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[RP-ouvert] La tour de Lenay

Linon
[Premier étage, bienvenue en enfer]

Même pas le temps de finir de pousser le volet que les secours arrivaient. Linon sursauta en entendant la mâle voix d'un preux chevalier mais courut à sa rencontre, persuadée que c'était la fin des ennuis.

Ouiiiiiiiii... ! j'suis làààà !

Pour s'arrêter brutalement en poussant un cri d'effroi à quelques pas d'une créature sortie tout droit de l'enfer lunaire. La silhouette semblait pourtant humaine, mais le visage, ô très-haut, le visage ! Pas de visage ! Seulement le blanc des yeux se découpant dans la pénombre.

Linon brandit face à la créature ce qu'elle avait à la main, à savoir le bout de bougie, en hurlant sur un ton de plus en plus aigu, tendance hystérique :


Vade retro ! vade retro, vade retro, vade retroooo !!!! Je te préviens bête sans nom, je suis pas seule, ya mon mari derrière et c'est un grand Maje !


Tout en parlant, elle avait reculé en trébuchant, et dès qu'elle vit le montant de la porte, elle tourna les talons et s'enfuit dans le noir.
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Lluwella, incarné par Letiti



Lulu scruta la pénombre de l’alcôve de droite. Elle se baissa pour regarder sous le banc. Pas trace de petite fille. Ou alors elle était devenue beaucoup plus petite que quand elle l’avait perdue de vue. Quoique dans cet endroit bizarre, il lui semblait qu’on pouvait s’attendre à tout.

Au moment où elle se retournait pour aller voir de l’autre côté de la cheminée, elle entendit une voix qui disait :

Bonjour, je suis Merelhyn, j'ai entendu des appels à l'aide et j'ai décidé de venir voir...
et qui la fit sursauter.

A peine avait-elle esquissé un mouvement en direction de la voix, dont la propriétaire lui était toujours invisible, qu’un puissant courant d’air traversa le conduit de cheminée générant une longue plainte sinistre. Elle sentit un frisson lui courir dans le dos, sans qu’elle sache si c’était dû au souffle d’air ou au gémissement d’outre-tombe qui l’accompagnait.

Cela lui donna une idée. Elle sortit de la cheminée et se dirigea vers le tas de draps qui semblaient agités d’une vie propre en disant d’un ton faussement angoissé:
Miel ! Vite ! Il faut sortir d’ici ! Il y a un fantôme !espérant que la petite fille sortirait de sa cachette au moins par curiosité, si ce n'était pas par trouille. Pas joli joli de vouloir faire peur à une gamine, mais c'est un cas de force majeure là.
Mordred_
Une porte qui ne s'ouvre pas, même en y mettant toute sa force, le vagabond reste en vain planté devant l'encastrement. Si celle-ci ne s'ouvrait pas, sa voisine battait tel cheveux aux vents, du monde déboulant peu à peu dans l'entrée et les rumeurs allant bon entrain. C'est tout juste surpris par cette affluence anormalement élevé que le Rouge se fondit dans la masse, de sa petite taille qui sait, passerait-il inaperçu ...

Se faufilant par ci, par la, une réflexion bien étrange lui traversait l'esprit, étais-ce un guet-happant que cette missive ? Aurait-il été la victime d'un sombre culte ou il serait l'offrande au malin de ce jour ? Les frayeurs les plus inavouables lui transcendaient l'esprit et alors qu'il cogna quelque chose, surement une jambe, la très reposante tour trembla sous le crie d'une blonde qui faisait son ode aux fantômes.

Déjà bien tremblotant à l'idée être le menu du jour des fous furieux en sa présence, cette nouvelle annonce de visiteur fort peu convenant l'extasiait encore moins. C'est donc tout naturellement qu'il prit les jambes à son cou, direction la porte d'entrée, mais n'avait-il pas fait deux pas, que voilà d'autres jambes qui lui coupaient la route. Faisant office de bille de flipper, l'ambiance n'était pas au beau fixe dans sa tête, il fallait trouver une autre issue. L'entrée bouché par les énergumènes fanatique du Malin ? La porte plus close que le tombeau de Ramses II ? La grande pièce d'ou provenait les voyageurs d'une autre dimension ? Il ne restait à vrai dire que la porte coté gauche de l'entrée, direction l'étage ... Sauver le Maje ... Enfin surtout sauver sa peau à lui.

