pnj
caly regarda isa tirer sur la jupe de tagira. elle posa son châle sur les épaule de isa.
caly serra grenat dans ses bras et lui fit la bise.
caly serra grenat dans ses bras et lui fit la bise.
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[RP] Oratoire Saint Michel-Archange
pnj
Elorane
Bien qu'elle s'y attendait, cela devait bien arriver un jour, en espérant que cette fois se soit vraiment la bonne, depuis le temps que Maltea en rêvait. En ouvrant le plis reçu quelques jours plutôt, Elorane sourit, elle était heureuse pour son amie, ne connaissant que trop peu son futur époux, mais la futur mère, n'avait jamais vraiment aimé les hommes qui avaient traversé la vie de Maltea.
Enfin seul son bonheur lui importait. Elle avait quitté la Guyenne a la hâte, tout de meme, la futur mariée aurait pu prévenir un peu plus vite, elle savait que Elorane était enceinte.
C'est entourée des deux hommes de sa vie, son amour de mari, et son fils chéri, qu'Elorane se rendit a Paris, elle se rappelait encore la première fois qu 'elle si était rendu, elle avait tenu a faire le chemin seule, juste en compagnie de soldats présent pour sa défense.
Au bras de Salah ad'Din, alors que Geoffroy marchait sagement a ses cotés, Elorane et sa petite famille rentra dans l'édifice religieux, son regard s'attardant sur la beauté du lieu. Une fois assise elle prit la main de son époux dans la sienne, la serrant un peu plus fort. Elle espérait que Maltea soit aussi heureuse qu'elle, elle le méritait tellement.
Enfin seul son bonheur lui importait. Elle avait quitté la Guyenne a la hâte, tout de meme, la futur mariée aurait pu prévenir un peu plus vite, elle savait que Elorane était enceinte.
C'est entourée des deux hommes de sa vie, son amour de mari, et son fils chéri, qu'Elorane se rendit a Paris, elle se rappelait encore la première fois qu 'elle si était rendu, elle avait tenu a faire le chemin seule, juste en compagnie de soldats présent pour sa défense.
Au bras de Salah ad'Din, alors que Geoffroy marchait sagement a ses cotés, Elorane et sa petite famille rentra dans l'édifice religieux, son regard s'attardant sur la beauté du lieu. Une fois assise elle prit la main de son époux dans la sienne, la serrant un peu plus fort. Elle espérait que Maltea soit aussi heureuse qu'elle, elle le méritait tellement.
Aaron
Le cardinal étendit les bras.... Il était l'heure !
Dóminus vobíscum.
Et cum spíritu tuo.
Votre Grâce, Madame, amis et amies des futurs époux, nous sommes rassemblés en cette chapelle afin de célébrer l’union de cet homme et de cette femme devant Dieu et les hommes. Comme tout mariage, ce jour est un jour exceptionnel, merveilleux, unique. L’homme se donne aujourd’hui à la femme pour le restant de ses jours, pour le meilleur et pour le pire, dans la joie et la souffrance, et cela, identiquement pour l’épouse. Vous allez former une communauté de vie ou s'épanouira cet amour, et où grandiront, je l’espère, les enfants auxquels vous aurez donné la vie en perpétuant ainsi le cycle divin de l'homme.
Le mariage est un des plus beau sacrement que l'Eglise puisse vous donner, car il uni deux âmes pour n'en faire plus qu'une, il manifeste l'amitié aristotélicienne sous son plus beau jour, sous sa plus belle facette, sous LA plus belle facette d’un diamant nommé « vie ». Que l’Action Divine, qui vous a insufflé cette envie de vivre ensemble, continue Son action, et qu’Elle vous accompagne, tout au long de votre existence, pour renforcer, et rendre toujours plus fort, cet amour que vous avez commencé à forger.
L’archevêque de Reims sourit largement aux deux époux…
Aujourd’hui, deux vies se lient, deux vies passées chacune à servir un duché, et quel duché : le mien…
Dit-il en souriant de plus bel…
…Le vôtre ! La Champagne ! Deux destinées au service du royaume de France, au service de la Champagne dans les différents domaines et fonctions dont vous aviez la charge. Prions ensemble pour que ces deux existences soient liées pour la vie…
- Seigneur, fait de moi un artisan de paix.
Seigneur nous t’en prions…
Fait moi vivre dans l’amitié Aristotélicienne.
Seigneur nous t’en prions…
Fait que je sois à la hauteur de ma tâche.
Seigneur nous t’en prions… processionnelle
Fait que je vive dans la dignité.
Seigneur nous t’en prions…
Fait moi grandir dans ton amour.
Seigneur nous t’en prions…
Accueil nos ancêtres, nos familles et nos compagnons partis à ta rencontre.
Seigneur nous t’en prions…
Seigneur, exauce nos prières, prend-nous dans ton amour, fait nous vivre dans ta grandeur mais aussi dans ta miséricorde et pardonne-nous nos offenses…
Seigneur, exauce-nous. Amen.
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Gnia
Les deux jeunes femmes avaient pris possession de la sacristie et s'étaient trouvé un espace entre les calices et les aubes pour ajouter les dernières touches à la parure de la mariée.
Agnès plaçait, les doigts tremblants de nervosité, un magnifique diadème d'argent ciselé sur les cheveux soyeux de la future mariée tandis que celle ci se mirait dans une glace qui avait du voir des générations d'officiants vérifier que leur coiffe était bien droite avant d'aller célébrer messes, noces et funérailles.
Maltea se mirait dans la glace vêtue de la robe qu'elles étaient venues choisir quelques semaines plus tôt ensemble dans les échoppes parisiennes.
Tandis que Maltea se contemplait, le visage radieux malgré la nervosité, Agnès lissa une dernière fois machinalement les pans de sa robe qu'elle avait choisie simple afin de ne pas éclipser la beauté blonde de la promise. Simple et sombre, la robe était d'une beau vert émeraude, juste souligné d'une longue ceinture or. La bataille avec ses cheveux ayant encore une fois été perdue d'avance, elle s'était contentée de les ramener en une tentative de chignon qui n'avait rien d'ordonné.
Mais voilà que les cloches sonnaient, c'était l'heure. Les deux jeunes femmes au paroxysme de la nervosité se regardèrent de longues minutes comme pour se donner du courage l'une à l'autre. Puis Agnès sentit que la peur s'insinuait chez la future mariée. Elle lui tendit alors la cassette contenant ses bijoux avec un petit sourire d'encouragement.
Puis Maltea se tourna enfin vers elle et Agnès ne pu retenir un éclat de rire à sa tirade sur la faculté à courir vite quand on est attachées l'une à l'autre.
Fourrageant dans les replis de sa robe, elle en tira une flasque qu'elle tendit à Maltea.
Tiens ma belle, bois en une rasade, ça te détendra.
La Vicomtesse de Jaulges s'étouffait encore avec le breuvage qu'Agnès lui prit la flasque des mains et la vida d'une grande rasade. C'est les yeux brillants et les joues un peu rouges qu'elle entra dans l'oratoire et remonta la nef, tenant dans sa main celle de la toute jeune enfant de Maltea et à son bras la future mariée qu'elle menait à son promis, silhouette bleue debout devant l'autel. Le temps lui parut suspendu tandis qu'elles remontaient lentement l'allée centrale de l'édifice. Le regard d'Agnès se concentrait sur les trois hommes qui les attendaient.
Et voilà, la cérémonie allait pouvoir commencer, les futurs époux étaient réunis devant le cardinal. Agnès salua les trois hommes, et recula ensuite d'un pas, la menotte de la fille de Maltea toujours serrée dans la sienne.
Agnès plaçait, les doigts tremblants de nervosité, un magnifique diadème d'argent ciselé sur les cheveux soyeux de la future mariée tandis que celle ci se mirait dans une glace qui avait du voir des générations d'officiants vérifier que leur coiffe était bien droite avant d'aller célébrer messes, noces et funérailles.
Maltea se mirait dans la glace vêtue de la robe qu'elles étaient venues choisir quelques semaines plus tôt ensemble dans les échoppes parisiennes.
Tandis que Maltea se contemplait, le visage radieux malgré la nervosité, Agnès lissa une dernière fois machinalement les pans de sa robe qu'elle avait choisie simple afin de ne pas éclipser la beauté blonde de la promise. Simple et sombre, la robe était d'une beau vert émeraude, juste souligné d'une longue ceinture or. La bataille avec ses cheveux ayant encore une fois été perdue d'avance, elle s'était contentée de les ramener en une tentative de chignon qui n'avait rien d'ordonné.
Mais voilà que les cloches sonnaient, c'était l'heure. Les deux jeunes femmes au paroxysme de la nervosité se regardèrent de longues minutes comme pour se donner du courage l'une à l'autre. Puis Agnès sentit que la peur s'insinuait chez la future mariée. Elle lui tendit alors la cassette contenant ses bijoux avec un petit sourire d'encouragement.
Puis Maltea se tourna enfin vers elle et Agnès ne pu retenir un éclat de rire à sa tirade sur la faculté à courir vite quand on est attachées l'une à l'autre.
Fourrageant dans les replis de sa robe, elle en tira une flasque qu'elle tendit à Maltea.
Tiens ma belle, bois en une rasade, ça te détendra.
La Vicomtesse de Jaulges s'étouffait encore avec le breuvage qu'Agnès lui prit la flasque des mains et la vida d'une grande rasade. C'est les yeux brillants et les joues un peu rouges qu'elle entra dans l'oratoire et remonta la nef, tenant dans sa main celle de la toute jeune enfant de Maltea et à son bras la future mariée qu'elle menait à son promis, silhouette bleue debout devant l'autel. Le temps lui parut suspendu tandis qu'elles remontaient lentement l'allée centrale de l'édifice. Le regard d'Agnès se concentrait sur les trois hommes qui les attendaient.
Et voilà, la cérémonie allait pouvoir commencer, les futurs époux étaient réunis devant le cardinal. Agnès salua les trois hommes, et recula ensuite d'un pas, la menotte de la fille de Maltea toujours serrée dans la sienne.
Sharlnak
Sharl sourit à Grenat, et porta son attention sur la marié. Elle se ressemblait beaucoups ces deux soeurs. Puis il dit, en lui tendant son bras pour l'amener dans l'eglise :
Et si nous allions dans l'Eglise chère Grenat ?
Sharl attendit sa réponse regardant autour de lui, beaucoups de monde étant déjà rentrée dans l'eglise, il risquait de ne plus y avoir de place.
Et si nous allions dans l'Eglise chère Grenat ?
Sharl attendit sa réponse regardant autour de lui, beaucoups de monde étant déjà rentrée dans l'eglise, il risquait de ne plus y avoir de place.
Ricw
Les minutes passaient, et la nervosité avait fini par le gagner. Certes, il était impassible de l'extérieur, mais certains tics pouvaient se repérer pour ceux qui savaient quoi chercher. Onagre en particulier pouvait savoir que son parrain était prêt à exploser tellement il était tendu.
En enfin, l'instant qu'il attendait arriva. Non pas la bénédiction du Cardinal, qui viendrait plus tard, mais bien l'apparition de sa fiancée. Elle était radieuse. Et elle allait devenir sa femme.
Il lui sourit, du fond du coeur, pour la rassurer. Il pouvait voir qu'elle n'avait qu'une envie, c'était de se mettre à courir au moins jusqu'en Bretagne, et pourtant, elle restait là, à ses côtés, pendant que le Cardinal ouvrait la messe.
Amen.. murmura-t-il en écho aux dernières paroles du prélat.
En enfin, l'instant qu'il attendait arriva. Non pas la bénédiction du Cardinal, qui viendrait plus tard, mais bien l'apparition de sa fiancée. Elle était radieuse. Et elle allait devenir sa femme.
Il lui sourit, du fond du coeur, pour la rassurer. Il pouvait voir qu'elle n'avait qu'une envie, c'était de se mettre à courir au moins jusqu'en Bretagne, et pourtant, elle restait là, à ses côtés, pendant que le Cardinal ouvrait la messe.
Amen.. murmura-t-il en écho aux dernières paroles du prélat.
Sepa
Sepa vit une femme arriver,il comprit un peu plus tard que celle ci n'était que la nurse de la petite isa,tout le monde était réuni en ce lieu.Il restait juste derrière Grenat attend que celle ci se décide à rentrer.Ne connaissant personne,il n'emboita pas le pas.Il sourit à Grenat qui fut rejoins par un homme,il attendit sans rien dire n'étant pas maitre de la situation
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Grenat_alexandria
Grenat sourit à Sharl, elle lui prit le bras, Isa était avec sa nurse, Sépa avec Caly, elle avait pas encore vue Altaiir.
Avec plaisir Cher Shalrnak.
Ils rentrèrent dans la cathédrale, avançant jusqu'à des bancs libre, ils étaient tous ensemble, la petite sur les genoux de sa nurse, Caly prés d'elle comme deux inséparables qu'elles étaient. La céromonie se déroulait tranquillement, Grenat écoutait les paroles du Cardinal.
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Avec plaisir Cher Shalrnak.
Ils rentrèrent dans la cathédrale, avançant jusqu'à des bancs libre, ils étaient tous ensemble, la petite sur les genoux de sa nurse, Caly prés d'elle comme deux inséparables qu'elles étaient. La céromonie se déroulait tranquillement, Grenat écoutait les paroles du Cardinal.
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Maltea
La cérémonie commençait. Le cardinal commença à prier mais Maltea terriblement nerveuse, n’écoutait qu’à moitié. Sa main le long de sa robe, triturait le tissu sans ménagement.
Afin de se calmer, elle plongea son regard vert dans celui de son fiancé ce qui la rassura quelque peu.
Elle poussa un long soupire afin de se reprendre et murmura un léger amen lorsque la prière fut finie.
Elle osa jeter un regard dans la salle derrière elle et vit des visages connus et d’autres moins voir pas du tout. C’était les aléas des accompagnements.
Elle sourit lorsqu’elle vit Magdeleine. La pauvre, c’était la troisième cérémonie de mariage à laquelle elle assistait pour elle. Les deux premières n’ayant jamais abouti…
Cette fois, elle aurait le courage d’aller jusqu’au bout… enfin elle l’espérait de tout cœur.
Elle regarda de nouveau Richard et le trouva très beau dans cette tenue. Elle était soulagée de ne pas le voir avec ses vêtements de l’hommage. Elle eut une irrésistible envie de rire en le revoyant en dégradé de bleu… la plume a elle seule valait le détour.
Elle commençait visiblement à se détendre. Après tout le mariage n’était que la consécration de leur amour, ou bien pouvait être vu comme une simple formalité afin que celui-ci soit reconnu comme légitime.
Elle se demandait si toutes les femmes passant par ce sacrement étaient dans le même état de peur qu’elle…
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Afin de se calmer, elle plongea son regard vert dans celui de son fiancé ce qui la rassura quelque peu.
Elle poussa un long soupire afin de se reprendre et murmura un léger amen lorsque la prière fut finie.
Elle osa jeter un regard dans la salle derrière elle et vit des visages connus et d’autres moins voir pas du tout. C’était les aléas des accompagnements.
Elle sourit lorsqu’elle vit Magdeleine. La pauvre, c’était la troisième cérémonie de mariage à laquelle elle assistait pour elle. Les deux premières n’ayant jamais abouti…
Cette fois, elle aurait le courage d’aller jusqu’au bout… enfin elle l’espérait de tout cœur.
Elle regarda de nouveau Richard et le trouva très beau dans cette tenue. Elle était soulagée de ne pas le voir avec ses vêtements de l’hommage. Elle eut une irrésistible envie de rire en le revoyant en dégradé de bleu… la plume a elle seule valait le détour.
Elle commençait visiblement à se détendre. Après tout le mariage n’était que la consécration de leur amour, ou bien pouvait être vu comme une simple formalité afin que celui-ci soit reconnu comme légitime.
Elle se demandait si toutes les femmes passant par ce sacrement étaient dans le même état de peur qu’elle…
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Lara_marqueyssac
Lara arriva légèrement en retard, comme souvent, il faut dire que la route avait été longue pour arriver jusque là à partir du Béarn.
Elle s'était pressée, une fois arrivée en ville, de trouver une auberge afin de pouvoir se rafraichir et se changer après ce long voyage.
Elle était plutôt en avance sur l'horaire lorsqu'elle fut sortie de l'auberge. Elle se dirigeait tranquillement vers l'église lorsqu'une calèche la doubla à toute allure, roulant dans une flaque de boue qui ne manqua pas de l'éclabousser.
La petite blonde passa par toutes les couleurs en voyant l'état de sa robe, elle qui s'était tant appliquée pour être présentable au mariage de son amie !
Elle n'eut d'autre choix que de repartir à l'auberge, heureusement, elle avait tendance à emporter de quoi se changer au minimum trois par jour et pu mettre autre chose. L'heure tournait, la cérémonie devait commencer sous peu, elle se dépécha de courir jusqu'à l'église, et y entra, poussant un soupir de soulagement en voyant que le père Aaron commençait seulement, puis tenta de trouver une place dans l'église.
Elle aperçu Aimelin et se dirigea vers lui, tentant de se faire aussi discrète que possible, mais Lara et discrétion faisaient deux, elle se prit les pieds dans sa robe et manqua de s'étaler par terre. Elle réussit heureusement à se rattraper à l'un des bancs mais se fit tout de même quelque peu remarquer par les gens se trouvant dans le fond de l'église...
Elle se dépécha de se trouver une place et se fit aussi petite que possible...
Elle s'était pressée, une fois arrivée en ville, de trouver une auberge afin de pouvoir se rafraichir et se changer après ce long voyage.
Elle était plutôt en avance sur l'horaire lorsqu'elle fut sortie de l'auberge. Elle se dirigeait tranquillement vers l'église lorsqu'une calèche la doubla à toute allure, roulant dans une flaque de boue qui ne manqua pas de l'éclabousser.
La petite blonde passa par toutes les couleurs en voyant l'état de sa robe, elle qui s'était tant appliquée pour être présentable au mariage de son amie !
Elle n'eut d'autre choix que de repartir à l'auberge, heureusement, elle avait tendance à emporter de quoi se changer au minimum trois par jour et pu mettre autre chose. L'heure tournait, la cérémonie devait commencer sous peu, elle se dépécha de courir jusqu'à l'église, et y entra, poussant un soupir de soulagement en voyant que le père Aaron commençait seulement, puis tenta de trouver une place dans l'église.
Elle aperçu Aimelin et se dirigea vers lui, tentant de se faire aussi discrète que possible, mais Lara et discrétion faisaient deux, elle se prit les pieds dans sa robe et manqua de s'étaler par terre. Elle réussit heureusement à se rattraper à l'un des bancs mais se fit tout de même quelque peu remarquer par les gens se trouvant dans le fond de l'église...
Elle se dépécha de se trouver une place et se fit aussi petite que possible...
pnj
caly entra dans la cathédrale accompagner de son oncle.
elle suivi grenat toute les deux étais inséparable on ne savais pas pourquoi mais elle avais toute les deux du mal a s'éloigner de trop.
caly se mit au coter de grenat regardais isa sur les genoux de sa nurse elle jouais avec ses ruban, elle essayais même de les défaire de qui fit sourire caly.
elle suivi grenat toute les deux étais inséparable on ne savais pas pourquoi mais elle avais toute les deux du mal a s'éloigner de trop.
caly se mit au coter de grenat regardais isa sur les genoux de sa nurse elle jouais avec ses ruban, elle essayais même de les défaire de qui fit sourire caly.
_geoffroy_
Encore un mariage... Ce n'était pourtant pas la saison des amours... A croire qu'il n'y avait pas de saison ni de temps pour s'aimer... Geoffroy restait pensif sur cette nouvelle union, accompagnant sa mère Elorane et son mari. Il avait l'impression d'être balloté d'une église à l'autre... Avoir des parents qui avaient des parchemins entiers de noms d'amis ne facilitait pas une vie tranquile. M'enfin tous ces voyages et ces nouvelles découvertes lui apprenaient des choses, le rendait plus grand à chaque fois.
Cette fois c'était directement dans la belle ville de Paris qu'allait être célébrée devant le Tout Puissant cette union. Ceux qui allaient se passer la corde au cou, ou du moins se marier, il les avait déjà rencontré auparavant, au mariage de sa mère.. Il ne les reconnaitrait probablement pas tant il avait été occupé à faire courir le joufflu ce jour ci... C'est donc à trois (et non à Troyes) qu'ils se rendirent dans Paris, s'acheminant jusqu'à l'édifice religieux.
L'endroit était encore plus majestueux que la paroisse de Lyon. Il en était même un peu impressionné... Une fois à l'intérieur, Geoffroy regarda ses parents... Sa mère semblait perdue dans ses pensées, probablement en train d"imaginer à nouveau leur mariage... Il haussa les épaules puis vint se placer devant eux pour observer l'assemblée... Et dire qu'un jour il se devra lui aussi de passer par là... Encore faudra t-il que ses parents soient d'accord pour lui trouver une promise.. Il eut un petit sourire aux lèvres puis admira les jeunes femmes assises sur les bancs, aux coiffes impécables, puis bifurqua dans une allée pour y trouver un siège et s'y assoir.
Cette fois c'était directement dans la belle ville de Paris qu'allait être célébrée devant le Tout Puissant cette union. Ceux qui allaient se passer la corde au cou, ou du moins se marier, il les avait déjà rencontré auparavant, au mariage de sa mère.. Il ne les reconnaitrait probablement pas tant il avait été occupé à faire courir le joufflu ce jour ci... C'est donc à trois (et non à Troyes) qu'ils se rendirent dans Paris, s'acheminant jusqu'à l'édifice religieux.
L'endroit était encore plus majestueux que la paroisse de Lyon. Il en était même un peu impressionné... Une fois à l'intérieur, Geoffroy regarda ses parents... Sa mère semblait perdue dans ses pensées, probablement en train d"imaginer à nouveau leur mariage... Il haussa les épaules puis vint se placer devant eux pour observer l'assemblée... Et dire qu'un jour il se devra lui aussi de passer par là... Encore faudra t-il que ses parents soient d'accord pour lui trouver une promise.. Il eut un petit sourire aux lèvres puis admira les jeunes femmes assises sur les bancs, aux coiffes impécables, puis bifurqua dans une allée pour y trouver un siège et s'y assoir.
Onagre
Onagre observait les deux futurs époux. Ils étaient touchant.
Croisant le regard de Richard, il lui sourit.
Croisant le regard de Richard, il lui sourit.
Sepa
Sepa fut surpris que Grenat accepte d'entrer avec Sharl,enfin bref,Gwer était parti on ne sait où.Il rentra dans l'enceinte accompagné de Caly,il ne disait rien,totalement muet même.Il contemplait l'intérieur du bâtiment,très bien décoré pour l'évènement.Il s'installa à une place disponible où il pourrait voir sa nièce Isa s'amuser avec la nurse.Il avait dit à Grenat qu'il acceptait car celle ci n'avait pas de cavalier mais bon,le vide fut vite comblé.Il regarda quand même de loin les futurs mariés tout de même puis il reprit son attention sur Isa,ce n'était pas une nouvelle que Sepa n'était pas complètement dans la religion mais il s'efforçait pour le bien de sa famille.Enfin c'était son premier mariage,il verrait ce qu'il l'attendait si avec sa douce,qu'il avait du laisser à Ventadour, s'il venait à se marier un jour.Malheureusement celle ci n'avait pas d'origine noble,ayant perdu la mémoire et connaissant pas vraiment son passé.Il espérait que celle ci se rappellerait et qu'elle serait noble elle aussi.
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pnj
La journée était bien avancée quand la jeune Damoiselle de Morvilliers passa la porte de Paris pour la première fois de sa toute jeune vie. Avide de découverte, elle avait écarté les lourds rideaux de la voiture et ne perdait rien du spectacle: rien à voir avec la capitale champenoise. Les rues étaient animées, on courait, on criait, on se bousculait... Et du monde, beaucoup de monde. Une foule impressionnante, oppressante, excitante ! L'enfant ne tenait plus en place. Il lui tardait de poser enfin le pied sur ce sol royal. Elle aimait cette ville sans la connaître encore. Elle représentait tant de choses, des choses qu'elle ne connaissait pas, qu'elle ne comprenait pas.
L'excitation était telle que la jeune fille en avait mal à la tête. Elle voulait tout voir, tout entendre et tout commenter. La pauvre Hildegarde, la chambrière chargée de la mener à bon port et de l'habiller pour la cérémonie, se devait de la calmer si elle voulait pouvoir la conduire à temps sur les lieux du mariage. L'on s'arrêta enfin devant une riche auberge près de l'Ile de la Cité, la chambrière fit descendre sa jeune maîtresse de la voiture aux armes de Brienne et donna ordre de descendre l'unique malle.
Il fallut trois bonnes heures pour préparer la petite Morvilliers. Pour grande occasion, grands moyens. Avec l'aide d'une servante de l'auberge, l'enfant fut trempée, frottée, grattée, essuyée, parfumée. On la peigna soigneusement, relevant ses cheveux en un chignon qui laissait s'échapper quelques boucles brunes. Et pour finir, on lui passa une robe de velours bleue, rappelant l'origine de l'enfant et relevant la teinte pervenche de ses yeux, aux broderies d'or sur les manches amples, le col et la ceinture.
Enfin prête, l'enfant fut conduite à l'Oratoire Saint Michel-Archange. La cérémonie n'allait pas tarder et l'on se dépêcha de l'installer dans les premiers rangs, réservés à famille et aux proches amis des futurs époux. Elle fut ainsi confié à son cher Gabriel. Isaure regardait attentivement chaque personne de l'assemblée. Elle ne reconnaissait aucun visage. Ou si peu. Mais peu importait. Il y avait foule et c'est ce qui l'intéressait le plus dans cette histoire !
Bientôt, un homme qu'elle identifia comme étant le Cardinal qui allait unir la jeune femme à Richard, prit la parole. La cérémonie commençait. La fillette se concentra et entreprit de suivre cette union, la première à laquelle elle assistait. Et attentive, elle le fut... La future épousée s'avançait dans l'allée, et des murmures d'admiration (ou pas...) brisèrent le bref silence respectueux.
"Votre Grâce, Madame, amis et amies des futurs époux, nous sommes rassemblés en cette chapelle afin de célébrer l’union de cet homme et de cette femme..."
Isaure se pencha vers son frère et lui murmura, peut-être trop fort mais qu'importe, son observation.
- Pourquoi ne parle-t-il que des amis de Richard et Dame Maltea ? La famille n'est-elle pas supposée être ici ? Et tous ces gens ici sont leurs amis ? Peut-on avoir autant d'amis ?
Sous le regard autoritaire du jeune homme, la fillette se tut et reporta son attention sur le Duc et la future Duchesse.
Amen...
L'excitation était telle que la jeune fille en avait mal à la tête. Elle voulait tout voir, tout entendre et tout commenter. La pauvre Hildegarde, la chambrière chargée de la mener à bon port et de l'habiller pour la cérémonie, se devait de la calmer si elle voulait pouvoir la conduire à temps sur les lieux du mariage. L'on s'arrêta enfin devant une riche auberge près de l'Ile de la Cité, la chambrière fit descendre sa jeune maîtresse de la voiture aux armes de Brienne et donna ordre de descendre l'unique malle.
Il fallut trois bonnes heures pour préparer la petite Morvilliers. Pour grande occasion, grands moyens. Avec l'aide d'une servante de l'auberge, l'enfant fut trempée, frottée, grattée, essuyée, parfumée. On la peigna soigneusement, relevant ses cheveux en un chignon qui laissait s'échapper quelques boucles brunes. Et pour finir, on lui passa une robe de velours bleue, rappelant l'origine de l'enfant et relevant la teinte pervenche de ses yeux, aux broderies d'or sur les manches amples, le col et la ceinture.
Enfin prête, l'enfant fut conduite à l'Oratoire Saint Michel-Archange. La cérémonie n'allait pas tarder et l'on se dépêcha de l'installer dans les premiers rangs, réservés à famille et aux proches amis des futurs époux. Elle fut ainsi confié à son cher Gabriel. Isaure regardait attentivement chaque personne de l'assemblée. Elle ne reconnaissait aucun visage. Ou si peu. Mais peu importait. Il y avait foule et c'est ce qui l'intéressait le plus dans cette histoire !
Bientôt, un homme qu'elle identifia comme étant le Cardinal qui allait unir la jeune femme à Richard, prit la parole. La cérémonie commençait. La fillette se concentra et entreprit de suivre cette union, la première à laquelle elle assistait. Et attentive, elle le fut... La future épousée s'avançait dans l'allée, et des murmures d'admiration (ou pas...) brisèrent le bref silence respectueux.
"Votre Grâce, Madame, amis et amies des futurs époux, nous sommes rassemblés en cette chapelle afin de célébrer l’union de cet homme et de cette femme..."
Isaure se pencha vers son frère et lui murmura, peut-être trop fort mais qu'importe, son observation.
- Pourquoi ne parle-t-il que des amis de Richard et Dame Maltea ? La famille n'est-elle pas supposée être ici ? Et tous ces gens ici sont leurs amis ? Peut-on avoir autant d'amis ?
Sous le regard autoritaire du jeune homme, la fillette se tut et reporta son attention sur le Duc et la future Duchesse.
Amen...
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Oratoire Saint Michel-Archange
Aaron
On pouvais lire sur la porte en bois de chêne, gravé habillement, une prière à Saint Lescure et Saint Michel Archange, saint patron des lieux.
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Aaron
Le cardinal pénétra dans l'Eglise par la sacristie. Tout de pourpre vêtu il donna quelques instructions aux acolytes qui s'afféraient à préparer l'office. Bougies, encens, calice, pain, vin, ... L'archevêque sortit à la suite d'un de ses aides, fit une génuflexion en direction du chœur et s'avança vers l'abside...
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Barahir_de_malemort
Le jeune Malemort était partit de Saint-Antoine, le siége de la herauderie, pour aller jusqu'à l'oratoire Saint Michel l'Archange le petit (et cossu) lieu de culte du cardinal à Paris. Cette fois-ci, pas d'habits sobres et resistant, non. Dans la plus pure veine des Brissac, le jeune Malemort s'était habillé avec gout, revetant le pourpoint bleu que sa mére aimait tant, ses legendaire bottes sales et usé qu'il trainait depuis bien trop longtemps remplacé par de nouvelles, plus présentable mais pas aussi souple que les vieilles, un manteau sombre passé sur ses epaule, un fin cercle d'or dans ses cheveux.
Ca y était, enfin... Apres tant de temps passé dans la croyance, mais hors de la communauté des fidéle Aristotelicien, apres un baptême avorté il y a pres d'un an, apres une reputation de futur prêtre faites par sa mére elle-même...
Habillé pour une grande occasion donc, n'ayant même pas cherché à marcher ou à y aller en cheval, le jeune Malemort avait pris une voiture "special heraut", une petite, guére confortable certes mais qui suffirait pour un trajet dans Paris, et ce afin de rejoindre l'oratoire. Descedant de la voiture, saluant le cocher d'un signe de tête, il s'approcha des portes sourit nerveusement pour lui même, faisant des volutes de fumée du fait du froid parisien. Il en poussant enfin une et entra dans le petit oratoire.
Ca y était, enfin... Apres tant de temps passé dans la croyance, mais hors de la communauté des fidéle Aristotelicien, apres un baptême avorté il y a pres d'un an, apres une reputation de futur prêtre faites par sa mére elle-même...
Habillé pour une grande occasion donc, n'ayant même pas cherché à marcher ou à y aller en cheval, le jeune Malemort avait pris une voiture "special heraut", une petite, guére confortable certes mais qui suffirait pour un trajet dans Paris, et ce afin de rejoindre l'oratoire. Descedant de la voiture, saluant le cocher d'un signe de tête, il s'approcha des portes sourit nerveusement pour lui même, faisant des volutes de fumée du fait du froid parisien. Il en poussant enfin une et entra dans le petit oratoire.
Aaron
Un bruit se fit entendre ; le son sourd des roues cerclées de métal d’un carrosse arrivant devant l’oratoire. L’archevêque de Reims remonta la nef en direction du portail lorsqu’un des deux battant de la grande porte principale s’ouvrit. Le prélat sourit en devinant le jeune Malemort passer l’entrebâillement. Marchant de plus belle en sa direction, alors que l’organiste répétait quelques morceaux, le cardinal vint saluer le jeune homme…
Bonjour mon fils ! Comment allez-vous aujourd’hui ?
Drôle de question plutôt machinale que réellement intéressé, le prélat se doutant un peu de l’état dans lequel se trouvait le héraut après les différents obstacle qui s’étaient posés devant lui ces derniers temps…
[une petite coupure de réseau durant un petit un moment… ^^]
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Bonjour mon fils ! Comment allez-vous aujourd’hui ?
Drôle de question plutôt machinale que réellement intéressé, le prélat se doutant un peu de l’état dans lequel se trouvait le héraut après les différents obstacle qui s’étaient posés devant lui ces derniers temps…
[une petite coupure de réseau durant un petit un moment… ^^]
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Barahir_de_malemort
Le jeune Malemort entra dans l'oratoire et remonta l'allé, voyant le cardinal venir vers lui. Il le salua respectueusement d'un hochement de tête puis le rejoignit et en souriant lui repondit:
le bonjour Eminence...
Là, le jeune Malemort eu un moment d'hesitation. Bien, oui il allait bien, il était en pleine forme, mais les responsabilité même pas encore arrivée se faisait deja sentir, neamoins plutot que d'attirer l'attention il coutinua de sourire et reprit:
Et je vous remercie, je me porte à merveille... Il n'en faut pas moins le jour de son baptême.
Le jeune Malemort posa alors un genou à terre et baissa la tête, il fallait bien respecter els forme pour saluer un prélat, et il en croisait si rarement en Alençon. Regardant le bout de sa nouvelle botte droite, il attendit qu'Aaron lui tende son anneau episcopale.
le bonjour Eminence...
Là, le jeune Malemort eu un moment d'hesitation. Bien, oui il allait bien, il était en pleine forme, mais les responsabilité même pas encore arrivée se faisait deja sentir, neamoins plutot que d'attirer l'attention il coutinua de sourire et reprit:
Et je vous remercie, je me porte à merveille... Il n'en faut pas moins le jour de son baptême.
Le jeune Malemort posa alors un genou à terre et baissa la tête, il fallait bien respecter els forme pour saluer un prélat, et il en croisait si rarement en Alençon. Regardant le bout de sa nouvelle botte droite, il attendit qu'Aaron lui tende son anneau episcopale.
Aaron
Le jeune homme arrivé à sa rencontre s’inclina en une révérence pour baiser l’anneau cardinalice que l’archevêque de Reims lui présenta. Un fois fais, il l’aida à se relever en signe d’amitié. Puis, prenant Barahir par l’épaule, il l’emmena vers le jubé…
J’en conviens, j’en conviens… Mais votre baptême ne vous ouvre pas qu’à l’amitié aristotélicienne, c’est aussi un jour important dans votre carrière politique puisqu’il vous ouvre également ce chemin. Votre mère viendra-t-elle ? Au faite, je ne me rappelle plus vous avoir demandé qui était votre parrain ou votre marraine…
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J’en conviens, j’en conviens… Mais votre baptême ne vous ouvre pas qu’à l’amitié aristotélicienne, c’est aussi un jour important dans votre carrière politique puisqu’il vous ouvre également ce chemin. Votre mère viendra-t-elle ? Au faite, je ne me rappelle plus vous avoir demandé qui était votre parrain ou votre marraine…
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Barahir_de_malemort
Aidé du cazrdinal, le jeune homme se releva puis chemina à ses coté dans l'oratoire.
