Afficher le menu
Information and comments (0)

Info:
Unfortunately no additional information has been added for this RP.

[RP]Naissance, bébés et tutti quanti

Erwyndyll
Octobre... La comtesse était assise à sa table de travail, lisant et relisant encore quelques balades qui venaient de parvenir jusqu'à elle. C'était là ses uniques distractions depuis un moment, ses médicastres lui ayant interdit tout effort après les perturbations de ces dernières semaines.

Citation:
Qu'est ce que j'oy ? - Ce suis je. - Qui ? - Ton cueur,
Qui ne tient mais qu'a ung petit filet.
Force n'ay plus, substance ne liqueur,
Quant je te voy retrait ainsi seulet,
Com povre chien tapi en reculet.
- Pour quoy est ce ? - Par ta folle plaisance.
- Que t'en chault il ? - J'en ay la deplaisance.
- Laisse m'en paix ! - Pour quoy ? - G'y penseray.
- Quant sera ce ? - Quant seray hors d'enfance.
- Plus ne t'en dis. - Et je m'en passeray.


Elle referma le livre en poussant un soupir. Au dehors, l'on pouvait entendre ses gens occupés à leurs diverses tâches. Que n'aurait-elle pas donné pour pouvoir sortir, prendre l'air et s'échapper à cheval pendant quelques heures. Quitter cette chambre dont elle connaissait tout coin et recoin...

Nouveau soupir...

Elle se leva lentement, l'heure du diner était à présent venue. Encore une fois, on allait lui présenter une bonne dizaine de plats auxquels elle ne toucherait pas et encore une fois la cuisinière ferait mine de ne pas s'en soucier alors qu'intérieurement elle pestellerait contre toute ce travail fait pour rien.

Routine, routine, encore et toujours...

Ah ! Tiens ! Voilà un petit quelque chose d'inhabituel... Légère douleur dans le bas du dos. Hmmmm... ne pas y attacher d'importance et cela passera comme c'était venu !

Allez, un peu de poésie pour passer le temps ! Cependant, aucune des œuvres qu'elle put lire ne lui apportèrent la paix. La douleur était toujours là, aiguë par moment, plus faible à d'autres mais toujours présente quand même...

Non, non et non ! Hors de question, cela ne se pouvait ! Pas aujourd'hui, pas en ce moment, pas maintenant ! Pourquoi ? Tout simplement parce qu'elle n'était absolument pas motivée pour accoucher ! Elle s'allongea un moment sur son lit, espérant aller mieux, se tourna à gauche, à droite, tenta même un moment une approche ventrale mais rien n'y faisait...

Elle dut bien se résigner... Le moment était arrivé. Étrangement, elle se sentait bien, pas de panique, du moins pour l'instant. Elle se rendit à sa table de travail, y écrivit un bref mot pour celui qui était toujours légalement son mari puis s'époumona à appeler sa suivante. Attendant cette dernière, elle se demandait si elle verrait le longues oreilles... Sa présence lui ferait-elle plaisir ? Elle dut reconnaitre qu'elle n'en avait aucune idée... Qu'il vienne ou non ne l'aiderait pas de toute façon.



Faites prévenir la sage femme je vous prie... eau, chiffons propres etc vous savez mieux que moi ce qu'il faut dans ces cas la...

Elle observa la rombière... Sans nul doute avait-elle vu plus d'accouchements que la comtesse. Après de multiples tractations destinées à faire accepter a ce dragon femelle qu'elle pouvait bien rester seule 5 min, son Cerbère s'absenta.
Tandis qu'elle l'entendait courir dans les couloirs, Erwyn soupira... Au moins la routine du jour serait brisée... Demain serait différent.

_________________
Phelia_valbony
[Au revoir les vacances...]

En voyage à Arras avec son compagnon. Phélia ne s'attendait pas à recevoir un courrier de la Comtesse, la prévenant qu'elle allait bientôt accoucher.
Un large soupir se dessina sur son visage. Elle allait devoir encore repousser ses vacances.
Trousse de médecin toujours avec elle, la Sage-Femme savait qu'elle avait gagnée quelques heures.
Il fallait se dépêcher ou le bébé allait devoir se débrouiller comme un grand...Enfin grand..Hum..

