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[RP] Au Chaudron Buveur : Taverne-Auberge...

--Canadadraille


J'aime les caresses ! oh oui encore encore !!!... Quoi c'est tout ?!!! bon d'accord c'est juste parce vous n'avez pas vu comme je suis belle ! M'en vais vous le montrer !

Voilà, je suis leste et en même temps toute ma quincaillerie sonne merveilleusement. Et hop quelques cheveux en moins... oups, elle va encore râler... Mais regardez moi, j'ai le museau en l'air et la queue bien en l'air !

Mais c'est que le messire ne m'a ni regardé ni flatté !


Ouaf !

Là c'est mieux, pour sûr il m'a vue !
Les gling gling sortent de son collier joyeusement tandis qu'elle lui tend la patte.


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H2d2
Hersande regarda le chien et avec un ultime effort plia son genou et lui serra la main

Tu es une joli chienne toi.

Il la caressa

Tu sais chez moi il y a plein de bon nonoss pour toi. Viens quand tu veux. Mon tuyé t'es grand ouvert

Puis s’appuyant sur son bâton il se releva avec la seule force des ses bras
Domdom
[Deux longs mois plus tard]

A peine avait il escaladé les hauts murs du monastère dans lequel il était retenu prisonnier depuis plusieurs jours déjà , que le grand brun , prit derechef la direction de l'auberge "Chaudron Buveur".
Toutes ses pensées d'entrechoquaient dans sa tête, un peu comme des armées s'affrontant sous les remparts d'un château .
Il tempêtait intérieurement de ne pas avoir été davantage présent pour aider à libérer sa ville , mais aussi pour donner son avis sur la façon plutôt grotesque et désordonnée dont se déroulaient les dernier évènements.

Mais pour l'instant, il avait très peu de temps pour apprécier sa liberté et la priorité était donnée à sa famille : ses enfants et celle qui faisait chanter dans son coeur la douce mélodie de l'amour.
Il savait que Lenada vivait un moment particulièrement difficile et qu'elle avait besoin de se sentir soutenue.

C'est en songeant à tout ceci ,que l'encapuché ouvrit la porte de l'auberge de sa soeur , Sonia, dont il n'avait plus aucune nouvelle depuis de longues semaines.

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Tombé au champ d'honneur sous les coups de la tyrannie
Dame_gertrude.


La vieille servante était occupée à passer le balai de genêt dans sa cuisine, surveillant en même temps la marmite qui ronronnait dans l’âtre, lorsqu’elle entendit du bruit semblant provenir de la salle commune.
Se dirigeant vers la porte de son pas de petite souris, elle reconnut de suite , malgré sa mauvaise vue , la silhouette de l’autre enquiquineur de conteur, qui se détachait dans l’encadrement de la porte .
Haussement d’épaules désabusé de la vieille:


L’était pas parti chez les moines, c’t y là ?maugréa-t-elle dans sa barbe.
’Reusement qu’sa ménagerie n’est point là , sinon ça nous ferait un sacré cirque avec tous ses braillards…sans compter le chien , qu’arrête pas d’aboyer ,en plus !

Après s’être assurée qu’il n’y avait personne d’autre que lui dans la salle commune, Dame Gertrude s’en retourna à ses tâches domestiques.
S’il voulait quelque chose, il n’avait qu’à se déplacer lui-même…
Domdom
Adossé contre le chambranle de la porte qui donnait sur la cuicsine, Domdom regardait silencieusement la vieille s'affairer autour de la marmite qui ronronnait dans l'âtre.
Les effluves de ragoût qui s'en échappaient et qui titillaient les narines du passeur d'histoires étaient pour lui une vraie torture, tant son estomac criait famine.
Mais le brun s'interdisait tout geste , toute parole, pour l'instant.
Il savait que la Gertrude avait bien remarqué sa présence, mais qu'elle jouait délibérément la sourde oreille.
A ce petit jeu , c'était à lui de se découvrir le premier.
C'est avec un petit sourire en coin qu'il lança, d'un ton à la fois désabusé et ironique :


Bonjour, Gertrude
Mes enfants et leur nourrice ne sont pas là, n'est ce pas ?
Et j'imagine que vous ne savez pas où ils sont ?


