'Alexandrine, elle lui sourit et la salua.
Elle chercha du regard Gertrude.
Alexandrine


[salle commune, les retrouvailles]

Elle en avait gros sur la patate, la nourrice ! Envolée, la joie de les revoir ! Le gamin l'avait carrément ignorée, préférant ouvertement cette espèce de grand chien jaune qu'il semblait considérer comme un ami. Pas un regard pour elle !
Elle ruminait là-dessus, absorbée dans sa mauvaise humeur, tout juste si elle entendait le patron parler.


.........Vous avez raison, Alexandrine, nous ferons une grande fête , au retour du couvent de Mary , non seulement pour fêter nos retrouvailles , mais aussi pour pendre la crémaillère de notre nouveau logis.

A ce propos , où en êtes vous de vos démarches concernant notre future demeure ?
Mary n’en a pas fait mention dans ses missives.



Heuuuu... Hein ???? Ch'sais pô, moi, c't'elle qui s'en est occupé, faudra lui d'mander à son r'tour

Et elle continua à regarder le gamin faire des papouilles à son chien, le regard plus bovin que d'habitude si c'était possible.
Valerien
Tout à ses retrouvailles bien humides avec son compagnon à quatre pattes , Valerien avait délaissé quelque peu le reste de la famille.
C’est quand son regard croisa celui d’Alexandrine , restée au pied de l’escalier aux côtés de Sonia , que le gamin y lut la détresse de la jeune femme , qui semblait au bord des larmes.
Il repoussa alors un peu Chouchen, qui commençait à devenir encombrant , se leva , puis alla s’abattre dans les jupes de la nourrice :


Ssandrine…Ze suis heureux de te revoir , tu sais…
Le voyaze , c'était formidable !
Z'ai vu plein de ssozes et rencontré tout plein de militaires


Tournant la tête vers son père , l'air implorant :

Poppa , c'est quand qu'on repart en voyaze ? Dis ?

Puis, levant des yeux rieurs vers la nourrice :

Baisse toi , Ssandrine…Que ze peux te faire un gros poutou
Après , z'irai faire un calin aux petits



Alexandrine


Au bord des larmes, elle était au bord des larmes quand enfin le gamin avait relevé les yeux vers elle, puis était venu lui enserrer les jambes à travers ses jupes et jupons, manquant la faire tomber .

Alors ça t'a plu, l'voyage ? T'vas être comme ton Poppa, twâ, toujours par monts et par vaux ?
Des militaires ! Christos Maria Giosep ! Mais à quoi pense ton père de t'emmener au milieu des armées !
Quand est-ce que tu r'pars ? mais t'es pas encore rentré qu'tu veux d'jà r'partir ?


Obéissant à l'injonction du gosse de se baisser, elle s'assit sur la troisième marche de l'escalier, et le serra dans ses bras, si heureuse de le retrouver, priant pour que son père le laisse là la prochaine fois qu'il partirait en vadrouille. C'est qu'il lui avait manqué, ce p'tiot !
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