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[ RP ] la Maison des Délices

Elfarranne
Elfarranne regarda Attala et sourit. Elle comprenait que la jeune femme brune qui était si pleine de vie, ne supportait pas de rester au lit sans rien faire, aussi quand celle-ci lui dit :

Citation:
Arf... je te cause bien des soucis... je ferai comme tu dis.
Je veux point abuser alors je vas me remettre au plus vite!
heu... snif snif... y'a quoi dans ton onguent? Ca sent bizarre...

Dis, Elfarranne... c'est long pour estudier et apprendre la médecine? Pasque finalement, finalement... j'a bien envie de tenter. Plus je te vois faire et plus ton art m'intéresse.


Dans mon onguent il y a de l’arnica, du millepertuis et de la pervenche. Je trouve que ton idée d’étudier les pouvoirs des plantes et bien. Par contre pour devenir médecin, les études sont longues et chères. Je vais te prêter un de mes livres, cela t’occupera l’esprit.

Elfie sortit un instant de la chambre et revint quelques minutes plus tard un livre dans la main.

Voilà, une sorte d’herbier avec des dessins de plantes et les affections qu’elles guérissent. Prends en soin, c’est tout ce qui me reste de ma mère adoptive. Quand cette brave femme a compris que je m’intéressais aux plantes pour soigner toutes sortes d’animaux que je ramenais, elle m’a appris.

Puis Elfarranne se dirigea vers la porte pour laisser Attala tranquille. Mais au derniers moment se ravisa et vint s’assoir sur le bord du lit.

Heu….. Attala, une chose me tourmente. Je ne sais point si je vais garder cette maison ouverte. Il n’y a pas de clients. Mes filles s’ennuient et j’ai bien peur qu’elles partent, ce que je comprendrais d’ailleurs.

Je suis déçue, je pensais avoir eu une bonne idée, mais soit les Narbonnais sont hypocrites, soit ils sont vertueux. Même les voyageurs ne sont point curieux.

Je ne sais plus quoi faire du tout de cette maison. Bon je te laisse pardon de t’avoir parlé de mes problèmes. Je te laisse tranquille.


Puis Elfie quitta la chambre de la brunette et descendit l’escalier pour se diriger vers son bureau. Une fois installée dans son fauteuil, elle soupira et se perdit dans ses pensées.

Soudain elle entendit frapper à la porte de son bureau

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Deodin
Le veille homme avance sur la plage, le vent de cette soirée mélant le sable à sa barbe blanche...Bon...d'accord faut l'avouer, il n'est pa tout jeune Deodin, mais encore fringuant comme un jeune larrons sortie des jupons de sa matronne que je vous dit...

Le voila devant le bordel Locale, boudious, fait frisquet se soir, et c'est bien naturelement que le veille homme vien se réchauffer entre les cuisse d'une jouvencelle aguérie....

Il toque, la porte s'ouvre et la, s'offre à lui un spéctacle alléchant...Des femmes,toutes plus attirantes les une que les autres attendent royalement l'arrivée d'un client...Et le client...C'est lui...

Les yeux ronds comme des écus, il s'approche...
Hola jeune damoiselle!!!Je suis vieu, aigris de surcroit..mais...je n'aurais rien contre le fait de partager une verre ou deux avec l'une d'entre vous...Et ensuite...

Le vieux laisse ses mots en suspent...Jette son mantelle sur le sol, et s'installe,fixant de ses yeux agée, mais non moin vifs, chaque femmes...Appréciant avec l'oeil d'un connaisseur chaque descente de reins, chaque silhouette...
Attala
[Retour au bercail... ou ce qui y ressemble le plus]

Les voyages à cheval, surtout en croupe derrière un soldat pressé de remplir sa mission, c'était décidemment pas sa tasse de thé (désolée mais j'ai rien trouvé de raccord avec l'époque).
Du coup, Attala était revenue à pieds de Carcassonne. Une nuit à marcher. Une nuit sans lune mais sans brigand aussi.
L'occasion de vérifier que ses côtes allaient beaucoup mieux. Par contre, côté postérieur...


Maudit canasson! Et cruche que je suis d'avoir oublié cet onguent à l'arnica!

Avant d'entrer à Narbonne, la brunette avait fait un détour par la mine pour noter les derniers passages, puis un tour en taverne histoire de se désaltérer.
Quelques rencontres intéressantes.
Puis, épuisée elle s'était enfin décidée à prendre le chemin de l'établissement d'Elfarranne ne sachant ce qu'elle allait trouver là.
Depuis que la blonde herboriste et tôlière dès lieux lui avait dit vouloir fermer boutique, Attala ne savait que faire pour l'aider.
Les narbonnais vertueux, la Grenouille n'y croyait pas.