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Tombé au champ d'honneur sous les coups de la tyrannie
Dame_gertrude.


Toujours penchée sur sa marmite , Gertrude se retourna lentement , non seulement du fait de son vieux corps , qui s’acharnait à ne plus vouloir répondre promptement aux injonctions de son cerveau , mais surtout pour montrer à son interlocuteur qu’elle n’était pas aux ordres.

Non mais , pour qui il se prenait celui là , avec ses sous entendus ?

C’est après avoir planté son regard de myope dans celui de l’autre énergumène, qu’elle lui répondit d’un ton détaché :


Sont partis tôt c’matin…
M’ont pas dit où , par contre…


Puis, après un petit silence :

C’est pas mon travail de surveiller vot’ maisonnée, m’sire Domdom
Pourtant cette pov’ Alexandrine a ben du souci , avec tous vos loupiots…
On peut pas dire que vous l’aidez beaucoup
Z’êtes jamais là !


Réprimant l'envie d'ajouter un "fort heureusement pour moi... ,la vieille servante , continuant de touiller machinalement avec une cuillère en bois dans la marmite , lui tourna à nouveau le dos , histoire de montrer au conteur qu’elle avait autre chose à faire que de perdre son temps avec lui.
Gabrylla
La blondinette était enfin rentrée à Dijon...Certes cette ville avait changer mais elle lui avait manqué...Beaucoup de souvenirs lui revint...Peux être un peu trop à son gout.
Elle ne savait pas si c'était Dijon qu'elle aimait où lui...A vrai dire, elle ne savait plus rien en ce moment.

La demoiselle traversait les ruelles de Dijon jusqu'à arrivé dans son auberge préférée, celle de son ancienne amie. Elle marcha longuement pour y arriver...Il était assez tôt, le jour s'était levé il y a peu, la brise du matin était fraiche, le vent fouettait son visage, sa capuche relevée cachait ainsi sa crinière blonde...Elle avait laissé son cheval aussi, marcher lui faisait le plus grand bien, elle tapait dans quelque petits cailloux qui était sur son passage tous en regardant autour d'elle.
Les habitants sortant tous juste de chez eux...Quelques personnes par ci et là, mais rien comparé à ce qu'est Dijon habituellement...
Tous semble paisible autour de la jeune femme. Des odeurs d'herbe mouillée émanent, voluptueuse, des champs épais, d'un vert malachite dense.
La blonde passe devant une maisonnette, une fenêtre ouverte par la qu'elle nous pouvons voir une personne, Gaby hôche doucement la tête en guise de bonjour et continue jusqu'à arrivée devant l'auberge.

Elle passe la porte, souriante et s’installe au comptoir, elle regarde doucement autour d'elle, puis s'arrête sur Gertrude qui la dévisage...


Hum..Bonjour ! Je pourrais avoir une tisane s'il vous plait ?? Légère sa serais parfait...

La blondinette sourit à la vieille dame tous en attendant sa tisane avec impatience et dépose quelque écus devant elle...
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Dame_gertrude.


Elle avait peut être une vue de taupe, mais elle avait encore l'ouie fine, la Gertrude !
Aussi , encore dans la cuisine, entendit elle la porte de l'auberge s'ouvrir en un petit bruit de crissement, juste après qu'elle se fut débarrassée du conteur.
Et c'est en clopinant qu'elle se dirigea vers le comptoir, pour y accueillir une jeune femme blonde, qu'il lui semblait déjà avoir vue à l'auberge.


Citation:
Hum..Bonjour ! Je pourrais avoir une tisane s'il vous plait ?? Légère sa serais parfait...