Ni une, ni deux, il quitta tout ce beau monde dans l'entrée, direction les escaliers, sa seule issue à une mort certaine. Et pour mieux se frayer son passage, avec son esprit complétement retourné, une légère pensée aux fantômes, et courant direction la porte, il crie.


BAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAH !
Merelhyn
Merelhyn s'était figée en entendant ce bruit venu d'outre-tombe. Mains crispées sur son bâton, elle se demandait s'il pouvait lui être utile dans cette situation. Elle commençait à peine à envisager des explications plus rationnelles qu'une intervention du Sans-Nom quand une voix assourdie par la porte se mit à crier qu'il y avait un fantôme.

Un fantôme ? Un fantôme ?!

Paniquée, Merelhyn ne savait pas trop quoi faire, quand elle fut bousculée par un petit homme qui criait comme s'il avait tous les démons à ses trousses. Ne sachant trop ce qu'il fuyait, mais ne voulant pas rester pour le découvrir, Merelhyn se retrouva devant la porte (des escaliers) prête à fuir, craignant un peu que dans leur précipitation le petit homme et elle ne tombent, vu que l'épaisse couche de poussière rendait le sol glissant.
Saltarius
Citation:
Vade retro ! vade retro, vade retro, vade retroooo !!!!


- Non mais... Vade retro toi-même !!!!
Et d'abord c'est qui ce Vade kékchose ?

Saltarius avança dans le noir, essayant de suivre Linon, les deux mains en avant de lui,
il s'engouffra prudemment dans le conduit noir... noir de Noir...
Plus Noir que... Finam au retour d'un pîllage .... Plus noir que l'äme d'un juge inquisiteur dans l'exercice de sa bonté.


- Linon... Attends-moi... C'est je... Saltarius... Saint Plet... Où il est le Maje ?
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Miel.
[RDC. Soufflent les vents ... ]

"Soufflent les vent, tonne l'orage, pleurent les enfants dans leur lit sans bouger. Nul ne sait jamais les consoler sans raconter l'histoire de Lady Fae..."

Y a des moments où il faut se rendre à l'évidence. Notre princesse a beau être une chipie aventurière hyper curieuse, elle n'en reste pas moins une ... gosse.
Naive.
Innocente.
Crédule.
Attentive aux berceuses de sa mère, et histoires folles, majiques de son père, voire parfois... maléfiques! (Surtout quand la petite devient insupportable, faut bien un moyen de la calmer... Merci Hansel et Gretel! **).

Alors, forcément, un souffle de vent aussi puissant, provenant d'elle ne sait où... Elle en frissonne et gémit. Voire hurle. Elle ne sait plus, terrorisée et dans un état second, elle quitte sa cachette et cherche les jupons protecteurs de sa maman.

Et se carapate dans ceux de Lulue, le visage rougie par les larmes, bafouillant, haletant, débitant d'une traite:


Il ... il .. il ... làààà !
Hiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii

Le monstre il va v'nir ! Il va nous manger tout cru ! Avec ses rennes et sa hotte ! Barbe blanche !! Faut partir ! Faut pas le voir !
Papa y dit qu'il faut jamais voir Barbe blanche, et que si on entend un Hohoho, faut fuir !! Le monstre ... le ...


Et se remet à sangloter, tout en entrainant dans sa course une Lulu, qui suit (bon gré, mal gré) l'enfant. Et là, souhaitons bon courage à la nounou de service pour calmer Miel.




--- (les notes des astérisques st expliquées ds le topic hrp) --

_________________
Princesse féerique de Linon & Letiti. Môme de 4 ans 3/4.
Apprentie Maje, sur-douée mais pas encore douée.