Tu parles... bandes d'hypocrites... que ça passe et ça repasse devant la porte sans entrer pis que ça file compromettre des filles innocentes...

Ce soir là en tous cas, personne alentours mais la lanterne rouge était toujours en place et se balançait légèrement au vent du large.
En baillant, Attala poussa la porte.
A l'étage le lit somptueux de la chambre rose l'attendait et elle ne désirait rien d'autre que de s'y laisser tomber.


Scrogneugneu... y'a du monde!

Peu désireuse cette fois encore d'interférer dans le travail des filles de la maison, la jeune femme avance sur la point des pieds pour passer dans le dos du client et pouvoir grimper sans être vue jusqu'à l'étage.
L'homme paraît tout occuper à baver devant ces dames.
La voie est libre...

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Répétons tous en choeur: "Je joue, tu joues, nous jouons, vous jouez, ils jouent!"
Oxide
Oxide se promenait un soir tranquillement et vit au loin une lumière rouge se balançait.

Il continua de marcher dans cette direction et aperçut des gens faire des va et viens devant une grande maison.

Il compris très vite que cette maison était un peu spéciale .

Le temps était médiocre et la curiosité s'installa .

Il poussa une porte et vit un peu de monde , il regarda un peu partout .
L'endroit était joli et chaleureux .

Il se mit dans un coin et s'installa confortablement.
Il ne reconnaissait personne.
Il aperçut quelques jolies filles par ci par là.
Il se sentit vraiment bien dans ce lieu.
Il décida d'y rester un petit moment pour y boire un verre et faire des connaissances .
Socrate86
Socrate errait seul dans les rues de Narbonne, la solitude qu il connaissait bien le rongé petit a petit.
Sans en apercevoir ses pas le guidèrent vers une maison qu il connaissait,celle de son amie Elfarane ou Elfie comme on l appelait plus souvent.
Il s approcha des portes de la batisse et les entrouvris pour regarder a l interieure.
Une magnifique piéce ce trouvé la ,devant lui et plusieurs jolie femmes discutées entres elles.
Dans un coin il apperçu son ami Oxide, il déçida de ce joindre a lui.

bonjour Oxide je peut me joindre a toi ?
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Oxide
Tiens ,Socrate comment vas-tu?
Enfin un visage familier ,ça fait plaisir.
Moi je passai par là et je me suis dis pourquoi pas la visiter , c'est plutot jolie ici.

On va pouvoir boire un coup ensemble .

Je ne savais pas que vous veniez ici , j'avoue que je suis un peu étonné .

Moi je ne devrais pas etre ici mais je suis trop curieux.

Si ade me voit ici , ça va chauffer pour moi.

De toute façon on ne fait rien de mal ,juste boire un coup entre amis.

Lève son verre.

Santé.
Deodin
Boudious, elle était molle ces donzelles, le voila installé, offert, sa bourse pleine et pas une s'approche, il était pas si dégueulasse que ca en plus le vieux Deodin....
Ce retourne doucement, une brune tente le passage, elle ne ressemble en rien au femme qui occupe ce genre d'endroit habituellement...
Et elle tente de ce faire discrète la donzelle...
Le vieux se lève, prend la directions de l'escalier et s'installe sur les marches, bloquant ainsi le passage à la brunette...
Sifflement, il la regarde approchée, exaspèrée...
Il ne peut retenir un sourire...


Et bien Dona, vous comptiez vous faire la malle sans même me saluer...ce que c'est mal polie!!!!!
Ecoutée, je ne vous veux pas le moindre mal, et vous ne semblez pas être du genre frivole, comme les autres la....Donc, vu que je m'ennuit, un verre, en charmante compagnie me tente bien...Vous acceptez?????


Il la détaille, ma Foy bien roulée la petite...Remarque deux gars qui semblent perdus dans le fond....
--Elosia




Elosia se reposait dans sa chambre quand elle entendit du remue ménage en bas. Elle savait qu’Elfarranne était occupée dans son bureau avec Mali. Celle-ci voulait partir et la jeune femme rousse en était chagrinée. Elle descendit l’escalier et trouva Dame Attala, une nouvelle fois prise à partie par un homme. Décidément la brunette plaisait. Un sourire se dessina sur ses lèvres.

Voulez vous de l’aide Dame Attala ?

N’obtenant point de réponse elle se dirigea vers le salon où des bruits de voix lui parvenait. Deux hommes discutaient attendant que l’on s’occupe d’eux.