Elle siffla sa monture, chose qu'elle gardait précieusement avec elle depuis qu'on lui l'avait offert le jour de la Saint Nicolas. Son petit cheval l'attendait sagement vers l'abreuvoir. On se demandait même si il y avait de l'eau ou autre chose dedans. Le cheval bougeait tout seul..

Elle sortit un morceau de parchemin de l'encre et se mit à écrire comme elle pouvait sur le dos du cheval. Elle pesta souvent contre lui, car il lui donnait des gentils coups de queue.




Elle relisait rapidement son courrier avant de l'envoyer.
Phélia grimpa alors sans attendre sur sa monture et parti au galop jusqu'à Amiens.
Chose pas du tout facile à faire. Et assez long. Mais qu'importe. Il lui fallait faire son devoir.
Ses doigts étaient crispés sur la crinière de son cheval, un peu gelés par le temps.


[Après de très longues heures à galoper...]

Devant Amiens, Phélia pesta car elle ne connaissait pas l'adresse de la Comtesse! Oui...Elle ne connaissait pas toutes les adresses des grands châteaux elle.

Bon..Fallait stopper un passant, mais vu l'heure qu'il était..C'était un peu dur. Puis, ayant du courage, la pauvre femme descendit de son truc à poil et alla jusqu'à une taverne.

"B'soir M'sieurs, J'voudrais savoir où est l'Domaine de Guines et m'mentez pas ou j'vous botte les fesses."

Les hommes se précipitaient pour lui dire l'adresse. Alors...A gauche..Puis à droite...On passe devant une vieile maison..On sort d'Amiens..On apprête un chemin...Oui ben non.. A coup sûr, la donzelle allait se paumer dans la cambrousse.

"Yepppp vous! Savez quoi, vous allez m'accompagner, et j'vous donnerai quelques piécettes en retour."

V'là qu'ils partirent tous les deux jusqu'au Domaine de Guines. Ils étaient passés par des endroits peu fréquentable, et la jeune femme eut un mal fous à se retenir de partir en courant. Mais si elle partait..Ben elle serait vraiment perdue.


[Arrivée devant le Domaine.]


Hum..Grille ouverte..Parfait! Elle pénétra après avoir donné les écus à l'homme et se baladait d'un pas très rapide dans les jardins à la Française de la Comtesse.
Devant la maison..Phélia resta bouche bée.


"Oui..Grande demeure."

La jeune femme hésita quelques minutes à frapper à la porte..Puis, en reprenant son courage à deux mains, elle tapa de toutes ses forces contre l'énorme porte en bois avec le revers de sa dague. Elle devait faire un de ses bruits.. Mais qu'importe, elle était sûre qu'on allait l'entendre.
Enfin la porte s'ouvrit et une gentille domestique pointa son nez vers elle.


"B'soir Dame, j'viens accoucher la Comtesse! On m'a appelé. Faites vite, j'voudrai pas qu'elle m'reste sur les bras! C'est une Comtesse tout de même."

La Domestique ne disait pas grand chose, et la laissa rentrer. Puis d'une voix douce et mielleuse, elle répondit.

"Ma Dame la Comtesse est dans sa chambre, elle a des douleurs il me semble. Le travail n'a pas commencé, mais il devrait tarder. J'ai prit le temps de faire préparer une bassine d'eau chaude avec des tissus propres."

Phélia inclina rapidement la tête avant de monter les escaliers, deux par deux pour arriver plus vite vers la Comtesse.
La Dame de Compagnie ouvrit la porte, et ses yeux se posèrent toute suite sur la Comtesse allongée sur le lit.

La future "faiseuse d'ange" s'inclina vers Erwyn avant de s'approcher.