« Ça y est... Je vois trouble. C'est le manque de gras, je me dessèche. » (Karadok)

(Oui, un jour, je changerai d'avatar. Un jour.)
Mordred_
T'as beau courir à point, faire un sprint à la Usain Bolt, quand un boulet te vole droit dans la tronche, tu fais grise mine. Et pas qu'un peu ! C'est tout de même effarant de voir la guigne qui poursuivait le petit chevalier, enfin avait-il trouvé porte qui ouvre qu'un maléfice venait s'abattre sur lui. C'était une maison hanté, il n'y avait plus de doute. On aurait plutôt du écrire sur un panneau à l'entrée "Bienvenu, dans la tour de la peur" au moins la surprise aurait été moins cardiaque. Imaginez juste ces pauvres gens, malade du cœur, devant subir toutes ces atrocités, pour certain vieux croutons, de tel évènement pourrait les pousser vers la tombe.

C'est donc une blonde sur lui, qu'il effectua un retour au rez de chaussé, ou il avait eu la malencontreuse idée de refermer la porte derrière lui. Car le voilà pris entre une boule doré et une porte assourdissante qui venait de provoquer un nouveau brouhaha dans l'escalier et dans l'entrée, à coup sûr ! Se démêlant donc, cherchant à s'extirper de cette situation, il hurla à la mort ...


A Moaaaaaaaaaaah ! Les fantômes m'ont capturés ! Aaaaaaaaaaah !

Coup de pied, coup de poing, coup de tête, tout était bon pour arriver à déplacer la masse qui avait fondu sur lui à travers les escaliers. Cette chose palote et doré, tout le profil d'un spectre, sans aucun doute !
Saltarius
Saltarius a la lumière bécassinienne dans la tête.... IL n'a pas peur du noir.
Il a trop l'habitude de ne rien comprendre le Simple.
Il avance tranquillement... murmurant toujours pour ne pas affoler Linon.
C'est vrai, quoi l'ancienne juge est un malabar, l'a vu en découdre sur les remparts... pas envie de finir en Vade réKékchose...


- Linon, c'est moi Saint Plet.
Chboing
- Aîe, Tudieu d'entrailles de Foutrecouillasse de mes deux ... ça fait maleeeeeeeeeeeee


Se baisse pour frotter son fémur endolori... l'a buté dans quelque chose.
Il tâtonne : ça sent la vieille peau...
mêêêê non, on ne parle pas de Linon !
Ca sent... la sueur des méninges, les corps entassés à l'université, la vieille bique séchée et cousue...
Ca s'ouvre d'un côté..
.
- C't'un bouquin... Couillasse que chuis verni... chfuis l'université et ch'tombe encore sur des grimoires
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Merelhyn
Merelhyn aurait bien voulu fuir le plus vite et le plus loin possible, en montant les escaliers qui s'offraient désormais à sa vue par exemple, mais décidément la malchance s'abattait sur elle. Agrippée à la tunique du petit chevalier, son pied gauche dérapa sur la poussière. Pour ne pas perdre l'équilibre, elle avança vivement sa jambe droite... qui vient se cogner à son bâton. Perdue, elle bascula vers l'avant, entraînant dans sa chute le chevalier rouge.

Ce ne fut que grâce à l'infinie bonté du très-Haut, qui veille sur ses Enfants les plus irresponsables, que leurs deux têtes ne cognèrent pas les marches. Il y a un dieu pour les paniqués.

Merelhyn eut à peine le temps de se sentir gênée d'être aussi proche d'un homme, et dans une position aussi inconvenante (pensez donc ! allongée sur lui !) que les paroles du chevalier lui parvinrent.


Les fantômes m'ont capturééééé

Les fantômes ? Quels fantômes ? Les yeux du chevalier la fixaient elle, et non un quelconque monstre dans l'obscurité. D'un coup, Merelhyn pensa que c'était peut-être elle qu'il prennait pour un fantôme, avec sa pâleur acquise pendant ses longues journées de travail à la mine. Cela la dégrisa d'un coup.
Se poussant sur le côté, elle se releva et tendit sa main au petit chevalier.