Après avoir ramassé les pièces, que la cliente avait fait rouler sur le comptoir, avec une vitesse et une précision insoupçonnables pour une personne de cet âge, elle se retourna pour préparer le breuvage demandé, tout en questionnant la blondinette :

M'est avis qu'on s'connaît, non ?
Z'êtes déjà v'nue ici
Et plusieurs fois, si j'me trompe pas....
Domdom
C'est qu'elle n'allait pas s'en tirer comme ça, la vieille chouette !
L'encapuché n'avait pas eu le temps de lui répondre , que la Gertrude avait déjà coupé court à la conversation.
Pourtant, il avait des choses à lui dire, le grand brun.
Plongeant son regard dans la marmite qui continuait de chantonner dans la cheminée , il entendit soudain une voix féminine provenant de la salle commune.
Une voix féminine qu'il aurait reconnue entre cent mille autres !

Non....Celà ne pouvait être.....


GABBYYYYYYYYYY !!!!

Et le conteur de gicler hors de la cuisine, comme un diable sorti de sa boîte, de se précipiter dans la salle et se serrer son ami entre ses bras et de la faire virevolter autour de lui , en disant :

Te voilà enfin revenue, mon amie...
Quelle bonne nouvelle !


Puis, l'entraînant avec lui vers la grande table de châtaignier :

Viens...Viens vite toute me raconter, blondinette
Ca fait si longtemps !
Je veux tout savoir...


Puis, se tournant vers Dame Gertrude :

Pour moi, ce sera une bière, Gertrude
Et fraîche , hein ?


Les yeux brillants comme un gosse, écoutait Gabrylla parler

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Tombé au champ d'honneur sous les coups de la tyrannie
Gabrylla
Citation:
M'est avis qu'on s'connaît, non ?
Z'êtes déjà v'nue ici
Et plusieurs fois, si j'me trompe pas....


La blondinette regarda Gertrude et sourit en hôchant la tête


Oui oui, je suis venue plusieur fois ici en effet, bonne mémoire !
Hum...C'est Gaby, sa n'a toujours changer !
Comment allez-vous ??

La jeune femme n'avait pas eu le temps de finir sa phrase que elle se retrouvait dans les airs serrée dans les bras de Dom, elle essaya tant qu'elle pu de respirer pour remis ses pieds à terre en souriant.

Dom !! Et oui je suis enfin revenue !!

Il lui pris la main et l'emmena s'assoir vers une grande table, Dom n'avait pas changer toujours sa capuche, ses yeux pétillant, ses trait réguliers et son visage de petit insolant, Gaby sourit en coin.

En effet, sa fait longtemps...trop longtemps même ! Et bien, j'étais à Chalon...je crois que ce village est pire que Chinon !!


Un petit rire s'échappa puis elle reprit...

Oh, tu sais, rien de bien passionnant, je me suis fait poutrer par l'armée de mon village...N'est ce pas magnifique ??! La prochaine fois je m'allongerais à terre et ferais la morte, sa passera peux être mieux !!
Je suis revenue voir comment était Dijon, mais je ne pense pas rester bien longtemps, je veux aller dans le sud ouest voir un ami, malheureusement je ne sais pas par où passé, c'est assez loin...J’emmènerais aller à Tarbes...

Elle le regarda un moment le sourire aux lèvres et reprit :

Et toi alors Dom, que deviens-tu ??
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Domdom
S’il était une chose que le passeur d’histoires adorait chez son interlocutrice ,c’était bien l’ écouter babiller, comme un petit oiseau
Combien de soirées avaient ils passé à se raconter tout et n’importe quoi , juste pour le plaisir de délirer et de rire ensemble ?
Et même si Gaby avait changé, ces derniers temps, ayant perdu sa légèreté de ton , au profit d’une attitude plus sage et sérieuse , Dom devait bien s’avouer que leurs conversations lui avaient sacrément manqué , pendant tout ce temps .