"Bonsoir Ma Comtesse, j'espère que vous êtes prête... Ressentez-vous quelconques douleurs? "
_________________
Gregoire.
Il faisait sombre.
Il avait chaud.

Cela faisait déjà depuis plusieurs mois qu'il nichait dans les entrailles de sa porteuse, à attendre le bon moment pour lui envoyer un signe, et l'avertir que la chaleur devenait insoutenable. Depuis tout ce temps à remarquer qu'il grandissait, à tapoter ici et là quelques parois, ou à jouer avec ses pieds, et pourtant, il savait pertinemment qu'il ne vivrait pas là éternellement, que quelque chose de nouveau l'attendait derrière cette enceinte de chairs qui le ceignait et l'enveloppait abondamment. Ses yeux étaient fermés, il ne voyait rien, il entendait mal, et ne discernait qu'une sorte de tuyau qui le reliait quelque part. C'était ça, cet être était attaché, ligoté à sa propre vie, et dépendant du temps. Car malgré ses appels au secours et son abandon précoce à dompter son environnement, il était perdu et ne pouvait que hurler intérieurement, dans l'attente de se faire entendre, et de crier sur cette mère qui l'avait tant étouffé en elle.

Était-ce de sa faute ? Pouvait-on imaginer qu'elle en ait fait exprès de retenir en otage, en son sein, un individu fragile et sans défense ? Foutaises ! Elle aussi était la simple victime d'une nature qui faisait les choses d'une façon fortuite. Car ce qu'elle protégeait dans son ventre, ce n'était que le fruit du hasard, un pépin qui n'attendait qu'une seule chose : sortir de la terre.

Elle mangeait peu. Ils ne se connaissaient pas. La seule chose qu'il pouvait ressentir, c'était cette douceur qu'elle lui apportait. Souvent, cette femme lui témoignait une affection particulière, en lui adressant quelques caresses et quelques mots. Lui, il ne comprenait rien, mais il aimait l'écouter, il était attaché à elle, il savait quand elle était triste ou non. Sa voix raisonna en lui, la chaleur l'envahit une nouvelle fois. Il ne savait rien de lui, car son existence dépendait d'une seule personne, de celle qui allait lui donner la vie.

Il se tordit. Il ne tenait plus. L'inconnu ne lui faisait plus peur, il voulait découvrir son monde. Un élan, ce pied qui se cogna contre cette barrière. Elle ne céda pas. Tantôt de nouveaux essais, tantôt quelques défaites. Une énième tentative, et le coup porté fut décisif : il venait de l'affaiblir et n'allait pas tarder à sortir.

_________________
Erwyndyll
Ne pas crier, ne pas crier, ne pas crier...
Se comporter en noble, être impeccable en toute circonstance, être parfaite ou au moins tenter de l'être... Mais qui avait pondu pareille stupidité ?!
Les femmes nobles d'avant ne devaient pas accoucher de la même manière qu'elle ... ou alors avaient été muselée... impossible autrement!
De la main gauche, elle s'accrocha au drap, qu'elle avait furieusement envie de mordre de toutes ses blanches dents. De l'autre, elle cherchait quelque chose, n'importe quoi qui pouvait faire passer cette fichue douleur.
Rien, rien et rien !
Mais qu'avait-elle donc fait pour mériter ca ?! Elle en vint à se dire que jamais, plus jamais, elle ne partagerait la couche de son mari, ce qui dans un sens, risquait fort bien d'arriver au vu des dernières nouvelles, de peur de retomber enceinte un jour.


Bonsoir Ma Comtesse, j'espère que vous êtes prête... Ressentez-vous quelconques douleurs?

Ah ! Une voix amie ! Un soulagement. Elle ouvrit les yeux, tenta de sourire, ce qui échoua lamentablement.

Pas du tout... Je vais admirablement bien ! D'ailleurs je pense que je devrais me lever pour la prochaine joute. Si vous voulez bien m'aider...