Je ne suis pas une succube venue voler votre âme, messire, mais simplement une fille venue répondre à un appel à l'aide...
Linon
[Premier étage pour toujours]

Elle courut droit devant elle, éperdument, au risque de tomber dans un trou de plancher ou de se fracasser contre un mur mal placé. Elle entendait le pas lourd de la bête qui la poursuivait, et son esprit affolé lui faisait sentir le souffle rauque du monstre sur son cou. Les chuchotements qui lui parvinrent redoublèrent sa panique et elle poussa un cri tout en plaquant ses mains sur les oreilles sans cesser de courir

Naan ! J'écoute pas, j'entends rien ! Vade retro !!

Car tout le monde sait et Linon aussi que la Bête sans nom use de subterfuges doucereux pour s'insinuer dans l'esprit de ses victimes. Déjà une chance qu'il n'ait pas choisi la voix de Miel. Miel.... Miel Miel Miel.... ! La petite était en bas, la Bête l'avait forcément croisée... et quoi d'autre? En une fraction de seconde, l'imagination de Linon galopa à travers des visions d'horreur, elle poussa un nouveau cri et se jeta sur une ouverture dont le volet laissait passer quelques rais de lumière. Mais cette saleté refusait de s'ouvrir et la jeune femme se mit à la secouer furieusement, enragée à l'idée que la petite gisait à l'étage en-dessous sans qu'elle puisse la rejoindre. Derrière elle, un bruit de choc et des jurons... vite !

Le volet céda. Brusquement déséquilibrée, Linon manqua tomber. Mais elle se redressa vivement et dans le même geste, retroussa ses jupes et enjamba fébrilement l'appui de la fenêtre. Un regard du coin de l'oeil vers l'arrière pour s'assurer qu'elle avait encore le temps... Un deuxième plus lent et totalement incrédule...


... Salt ???

Incroyable... ou alors le monstre avait-il eu le temps de se transformer en visage familier? Indécise, Linon restait bêtement à califourchon sur la fenêtre.

Mais... c'est toi?

Et non seulement Salt, mais Salt avec un livre ! Réalisant sa position, Linon se décida à ramener la jambe à l'intérieur et à revenir dans la grande pièce. A pas prudents quand même. Et en essayant de renvoyer les mèches noires échappées de la longue tresse vers l'arrière.


Euh... qu'est-ce que tu fais là? Tu as vu Miel? C'est quoi ça?

Puis, histoire de garder la tête haute, elle planta les poings sur les hanches

Tu pourrais prévenir, hein ! On déboule pas chez les gens comme ça, surtout sans se laver !

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Nashia


Les on dit court vite... Et les on dit avaient dit a Nash qu'un pauvre bonhomme avait réussit a s'enfermer dans sa tours... La première pensée de la jeune savoyarde était que les Angevins étaient tous des dingues ! Qu'on auraient déjà tous dut les enfermer...
Enfin enfin, ayant trouvé une nourrice potable pas complètement secouée, Nash après avoir rendue visite a son fiancé méchamment abimée, avait décider de se dégourdir les jambe et de foutre la honte à tout ce tas d'angevin débiles qui arrivaient même pas a récupérer un des leur coincé dans une tour.
La jeune Dame de Pettinengo avait prit la route pour la tours... Arrivé tout près elle entendit des bruits étrange... Un frisson lui parcourut le dos... Elle avait entendue parler de fantôme et de trucs bizarre..
Mais non hein ! Elle était nourrice et noble ! Les Fantômes... C'était comme les Dahu ! Ça existais pas hein ! Et puis minces elle devrait être en train de combattre en Savoie... Elle avait bouter un homme y a moins d'une semaine, non non hein... C'étaient pas des histoires qui allaient effrayer notre jeune maman.
Pettinengo s'approcha de la porte... Et stupidement surement, mais par politesse elle frappa a la porte.