Après avoir trempé les lèvres dans la chope que la vieille baderne venait de lui poser sous le nez , il prit la parole, tout en dévisageant la jeune femme , qui buvait sa tisane avec prudence.


Fais attention Gab , c’est brûlant

Puis il continua, un petit sourire aux lèvres :

Je ne sais pas comment tu fais , toi…Mais tu as l’art de te trouver toujours à l’endroit et au moment où il ne faut pas ;
A croire que tu attires les armées en faucheuse ou les brigands en manque de deniers.

Quant à passer quarante cinq jours à Chalon…Faut il que le vieux barbu, là haut , t’en veuille , pour t’infliger pareille pénitence !
Je ne souhaiterai même pas ça à mon pire ennemi.

En plus, Delamark et Elsaria , qui ont subi la même punition que toi ,n’en sont toujours pas revenus , c’est dire !

A propos , as-tu des nouvelles de François ?
Pour ma part, je n’en ai aucune


Petite pause , que l’encapuché mit à profit pour boire un nouveau gorgeon, puis il enchaîna :

Quant à moi, je reviens de prendre une bonne respiration en Savoie, avec Lena.
En fait , je n’ai qu’une seule envie : c’est de quitter à nouveau la Bourgogne.
On se demande vraiment à quoi ça a servi tout ça, quand on voit les mêmes qu’avant , à la tête du Duché.


Petite moue de dépit de l’encapuché, avant de reprendre :

Tarbes, me dis tu, Gaby ?
Franchement, je ne te vois pas traverser la moitié des Royaumes toute seule
Déjà qu’aller à Chalon pour toi, c’est la grande aventure …


Le conteur posa à nouveau son regard sur son son amie et finit par ajouter :

Je crois avoir trouvé la solution à ton problème, ma belle
Ou tout au moins , en partie…

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Tombé au champ d'honneur sous les coups de la tyrannie
Gabrylla
Gaby le regardait, souriante en buvant quelques gorgées, Dom lui avait vraiment man??qué, elle adorait passée du temps avec lui. Elle avait effectivement changer, le voyage l'avait fatiguée, beaucoup d'histoires...beaucoup trop...Et maintenant Dom était en couple, il aussi avait changer..beaucoup même mais est-ce que cela n'était pas mieux pour lui

Je ne sais vraiment pas non plus...C'est terrible dès qu'il y a une armée, je me la prend ! Pff...que des violents ! Pas possible, il ne connaisse pas la gentillesse, halala...Moi, petite et sans défense ! Et si parfaite...

La blondinette sourit malicieusement et reprit

Je n'ai aucune nouvelle...Ezio m'a dit qu'il est restée sur Dijon, c'est tous ce que je sais, je lui est envoyer une missive, il y a peu de tant mais aucune réponse...J'espère qu'il va bien..! Mais bon, je ne m'en fait pas pour François, où qu'il soit, il reviendra !

Gaby l'écoute en buvant quelques gorgées, elle regarda autour d'elle voir si des personnes était présente, puis elle reposa ses yeux que Dom en souriant


Oui Tarbes, on m'attend la-bas, je dois allez chercher un ami, qui reviendra ensuite à Dijon avec mi, enfin normalement...
Oui en effet...Chalon, mais bon ! En même temps qu'elle idée de m'attaquer dans ma propre ville ! Idiote d'armée !
Hum...Et quelle solutions ?

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Domdom
L’encapuché laissa passer un peu de temps, avant de répondre à Gabrylla.
Le temps que la vieille pie , qui traînait toujours derrière le comptoir, l’oreille aux aguets , ne quitte la salle commune en direction de la cuisine.

Baissant la voix , ce qui lui donnait un ton de conspirateur , il enchaîna, son éternel petit sourire aux lèvres :


Eh bien...Voilà ce que je te propose, Femme Parfaite …

Après un râclement de gorge , histoire de la faire patienter un peu plus :

Je dois partir pour le Poitou d’ici quelques jours… Pour Saintes, plus précisément …
Je vais escorter là bas une petite fille de huit ans , Jenny , qui va y retrouver sa mère , Psy , une amie que je n’ai pas vue depuis longtemps et à qui j’avais promis une visite.