Petit clin d'œil pour faire comprendre à son amie qu'elle plaisantait, nouvelle tentative -échouée – de sourire... Elle agrippa sa main au moment où une nouvelle contraction se faisait sentir tout en se mordant les lèvres.

Il avait intérêt à être gentil, sage et adorable ce bébé !

_________________
Phelia_valbony
[Quelques heures étaient passées...]

Erwyndyll était en plein travail....Plus le temps avançait, plus ses contractions se faisaient plus rapides et douloureuses. Ses dents se crispèrent de plus en plus, quant à Phelia, elle soufflait pour ne pas s'évanouir. La fatigue de la route l'avait rendu plus vulnérable.
Ses doigts se pliaient et se dépliaient vite. Elle lui demanda de s'allonger correctement, mais également, d'écarter les cuisses pour pouvoir faire sortir le futur Seigneur de Guines.
Il fallait contrôler les contractions, et avoir à disposition une paire de ciseaux en fer, une bassine d'eau chaude. Tout était en place.

Des gouttelettes commençaient à apparaître sur le front de la jeune future mère, c'était maintenant ou jamais. L'enfant devait sortir du ventre de sa porteuse.

Phelia se pencha pour observer où en était le travail. On pouvait déjà voir des petits poils au devant.
Tout en relevant la tête, la jeune faiseuse d'ange comptait dans sa tête, ou du moins, elle essayait de compter. C'était plutôt grossier, vu qu'on pouvait entendre dans toute la chambre « 1, 2, 3, 4 »

A chaque fois qu'elle devait faire accoucher quelqu'une, elle perdait son sang froid...Il fallait dire, elle avait le sang chaud normalement! La jeune femme voyait dans le lit sa soeur...Lorsqu'elle l'avait fait accoucher, c'était à chaque fois la même répétition. Il fallait rassurer la mère, l'encourager à faire sortir son enfant. Prévoir tous les incidents pouvant subvenir durant l'accouchement. Et apporter l'enfant dans les bras de sa mère, puis finir par appeler le papa.

Ses yeux fixaient Erwyn, puis l'ouverture, Erwyn et l'ouverture avant de finir par hurler avec sa voix assez aigüe.


« Maintenant POUSSEZ »

La Comtesse s'exécutait, avec grand mal...mais le bébé commençait à pointer enfin le bout de son nez. Maintenant, elle devait reprendre son souffle, et Phelia lui indiqua gentiment comment faire, se ridiculisant en imitant le chien. Le but était de faire sourire la Comtesse pour la dé-stresser.

« On y est presque... »

L'avantage pour Phé, c'est qu'elle pouvait travailler correctement, elle ne connaissait pas cette douleur, donc l'accouchement était un travail comme un autre..Si ce n'est qu'elle pouvait lire sur le visage des Dames à quel point cela pouvait être dur et douloureux.

Une nouvelle contraction venait d'arriver, et le beau visage de la Comtesse se pliait sous la douleur, elle devait se concentrer pour expulser la chose qu'elle avait dignement porté durant 9 mois consécutifs.
Là, c'était la tête du bébé qui sortait. Miracle! Maintenant, c'était au tour de la sage-femme de faire son travail.

Ses mains s'agrippaient à la tête de l'enfant, prêt à le sortir du ventre de sa mère, à tout instant, dès qu'une contraction viendrait.


« Je vois sa tête...Courage ma Comtesse, tout va aller, mais il faut un dernier effort et votre enfant sera dans vos bras... »

A cet instant, toutes les mères du monde entier devaient penser à leur cher et tendre mari, en train d'être à côté, pendant que leur femme était en train de souffrir. Elles les maudissaient de les avoir mit enceinte, et qu'elles ne voudraient plus jamais accoucher de leur vie. Elles rêvaient toutes qu'un jour, on n'accoucherait plus! Que les enfants allaient tomber du ciel.... Pas faux pour Phelia, elle avait un petit garçon qu'elle avait trouvé, il y a peu, dans les rues..

Ayé, une nouvelle contraction, et elle priait à très haute voix que ça soit la dernière, l'ultime, la plus forte, celle qui allait faire dégager le petit nourrisson..