Bonjour messieurs, je m’appelle Elosia. Puis-je faire quelque chose pour vous ?
Attala
[Intermède dans un escalier]

Dansant d'un pied sur l'autre, indécise, Attala se retrouve prise entre deux feux.
La voie qui un instant avant était libre se retrouve encombrée du client. Un blond entre deux âges vêtu de noir et à la rapidité étonnante.
Surprise, la brunette n'entend pas ce qu'il lui dit car à ce moment, dans son dos, à l'entrée, une voix connue se fait entendre.

Messer Oxide...? Boudiou!

Puis un second homme passe la porte à son tour.
Une seconde, Attala ferme les yeux en grimaçant. La crainte d'être vue là. Non qu'elle ait honte mais à Narbonne les rumeurs ont si vite fait le tour de la ville.
Et pour l'instant du moins pas grand monde n'est au courant de l'endroit où elle loge.
Par chance les deux arrivants ne l'ont pas remarqué dans la pénombre de l'escalier et se saluent avant de s'éloigner.
Du coup, la brunette revient au blond et au moment d'ouvrir la bouche pour lui dire... Quoi au fait?
Nul ne le saura car à ce moment, du même escalier devenu subitement trop étroit descend Elosia.


Citation:
Voulez vous de l’aide Dame Attala ?


Chuuuuuuuuut!


Attala a beau lui faire des grands signes pour lui dire de baisser d'un ton mais la rouquine s'approche déjà d'Oxide et de son compère pour leur souhaiter la bienvenue.

Crediou! Elle a pas idée de hurler mon nom ainsi!? Tout Narbonne va estre au courant!

Il faut réagir.
Ni une, ni deux, sans réfléchir Attala empoigne le blond par son mantel et le tire en haut de l'escalier. Puis dans le couloir jusqu'à sa chambre...la rose.
Refermant la porte derrière eux, Attala s'appuie contre le chambranle, essoufflée comme après une longue course.
Faut dire que depuis un bon moment, elle retenait son souffle.
Et là, la brunette se retrouve bien bête.
C'est sûr, elle aurait du réfléchir... avant!

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Répétons tous en choeur: "Je joue, tu joues, nous jouons, vous jouez, ils jouent!"
Deodin
Précipitation...s'était le mots...précipitation...Voila le Deodin qui ne sait pas trop comment il se retrouve la, tiré par la chétive brunette qui décidément possède une force peu commune....
Le voila dans la chambre rose, décor trop mielleux pour lui...Rictus de dégout devant cette décoration criarde....

Sourire, l'homme se tourne vers la brunette...Elle est la et semble réalisée l'erreur qu'elle vient de commettre...
Il lui sourit, d'un sourire amusé devant la mine déconfite de la jeune femme...

Deodin avance vers le lit, s'assoit sur le bord, et la fixe doucement, caressant machinalement sa barbe....


Eh bien...Moi qui croyais que vous n'étiez guere comme ces femmes qui se pavanent plus bas...Me serait-je trompé????

Nouveau sourire à la jeune femme, elle pique un de ces phare en plus...il tapotte le lit à cotés de lui....

Venez donc vous assoir à mon cotés, racontez moi ce qu'il vous arrive jeune dame...Et ma foy...si votre histoire me parait...raisonnable, je verrais si je vous "consomme" ou pas....

Nouveau sourire du blond à la brune, il la fixe intensément, sachant pertinament qu'il va dévorer sa proie...comme tout prédateurs qui se respecte....
Attala
[Dans la chambre...rose!]

Encore un peu rouge et essoufflée mais la fatigue envolée, Attala observe l'homme.

La sagesse voudrait que la brunette s'en tire avec une de ses pirouettes dont elle commence à avoir l'habitude.
Une du genre distraite "Oups... j'vous ai pris pour quelqu'un d'autre..." ou alors, fierté outragée "Me pavaner?! Mais j'vous permets point! Sortez d'là!" ou encore diplomate "Prenez vos aises... j'vous envoie de suite une des filles..." et de prendre la poudre d'escampette.

Mais la sagesse n'a plus vraiment la côte ces temps-ci...
Surtout quand on se rend compte qu'on a perdu un temps précieux à respecter une fichue promesse et que le ciel est prompt à vous retirer ce qu'il vous a offert.

Alors Attala reste là... tentée par une petite voix qui lui murmure que c'est amusant de jouer avec le feu... que de toutes façons elle peut bien attendre un peu pour voir...

Avec une assurance feinte, la voilà qui s'approche d'un petit dressoir où elle s'empare d'un flacon et de deux verres qui sont bientôt remplis d'un liquide doré.

Verres en mains la brunette va retrouver le blond qui la fixe toujours avec un air gourmand.
Elle lui tend un verre avant de s'asseoir à son tour sur le lit.