Ma mére viendra je pense... J'epsere même malgré ce qu'elle peut dire sur l'Eglise...
S'aperçevant que deja, sa langue avait été trop loin, il il secoua la t^te et se reprit.
... Bien sur sur le ton de la plaisanterie, telle la carriére religieuse qu'elle dont elle me prête l'ambition. Malgré cela ma mére est profondement croyante et je suis sur qu'elle ne manquerait pour rien le baptême du premier de ses... Enfants. quant à un parrain ou une marraine, vous ne m'avez rien demandé à ce sujet et j'avoue que j'ai été moi-même assez euh... Je n'avais pensé à personne dans ce rôle...
Ma mére viendra je pense... J'epsere même malgré ce qu'elle peut dire sur l'Eglise...
S'aperçevant que deja, sa langue avait été trop loin, il il secoua la t^te et se reprit.
... Bien sur sur le ton de la plaisanterie, telle la carriére religieuse qu'elle dont elle me prête l'ambition. Malgré cela ma mére est profondement croyante et je suis sur qu'elle ne manquerait pour rien le baptême du premier de ses... Enfants. quant à un parrain ou une marraine, vous ne m'avez rien demandé à ce sujet et j'avoue que j'ai été moi-même assez euh... Je n'avais pensé à personne dans ce rôle...
Aaron
Sourit en entendant parler de sa mère...
Rassurez-vous, je la connais, et sais comme les sujets religieux, ou plutôt cléricaux, sont sensibles avec elle...
Sourit amusé.
MmmMmm ! Pour votre parrain, nous nous arrangerons ! A défaut, je serais le vôtre... Voulez vous que nous attendions votre mère?
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Rassurez-vous, je la connais, et sais comme les sujets religieux, ou plutôt cléricaux, sont sensibles avec elle...
Sourit amusé.
MmmMmm ! Pour votre parrain, nous nous arrangerons ! A défaut, je serais le vôtre... Voulez vous que nous attendions votre mère?
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Barahir_de_malemort
Barahir sourit à la mention du défaut, un honneur quand même, il regarda le cardinal avec un regard voulant exprimer son regret pour l'embetement puis continua à la suite du prélat.
Ca serait un honneur eminence, même si je ne savais pas qu'on pouvait parrainner et officier, et pour ma mére, ou je vous en saurais gré, elle et les quelques autres qui doivent venir.
Ca serait un honneur eminence, même si je ne savais pas qu'on pouvait parrainner et officier, et pour ma mére, ou je vous en saurais gré, elle et les quelques autres qui doivent venir.
Aaron
Sourit...
Vous savez, entre nous, quand on est chef de l'Eglise...
Il laissa un moment de silence...
Votre mère aurait pu faire office de marraine, mais bon, j'aurais trop peur qu'elle ne vous inculque des idées trop anti-cléricales...
Dit-il en riant...
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Vous savez, entre nous, quand on est chef de l'Eglise...
Il laissa un moment de silence...
Votre mère aurait pu faire office de marraine, mais bon, j'aurais trop peur qu'elle ne vous inculque des idées trop anti-cléricales...
Dit-il en riant...
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Nebisa
Son fils se fait baptiser... son fils à elle... Son bébé ! Lui qui s'amusait à faire flotter des coquilles de noix grimées en bateaux dans le bénitier de l'église de Bourganeuf ... Le baptême c'est la porte ouverte à tous les vices ça... Et s'il se faisait moine après ça ?
Non mais forcément... il avait fallut qu'il s'installe dans une des rares provinces de France a connaitre la présence de religieux actifs... En Limousin le risque est proche de zéro, des évéques fantomes, pas de curés, encore moins de confesseurs.... Avec ça, les familles pouvaient dormir tranquilles, aucun de leurs bambins de jurerait "pauvreté, chasteté et obbeissance"... Mais là...
Il faut dire que la Malemort craint moins la Peste que la Religion, que ses voeux pour trouver un confesseur capable de la guider sur le chemin d'Aristote, ou plutot de compréhension de l'église, car au fond, elle l'aime Aristote, seulement elle a du mal à entendre certains points du Dogme, ses appels là sont demeurrés vains, aussi s'est-elle résignée...
Mais ses croyances sont une chose, le péril que court son fils en est une autre... Qu'il soit un bon aristotélicien oui, mais un bon aristotélicien marié bon sang !Serait-il possible d'intégrer cette condition au baptême ? Bonne idée ! Elle le demanderait tout à l'heure...
Car pour l'instant, le coche s'étant immobilisé, elle conclu qu'ils sont arrivés... Pied à terre, elle pénètre l'oratoire et cherche des yeux son fils qu'elle identifie bientôt, en compagnie du Cardinal "Beaux Mollets" Aaron... Au moins apprécie-t-elle le choix de l'officiant, elle l'aime bien faut dire, même si elle ne peut qu'espère que le baptême de Barahir sera plus heureux que le mariage que le Cardinal célébra en Limousin pour elle et celui qui l'avait depuis abandonné...
Cardinal, Barahir, j'espère ne pas m'être fait trop attendre, vous savez combien il est difficile de circuler dans Paris hélas !
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Non mais forcément... il avait fallut qu'il s'installe dans une des rares provinces de France a connaitre la présence de religieux actifs... En Limousin le risque est proche de zéro, des évéques fantomes, pas de curés, encore moins de confesseurs.... Avec ça, les familles pouvaient dormir tranquilles, aucun de leurs bambins de jurerait "pauvreté, chasteté et obbeissance"... Mais là...
Il faut dire que la Malemort craint moins la Peste que la Religion, que ses voeux pour trouver un confesseur capable de la guider sur le chemin d'Aristote, ou plutot de compréhension de l'église, car au fond, elle l'aime Aristote, seulement elle a du mal à entendre certains points du Dogme, ses appels là sont demeurrés vains, aussi s'est-elle résignée...
Mais ses croyances sont une chose, le péril que court son fils en est une autre... Qu'il soit un bon aristotélicien oui, mais un bon aristotélicien marié bon sang !Serait-il possible d'intégrer cette condition au baptême ? Bonne idée ! Elle le demanderait tout à l'heure...
Car pour l'instant, le coche s'étant immobilisé, elle conclu qu'ils sont arrivés... Pied à terre, elle pénètre l'oratoire et cherche des yeux son fils qu'elle identifie bientôt, en compagnie du Cardinal "Beaux Mollets" Aaron... Au moins apprécie-t-elle le choix de l'officiant, elle l'aime bien faut dire, même si elle ne peut qu'espère que le baptême de Barahir sera plus heureux que le mariage que le Cardinal célébra en Limousin pour elle et celui qui l'avait depuis abandonné...
Cardinal, Barahir, j'espère ne pas m'être fait trop attendre, vous savez combien il est difficile de circuler dans Paris hélas !
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Aaron
Une voix, un appel, ... Le cardinal se retourna, quelque part un peu surprit. La mère arrivait ! "Nous allons voir si la mère est aussi bien éduquée que son fils" pensa le cardinal un cour instant.
Comtesse ! Quel plaisir...
Dit il en souriant et en s'avançant vers elle, tendant la main sertie de l'anneau épiscopal...
Je suis heureux de vous retrouver pour une fois en dehors de notre chapelle Saint Antoine...
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Comtesse ! Quel plaisir...
Dit il en souriant et en s'avançant vers elle, tendant la main sertie de l'anneau épiscopal...
Je suis heureux de vous retrouver pour une fois en dehors de notre chapelle Saint Antoine...
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Barahir_de_malemort
- Vous savez, entre nous, quand on est chef de l'Eglise...
Le jeune Malemort sourit en entendant la reflexion du cardinal, il aimait ça, quand la verité et les idées étaient dites sans ambages, puis sa mére, sa mére... Alors qu'il s'appretait encore à defendre la pureté de la foi de celle-ci, une des portes de l'oratoire fut poussé et la Malemort rentra.
Mére ! Vous êtes venue !
Le jeune Malemort sourit en entendant la reflexion du cardinal, il aimait ça, quand la verité et les idées étaient dites sans ambages, puis sa mére, sa mére... Alors qu'il s'appretait encore à defendre la pureté de la foi de celle-ci, une des portes de l'oratoire fut poussé et la Malemort rentra.
Mére ! Vous êtes venue !
Nebisa
Large sourire de la Comtesse qui se penche pour examiner avec soin la bague du Cardinal... Assurément, il veut lui montrer une création...
Quel rubis magnifique ! J'ai rarement vu pierre si finement ciselée, mais si vous voulez mon avis, ce joyaux serait bien d'avantage mis en valeur en médaillon non ?
Plus bas, elle ajoute, sur le ton de la confidence...
Il me faut l'adresse de vostre joaillier !
Puis, se tournant vers son ainé qu'elle prend dans ses bras pour le serrer à l'étouffer
Je n'aurais manqué cela pour rien au monde... mais promets moi de ne pas entrer dans les ordres ! Un bon aristotélicien n'est pas forcement curé ! Et puis tu es trop jeune et... euh...
Malemort qui rougit et se dit qu'elle s'est un peu emballée là
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Quel rubis magnifique ! J'ai rarement vu pierre si finement ciselée, mais si vous voulez mon avis, ce joyaux serait bien d'avantage mis en valeur en médaillon non ?
Plus bas, elle ajoute, sur le ton de la confidence...
Il me faut l'adresse de vostre joaillier !
Puis, se tournant vers son ainé qu'elle prend dans ses bras pour le serrer à l'étouffer
Je n'aurais manqué cela pour rien au monde... mais promets moi de ne pas entrer dans les ordres ! Un bon aristotélicien n'est pas forcement curé ! Et puis tu es trop jeune et... euh...
Malemort qui rougit et se dit qu'elle s'est un peu emballée là
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Gnia
Paris... La vicomtesse de Bapaume en foulait pour la deuxième fois les pavés chargés d'immondices. La première avait été expédiée rondement, allégeance au Roy lorsqu'elle avait été nommé à la tête de l'Artois. Aller-retour rapide et elle n'avait eu guère le temps de visiter. Mais cette fois-ci il en allait autrement.
Agnès et sa vassale et amie, Maltea di Favara avaient convenu de s'y retrouver pour y faire emplette de tout ce dont on pouvait rêver pour se marier avec élégance et classe et y visiter l'Eglise où l'union serait consacrée.
Maltea avait demandé à Agnès d'être son témoin et la jeune femme prenait son rôle très à coeur.
La partie la plus importante du séjour parisien, aux yeux d'Agnès, résidait toutefois dans la partie dévalisage en règle de boutiques et achats compulsifs.
Acquisition de tous les tissus nécessaires à la confection de la robe de la future mariée, bijoux, dentelles, fourrures, fanfreluches et autres accessoires féminins inutiles mais qu'il fallait absolument posséder, les jeunes femmes avaient consciencieusement dépensé de quoi faire avoir sans coup férir une attaque au trésorier de la Vicomtesse.
L'essentiel ayant été fait, l'on pouvait passer à la seconde partie du plan : l'Oratoire Saint Michel-Archange donc.
Un coche les démoula comme des flambys devant le perron. Agnès fut impressionnée par la beauté de l'édifice, dans le plus pur style gothique.
Se tournant vers Maltea, elle lança un joyeux
Ma-gni-fi-que ! Non vraiment, le cadre est fabuleux. Venez ma chère, entrons, imprégnons-nous de la majesté de l'endroit et recueillons-nous. Prions le Très Haut afin que votre mariage se déroule sous les meilleurs auspices.
Regard malicieux à la Dame de Menneville qu'elle savait peu encline à la dévotion, puis Agnès poussa lentement l'un des lourds battants des portes de l'édifice.
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Agnès et sa vassale et amie, Maltea di Favara avaient convenu de s'y retrouver pour y faire emplette de tout ce dont on pouvait rêver pour se marier avec élégance et classe et y visiter l'Eglise où l'union serait consacrée.
Maltea avait demandé à Agnès d'être son témoin et la jeune femme prenait son rôle très à coeur.
La partie la plus importante du séjour parisien, aux yeux d'Agnès, résidait toutefois dans la partie dévalisage en règle de boutiques et achats compulsifs.
Acquisition de tous les tissus nécessaires à la confection de la robe de la future mariée, bijoux, dentelles, fourrures, fanfreluches et autres accessoires féminins inutiles mais qu'il fallait absolument posséder, les jeunes femmes avaient consciencieusement dépensé de quoi faire avoir sans coup férir une attaque au trésorier de la Vicomtesse.
L'essentiel ayant été fait, l'on pouvait passer à la seconde partie du plan : l'Oratoire Saint Michel-Archange donc.
Un coche les démoula comme des flambys devant le perron. Agnès fut impressionnée par la beauté de l'édifice, dans le plus pur style gothique.
Se tournant vers Maltea, elle lança un joyeux
Ma-gni-fi-que ! Non vraiment, le cadre est fabuleux. Venez ma chère, entrons, imprégnons-nous de la majesté de l'endroit et recueillons-nous. Prions le Très Haut afin que votre mariage se déroule sous les meilleurs auspices.
Regard malicieux à la Dame de Menneville qu'elle savait peu encline à la dévotion, puis Agnès poussa lentement l'un des lourds battants des portes de l'édifice.
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Maltea
Maltea avait débarqué à paris le matin même. Elle y avait entrainé sa suzeraine et amie, Agnès de Saint-Just afin de trouver tout l’attirail nécessaire à son futur enterrement. Elle avait décidé de se marier, ce qui voulait dire en gros, faire une croix sur sa liberté.
Elle se demandait d’ailleurs comment les femmes qu’elles connaissaient pouvaient avoir renoncé aussi facilement au plaisir d’avoir des amants et tout ça pour ne garder qu’un époux…mais bon elle avait promis à Richard de rester sage, depuis elle priait pour ne pas faillir. Qu'est ce qu'elle ne ferait pas par amour...
Paris, c’était la seconde fois qu’elle y mettait les pieds, la première avait été pour son serment d’allégeance au Roy lorsqu’elle était devenue duchesse de ce sympathique duché qu’était la Champagne. Symbole de la décadence, la Champagne n’était plus peuplée que de boulets de grands crus. Elle avait même pensé en faire un élevage et les vendre au prix fort. Quoi de mieux qu’un boulet champenois afin de pourrir un duché voisin.
Au fil de leur promenade dans les différentes échoppes, l’humeur de Maltea était revenue au beau fixe et elle en avait même oublié les élections. La tournée des marchands d’étoffes, couturiers et tout ce qui va avec l’avait épuisée. Quelle idée le marchand avait eu de lui montrer autant de superbes étoffes. Elle n’avait plus su ou donner de la tête. Pas que la jeune femme était futile… enfin si quand même vu que quand elle déprimait, elle refaisait sa garde robe… enfin bref… Elle avait fini par un choix. Rien que pour sa robe, elle avait déjà envie d’être au jour de la célébration. De plus avec un témoin comme Gnia, la journée risquait d’être plus qu’enrichissante en fous rire. Elle avait aussi craqué sur une jolie parure dont les pierres qui la composaient, seraient du plus bel effet sur elle.
Heureusement sa bourse n’aurait pas à en pâtir, Gnia avait décidé de débourser et pour les quelques achats personnels qu’elle avait effectué, l’argent pris dans la cassette personnelle de son fiancé avait été bien utile. A se demander pourquoi il laissait toujours tout cet argent bien en évidence. Elle avait la conscience tranquille vu qu’il lui avait déjà dit que tout ce qui était à lui l’était aussi à elle. Bon d’accord, il rageait lorsque c’était pour des achats de ce genre mais tant pis. Elle avait bien le droit de se faire plaisir, surtout avec les attaques incessantes dont elle était la cible afin de couvrir les idioties de certaines personnes, incapables de soutenir leur lourd fardeau d’incompétence.
Le cocher les avait déposées devant l’Eglise Saint Michel-Archange où devait se dérouler la cérémonie de ses épousailles.
Elles arrivèrent en minaudant et se dandinant comme des dindes devant la grande porte que Gnia poussa toute tremblante d’excitation.
C’est vrai que le bâtiment était des plus majestueux et Maltea n’en menait pas large.
Elle surprit le regard malicieux de sa complice et lui tira la langue avant de la suivre d’un pas hésitant. Pénétrer en ce lieu saint, lui faisait penser à une tentative de mariage qui avait avorté lorsqu’au moment de dire le oui fatidique, elle avait eu la lumineuse idée de s’enfuir en courant et en hurlant qu’il était hors de question qu’elle blasphème en disant oui à un homme qu’elle ne pouvait souffrir plus que ça.
Ce jour là, elle avait entendu la voix divine du très haut qui lui soufflait à l’oreille, qu’elle s’apprêtait à faire la pire bêtise de sa vie. Et pourtant lui seul savait combien elle en avait déjà faites…
Au fait j’ai oublié de te dire, après j’aimerai visiter le châtelet, il se pourrait que je passe ma nuit de noce la bas, j’attends toujours les résultats de la fameuse enquête pour cette pseudo haute trahison.
Il faut que je pense à aller m’assurer que je ne manquerais de rien et que les locaux sont assez confortables pour la pauvre duchesse que je serais.
Elle éclata de rire avant de pénétrer dans le lieu saint.
Ce n’est qu’une fois à l’intérieur, qu’elle se rendit compte qu’elles avaient débarqué au beau milieu d’une cérémonie religieuse. Un baptême à ne point en douter.
La surprise fut encore plus grande lorsqu’elle reconnut Barahir.
Il avait l’air si sage et en resta étonnée, tirant la cape de Gnia et bredouillant « on aurait ptet pas du entrer »
Elle remarqua aussi une dame se tenant près du cardinal Aaron. Elle lui rappela vaguement quelque chose et ce n’est qu’en la détaillant un peu plus qu’elle se rendit compte que c’était la femme à qui elle avait reçu au nom du Roy son allégeance…
Saleté de curiosité féminine tout de même !
Elle se demandait d’ailleurs comment les femmes qu’elles connaissaient pouvaient avoir renoncé aussi facilement au plaisir d’avoir des amants et tout ça pour ne garder qu’un époux…mais bon elle avait promis à Richard de rester sage, depuis elle priait pour ne pas faillir. Qu'est ce qu'elle ne ferait pas par amour...
Paris, c’était la seconde fois qu’elle y mettait les pieds, la première avait été pour son serment d’allégeance au Roy lorsqu’elle était devenue duchesse de ce sympathique duché qu’était la Champagne. Symbole de la décadence, la Champagne n’était plus peuplée que de boulets de grands crus. Elle avait même pensé en faire un élevage et les vendre au prix fort. Quoi de mieux qu’un boulet champenois afin de pourrir un duché voisin.
Au fil de leur promenade dans les différentes échoppes, l’humeur de Maltea était revenue au beau fixe et elle en avait même oublié les élections. La tournée des marchands d’étoffes, couturiers et tout ce qui va avec l’avait épuisée. Quelle idée le marchand avait eu de lui montrer autant de superbes étoffes. Elle n’avait plus su ou donner de la tête. Pas que la jeune femme était futile… enfin si quand même vu que quand elle déprimait, elle refaisait sa garde robe… enfin bref… Elle avait fini par un choix. Rien que pour sa robe, elle avait déjà envie d’être au jour de la célébration. De plus avec un témoin comme Gnia, la journée risquait d’être plus qu’enrichissante en fous rire. Elle avait aussi craqué sur une jolie parure dont les pierres qui la composaient, seraient du plus bel effet sur elle.
Heureusement sa bourse n’aurait pas à en pâtir, Gnia avait décidé de débourser et pour les quelques achats personnels qu’elle avait effectué, l’argent pris dans la cassette personnelle de son fiancé avait été bien utile. A se demander pourquoi il laissait toujours tout cet argent bien en évidence. Elle avait la conscience tranquille vu qu’il lui avait déjà dit que tout ce qui était à lui l’était aussi à elle. Bon d’accord, il rageait lorsque c’était pour des achats de ce genre mais tant pis. Elle avait bien le droit de se faire plaisir, surtout avec les attaques incessantes dont elle était la cible afin de couvrir les idioties de certaines personnes, incapables de soutenir leur lourd fardeau d’incompétence.
Le cocher les avait déposées devant l’Eglise Saint Michel-Archange où devait se dérouler la cérémonie de ses épousailles.
Elles arrivèrent en minaudant et se dandinant comme des dindes devant la grande porte que Gnia poussa toute tremblante d’excitation.
C’est vrai que le bâtiment était des plus majestueux et Maltea n’en menait pas large.
Elle surprit le regard malicieux de sa complice et lui tira la langue avant de la suivre d’un pas hésitant. Pénétrer en ce lieu saint, lui faisait penser à une tentative de mariage qui avait avorté lorsqu’au moment de dire le oui fatidique, elle avait eu la lumineuse idée de s’enfuir en courant et en hurlant qu’il était hors de question qu’elle blasphème en disant oui à un homme qu’elle ne pouvait souffrir plus que ça.
Ce jour là, elle avait entendu la voix divine du très haut qui lui soufflait à l’oreille, qu’elle s’apprêtait à faire la pire bêtise de sa vie. Et pourtant lui seul savait combien elle en avait déjà faites…
Au fait j’ai oublié de te dire, après j’aimerai visiter le châtelet, il se pourrait que je passe ma nuit de noce la bas, j’attends toujours les résultats de la fameuse enquête pour cette pseudo haute trahison.
Il faut que je pense à aller m’assurer que je ne manquerais de rien et que les locaux sont assez confortables pour la pauvre duchesse que je serais.
Elle éclata de rire avant de pénétrer dans le lieu saint.
Ce n’est qu’une fois à l’intérieur, qu’elle se rendit compte qu’elles avaient débarqué au beau milieu d’une cérémonie religieuse. Un baptême à ne point en douter.
La surprise fut encore plus grande lorsqu’elle reconnut Barahir.
Il avait l’air si sage et en resta étonnée, tirant la cape de Gnia et bredouillant « on aurait ptet pas du entrer »
Elle remarqua aussi une dame se tenant près du cardinal Aaron. Elle lui rappela vaguement quelque chose et ce n’est qu’en la détaillant un peu plus qu’elle se rendit compte que c’était la femme à qui elle avait reçu au nom du Roy son allégeance…
Saleté de curiosité féminine tout de même !
Aaron
C’était à s’en douter ! Après le coup du collier de Guyenne, là voilà qu’elle admirait la bague du prélat ! Qui aurait osé lui dire qu’il était son propre joaillier ! Du moins, le créateur des esquisses… Aaah s’il avait pu prendre femme, elle eut été comblée ! A moins que cet état de pamoison n’était qu’un prétexte pour ne point s’incliner… Le cardinal pencha plutôt pour cette seconde option. Il dit :
N’est-ce pas !
Tout en abaissant lentement sa main de plus en plus pour que la comtesse courbe le dos devant l’éminent prélat qui voulait la forcer, amusé, à s’incliner… Quand soudain, la porte de l’Eglise s’ouvrit de nouveau. Le prélat tourna instinctivement la tête alors que le grand chambellan étreignait son fils à l’étouffer.
Aaaah ! Voilà d’autres amis semble-t-il !
L’archevêque fit deux pas en direction du portail, tentant dans la demi obscurité de l’église d’apercevoir les deux jeunes dames qui venaient d’entrer.
Mesdames, approchez, approchez, nous n’avons pas encore commencé…
Puis, doucement, la lumière qui pénétrait l’édifice permit au prélat de deviner l’identité d’au moins l’une d’entre elle.
Hé bien ! Vous voilà bien entouré mon cher Barahir ! Sachez que votre invitée sera elle-même mariée en ce lieu le mois prochain…
Puis se retournant vers l’ancienne duchesse de Champagne et son accompagnante…
Approchez, approchez… Ne soyez pas aussi craintive ! Le lieu vous ferrait-il peur ?
Dit-il en souriant…
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N’est-ce pas !
Tout en abaissant lentement sa main de plus en plus pour que la comtesse courbe le dos devant l’éminent prélat qui voulait la forcer, amusé, à s’incliner… Quand soudain, la porte de l’Eglise s’ouvrit de nouveau. Le prélat tourna instinctivement la tête alors que le grand chambellan étreignait son fils à l’étouffer.
Aaaah ! Voilà d’autres amis semble-t-il !
L’archevêque fit deux pas en direction du portail, tentant dans la demi obscurité de l’église d’apercevoir les deux jeunes dames qui venaient d’entrer.
Mesdames, approchez, approchez, nous n’avons pas encore commencé…
Puis, doucement, la lumière qui pénétrait l’édifice permit au prélat de deviner l’identité d’au moins l’une d’entre elle.
Hé bien ! Vous voilà bien entouré mon cher Barahir ! Sachez que votre invitée sera elle-même mariée en ce lieu le mois prochain…
Puis se retournant vers l’ancienne duchesse de Champagne et son accompagnante…
Approchez, approchez… Ne soyez pas aussi craintive ! Le lieu vous ferrait-il peur ?
Dit-il en souriant…
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Maltea
Maltea tressaillit. Aaron s’adressait à elles deux en leur demandant d’approcher. Elle murmura à Gnia : c’est malin, tu vois maintenant on va devoir y aller. On ne peut pas faire affront tout de même.
Elle fit un pas et Aaron la reconnut immédiatement. Elle soupira, c’était raté de voyager incognito pour cette fois. Elle sourit lorsqu’il parla du mariage et faillit éclater de rire lorsqu’il leur demanda si elles avaient peur du lieu.
Il n’était pas sans savoir son rapport avec la religion en général. Il était d’ailleurs le seul religieux en qui elle avait confiance. Il savait ramener au bercail les brebis égarées.
Tout en tirant Gnia par la manche elle s’avança un petit sourire aux lèvres.
Voyons éminence, vous n’êtes pas sans savoir que je n’ai peur de rien, et surtout pas d’un lieu qui m’apporte la sérénité quand j’en ai besoin. Mais j’avoue que cet édifice impose tout de même le respect ne serait-ce que par son architecture…
Elle arriva devant le cardinal et se dit que cette fois elle n’y couperait pas. Lors de la cérémonie d’hommage, elle avait refusé de baiser l’anneau d’un homme se disant évêque mais là elle était certaine de la légitimité du cardinal. Heureusement que ce n’était pas Mytia à sa place ou elle serait partie en courant.
Elle se plia de bonne grâce au protocole et baisa l’anneau cardinalice et lui fit un sourire.
Très joli votre anneau « cardinalesque » éminence, pensez vous que l’on puisse porter un bijou lui ressemblant si l’on n’est pas cardinal ? Non je dis cela parce que je le trouve très beau mais que je n’arriverai jamais à être cardinal, mais bon ça vous le savez déjà.
Ses yeux pétillaient de malice et elle se retourna sur Gnia et la regarda. Elle savait qu’en bonne artésienne qui se respecte, elle avait été élevée dans la haine de ce saint homme. Elle se demandait comment elle allait réagir. Maltea lui avait pourtant dit que le Cardinal était à ses yeux un véritable homme d’église et que même s’il savait être tranchant dans les décisions concernant la religion, c’était avant tout un homme bon et droit, du moins avec elle…
Elle reposa les yeux sur Aaron tout en se disant qu’il était encore bel homme, mine de rien.
Éminence je vous présente la vicomtesse de Bapaume, Agnès de Saint-Just, ma suzeraine et amie mais aussi mon témoin pour le futur mariage…
Gnia voici le cardinal Aaron de Nagan, c’est lui qui a gentiment accepté de célébrer mes noces.
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Elle fit un pas et Aaron la reconnut immédiatement. Elle soupira, c’était raté de voyager incognito pour cette fois. Elle sourit lorsqu’il parla du mariage et faillit éclater de rire lorsqu’il leur demanda si elles avaient peur du lieu.
Il n’était pas sans savoir son rapport avec la religion en général. Il était d’ailleurs le seul religieux en qui elle avait confiance. Il savait ramener au bercail les brebis égarées.
Tout en tirant Gnia par la manche elle s’avança un petit sourire aux lèvres.
Voyons éminence, vous n’êtes pas sans savoir que je n’ai peur de rien, et surtout pas d’un lieu qui m’apporte la sérénité quand j’en ai besoin. Mais j’avoue que cet édifice impose tout de même le respect ne serait-ce que par son architecture…
Elle arriva devant le cardinal et se dit que cette fois elle n’y couperait pas. Lors de la cérémonie d’hommage, elle avait refusé de baiser l’anneau d’un homme se disant évêque mais là elle était certaine de la légitimité du cardinal. Heureusement que ce n’était pas Mytia à sa place ou elle serait partie en courant.
Elle se plia de bonne grâce au protocole et baisa l’anneau cardinalice et lui fit un sourire.
Très joli votre anneau « cardinalesque » éminence, pensez vous que l’on puisse porter un bijou lui ressemblant si l’on n’est pas cardinal ? Non je dis cela parce que je le trouve très beau mais que je n’arriverai jamais à être cardinal, mais bon ça vous le savez déjà.
Ses yeux pétillaient de malice et elle se retourna sur Gnia et la regarda. Elle savait qu’en bonne artésienne qui se respecte, elle avait été élevée dans la haine de ce saint homme. Elle se demandait comment elle allait réagir. Maltea lui avait pourtant dit que le Cardinal était à ses yeux un véritable homme d’église et que même s’il savait être tranchant dans les décisions concernant la religion, c’était avant tout un homme bon et droit, du moins avec elle…
Elle reposa les yeux sur Aaron tout en se disant qu’il était encore bel homme, mine de rien.
Éminence je vous présente la vicomtesse de Bapaume, Agnès de Saint-Just, ma suzeraine et amie mais aussi mon témoin pour le futur mariage…
Gnia voici le cardinal Aaron de Nagan, c’est lui qui a gentiment accepté de célébrer mes noces.
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Gnia
Et voilà que la curiosité les avait poussées à interrompre une cérémonie. Le sourire qui lui était resté sur le visage après la tirade de Maltea sur la visite du Châtelet s'effaça rapidement et se transforma en un masque empreint de gravité et de recueillement.
Bien lui en prit puisque le chapelain s'avança vers elles et les enjoignit à s'approcher. Agnès répondit un chhhhhuuuuut à peine audible aux réflexions à mi-voix de Maltea et se laissa tirer vers la lumière.
Damned, un cardinal ! Juste le jour où elle s'était laissée aller à être frivole et dépensière. Agnès se raidit et envoya un message muet au Très Haut : "Oui oui promis, j'vais tâcher de me confesser un de ses quatre..."
Maltea semblait étrangement à l'aise avec la robe pourpre et avait baisé l'anneau sans se faire prier. Agnès s'en étonnait encore lorsque son amie fit les présentations.
Frissonnement contenu avec peine, Agnès avala avec difficulté sa salive et retint une petite grimace exprimant sa répulsion soudaine. Aaron... Sa mémoire faisait un effort inouï, une chose était sûre, aussi sûre qu'elle avait été élevée dans la haine du Champenois, Aaron de Nagan était tout aussi détesté en Artois. Maintenant s'agissait de se rappeler pourquoi... Une sombre histoire de messe ou de prêche... Agnès s'étonnait que l'homme d'Eglise ne soit pas aussi laid et repoussant que dans les histoires qu'on racontait pour faire peur aux enfants. "Agnès mange ta soupe sinon le vilain Aaron le saura et il viendra te chercher dans ton sommeil et t'obligera à adorer la statue de Caedes..."
Décidément, ses derniers temps, tous les principes acquis durant son éducation artéso-artésienne en prenaient un coup... D'abord se lier d'amitié avec une champenoise, ensuite rencontrer son promis qui n'était rien de moins que le petit fils du dict Caedes, et ensuite rencontrer Aaron en personne...
Et voilà que Maltea, pourtant allergique à tout ce qui touchait à l'Eglise, semblait en plus apprécier l'homme... Tout se perdait...
La Bapaume prit sur elle, donc, et un petit sourire crispé sur les lèvres, effectua une révérence un peu raide et se pencha pour baiser la bague.
Eminence... Hahem... Enchan... hmmm non... Ravie... Ravie ? non, pas ravie, m'enfin bref... de faire la connaissance de celui qui unira devant le Très Haut ma chère Maltea...
Bien lui en prit puisque le chapelain s'avança vers elles et les enjoignit à s'approcher. Agnès répondit un chhhhhuuuuut à peine audible aux réflexions à mi-voix de Maltea et se laissa tirer vers la lumière.
Damned, un cardinal ! Juste le jour où elle s'était laissée aller à être frivole et dépensière. Agnès se raidit et envoya un message muet au Très Haut : "Oui oui promis, j'vais tâcher de me confesser un de ses quatre..."
Maltea semblait étrangement à l'aise avec la robe pourpre et avait baisé l'anneau sans se faire prier. Agnès s'en étonnait encore lorsque son amie fit les présentations.
Frissonnement contenu avec peine, Agnès avala avec difficulté sa salive et retint une petite grimace exprimant sa répulsion soudaine. Aaron... Sa mémoire faisait un effort inouï, une chose était sûre, aussi sûre qu'elle avait été élevée dans la haine du Champenois, Aaron de Nagan était tout aussi détesté en Artois. Maintenant s'agissait de se rappeler pourquoi... Une sombre histoire de messe ou de prêche... Agnès s'étonnait que l'homme d'Eglise ne soit pas aussi laid et repoussant que dans les histoires qu'on racontait pour faire peur aux enfants. "Agnès mange ta soupe sinon le vilain Aaron le saura et il viendra te chercher dans ton sommeil et t'obligera à adorer la statue de Caedes..."
Décidément, ses derniers temps, tous les principes acquis durant son éducation artéso-artésienne en prenaient un coup... D'abord se lier d'amitié avec une champenoise, ensuite rencontrer son promis qui n'était rien de moins que le petit fils du dict Caedes, et ensuite rencontrer Aaron en personne...
Et voilà que Maltea, pourtant allergique à tout ce qui touchait à l'Eglise, semblait en plus apprécier l'homme... Tout se perdait...
La Bapaume prit sur elle, donc, et un petit sourire crispé sur les lèvres, effectua une révérence un peu raide et se pencha pour baiser la bague.
Eminence... Hahem... Enchan... hmmm non... Ravie... Ravie ? non, pas ravie, m'enfin bref... de faire la connaissance de celui qui unira devant le Très Haut ma chère Maltea...
Aaron
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Le RP ci-dessus reprend à la page X
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Le RP ci-dessus reprend à la page X
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Aaron
Vingt heures sonnèrent au clocher. Une demi-heure plus tard, les vingt coups frappés, les cloches se mirent à sonner à toute volée, comme elles l’avaient fait une heure plus tôt pour annoncer l’office, dans un bruit assourdissant, mélodieux et solennel, faisant trembler la petite église qui servait d’oratoire au cardinal Aaron dans la ville de Paris.
L’Archevêque de Reims avait pour l’occasion revêtu une soutane dans les tons de pourpre. L’église était décorée d’une myriade de fleurs qui embaumaient le volume élégant que les arches et la voûte donnaient à l’édifice. Déjà les invités étaient installés aux places qui leur avaient été réservées. L’archevêque les salua comme il se devait, puis il revint ensuite sur le parvis de l’église attendant les mariés et le reste des invités.
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L’Archevêque de Reims avait pour l’occasion revêtu une soutane dans les tons de pourpre. L’église était décorée d’une myriade de fleurs qui embaumaient le volume élégant que les arches et la voûte donnaient à l’édifice. Déjà les invités étaient installés aux places qui leur avaient été réservées. L’archevêque les salua comme il se devait, puis il revint ensuite sur le parvis de l’église attendant les mariés et le reste des invités.