L’encapuché se pencha alors vers sa besace et en extirpa un vieux vélin tout fripé , qui se révéla être une carte des Royaumes , qu’il étala sur le bois de la table de chataignier , juste entre eux deux.

Posant le doigt sur un point de la carte, il reprit :


Regarde…Saintes est ici , un peu au nord de Bordeaux, près de l’océan
Et Tarbes est…..


Domdom chercha un instant , puis pointa un autre endroit sur la carte , un peu plus au sud :

ici !

Le conteur redressa la tête vers la blondinette, afin de s’assurer qu’elle avait bien suivi ,puis il continua :

Sachant que Dijon se trouve là haut , plus au nord est , on pourrait faire un bon bout de chemin ensemble , Gaby.

Laissant glisser son doigt sur la carte , pour matérialiser le trajet qu’il avait déjà imaginé , il stoppa son action sur un point :

Au moins jusqu’à Sarlat , ici … ou Perigueux , un peu plus à l’ouest…
Ensuite , il te resterait à peu près six jours de route jusqu’à Tarbes.


Nouveau regard interrogateur vers son amie :

Que penses tu de ma proposition, Gaby ?

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Tombé au champ d'honneur sous les coups de la tyrannie
Gabrylla
La blondinette l'écouta attentivement et sourit en le voyant guetté Gertrude, elle vit Dom poser la carte sur la table et leva un sourcil attentive.

Oui, dit moi tout

Elle l'écouta en regarda la carte, suivant son doigt et sourit tous en hochant la tête. Une fois Dom finit Gaby posa sa main sur celle de Dom et le remercia puis enleva sa main et lui répondit doucement

Merci Dom, c'est très gentil de ta part, mais je ne préfère pas...Tu le sais, je en veux pas...Lenada voyagera avec vous, et elle ne m'apprécie pas, je ne veux gâcher son voyage donc votre voyage. Vous seriez bien mieux tous les deux. Sa vous fera du bien à tous les deux de voyager ensemble et je ne veux m'interposer là dedans.

Elle s'arrêta un peu bu une gorgé de la choppe de Dom car elle avait finit sa tisane, replaça ses boucles blonde, sourit et continua

Je te remercie vraiment, mais je préfère me débrouiller, ne t'inquiète pas pour moi.
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Dame_gertrude.


Gertrude avait laissé la demoiselle et l'autre gougnafier discuter ensemble et s'en était retournée dans sa cuisine.

Encore une fois , il lui avait coupé la parole, le conteur.
Elle n'avait même pas eu le temps de répondre à la jeune blonde , qu'il se l'était accaparé, sans se soucier le moins du monde qu'il dérangeait une conversation .

Le savoir vivre n'était pas son fort, à celui là !

En plus, il lui avait commandé une bière, comme à une domestique, sans un s'il vous plait" , ni "merci".

Qu'est ce qu'on lui trouvait ?
Déjà qu'il avait embobiné Mademoiselle Sonia , au point de se faire passer , en l'absence de la propriétaire des lieux, pour le patron de l'auberge.
Penser à sa jeune patronne , dont elle n'avait aucune nouvelle , tira une larme des yeux de la vieille servante.
Où pouvait elle bien être?
Que faisait elle ?
Pourquoi ne donnait elle pas de nouvelles ?

Même l'autre casse pied , dans la pièce d'à côté , n'en savait rien.
Une si longue absence devenait inquiétante.

Reniflant un bon coup , puis s'essuyant les larmes d'un revers de manche , Gertrude s'approcha de la porte de la salle , pour écouter un peu mieux la conversation d'à côté.
Des fois qu'elle apprenne des nouvelles sur ce que devenait Mademoiselle Sonia.
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