Allez Nash ! C'est que des histoires... Si ça s'trouve c't'idiot... Il a oublier la clé sur la porte !

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Nashia, Vagabonde Savoyarde, Dame de Pettinengo...
Mère de Juliette l'abeille et Ronan
Lluwella, incarné par Letiti


A peine le mot fantôme eut franchi ses lèvres qu’il se passa une suite d’évènements extrêmement bruyants quoiqu’obscurs (vu que par là-bas Lulu n’y voyait goutte) du côté de l’entrée. Probablement la propriétaire de la voix qu’elle avait entendu un instant plus tôt, mais pas seulement elle. Une personne seule pouvait pas faire tant de tintouin, si ?

De toute façon, Lulu n’eut pas le temps de s’en préoccuper outre mesure vu qu’une tornade de 60 cm de haut le visage rougie par les larmes, bafouillant, haletant, et hurlant (à défaut d'autre chose, l’avait au moins hérité des cordes vocales de son père, la petite), s’était précipitée dans ses jambes.

Au moins le « fantôme » avait eu l’effet escompté, même si Lulu n’était pas très fière du résultat.
Elle prit la petite fille dans ses bras. Celle-ci bafouillait de manière incompréhensible :


Il ... il .. il ... làààà !
Hiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii


et ensuite :

Le monstre il va v'nir ! Il va nous manger tout cru ! Avec ses rennes et sa hotte ! Barbe blanche !! Faut partir ! Faut pas le voir !
Papa y dit qu'il faut jamais voir Barbe blanche, et que si on entend un Hohoho, faut fuir !! Le monstre ... le ...


Là, Lulu avait beaucoup de mal à saisir l’histoire mais apparemment c’était Titi le responsable de la frayeur enfantine. On a pas idée aussi de raconter des histoires de monstres à une aussi petite fille (on se déculpabilise comme on peut…). Il allait l’entendre quand elle l’aurait en face d’elle, le Titi.

Lulu tenta de rassurer la petite du mieux qu’elle put. Elle lui fit faire le tour de la pièce en lui montrant sous tous les meubles qu’il n’y avait pas de monstres cachés. Elle dégomma le tas de drap à grand coup de pied manquant de se casser la figure. Rien n’y fit. La sirène continuait à lui vriller les tympans à grands coup de hurlements stridents.

En désespoir de cause, Lulu reposa la petite fille par terre, elle prit son arc et ses flèches (si rappelez-vous elle les avait ramené, faut suivre un peu), en encocha une et se pencha vers l’enfant qui pour le coup s’était tue quelques secondes.


Tu vois là, c’est mon arc et surtout mes flèches spéciales monstre à barbe blanche. Je les ai trempé dans l’eau bénite un jour que ton père avait créé un gol… euh on en reparlera quand tu seras plus grande.
Alors là je vais le tuer le monstre. D’accord?


Et elle visa vers l’intérieur de la cheminée d’où la sinistre plainte continuait à sourdre par intermittence.
Nashia


Wazzzaaaaa !!!

Coup de pied dans la vieille porte qui s'ouvre a grand fracas !
Et c'est Nashia qui n'aillant pas de réponse a son tocage de porte rentre en sautant dans la tour... Rame dégainée, prête a assassiné tout les mécréants de la terre entière !
Ouai... Vous m'direz, elle a pas l'air finaude... Empêtrée dans sa robe de Dame, au corset trop serrer, la rame pointer devant elle... En positions de combat dans une salle inconnue ! Et surtout... La lumière apporter par l'ouverture de la porte cesse vite... Puisque moins d'une seconde après l'entrée fracassante de la jeune dame de Pettinengo la porte elle, se referme sans moins de fracas derrière elle...

VRADABOUUUUUUMMM

Faisant sursauter la jeune nourrice et lui arrachant un cris des plus stupide...Puis se reprenant...
Ne pas avoir peur du noir non... Manquerait plus qu'elle croit au histoire qu'elle raconte sur les tour hanté et les princesse prisonnière...
M'enfin en attendant Nash avance... La rame devant... A taton, de peur de se casser la margoulette ou encore de se faire tataner la figure par des gens étrange... Lancer un malheureux



HOUHOUUUUUUU


Et en marmonner tout bas...Rame bien en avant possition tu m'touche j'te bouffe ! Hé vous pouvez rire hein... Mais elle a dégommer un soldat la semaine dernière comme ça !