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Ricw
Enfin, le grand soir ! Celui qui le verrait uni à la Vicomtesse qu'il avait rencontré simple Juge. Celui qui avait bien failli ne jamais voir le jour, tellement les évènements s'étaient enchainés pour le compliquer, le retarder, voire l'annuler purement...
Et non, il était bien là, devant l'Oratoire parisien, dans un de ses plus bel habit - rien à voir avec l'allégeance, il était vêtu de sombre, d'un bleu presque noir, qu'accompagnait une cape de la même couleur, et à ses côtés pendait son épée d'apparat - et il hésita un long instant avant d'en franchir la porte. Un sourire à Onagre, seigneur de Petit-Mesnil, son vassal, son filleul, et pour ce soir, son témoin, et il se décida à avancer vers l'église.
Fort heureusement, personne de marque n'était encore arrivé. Quelques curieux, qui avaient pressentis un évènement important, s'était massé au devant, et attendaient de découvrir la cérémonie qui se dérouleraient. Entouré de son trio de garde, et donc d'Onagre, il arriva à hauteur du Cardinal, et s'inclina devant lui.
Votre Eminence, je vous remercie d'être la personne qui nous unira, Maltea et moi. Cet oratoire sera le parfait écrin de notre bonheur.
Et non, il était bien là, devant l'Oratoire parisien, dans un de ses plus bel habit - rien à voir avec l'allégeance, il était vêtu de sombre, d'un bleu presque noir, qu'accompagnait une cape de la même couleur, et à ses côtés pendait son épée d'apparat - et il hésita un long instant avant d'en franchir la porte. Un sourire à Onagre, seigneur de Petit-Mesnil, son vassal, son filleul, et pour ce soir, son témoin, et il se décida à avancer vers l'église.
Fort heureusement, personne de marque n'était encore arrivé. Quelques curieux, qui avaient pressentis un évènement important, s'était massé au devant, et attendaient de découvrir la cérémonie qui se dérouleraient. Entouré de son trio de garde, et donc d'Onagre, il arriva à hauteur du Cardinal, et s'inclina devant lui.
Votre Eminence, je vous remercie d'être la personne qui nous unira, Maltea et moi. Cet oratoire sera le parfait écrin de notre bonheur.
Adelahis
Adélahis avait le déplacement. Son ventre était maintenant rond, il ne plus sa grossesse qui datait maintenant de 6 mois. Elle Avança a pas lent. Elle n'était jamais venu à paris. Mais, le mariage de Maltea valait bien le déplacement.
Elle entra dans l'oratoire. Elle se signa. Les rumeurs la faisant hérétiques au moment de la révolte de sainte n'avait pas amoindri sa foi. Elle pénétra a pas lent dans l'oratoire et trouva une petite place. Discrète. Ce n'est pas qu'elle ne voulait pas être vue, mais, elle pensait être bien loin du rang et des choses à faire pour un tel mariage.
Elle attendit là, sagement, dans le recueillement. Elle pria que le mariage de Maltea se passe au mieux...cette fois.
Elle entra dans l'oratoire. Elle se signa. Les rumeurs la faisant hérétiques au moment de la révolte de sainte n'avait pas amoindri sa foi. Elle pénétra a pas lent dans l'oratoire et trouva une petite place. Discrète. Ce n'est pas qu'elle ne voulait pas être vue, mais, elle pensait être bien loin du rang et des choses à faire pour un tel mariage.
Elle attendit là, sagement, dans le recueillement. Elle pria que le mariage de Maltea se passe au mieux...cette fois.
Aimelin
Quelle belle idée cette voiture. Le jeune homme avait hésité entre prendre Altaïr et trouver une monture pour sa douce, mais les quelques fois où ils s'étaient amusés à la faire monter avait suffit pour qu'il choisisse la voiture.
Il ne voulait pas qu'elle fasse tant de lieues, en risquant de se blesser et il voulait surtout que leur voyage soit le plus confortable possible. Et cette voiture était parfaite. Une malle pour leurs affaires et ils voyageaient à l'abri du froid et de la neige.
Leur arrivée à Paris s'était fait sans problème et la nuit passée dans une petite auberge les avait reposés de ce long trajet effectué les jours passés. Le jeune homme était heureux. C'était une journée peu ordinaire qui les attendait et jamais il n'aurait pensé que cette journée là le remplisse de joie et soit aussi importante pour lui. Une femme qui avait compté dans sa vie et l'avait investie de nombreux mois allait dire oui, enfin tout au moins il l'espérait, pour s'unir à son aimé devant Aristote et les hommes.
Maltea se mariait et c'est en souriant qu'Aime regardait les rues défiler devant leurs yeux. Lorsque le jeune couple avait reçu le parchemin les invitant au mariage, il n'avait pas hésité une seconde, heureux et fiers d'être là en ce jour si important pour eux, et c'était également l'occasion de revoir des personnes chères.
Il rangea la voiture sur la place de l'église, pres d'un mur, au moment où les cloches se mirent à sonner à toute volée. Il en descendit prestement, remit de l'ordre à ses vêtements, ajusta sa cape, et tendit la main à sa douce pour l'aider à descendre à son tour.
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Il ne voulait pas qu'elle fasse tant de lieues, en risquant de se blesser et il voulait surtout que leur voyage soit le plus confortable possible. Et cette voiture était parfaite. Une malle pour leurs affaires et ils voyageaient à l'abri du froid et de la neige.
Leur arrivée à Paris s'était fait sans problème et la nuit passée dans une petite auberge les avait reposés de ce long trajet effectué les jours passés. Le jeune homme était heureux. C'était une journée peu ordinaire qui les attendait et jamais il n'aurait pensé que cette journée là le remplisse de joie et soit aussi importante pour lui. Une femme qui avait compté dans sa vie et l'avait investie de nombreux mois allait dire oui, enfin tout au moins il l'espérait, pour s'unir à son aimé devant Aristote et les hommes.
Maltea se mariait et c'est en souriant qu'Aime regardait les rues défiler devant leurs yeux. Lorsque le jeune couple avait reçu le parchemin les invitant au mariage, il n'avait pas hésité une seconde, heureux et fiers d'être là en ce jour si important pour eux, et c'était également l'occasion de revoir des personnes chères.
Il rangea la voiture sur la place de l'église, pres d'un mur, au moment où les cloches se mirent à sonner à toute volée. Il en descendit prestement, remit de l'ordre à ses vêtements, ajusta sa cape, et tendit la main à sa douce pour l'aider à descendre à son tour.
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Tiamarys
Tiamarys était impressionnée. c'était sa première visite à Paris.
Elle entra dans la cathédrale et salua les invités déjà présents, fit une révérence à l'Archevèque Aaron, se rappelant Compiègne et son baptême.
Que le temps passait vite.
Et aujourd'hui, aujourd'hui Maltéa se mariait!
Elle entra en compagnie de Paillard et alla s'installer dans un coin, derrière un pilier et s'installa contre Pail en attendant que la cérémonie commence.
Elle entra dans la cathédrale et salua les invités déjà présents, fit une révérence à l'Archevèque Aaron, se rappelant Compiègne et son baptême.
Que le temps passait vite.
Et aujourd'hui, aujourd'hui Maltéa se mariait!
Elle entra en compagnie de Paillard et alla s'installer dans un coin, derrière un pilier et s'installa contre Pail en attendant que la cérémonie commence.
Aaron
Le futur époux fit son entrée entouré de sa garde et salua le prélat. Les cloches finissaient de donner leur son mélodieux. Le cardinal repensait aux cérémonies passées, aux nombreux mariages célébrés… Il rendit le salut au duc de Brienne.
Votre Grâce, c’est un plaisir ! Vous voilà fort bien protégé ! Aurions-nous a craindre quelque chose
Dit-il sur un ton amusé !
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Votre Grâce, c’est un plaisir ! Vous voilà fort bien protégé ! Aurions-nous a craindre quelque chose
Dit-il sur un ton amusé !
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pnj
[Pomponne, quelques jours auparavant]
Madame, une lettre pour vous.
Hmm ?...
La jeune femme releva la tête du parchemin sur lequel elle était affairée à dessiner le plan de l’ herbalurius qu’elle souhaitait faire implanter dans les jardins de son domaine. Liste de plantes à se procurer, liste à confier à son jardinier pour qu’il se mette à l’œuvre dès que le temps le permettrait.
Elle posa la plume dans l’encrier, et prit le pli que la servante lui tendait. Se saisir la fine dague posée sur le bureau, et en glisser la lame entre le scel et le fin parchemin, décacheter précautionneusement la missive avant de la déplier et de la parcourir du regard.
Une invitation. A un mariage.
Sourcils qui se haussent, d’étonnement.
Si elle avait ouï-dire qu’un tel événement était en préparation, Mag n’aurait cependant jamais pensé y être conviée.
Parce que les contacts avec Maltea s’étaient fait rares, voire inexistants au cours des derniers mois.
Parce qu’elle n’avait que rarement croisé le Duc de Brienne dans les couloirs du château de Reims du temps où elle était au Conseil champenois.
Le regard parcourut une nouvelle fois le vélin, s’arrêtant sur les détails.
La cérémonie aurait lieu à Paris, donc.
Après tout… Il y avait bien cette affaire dans la capitale, qu’elle remettait sine die, ce serait l’occasion de s’en acquitter. Faire d’une pierre deux coups en somme.
Elle s’étira. Regard vers la clepsydre qui déroulait le temps.
La réponse, plus tard.
Pour l’heure, il était temps de descendre dans la cour pour la leçon d’Aliénor. Car depuis qu’elle s’était retirée à Pomponne, elle avait décidé de compléter l’éducation que la gouvernante donnait à sa fille. A Ysabault, tout ce qu’une petite demoiselle bien éduquée devait savoir, à sa mère la pratique de certaines disciplines… un peu particulières.
La gouvernante avait froncé les sourcils devant le peu de conformisme de ce que Mag voulait enseigner à sa fille, mais la jeune femme en avait décidé de la sorte.
Ainsi avait-elle été élevée, ainsi en ferait-elle de même pour sa fille.
Et nul n’était là pour la contredire. Ou le faire à sa place.
Elle reposa la missive sur le bureau, et se leva. Gagna la cour où Aliénor l’attendait, une épée à sa petite taille et émoussée à la main. La Blanche saisit la bâtarde d'entraînement qu’un serviteur lui tendait et se dirigea vers le cercle, face à la fillette.
Sourire. Mademoiselle… En garde !
[Vendredi 13 février]
Epée battant son flanc au rythme soutenu imprimé à sa monture, elle avait quitté Pomponne à l’aube, en direction de Paris. Dans ses fontes, effets soigneusement pliés.
Elle avait hésité à faire préparer la voiture, mais avait finalement décidé de voyager « léger ». Plus rapide, plus maniable. Plus pratique pour ce qu’elle avait à faire, lorsqu’il s’agirait de parcourir les rues de la capitale.
A mesure qu’elle approchait, les villages se faisaient plus animés, la foule plus dense. Puis enfin les murailles de Paris apparurent à sa vue.
Passer la porte, puis se renseigner, adresse d’une auberge située à proximité de l’église où aurait lieu le mariage.
Elle dirigea sa monture à travers les rues pavées, jusqu’à arriver devant l’adresse indiquée. Dans la cour, elle put confier sa monture à un palefrenier afin qu’il en prît soin moyennant quelques écus. Puis, fontes sur l’épaule, elle pénétra dans l’auberge. Mander une chambre, et y déposer ses légers bagages avant que de repartir pour l’une des deux affaires qui l’avaient amenée en la capitale.
[En soirée]
Yeux fermés, douce chaleur du bain parfumé dans lequel elle était plongée. S’immerger complètement, puis ne ressortir que lorsque le manque d’air l’impose.
Ouvrir les yeux, regard vers l’extérieur.
Il était temps de se préparer.
Elle attrapa le drap posé à côté du baquet et sortit à regret du bain bienfaisant. L’odeur des huiles mélangées à l’eau, rose et lavande, parfumait son corps et ses cheveux, qu’elle frictionna de l’étoffe pour les sécher.
Sur le lit, étaient étalés les effets qu’elle avait prévu de porter.
Elle laissa glisser le drap, léger frisson, avant d’enfiler une chainse de lin blanc, que vint ensuite couvrir un bliaut de velours azur à l’encolure bordée de fourrure dont les larges manches tombaient jusque terre. Autour de ses hanches, elle accrocha une ceinture de métal enchâssée de sardoines, qui retombait par devant jusqu’au bas du bliaut et à laquelle pendait son aumônière. Elle glissa enfin ses pieds dans des chaussures en cuir de Cordoue.
Puis elle attacha ses cheveux encore humides en une lourde tresse lui tombant dans le dos, avant de poser sur sa coiffure un voile bleu retenu par un fin cercle de la même facture que sa ceinture.
Se saisir enfin de sa cape fourrée, sortir de sa chambre, et quitter l’auberge. Si elle avait choisi celle-ci, c’était bien parce qu’elle était située à deux pas de l’oratoire Saint Michel-Archange. Elle n’aurait pas long chemin à parcourir à pieds, alors que les cloches sonnaient déjà.
Le parvis débordait d’animation, invités qui arrivaient, chevaux et voitures.
Mag ne s’attarda pas, les joues rougies par le froid, et gravit les marches avant de pénétrer dans l’édifice. Légère pause à la porte, regard qui embrasse l’intérieur. Elle ne cherche personne en particulier, elle observe un instant.
Avant d’aller s’asseoir à l’ombre d’un pilier.
Madame, une lettre pour vous.
Hmm ?...
La jeune femme releva la tête du parchemin sur lequel elle était affairée à dessiner le plan de l’ herbalurius qu’elle souhaitait faire implanter dans les jardins de son domaine. Liste de plantes à se procurer, liste à confier à son jardinier pour qu’il se mette à l’œuvre dès que le temps le permettrait.
Elle posa la plume dans l’encrier, et prit le pli que la servante lui tendait. Se saisir la fine dague posée sur le bureau, et en glisser la lame entre le scel et le fin parchemin, décacheter précautionneusement la missive avant de la déplier et de la parcourir du regard.
Une invitation. A un mariage.
Sourcils qui se haussent, d’étonnement.
Si elle avait ouï-dire qu’un tel événement était en préparation, Mag n’aurait cependant jamais pensé y être conviée.
Parce que les contacts avec Maltea s’étaient fait rares, voire inexistants au cours des derniers mois.
Parce qu’elle n’avait que rarement croisé le Duc de Brienne dans les couloirs du château de Reims du temps où elle était au Conseil champenois.
Le regard parcourut une nouvelle fois le vélin, s’arrêtant sur les détails.
La cérémonie aurait lieu à Paris, donc.
Après tout… Il y avait bien cette affaire dans la capitale, qu’elle remettait sine die, ce serait l’occasion de s’en acquitter. Faire d’une pierre deux coups en somme.
Elle s’étira. Regard vers la clepsydre qui déroulait le temps.
La réponse, plus tard.
Pour l’heure, il était temps de descendre dans la cour pour la leçon d’Aliénor. Car depuis qu’elle s’était retirée à Pomponne, elle avait décidé de compléter l’éducation que la gouvernante donnait à sa fille. A Ysabault, tout ce qu’une petite demoiselle bien éduquée devait savoir, à sa mère la pratique de certaines disciplines… un peu particulières.
La gouvernante avait froncé les sourcils devant le peu de conformisme de ce que Mag voulait enseigner à sa fille, mais la jeune femme en avait décidé de la sorte.
Ainsi avait-elle été élevée, ainsi en ferait-elle de même pour sa fille.
Et nul n’était là pour la contredire. Ou le faire à sa place.
Elle reposa la missive sur le bureau, et se leva. Gagna la cour où Aliénor l’attendait, une épée à sa petite taille et émoussée à la main. La Blanche saisit la bâtarde d'entraînement qu’un serviteur lui tendait et se dirigea vers le cercle, face à la fillette.
Sourire. Mademoiselle… En garde !
[Vendredi 13 février]
Epée battant son flanc au rythme soutenu imprimé à sa monture, elle avait quitté Pomponne à l’aube, en direction de Paris. Dans ses fontes, effets soigneusement pliés.
Elle avait hésité à faire préparer la voiture, mais avait finalement décidé de voyager « léger ». Plus rapide, plus maniable. Plus pratique pour ce qu’elle avait à faire, lorsqu’il s’agirait de parcourir les rues de la capitale.
A mesure qu’elle approchait, les villages se faisaient plus animés, la foule plus dense. Puis enfin les murailles de Paris apparurent à sa vue.
Passer la porte, puis se renseigner, adresse d’une auberge située à proximité de l’église où aurait lieu le mariage.
Elle dirigea sa monture à travers les rues pavées, jusqu’à arriver devant l’adresse indiquée. Dans la cour, elle put confier sa monture à un palefrenier afin qu’il en prît soin moyennant quelques écus. Puis, fontes sur l’épaule, elle pénétra dans l’auberge. Mander une chambre, et y déposer ses légers bagages avant que de repartir pour l’une des deux affaires qui l’avaient amenée en la capitale.
[En soirée]
Yeux fermés, douce chaleur du bain parfumé dans lequel elle était plongée. S’immerger complètement, puis ne ressortir que lorsque le manque d’air l’impose.
Ouvrir les yeux, regard vers l’extérieur.
Il était temps de se préparer.
Elle attrapa le drap posé à côté du baquet et sortit à regret du bain bienfaisant. L’odeur des huiles mélangées à l’eau, rose et lavande, parfumait son corps et ses cheveux, qu’elle frictionna de l’étoffe pour les sécher.
Sur le lit, étaient étalés les effets qu’elle avait prévu de porter.
Elle laissa glisser le drap, léger frisson, avant d’enfiler une chainse de lin blanc, que vint ensuite couvrir un bliaut de velours azur à l’encolure bordée de fourrure dont les larges manches tombaient jusque terre. Autour de ses hanches, elle accrocha une ceinture de métal enchâssée de sardoines, qui retombait par devant jusqu’au bas du bliaut et à laquelle pendait son aumônière. Elle glissa enfin ses pieds dans des chaussures en cuir de Cordoue.
Puis elle attacha ses cheveux encore humides en une lourde tresse lui tombant dans le dos, avant de poser sur sa coiffure un voile bleu retenu par un fin cercle de la même facture que sa ceinture.
Se saisir enfin de sa cape fourrée, sortir de sa chambre, et quitter l’auberge. Si elle avait choisi celle-ci, c’était bien parce qu’elle était située à deux pas de l’oratoire Saint Michel-Archange. Elle n’aurait pas long chemin à parcourir à pieds, alors que les cloches sonnaient déjà.
Le parvis débordait d’animation, invités qui arrivaient, chevaux et voitures.
Mag ne s’attarda pas, les joues rougies par le froid, et gravit les marches avant de pénétrer dans l’édifice. Légère pause à la porte, regard qui embrasse l’intérieur. Elle ne cherche personne en particulier, elle observe un instant.
Avant d’aller s’asseoir à l’ombre d’un pilier.
Grenat_alexandria
Un attelage arriva à Paris, s'arrêta devant la cathédrale, une jeune femme en descendit, une jolie blonde avec un regard d'éméraude à en rendre plus d'un fou, elle portait une robe couleur jade légérement décolleté. Se tourna vers l'intérieur du carrosse, elle prit dans ses bras une jeune demaoiselle aux boucles brune, le même regard d'éméraude que la jeune femme, la petite portait une robe rose pastel.
La jeune femme portait sa fille, la petite était sage, elle regarda autour d'elle voir si elle connaissait du monde. Sa fille commençait à vouloir se décoiffer, la jeune maman lui fit les gros yeux, la demoiselle arrêta immédiatement, la petite cherchait sa nurse du regard.
Elle avança en direction de la cathédrale, la petite ouvrait de grand yeux, un rien l'émerveillé. Arrivé devant elle laissa sa fille redescendre , la petite Isabella donna la main à sa mère pour marcher...
La jeune femme portait sa fille, la petite était sage, elle regarda autour d'elle voir si elle connaissait du monde. Sa fille commençait à vouloir se décoiffer, la jeune maman lui fit les gros yeux, la demoiselle arrêta immédiatement, la petite cherchait sa nurse du regard.
Elle avança en direction de la cathédrale, la petite ouvrait de grand yeux, un rien l'émerveillé. Arrivé devant elle laissa sa fille redescendre , la petite Isabella donna la main à sa mère pour marcher...
Ricw
Le Duc resta songeur un instant, puis sourit au Cardinal, donnant quartier libre à ses hommes d'un geste de la main. Il répondit au prélat, toujours avec le sourire :
Que voulez-vous, ma famille n'aime pas les morts naturelles, alors je me suis arrangé pour que ce jour soit consacré uniquement aux réjouissances.
Il observa les premiers invités qui commençaient à s'installer... L'avantage de Maltea, c'est qu'elle avait des amis partout ! Les quatres coins du royaume serait présent ce soir pour le voir se marier... Il y en avaient, la haut, qui devaient être vert de jalousie !
Il hésita un instant avant de regarder à gauche et à droite... Il était sur que Maltea ne tarderait pas... Du moins, il l'espérait... Ne le lui avait-elle pas dit ?
Que voulez-vous, ma famille n'aime pas les morts naturelles, alors je me suis arrangé pour que ce jour soit consacré uniquement aux réjouissances.
Il observa les premiers invités qui commençaient à s'installer... L'avantage de Maltea, c'est qu'elle avait des amis partout ! Les quatres coins du royaume serait présent ce soir pour le voir se marier... Il y en avaient, la haut, qui devaient être vert de jalousie !
Il hésita un instant avant de regarder à gauche et à droite... Il était sur que Maltea ne tarderait pas... Du moins, il l'espérait... Ne le lui avait-elle pas dit ?
Onagre
Onagre aux côtés de Richard salua Son Eminence Aaron de Nagan.
Le médicastre se souvenait de l'homme qu'il saluait à présent. Par le passé tout deux avaient eu l'occasion de s'entretenir de manière brève sur quelques sujets. Mais depuis le temps n'avait cessé sa course. Celui-ci se souvenait-il du médicastre ? Onagre n'aurait pu le dire.
.....
Quelques temps plus tôt Richard s'était entretenu avec le médicastre. Celui-ci lui avait fait part de l'imminence du mariage et lui avait demandé d'être son témoin lorsque le grand jour serait arrivé.
Ce n'est pas sans embarras qu'Onagre accueillit la demande. Bien entendu une telle sollicitation était un honneur et ce dernier en était flatté. Mais cela tombait bien mal. Un important voyage était prévu et le médicastre ne voyait comment l'ajourner. De nombreux soleils se couchèrent sans que l'embarras ne se leva.
Richard attendait une réponse et Onagre savait qu'il ne devait tarder. Ceci aurait été d'une impolitesse totale à l'encontre de son grand ami. Finalement ce fut un heureux hasard qui imposa la réponse. Un imprévu ayant eu lieu, le voyage se voyait contraint d'être remis à une date ultérieure. Et c'est avec soulagement et joie que le médicastre parti annoncer sa décision à Richard.
Aujourd'hui ils étaient à Paris, la grande heure approchant.
Le médicastre se souvenait de l'homme qu'il saluait à présent. Par le passé tout deux avaient eu l'occasion de s'entretenir de manière brève sur quelques sujets. Mais depuis le temps n'avait cessé sa course. Celui-ci se souvenait-il du médicastre ? Onagre n'aurait pu le dire.
.....
Quelques temps plus tôt Richard s'était entretenu avec le médicastre. Celui-ci lui avait fait part de l'imminence du mariage et lui avait demandé d'être son témoin lorsque le grand jour serait arrivé.
Ce n'est pas sans embarras qu'Onagre accueillit la demande. Bien entendu une telle sollicitation était un honneur et ce dernier en était flatté. Mais cela tombait bien mal. Un important voyage était prévu et le médicastre ne voyait comment l'ajourner. De nombreux soleils se couchèrent sans que l'embarras ne se leva.
Richard attendait une réponse et Onagre savait qu'il ne devait tarder. Ceci aurait été d'une impolitesse totale à l'encontre de son grand ami. Finalement ce fut un heureux hasard qui imposa la réponse. Un imprévu ayant eu lieu, le voyage se voyait contraint d'être remis à une date ultérieure. Et c'est avec soulagement et joie que le médicastre parti annoncer sa décision à Richard.
Aujourd'hui ils étaient à Paris, la grande heure approchant.
Kermor
Invité pour le mariage de leur amie, Kermor et Coleen avaient fait le déplacement jusqu’à Paris en cette occasion particulière. Ils étaient arrivés un peu plus tôt sur leurs montures afin de trouver une auberge dans leurs moyens pour se rafraichir et s’habiller convenablement. Ils n’étaient point habitué à de tels mariages célébrés en la capitale.
Ils étaient arrivés devant l’Oratoire Saint Michel-Archange en espérant ne pas être en retard. Kermor admirait l’architecture du bâtiment et sa lourde porte de bois sculptée. Elle avait toujours aimé les monuments et les églises.
Ils pénétrèrent dans les lieux saints tout en admirant l’intérieur qui n’était en rien comparable à ce qu’ils avaient l’habitude de côtoyer. Kermor admirait tout et regardait les vitraux si grands et magnifiques. Ils se signèrent en entrant puis se dirigèrent discrètement vers un banc afin de ne pas gêner les invités qui arrivaient derrière eux.
La jeune femme cru reconnaitre une amie qu’elle n’avait pas vu depuis si longtemps, qu’elle hésita un moment. Mais c’était bien elle. Tiamarys était présente, elle lui fit un signe de tête en souriant. Il y avait là plusieurs visages qu’elle connaissait et les saluait d’un hochement de tête. Ils s’installèrent sur un banc avec son époux, toujours aussi émus lorsqu’ils étaient invités pour célébrer une union.
Ils étaient arrivés devant l’Oratoire Saint Michel-Archange en espérant ne pas être en retard. Kermor admirait l’architecture du bâtiment et sa lourde porte de bois sculptée. Elle avait toujours aimé les monuments et les églises.
Ils pénétrèrent dans les lieux saints tout en admirant l’intérieur qui n’était en rien comparable à ce qu’ils avaient l’habitude de côtoyer. Kermor admirait tout et regardait les vitraux si grands et magnifiques. Ils se signèrent en entrant puis se dirigèrent discrètement vers un banc afin de ne pas gêner les invités qui arrivaient derrière eux.
La jeune femme cru reconnaitre une amie qu’elle n’avait pas vu depuis si longtemps, qu’elle hésita un moment. Mais c’était bien elle. Tiamarys était présente, elle lui fit un signe de tête en souriant. Il y avait là plusieurs visages qu’elle connaissait et les saluait d’un hochement de tête. Ils s’installèrent sur un banc avec son époux, toujours aussi émus lorsqu’ils étaient invités pour célébrer une union.
Sepa
Sepa avait accepté l’invitation de Grenat pour le mariage de la sœur de celle-ci. Ca lui permettrait de mieux connaitre son futur neveu par alliance Gwerlibr et passer du temps avec ses deux nièces. Il apprendrait à connaitre aussi celle qui pourrait devenir sa belle sœur si son imbécile de frère commençait à redonner signe de vie. Le voyage fut paisible jusqu’à Paris, il avait rigolé avec les membres de sa famille surtout avec ses nièces. C’était un peu plus tendu avec Gwerlibr mais il discutait bien avec celui-ci. Il ne voulait pas de tension pour être de très bonne humeur pour ce jour festif. C’était la première fois qu’il venait à Paris, il était impressionné par la grandeur de la ville, il y avait pas mal d’activité.
Pour le mariage, il avait sorti la tenue de grand évènement redorant les couleurs de la famille noir et jaune ainsi que sur la cape, le blason des deux épées sablées croisées. Il avait aussi fait faire poser une Licorne sur son chapeau noir pour montrer aux autres qu’il faisait partie de l’Ordre de la Licorne, c’était comme une obligation mais il en était tout de même fier.
Le carrosse arriva enfin devant la cathédrale, il laissa descendre Grenat avec sa fille puis descendit à son tour. La petite lui semblait un peu déchainé mais quoi de plus normal après un long voyage comme celui-ci. Il suivait les deux femmes ne connaissant personne puis si Isabella voulait venir avec lui, il s’en occuperait volontiers.
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Pour le mariage, il avait sorti la tenue de grand évènement redorant les couleurs de la famille noir et jaune ainsi que sur la cape, le blason des deux épées sablées croisées. Il avait aussi fait faire poser une Licorne sur son chapeau noir pour montrer aux autres qu’il faisait partie de l’Ordre de la Licorne, c’était comme une obligation mais il en était tout de même fier.
Le carrosse arriva enfin devant la cathédrale, il laissa descendre Grenat avec sa fille puis descendit à son tour. La petite lui semblait un peu déchainé mais quoi de plus normal après un long voyage comme celui-ci. Il suivait les deux femmes ne connaissant personne puis si Isabella voulait venir avec lui, il s’en occuperait volontiers.
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pnj
Un attelage arriva à Paris, s'arrêta devant la cathédrale,caly laissa grenat et la petite descendre en première, puis laissa son oncle descendre.
caly descendit,une brune au regard émeraude, elle portais une longue robe. sa robe étais légèrement décolleter, sa dévoiler légèrement ses épaules.
la jeune femme remonta son châle pour couvrir ses épaules et alla rejoindre grenat et sa sœur.
caly descendit,une brune au regard émeraude, elle portais une longue robe. sa robe étais légèrement décolleter, sa dévoiler légèrement ses épaules.
la jeune femme remonta son châle pour couvrir ses épaules et alla rejoindre grenat et sa sœur.
pnj
Francis avait reçu quelques jours auparavant une invitation au mariage de son amie. Il avait pris le fameux dessin pour lui offrir comme cadeau de mariage. Elle devait venir le prendre mais elle ne l'avait jamais fait.
Au moins, il n'avait plus à penser au cadeau de mariage, il était déjà tout trouvé. Il avait décidé de terminer assez tôt tout ce qu'il devait faire pour son poste de Prévôt de Champagne pour pouvoir être libre pour le voyage vers Paris et le mariage.
Avant de partir, il s'était préparé. Il serait habillé de noir comme à son habitude. Cela collait à son style ténébreux comme disait la femme qu'il aimait. Cette couleur lui allait bien selon elle. Après toute cette coquetterie et l'attente pour que sa cavalière soit prête, tout deux montèrent dans le carrosse qui allait les amener au mariage de Richard et Maltea.
La route de Champagne jusqu'à Paris était assez cabossée, ce qui secouait les occupants du carrosse. Après les kilomètres qui séparaient leur lieu de départ et Paris, ils arrivèrent enfin. Paris était une ville magnifique qu'il avait déjà vu quand il y vint pour prêter serment. Il avait un grand sourire sur les lèvres en arrivant dans cette ville.
Le carrosse s'arrêta enfin devant l'église. Le premier à en sortir fut Francis puis il aida Pétillante à descendre de celui-ci. Elle était la mère du marié. Après il lui proposa son bras, et ils montèrent les marches.
Au moins, il n'avait plus à penser au cadeau de mariage, il était déjà tout trouvé. Il avait décidé de terminer assez tôt tout ce qu'il devait faire pour son poste de Prévôt de Champagne pour pouvoir être libre pour le voyage vers Paris et le mariage.
Avant de partir, il s'était préparé. Il serait habillé de noir comme à son habitude. Cela collait à son style ténébreux comme disait la femme qu'il aimait. Cette couleur lui allait bien selon elle. Après toute cette coquetterie et l'attente pour que sa cavalière soit prête, tout deux montèrent dans le carrosse qui allait les amener au mariage de Richard et Maltea.
La route de Champagne jusqu'à Paris était assez cabossée, ce qui secouait les occupants du carrosse. Après les kilomètres qui séparaient leur lieu de départ et Paris, ils arrivèrent enfin. Paris était une ville magnifique qu'il avait déjà vu quand il y vint pour prêter serment. Il avait un grand sourire sur les lèvres en arrivant dans cette ville.
Le carrosse s'arrêta enfin devant l'église. Le premier à en sortir fut Francis puis il aida Pétillante à descendre de celui-ci. Elle était la mère du marié. Après il lui proposa son bras, et ils montèrent les marches.
Sharlnak
Avant que la jolie blonde aux yeux émeraude et sa fille ne descendent du carrosse, un homme était descendu, aidant ainsi la mère à descendre. Il était habillé en bleu ciel, la couleur du ciel et de la mer quand elle est calme. Accroché au niveau du coup, une cape de couleur blanche et argentée flottait derrière lui. Bien évidement, une épée d’apparat battait son flanc.
Il sourit en voyant la maman réprimander sa fille du regard. Ce mariage risquai être intéressant et amusant.
Un autre homme les accompagnés, apparament l'oncle de la blonde.
Il avait donc emboîté le pas des deux demoiselles, et se trouvait de l’autre côté de la maman, la ou ça fille n’était pas.
Il sourit en voyant la maman réprimander sa fille du regard. Ce mariage risquai être intéressant et amusant.
Un autre homme les accompagnés, apparament l'oncle de la blonde.
Il avait donc emboîté le pas des deux demoiselles, et se trouvait de l’autre côté de la maman, la ou ça fille n’était pas.
Aaron
Répondant au duc sur un ton doux...
Vous faites bien, vous faites bien... Chassons donc cette idée, ce jour est en effet de réjouissance ! Voulez vous entrez et vous diriger vers l'autel ou préférez-vous remonter la nef au bras de votre future épouse?
L'archevêque de Reims rendit le salut à Onagre par une inclinaison de tête. La voiture d'un ancien duc de Champagne fit alors arrêt devant le parvis de l'église ; il en descendit accompagné. De loin, le cardinal lui sourit !
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Vous faites bien, vous faites bien... Chassons donc cette idée, ce jour est en effet de réjouissance ! Voulez vous entrez et vous diriger vers l'autel ou préférez-vous remonter la nef au bras de votre future épouse?
L'archevêque de Reims rendit le salut à Onagre par une inclinaison de tête. La voiture d'un ancien duc de Champagne fit alors arrêt devant le parvis de l'église ; il en descendit accompagné. De loin, le cardinal lui sourit !
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Eloso
La cathédrale était aussi blanche que celle de Clermont était noire, fièrement campée sur son bout d'île. La foule serrée sur le parvis entra lentement, les entrainant dans son courant, et ils pénétrèrent dans la nef illuminée par le soleil d'hiver.
Amarré à la main de Tia, il se laissa remorquer jusqu'à un banc, où ils s'installèrent au mieux, attendant la suite, qui ne manquerait sans doute pas d'etre grandiose.
Il se pencha vers sa compagne, murmurant :
Tu n'as pas froid, tu veux ma cape ?
Amarré à la main de Tia, il se laissa remorquer jusqu'à un banc, où ils s'installèrent au mieux, attendant la suite, qui ne manquerait sans doute pas d'etre grandiose.
Il se pencha vers sa compagne, murmurant :
Tu n'as pas froid, tu veux ma cape ?
Tagira
tagira arriva bien qu'un peu perdu ne connaissant personne elle scruta du regard les personnes presente et aperçu caly ,elle s'approcha d'elle
--bonjour caly ! dit moi sais tu ou se trouve isabella ?
--bonjour caly ! dit moi sais tu ou se trouve isabella ?