Me "consommer"? Pfff... Messer... ne vous moquez point... je sais que j'suis plutost maigrichonne.
Tiens... buvez donc ça... vous m'avez l'air un peu faiblard itou... j'l'ai bien senti quand j'vous ai attrapé... manquerait plus que vous tourniez de l'oeil...
Quant à mon histoire... grand curieux ben... c'est juste que j'loge là grascieusement en attendant que j'décide ce que j'vas faire de ma vie... et que j'tiens pas vraiment à ce que tout Narbonne sache... rapports aux rumeurs...
Et pour vot'e gouverne j'suis point du genre à m'pavaner!
Pis vous estes point passé par ici par hasard y me semble...hein? Santat!


Sur un sourire entendu, Attala descend la moitié de son verre... et manque s'étouffer!

Boudiou! Qu'est-ce que c'est que ça? Arf... c'est fort... pioufff... ça donne chaud!
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Répétons tous en choeur: "Je joue, tu joues, nous jouons, vous jouez, ils jouent!"
Deodin
Décidément, elle était charmante cette jeune femme, et semblais posséder un parler qui laisser pantois les plus vils orateurs....
Nouveau sourire à la brunette, il rit de ses dires...


Chétive n'est point le mot ma belle...Et la chétivitée du corps n'égale pas forcément celle de l'esprit....

Nouveau sourire pour elle, elle lui plait déjas beaucoup cette femme...

Et oui, si je suis venue ici, c'est pour une simple raison...Me sustancer d'un corps...Car à raison de l'amour, il reste des femmes qui offrent leurs corps pour quelques écus....

Petite moue de l'homme, il ne peut cacher ses vices bien longtemps de toute manière...
La voila qui revient avec un verre, emplie d'un liquide ambré à souhait...Deodin remue légèrement son verre, examinant le contenue d'un oeil expert...Porte son verre à ses lèvres, en bois une bonne gorgée...Le voila qui apprecis la douce chaleur qui se répand en lui...
Sourire vers la jeune femme, qui elle semble rougir de l'intérieur...


Et avec tout celas...Malgrès le rapprochement...forcé auquel j'ai eu le droit...Je ne connait point votre nom...Pour ma part, je suis Deodin...

Encore un sourire, décidément, le voila qui finit son verre, laissant sa main se poser doucement sur le bras de la jeune femme, dans l'attente d'une réponse...
Oxide
Oxide discuta avec son ami ,lorsqu'il vit une jolie rouquine s'avançait vers eux.

Il envoya un coup de coude discret à son pote....

Vise moi cette beauté qui arrive vers nous .

[i]
Oxide lui fit un sourire de loin.

Salut beauté , vous tombez bien ,il nous manquait une présence féminine.

Venez boire un coup avec nous , discuter et autres peut etre..

Oxide fit un clin d'oeil à cette belle rouquine.
Socrate86
Socrate ,sourit a son ami Oxide pour le cout de coude qu'il venait de lui donner.
Tu as raison,cette est vraiment splendide mais je prefere cette belle brune aux yeux vert la bas lui dit il en lui désignant des yeux une femme au corp splendide qui attendait seul dans un coin.
Et dit donc la rousse comment s'appelle ta copine la bas ?
Demanda il a la jeune fille qui s'avençai vers eux.
oui la brune toute seule Socrate ,attendi une réponse
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Attala
[A l'étage, chambre rose]


Une main... ce n'est qu'une main posée sur son bras et pourtant Attala en sent la chaleur comme une langue de feu... à moins que ça ne soit l'alcool.
Troublée, la brunette avale une gorgée de plus et bizarrement cette fois, le liquide passe beaucoup mieux.
Puis, ne peut s'empêcher de pouffer à la dernière remarque de l'homme.


Faut-il que vous soyez sourd? Elosia, la rouquine l'a pourtant braillé en nous croisant, dans l'escalier.


Par jeu, Attala se relève et s'incline.


Je suis Attala... à vot'e service... je fais point profession de catin...et cependant... oups!

Le verre dans sa main penche dangereusement et la brunette sent la tête lui tourner.
Alors pour remédier à son tournis elle finit la boisson d'un trait avant de lancer le verre par dessus son épaule et de s'affaler sur le lit un grand sourire aux lèvres.

Deodin... Deodin...

Puis la voilà qui d'une main caresse la barbe blonde, amusée par une ressemblance...


Ma foi Deodin... vous me faites penser à un blond pescheur... qui aurait bien voulu que je prenne un bain avec lui... dire que j'ai refusé à l'époque...


Un soupir s'ensuit, tandis que la brunette joue machinalement avec les boucles de la barbe blonde.

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Répétons tous en choeur: "Je joue, tu joues, nous jouons, vous jouez, ils jouent!"
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