Ya quelqu'un hein ? dite Y a quelqu'un ?


Finalement la jeune mère se félicitait de ne pas avoir embarquer Juliette Ronan et les chiens... Dans ce noir la Juliette en aurait profiter pour filer... et elle l'aurait surement jamais r'trouver sans compter que les chiens auraient suivit et foutu l'bazard dans la tour, même si ça semblait d'jà être le cas... ! Satané imbécile qui c'était enfermer la haut...
Mais elle commençait a comprendre... M'enfin comme même fallait être barge pour vivre la dedans ! A tout les coup c'était un penthievre ou un de ses proches ! De toute manière dans ce duché de fou, y était tous de la même famille... Entre les oncles, les tantes, les cousins, les fils, les soeurs, les mères, les pères, beau père amantes du beau père ou de la belle mère ! Tous autant qu'ils étaient ils devaient avoir un lien de famille ! Que ce soit au premier ou au quinzième degrés...



Tous des dégénérer dans c'te duché ! Moi qui vous l'dit !

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Nashia, Vagabonde Savoyarde, Dame de Pettinengo...
Mère de Juliette l'abeille et Ronan
--La_tour


Ca s'agitait pas mal dans la tour. Si elle avait eut une conscience croyez vous qu'elle serait amusé de revoir de la vie ou énervée d'être dérangée? Au vu du bruit fait par la cheminée, surement plutôt énervée.
Mais elle possède d'autre défenses. Comment pensez vous que ce ridicule petit bonhomme au chapeau rouge s'est retrouvé coincé la tout en haut?!

Hé oui un joyeux mécanisme faisant parti intégrante de celle-ci.Mais comme tout bon mécanisme, des plans doivent être tracés pour les concevoir, et des notes conservées pour les manœuvrer.

Ainsi la porte pour accéder au deuxième étage n'a pas de serrure. Gageons que même si elle n'a pas pu le voir à cause de l'obscurité", Linon s'en rendra maintenant vite compte.
Pour ouvrir la porte, les indices se trouvent sur le papier griffonné dans le livre. Ceux qui l'auront vu puis lu (à moins qu'on ne le leur dise) sauront ceci:
Citation:
Parce que chaque jour généralement trois sont nécessaire,
Dans cette pièce vitale nous nous cacherons.
Parce que plein d'obscurité et de chaleur,
nous nous révèlerons.
Invidia.
[Aux Allant-Tour, prenant en filature un blondin bourguignon aussi discrètement que possible.]

Un étage ? Deux étages ?
Des énigmes ?
Une tour ?
Un maje ?

Mais bordel de m*erde mais qu'est ce donc que tout ce bordel de m*erde ?(oui les répétitions sont fréquentes chez moi, et vous vous en exaspérerez surement, mais j'pense être le seul narrateur encore debout à une telle heure, donc fermez là, et laissez moi reprendre.)

Quand on a pas encore passer sa seconde année sur terre, on peut pas vraiment considérer qu'on puisse être attiré par ce genre de choses qui font les grands hommes, je parle bien évidemment de la drogue, du sexe et du rock'n'roll. Non, en effet, quand on a 2 ans, ce qui nous intéresse en dehors des mamelles des bonnes femmes que l'on rencontre - mais j'estime avoir déjà largement digresser sur le sujet - c'est surtout les bourguignons.

Les Couards !
Les Pleutres !
Les Laches ! ressassait-il en suivant de près l'autre enflure qui avait fuit devant sa belle épée en bois forgé*. [Invidia ayant défié Arnaud_de_nazdac sans réponse de ce dernier.] Car oui ! Elle était là, cette enflure gémissante et pleurante qui n'avait pas hésité à donner en offrande sur l'autel de la couardise le peu d'honneur qu'il avait pour en venir à refuser un duel contre sa bien petite personne. Ce petit blondin aux allures de bellâtre qui cherchait à lui ravir SA nounou à lui. Sa CACa !