Coleen
Après un long voyage depuis compiègne ils avaient finit par atteindre la capital .Après une courte alte dans une auberge afin de se préparer pour cet événement dont ils n'étaient point habitué vu leur rang ,ils avaient rejoint rapidement l'oratoire Saint Michel-Archange .Une foulle nombreux étaient déjà présente et se massait dans l'oratoire.
Col tenant la main de son épouse serrée dans la sienne rejoignit rapidement un banc dans le fond de l'édifice ,laissant les premières places aux grands de champagne.Il saluat rapidement de la tête ou d'un sourir les personnes présentes qu'il connaissait.
Col tenant la main de son épouse serrée dans la sienne rejoignit rapidement un banc dans le fond de l'édifice ,laissant les premières places aux grands de champagne.Il saluat rapidement de la tête ou d'un sourir les personnes présentes qu'il connaissait.
Tiamarys
Tia lui sourit
Non ca va aller ne t'inquiète pas...J'ai hâte de voir Mlatéa mariée...Je n'en reviens toujours pas!
Non ca va aller ne t'inquiète pas...J'ai hâte de voir Mlatéa mariée...Je n'en reviens toujours pas!
Ricw
Le Duc réfléchit un instant, puis répondit au Cardinal :
Je pense qu'il est préférable que je l'attende devant l'autel. Il est de coutume que le marié ne voie pas son épouse avant cet instant là, et je n'aimerais pas y déroger.
Il sourit encore, et dit à voix un peu plus basse.
J'en oublie un assez grand nombre fréquemment pour essayer au moins d'en respecter une le jour le plus important de ma vie...
Il tourna la tête un instant vers Onagre, et ils se mirent en marche.
Nous entrons donc, si vous le voulez bien, votre Eminence.
Je pense qu'il est préférable que je l'attende devant l'autel. Il est de coutume que le marié ne voie pas son épouse avant cet instant là, et je n'aimerais pas y déroger.
Il sourit encore, et dit à voix un peu plus basse.
J'en oublie un assez grand nombre fréquemment pour essayer au moins d'en respecter une le jour le plus important de ma vie...
Il tourna la tête un instant vers Onagre, et ils se mirent en marche.
Nous entrons donc, si vous le voulez bien, votre Eminence.
Altaiir
Altaiir se dépêcha de trouver le chemin dans l'immense ville qu'était Paris en demandant aux passants quelle direction prendre.
Arrivé au galop devant les marches, il bondit hors de sa monture pour courir aux portes craignant d'arriver en retard.
Il poussa délicatement les portes, et entra le plus discrètement possible en esseyant de retenir son souffle. Il avança lentement pour se mettre dans un coin à l'entrée et admirer la chapelle.
Il salua d'un signe de la tête les personnes qui le saluaient, même s'il ne les connaissait pas.
Enfin, il se concentra sur la scène principale, regardant un messire qui semblait être le duc qui allait se marier vu ses vêtements, et qui s'avançait vers le cardinal accompagné de son témoin.
Maltea
Maltea était dans une pièce attenante à l'oratoire, attendant patiemment le début de la cérémonie. Elle s’y était préparée avec l’aide de sa suzeraine qui en plus d’être là en amie aujourd’hui, endossait le rôle de témoin.
Une jeune femme s’occupait de mettre en place les cheveux de Maltea.
Maltea avait décidé de les laisser libre et de les retenir par un diadème. Une fois fait elle regarda dans le miroir et sourit. Elle resserra un peu les lacets du corsage de sa robe. Elle l’avait choisie avec Gnia lorsqu’elles étaient toutes deux venue à Paris. Le devant de la robe était blanc et le reste de couleur bleu nuit, petit clin d’œil à son futur époux qui ne jurait que par cette couleur. Elle espérait d’ailleurs que celui-ci n’avait pas poussé l’extravagance à décliner la couleur dans tous les tons comme à la cérémonie d’hommage.
Elle se mira de face puis de profil et sourit. La robe était parfaite. Alors qu’elle se retournait sur son amie, elle entendit les cloches et son cœur fit un bond. Heureusement Gnia était avec elle et ce même si elle n’était pas loin d’être dans le même état de nervosité qu’elle. C’était en effet la première fois qu’elle se retrouvait témoin.
Plus les minutes passaient, plus la peur se faisait sentir.
Qu’adviendrait-il si elle n’arrivait pas à la combattre comme la dernière fois ? Elle s’était déjà enfuie devant des invités médusés et elle ne voulait pas faire ce coup là à Richard. Néanmoins c’était instinctif chez elle, le mariage lui faisait peur et ce même si elle le niait.
Ce qui l’inquiétait encore plus, c’était plutôt le fait de passer l’arme à gauche si l’envie de fuir lui prenait.
Afin de chasser ces pensées, elle entreprit de mettre ses bijoux puis alla jeter un coup d’œil dans l’oratoire. Les invités arrivaient et prenaient place.
Il était temps d’y aller. Nerveuse, elle essaya de se donner du courage en faisant un peu d’humour. Elle s’adressa à Gnia.
Vicomtesse, je pense que nous sommes attendues, tu m’attaches à toi au cas ou… comme ça je courrais moins vite que si j’étais seule et Richard aura le temps de me rattraper et de me faire entendre raison.
Elle lui sourit avant d’avancer vers la porte qui les séparait de la nef… La vicomtesse de Bapaume voyant l’état de nervosité de Maltea lui tendit une petite fiole en lui disant de boire un peu, que cela la détendrait. Maltea ne se fit pas prier et avala une rasade du breuvage avant de tousser.
T’avais pas plus fort ?
Elle lui fit un clin d’œil avant de reprendre sa marche.
Lentement, elle descendit la nef avec à son bras Gnia à défaut de père. Gian tenait la main d’Isaline, qui commençait à peine à marcher mais qui n’avait pas prétendu se faire porter.
Maltea la regarda attendrie, elle lui ressemblait de plus en plus, sans parler de son caractère de cochon… pauvre Richard, deux pour le prix d’une…
Elle reporta son attention sur les personnes présentes et sourit à ses amis tout en avançant, le cœur tremblant, vers son futur époux qui se tenait devant l’autel en compagnie de son témoin et vassal, le seigneur de Petit-Mesnil. Elle lui sourit nerveusement avant de saluer le cardinal selon l’usage.
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Une jeune femme s’occupait de mettre en place les cheveux de Maltea.
Maltea avait décidé de les laisser libre et de les retenir par un diadème. Une fois fait elle regarda dans le miroir et sourit. Elle resserra un peu les lacets du corsage de sa robe. Elle l’avait choisie avec Gnia lorsqu’elles étaient toutes deux venue à Paris. Le devant de la robe était blanc et le reste de couleur bleu nuit, petit clin d’œil à son futur époux qui ne jurait que par cette couleur. Elle espérait d’ailleurs que celui-ci n’avait pas poussé l’extravagance à décliner la couleur dans tous les tons comme à la cérémonie d’hommage.
Elle se mira de face puis de profil et sourit. La robe était parfaite. Alors qu’elle se retournait sur son amie, elle entendit les cloches et son cœur fit un bond. Heureusement Gnia était avec elle et ce même si elle n’était pas loin d’être dans le même état de nervosité qu’elle. C’était en effet la première fois qu’elle se retrouvait témoin.
Plus les minutes passaient, plus la peur se faisait sentir.
Qu’adviendrait-il si elle n’arrivait pas à la combattre comme la dernière fois ? Elle s’était déjà enfuie devant des invités médusés et elle ne voulait pas faire ce coup là à Richard. Néanmoins c’était instinctif chez elle, le mariage lui faisait peur et ce même si elle le niait.
Ce qui l’inquiétait encore plus, c’était plutôt le fait de passer l’arme à gauche si l’envie de fuir lui prenait.
Afin de chasser ces pensées, elle entreprit de mettre ses bijoux puis alla jeter un coup d’œil dans l’oratoire. Les invités arrivaient et prenaient place.
Il était temps d’y aller. Nerveuse, elle essaya de se donner du courage en faisant un peu d’humour. Elle s’adressa à Gnia.
Vicomtesse, je pense que nous sommes attendues, tu m’attaches à toi au cas ou… comme ça je courrais moins vite que si j’étais seule et Richard aura le temps de me rattraper et de me faire entendre raison.
Elle lui sourit avant d’avancer vers la porte qui les séparait de la nef… La vicomtesse de Bapaume voyant l’état de nervosité de Maltea lui tendit une petite fiole en lui disant de boire un peu, que cela la détendrait. Maltea ne se fit pas prier et avala une rasade du breuvage avant de tousser.
T’avais pas plus fort ?
Elle lui fit un clin d’œil avant de reprendre sa marche.
Lentement, elle descendit la nef avec à son bras Gnia à défaut de père. Gian tenait la main d’Isaline, qui commençait à peine à marcher mais qui n’avait pas prétendu se faire porter.
Maltea la regarda attendrie, elle lui ressemblait de plus en plus, sans parler de son caractère de cochon… pauvre Richard, deux pour le prix d’une…
Elle reporta son attention sur les personnes présentes et sourit à ses amis tout en avançant, le cœur tremblant, vers son futur époux qui se tenait devant l’autel en compagnie de son témoin et vassal, le seigneur de Petit-Mesnil. Elle lui sourit nerveusement avant de saluer le cardinal selon l’usage.
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Grenat_alexandria
Grenat souria à Sharl qui se tenait à ses côtés, un sourire également à Sépa, la petite Isa vit son oncle, elle ne tenait plus en place, Grenat se tourna vit Caly, alla la saluer, lui fit la bise tout en la serrant dans ses bras. Elle salua la nurse aussi, Isa lacha la main de sa mère et tira sur les jupes de sa nurse.
Tagira je crois qu'Isabella est ravie de vous voir prés d'elle en cette occasion.
Grenat sourit à la jeune femme, elle avait grande confiance en sa nurse, sa fille l'aimait beaucoup. La jeune femme chercha des yeux sa soeur la future marié. Elle la vit arriver, elle était radieuse en ce jour particulier, une autre jolie blonde au regard d'émeraude.
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Tagira je crois qu'Isabella est ravie de vous voir prés d'elle en cette occasion.
Grenat sourit à la jeune femme, elle avait grande confiance en sa nurse, sa fille l'aimait beaucoup. La jeune femme chercha des yeux sa soeur la future marié. Elle la vit arriver, elle était radieuse en ce jour particulier, une autre jolie blonde au regard d'émeraude.
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Belphegore
Après la Course Royale et ses résultats plutôt décevants, Belphegore avait décidé de rester sur Paris pour visiter cette grande ville qui la fascinait tout en la dégoûtant en même temps: tant de bruit, de gens circulant, d'échoppes plus mystérieuses les unes que les autres, tant de bâtiments grandioses...
Elle s'était attardée plus particulièrement auprès des herboristes, des médicastres ou des rebouteux, se mettant au courant des nouvelles trouvailles ou des soins récents.
C'est l'aubergiste, chez qui elle était descendue qui l'avait mise au courant d'un mariage somptueux de deux nobles de par chez elle, en province. Quand il lui avait révélé les noms des mariés, elle avait applaudi des deux mains, comme une petite fille:
"Maltéa? Ricw ???"C'est vrai?"
Un message, reçu un peu plus tard, confirma la nouvelle: son amie se mariat bien. Quelle surprise, la connaissant!! L'homme qui allait passer la bague à son doigt était un chanceux...Ou un masochiste!! Connaissant le caractère de Maltéa, et ses envies de liberté, Ricw devrait s'armer de patience et d'amour!! A moins que ce ne soit qu'un mariage arrangé, laissant totale liberté aux deux parties!!
Mais il fallait d'abord penser à s'habiller pour la cérémonie!! Belphegore n'avait que ses vêtements de voyage et de la Course. Rien de bien seyant ni de très habillé!! Ne disait-on pas que souvent on rencontrait son propre époux au mariage d'amis? Il fallait donc qu'elle présente correctement!!
Vérifiant dans sa bourse, elle constata qu'il lui restait assez pour s'acheter une robe. Fouinant dans une échoppe de tisserand, elle dénicha une robe de velours pourpre, dont le col était orné de fourrure immaculée d'hermine. Pas de bijoux sur sa peau laiteuse, seul un ruban de la même couleur s'enlaçait dans ses cheveux noués en une natte qui lui tombait au creux des reins.
Ne pouvant monter à cheval dans cet accoutrement, elle laissa Baladin dans les écuries de l'auberge, et loua un carosse. Elle espéra que son arrivée ne soit pas trop remarquée, il y aurait certainement la fine fleur de Champagne...Quoique...Non,pas de Champagne? Maltéa s'en était fait des "ennemis"....mais du côté de Ricw? Quels nobles seraient là? Bref...Son carosse de louage ferait à coup sûr tache parmi les armoiries présentes...Tant pis!!
Elle demanda au cocher de la laisser quelques patés de maison plus loin, et relevant sa robe sur ses chevilles d'un geste gracieux, pour éviter la boue nauséabonde qui jonchait les rues de Paris, elle se dirigea vers l'Oratoire.
Elle fut tout d'abourd époustouflée par l'architecture du bâtiment, une telle audace dans les lignes, les sculptures et les vitraux lumineux. Puis elle jeta un coup d'oeil aux personnes déjà présentes.
Son regard accrocha une silhouette connue...Aimelin...Elle hésita à aller le saluer, regardant autours d'elle si elle connaissait d'autres personnes.
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Elle s'était attardée plus particulièrement auprès des herboristes, des médicastres ou des rebouteux, se mettant au courant des nouvelles trouvailles ou des soins récents.
C'est l'aubergiste, chez qui elle était descendue qui l'avait mise au courant d'un mariage somptueux de deux nobles de par chez elle, en province. Quand il lui avait révélé les noms des mariés, elle avait applaudi des deux mains, comme une petite fille:
"Maltéa? Ricw ???"C'est vrai?"
Un message, reçu un peu plus tard, confirma la nouvelle: son amie se mariat bien. Quelle surprise, la connaissant!! L'homme qui allait passer la bague à son doigt était un chanceux...Ou un masochiste!! Connaissant le caractère de Maltéa, et ses envies de liberté, Ricw devrait s'armer de patience et d'amour!! A moins que ce ne soit qu'un mariage arrangé, laissant totale liberté aux deux parties!!
Mais il fallait d'abord penser à s'habiller pour la cérémonie!! Belphegore n'avait que ses vêtements de voyage et de la Course. Rien de bien seyant ni de très habillé!! Ne disait-on pas que souvent on rencontrait son propre époux au mariage d'amis? Il fallait donc qu'elle présente correctement!!
Vérifiant dans sa bourse, elle constata qu'il lui restait assez pour s'acheter une robe. Fouinant dans une échoppe de tisserand, elle dénicha une robe de velours pourpre, dont le col était orné de fourrure immaculée d'hermine. Pas de bijoux sur sa peau laiteuse, seul un ruban de la même couleur s'enlaçait dans ses cheveux noués en une natte qui lui tombait au creux des reins.
Ne pouvant monter à cheval dans cet accoutrement, elle laissa Baladin dans les écuries de l'auberge, et loua un carosse. Elle espéra que son arrivée ne soit pas trop remarquée, il y aurait certainement la fine fleur de Champagne...Quoique...Non,pas de Champagne? Maltéa s'en était fait des "ennemis"....mais du côté de Ricw? Quels nobles seraient là? Bref...Son carosse de louage ferait à coup sûr tache parmi les armoiries présentes...Tant pis!!
Elle demanda au cocher de la laisser quelques patés de maison plus loin, et relevant sa robe sur ses chevilles d'un geste gracieux, pour éviter la boue nauséabonde qui jonchait les rues de Paris, elle se dirigea vers l'Oratoire.
Elle fut tout d'abourd époustouflée par l'architecture du bâtiment, une telle audace dans les lignes, les sculptures et les vitraux lumineux. Puis elle jeta un coup d'oeil aux personnes déjà présentes.
Son regard accrocha une silhouette connue...Aimelin...Elle hésita à aller le saluer, regardant autours d'elle si elle connaissait d'autres personnes.
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pnj
caly regarda isa tirer sur la jupe de tagira. elle posa son châle sur les épaule de isa.
caly serra grenat dans ses bras et lui fit la bise.
caly serra grenat dans ses bras et lui fit la bise.
Elorane
Bien qu'elle s'y attendait, cela devait bien arriver un jour, en espérant que cette fois se soit vraiment la bonne, depuis le temps que Maltea en rêvait. En ouvrant le plis reçu quelques jours plutôt, Elorane sourit, elle était heureuse pour son amie, ne connaissant que trop peu son futur époux, mais la futur mère, n'avait jamais vraiment aimé les hommes qui avaient traversé la vie de Maltea.
Enfin seul son bonheur lui importait. Elle avait quitté la Guyenne a la hâte, tout de meme, la futur mariée aurait pu prévenir un peu plus vite, elle savait que Elorane était enceinte.
C'est entourée des deux hommes de sa vie, son amour de mari, et son fils chéri, qu'Elorane se rendit a Paris, elle se rappelait encore la première fois qu 'elle si était rendu, elle avait tenu a faire le chemin seule, juste en compagnie de soldats présent pour sa défense.
Au bras de Salah ad'Din, alors que Geoffroy marchait sagement a ses cotés, Elorane et sa petite famille rentra dans l'édifice religieux, son regard s'attardant sur la beauté du lieu. Une fois assise elle prit la main de son époux dans la sienne, la serrant un peu plus fort. Elle espérait que Maltea soit aussi heureuse qu'elle, elle le méritait tellement.
Enfin seul son bonheur lui importait. Elle avait quitté la Guyenne a la hâte, tout de meme, la futur mariée aurait pu prévenir un peu plus vite, elle savait que Elorane était enceinte.
C'est entourée des deux hommes de sa vie, son amour de mari, et son fils chéri, qu'Elorane se rendit a Paris, elle se rappelait encore la première fois qu 'elle si était rendu, elle avait tenu a faire le chemin seule, juste en compagnie de soldats présent pour sa défense.
Au bras de Salah ad'Din, alors que Geoffroy marchait sagement a ses cotés, Elorane et sa petite famille rentra dans l'édifice religieux, son regard s'attardant sur la beauté du lieu. Une fois assise elle prit la main de son époux dans la sienne, la serrant un peu plus fort. Elle espérait que Maltea soit aussi heureuse qu'elle, elle le méritait tellement.
Aaron
Le cardinal étendit les bras.... Il était l'heure !
Dóminus vobíscum.
Et cum spíritu tuo.
Votre Grâce, Madame, amis et amies des futurs époux, nous sommes rassemblés en cette chapelle afin de célébrer l’union de cet homme et de cette femme devant Dieu et les hommes. Comme tout mariage, ce jour est un jour exceptionnel, merveilleux, unique. L’homme se donne aujourd’hui à la femme pour le restant de ses jours, pour le meilleur et pour le pire, dans la joie et la souffrance, et cela, identiquement pour l’épouse. Vous allez former une communauté de vie ou s'épanouira cet amour, et où grandiront, je l’espère, les enfants auxquels vous aurez donné la vie en perpétuant ainsi le cycle divin de l'homme.
Le mariage est un des plus beau sacrement que l'Eglise puisse vous donner, car il uni deux âmes pour n'en faire plus qu'une, il manifeste l'amitié aristotélicienne sous son plus beau jour, sous sa plus belle facette, sous LA plus belle facette d’un diamant nommé « vie ». Que l’Action Divine, qui vous a insufflé cette envie de vivre ensemble, continue Son action, et qu’Elle vous accompagne, tout au long de votre existence, pour renforcer, et rendre toujours plus fort, cet amour que vous avez commencé à forger.
L’archevêque de Reims sourit largement aux deux époux…
Aujourd’hui, deux vies se lient, deux vies passées chacune à servir un duché, et quel duché : le mien…
Dit-il en souriant de plus bel…
…Le vôtre ! La Champagne ! Deux destinées au service du royaume de France, au service de la Champagne dans les différents domaines et fonctions dont vous aviez la charge. Prions ensemble pour que ces deux existences soient liées pour la vie…
- Seigneur, fait de moi un artisan de paix.
Seigneur nous t’en prions…
Fait moi vivre dans l’amitié Aristotélicienne.
Seigneur nous t’en prions…
Fait que je sois à la hauteur de ma tâche.
Seigneur nous t’en prions… processionnelle
Fait que je vive dans la dignité.
Seigneur nous t’en prions…
Fait moi grandir dans ton amour.
Seigneur nous t’en prions…
Accueil nos ancêtres, nos familles et nos compagnons partis à ta rencontre.
Seigneur nous t’en prions…
Seigneur, exauce nos prières, prend-nous dans ton amour, fait nous vivre dans ta grandeur mais aussi dans ta miséricorde et pardonne-nous nos offenses…
Seigneur, exauce-nous. Amen.
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Gnia
Les deux jeunes femmes avaient pris possession de la sacristie et s'étaient trouvé un espace entre les calices et les aubes pour ajouter les dernières touches à la parure de la mariée.
Agnès plaçait, les doigts tremblants de nervosité, un magnifique diadème d'argent ciselé sur les cheveux soyeux de la future mariée tandis que celle ci se mirait dans une glace qui avait du voir des générations d'officiants vérifier que leur coiffe était bien droite avant d'aller célébrer messes, noces et funérailles.
Maltea se mirait dans la glace vêtue de la robe qu'elles étaient venues choisir quelques semaines plus tôt ensemble dans les échoppes parisiennes.
Tandis que Maltea se contemplait, le visage radieux malgré la nervosité, Agnès lissa une dernière fois machinalement les pans de sa robe qu'elle avait choisie simple afin de ne pas éclipser la beauté blonde de la promise. Simple et sombre, la robe était d'une beau vert émeraude, juste souligné d'une longue ceinture or. La bataille avec ses cheveux ayant encore une fois été perdue d'avance, elle s'était contentée de les ramener en une tentative de chignon qui n'avait rien d'ordonné.
Mais voilà que les cloches sonnaient, c'était l'heure. Les deux jeunes femmes au paroxysme de la nervosité se regardèrent de longues minutes comme pour se donner du courage l'une à l'autre. Puis Agnès sentit que la peur s'insinuait chez la future mariée. Elle lui tendit alors la cassette contenant ses bijoux avec un petit sourire d'encouragement.
Puis Maltea se tourna enfin vers elle et Agnès ne pu retenir un éclat de rire à sa tirade sur la faculté à courir vite quand on est attachées l'une à l'autre.
Fourrageant dans les replis de sa robe, elle en tira une flasque qu'elle tendit à Maltea.
Tiens ma belle, bois en une rasade, ça te détendra.
La Vicomtesse de Jaulges s'étouffait encore avec le breuvage qu'Agnès lui prit la flasque des mains et la vida d'une grande rasade. C'est les yeux brillants et les joues un peu rouges qu'elle entra dans l'oratoire et remonta la nef, tenant dans sa main celle de la toute jeune enfant de Maltea et à son bras la future mariée qu'elle menait à son promis, silhouette bleue debout devant l'autel. Le temps lui parut suspendu tandis qu'elles remontaient lentement l'allée centrale de l'édifice. Le regard d'Agnès se concentrait sur les trois hommes qui les attendaient.
Et voilà, la cérémonie allait pouvoir commencer, les futurs époux étaient réunis devant le cardinal. Agnès salua les trois hommes, et recula ensuite d'un pas, la menotte de la fille de Maltea toujours serrée dans la sienne.
Agnès plaçait, les doigts tremblants de nervosité, un magnifique diadème d'argent ciselé sur les cheveux soyeux de la future mariée tandis que celle ci se mirait dans une glace qui avait du voir des générations d'officiants vérifier que leur coiffe était bien droite avant d'aller célébrer messes, noces et funérailles.
Maltea se mirait dans la glace vêtue de la robe qu'elles étaient venues choisir quelques semaines plus tôt ensemble dans les échoppes parisiennes.
Tandis que Maltea se contemplait, le visage radieux malgré la nervosité, Agnès lissa une dernière fois machinalement les pans de sa robe qu'elle avait choisie simple afin de ne pas éclipser la beauté blonde de la promise. Simple et sombre, la robe était d'une beau vert émeraude, juste souligné d'une longue ceinture or. La bataille avec ses cheveux ayant encore une fois été perdue d'avance, elle s'était contentée de les ramener en une tentative de chignon qui n'avait rien d'ordonné.
Mais voilà que les cloches sonnaient, c'était l'heure. Les deux jeunes femmes au paroxysme de la nervosité se regardèrent de longues minutes comme pour se donner du courage l'une à l'autre. Puis Agnès sentit que la peur s'insinuait chez la future mariée. Elle lui tendit alors la cassette contenant ses bijoux avec un petit sourire d'encouragement.
Puis Maltea se tourna enfin vers elle et Agnès ne pu retenir un éclat de rire à sa tirade sur la faculté à courir vite quand on est attachées l'une à l'autre.
Fourrageant dans les replis de sa robe, elle en tira une flasque qu'elle tendit à Maltea.
Tiens ma belle, bois en une rasade, ça te détendra.
La Vicomtesse de Jaulges s'étouffait encore avec le breuvage qu'Agnès lui prit la flasque des mains et la vida d'une grande rasade. C'est les yeux brillants et les joues un peu rouges qu'elle entra dans l'oratoire et remonta la nef, tenant dans sa main celle de la toute jeune enfant de Maltea et à son bras la future mariée qu'elle menait à son promis, silhouette bleue debout devant l'autel. Le temps lui parut suspendu tandis qu'elles remontaient lentement l'allée centrale de l'édifice. Le regard d'Agnès se concentrait sur les trois hommes qui les attendaient.
Et voilà, la cérémonie allait pouvoir commencer, les futurs époux étaient réunis devant le cardinal. Agnès salua les trois hommes, et recula ensuite d'un pas, la menotte de la fille de Maltea toujours serrée dans la sienne.
Sharlnak
Sharl sourit à Grenat, et porta son attention sur la marié. Elle se ressemblait beaucoups ces deux soeurs. Puis il dit, en lui tendant son bras pour l'amener dans l'eglise :
Et si nous allions dans l'Eglise chère Grenat ?
Sharl attendit sa réponse regardant autour de lui, beaucoups de monde étant déjà rentrée dans l'eglise, il risquait de ne plus y avoir de place.
Et si nous allions dans l'Eglise chère Grenat ?
Sharl attendit sa réponse regardant autour de lui, beaucoups de monde étant déjà rentrée dans l'eglise, il risquait de ne plus y avoir de place.
Ricw
Les minutes passaient, et la nervosité avait fini par le gagner. Certes, il était impassible de l'extérieur, mais certains tics pouvaient se repérer pour ceux qui savaient quoi chercher. Onagre en particulier pouvait savoir que son parrain était prêt à exploser tellement il était tendu.
En enfin, l'instant qu'il attendait arriva. Non pas la bénédiction du Cardinal, qui viendrait plus tard, mais bien l'apparition de sa fiancée. Elle était radieuse. Et elle allait devenir sa femme.
Il lui sourit, du fond du coeur, pour la rassurer. Il pouvait voir qu'elle n'avait qu'une envie, c'était de se mettre à courir au moins jusqu'en Bretagne, et pourtant, elle restait là, à ses côtés, pendant que le Cardinal ouvrait la messe.
Amen.. murmura-t-il en écho aux dernières paroles du prélat.
En enfin, l'instant qu'il attendait arriva. Non pas la bénédiction du Cardinal, qui viendrait plus tard, mais bien l'apparition de sa fiancée. Elle était radieuse. Et elle allait devenir sa femme.
Il lui sourit, du fond du coeur, pour la rassurer. Il pouvait voir qu'elle n'avait qu'une envie, c'était de se mettre à courir au moins jusqu'en Bretagne, et pourtant, elle restait là, à ses côtés, pendant que le Cardinal ouvrait la messe.
Amen.. murmura-t-il en écho aux dernières paroles du prélat.
Sepa
Sepa vit une femme arriver,il comprit un peu plus tard que celle ci n'était que la nurse de la petite isa,tout le monde était réuni en ce lieu.Il restait juste derrière Grenat attend que celle ci se décide à rentrer.Ne connaissant personne,il n'emboita pas le pas.Il sourit à Grenat qui fut rejoins par un homme,il attendit sans rien dire n'étant pas maitre de la situation
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Grenat_alexandria
Grenat sourit à Sharl, elle lui prit le bras, Isa était avec sa nurse, Sépa avec Caly, elle avait pas encore vue Altaiir.
Avec plaisir Cher Shalrnak.
Ils rentrèrent dans la cathédrale, avançant jusqu'à des bancs libre, ils étaient tous ensemble, la petite sur les genoux de sa nurse, Caly prés d'elle comme deux inséparables qu'elles étaient. La céromonie se déroulait tranquillement, Grenat écoutait les paroles du Cardinal.
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Avec plaisir Cher Shalrnak.
Ils rentrèrent dans la cathédrale, avançant jusqu'à des bancs libre, ils étaient tous ensemble, la petite sur les genoux de sa nurse, Caly prés d'elle comme deux inséparables qu'elles étaient. La céromonie se déroulait tranquillement, Grenat écoutait les paroles du Cardinal.
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Maltea
La cérémonie commençait. Le cardinal commença à prier mais Maltea terriblement nerveuse, n’écoutait qu’à moitié. Sa main le long de sa robe, triturait le tissu sans ménagement.
Afin de se calmer, elle plongea son regard vert dans celui de son fiancé ce qui la rassura quelque peu.
Elle poussa un long soupire afin de se reprendre et murmura un léger amen lorsque la prière fut finie.
Elle osa jeter un regard dans la salle derrière elle et vit des visages connus et d’autres moins voir pas du tout. C’était les aléas des accompagnements.
Elle sourit lorsqu’elle vit Magdeleine. La pauvre, c’était la troisième cérémonie de mariage à laquelle elle assistait pour elle. Les deux premières n’ayant jamais abouti…
Cette fois, elle aurait le courage d’aller jusqu’au bout… enfin elle l’espérait de tout cœur.
Elle regarda de nouveau Richard et le trouva très beau dans cette tenue. Elle était soulagée de ne pas le voir avec ses vêtements de l’hommage. Elle eut une irrésistible envie de rire en le revoyant en dégradé de bleu… la plume a elle seule valait le détour.
Elle commençait visiblement à se détendre. Après tout le mariage n’était que la consécration de leur amour, ou bien pouvait être vu comme une simple formalité afin que celui-ci soit reconnu comme légitime.
Elle se demandait si toutes les femmes passant par ce sacrement étaient dans le même état de peur qu’elle…
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Afin de se calmer, elle plongea son regard vert dans celui de son fiancé ce qui la rassura quelque peu.
Elle poussa un long soupire afin de se reprendre et murmura un léger amen lorsque la prière fut finie.
Elle osa jeter un regard dans la salle derrière elle et vit des visages connus et d’autres moins voir pas du tout. C’était les aléas des accompagnements.
Elle sourit lorsqu’elle vit Magdeleine. La pauvre, c’était la troisième cérémonie de mariage à laquelle elle assistait pour elle. Les deux premières n’ayant jamais abouti…
Cette fois, elle aurait le courage d’aller jusqu’au bout… enfin elle l’espérait de tout cœur.
Elle regarda de nouveau Richard et le trouva très beau dans cette tenue. Elle était soulagée de ne pas le voir avec ses vêtements de l’hommage. Elle eut une irrésistible envie de rire en le revoyant en dégradé de bleu… la plume a elle seule valait le détour.
Elle commençait visiblement à se détendre. Après tout le mariage n’était que la consécration de leur amour, ou bien pouvait être vu comme une simple formalité afin que celui-ci soit reconnu comme légitime.
Elle se demandait si toutes les femmes passant par ce sacrement étaient dans le même état de peur qu’elle…
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Lara_marqueyssac
Lara arriva légèrement en retard, comme souvent, il faut dire que la route avait été longue pour arriver jusque là à partir du Béarn.
Elle s'était pressée, une fois arrivée en ville, de trouver une auberge afin de pouvoir se rafraichir et se changer après ce long voyage.
Elle était plutôt en avance sur l'horaire lorsqu'elle fut sortie de l'auberge. Elle se dirigeait tranquillement vers l'église lorsqu'une calèche la doubla à toute allure, roulant dans une flaque de boue qui ne manqua pas de l'éclabousser.
La petite blonde passa par toutes les couleurs en voyant l'état de sa robe, elle qui s'était tant appliquée pour être présentable au mariage de son amie !
Elle n'eut d'autre choix que de repartir à l'auberge, heureusement, elle avait tendance à emporter de quoi se changer au minimum trois par jour et pu mettre autre chose. L'heure tournait, la cérémonie devait commencer sous peu, elle se dépécha de courir jusqu'à l'église, et y entra, poussant un soupir de soulagement en voyant que le père Aaron commençait seulement, puis tenta de trouver une place dans l'église.
Elle aperçu Aimelin et se dirigea vers lui, tentant de se faire aussi discrète que possible, mais Lara et discrétion faisaient deux, elle se prit les pieds dans sa robe et manqua de s'étaler par terre. Elle réussit heureusement à se rattraper à l'un des bancs mais se fit tout de même quelque peu remarquer par les gens se trouvant dans le fond de l'église...
Elle se dépécha de se trouver une place et se fit aussi petite que possible...
Elle s'était pressée, une fois arrivée en ville, de trouver une auberge afin de pouvoir se rafraichir et se changer après ce long voyage.
Elle était plutôt en avance sur l'horaire lorsqu'elle fut sortie de l'auberge. Elle se dirigeait tranquillement vers l'église lorsqu'une calèche la doubla à toute allure, roulant dans une flaque de boue qui ne manqua pas de l'éclabousser.
La petite blonde passa par toutes les couleurs en voyant l'état de sa robe, elle qui s'était tant appliquée pour être présentable au mariage de son amie !
Elle n'eut d'autre choix que de repartir à l'auberge, heureusement, elle avait tendance à emporter de quoi se changer au minimum trois par jour et pu mettre autre chose. L'heure tournait, la cérémonie devait commencer sous peu, elle se dépécha de courir jusqu'à l'église, et y entra, poussant un soupir de soulagement en voyant que le père Aaron commençait seulement, puis tenta de trouver une place dans l'église.
Elle aperçu Aimelin et se dirigea vers lui, tentant de se faire aussi discrète que possible, mais Lara et discrétion faisaient deux, elle se prit les pieds dans sa robe et manqua de s'étaler par terre. Elle réussit heureusement à se rattraper à l'un des bancs mais se fit tout de même quelque peu remarquer par les gens se trouvant dans le fond de l'église...
Elle se dépécha de se trouver une place et se fit aussi petite que possible...
pnj
caly entra dans la cathédrale accompagner de son oncle.
elle suivi grenat toute les deux étais inséparable on ne savais pas pourquoi mais elle avais toute les deux du mal a s'éloigner de trop.
caly se mit au coter de grenat regardais isa sur les genoux de sa nurse elle jouais avec ses ruban, elle essayais même de les défaire de qui fit sourire caly.
elle suivi grenat toute les deux étais inséparable on ne savais pas pourquoi mais elle avais toute les deux du mal a s'éloigner de trop.
caly se mit au coter de grenat regardais isa sur les genoux de sa nurse elle jouais avec ses ruban, elle essayais même de les défaire de qui fit sourire caly.
_geoffroy_
Encore un mariage... Ce n'était pourtant pas la saison des amours... A croire qu'il n'y avait pas de saison ni de temps pour s'aimer... Geoffroy restait pensif sur cette nouvelle union, accompagnant sa mère Elorane et son mari. Il avait l'impression d'être balloté d'une église à l'autre... Avoir des parents qui avaient des parchemins entiers de noms d'amis ne facilitait pas une vie tranquile. M'enfin tous ces voyages et ces nouvelles découvertes lui apprenaient des choses, le rendait plus grand à chaque fois.