« Ma Comtesse! Allez-y! Une bonne fois pour toute, de toutes vos forces! Alllleeeezzzz! »

C'était un véritable sport de faire accoucher les femmes, même si on ne le dirait pas. Phelia s'attarda sur l'enfant avant de l'extirper de sa petite cachette...

L'enfant était enfin dehors. Il ne restait plus qu'à vérifier qu'il ne soit pas mort né...Et donna une petite tape sur ses petites fesses toutes ridées....
Le bébé se mit à hurler...très fort. Humpfff, il avait déjà de la voix ce truc...Elle plaignait par avance sa mère.

La Phé sauvage, ensuite, hésita à appeler son mari..Mais elle savait pertinemment que celui là avait préféré partir loin d'elle et son fils. Son héritier. Alors, d'un pas décidé, elle saisit la paire de ciseaux.

« Clap »

L'enfant était libéré de sa mère, enfin, il pourrait vivre et s'épanouir comme tous les enfants. Elle le mit doucement dans la bassine et fit tomber un peu d'eau sur le visage et sur le coup, le nettoyant, bien mais vite. Elle voulait le rendre à sa mère rapidement pour pouvoir s'occuper d'une hémorragie, au cas où...Et de nettoyer.

La sage-femme se pencha vers Erwyn en souriant légèrement.. Elle lui remettait son fils en main propre, et en bonne santé. Elle passa ensuite une éponge sur le front de la nouvelle mère, la laissant prendre son souffle...Puis partie ouvrir une fenêtre pour rentrer de l'air frais et un vent nouveau...

_________________
Gregoire.
C'était comme une journée au marché, à l'ambiance cacophonique et aux cris de poissonnières. Retirez simplement les étals, mettez en place un environnement couvert, et imaginez-vous les trois personnages principaux qui jouent la scène d'une façon admirable. La souffrance se fit ressentir, mais ferait place ensuite à la joie. Cet enfant remua de toutes ses forces, tenta de se soustraire de cet enfermement, et se laissa glisser vers la lumière qu'il entrevoyait. Sa mère poussait des hurlements à en frémir, tout du moins, c'est ce qu'il éprouvait, lui, qui était au centre de la pièce théâtrale. Une chose était certaine, pas besoin de compromis, cette femme ne souhaitait pas à ce qu'il reste plus longtemps à l'intérieur de son ventre, et lui, il voulait connaître la liberté, bouger ses petites jambes et ses bras afin de frapper l'air.

Les sons devenaient compréhensibles. Il arrivait à discerner les mots. Cependant, une certaine fraicheur vint à se poser sur son crâne, et une pression éveilla tous ses sens. On était en train de l'agripper, quelqu'un se donnait corps et âme pour le dégager de son antre. S'il pouvait déjà parler, il lui aurait dit de se calmer, et d'arrêter de le prendre pour une sorte de bouchon de baril. Sauf qu'il n'avait rien à dire, subir était la seule chose à faire.

Après d'autres hurlements et de poussées, voilà qu'il naquit dans un nouveau monde. Surpris de cet environnement, et bravant les dangers, il se mit à respirer légèrement. Une claque de la part de la sage-femme, et un cris puissant se dégagea d'entre ses lèvres. C'est qu'elle n'a pas été de main morte. Comment ça une exagération ? Est-ce vous qui avez de petites fesses ?

Hurlant à plein poumon, il fut confié par Phelia, à Erwyndyll. Dans les bras de cette Comtesse, il reconnut la sensation de douceur de sa mère, et se tut quelques instants afin de partager ce doux moment... le petit Grégoire venait de naître et était un beau bébé, aux quelques cheveux blonds.

_________________
See the RP information
Copyright © JDWorks, Corbeaunoir & Elissa Ka | Update notes | Support us | 2008 - 2024
Special thanks to our amazing translators : Dunpeal (EN, PT), Eriti (IT), Azureus (FI)