Moulinant de son épée en bois, ayant encore une fois fugué de son domicile pour se lancer dans une de ses rocambolesques aventures, il suivait le blond jusqu'à cet étrange édifice, des envies de meutres plein la tête. Sentir son sang chaud couler entre ses petits doigts, après avoir tabasser à coup de cette si charmante épée son crâne où trônait presque insolemment ces cheveux d'une couleur inacceptable. La vie s'écoulait plus vivement dans ses veines alors qu'il pensait animalement à ce meurtre qu'il pourrait commettre sans une once de remords si ces petits bras n'étaient pas si faiblards, si sa taille n'était pas si ridicule et si son épée n'était point de bois mais composé du même matériau que celle de ces grands hommes qui, par la force de leurs épées, ont réussi à graver leur noms dans les étoiles, illuminant ainsi chaque nuit l’entièreté de l'humanité qui dans un même regard tout plein de milles fantaisies contemple ces constellations millénaires.




[Au rez-de-chaussée, paumé]



Son âme lyrique avait finit par faire s'envoler son esprit, alors qu'il se prenait pour Roland, il n'avait même pas vu où l'avait mené ses pas! Sans même s'en rendre compte son corps bien oisif avait quitté Nout, avait quitté Orion, Hercule et Céphée pour s'emprisonner dans une obscurité sans lumière. Un ciel sans étoile. C'était sa chance, pensa t'il alors. Sa chance d'éclairer ce ciel de milles feux comme l'avaient fait avant lui Andromède, Persée et Asclepios !

Il était bien rêveur le p'tit théo, mais pour l'instant il y voyait autant que s'il avait plongé sa tête entre les seins de La Lumière d'Anjou - quelle jolie paire elle a sérieusement, j'vous conseille d'admirer cela un jour d'ailleurs, si vous êtes en taverne, un regard discret alors qu'un bouton saute sous la chaleur prodiguée par les verres de vin angevin. Personne n'y voit rien, et cela fait toujours bien de se rincer les pupilles. Enfin bref, quittons ses tétons pour revenir à nos moutons.

Or donc. Pour dire les choses plus sobrement : Il faisait noir.
Et le Théo, bien que l'esprit empli de fantasmes où il était le héros d'épopées des plus épiques, se devait de s'avouer à lui même que :
- D'une, il était paumé.
- De deux, il était seul.
- De trois, il avait quand même un tout p'tit peu peur mine de rien ...


Il ... il .. il ... làààà !
Hiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii


Un cri ?! Ca veut dire potentiellement quelqu'un ! Alors qu'il se disait - à lui-même - qu'il n'était que très peu paniqué, voilà que le soulagement d'entendre la voix de quelque chose qui semble humain le fait s'emballer et courir vers cette voix qu'il a entendu.

Booooooohh !!! - Oui j'imite très mal mais vous allez comprendre ensuite ce que c'est -

Dans son empressement à retrouver la source de ce cri, le petit avait oublié qu'une tour, comme tout édifice, était composée de murs qui ne peuvent être franchis en courant avec détermination vers ceux-ci.
Le petit, sonné, gît donc au sol, prenant une seconde pour reprendre ses esprits.
La seconde enfin passée, et ses esprits enfin repris, il comprend que puisqu'il ne peut aller au devant de cette voix, ce sera à cette voix de venir à lui. Il use donc d'un de ses tours favoris pour faire venir à lui ce qu'il désire - certains pourront appeler ça de la télékinésie : Il hurle à la mort sa douleur de manière à ce que nul ne puisse loupé son cri.


Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiin



*Le bois forgé, oui oui, ça existe. Dans la tête du Théo, mais ça existe!
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Fils d'un Hérétique et d'une Madone.
Loup prisonnier d'un corps d'agneau.
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