Cette fois c'était directement dans la belle ville de Paris qu'allait être célébrée devant le Tout Puissant cette union. Ceux qui allaient se passer la corde au cou, ou du moins se marier, il les avait déjà rencontré auparavant, au mariage de sa mère.. Il ne les reconnaitrait probablement pas tant il avait été occupé à faire courir le joufflu ce jour ci... C'est donc à trois (et non à Troyes) qu'ils se rendirent dans Paris, s'acheminant jusqu'à l'édifice religieux.
L'endroit était encore plus majestueux que la paroisse de Lyon. Il en était même un peu impressionné... Une fois à l'intérieur, Geoffroy regarda ses parents... Sa mère semblait perdue dans ses pensées, probablement en train d"imaginer à nouveau leur mariage... Il haussa les épaules puis vint se placer devant eux pour observer l'assemblée... Et dire qu'un jour il se devra lui aussi de passer par là... Encore faudra t-il que ses parents soient d'accord pour lui trouver une promise.. Il eut un petit sourire aux lèvres puis admira les jeunes femmes assises sur les bancs, aux coiffes impécables, puis bifurqua dans une allée pour y trouver un siège et s'y assoir.
Cette fois c'était directement dans la belle ville de Paris qu'allait être célébrée devant le Tout Puissant cette union. Ceux qui allaient se passer la corde au cou, ou du moins se marier, il les avait déjà rencontré auparavant, au mariage de sa mère.. Il ne les reconnaitrait probablement pas tant il avait été occupé à faire courir le joufflu ce jour ci... C'est donc à trois (et non à Troyes) qu'ils se rendirent dans Paris, s'acheminant jusqu'à l'édifice religieux.
L'endroit était encore plus majestueux que la paroisse de Lyon. Il en était même un peu impressionné... Une fois à l'intérieur, Geoffroy regarda ses parents... Sa mère semblait perdue dans ses pensées, probablement en train d"imaginer à nouveau leur mariage... Il haussa les épaules puis vint se placer devant eux pour observer l'assemblée... Et dire qu'un jour il se devra lui aussi de passer par là... Encore faudra t-il que ses parents soient d'accord pour lui trouver une promise.. Il eut un petit sourire aux lèvres puis admira les jeunes femmes assises sur les bancs, aux coiffes impécables, puis bifurqua dans une allée pour y trouver un siège et s'y assoir.
Onagre
Onagre observait les deux futurs époux. Ils étaient touchant.
Croisant le regard de Richard, il lui sourit.
Croisant le regard de Richard, il lui sourit.
Sepa
Sepa fut surpris que Grenat accepte d'entrer avec Sharl,enfin bref,Gwer était parti on ne sait où.Il rentra dans l'enceinte accompagné de Caly,il ne disait rien,totalement muet même.Il contemplait l'intérieur du bâtiment,très bien décoré pour l'évènement.Il s'installa à une place disponible où il pourrait voir sa nièce Isa s'amuser avec la nurse.Il avait dit à Grenat qu'il acceptait car celle ci n'avait pas de cavalier mais bon,le vide fut vite comblé.Il regarda quand même de loin les futurs mariés tout de même puis il reprit son attention sur Isa,ce n'était pas une nouvelle que Sepa n'était pas complètement dans la religion mais il s'efforçait pour le bien de sa famille.Enfin c'était son premier mariage,il verrait ce qu'il l'attendait si avec sa douce,qu'il avait du laisser à Ventadour, s'il venait à se marier un jour.Malheureusement celle ci n'avait pas d'origine noble,ayant perdu la mémoire et connaissant pas vraiment son passé.Il espérait que celle ci se rappellerait et qu'elle serait noble elle aussi.
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pnj
La journée était bien avancée quand la jeune Damoiselle de Morvilliers passa la porte de Paris pour la première fois de sa toute jeune vie. Avide de découverte, elle avait écarté les lourds rideaux de la voiture et ne perdait rien du spectacle: rien à voir avec la capitale champenoise. Les rues étaient animées, on courait, on criait, on se bousculait... Et du monde, beaucoup de monde. Une foule impressionnante, oppressante, excitante ! L'enfant ne tenait plus en place. Il lui tardait de poser enfin le pied sur ce sol royal. Elle aimait cette ville sans la connaître encore. Elle représentait tant de choses, des choses qu'elle ne connaissait pas, qu'elle ne comprenait pas.
L'excitation était telle que la jeune fille en avait mal à la tête. Elle voulait tout voir, tout entendre et tout commenter. La pauvre Hildegarde, la chambrière chargée de la mener à bon port et de l'habiller pour la cérémonie, se devait de la calmer si elle voulait pouvoir la conduire à temps sur les lieux du mariage. L'on s'arrêta enfin devant une riche auberge près de l'Ile de la Cité, la chambrière fit descendre sa jeune maîtresse de la voiture aux armes de Brienne et donna ordre de descendre l'unique malle.
Il fallut trois bonnes heures pour préparer la petite Morvilliers. Pour grande occasion, grands moyens. Avec l'aide d'une servante de l'auberge, l'enfant fut trempée, frottée, grattée, essuyée, parfumée. On la peigna soigneusement, relevant ses cheveux en un chignon qui laissait s'échapper quelques boucles brunes. Et pour finir, on lui passa une robe de velours bleue, rappelant l'origine de l'enfant et relevant la teinte pervenche de ses yeux, aux broderies d'or sur les manches amples, le col et la ceinture.
Enfin prête, l'enfant fut conduite à l'Oratoire Saint Michel-Archange. La cérémonie n'allait pas tarder et l'on se dépêcha de l'installer dans les premiers rangs, réservés à famille et aux proches amis des futurs époux. Elle fut ainsi confié à son cher Gabriel. Isaure regardait attentivement chaque personne de l'assemblée. Elle ne reconnaissait aucun visage. Ou si peu. Mais peu importait. Il y avait foule et c'est ce qui l'intéressait le plus dans cette histoire !
Bientôt, un homme qu'elle identifia comme étant le Cardinal qui allait unir la jeune femme à Richard, prit la parole. La cérémonie commençait. La fillette se concentra et entreprit de suivre cette union, la première à laquelle elle assistait. Et attentive, elle le fut... La future épousée s'avançait dans l'allée, et des murmures d'admiration (ou pas...) brisèrent le bref silence respectueux.
"Votre Grâce, Madame, amis et amies des futurs époux, nous sommes rassemblés en cette chapelle afin de célébrer l’union de cet homme et de cette femme..."
Isaure se pencha vers son frère et lui murmura, peut-être trop fort mais qu'importe, son observation.
- Pourquoi ne parle-t-il que des amis de Richard et Dame Maltea ? La famille n'est-elle pas supposée être ici ? Et tous ces gens ici sont leurs amis ? Peut-on avoir autant d'amis ?
Sous le regard autoritaire du jeune homme, la fillette se tut et reporta son attention sur le Duc et la future Duchesse.
Amen...
L'excitation était telle que la jeune fille en avait mal à la tête. Elle voulait tout voir, tout entendre et tout commenter. La pauvre Hildegarde, la chambrière chargée de la mener à bon port et de l'habiller pour la cérémonie, se devait de la calmer si elle voulait pouvoir la conduire à temps sur les lieux du mariage. L'on s'arrêta enfin devant une riche auberge près de l'Ile de la Cité, la chambrière fit descendre sa jeune maîtresse de la voiture aux armes de Brienne et donna ordre de descendre l'unique malle.
Il fallut trois bonnes heures pour préparer la petite Morvilliers. Pour grande occasion, grands moyens. Avec l'aide d'une servante de l'auberge, l'enfant fut trempée, frottée, grattée, essuyée, parfumée. On la peigna soigneusement, relevant ses cheveux en un chignon qui laissait s'échapper quelques boucles brunes. Et pour finir, on lui passa une robe de velours bleue, rappelant l'origine de l'enfant et relevant la teinte pervenche de ses yeux, aux broderies d'or sur les manches amples, le col et la ceinture.
Enfin prête, l'enfant fut conduite à l'Oratoire Saint Michel-Archange. La cérémonie n'allait pas tarder et l'on se dépêcha de l'installer dans les premiers rangs, réservés à famille et aux proches amis des futurs époux. Elle fut ainsi confié à son cher Gabriel. Isaure regardait attentivement chaque personne de l'assemblée. Elle ne reconnaissait aucun visage. Ou si peu. Mais peu importait. Il y avait foule et c'est ce qui l'intéressait le plus dans cette histoire !
Bientôt, un homme qu'elle identifia comme étant le Cardinal qui allait unir la jeune femme à Richard, prit la parole. La cérémonie commençait. La fillette se concentra et entreprit de suivre cette union, la première à laquelle elle assistait. Et attentive, elle le fut... La future épousée s'avançait dans l'allée, et des murmures d'admiration (ou pas...) brisèrent le bref silence respectueux.
"Votre Grâce, Madame, amis et amies des futurs époux, nous sommes rassemblés en cette chapelle afin de célébrer l’union de cet homme et de cette femme..."
Isaure se pencha vers son frère et lui murmura, peut-être trop fort mais qu'importe, son observation.
- Pourquoi ne parle-t-il que des amis de Richard et Dame Maltea ? La famille n'est-elle pas supposée être ici ? Et tous ces gens ici sont leurs amis ? Peut-on avoir autant d'amis ?
Sous le regard autoritaire du jeune homme, la fillette se tut et reporta son attention sur le Duc et la future Duchesse.
Amen...
Cyriusblack
Depuis que Cyrius avait été nommé scribe du grand Richard Wagner, le Duc de Brienne, chancelier et garde des sceaux de Champagne, celui ci le suivait, ou essayais de le suivre un peu partout. Cyrius avait apprit que Richard se mariais prochainement et décida de monter à la capitale pour l'événement. Il entra discrètement dans la maison du très haut et se signa avant d'aller s'asseoir au fond.
Pétillante
Péti était arrivée à Paris avec son Duc, Francis, après un voyage mouvementé en carosse. Il avait revêtu son plus bel habit, noir comme elle aimait, ce qui lui donnait ce petit air ténébreux. Elle même avait revêtu sa robe rouge passion qu'elle s'était confectionnée avec son aide précieuse.
Elle était très émue en ce jour et triste à la fois. Elle mariait le premier de ses fils, un homme maintenant, elle repensa avec tendresse à l'enfant qu'il a été, à la tendresse qui les unissait tous les 3 en l'absence de leur père.
Ils prirent place à côté de Gabriel, elle lui déposa un baiser tendre sur la joue. La cérémonie commençait. Elle leva les yeux vers les cieux et eut une pensée pour son défunt mari, Kurt, qui elle l'espérait pouvait voir son fils de là où il se trouvait. Elle murmura à son intention "Tu peux être fière de ton fils". Elle chasse une larme qui menaçait de couler.
Elle entendit une petite voix bien énergique du côté de Gabriel, elle pencha la tête et aperçut......... Isaure.......... magnifique dans sa belle robe bleue rehaussée d'or.... Oubliant presque de suivre la cérémonie, elle observa la petite fille à loisirs, songeant à la conversation qu'elle avait eu avec Ric quelques jours auparavant. Le temps pressait, il fallait qu'ils en reparlent..... Elle retrouva quelques traits familiers sur son visage et sourit à ce constat. Francis qui connaissait ses sentiments et ses intentions, lui prit la main et la serra dans la sienne pour lui donner du courage en cet instant.
Péti après un sourire à son duc, détourna enfin la tête et se concentra sur le plus beau jour de la vie de son fils
Elle était très émue en ce jour et triste à la fois. Elle mariait le premier de ses fils, un homme maintenant, elle repensa avec tendresse à l'enfant qu'il a été, à la tendresse qui les unissait tous les 3 en l'absence de leur père.
Ils prirent place à côté de Gabriel, elle lui déposa un baiser tendre sur la joue. La cérémonie commençait. Elle leva les yeux vers les cieux et eut une pensée pour son défunt mari, Kurt, qui elle l'espérait pouvait voir son fils de là où il se trouvait. Elle murmura à son intention "Tu peux être fière de ton fils". Elle chasse une larme qui menaçait de couler.
Elle entendit une petite voix bien énergique du côté de Gabriel, elle pencha la tête et aperçut......... Isaure.......... magnifique dans sa belle robe bleue rehaussée d'or.... Oubliant presque de suivre la cérémonie, elle observa la petite fille à loisirs, songeant à la conversation qu'elle avait eu avec Ric quelques jours auparavant. Le temps pressait, il fallait qu'ils en reparlent..... Elle retrouva quelques traits familiers sur son visage et sourit à ce constat. Francis qui connaissait ses sentiments et ses intentions, lui prit la main et la serra dans la sienne pour lui donner du courage en cet instant.
Péti après un sourire à son duc, détourna enfin la tête et se concentra sur le plus beau jour de la vie de son fils
C_lotus
Clotus s'était apprêtée pour la circonstance d'une jolie robe vert émeraude qu'elle avait confectionnée elle même,ne voulant point mettre son amie Maltea dans l'embarras .
Le grand jour était arrivée Malt se mariait,Clotus n'avait pas voulu y croire jusqu'au jour ou elle reçu ce parchemin l'invitant à l'union de sa grace de brienne avec sa jolie duchesse comme elle aimait appelée malt.
Yedis avait pris un fiacre ,pour qu'ils puissent arriver sans être trop fatigués,pour clotus s'était sa première visite à Paris et s'est avec curiosité qu'elle regardait le paysage sous l'oeil amusé de son fiancé.
Ils étaient arrivés peu avant les invités est s'était installés au fond,clotus avait admirer le duc dans ses beaux atours et avait pus voir qu'au fil des minutes sa grâce marquait imperceptiblement de la tension avait il peur que malt ne vienne pas?
Clotus vit avec soulagement malt arriver,failli se lever et applaudir tant elle trouva son amie très belle au coté du duc,Clotus croisa les doigts pour que malt ne soi pas prise de panique et fuis une fois encore devant l'autel
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Le grand jour était arrivée Malt se mariait,Clotus n'avait pas voulu y croire jusqu'au jour ou elle reçu ce parchemin l'invitant à l'union de sa grace de brienne avec sa jolie duchesse comme elle aimait appelée malt.
Yedis avait pris un fiacre ,pour qu'ils puissent arriver sans être trop fatigués,pour clotus s'était sa première visite à Paris et s'est avec curiosité qu'elle regardait le paysage sous l'oeil amusé de son fiancé.
Ils étaient arrivés peu avant les invités est s'était installés au fond,clotus avait admirer le duc dans ses beaux atours et avait pus voir qu'au fil des minutes sa grâce marquait imperceptiblement de la tension avait il peur que malt ne vienne pas?
Clotus vit avec soulagement malt arriver,failli se lever et applaudir tant elle trouva son amie très belle au coté du duc,Clotus croisa les doigts pour que malt ne soi pas prise de panique et fuis une fois encore devant l'autel
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Elleeve
Dieu que cette ville sentait mauvais!
Ils avaient fait route ensemble, petit cortège venu du fin fond de l'Auvergne, afin d'être présent pour elle, en ce jour si particulier et Oh combien important!
Ils avaient peu parlé durant le voyage, un silence gêné leur servant de compagnon de route. Seuls les deux hommes avaient échangé, phrases anodines, souvenirs communs, des hommes quoi!
Les femmes quand à elles, quand elles ne s'ignoraient pas, se lançaient des regards discrets, où se mêlait incompréhension, peur, doute, malentendus.
Ils étaient finalement descendus dans la même auberge, montant chacun dans leurs chambres et ne se retrouvant qu'au moment du départ.
L'auvergnate portait une ravissante toilette qui la mettait en valeur, dévoilant ses épaules rondes et claires et la jeune italienne, déracinée, perdue dans cette contrée qu'elle ne connaissait pas, lui murmura dans un sourire: "Vous êtes très élégante Dame Tiamarys". Pas un mot de plus, pas un de moins, elle avait ravalé sa satanée fierté d'italienne dans l'espoir d'enterrer la hache de guerre, pour cette journée au moins.
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Ève regardait à présent sa cousine avancer le long de la nef centrale de la chapelle, elle était époustouflante de beauté, flamboyante et fière comme une italienne, qu'elle était au demeurant.
La toute jeune femme croyait déceler une lueur de doute au fond des prunelles de Maltéa, quoi de plus normal lorsque l'on s'apprêtait à lier sa vie à un homme devant le créateur. Quoi de plus normal pour cette femme qui avait toujours placé sa chère liberté avant le reste?
Un regard attendri vers son compagnon qui, le nez en l'air, ne cessait d'observer les volutes de pierre qui habillaient les piles de la nef. Elle se pencha vers lui et lui murmura:" Ce sera bientôt notre tour ... Regarde comme elle est belle! Ne dirait-on pas qu'elle rayonne?"
Elle se tu, le cardinal commençait son office.
Maltea
Maltea eut son attention accaparée par une personne prenant place. Elle ne se souvenait pourtant pas l’avoir invité. Elle n’en était pas étonnée, la Champagne regorgeait de pique-assiette en tout genre.
Il avait pourtant été discret, mais Maltea avait un sixième sens lorsqu’une personne passant son temps à la dénigrer se trouvait non loin d’elle. Elle se demandait d’ailleurs pourquoi un homme qui ne les appréciait pas, se permettait d’assister à leurs noces...
Elle se dit que la ville de Paris ainsi qu’une curiosité concernant les personnes de hauts lignages devaient surement jouer. Il n’était pas là pour eux mais bien pour se montrer et fanfaronner.
Elle espéra que ses amis ne penseraient pas qu’elle avait invité cet homme à la cérémonie. Une chance le sieur Cyriusblack n’était pas accompagné de son épouse hystérique.
Elle jeta un regard noir, espérant que celui-ci comprendrait que sa présence ne lui était pas agréable. Sans savoir pourquoi, elle avait le pressentiment qu’il était là pour faire esclandre.
Richard et elle n’avait invité que peu de champenois. Ceux-ci étaient bien trop aveuglé par leur science infuse et elle avait horreur des gens se fiant aux apparences et suivant tels des moutons beuglants l’avis des oiseaux de mauvais augures.
Elle se pencha sur Richard.
C’est toi qui a invité Cyrius ? Parce que si c’est le cas, je ne comprends pas comment tu as pu inviter une personne n’arrêtant pas de me critiquer et de me prendre pour la dernière des moins que rien de ce royaume.
Elle stoppa net lorsqu’elle vit le cardinal la regarder. Les explications viendraient plus tard, lorsqu'ils seraient seuls. Elle essaya d’oublier la présence de cet opportuniste lorsqu’elle vit la mère de Richard aux côtés de sa famille et de Francis.
Elle sourit. Elle était heureuse pour Richard que sa mère se soit déplacée. Elles avaient toutes deux eu une vive discussion et Maltea en avait été blessée, son orgueil avait fait le reste. Cependant, ne voulant pas envenimer les choses, elle avait préféré éviter la mère de Richard les jours qui avaient suivis. Elle savait par Francis qu’il y avait eu une mauvaise interprétation mais ne se considérant pas en cause, elle rechignait à faire des excuses. Peut-être que dans un jour proche, elle ferait un premier pas afin de crever l’abcès et retrouver ne serait-ce qu’une relation cordiale. Elle en était capable et ce pour l’homme qu’elle aimait et qui serait une fois la cérémonie terminée son époux. Elle connaissait les liens qui liaient la mère et le fils et ne voulait en aucun cas en ternir l’harmonie.
Elle remarqua aussi la présence de sa sœur. Elles n’avaient pas été élevées ensemble, et n’avait fait sa connaissance il y avait de cela que quelques jours et ce par l’intermédiaire de leur cousine, la duchesse douairière de Vittel, Marjolainne Von Frayner.
Elle sourit en voyant sa cousine du côté paternel, elle au moins elles avaient grandi pratiquement ensemble. Elle fit un clin œil à Elleeve qui était venue accompagnée d’un jeune homme. Elle lui en avait touché mot dans une missive et ne l’avait point encore rencontré. La chose ne saurait tarder…
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Il avait pourtant été discret, mais Maltea avait un sixième sens lorsqu’une personne passant son temps à la dénigrer se trouvait non loin d’elle. Elle se demandait d’ailleurs pourquoi un homme qui ne les appréciait pas, se permettait d’assister à leurs noces...
Elle se dit que la ville de Paris ainsi qu’une curiosité concernant les personnes de hauts lignages devaient surement jouer. Il n’était pas là pour eux mais bien pour se montrer et fanfaronner.
Elle espéra que ses amis ne penseraient pas qu’elle avait invité cet homme à la cérémonie. Une chance le sieur Cyriusblack n’était pas accompagné de son épouse hystérique.
Elle jeta un regard noir, espérant que celui-ci comprendrait que sa présence ne lui était pas agréable. Sans savoir pourquoi, elle avait le pressentiment qu’il était là pour faire esclandre.
Richard et elle n’avait invité que peu de champenois. Ceux-ci étaient bien trop aveuglé par leur science infuse et elle avait horreur des gens se fiant aux apparences et suivant tels des moutons beuglants l’avis des oiseaux de mauvais augures.
Elle se pencha sur Richard.
C’est toi qui a invité Cyrius ? Parce que si c’est le cas, je ne comprends pas comment tu as pu inviter une personne n’arrêtant pas de me critiquer et de me prendre pour la dernière des moins que rien de ce royaume.
Elle stoppa net lorsqu’elle vit le cardinal la regarder. Les explications viendraient plus tard, lorsqu'ils seraient seuls. Elle essaya d’oublier la présence de cet opportuniste lorsqu’elle vit la mère de Richard aux côtés de sa famille et de Francis.
Elle sourit. Elle était heureuse pour Richard que sa mère se soit déplacée. Elles avaient toutes deux eu une vive discussion et Maltea en avait été blessée, son orgueil avait fait le reste. Cependant, ne voulant pas envenimer les choses, elle avait préféré éviter la mère de Richard les jours qui avaient suivis. Elle savait par Francis qu’il y avait eu une mauvaise interprétation mais ne se considérant pas en cause, elle rechignait à faire des excuses. Peut-être que dans un jour proche, elle ferait un premier pas afin de crever l’abcès et retrouver ne serait-ce qu’une relation cordiale. Elle en était capable et ce pour l’homme qu’elle aimait et qui serait une fois la cérémonie terminée son époux. Elle connaissait les liens qui liaient la mère et le fils et ne voulait en aucun cas en ternir l’harmonie.
Elle remarqua aussi la présence de sa sœur. Elles n’avaient pas été élevées ensemble, et n’avait fait sa connaissance il y avait de cela que quelques jours et ce par l’intermédiaire de leur cousine, la duchesse douairière de Vittel, Marjolainne Von Frayner.
Elle sourit en voyant sa cousine du côté paternel, elle au moins elles avaient grandi pratiquement ensemble. Elle fit un clin œil à Elleeve qui était venue accompagnée d’un jeune homme. Elle lui en avait touché mot dans une missive et ne l’avait point encore rencontré. La chose ne saurait tarder…
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pnj
Lily eut un baillement. Comme d'habitude, les mariages l'ennuyaient profondément. Tout le monde était là en train de contempler la mariée, chuchoter qu'elle était jolie et patati et patata... Mais Lily savait pourquoi ils étaient tous venus. Maltea et les mariages, c'était toute une histoire. Est-ce que celui-là signifiait la fin (de l'histoire, oui oui ^^) ? Le premier l'avait plantée, le second, elle l'avait abandonné à l'autel... et le troisième : alors comment ça allait se terminer ?
Lily profita d'un petit espace et se faufila jusqu'à Magdeleine, bien cachée ! Heureuse de retrouver sa cousine, elle lui affligea un baiser sur la joue, un sourire et puis reprit le cours de ses pensées.
Et le troisième ? Alors serait-ce le marié ? La mariée ? Ah ! Ah ! Peut-être les deux ? Lily tordit sa bouche. Ou peut-être que les blasons seraient trop lourds à porter et qu'il y aurait une fin "heureuse".
Lily se redressa plusieurs fois, cherchant des visages qu'elles connaissaient et il y en avait beaucoup ! Onagre, Coleen, l'ancien tribun de Ste-Ménehould, Francis bien évidemment, les Béarnais, Tiamarys.... mais aussi des Artésiens ! Et puis un visage qu'elle était certaine d'avoir croisé l'été dernier à Orléans mais pas dans les armées qui combattaient pour le Roy...
Lily eut un soupir à nouveau. Elle se pencha à l'oreille de Mag et murmura :
"Crois-tu que nous survivrons à ce mariage ?"
La jeune fille eut un sourire espiègle.
Lily profita d'un petit espace et se faufila jusqu'à Magdeleine, bien cachée ! Heureuse de retrouver sa cousine, elle lui affligea un baiser sur la joue, un sourire et puis reprit le cours de ses pensées.
Et le troisième ? Alors serait-ce le marié ? La mariée ? Ah ! Ah ! Peut-être les deux ? Lily tordit sa bouche. Ou peut-être que les blasons seraient trop lourds à porter et qu'il y aurait une fin "heureuse".
Lily se redressa plusieurs fois, cherchant des visages qu'elles connaissaient et il y en avait beaucoup ! Onagre, Coleen, l'ancien tribun de Ste-Ménehould, Francis bien évidemment, les Béarnais, Tiamarys.... mais aussi des Artésiens ! Et puis un visage qu'elle était certaine d'avoir croisé l'été dernier à Orléans mais pas dans les armées qui combattaient pour le Roy...
Lily eut un soupir à nouveau. Elle se pencha à l'oreille de Mag et murmura :
"Crois-tu que nous survivrons à ce mariage ?"
La jeune fille eut un sourire espiègle.
Varden
[Pau ... Dans un passé pas si lointain ...]
Une lettre était arrivée ... A priori pas surprenant pour un Comte en exercice ... La lettre était de Maltea ... Petit étonnement, il n'en recevait pas beaucoup de la Vicomtesse de Jaulges, voir pas du tout ... Elle se mariait donc enfin ... Avec qui donc ... Ah ...
*Moment d'étonnement*
Le fils de Kurt Wagner ... Rien que ça ? Et il était invité à son mariage ? Une plaisanterie ? Une erreur ? Une ... surprise façon Malt ? Pourquoi pas après tout, il appréciait celle qui fut maire de Sainte-Ménéhould puis Duchesse de Champagne et puis ... Le bleu supporterait bien de le voir ... Si peu ...
En route mauvaise troupe ! C'était que la délégation Béarnaise avait fière allure ! Du monde sur la route en ces jours de joie et de festivités !
Y aurait-il tous ses "amis" de Champagne ? Sans nul doute, pas la noblesse déjà ...
Petit rire en y pensant ...
[Paris ... "Il pleut sur Paris ... Et mon coeur fait l'mouchard ... Mon âme s'est tarie ... Encline à s'émouvoir ... Il pleut ..."]*
Le voyage sans encombres, rien à raconter, comme d'hab' ... Arrivée à Paris ... ça valait pas le Louvres qu'il visitait tous les jours mais ça avait de l'allure ... Sûr que le Cardinal Aaron allait pas se plaindre de la beauté du bâtiment !
Bref, y avait déjà du monde ... Il reconnut Gnia de loin, et bien que l'ancienne Connétable était l'amie de Niria de Ponthieu, il ne la salua point parce qu'elle ne le connaissait pas et puis elle n'était pas Niria ...
Penser à l'Artois en venant au mariage du Duc de Brienne et de la Vicomtesse de Jaulges ... Paradoxal ? Pas vraiment, la champenoise avait terres Artésiennes ... Ils avaient l'œil pour apprécier le franc-parler et la verve de Maltea ...
Pas mécontent d'être sur place à peu près à temps, il scruta l'église un instant et repéra Lily qui saluait déjà Mag ... Une bonne surprise ... Mag ... Cela faisait longtemps également ...
Il rejoignit sur le banc la Champenoise et la Béarnaise les saluant d'un sourire ... Apparemment la cérémonie avait à peine commencée ...
En espérant que cela soit davantage intéressant qu'au Te Deum tout de même ...
*Les Wriggles -Le bouillon-
Une lettre était arrivée ... A priori pas surprenant pour un Comte en exercice ... La lettre était de Maltea ... Petit étonnement, il n'en recevait pas beaucoup de la Vicomtesse de Jaulges, voir pas du tout ... Elle se mariait donc enfin ... Avec qui donc ... Ah ...
*Moment d'étonnement*
Le fils de Kurt Wagner ... Rien que ça ? Et il était invité à son mariage ? Une plaisanterie ? Une erreur ? Une ... surprise façon Malt ? Pourquoi pas après tout, il appréciait celle qui fut maire de Sainte-Ménéhould puis Duchesse de Champagne et puis ... Le bleu supporterait bien de le voir ... Si peu ...
En route mauvaise troupe ! C'était que la délégation Béarnaise avait fière allure ! Du monde sur la route en ces jours de joie et de festivités !
Y aurait-il tous ses "amis" de Champagne ? Sans nul doute, pas la noblesse déjà ...
Petit rire en y pensant ...
[Paris ... "Il pleut sur Paris ... Et mon coeur fait l'mouchard ... Mon âme s'est tarie ... Encline à s'émouvoir ... Il pleut ..."]*
Le voyage sans encombres, rien à raconter, comme d'hab' ... Arrivée à Paris ... ça valait pas le Louvres qu'il visitait tous les jours mais ça avait de l'allure ... Sûr que le Cardinal Aaron allait pas se plaindre de la beauté du bâtiment !
Bref, y avait déjà du monde ... Il reconnut Gnia de loin, et bien que l'ancienne Connétable était l'amie de Niria de Ponthieu, il ne la salua point parce qu'elle ne le connaissait pas et puis elle n'était pas Niria ...
Penser à l'Artois en venant au mariage du Duc de Brienne et de la Vicomtesse de Jaulges ... Paradoxal ? Pas vraiment, la champenoise avait terres Artésiennes ... Ils avaient l'œil pour apprécier le franc-parler et la verve de Maltea ...
Pas mécontent d'être sur place à peu près à temps, il scruta l'église un instant et repéra Lily qui saluait déjà Mag ... Une bonne surprise ... Mag ... Cela faisait longtemps également ...
Il rejoignit sur le banc la Champenoise et la Béarnaise les saluant d'un sourire ... Apparemment la cérémonie avait à peine commencée ...
En espérant que cela soit davantage intéressant qu'au Te Deum tout de même ...
*Les Wriggles -Le bouillon-
Marjolainne
la Duchesse Marjolainne qui venait tout juste de finir son mandat en Lorraine ,avait demandé un carrosse léger et ue excorte pour monter sur Paris
elle avait fait halte dans une auberge pour se changer avant de se diriger vers l Oratoire
La duchesse Marjolainne Von_Frayner,Reaumont,sortit de son carrosse ,marqua un temps d arret ,lissa sa robe et entra
Elle avanca et reconnu Sepa ,puis vit ses cousines Grenat et Caly et alla s installer à coté pour voir sa cousine Maltea
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elle avait fait halte dans une auberge pour se changer avant de se diriger vers l Oratoire
La duchesse Marjolainne Von_Frayner,Reaumont,sortit de son carrosse ,marqua un temps d arret ,lissa sa robe et entra
Elle avanca et reconnu Sepa ,puis vit ses cousines Grenat et Caly et alla s installer à coté pour voir sa cousine Maltea
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Jeanmerlin
Il y a peu assis aux côtés de Maltea dans une taverne de Clermont-la-Scintillante, Jeanmerlin avait réussi à soutirer une invitation à la future mariée, mais et quoi qu'il fut ravi de participer à l'évênement mondain, il se débrouilla pour arriver très en retard à la cérémonie.
Les mains très encombrées d'un délicieux couvre-lit couleur carmin, de parchemins et d'une plume, il poussa la lourde porte de l'église avec le pieds, pénêtra dans le bâtiment mais ne put retenir la lourde porte qui claqua avec fracas dans son dos.
-Houps! et bien autant pour la discretion!
Jeanmerlin toujours dans la travée, se chercha une place dans l'édifice bien bondé quand il crut soudain lacher ses effets à terre!
-Hou! mais elle est venue Péti! et en plus dans la robe qu'elle devait me prêter!
Comme Jeanmerlin ne connaissait guère que Pétillante, il ne fit ni une ni deux et se transfera lui et tout son barda sur un banc non loin de la duchesse douairière et lui fit un petit coucou bien peu protocolaire ni cérémonial.
Les mains très encombrées d'un délicieux couvre-lit couleur carmin, de parchemins et d'une plume, il poussa la lourde porte de l'église avec le pieds, pénêtra dans le bâtiment mais ne put retenir la lourde porte qui claqua avec fracas dans son dos.
-Houps! et bien autant pour la discretion!
Jeanmerlin toujours dans la travée, se chercha une place dans l'édifice bien bondé quand il crut soudain lacher ses effets à terre!
-Hou! mais elle est venue Péti! et en plus dans la robe qu'elle devait me prêter!
Comme Jeanmerlin ne connaissait guère que Pétillante, il ne fit ni une ni deux et se transfera lui et tout son barda sur un banc non loin de la duchesse douairière et lui fit un petit coucou bien peu protocolaire ni cérémonial.
Dorianedeshautbois
Doriane travaillait dans son bureau quand un pigeon se déposa dans l'encadrure de sa fenêtre.. Elle se leva et regarda si la missive lui était bien destinée, celle-ci était pour elle qui pouvait bien lui écrire.. Elle ouvrit le parchemin empressé d'y lire le contenu, elle ne pouvait pas croire ce qu'elle lissait, elle relut pour être certaine de bien avoir lis.. Doriane resta des plus surprise par cette nouvelle, sa meilleure amie devait se marier.. Malt, marié !!! Elle croyait vraiment que Malt finirait jamais par ce marié, après ses deux tentatives.. Elle espérait que cette fois, elle ne se déplacerait pas pour rien.. 
Doriane prit la peine de terminer les dossiers déjà en cour et ensuite, elle partit préparer ses effets personnels pour le voyage.. Une longue route s'annonçait, il ne fallait pas qu'elle oublie, une fois arrivée à sa demeure, elle se dit qu'elle devait écrire à son beau.. Lui aussi avait sans doute été invité, elle passerait donc le chercher avant de partir.. Doriane prit un parchemin et une plume ensuite, elle rédigea la missive pour Dark.. Elle finit de préparer ses choses pour le voyage, sortie son cheval et partie sur les routes..
Après quelques jours de voyage, elle arriva à Montpellier.. Dark devait sans doute être à la mairie, elle partit en direction de la mairie.. Une fois arrivée, elle demanda de voir Darkizno, il arriva peu de temps après.. Il lui dit qu'il était prêt à partir qu'après avoir reçu sa missive, il à tout préparé.. Un carrosse des plus beau était là avec son conducteur, elle ne pouvait pas le croire.. Tout excité, elle embarqua dans le carrosse et laissait son cheval chez Dark.. Tous deux ne perdit pas un instant et reprit la route..
Après un très long voyage épuisant, Doriane était découragé, il n'avait pas pu faire plus rapide pour se rendre jusqu'à Paris.. On était déjà la journée du mariage, elle ne pourrait même pas se reposer avant de célébrer.. Sans perde de temps, elle se rendit dans une taverne afin de pouvoir se préparer, elle enfila ses vêtements spécialement pour l'événement.. Doriane fit le plus vite qu'elle pouvait et Dark l'attendait avec impatience.. Enfin elle était prête, il pouvait donc partir pour assister à la cérémonie, elle savait qu'elle serait en retard, mais cela ne fera pas changement^^
Elle embarqua dans le carrosse accompagné de Dark et partit en direction de l'oratoire.. Une fois arriver son beau sorti et partit lui ouvrir la portière tel un gentleman.. Elle le regarda avec un large sourire, très contente d'être venue avec lui.. Beaucoup d'invités semblaient être déjà arrivés, elle prit l'avant bras de son beau et entra dans l'église.. Quelque visage lui était familier, elle fit un petit signe aux gens qu'elle connaissait.. Doriane s'installa sur un des bancs du milieu, elle prit soin d'avoir une bonne vue, pour regarder la cérémonie..
Elle chuchota à son fiancé ;
j'espère que cette fois sera la bonne.. Je ne veux pas avoir fait le voyage pour rien encore une fois^^ Mais je crois que cette fois-ci c'est la bonne..
Doriane regardait un peu partout pour regarder qui elle connaissait..
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Doriane prit la peine de terminer les dossiers déjà en cour et ensuite, elle partit préparer ses effets personnels pour le voyage.. Une longue route s'annonçait, il ne fallait pas qu'elle oublie, une fois arrivée à sa demeure, elle se dit qu'elle devait écrire à son beau.. Lui aussi avait sans doute été invité, elle passerait donc le chercher avant de partir.. Doriane prit un parchemin et une plume ensuite, elle rédigea la missive pour Dark.. Elle finit de préparer ses choses pour le voyage, sortie son cheval et partie sur les routes..
Après quelques jours de voyage, elle arriva à Montpellier.. Dark devait sans doute être à la mairie, elle partit en direction de la mairie.. Une fois arrivée, elle demanda de voir Darkizno, il arriva peu de temps après.. Il lui dit qu'il était prêt à partir qu'après avoir reçu sa missive, il à tout préparé.. Un carrosse des plus beau était là avec son conducteur, elle ne pouvait pas le croire.. Tout excité, elle embarqua dans le carrosse et laissait son cheval chez Dark.. Tous deux ne perdit pas un instant et reprit la route..
Après un très long voyage épuisant, Doriane était découragé, il n'avait pas pu faire plus rapide pour se rendre jusqu'à Paris.. On était déjà la journée du mariage, elle ne pourrait même pas se reposer avant de célébrer.. Sans perde de temps, elle se rendit dans une taverne afin de pouvoir se préparer, elle enfila ses vêtements spécialement pour l'événement.. Doriane fit le plus vite qu'elle pouvait et Dark l'attendait avec impatience.. Enfin elle était prête, il pouvait donc partir pour assister à la cérémonie, elle savait qu'elle serait en retard, mais cela ne fera pas changement^^
Elle embarqua dans le carrosse accompagné de Dark et partit en direction de l'oratoire.. Une fois arriver son beau sorti et partit lui ouvrir la portière tel un gentleman.. Elle le regarda avec un large sourire, très contente d'être venue avec lui.. Beaucoup d'invités semblaient être déjà arrivés, elle prit l'avant bras de son beau et entra dans l'église.. Quelque visage lui était familier, elle fit un petit signe aux gens qu'elle connaissait.. Doriane s'installa sur un des bancs du milieu, elle prit soin d'avoir une bonne vue, pour regarder la cérémonie..
Elle chuchota à son fiancé ;
j'espère que cette fois sera la bonne.. Je ne veux pas avoir fait le voyage pour rien encore une fois^^ Mais je crois que cette fois-ci c'est la bonne..
Doriane regardait un peu partout pour regarder qui elle connaissait..
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Darkizno
Le temps allait bon train depuis son arrivé à Montpellier. L'installation, le travail, le relationnel... Tout s'enchaînait très vite et cela comblait en le manque du à l'éloignement de sa belle, Dorianedeshautbois. Alors que son esprit vagabondait au souvenir de leur dernière rencontre, un pigeon se posa su rebord du colombier. Ouvrant la missive il découvrit que c'était sa belle qui le prévenait qu'elle passerait par chez lui pour faire la route ensemble jusqu'au mariage de leur amie Maltea. Heureux de savoir qu'il la reverrait pour cette occasion il se réjouissait. Il prépara son paquetage les jours qui précédèrent le courrier et à l'arrivé de sa belle il était fin prêt.
Après quelques jours de route, ils arrivèrent enfin à Paris. La traversé de la ville était des plus agréable malgré l'heure tardive de leur arrivé. Au détour d'une ruelle le carrosse s'arrêta devant une église. DarK sorti de son bord pour aller ouvrir à Doriane. De nombreux badauds étaient attroupé là pour voir l'évènement. Les gens affluaient de partout et ils se demandaient s'ils trouveraient encore de la place à l'intérieur. C'est main dans la main qu'ils pénétrèrent dans l'édifice.
Un monde impressionnant était déjà présent. Doriane fît un petit signe discret à DarK pour lui montrer des places disponible. Se glissant entre les gens ils allèrent s'installer. Les gens allait et venaient en tout sens. DarK ne connaissait pas grand monde à part la mariée. Beaucoup de monde était déjà autour et il se dit qu'il serait préférable d'attendre un peu. Doriane se pencha vers lui pour lui chuchoter. Un sourire s'afficha sur le visage de DarK avant qu'il ne lui réponde tout aussi doucement :
Oui j'espère aussi. En tout cas même si cela est la bonne quelque chose me dit que ce ne sera sans doute pas la fin de ses péripéties.
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Après quelques jours de route, ils arrivèrent enfin à Paris. La traversé de la ville était des plus agréable malgré l'heure tardive de leur arrivé. Au détour d'une ruelle le carrosse s'arrêta devant une église. DarK sorti de son bord pour aller ouvrir à Doriane. De nombreux badauds étaient attroupé là pour voir l'évènement. Les gens affluaient de partout et ils se demandaient s'ils trouveraient encore de la place à l'intérieur. C'est main dans la main qu'ils pénétrèrent dans l'édifice.
Un monde impressionnant était déjà présent. Doriane fît un petit signe discret à DarK pour lui montrer des places disponible. Se glissant entre les gens ils allèrent s'installer. Les gens allait et venaient en tout sens. DarK ne connaissait pas grand monde à part la mariée. Beaucoup de monde était déjà autour et il se dit qu'il serait préférable d'attendre un peu. Doriane se pencha vers lui pour lui chuchoter. Un sourire s'afficha sur le visage de DarK avant qu'il ne lui réponde tout aussi doucement :
Oui j'espère aussi. En tout cas même si cela est la bonne quelque chose me dit que ce ne sera sans doute pas la fin de ses péripéties.
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Adelahis
Adélahis restait dans son coin... qu'elle pouvait en voir passer de belle tenue, des têtes de la noblesse. Elle repensa à une absente. les larmes le vinrent aux yeux... serait-ce la bonne fois ? c'était le deuxième mariage de maltea auquel elle assistait, le premier avait fini ... mouillé.
Maltea était belle. Elle était montée haut et l'avait payé cher. Elle espéra pour son amie qu'elle retrouve plus de sérénité. Elle revit certaines têtes. Il était là le vrai cercle de Maltea.
Adélahis ne bougea pas. Elle attendrait que maltea soit vraiment mariée pour repartir comme elle était venue.
Maltea était belle. Elle était montée haut et l'avait payé cher. Elle espéra pour son amie qu'elle retrouve plus de sérénité. Elle revit certaines têtes. Il était là le vrai cercle de Maltea.
Adélahis ne bougea pas. Elle attendrait que maltea soit vraiment mariée pour repartir comme elle était venue.
pnj
Elle jouait machinalement avec le pendentif accroché à son cou, rose et chardon entrelacés, observant distraitement l’assemblée qui emplissait peu à peu l’Oratoire. Nombre de visages inconnus, d’autres qui ressurgissaient d’un passé lointain et révolu.
Mais qu’était-elle venue faire ici ? Ou alors était-ce justement en souvenir de ce même passé ?
Un baiser plaqué sur sa joue la fit se tourner, Lily l’avait rejointe. Sourire heureux de voir sa cousine, aucun mot échangé, juste le plaisir d’être côtes à côtes.
Moment trop rare de rapprochement entre la béarnaise et la champenoise.
Puis une phrase murmurée à son intention.
"Crois-tu que nous survivrons à ce mariage ?"
Sourire malicieux en réponse à celui de sa cousine, alors qu’elle lui réplique sur le même ton.
La question se pose surtout de savoir si eux signe du menton en direction des deux fiancés devant l’autel y survivront !
Et les souvenirs qui l’entraînent sur une même cérémonie par deux fois inachevée. Un promis absent. Une promise qui fuit.
Jamais deux sans trois, dit-on. Ou alors aussi, la troisième fois est la bonne. Laquelle de ses maximes se verra justifiée aujourd’hui ?
Un mouvement sur le banc à leurs côtés, et un Comte qui y prend place. Sourire franc et sincère à Varden, là aussi le passé rejaillit. Pas si lointain celui-ci, quelques missives, certes protocolaires, échangées récemment.
Qui sait après tout, si ce passé ne va pas décider de l’avenir ?
La main triture toujours le médaillon, mais les pensées se font plus sereines…
Mais qu’était-elle venue faire ici ? Ou alors était-ce justement en souvenir de ce même passé ?
Un baiser plaqué sur sa joue la fit se tourner, Lily l’avait rejointe. Sourire heureux de voir sa cousine, aucun mot échangé, juste le plaisir d’être côtes à côtes.
Moment trop rare de rapprochement entre la béarnaise et la champenoise.
Puis une phrase murmurée à son intention.
"Crois-tu que nous survivrons à ce mariage ?"
Sourire malicieux en réponse à celui de sa cousine, alors qu’elle lui réplique sur le même ton.
La question se pose surtout de savoir si eux signe du menton en direction des deux fiancés devant l’autel y survivront !
Et les souvenirs qui l’entraînent sur une même cérémonie par deux fois inachevée. Un promis absent. Une promise qui fuit.
Jamais deux sans trois, dit-on. Ou alors aussi, la troisième fois est la bonne. Laquelle de ses maximes se verra justifiée aujourd’hui ?
Un mouvement sur le banc à leurs côtés, et un Comte qui y prend place. Sourire franc et sincère à Varden, là aussi le passé rejaillit. Pas si lointain celui-ci, quelques missives, certes protocolaires, échangées récemment.
Qui sait après tout, si ce passé ne va pas décider de l’avenir ?
La main triture toujours le médaillon, mais les pensées se font plus sereines…
Gwerlibr
Gwer qui ne connaissait pas du tout Paris, venant que des campagnes, se perdit dans cette "maudite" ville. Il avait beau demander aux autochtones, que ceux-ci préféraient lui indiquer une autre route, sûrement parce qu'il est breton et ne le cache pas.
Après maintes heures de tournoiement, tel le faucon au dessus de sa proie, il vit un grand groupes de personne, se disant que c'était sûrement là.
Il s'avança et alla devant les portes, se demandant si il devait entrer et donc faire un boucan d'enfer avec l'ouverture de celles-ci, ou tout simplement attendre dehors. Et puis il se décida à ouvrir les portes, quitte à se faire remarquer au moins tout le monde verrait qu'il est bel et bien venu. Pourquoi pas crier un grand "demat" en entrant, la politesse avant tout. Rien qu'a cette pensé il souriait. Mais non, il se contenta d'ouvrir les portes et de se faufiler dans l'espoir de ne pas se faire remarquer.
Il balaya la chapelle du regard, pour y trouver une place pas facile, trouver des personnes encore moins. Trop de monde, il hésitait à avancer plus loin, ne connaissant que deux personnes dans toute cette cohue, enfin deux qu'il savait présent, mais où ?
Il resta sur place dans un coin, pour ne pas se faire remarquer.
Après maintes heures de tournoiement, tel le faucon au dessus de sa proie, il vit un grand groupes de personne, se disant que c'était sûrement là.
Il s'avança et alla devant les portes, se demandant si il devait entrer et donc faire un boucan d'enfer avec l'ouverture de celles-ci, ou tout simplement attendre dehors. Et puis il se décida à ouvrir les portes, quitte à se faire remarquer au moins tout le monde verrait qu'il est bel et bien venu. Pourquoi pas crier un grand "demat" en entrant, la politesse avant tout. Rien qu'a cette pensé il souriait. Mais non, il se contenta d'ouvrir les portes et de se faufiler dans l'espoir de ne pas se faire remarquer.
Il balaya la chapelle du regard, pour y trouver une place pas facile, trouver des personnes encore moins. Trop de monde, il hésitait à avancer plus loin, ne connaissant que deux personnes dans toute cette cohue, enfin deux qu'il savait présent, mais où ?
Il resta sur place dans un coin, pour ne pas se faire remarquer.
Pétillante
Péti vit arriver Jeanmerlin juste derrière elle qui lui fit un coucou très amical. Elle lui fit un grand sourire et se pencha pour lui déposer un baiser sur la joue en lui murmurant à l'oreille par la même occasion Désolée pour la robe, mais je pense qu'elle me va mieux qu'à toi quand même. Elle lui fit un clin d'oeil et se retourna
Tiamarys
Tiamarys sourit à la jeune italienne, se sidant que toutes deux avaient pris un mauvais départ, mais qu'il n'était jamais trop tard pour changer de chemin.
Elle lui sourit donc et murmura pour ne pas déranger la cérémonie.
Vous êtes ravissante damoiselle Elleeve, je gage que cette cérémonie annoncera prochainement la votre.
Elle prit la main de paillard tendrement et écouta l'archevèque unir Maltéa et son bien-aimé.
Elle lui sourit donc et murmura pour ne pas déranger la cérémonie.
Vous êtes ravissante damoiselle Elleeve, je gage que cette cérémonie annoncera prochainement la votre.
Elle prit la main de paillard tendrement et écouta l'archevèque unir Maltéa et son bien-aimé.
Koroseth
Koroseth était assis non loin des futurs mariés, à côté d'Oniki. C'était la première fois qu'il mettait les pieds à Paris et il avait été ravi d'avoir fait le déplacement : c'était superbe ! Il se souvenait de comment il avait connu Richard et il était content de voir que les choses avaient bien tourné. Et même s'il venait souvent pour lui demander des conseils ou lui poser des questions en rapport avec tout ce qui touchait la Justice, il répondait toujours.
Il sortit de ses pensées et se décida à suivre un peu plus ce qu'il se passait.
Il sortit de ses pensées et se décida à suivre un peu plus ce qu'il se passait.
Coleen
Kermor et Coleen étaient maintenant installés sur leur banc ,les gens ne cessant d'arriver .Le jeune homme serra la main de son épouse ,tout deux étant toujours émus d'assister à un marriage ce qui leur rappelait toujours leur union .
Ils virent arriver la duchesse mère accompagné de sa grâce Francis-de-Joachim ,puis Koro et Oniki qu'ils saluèrent par un grand sourir ,heureux de voir des gens qu'ils connaissaient .
Ils virent arriver la duchesse mère accompagné de sa grâce Francis-de-Joachim ,puis Koro et Oniki qu'ils saluèrent par un grand sourir ,heureux de voir des gens qu'ils connaissaient .
pnj
Il montait les marches de l'église quand il remarqua le sourire du cardinal qui l'avait béni Duc de Bourgogne. Il ne put s'empêcher de lui rendre le sourire en repensant à cela. C'était un de ses meilleurs souvenirs de cet époque.
Tout en montant les marches, il remarqua bon nombre de gens qui rentraient dans l'église. Des gens qui lui étaient inconnu. Il est vrai que Maltea a des connaissances un peu partout, se dit-il. Il se doutait que tous ces personnes qu'il ne connaissait pas était des amis de son amie.
Arriver en haut, ils pénétrèrent dans l'église et furent s'asseoir. Il s'assit auprès de Pétillante. C'était un grand jour pour elle. Son fils allait se marier. Elle devait être fier mais aussi nerveuse. Il lui prit donc sa main et la serra fort dans la sienne pour lui donner du courage.
Il se concentra ensuite sur la cérémonie qui débutait. Malgré le fait que la cérémonie avait débuté certaines personnes rentraient en retard. La ponctualité se perd, se dit-il.
Il observa ensuite les mariés. Elle était jolie et lui beau. Enfin, tous les mariés sont beaux, c'est bien connu.
Il se cala ensuite dans sa chaise pour regarder le reste de la cérémonie... lui donnant des idées.
Tout en montant les marches, il remarqua bon nombre de gens qui rentraient dans l'église. Des gens qui lui étaient inconnu. Il est vrai que Maltea a des connaissances un peu partout, se dit-il. Il se doutait que tous ces personnes qu'il ne connaissait pas était des amis de son amie.
Arriver en haut, ils pénétrèrent dans l'église et furent s'asseoir. Il s'assit auprès de Pétillante. C'était un grand jour pour elle. Son fils allait se marier. Elle devait être fier mais aussi nerveuse. Il lui prit donc sa main et la serra fort dans la sienne pour lui donner du courage.
Il se concentra ensuite sur la cérémonie qui débutait. Malgré le fait que la cérémonie avait débuté certaines personnes rentraient en retard. La ponctualité se perd, se dit-il.
Il observa ensuite les mariés. Elle était jolie et lui beau. Enfin, tous les mariés sont beaux, c'est bien connu.
Il se cala ensuite dans sa chaise pour regarder le reste de la cérémonie... lui donnant des idées.
Ricw
Le Cardinal ayant fait une légère pause dans sa messe, Richard put contempler le parterre de personnalités plus ou moins connu qui avait fait le déplacement pour le grand jour. Et le moins qu'il puisse dire, c'est qu'ils étaient nombreux ! Très nombreux, même ! Il y aurait de quoi constituer au moins 2 ou 3 listes ducales de personnes très compétentes avec tout ce qui étaient rassemblés là ! Et encore, n'en reconnaissait-il qu'à peine la moitié, et peut-être moins...
La délégation ménéhildienne était présente, l'argono-vareno-béarnaise était bien représentée, mais il faillit quitter l'autel pour sauter sur l'impudent comte du Béarn qui venait d'entrer dans l'oratoire. Il lui fallut un instant pour assimiler le fait qu'il était bel et bien invité ! Il jeta un regard noir à Maltea, pour s'apercevoir qu'elle lui jetait exactement le même, mais pas pour la même raison. Son adjoint s'était également glissé dans l'église. Il avait du parler un peu trop fort de son union dans son bureau...
Il se dit qu'une discussion à haute voix sur les personnes invités - franchement, avait-elle de l'eau dans le cerveau pour inviter Varden ! Pourquoi pas Guido aussi ! - ne serait pas du meilleur effet en ces lieux, et surtout en ce moment précis, où ils étaient censés s'unir dans la joie et la bonne humeur. Il se força donc à sourire au cardinal, et puisa sa réserve de patience en contemplant les premiers rangs, en particulier son frère et sa sœur, où il vit Gabriel essayer désespérément de dire à Isaure qu’il fallait chuchoter dans une église, et que la famille était comptée dans les amis pour le curé, et que oui, Malt et Richard étaient très aimés, donc avaient beaucoup d’amis. Il évita délibérément le regard de sa mère, n'ayant pas envie de croiser celui de son accompagnateur - il fallait qu'il soit là, lui aussi... - et continua à observer la longue troupe d'inconnus pour lui. Chacun représentait quelque chose pour Maltea... Il se rassura en contemplant plus de femmes que d'hommes - donc moins d'anciens amants potentiels - et espéra qu'il réussirait à apprendre le nom d'au moins la moitié d'entre eux...
Enfin, il put observer la délégation clermontoise, assez nombreuse elle aussi. S'il aurait bien fait sans certains, il en était d'autres qu'il voyait présents avec plaisir, en particulier l'actuel commissaire au commerce. Comme quoi, il y avait aussi quelques personnes de sa connaissance propre, dans ce fichu mariage ! Il se tourna vers Maltea, et lui sourit. Bientôt, ils ne seraient plus que tous les deux, et ils pourraient enfin en profiter ! Mais jusque là, il faudrait bien faire face ! Il se tourna à nouveau vers le Cardinal, prêt pour la suite...
La délégation ménéhildienne était présente, l'argono-vareno-béarnaise était bien représentée, mais il faillit quitter l'autel pour sauter sur l'impudent comte du Béarn qui venait d'entrer dans l'oratoire. Il lui fallut un instant pour assimiler le fait qu'il était bel et bien invité ! Il jeta un regard noir à Maltea, pour s'apercevoir qu'elle lui jetait exactement le même, mais pas pour la même raison. Son adjoint s'était également glissé dans l'église. Il avait du parler un peu trop fort de son union dans son bureau...
Il se dit qu'une discussion à haute voix sur les personnes invités - franchement, avait-elle de l'eau dans le cerveau pour inviter Varden ! Pourquoi pas Guido aussi ! - ne serait pas du meilleur effet en ces lieux, et surtout en ce moment précis, où ils étaient censés s'unir dans la joie et la bonne humeur. Il se força donc à sourire au cardinal, et puisa sa réserve de patience en contemplant les premiers rangs, en particulier son frère et sa sœur, où il vit Gabriel essayer désespérément de dire à Isaure qu’il fallait chuchoter dans une église, et que la famille était comptée dans les amis pour le curé, et que oui, Malt et Richard étaient très aimés, donc avaient beaucoup d’amis. Il évita délibérément le regard de sa mère, n'ayant pas envie de croiser celui de son accompagnateur - il fallait qu'il soit là, lui aussi... - et continua à observer la longue troupe d'inconnus pour lui. Chacun représentait quelque chose pour Maltea... Il se rassura en contemplant plus de femmes que d'hommes - donc moins d'anciens amants potentiels - et espéra qu'il réussirait à apprendre le nom d'au moins la moitié d'entre eux...
Enfin, il put observer la délégation clermontoise, assez nombreuse elle aussi. S'il aurait bien fait sans certains, il en était d'autres qu'il voyait présents avec plaisir, en particulier l'actuel commissaire au commerce. Comme quoi, il y avait aussi quelques personnes de sa connaissance propre, dans ce fichu mariage ! Il se tourna vers Maltea, et lui sourit. Bientôt, ils ne seraient plus que tous les deux, et ils pourraient enfin en profiter ! Mais jusque là, il faudrait bien faire face ! Il se tourna à nouveau vers le Cardinal, prêt pour la suite...
Aaron
-
L'archevêque sourit en entendant une jeune fillette commentée déjà son entrée en matière ! Elle apprendrait un jour ce qu'est l'amitié au sens aristotélicien du terme et découvrirait ainsi les joies de l'amitié entre tout les fidèles de l'Eglise, liés spirituellement par l'Action Divine qui vivifie l'Eglise militante d'ici bas pour mieux glorifier l'Eglise triomphante des Cieux. Le prélat rendit les sourires peut être un peu nerveux du duc de Brienne assis sur son petit strapontin au devant du cardinal. Il le quitta ensuite des yeux pour monter en chaire... D'une voix forte, il reprit :
Lecture du Livre sacré – Hagiographie de Saint Valentin ::.
- C'est en cette année qu'arriva à la tête de l’Empire Romain un
nouvel Empereur dénommé Claude II. Or, ce rude militaire
païen avait édicté une loi inique et barbare : sous prétexte de
ménager les forces vives des jeunes gens en âge de combattre,
il leur avait interdit le mariage. L'Empereur se justifiait en
prétendant que les hommes qui étaient engagés dans une vie
maritale et familiale devenaient de bien mauvais soldats car ils
avaient alors des intérêts familiaux qu'ils ne pouvaient laisser
derrière eux.
Or, le prêtre Valentin avait gravement contrevenu à cette
prescription antinataliste. En effet, il bafouait ouvertement l'édit
impérial en mariant à tour de bras tous les jeunes gens qui lui en
faisaient la demande, son église étant envahie de couples
d'amoureux...
Aux jeunes gens amoureux qui venaient voir Valentin, celui ci
leur disait :
Dieu a créé l'homme et la femme pour qu'ils forment un couple.
Or, le Bonheur ressenti par les couples amoureux est divin, car
il vient de Dieu. Si vous avez conscience que l’amour que vous
vivez a sa source en Dieu, que vous vous aimez de l’Amour de
Dieu, par l’Amour de Dieu, quoi de plus normal de Lui dire
votre reconnaissance, en vous unissant devant lui, dans son
Eglise par le sacrement du Mariage. Dès lors, le jour de votre
mariage, votre passage à l’église sera une action de grâce à Dieu :
car votre amour a sa source en Dieu et ce sera Lui qui sera le
centre de la célébration religieuse.
Quoi de plus approprié que ce texte de l’hagiographie de Saint-Valentin, saint que nous fêterons d’ici quelques jours… Nous sommes tous enfants de Dieu, nous sommes tous fait de Lui car le Créateur est la source de toute choses. Si nous sommes fait de lui, nous sommes fait aussi de ses infinies perfections. Certes, à la hauteur de notre condition d’humain, mais nous sommes fait en partie de cette matière divine qu’est Dieu. Dans notre cœur, c’est là qu’elle réside. Ce résidu de divinité, c’est notre foi, foi que nous faisons grandir, évoluer au fil de notre existence pour rapprocher notre âme du Tout-Puissant. Par la prière, par nos actions vertueuses, nous élevons notre âme vers le lieu où se trouve la source d’où elle provient.
Dieu est la source de toutes choses, il est celui par qui tout s’est fait, et rien de ce qui s’est fait ne s’est fait sans Lui. Et le Très-haut dans sa grande mansuétude nous à également donner la joie de pouvoir aimer.
Vivre, c’est déjà honorer Dieu, mais vivre le sentiment d’amour, c’est honorer Dieu une seconde fois… L’homme et la femme qui s’unissent devant Dieu et les hommes pour toute leur vive symbolisent cette amitié aristotélicienne que l’Eglise de Dieu véhicule jour après jours sur l’ensemble des terres connues. Par l’union, l’homme et la femme prouvent que le sentiment d’amour vit à travers eux, qu’ils se rapprochent encore plus du Divin Créateur. Enfin, lorsqu’ils perpétuent la vie, ils matérialisent cet amour dans un enfant qui un jour prendra exemple sur ses parents, épousera son âme sœur et perpétuera à son tour la vie que le Seigneur nous a donné un jour…
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C_lotus
Clotus tout en écoutant le cardinal regardait avec anxiété Maltea priant que le très haut lui donne la force d'affronter sa peur irraisonnée du mariage et que son amour pour richard soit le plus fort.
Pour Clotus le mariage de Malt la faisait méditée sur le sien proche et lui faisait comprendre pourquoi certain préférais dire non au dernier moment ou prendre la fuite.
Si Malt pensait avoir beaucoup d'ennemis elle pouvait constatée qu'elle avait aussi des amis qui lui étaient fidéles,l'église était pleines de monde
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Pour Clotus le mariage de Malt la faisait méditée sur le sien proche et lui faisait comprendre pourquoi certain préférais dire non au dernier moment ou prendre la fuite.
Si Malt pensait avoir beaucoup d'ennemis elle pouvait constatée qu'elle avait aussi des amis qui lui étaient fidéles,l'église était pleines de monde
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Tiamarys
Elle reconnut beaucoup de connaissances..Kermor, coleen, Matabei...Et d'autres encore souvenirs de son passé champenois et de ses quelques mois passés à Clermont...
Elle admira Maltéa, ravissante comme à son habitude et se dit qu'avec son duc ils formaient un joli couple.
Pas de doute sur les sentiments.
Dans quelques instants La belle rebelle serait mariée.
Tia n'en revenait toujours pas et était ravie du bonheur de son amie.
Elle admira Maltéa, ravissante comme à son habitude et se dit qu'avec son duc ils formaient un joli couple.
Pas de doute sur les sentiments.
Dans quelques instants La belle rebelle serait mariée.
Tia n'en revenait toujours pas et était ravie du bonheur de son amie.
Aaron
Le cardinal revint devant les deux fiancés pour procéder à l'échange des vœux. Après un moment de silence méditatif sur l'homélie qu'il venait de faire, l'archevêque de Reims entama la série de question :
Maltea, Richard, vous avez écouté La parole de Dieu qui a révélé aux hommes le sens de l'amour et du mariage. Vous allez vous engager l'un envers l'autre. Est-ce librement et sans contraintes ? Êtes vous prêt à vous aimer et vous chérir dans le bonheur et souffrance, de vous jurer fidélité et de vous protéger , pour le meilleur et pour le pire , jusqu’à ce que la mort vous sépare ?
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Maltea, Richard, vous avez écouté La parole de Dieu qui a révélé aux hommes le sens de l'amour et du mariage. Vous allez vous engager l'un envers l'autre. Est-ce librement et sans contraintes ? Êtes vous prêt à vous aimer et vous chérir dans le bonheur et souffrance, de vous jurer fidélité et de vous protéger , pour le meilleur et pour le pire , jusqu’à ce que la mort vous sépare ?
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Ricw
L'instant était solennel... Les pensées de Richard l'étaient un peu moins. Pourquoi fallait-il que le doute l'assaille en cet instant ? Et si le vœu qu'il allait faire en cet instant ferait de sa vie un enfer ? Et si Maltea ne l'épousait que pour son duché ? Et si, et si, et si... Toutes les questions refoulées depuis bien longtemps semblaient ressortir à ce moment précis. Et si ce mariage devait être un fiasco, voila la peur qui le tenaillait depuis des jours, mais qu'il n'avait jamais pu formuler. Leur amour - sentiment étrange, s'il en est, qu'il s'était juré de ne jamais éprouver - avait réussi à tout surmonter, et pourtant la liste était nombreuse... Médisance, jalousie, méchanceté, iniquité, voila leur lot depuis qu'ils s'étaient rencontrés, et loin de les briser, cela les avait renforcés... Aurait-il vécu cela de la même manière, sans elle ? N'aurait-il pas embrassé l'autre camp, aveuglé par la gloire et le pouvoir, sans elle ? C'était plus que probable...
Il se tourna vers elle, et la contempla un instant. Devait-elle devenir son épouse, la mère de ses enfants, la femme qui l'accompagnerait tout au long de sa vie ? C'était sa conviction la plus intime jusqu'à cet instant. Il songea à leur première réelle rencontre, dans son bureau... aux regards pleins d'exaspération qui l'avait précédé... aux regards pleins d'amitié qui l'avait suivi... A tout ce qu'ils avaient vécu ensemble... les moments heureux, comme son hommage... les moments de souffrance, comme la blessure inguérissable de sa main... les moments de doute, comme la naissance d'Isaline... les moments de terreur, toutes ces fois où il avait cru la perdre...
Non, il ne pourrait plus vivre sans elle, c'était une certitude. Et oui, elle serait sa femme, la plus parfaite qu'il puisse trouver.
Maltea, je m'engage librement et sans contrainte à t'aimer et à te chérir dans le bonheur comme dans notre lot quotidien de souffrance. Je te jure fidélité, et protection, dans le meilleur, et surtout dans le pire, et ce jusque la mort me sépare de toi.
Il se tourna vers elle, et la contempla un instant. Devait-elle devenir son épouse, la mère de ses enfants, la femme qui l'accompagnerait tout au long de sa vie ? C'était sa conviction la plus intime jusqu'à cet instant. Il songea à leur première réelle rencontre, dans son bureau... aux regards pleins d'exaspération qui l'avait précédé... aux regards pleins d'amitié qui l'avait suivi... A tout ce qu'ils avaient vécu ensemble... les moments heureux, comme son hommage... les moments de souffrance, comme la blessure inguérissable de sa main... les moments de doute, comme la naissance d'Isaline... les moments de terreur, toutes ces fois où il avait cru la perdre...
Non, il ne pourrait plus vivre sans elle, c'était une certitude. Et oui, elle serait sa femme, la plus parfaite qu'il puisse trouver.
Maltea, je m'engage librement et sans contrainte à t'aimer et à te chérir dans le bonheur comme dans notre lot quotidien de souffrance. Je te jure fidélité, et protection, dans le meilleur, et surtout dans le pire, et ce jusque la mort me sépare de toi.
Maltea
Maltea avait écouté le texte concernant Saint-Valentin sans un mot, totalement concentrée sur la voix d’Aaron. Cela l’empêchait de penser à la suite. Oui ? Non ? Peut-être ? La réponse viendrait assez tôt.
Elle regarda à la dérobée Richard. Il avait l’air si sur de lui… Cependant peut-être dirait il non, elle ne pouvait pas savoir ce qu’il avait dans sa tête.
Un silence se fit dans l’assistance et puis la voix d’Aaron raisonna à ses oreilles. Elle regarda Gnia, puis les personnes présentes, ensuite Richard. Elle avait l’impression que son estomac faisait la gigue. Elle croisa son regard et cru y déceler un mélange de peur et de doute, ce qui eu pour effet de la conforter dans sa décision. Elle inspira un bon coup avant de regarder Aaron. Elle allait répondre à toutes les questions posées quand Richard se lança.
Elle l'écouta attentivement, néanmoins elle avait la désagréable sensation que la foule derrière retenait son souffle. Elle soupira, se disant que certains avaient surement du lancer des paris sur sa réponse…
Etrangement elle se sentait sereine, la peur l’avait quittée et c’est d’une voix sure d’elle qu’elle prit la parole tout en plongeant son regard dans celui de Richard.
Richard, je suis ici en ce jour de mon propre chef et c’est libre et sans contrainte que je m’engage devant le très haut et en sa maison de t’aimer et de te chérir dans le bonheur ainsi que dans la souffrance. De te protéger et de t’être… fidèle pour le meilleur et pour le pire,
Elle avait réussi à prononcer cette phrase, ce qui était une preuve de l'amour qu'elle avait pour lui. De plus elle pensa que le pire, ils en avaient déjà eu un aperçu et que cela les avait encore plus soudé.
Elle regarda Aaron et lui sourit avant de reposer son regard sur le visage de son fiancé, attendant la suite.
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Elle regarda à la dérobée Richard. Il avait l’air si sur de lui… Cependant peut-être dirait il non, elle ne pouvait pas savoir ce qu’il avait dans sa tête.
Un silence se fit dans l’assistance et puis la voix d’Aaron raisonna à ses oreilles. Elle regarda Gnia, puis les personnes présentes, ensuite Richard. Elle avait l’impression que son estomac faisait la gigue. Elle croisa son regard et cru y déceler un mélange de peur et de doute, ce qui eu pour effet de la conforter dans sa décision. Elle inspira un bon coup avant de regarder Aaron. Elle allait répondre à toutes les questions posées quand Richard se lança.
Elle l'écouta attentivement, néanmoins elle avait la désagréable sensation que la foule derrière retenait son souffle. Elle soupira, se disant que certains avaient surement du lancer des paris sur sa réponse…
Etrangement elle se sentait sereine, la peur l’avait quittée et c’est d’une voix sure d’elle qu’elle prit la parole tout en plongeant son regard dans celui de Richard.
Richard, je suis ici en ce jour de mon propre chef et c’est libre et sans contrainte que je m’engage devant le très haut et en sa maison de t’aimer et de te chérir dans le bonheur ainsi que dans la souffrance. De te protéger et de t’être… fidèle pour le meilleur et pour le pire,
Elle avait réussi à prononcer cette phrase, ce qui était une preuve de l'amour qu'elle avait pour lui. De plus elle pensa que le pire, ils en avaient déjà eu un aperçu et que cela les avait encore plus soudé.
Elle regarda Aaron et lui sourit avant de reposer son regard sur le visage de son fiancé, attendant la suite.
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Aaron
Il poursuivit :
Vous allez vous promettre fidélité. Est-ce pour toute votre vie ?Dans le foyer que vous allez fonder, acceptez-vous la responsabilité d'époux et de parents ?
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Vous allez vous promettre fidélité. Est-ce pour toute votre vie ?Dans le foyer que vous allez fonder, acceptez-vous la responsabilité d'époux et de parents ?
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Ricw
Les paroles de Maltea avaient libéré une pression dont il n'avait meme pas eu conscience jusqu'à ce qu'elle disparaisse. Elle était d'accord ! Elle voulait bien se marier avec lui ! Certes, elle lui avait dit et répété, mais l'entendre, en cet instant, était le plus beaux cadeaux qu'elle puisse lui faire en cet instant. Il faillit manquer les paroles du Cardinal, et du réfléchir une seconde avant de répondre, après un sourire sincère vers sa presqu'épouse.
Je n'ai qu'une parole, et ma fidélité t'est donnée pour toute cette vie. Tout comme je te fais confiance pour être une épouse et une mère exemplaire, je connais, et j'assume toutes les responsabilités d'un époux, et bientot, je l'espère, d'un père pour nos enfants.
Le sourire se fit un peu présent sur son visage, sachant ce qu'elle pensait du dernier point.
Je n'ai qu'une parole, et ma fidélité t'est donnée pour toute cette vie. Tout comme je te fais confiance pour être une épouse et une mère exemplaire, je connais, et j'assume toutes les responsabilités d'un époux, et bientot, je l'espère, d'un père pour nos enfants.
Le sourire se fit un peu présent sur son visage, sachant ce qu'elle pensait du dernier point.
Maltea
Elle pensait que s’en était fini des questions mais elle s’était trompée. El faut dire qu’elle n’avait jamais passé le premier palier donc ne pouvait pas savoir ce qui se passait ensuite. Oui bien sur, elle avait assisté à des mariages, mais jamais elle n’était assez concentrée pour en tirer quoique ca soit.
Pour toute la vie… comment pouvait-elle savoir ce qui pourrait arriver dans dix ans… étrange comme question. Cependant à l’instant même, elle pouvait le jurer car elle y croyait, ce qu’elle fit.
Je jure de lui rester fidèle toute ma vie et d’accepter au sein de notre foyer le rôle d’épouse et de mère.
Ca, ce n’était pas compliqué, elle avait déjà eu un enfant et n’avait rien du tout contre le fait d’être mère et de donner une descendance à son époux. Ils en avaient déjà discuté.
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Pour toute la vie… comment pouvait-elle savoir ce qui pourrait arriver dans dix ans… étrange comme question. Cependant à l’instant même, elle pouvait le jurer car elle y croyait, ce qu’elle fit.
Je jure de lui rester fidèle toute ma vie et d’accepter au sein de notre foyer le rôle d’épouse et de mère.
Ca, ce n’était pas compliqué, elle avait déjà eu un enfant et n’avait rien du tout contre le fait d’être mère et de donner une descendance à son époux. Ils en avaient déjà discuté.
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Belphegore
Belphegore s'était assise par instinct parmi la foule qu'elle connaissait de vue ou plus intimement: Francis, Aimelin, Varden...Même si ceux-ci étaient partis au loin, ils faisaient partie de son histoire.
Elle sourit à Aimelin, se jurant d'aller lui faire la bise dès la cérémonie terminée... D'ailleurs, on arrivait au moment fatidique, l'échange des serments!!
La foule des invités retint son souffle un moment, attendant un drame, des pleurs, une fuite, une baffe...Mais non, tout se passa le mieux du monde, chacun récitant sa partie, l'autre promettant fidélité, protection et.....Fidélité? Belphegore eut un sourire moqueur...Maltéa avait-elle bien juré fidélité? Que se passait-il donc? Etait-elle malade? Lui avait-on administré une potion magique et ensorcellée? Ou le Wagner était-il si bon amant?
La médicastre jeta un coup d'oeil discret autours d'elle, et remarqua sur pas mal de visages un sourire identique au sien, et une certaine surprise!!
Allons-donc, Maltéa avait peut-être tout simplement décidé de se ranger et de vivre enfin sous les sages préceptes d'Aristote!!
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Elle sourit à Aimelin, se jurant d'aller lui faire la bise dès la cérémonie terminée... D'ailleurs, on arrivait au moment fatidique, l'échange des serments!!
La foule des invités retint son souffle un moment, attendant un drame, des pleurs, une fuite, une baffe...Mais non, tout se passa le mieux du monde, chacun récitant sa partie, l'autre promettant fidélité, protection et.....Fidélité? Belphegore eut un sourire moqueur...Maltéa avait-elle bien juré fidélité? Que se passait-il donc? Etait-elle malade? Lui avait-on administré une potion magique et ensorcellée? Ou le Wagner était-il si bon amant?
La médicastre jeta un coup d'oeil discret autours d'elle, et remarqua sur pas mal de visages un sourire identique au sien, et une certaine surprise!!
Allons-donc, Maltéa avait peut-être tout simplement décidé de se ranger et de vivre enfin sous les sages préceptes d'Aristote!!
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Coleen
Il attendait la réponse de Maltea , s'attendant à tout , sauf ce qui arriva .Il ne put s'empêcher de lacher un "Yes " de satisfaction tellement il était heureux que cette cérémonie ne devienne pas une foire d'empoigne .
Un immense sourrir s'afficha sur son visage et il en embrassa Kermor de joie .Maltea allait enfin devenir épouse .
Il se pencha sur Kermor et murmura "si un imbécile dit qu'il s'oppose à cette union je le pend " .
Se calmant un peu il attendit la suite de la cérémonie .
Un immense sourrir s'afficha sur son visage et il en embrassa Kermor de joie .Maltea allait enfin devenir épouse .
Il se pencha sur Kermor et murmura "si un imbécile dit qu'il s'oppose à cette union je le pend " .
Se calmant un peu il attendit la suite de la cérémonie .
Aaron
Le moment où la situation pouvait se retourner arriva... Le cardinal prononça les quelques mots qui raidissaient toujours les deux fiancés quelques secondes, le temps que le silence interminable qui suivait la phrase se termine par l'entame d'une nouvelle question, fatidique elle aussi !
Si que quelqu’un doit s’opposer à cette union, qu’il parle maintenant ou se taise à jamais.
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Si que quelqu’un doit s’opposer à cette union, qu’il parle maintenant ou se taise à jamais.
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Ricw
Richard s'attendait à ce qu'une explosion de "moi" assourdissent l'oratoire, et il fut presque déçu de n'entendre personne... Coup d'oeil vers Onagre, qui pourtant perdait rarement une occasion de placer un bon mot... Coup d'oeil vers sa soeur, qu'il savait également sujette à ce genre de commentaires... Coup d'oeil vers les invités qu'ils ne connaissaient pas, et surtout vers ceux qu'ils connaissaient... Il y en aurait bien un pour lacher le mot qu'il ne fallait pas...
Et pourtant, les instants s'écoulaient dans le silence...
Et pourtant, les instants s'écoulaient dans le silence...
Aaron
Le silence se fit dans l'église. Chacun semblait dévisager l'autre, comme si, au fond, certain s'attendait au pire ! Mettant un terme à ce silence pesant, le cardinal se tourna vers le fiancé :
Richard, voulez-vous prendre pour épouse Maltea di Favara, vicomtesse de Jaulges et dame de Menneville, ici présente ?
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Richard, voulez-vous prendre pour épouse Maltea di Favara, vicomtesse de Jaulges et dame de Menneville, ici présente ?
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Ricw
Léger soupir de soulagement. La cérémonie pouvait continuer ! Il jeta quand meme un coup d'oeil vers la voute, pour être sur qu'elle ne s'écroule pas... Il devait bien y avoir un truc pas net dans ce mariage, sinon ca ne serait pas logique... Et pourtant...
Oui, votre Eminence, je le veux.
Oui, votre Eminence, je le veux.
pnj
Il était absorbé par la cérémonie. Il laissait en même temps son esprit divagué. Ils s'aimaient cela se voyait. Enfin, rapidement, le moment crucial arriva: l'échange des vœux. On lui avait raconté comment cela s'était passé la dernière fois. Maltea n'avait pas pu prononcer le mot fidélité et csétait enfui. Il s'était penché en avant pour ne pas rater une miette de cet événement. Il savait que cela allait être le point culminant de la cérémonie.
Il y avait 2 options, soit elle l'aimait vraiment et jurerait fidélité ou soit elle s'enfuirait une nouvelle fois. Mais une voix à l'intérieur de lui disait que cette fois-ci, cela allait être la bonne pour son amie. Cela n'empêcha pas qu'il lâchasse un soupire de soulagement quand elle prononça ses vœux.
Elle l'avait dit. Francis ne put s'empêcher de sourire. Elle l'aimait vraiment. Richard était un veinard, enfin tout dépendait à qui on demandait. Maltea avait ses travers et son petit caractère, mais au moins, pour le reste de sa vie, il ne s'ennuierait pas en sa compagnie.
Puis, le moment fatidique arriva. Le cardinal demanda si quelqu'un dans l'assistance avait quelque chose à dire. Il lança tout d'abord un regard à Pétillante. Il était prêt à l'embrasser pour qu'elle ne puisse dire mot. Mais ce qui l'inquiétait le plus ce n'était pas la femme pour qui il était épris, mais plutôt les anciens amants de Maltea. Il regarda derrière lui pour voir si il y avait des réactions.
Il était prêt à envoyer la première chose qui lui tomberait sous la main, si un des hommes de l'assistance ouvrait la bouche. Il était assez protecteur concernant ses amis, c'était sacré pour lui. Personne ne pourrirait le plus beau jour de la vie de son amie.
Rien ne se passa, personne n'ouvrit la bouche. Après ces instants de silence, la cérémonie suivit son cours.
Il y avait 2 options, soit elle l'aimait vraiment et jurerait fidélité ou soit elle s'enfuirait une nouvelle fois. Mais une voix à l'intérieur de lui disait que cette fois-ci, cela allait être la bonne pour son amie. Cela n'empêcha pas qu'il lâchasse un soupire de soulagement quand elle prononça ses vœux.
Elle l'avait dit. Francis ne put s'empêcher de sourire. Elle l'aimait vraiment. Richard était un veinard, enfin tout dépendait à qui on demandait. Maltea avait ses travers et son petit caractère, mais au moins, pour le reste de sa vie, il ne s'ennuierait pas en sa compagnie.
Puis, le moment fatidique arriva. Le cardinal demanda si quelqu'un dans l'assistance avait quelque chose à dire. Il lança tout d'abord un regard à Pétillante. Il était prêt à l'embrasser pour qu'elle ne puisse dire mot. Mais ce qui l'inquiétait le plus ce n'était pas la femme pour qui il était épris, mais plutôt les anciens amants de Maltea. Il regarda derrière lui pour voir si il y avait des réactions.
Il était prêt à envoyer la première chose qui lui tomberait sous la main, si un des hommes de l'assistance ouvrait la bouche. Il était assez protecteur concernant ses amis, c'était sacré pour lui. Personne ne pourrirait le plus beau jour de la vie de son amie.
Rien ne se passa, personne n'ouvrit la bouche. Après ces instants de silence, la cérémonie suivit son cours.
EDIT: rajout d'une phrase pour coller au RP^^
_max
Un mariage... un mariage dont l'annonce avait grand bruit ! A tel point que des convives avait été appelés jusque depuis le Saint Empire Romain Germanique.
Mazière faisait partie de ces nobles impériaux qui avait reçu l'un des innombrables parchemins d'invitation, et avait saisi là l'occasion de venir visiter Paris, Capitale Françoise, dont il pourrait ainsi comparer les fastes, et la cour, à leurs équivalents Aixois, que le Baron ne connaissait que trop par ses précédentes fonctions, et parmi lesquels trônait SM l'Empereur. De plus, la réputation de ses nobles hôtes ne pouvait être que plus motivante pour affirmer de sa venue...
Après diverses étapes en France, le voyage de l'homme s'acheva enfin, un soir particulièrement glacial, sur l'arrivée de son carrosse, estampé aux couleurs de Chaussin, dans l'univers parisien.
Fourbu par ses longues journées de route, il lui fallu se reposer, en sachant que le lendemain débuterait la cérémonie pour laquelle il s'était déplacé.
Rapidement, on lui trouva gîte correspondant à ses exigences nobiliaires... Et l'intendant Franc-Comtois passa, chose fort insolite, toute la nuit à sommeiller paisiblement... et seul.
Lorsque le jour-dit se leva, il fallu au valet du Baron user d'une diplomatie sans égale pour parvenir à extirper ce dernier de sa couche, tout en délicatesse, puisque, en effet, il était "huit or" et la préparation ne pouvait attendre...
Si la toilette prit un certain temps, l'habillage en revanche, ne fut l'affaire que de quelques demi-heures... Par-dessus sa fine chemise de soie, on boutonna un pourpoint moulant d'une colorée somptuosité, qui s'achevait sur un col bien haussé. Le tout se plaçait au dessus d'une harmonie parfaite de hauts et bas-de-chausses.
Aux extrémités, on enfila des bottillons à ses jambes, et des gants d'une blancheur éclatante à ses mains.
La boucle de sa ceinture ajustée, le Baron était paré à faire son entrée.
Arrivé sur le parvis du lieu de culte, le Noble put constater, à la descente de sa voiture, qu'il était, comme à son habitude pour ce genre de cérémonie, en léger décalage avec l'heure fixant le commencement du mariage. Qu'à cela ne tienne, il assisterait à ce qu'il pourrait... et se présenterait plus solennellement aux autres conviés plus tard.
Subrepticement, bien que l'allure aristocratique conservée dans sa démarche, Mazière s'infiltra en l'enceinte de l'oratoire, et prit place dans les dernières rangées des bancs qui se trouvaient là... Où s'était dûment entassés bon nombre de représentants de la haute-société Françoise. On pouvait effectivement observer de fort belles créatures de cette classe, pour la plupart entourés de large nanti à l'air hautain et faussement pieux... Bref, bien peu de contraste avec le décor dans lequel était déjà bercé le Baron en son Empire.
Nullement désagréable ceci dit, puisque les protagonistes changeant, le spectacle pouvait toujours se révéler intéressant, de quelque manière que ce soit.
Son regard se dirigea maintenant sur celle qui prétendait aujourd'hui au mariage, et qui, bientôt, devrait confirmer son rôle. Intrigante de splendeur demeurait-elle, délicieusement endimanchée dans sa robe bi-colore.
Il continua à la dévisager, avant de passer à l'homme qui devrait, sous peu, incarner le mari, puis à l'ecclésiastique officiant pour l'occasion, cardinal de son état.
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Max de Mazière, Comte de Belfort, Baron de Chaussin, etc...
Mazière faisait partie de ces nobles impériaux qui avait reçu l'un des innombrables parchemins d'invitation, et avait saisi là l'occasion de venir visiter Paris, Capitale Françoise, dont il pourrait ainsi comparer les fastes, et la cour, à leurs équivalents Aixois, que le Baron ne connaissait que trop par ses précédentes fonctions, et parmi lesquels trônait SM l'Empereur. De plus, la réputation de ses nobles hôtes ne pouvait être que plus motivante pour affirmer de sa venue...
Après diverses étapes en France, le voyage de l'homme s'acheva enfin, un soir particulièrement glacial, sur l'arrivée de son carrosse, estampé aux couleurs de Chaussin, dans l'univers parisien.
Fourbu par ses longues journées de route, il lui fallu se reposer, en sachant que le lendemain débuterait la cérémonie pour laquelle il s'était déplacé.
Rapidement, on lui trouva gîte correspondant à ses exigences nobiliaires... Et l'intendant Franc-Comtois passa, chose fort insolite, toute la nuit à sommeiller paisiblement... et seul.
Lorsque le jour-dit se leva, il fallu au valet du Baron user d'une diplomatie sans égale pour parvenir à extirper ce dernier de sa couche, tout en délicatesse, puisque, en effet, il était "huit or" et la préparation ne pouvait attendre...
Si la toilette prit un certain temps, l'habillage en revanche, ne fut l'affaire que de quelques demi-heures... Par-dessus sa fine chemise de soie, on boutonna un pourpoint moulant d'une colorée somptuosité, qui s'achevait sur un col bien haussé. Le tout se plaçait au dessus d'une harmonie parfaite de hauts et bas-de-chausses.
Aux extrémités, on enfila des bottillons à ses jambes, et des gants d'une blancheur éclatante à ses mains.
La boucle de sa ceinture ajustée, le Baron était paré à faire son entrée.
Arrivé sur le parvis du lieu de culte, le Noble put constater, à la descente de sa voiture, qu'il était, comme à son habitude pour ce genre de cérémonie, en léger décalage avec l'heure fixant le commencement du mariage. Qu'à cela ne tienne, il assisterait à ce qu'il pourrait... et se présenterait plus solennellement aux autres conviés plus tard.
Subrepticement, bien que l'allure aristocratique conservée dans sa démarche, Mazière s'infiltra en l'enceinte de l'oratoire, et prit place dans les dernières rangées des bancs qui se trouvaient là... Où s'était dûment entassés bon nombre de représentants de la haute-société Françoise. On pouvait effectivement observer de fort belles créatures de cette classe, pour la plupart entourés de large nanti à l'air hautain et faussement pieux... Bref, bien peu de contraste avec le décor dans lequel était déjà bercé le Baron en son Empire.
Nullement désagréable ceci dit, puisque les protagonistes changeant, le spectacle pouvait toujours se révéler intéressant, de quelque manière que ce soit.
Son regard se dirigea maintenant sur celle qui prétendait aujourd'hui au mariage, et qui, bientôt, devrait confirmer son rôle. Intrigante de splendeur demeurait-elle, délicieusement endimanchée dans sa robe bi-colore.
Il continua à la dévisager, avant de passer à l'homme qui devrait, sous peu, incarner le mari, puis à l'ecclésiastique officiant pour l'occasion, cardinal de son état.
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Max de Mazière, Comte de Belfort, Baron de Chaussin, etc...
Aaron
Poursuivant et posant les yeux (en toute chasteté) sur la vicomtesse Maltea...
Maltea, voulez vous prendre pour époux Richard Wagner, duc de Brienne, ici présent ?
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Maltea, voulez vous prendre pour époux Richard Wagner, duc de Brienne, ici présent ?
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Maltea
Voici venu le temps de la phrase fatidique. Personne ne broncha dans l’oratoire et Maltea sourit.
Pour une fois on ne la contredirait pas…
Le cardinal enchaina et Richard devait prononcer le oui fatidique ce qu’il fit. C’était maintenant à son tour et ensuite ils seraient enfin mari et femme. Elle sourit à cette pensée. Jamais elle n’aurait cru oser franchir le pas.
Aaron se retourna sur elle et lui posa la même question. Elle ne fit pas de grandes phrases, trop émue pour ça. Cela était rare mais il fallait un début à tout.
Oui, je le veux!
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Pour une fois on ne la contredirait pas…
Le cardinal enchaina et Richard devait prononcer le oui fatidique ce qu’il fit. C’était maintenant à son tour et ensuite ils seraient enfin mari et femme. Elle sourit à cette pensée. Jamais elle n’aurait cru oser franchir le pas.
Aaron se retourna sur elle et lui posa la même question. Elle ne fit pas de grandes phrases, trop émue pour ça. Cela était rare mais il fallait un début à tout.
Oui, je le veux!
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Deedlitt
C'est bien en retard, que la comtesse arriva, elle se faufila discrètement et entendit tout de même le "oui" des époux. A la bonne heure !!! Elle fit profile bas, et ne manquerait d'aller féliciter les heureux nouveaux époux.
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en construction
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en construction
Koroseth
L'éternelle question de savoir si quelqu'un s'opposait au mariage... qui avait eu l'idée d'inventer ça ?... Enfin bref, comme à tout mariage, elle avait été posée à l'assemblée. Koroseth était partagé : c'était le mariage d'une personne qu'il appréciait mais en même temps, c'était pas tous les jours les mariages... Il se doutait bien que Richard n'était pas tranquille et il hésitait à toussoter ou faire du bruit "innocemment". Il se serait attiré un regard noir du Duc mais il ne pouvait s'empêcher de rire intérieurement. Et puis, il lui devait bien ça... ^^ Il avait le sourire aux lèvres et c'est un coup de coude d'Oniki qui le ramena à la raison et qui lui fit lâcher un très léger "hmpf !"... Elle commençait à un peu trop le connaître, elle... Koroseth croisa le regard de Richard et détourna légèrement le sien histoire de ne pas sourire bêtement en le regardant.
Lui et Maltea s'étaient dit "oui" et il était content que personne ne se manifeste. La cérémonie pouvait continuer pour le mieux.
Lui et Maltea s'étaient dit "oui" et il était content que personne ne se manifeste. La cérémonie pouvait continuer pour le mieux.
Gnia
Durant tout l'instant que durèrent les questions du cardinal, Agnès avait retenu sa respiration, prête à plaquer énergiquement Maltea au sol - comme elle l'avait appris adolescente aux entraînements de soule - si elle faisait mine de vouloir tourner les talons. Sans s'en rendre compte, elle broyait la petite menotte d'Isaline toujours serrée dans la sienne. Mais l'angoisse fut petit à petit remplacée par l'émotion.
Maltea avait décidé que cette fois-ci serait la bonne et venait de dire oui. La Bapaume en aurait presque hurlé de joie, ne serait-ce que pour évacuer la tension accumulée ses derniers jours, mais on était pas à la foire et elle se contenta d'un petit soupir satisfait tandis qu'un large sourire retirait de son visage les dernières traces d'inquiétude.
Bon... Une bonne chose de faite. Les alliances à présent. Horreur et damnation ! Les alliances...
La vicomtesse eut une suée accompagnée d'une accélération soudaine de son rythme cardiaque quand elle réalisa qu'il était temps pour les témoins de jouer leur rôle. Sa main se glissa dans sa poche et trouva non sans un soulagement certain de la propriétaire de la dite main l'étoffe qui protégeait l'anneau.
Le plus gros souci arrivait maintenant. Impossible de se souvenir s'il fallait présenter l'anneau sur son lit de soie à Maltea ou à Richard... Cruel dilemme... Agnès songea un instant se sortir de cette insoluble question en envoyant la fille de Maltea porter l'alliance, venant d'une toute jeune enfant, la méprise pourrait paraitre drôle alors que venant d'elle... A tous les coups, elle ne manquerait pas de rougir et elle s'en remettrai probablement difficilement.
La vicomtesse entreprit alors de mettre à contribution l'adage personnel qui l'avait sauvé dans les méandres tumultueux de la politique : Observe et agit ensuite.
Son regard se fixa alors sur le témoin de Richard et l'attente commença.
Maltea avait décidé que cette fois-ci serait la bonne et venait de dire oui. La Bapaume en aurait presque hurlé de joie, ne serait-ce que pour évacuer la tension accumulée ses derniers jours, mais on était pas à la foire et elle se contenta d'un petit soupir satisfait tandis qu'un large sourire retirait de son visage les dernières traces d'inquiétude.
Bon... Une bonne chose de faite. Les alliances à présent. Horreur et damnation ! Les alliances...
La vicomtesse eut une suée accompagnée d'une accélération soudaine de son rythme cardiaque quand elle réalisa qu'il était temps pour les témoins de jouer leur rôle. Sa main se glissa dans sa poche et trouva non sans un soulagement certain de la propriétaire de la dite main l'étoffe qui protégeait l'anneau.
Le plus gros souci arrivait maintenant. Impossible de se souvenir s'il fallait présenter l'anneau sur son lit de soie à Maltea ou à Richard... Cruel dilemme... Agnès songea un instant se sortir de cette insoluble question en envoyant la fille de Maltea porter l'alliance, venant d'une toute jeune enfant, la méprise pourrait paraitre drôle alors que venant d'elle... A tous les coups, elle ne manquerait pas de rougir et elle s'en remettrai probablement difficilement.
La vicomtesse entreprit alors de mettre à contribution l'adage personnel qui l'avait sauvé dans les méandres tumultueux de la politique : Observe et agit ensuite.
Son regard se fixa alors sur le témoin de Richard et l'attente commença.
Dragonet
Il avait hésité, puis était venue à la céremonie.Il savait que cela ferait plaisir à Maltea.Observant la céremonie, il se replongea dans les derniers mois, songeant qu'il aurait du être à la place de Richard. Elle semblait heureuse, lui aussi, bien plus heureuse que la vie qu'il lui aurait fait connaitre. Dans quelques heures elle serait duchesse, elle avait retrouvé les traces de son ancienne famille, allait agrandir la sienne des enfants de richard, malgrés les déboires qu'elle avait connu, elle avait tout pour être heureuse.
Il était conscient qu'il ne faisait que chercher à se déculpabiliser en la sachant heureuse, mais de ce fait son bonheur était à ses yeux une chose des plus précieuse.Il songea à s'opposer quand Aaron demanda si quelqu'un voulait le faire, mais il avait déja mis assez de désordre dans la vie de Maltea dans le passé, un peu de stabilité et de sécuritée lui ferait du bien. Et elle était entouré d'ami nombreux et sincéres.
Il songea quand même que le royaume de france y perdait une amante des plus agréable, mais ce n'était sans doute pas le lieu de se remorrer ce genre de chose.
Il ne suivait que peu la cérémonie, la regardant tendrement avec les yeux d'un amour plus sincére qu'elle ne voulait l'admettre. Tant qu'elle serait heureuse, il resterais loin d'elle pour préserver ce bonheur. Il appreciait de la voir vivre, sourire ou rire, de la voir eclatante, et se contenta de cet espace de bonheur simple et éphémére pour ses yeux.
Il était conscient qu'il ne faisait que chercher à se déculpabiliser en la sachant heureuse, mais de ce fait son bonheur était à ses yeux une chose des plus précieuse.Il songea à s'opposer quand Aaron demanda si quelqu'un voulait le faire, mais il avait déja mis assez de désordre dans la vie de Maltea dans le passé, un peu de stabilité et de sécuritée lui ferait du bien. Et elle était entouré d'ami nombreux et sincéres.
Il songea quand même que le royaume de france y perdait une amante des plus agréable, mais ce n'était sans doute pas le lieu de se remorrer ce genre de chose.
Il ne suivait que peu la cérémonie, la regardant tendrement avec les yeux d'un amour plus sincére qu'elle ne voulait l'admettre. Tant qu'elle serait heureuse, il resterais loin d'elle pour préserver ce bonheur. Il appreciait de la voir vivre, sourire ou rire, de la voir eclatante, et se contenta de cet espace de bonheur simple et éphémére pour ses yeux.
Quasi
Un voyage agréable, une main pour l'aider, une ville sans pareille, ils étaient arrivés quelques heures plus tot.
Que de monde...Assis au milieu d'une assemblée disparate, faite d'amis ou de connaissance pour nombre d'entre eux . leurs amis prés d'eux, pour certains , avaient les yeux rivés sur les deux promis. Parmi les invités, il y avait Varden. Elle l'avait vu entrer avec surprise, enfin il était entré seul mais surprise avait suivit de prés. Elle connaissait l'antagonisme qui était l'essence même de sa relation avec le futur marié.Elle chercha son regard en souriant avant de reporter son attention sur le jeune couple.
Maltéa et Richard..peu auraient parié écus sur un tel duo..tant mieux pour ceux qui l'avaient fait, riches ils devaient être aujourd'hui. Maltéa , qu'elle avait rencontré dans la cadre de leur passion commune, Maltéa qui lui avait proposé les quatre murs de sa chambre et les braillements de sa fille pour la protéger d'elle même, Maltéa et de nombreuses discussions au coin d'un feu de taverne..enfin en hiver en tout cas. c'est que la Champagne c'était pas le Béarn, l'hiver il faisait froid. Et même si la future mariée était capable d'enflammer bien des choses, souvent l'âtre avait du être entretenu quand les jeunes femmes discutaient dans les auberges ménéhildiennes.
A ses cotés, Richard. Elle le connaissait encore que peu.Elle l'avait rencontré pour la première fois lors d'un mariage, présage certainement,auquel Aimelin l'avait amené. Une amitié certaine s'était nouée dont les signes réchauffèrent le cœur de la jeune femme lorsque son filleul fut rappelé auprès du Prés Haut. Une amitié dont le fondement était bien antérieur à la vie d'adulte du duc.
Quasi le regardait, la regardait. Une pensée s'envola.Elle trouvera celui a qui elle est destinée. Soyez fier mon Duc, voila une belle réussite.
Un sourire à Aimelin pour ne pas manquer d'air en attendant ce que tout le monde attendait, le Oui solennel de Maltéa. Quasi ne s'inquiétait pas de ce Oui. Pour avoir vu le couple ensemble, elle ne doutait pas des liens qui les unissaient.
Un sourire en direction des futurs époux, sourire commun à toute une assemblée.
Les mots magiques, les mots précieux , les mots qui relient l'âme au cœur furent prononcés.
Quasi s'apprêtait à entendre un ouf de soulagement collectif.
Que de monde...Assis au milieu d'une assemblée disparate, faite d'amis ou de connaissance pour nombre d'entre eux . leurs amis prés d'eux, pour certains , avaient les yeux rivés sur les deux promis. Parmi les invités, il y avait Varden. Elle l'avait vu entrer avec surprise, enfin il était entré seul mais surprise avait suivit de prés. Elle connaissait l'antagonisme qui était l'essence même de sa relation avec le futur marié.Elle chercha son regard en souriant avant de reporter son attention sur le jeune couple.
Maltéa et Richard..peu auraient parié écus sur un tel duo..tant mieux pour ceux qui l'avaient fait, riches ils devaient être aujourd'hui. Maltéa , qu'elle avait rencontré dans la cadre de leur passion commune, Maltéa qui lui avait proposé les quatre murs de sa chambre et les braillements de sa fille pour la protéger d'elle même, Maltéa et de nombreuses discussions au coin d'un feu de taverne..enfin en hiver en tout cas. c'est que la Champagne c'était pas le Béarn, l'hiver il faisait froid. Et même si la future mariée était capable d'enflammer bien des choses, souvent l'âtre avait du être entretenu quand les jeunes femmes discutaient dans les auberges ménéhildiennes.
A ses cotés, Richard. Elle le connaissait encore que peu.Elle l'avait rencontré pour la première fois lors d'un mariage, présage certainement,auquel Aimelin l'avait amené. Une amitié certaine s'était nouée dont les signes réchauffèrent le cœur de la jeune femme lorsque son filleul fut rappelé auprès du Prés Haut. Une amitié dont le fondement était bien antérieur à la vie d'adulte du duc.
Quasi le regardait, la regardait. Une pensée s'envola.Elle trouvera celui a qui elle est destinée. Soyez fier mon Duc, voila une belle réussite.
Un sourire à Aimelin pour ne pas manquer d'air en attendant ce que tout le monde attendait, le Oui solennel de Maltéa. Quasi ne s'inquiétait pas de ce Oui. Pour avoir vu le couple ensemble, elle ne doutait pas des liens qui les unissaient.
Un sourire en direction des futurs époux, sourire commun à toute une assemblée.
Les mots magiques, les mots précieux , les mots qui relient l'âme au cœur furent prononcés.
Quasi s'apprêtait à entendre un ouf de soulagement collectif.
Aimelin
Les mouches qui avaient survolé l'assemblé pendant la question du Cardinal n'avaient plus osé bouger d'une aile tant le silence était... bruyant. Bruyant de pensées de toutes sortes, qui se bousculaient toutes les unes les autres, afin de se confondre et de savoir qui oserait dire "je m'oppose", qui oserait se mêler d'une histoire d'amour qui n'appartenait qu'à eux deux et ne regardait personne d'autre.
Et même si elles reprirent leur vol, elle durent s'arrêter pour la question qui entrainerait le Oui fatidique de Malt. Un sourire s'afficha sur les lèvres du jeune soldat quand elle le prononça et les mouches purent enfin reprendre leur vol en toute quiétude, tout risque de tempête étant écarté.
Son regard qui parcourait doucement l'oratoire croisa celui de Bel assise non loin d'eux, et il lui sourit, laissant remonter les souvenirs à la surface.
D'autres amies étaient là... visages qu'il était si agréable de revoir apres tant de mois.
Une réponse au sourire de Quasi avant de reporter à nouveau son attention sur la suite de la cérémonie.
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Et même si elles reprirent leur vol, elle durent s'arrêter pour la question qui entrainerait le Oui fatidique de Malt. Un sourire s'afficha sur les lèvres du jeune soldat quand elle le prononça et les mouches purent enfin reprendre leur vol en toute quiétude, tout risque de tempête étant écarté.
Son regard qui parcourait doucement l'oratoire croisa celui de Bel assise non loin d'eux, et il lui sourit, laissant remonter les souvenirs à la surface.
D'autres amies étaient là... visages qu'il était si agréable de revoir apres tant de mois.
Une réponse au sourire de Quasi avant de reporter à nouveau son attention sur la suite de la cérémonie.
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pnj
La question se pose surtout de savoir si eux... y survivront !
Lily avait seulement hoché la tête, avec un sourire entendu à Mag. Elle resta silencieuse même à l'arrivée de Varden. Elle se contenta de lui envoyer un petit sourire et se promit de ne plus ouvrir la bouche. A présent que ses yeux avaient inspecté une partie de l'assistance, elle jetait des coups d'oeil sur l'architecture de l'édifice, entendant au loin Aaron.
Lorsque les questions cruciales arrivèrent, elle tendit l'oreille. Tout le monde pouvait reprendre son souffle. Rien de palpitant ne s'était passé. Même pas étonnant. Ni le marié, ni la mariée n'avaient failli. Ah !
Lily détourna son regard sur Varden et, après une brève hésitation, se pencha pour lui chuchoter tout doucement à son oreille :
"Il n'y a pas Groland, je n'ai pas vu Groland. Tu l'as vu, toi ? "
Un peu contrariée, elle continua sur le même ton :
"Crois-tu que Maltea l'a invité ?"
Lily avait seulement hoché la tête, avec un sourire entendu à Mag. Elle resta silencieuse même à l'arrivée de Varden. Elle se contenta de lui envoyer un petit sourire et se promit de ne plus ouvrir la bouche. A présent que ses yeux avaient inspecté une partie de l'assistance, elle jetait des coups d'oeil sur l'architecture de l'édifice, entendant au loin Aaron.
Lorsque les questions cruciales arrivèrent, elle tendit l'oreille. Tout le monde pouvait reprendre son souffle. Rien de palpitant ne s'était passé. Même pas étonnant. Ni le marié, ni la mariée n'avaient failli. Ah !
Lily détourna son regard sur Varden et, après une brève hésitation, se pencha pour lui chuchoter tout doucement à son oreille :
"Il n'y a pas Groland, je n'ai pas vu Groland. Tu l'as vu, toi ? "
Un peu contrariée, elle continua sur le même ton :
"Crois-tu que Maltea l'a invité ?"
C_lotus
Clotus broyait la main de yedis sans s'en rendre compte,Maltea allait elle dire le oui qui la lierait à jamais à un homme,ou bien allait elle refusée.
Clotus retenait sa respiration prête a faire une syncope.quand maltea dit oui de sa voix claire et assez forte pour que toute l'assemblée entendent,Clotus
relacha sa respiration,.
elle avait dit oui,Clotus était heureuse pour Maltea bien des fois elle avait vu Malt comme personne ne la voyait ou seulement ses intime beaucoup la pensaient garce se qu'elle pouvait être à ses moments,mais surtout c'était une femme entière qui ne mâchait pas ses mots et qui n'hésitait pas dire les chose.elle pouvait être fragile et peu sure d'elle comme les deux fois ou elle s'était présentée au ducale ou pour la prise du château où beaucoup de beau monde l'avait descendu.
La voilà maintenant retourné à son rang et à ses obligations qu'il en découlera,Clotus souria en pensant à tout ce que malt détestait dans le protocolaire.
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Clotus retenait sa respiration prête a faire une syncope.quand maltea dit oui de sa voix claire et assez forte pour que toute l'assemblée entendent,Clotus
relacha sa respiration,.
elle avait dit oui,Clotus était heureuse pour Maltea bien des fois elle avait vu Malt comme personne ne la voyait ou seulement ses intime beaucoup la pensaient garce se qu'elle pouvait être à ses moments,mais surtout c'était une femme entière qui ne mâchait pas ses mots et qui n'hésitait pas dire les chose.elle pouvait être fragile et peu sure d'elle comme les deux fois ou elle s'était présentée au ducale ou pour la prise du château où beaucoup de beau monde l'avait descendu.
La voilà maintenant retourné à son rang et à ses obligations qu'il en découlera,Clotus souria en pensant à tout ce que malt détestait dans le protocolaire.
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Adelahis
Adélahis sourit... Elle avait tout dit, Maltea avait tout dis. Elle soupira. Maltea Mariée. Jamais elle ne l'aurait parié. Il faut dire qu'elles s'étaient un peu éloignées ces derniers temps. Maltea était maintenant une Dame, avait des titres. Mais au fond, ça ne changeais rien pour Adélahis. Elle était toujours Malt, sa garce, virulente, fonceuse, changeant d'avis comme d'homme... enfin non plus ça maintenant.
Richard avait fait du bien à Maltea. Et maltea méritait le bonheur qui lui avait tant manqué. Elle était heureuse pour elle. Adélahis ne se sentait pas vraiment à sa place parmi tout ces gens. Mais elle devait être là.
Malgrés la différence de classe sociale, malgré leurs prises de bec, Adélahis considérait toujours Maltea comme son amie. L'avenir dirait le reste.
Adélahis rajusta son mantel, adressant une prière à Aristote pour que ce couple perdure, elle sortit discrètement de l'oratoire.
Richard avait fait du bien à Maltea. Et maltea méritait le bonheur qui lui avait tant manqué. Elle était heureuse pour elle. Adélahis ne se sentait pas vraiment à sa place parmi tout ces gens. Mais elle devait être là.
Malgrés la différence de classe sociale, malgré leurs prises de bec, Adélahis considérait toujours Maltea comme son amie. L'avenir dirait le reste.
Adélahis rajusta son mantel, adressant une prière à Aristote pour que ce couple perdure, elle sortit discrètement de l'oratoire.
Aaron
La vicomtesse venait à son tour de dire le mot de la journée ! Le cardinal sourit et écarta les bras, cherchant du regard les témoins qui ne devait pas se trouver bien loin...
Que les témoins s'approchent pour l'échanges des anneaux...
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Que les témoins s'approchent pour l'échanges des anneaux...
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Onagre
A l'appel de Son Eminence, le médicastre s'approcha de Richard.
Onagre tenait aussi élégamment que possible un petit coussinet de velours rouge au centre duquel se trouvait un anneau unique. Celui-ci était d'une grande sobriété mais c'est ce qui en faisait tout le charme. Anneau paré d'une perle noire aux reflets bleutés, l'alliance s'imprégnait à merveille dans le cadre du jour.
Onagre tenait aussi élégamment que possible un petit coussinet de velours rouge au centre duquel se trouvait un anneau unique. Celui-ci était d'une grande sobriété mais c'est ce qui en faisait tout le charme. Anneau paré d'une perle noire aux reflets bleutés, l'alliance s'imprégnait à merveille dans le cadre du jour.
Maltea
La cérémonie se déroulait sans l’ombre d’un problème. C’était maintenant au tour des témoins de prendre place.
Maltea se sentait observée, quoi de plus normal ? Cependant, la sensation était étrange. Elle se retourna et croisa son regard. Il était venu… Elle en était quelque peu déstabilisée… En une seconde, elle vit défiler devant ses yeux, leur rencontre, leur liaison puis l’amour qui les avait unis avant de se transformer en reproche et rancoeur. Elle n’avait pas su faire fi de ses défauts et les crises avaient eu raison de leur couple.
Son regard aujourd’hui, trahissait ce qu’il lui avait dit, mais que bornée, elle n’avait jamais voulu croire. Maintenant, en paix avec elle-même, elle avait compris.
Elle baissa la tête sur la petite blonde que Gnia tenait par la main et sourit. Elle était tout ce qu’il restait d’un amour passionné. Son deuil était fait. Elle avait appris à aimer Richard. Elle avait accepté de devenir sa femme. Elle l’aimait différemment mais sincèrement. Dragonet aurait toujours une place dans son cœur et sa mémoire. La vie les avait séparé, mais elle se disait qu’elle avait du avoir ses raisons. Elle avait retrouvé la sérénité et l’amour dans les bras de Richard, il lui avait redonné le sourire et elle savait qu’elle avait fait le bon choix et ne le regrettait en rien.
Elle lui sourit tendrement avant de reporter son attention sur son presque époux.
Une page de son passé venait de se tourner, seul le présent et le futur comptait maintenant…
Onagre s’approcha de Richard afin de lui tendre l’alliance. Elle espérait que Gnia, n’avait pas oublié de la prendre…
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Maltea se sentait observée, quoi de plus normal ? Cependant, la sensation était étrange. Elle se retourna et croisa son regard. Il était venu… Elle en était quelque peu déstabilisée… En une seconde, elle vit défiler devant ses yeux, leur rencontre, leur liaison puis l’amour qui les avait unis avant de se transformer en reproche et rancoeur. Elle n’avait pas su faire fi de ses défauts et les crises avaient eu raison de leur couple.
Son regard aujourd’hui, trahissait ce qu’il lui avait dit, mais que bornée, elle n’avait jamais voulu croire. Maintenant, en paix avec elle-même, elle avait compris.
Elle baissa la tête sur la petite blonde que Gnia tenait par la main et sourit. Elle était tout ce qu’il restait d’un amour passionné. Son deuil était fait. Elle avait appris à aimer Richard. Elle avait accepté de devenir sa femme. Elle l’aimait différemment mais sincèrement. Dragonet aurait toujours une place dans son cœur et sa mémoire. La vie les avait séparé, mais elle se disait qu’elle avait du avoir ses raisons. Elle avait retrouvé la sérénité et l’amour dans les bras de Richard, il lui avait redonné le sourire et elle savait qu’elle avait fait le bon choix et ne le regrettait en rien.
Elle lui sourit tendrement avant de reporter son attention sur son presque époux.
Une page de son passé venait de se tourner, seul le présent et le futur comptait maintenant…
Onagre s’approcha de Richard afin de lui tendre l’alliance. Elle espérait que Gnia, n’avait pas oublié de la prendre…
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Ricw
Richard hocha la tête vers son vassal, et prit délicatement la bague entre ses doigts. Il la contempla comme la première fois, quand il était allé voir en secret l'orfèvre de Brienne, un génie de cet art si complexe. Trouver la perle avait été ce qui lui avait été le plus compliqué, mais cela en valait la peine. Du moins, il espérait qu'elle plairait à son épouser. Aprés tout, cela avait fait l'objet d'un beau quiproquo entre elle et Gabriel, quand il était revenue de sa visite briennoise, jusqu'à son chateau... Et encore, il était sur que son frère ne lui avait pas tout dit de cette visite ..
Il prit délicatement la main de Maltea, et fit glisser la bague à son doigt, en prononçant les paroles rituelles, qui ressemblait étrangement aux paroles d'allégeance :
Maltea, je te reçois comme épouse, et je me donne tout entier, corps et âme, à toi, pour t'aimer fidèlement tout au long de notre vie, et qui sait même après.
Il prit délicatement la main de Maltea, et fit glisser la bague à son doigt, en prononçant les paroles rituelles, qui ressemblait étrangement aux paroles d'allégeance :
Maltea, je te reçois comme épouse, et je me donne tout entier, corps et âme, à toi, pour t'aimer fidèlement tout au long de notre vie, et qui sait même après.
pnj
Comme à chaque invitation qu'elle recevait ces derniers temps, la question fatidique s'était posée: comment s'y rendre? Pour beaucoup d'entre elles, la réponse était simple: le mieux était de ne pas y aller, après tout, dans la foule, personne ne remarquerait son absence.
Mais cette invitation-ci était particulière, et seul un cas de force majeure l'aurait empêché de s'organiser pour être présente pour l'événement, quand bien même à Paris.
Elle ne comptait pas parmi les proches immédiats des deux époux, mais elle appréciait leurs méthodes, la justesse de leurs raisonnements et de leurs choix, et ce qu'elle apprenait peu à peu de leurs personnalités lui plaisaient de plus en plus. Il n'empêchait que son arrivée et son séjour seraient le plus discrets possibles, ne serait-ce que par sa condition.
Pour l'occasion, elle s'était contentée de nouer ses cheveux en une courte tresse pour ne pas faire concurrence avec la blondeur de la mariée, et de revêtir une robe de velours bleu turquoise, qu'elle avait cousu elle-même et qui faisait ressortir la couleur de ses yeux.
Le voyage en coche avait été relativement long et chaotique, c'était la première fois qu'elle s'y rendait, et l'excitation de la découverte de la capitale était vite retombée devant les pavés boueux et chargés d'immondices et l'architecture... somme toute assez semblable à celle de toute autre ville, sauf que celle-ci était d'une taille supérieure.
Une courte pause dans une auberge pour remettre en ordre sa tenue, et il était temps de partir pour assister aux épousailles.
Le coche s'arrêta devant l'Oratoire Saint-Michel-Archange, drôle de nom, d'ailleurs, pourquoi apposer "archange" après "saint Michel"? La très Sainte Eglise avait décidément bien des mystères à explorer.
La déception fit place à l'émerveillement devant l'édifice, et l'expectative de la cérémonie.
Elle s'assit au fond de la salle, en évitant de se faire remarquer, mais écouta attentivement la cérémonie. Elle répéta les prières, admira l'extrait choisi par le cardinal-archevêque, et se retint de soupirer de soulagement quand cette fois-ci la mariée ne prit pas la poudre d'escampette, comme elle l'avait vue quelques années plus tôt, là aussi du fond de l'église, à Sainte-Ménehould. A Paris, et vu la qualité de l'époux, cela aurait fait autrement grand bruit, et lui ne méritait pas pareil traitement.
En attendant la suite, elle détailla les têtes des autres invités, reconnut plusieurs relations, bonnes ou mauvaises, et baissa d'autant plus la tête pour ne pas se faire remarquer.
Mais cette invitation-ci était particulière, et seul un cas de force majeure l'aurait empêché de s'organiser pour être présente pour l'événement, quand bien même à Paris.
Elle ne comptait pas parmi les proches immédiats des deux époux, mais elle appréciait leurs méthodes, la justesse de leurs raisonnements et de leurs choix, et ce qu'elle apprenait peu à peu de leurs personnalités lui plaisaient de plus en plus. Il n'empêchait que son arrivée et son séjour seraient le plus discrets possibles, ne serait-ce que par sa condition.
Pour l'occasion, elle s'était contentée de nouer ses cheveux en une courte tresse pour ne pas faire concurrence avec la blondeur de la mariée, et de revêtir une robe de velours bleu turquoise, qu'elle avait cousu elle-même et qui faisait ressortir la couleur de ses yeux.
Le voyage en coche avait été relativement long et chaotique, c'était la première fois qu'elle s'y rendait, et l'excitation de la découverte de la capitale était vite retombée devant les pavés boueux et chargés d'immondices et l'architecture... somme toute assez semblable à celle de toute autre ville, sauf que celle-ci était d'une taille supérieure.
Une courte pause dans une auberge pour remettre en ordre sa tenue, et il était temps de partir pour assister aux épousailles.
Le coche s'arrêta devant l'Oratoire Saint-Michel-Archange, drôle de nom, d'ailleurs, pourquoi apposer "archange" après "saint Michel"? La très Sainte Eglise avait décidément bien des mystères à explorer.
La déception fit place à l'émerveillement devant l'édifice, et l'expectative de la cérémonie.
Elle s'assit au fond de la salle, en évitant de se faire remarquer, mais écouta attentivement la cérémonie. Elle répéta les prières, admira l'extrait choisi par le cardinal-archevêque, et se retint de soupirer de soulagement quand cette fois-ci la mariée ne prit pas la poudre d'escampette, comme elle l'avait vue quelques années plus tôt, là aussi du fond de l'église, à Sainte-Ménehould. A Paris, et vu la qualité de l'époux, cela aurait fait autrement grand bruit, et lui ne méritait pas pareil traitement.
En attendant la suite, elle détailla les têtes des autres invités, reconnut plusieurs relations, bonnes ou mauvaises, et baissa d'autant plus la tête pour ne pas se faire remarquer.
Pritinha
pritinha arriva toute essouffléé à la cérémonie.
elle etait en retard mais elle arrivait à temps pour entrendre les fameux "oui" qui uniraient son frère et Maltéa pour la vie.
elle essaya de se frayer un passage au milieu de la foule et de se degoter une place assez proche de l'autel.
son frere ricky allait etre un homme marié dans tres peu de temps et elle était ravi que Maltéa soit l'elue de son coeur.
elle etait en retard mais elle arrivait à temps pour entrendre les fameux "oui" qui uniraient son frère et Maltéa pour la vie.
elle essaya de se frayer un passage au milieu de la foule et de se degoter une place assez proche de l'autel.
son frere ricky allait etre un homme marié dans tres peu de temps et elle était ravi que Maltéa soit l'elue de son coeur.
pnj
Le temps se faisait long et la légendaire attention de l'enfant commençait à s'effriter dangereusement... Aussi, quand le Cardinal posa une question qui l'intéressa, l'enfant se reconcentra sur la cérémonie.
"Si quelqu’un doit s’opposer à cette union, qu’il parle maintenant ou se taise à jamais."
Voilà qui était intéressant ! C'était une drôle de question. Pourquoi personne ne répondait-il donc ? Il fallait qu'elle donne son avis sur la question. Mais alors qu'elle ouvrait la bouche pour dire ce qu'elle avait à dire, une main énergique se plaqua sur celle-ci. Le regard, quelque peu amusé de son frère, la mit cependant en garde: elle avait assez parlé pour aujourd'hui. Mais le doute s'empara d'elle. Devait-elle donc se taire à jamais ? Sa gorge se noua. Elle ne s'imaginait pas ne plus parler. C'était totalement impossible ! Cependant, Gabriel ne retira pas sa main avant que le Cardinal ait repris la parole.
Isaure se tourna vers celui qui venait de la contraindre au silence à vie ! Plus jamais elle ne pourrait parler, et jamais elle ne lui pardonnerait ! Pourtant, à sa grande surprise, des sons sortirent de sa bouche alors que les fiancés étaient sur le point d'être mariés.
Je ne veux pas ne plus parler à tout jamais ! Oh ! Mais je peux parler ! Écoutez-moi Gabriel, je parle encore ! Ma voix n'est pas partie !
Et l'enfant, rassurée, reporta de nouveau son attention sur le jeune couple, bien que des regards désapprobateurs se soient posés sur elle. Vivement qu'ils finissent de se marier et que le banquet ait enfin lieu !
"Si quelqu’un doit s’opposer à cette union, qu’il parle maintenant ou se taise à jamais."
Voilà qui était intéressant ! C'était une drôle de question. Pourquoi personne ne répondait-il donc ? Il fallait qu'elle donne son avis sur la question. Mais alors qu'elle ouvrait la bouche pour dire ce qu'elle avait à dire, une main énergique se plaqua sur celle-ci. Le regard, quelque peu amusé de son frère, la mit cependant en garde: elle avait assez parlé pour aujourd'hui. Mais le doute s'empara d'elle. Devait-elle donc se taire à jamais ? Sa gorge se noua. Elle ne s'imaginait pas ne plus parler. C'était totalement impossible ! Cependant, Gabriel ne retira pas sa main avant que le Cardinal ait repris la parole.
Isaure se tourna vers celui qui venait de la contraindre au silence à vie ! Plus jamais elle ne pourrait parler, et jamais elle ne lui pardonnerait ! Pourtant, à sa grande surprise, des sons sortirent de sa bouche alors que les fiancés étaient sur le point d'être mariés.
Je ne veux pas ne plus parler à tout jamais ! Oh ! Mais je peux parler ! Écoutez-moi Gabriel, je parle encore ! Ma voix n'est pas partie !
Et l'enfant, rassurée, reporta de nouveau son attention sur le jeune couple, bien que des regards désapprobateurs se soient posés sur elle. Vivement qu'ils finissent de se marier et que le banquet ait enfin lieu !
Gnia
Le prélat avait demandé aux témoins de s'avancer. Faisant mine de lisser avec attention les plis de sa robe, Agnès observa à la dérobée vers où se dirigeait le témoin de Richard. Bien... Il tendait le bijou posé sur son coussin à Richard. Agnès savait désormais ce qui lui restait à faire.
Tandis que le duc de Brienne passait la bague au doigt à Maltea, Agnès, très concentrée, avait fait joindre les mains, paumes vers le ciel, à Isaline et avait déposé avec délicatesse dans le creux ainsi formé, le nid de soie sur lequel reposait la bague que l'épousée allait offrir à son mari.
Puis, les mains posées sur les épaules de la petite fille pour la guider, elles marchèrent ensemble lentement vers le couple et une fois arrivées à hauteur de la mariée, Agnès s'agenouilla et joignit ses mains à celles d'Isaline pour tendre vers Maltea le magnifique ouvrage qui avait été commandé durant leur escapade à Paris.
Tandis que le duc de Brienne passait la bague au doigt à Maltea, Agnès, très concentrée, avait fait joindre les mains, paumes vers le ciel, à Isaline et avait déposé avec délicatesse dans le creux ainsi formé, le nid de soie sur lequel reposait la bague que l'épousée allait offrir à son mari.
Puis, les mains posées sur les épaules de la petite fille pour la guider, elles marchèrent ensemble lentement vers le couple et une fois arrivées à hauteur de la mariée, Agnès s'agenouilla et joignit ses mains à celles d'Isaline pour tendre vers Maltea le magnifique ouvrage qui avait été commandé durant leur escapade à Paris.
Maltea
Richard lui prit la main et glissa à son doigt un anneau dont la pierre noire avait des reflets bleutés. Elle sourit en pensant aux deux couleurs, le noir pour elle et le bleu pour lui.
Elle retint son souffle lorsqu’il prononça les paroles d’usage. La cérémonie avançait et dans très peu de temps, elle serait son épouse. Elle en était la première étonnée. On ne pouvait pas dire que leur histoire avait commencé dans l’amitié. Elle ne savait pas le souffrir, puis un bête accident avait eu raison d’eux et ils avaient appris à s’apprécier dans un premier temps, puis l’amour avait fait le reste. Aujourd’hui, il se donnait corps et âme…
Elle vit Gnia et Isaline s’approcher. Elle fut émue de voir sa fille présenter l’anneau. Elle sourit à son amie et caressa la joue de l’enfant avant de prendre la bague.
Elle remercia le ciel en même temps d’avoir choisi un témoin moins tête en l’air qu’elle.
Plongeant son regard dans celui de Richard, elle lui prit elle aussi la main. Même geste si ce n’est que la sienne tremblait en lui passant l’anneau. Elle essaya de se calmer mais l’émotion s’entendait dans sa voix lorsqu’elle prononça la formule rituelle.
Richard, je te reçois comme époux et je me donne à toi pour t'aimer fidèlement tout au long de notre vie.
Elle entrelaça ses doigts aux siens quelques instants, comme pour qu’il lui donne un peu de son calme.
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Elle retint son souffle lorsqu’il prononça les paroles d’usage. La cérémonie avançait et dans très peu de temps, elle serait son épouse. Elle en était la première étonnée. On ne pouvait pas dire que leur histoire avait commencé dans l’amitié. Elle ne savait pas le souffrir, puis un bête accident avait eu raison d’eux et ils avaient appris à s’apprécier dans un premier temps, puis l’amour avait fait le reste. Aujourd’hui, il se donnait corps et âme…
Elle vit Gnia et Isaline s’approcher. Elle fut émue de voir sa fille présenter l’anneau. Elle sourit à son amie et caressa la joue de l’enfant avant de prendre la bague.
Elle remercia le ciel en même temps d’avoir choisi un témoin moins tête en l’air qu’elle.
Plongeant son regard dans celui de Richard, elle lui prit elle aussi la main. Même geste si ce n’est que la sienne tremblait en lui passant l’anneau. Elle essaya de se calmer mais l’émotion s’entendait dans sa voix lorsqu’elle prononça la formule rituelle.
Richard, je te reçois comme époux et je me donne à toi pour t'aimer fidèlement tout au long de notre vie.
Elle entrelaça ses doigts aux siens quelques instants, comme pour qu’il lui donne un peu de son calme.
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Varden
Moment de plaisir infini ...
Le visage de Richard ... Il faudrait qu'il fasse un voyage en Champagne à l'occasion. Si il pouvait voir une telle expression, voir pire car le bleu n'était pas le plus haineux, sur nombre de ceux qui composaient l'élite Champenoise, il ne s'en priverait pas ...
Joie intérieure, contenue, qui s'illustre par un sourire radieux ...
Il plissa des yeux en voyant Mag lui sourire ... Vraiment, vraiment intéressant ce mariage ...
Lily s'adressa à lui et il fut étonné de la question ... Il posa un doigt sur son menton, tentant de réfléchir à la probabilité que Groland fut invité si lui l'état ... C'était probable ... Au moins possible ...
Je n'ai pas vu Groland non ... Je pense que si Maltea m'a invité, elle a pu en faire de même pour lui sachant que je suis parfois moins bien considéré que les Comtes Artésiens en Champagne ...
Il aperçut Belphegore ... Comme le temps passait, quand l'avait il vue pour la dernière fois ? C'était bien sympathique de la voir ici en bonne santé ...
Et il entendu une voix particulière familière quelques rangs devant ... Le sourcil levé il tenta de reconnaître l'enfant ...
Stupeur ... Isaure ... Sa filleule avec un bleu à ses côtés ... Mais qui s'occupait d'élever cette enfant à la fin ? C'était un scandale ! Promue dans la maison Melani par sa Marraine, Feu Catheolia ... Il avait laissé faire ... Mais là ... Chez les Wagner ... Ils voulaient la corrompre ... La pauvre, comme il la plaignait. Tentant d'attirer son attention il fit quelques mouvements en direction de la fillette, mouvement assez discrets selon lui mais totalement hors contexte pour la circonstance ...
Il se retourna vers Lily. Isaure ne l'avait même pas vu ou alors elle était devenue polie et sage ... Non Isaure ne l'avait pas vu ...
Isaure est là ! Avec le deuxième fils du bleu ! Tu le savais qu'ils la retenaient prisonnière ?
Soupçon prononcé ... Elle avait passé un long moment en Champagne ... Elle pouvait le savoir ...
Le visage de Richard ... Il faudrait qu'il fasse un voyage en Champagne à l'occasion. Si il pouvait voir une telle expression, voir pire car le bleu n'était pas le plus haineux, sur nombre de ceux qui composaient l'élite Champenoise, il ne s'en priverait pas ...
Joie intérieure, contenue, qui s'illustre par un sourire radieux ...
Il plissa des yeux en voyant Mag lui sourire ... Vraiment, vraiment intéressant ce mariage ...
Lily s'adressa à lui et il fut étonné de la question ... Il posa un doigt sur son menton, tentant de réfléchir à la probabilité que Groland fut invité si lui l'état ... C'était probable ... Au moins possible ...
Je n'ai pas vu Groland non ... Je pense que si Maltea m'a invité, elle a pu en faire de même pour lui sachant que je suis parfois moins bien considéré que les Comtes Artésiens en Champagne ...
Il aperçut Belphegore ... Comme le temps passait, quand l'avait il vue pour la dernière fois ? C'était bien sympathique de la voir ici en bonne santé ...
Et il entendu une voix particulière familière quelques rangs devant ... Le sourcil levé il tenta de reconnaître l'enfant ...
Stupeur ... Isaure ... Sa filleule avec un bleu à ses côtés ... Mais qui s'occupait d'élever cette enfant à la fin ? C'était un scandale ! Promue dans la maison Melani par sa Marraine, Feu Catheolia ... Il avait laissé faire ... Mais là ... Chez les Wagner ... Ils voulaient la corrompre ... La pauvre, comme il la plaignait. Tentant d'attirer son attention il fit quelques mouvements en direction de la fillette, mouvement assez discrets selon lui mais totalement hors contexte pour la circonstance ...
Il se retourna vers Lily. Isaure ne l'avait même pas vu ou alors elle était devenue polie et sage ... Non Isaure ne l'avait pas vu ...
Isaure est là ! Avec le deuxième fils du bleu ! Tu le savais qu'ils la retenaient prisonnière ?
Soupçon prononcé ... Elle avait passé un long moment en Champagne ... Elle pouvait le savoir ...
Elleeve
"Richard, je te reçois comme époux et je me donne à toi pour t'aimer fidèlement tout au long de notre vie."
La toute jeune italienne porta les deux mains à sa bouche pour étouffer le petit cri de joie et de soulagement aussi, qui tentait de s'échapper de ses lèvres. Les joues d'Ève était rouges de plaisir et de grosses larmes d'émotion se pressaient à ses paupières, à peine retenues par les longs cils bruns qui masquaient ses prunelles de jade. Un battement d'eux et elles seraient libérées.
Car en ce jour bénit, celle qui avait été son modèle durant toutes leurs années d'enfance, celle à laquelle elle s'était efforcé de ressembler pendant si longtemps se rebellant contre l'autorité maternelle et l'amour parfois étouffant de ses quatre frères, avait fait une croix sur ses années de douce folie pour rentrer dans le rang, et accepter enfin le bonheur auquel elle avait droit.
Si elle n'avait pas eu peur de se faire rabrouer par sa grande cousine Maltéa, elle aurait traversé la nef sur toute sa longueur pour se jeter dans ses bras en riant aux éclats.
Les parents de cette dernière, c'était certain, en auraient mangé leur chapeau avec les plumes s'ils avaient pu voir le vilain petit canard à cet instant précis. Le cygne majestueux qu'elle était devenue tout en restant disponible pour ses proches, en aurait à leur remontrer, belle ironie, dommage qu'ils ne soient pas présents en ce jour glorieux.
Elle serra la main de son poète, pour contenir son excitation en attendant la fin de la cérémonie, priant la madone pour qu'elle presse un peu ce cardinal qui prenait tout son temps alors qu'elle avait si hâte d'embrasser la mariée.
La toute jeune italienne porta les deux mains à sa bouche pour étouffer le petit cri de joie et de soulagement aussi, qui tentait de s'échapper de ses lèvres. Les joues d'Ève était rouges de plaisir et de grosses larmes d'émotion se pressaient à ses paupières, à peine retenues par les longs cils bruns qui masquaient ses prunelles de jade. Un battement d'eux et elles seraient libérées.
Car en ce jour bénit, celle qui avait été son modèle durant toutes leurs années d'enfance, celle à laquelle elle s'était efforcé de ressembler pendant si longtemps se rebellant contre l'autorité maternelle et l'amour parfois étouffant de ses quatre frères, avait fait une croix sur ses années de douce folie pour rentrer dans le rang, et accepter enfin le bonheur auquel elle avait droit.
Si elle n'avait pas eu peur de se faire rabrouer par sa grande cousine Maltéa, elle aurait traversé la nef sur toute sa longueur pour se jeter dans ses bras en riant aux éclats.
Les parents de cette dernière, c'était certain, en auraient mangé leur chapeau avec les plumes s'ils avaient pu voir le vilain petit canard à cet instant précis. Le cygne majestueux qu'elle était devenue tout en restant disponible pour ses proches, en aurait à leur remontrer, belle ironie, dommage qu'ils ne soient pas présents en ce jour glorieux.
Elle serra la main de son poète, pour contenir son excitation en attendant la fin de la cérémonie, priant la madone pour qu'elle presse un peu ce cardinal qui prenait tout son temps alors qu'elle avait si hâte d'embrasser la mariée.
Aaron
Tout deux venaient de se promettre l’un à l’autre. Ils étaient désormais liés devant Dieu et les hommes pour le restant de leur existence. L’anneau qu’ils venaient de se passer mutuellement au doigt était le signe de leur amour : parfait, immuable, sans fin, comme l’est le cercle qu’il représente. Afin de symboliser cette liaisons spirituelle et affective, le prélat pris une écharpe cousue, proche d’une étole, qu’il enroula autour des mains des nouveau mariés en disant :
Par les pouvoirs qui me sont conférés, par l’autorité du Tout Puissant et avec la bénédiction du ciel, je vous déclare unis par les liens sacrés du mariage.
Avant de poursuivre, réaffirmons notre foi en le Très Haut et en l’Eglise :
Et préparons-nous maintenant à la célébration du pain et du vin en reconnaissant que nous sommes pécheurs.
Que Dieu tout-puissant nous fasse miséricorde ; qu'Il nous pardonne nos péchés et nous conduise à la vie éternelle.
Prions ensemble et recueillons-nous un instant…
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Par les pouvoirs qui me sont conférés, par l’autorité du Tout Puissant et avec la bénédiction du ciel, je vous déclare unis par les liens sacrés du mariage.
Avant de poursuivre, réaffirmons notre foi en le Très Haut et en l’Eglise :
Et préparons-nous maintenant à la célébration du pain et du vin en reconnaissant que nous sommes pécheurs.
- Je confesse à Dieu tout-puissant, je reconnais devant mes frères, que j'ai péchés, en pensée, en parole, par action et par omission, oui, j'ai vraiment péché.
C'est pourquoi je supplie les anges et tous les saints, et vous aussi, mes frères, de prier pour moi le Seigneur notre Dieu.
Amen.
Que Dieu tout-puissant nous fasse miséricorde ; qu'Il nous pardonne nos péchés et nous conduise à la vie éternelle.
Prions ensemble et recueillons-nous un instant…
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Maltea
Le cardinal leur enroula une écharpe autour des mains. Maltea sourit à Richard, chassant rapidement une pensée.
Ils étaient mariés… cette fois, rien ne pouvait plus arriver. Elle était son épouse envers et contre tout, peut-être fallait il dire contre tous… elle poussa un soulagement, fière d’être allée jusqu’au bout. Elle se demanda qui avait perdu son pari et qui s’était vu rafler des écus. Elle devrait demander une liste afin de demander sa part. Après tout, s’enrichir sur le dos des gens n’était pas gentil, un bon geste envers elle, serait plus que généreux.
Aaron continua la cérémonie et invita l’assemblée à prier et se recueillir, ce qu’elle fit avec dévotion.
Une fois finie, elle se dit que le très haut devait être débordé avec toutes les demandes de pardon qui venaient de quitter l’église et elle sourit…
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Ils étaient mariés… cette fois, rien ne pouvait plus arriver. Elle était son épouse envers et contre tout, peut-être fallait il dire contre tous… elle poussa un soulagement, fière d’être allée jusqu’au bout. Elle se demanda qui avait perdu son pari et qui s’était vu rafler des écus. Elle devrait demander une liste afin de demander sa part. Après tout, s’enrichir sur le dos des gens n’était pas gentil, un bon geste envers elle, serait plus que généreux.
Aaron continua la cérémonie et invita l’assemblée à prier et se recueillir, ce qu’elle fit avec dévotion.
Une fois finie, elle se dit que le très haut devait être débordé avec toutes les demandes de pardon qui venaient de quitter l’église et elle sourit…
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Ricw
Sa main réussit à ne pas trembler quand elle la prit pour y glisser à son tour un anneau, et prononcer les paroles rituelles, mais qui se gravaient dans son cœur. Tant de sentiments contenus dans aussi peu de mot... Le contact de ses doigts le fit sourire, et il les serra doucement dans les siens.
Quand le Cardinal enveloppa leurs deux mains dans une écharpe brodée, Richard retint tant bien que mal un fou rire. Décidément, même les prêtres voulaient l'attacher ! Mais se n'était pas le moment pour s'esclaffer, d'autant que le prélat entamait une prière.
Il se recueillit un instant en silence, mais les dernières paroles du cardinal résonnait encore à ses oreilles. Mari et femme. C'était ainsi. Les dés étaient jetés, et le Rubicon franchi. Quoi qu'il se passe à présent, leurs destinées étaient liées. Mais ils auraient tout le temps de voir comment certains utiliseraient cette nouvelle donnée ! En attendant, il faudrait profiter de la moindre once du bonheur qui leur était enfin autorisé !
Il laissa son esprit se reconcentrer sur la prière, et sur la réaffirmation de sa foi. Il y aurait un autre temps pour réfléchir, ici, le temps était à la prière et au recueillement.
Quand le Cardinal enveloppa leurs deux mains dans une écharpe brodée, Richard retint tant bien que mal un fou rire. Décidément, même les prêtres voulaient l'attacher ! Mais se n'était pas le moment pour s'esclaffer, d'autant que le prélat entamait une prière.
Il se recueillit un instant en silence, mais les dernières paroles du cardinal résonnait encore à ses oreilles. Mari et femme. C'était ainsi. Les dés étaient jetés, et le Rubicon franchi. Quoi qu'il se passe à présent, leurs destinées étaient liées. Mais ils auraient tout le temps de voir comment certains utiliseraient cette nouvelle donnée ! En attendant, il faudrait profiter de la moindre once du bonheur qui leur était enfin autorisé !
Il laissa son esprit se reconcentrer sur la prière, et sur la réaffirmation de sa foi. Il y aurait un autre temps pour réfléchir, ici, le temps était à la prière et au recueillement.
Marjolainne
la duchesse Marjolainne avait retenu son souffle pendant toute la céremonie ,mais quand elle entendit le prêtre dire "mari et femme " elle sourit et attendit qu ils sortent de l oratoire pour aller les feliciter.
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pnj
Lily observait le visage pensif de son ami, se demandant si sa question méritait autant de réflexion. Varden avait sans doute d'autres choses à penser plus importantes. Pourquoi l'embêtait-elle avec ses petites préoccupations insignifiantes. Puis Varden lui répondit. Il avait sans doute raison et ça la fit sourire. Peut-être que Groland était là qu'elle ne l'avait pas vu.
Elle revint à ses rêveries lorsque Varden lui adressa à nouveau la parole.
Isaure est là ! Avec le deuxième fils du bleu ! Tu le savais qu'ils la retenaient prisonnière ?
Lily se retint de sursauter. Elle blêmit un peu mais se reprit rapidement. Evidemment, Gabriel ne pouvait être que présent mais ne l'ayant pas vu, elle l'avait volontairement mis au fin fond de sa mémoire. Elle suivit le regard de Varden tout de même. Isaure. La petite Isaure. Séquestrer. C'était une manie alors ? Elle dégagea sa gorge discrètement et lui dit :
"C'est la vassale de Richard Wagner, non ? Et puis, toute jeunette... Il lui faut une bonne éducation et ça ne serait pas..."
Du luxe, pensa-t-elle.
"Inutile... De là à parler de séquestration... Elle ne semble pas malheureuse."
Elle revint à ses rêveries lorsque Varden lui adressa à nouveau la parole.
Isaure est là ! Avec le deuxième fils du bleu ! Tu le savais qu'ils la retenaient prisonnière ?
Lily se retint de sursauter. Elle blêmit un peu mais se reprit rapidement. