Le petit Lupanar, incarné par Exquiz
[Le petit Lupanar... ou le petit frère du Grand.]
Petite ruelle mal fréquentée, lueur au gout espiègle qui illumine une devanture quelque peu familière. Entre deux boutiques, les lianes de lierre ont oubliées de sattarder, laissant place à une jolie lanterne rouge, et quelques rideaux de velours derrière la vitrine de cette échoppe aux parfums savoureux.
Bien longtemps que le Lupanar avait fermé ses portes pour manque de clientèles, et peut être aussi demployées. Il nétait devenu quun souvenir délicieux dans la cervelle de quelques habitants et voyageurs, et pour le reste, sétait perdu dans les oubliettes.
Mais voilà quaujourdhui, lombre reprenait vie. On avait presque oublié quentre ces deux murs se tenait encore une vitrine
Le petit Lupanar, cétait ce quon pouvait lire sur lenseigne en levant la tête. Petit frère de lancien, il rendait hommage à des années de plaisirs frivoles.
Les lieux avaient été réaménagés, remis aux gouts du jour, avec quelques tissus bien à la mode et une décoration des plus sublimes. La tenancière était cependant une vielle peau toute ridée, anciennement gourgandine, qui à lépoque faisait fureur.
Elle avait su recruter quelques donzelles dans les quartiers pauvres, plus ou moins jolies, plus ou moins habiles, pas forcément dans lmétier. Quelques affiches placardées dans le village annonçaient la réouverture de cette maison de joie, faisant léloge des plaisirs licencieux et de la volupté égarée.
Si par hasard, vous décidiez de pousser la porte de ce joyeux bordel, vous tomberiez nez à nez avec la tenancière. Maquerelle à la peau trop fardée, aux lèvres bien trop rouges, et aux sourire mielleux. Voilà longtemps que la jeunesse lui avait fait faux bond, et les rides commençaient à sentasser dans un coin dpeau légèrement pendouillant, dévoilant parfois un poil ou deux. Une tête squelettique surmontée dune plume, elle vous fixe de ses yeux globuleux, attendant un geste, un mot de votre part, et espérant avoir devant elle un client potentiel.
Si jamais vous passez outre cette apparence douteuse, demandant la carte de la maison, on vous offrira un thé, ou un alcool bien dosé, attendant que vous fassiez votre choix dans une petite salle dattente, aux murs bleu tendre et aux coussins moelleux enfoncé dans un canapé confortable.
Alors votre choix se fixerait sur une des quelques donzelles piaillant au première étage, en train de se repoudrer le museau et de sarracher dentelles et chiffons afin despérer être la promise dun soir, choisit par vos grands soins.
Vous déciderez alors de demander
Petite ruelle mal fréquentée, lueur au gout espiègle qui illumine une devanture quelque peu familière. Entre deux boutiques, les lianes de lierre ont oubliées de sattarder, laissant place à une jolie lanterne rouge, et quelques rideaux de velours derrière la vitrine de cette échoppe aux parfums savoureux.
Bien longtemps que le Lupanar avait fermé ses portes pour manque de clientèles, et peut être aussi demployées. Il nétait devenu quun souvenir délicieux dans la cervelle de quelques habitants et voyageurs, et pour le reste, sétait perdu dans les oubliettes.
Mais voilà quaujourdhui, lombre reprenait vie. On avait presque oublié quentre ces deux murs se tenait encore une vitrine
Le petit Lupanar, cétait ce quon pouvait lire sur lenseigne en levant la tête. Petit frère de lancien, il rendait hommage à des années de plaisirs frivoles.
Les lieux avaient été réaménagés, remis aux gouts du jour, avec quelques tissus bien à la mode et une décoration des plus sublimes. La tenancière était cependant une vielle peau toute ridée, anciennement gourgandine, qui à lépoque faisait fureur.
Elle avait su recruter quelques donzelles dans les quartiers pauvres, plus ou moins jolies, plus ou moins habiles, pas forcément dans lmétier. Quelques affiches placardées dans le village annonçaient la réouverture de cette maison de joie, faisant léloge des plaisirs licencieux et de la volupté égarée.
Si par hasard, vous décidiez de pousser la porte de ce joyeux bordel, vous tomberiez nez à nez avec la tenancière. Maquerelle à la peau trop fardée, aux lèvres bien trop rouges, et aux sourire mielleux. Voilà longtemps que la jeunesse lui avait fait faux bond, et les rides commençaient à sentasser dans un coin dpeau légèrement pendouillant, dévoilant parfois un poil ou deux. Une tête squelettique surmontée dune plume, elle vous fixe de ses yeux globuleux, attendant un geste, un mot de votre part, et espérant avoir devant elle un client potentiel.
Si jamais vous passez outre cette apparence douteuse, demandant la carte de la maison, on vous offrira un thé, ou un alcool bien dosé, attendant que vous fassiez votre choix dans une petite salle dattente, aux murs bleu tendre et aux coussins moelleux enfoncé dans un canapé confortable.
Alors votre choix se fixerait sur une des quelques donzelles piaillant au première étage, en train de se repoudrer le museau et de sarracher dentelles et chiffons afin despérer être la promise dun soir, choisit par vos grands soins.
Vous déciderez alors de demander
Hrp : vous pouvez poster ici votre pnj (ou pas) de libertines .. le but étant de s'amuser, je vois donc quelque chose de plus.. comique que "beau".
On reste soft et drole, c'est l'idée.
Chaque libertine aurait un caractère bien précis, avec une ambiance qui lui ressemble..
à vos cervelles...
On reste soft et drole, c'est l'idée.
Chaque libertine aurait un caractère bien précis, avec une ambiance qui lui ressemble..
à vos cervelles...