Lulli
[Pas mal de temps plus tard, deux mois peu être]
Lysbeth, entourer d'un châle sombre, entre dans la taverne qu'elle connaît bien. Elle referme sans faire trop de bruit la lourde porte en bois en sentant l'odeur qui se dégage du lieu. Elle ne savait pas tout à fait si Germaine serrait d'accors pour l'arrangement mais elle avait préparer ses arguments. Elle se dirigeât droit sur la vieille derrière son comptoir et lui fit un large sourire.
Bonjour Germaine ! Vous allez bien ? cela fait un moment que je ne suis pas passer ici... j'ai plusieurs choses à vous dire mais avant tout j'ai quelqu'un à vous présenté...
Lysbeth fit un sourire voilant tout ses sentiments contradictoires, elle ouvrit d'un geste théâtre son châle. Dans ses bras, un petit bébé au cheveux sombre regardait autour de lui sans proférer un son. Son regard se portât vers Germaine et l'enfant la dévisageât.
J'aurai du venir plus tôt, elle à déjà trois semaine, j'ai accoucher dans la nuit du 16 au 17 septembre il me semble... avant que vous me posiez la question : elle n'a pas encore de nom. C'est un enfant qui devait ressembler à ce que je fut... elle ne pleur ni ne cris, elle observe le monde...
Lysbeth sourit à Gertrude, puis se décidat à lui dire le fond de sa pensée et le but de sa pensée.
Depuis que j'ai la petite, je ne vais pas très bien... j'oscille entre amour et haine, regardez ses cheveux sombres... Je ne sais jamais que pensée... Certaines personnes me sermonne de n'avoir assez d'amour pour la petite comme si tout était si simple... Je n'ai plus vraiment de proche sur Dijon, plus vraiment de lieu de recueillement non plus... Je... je voulais savoir si vous accepteriez que je vous aide ici...
elle fit un geste de son bras libre pour englober l'espace et ce dit qu'elle avait été peu être un peu trop brutal. Elle sourit donc à Gertrude qu'elle aimait sincèrement bien.
Avec ma petite, je suis tout le temps seule, ici il y a du monde mais je ne puis rester en taverne tout le jour sans travailler... je me demandais si vous ne serriez pas d'avis de m'apprendre votre métier, que je le face avec vous. Si il y a une chose que je ne sais pas faire c'est bien de compter les sous mais si vous ça ne vous pose pas de problème, je pourrai vous aidé pour nettoyer la salle ou servir quelques clients, et même pour arranger les literies dans les chambres au premier...
Lysbeth sourit à nouveau à Germaine, elle espérait obtenir gain de cause pour son ami Dom qui repartais pour toujours, rien que d'y pensé son cur se serrai mais cela valait mieux, surtout si la femme avec lui partait aussi, elle n'avait rien contre elle d'autre que la violence de ses jugements. Elle ne digérais pas le fait d'être rabaisser, sans pouvoir répondre, par de beau sentiment d'une jolie personne.
Lysbeth, entourer d'un châle sombre, entre dans la taverne qu'elle connaît bien. Elle referme sans faire trop de bruit la lourde porte en bois en sentant l'odeur qui se dégage du lieu. Elle ne savait pas tout à fait si Germaine serrait d'accors pour l'arrangement mais elle avait préparer ses arguments. Elle se dirigeât droit sur la vieille derrière son comptoir et lui fit un large sourire.
Bonjour Germaine ! Vous allez bien ? cela fait un moment que je ne suis pas passer ici... j'ai plusieurs choses à vous dire mais avant tout j'ai quelqu'un à vous présenté...
Lysbeth fit un sourire voilant tout ses sentiments contradictoires, elle ouvrit d'un geste théâtre son châle. Dans ses bras, un petit bébé au cheveux sombre regardait autour de lui sans proférer un son. Son regard se portât vers Germaine et l'enfant la dévisageât.
J'aurai du venir plus tôt, elle à déjà trois semaine, j'ai accoucher dans la nuit du 16 au 17 septembre il me semble... avant que vous me posiez la question : elle n'a pas encore de nom. C'est un enfant qui devait ressembler à ce que je fut... elle ne pleur ni ne cris, elle observe le monde...
Lysbeth sourit à Gertrude, puis se décidat à lui dire le fond de sa pensée et le but de sa pensée.
Depuis que j'ai la petite, je ne vais pas très bien... j'oscille entre amour et haine, regardez ses cheveux sombres... Je ne sais jamais que pensée... Certaines personnes me sermonne de n'avoir assez d'amour pour la petite comme si tout était si simple... Je n'ai plus vraiment de proche sur Dijon, plus vraiment de lieu de recueillement non plus... Je... je voulais savoir si vous accepteriez que je vous aide ici...
elle fit un geste de son bras libre pour englober l'espace et ce dit qu'elle avait été peu être un peu trop brutal. Elle sourit donc à Gertrude qu'elle aimait sincèrement bien.
Avec ma petite, je suis tout le temps seule, ici il y a du monde mais je ne puis rester en taverne tout le jour sans travailler... je me demandais si vous ne serriez pas d'avis de m'apprendre votre métier, que je le face avec vous. Si il y a une chose que je ne sais pas faire c'est bien de compter les sous mais si vous ça ne vous pose pas de problème, je pourrai vous aidé pour nettoyer la salle ou servir quelques clients, et même pour arranger les literies dans les chambres au premier...
Lysbeth sourit à nouveau à Germaine, elle espérait obtenir gain de cause pour son ami Dom qui repartais pour toujours, rien que d'y pensé son cur se serrai mais cela valait mieux, surtout si la femme avec lui partait aussi, elle n'avait rien contre elle d'autre que la violence de ses jugements. Elle ne digérais pas le fait d'être rabaisser, sans pouvoir répondre, par de beau sentiment d'une jolie personne.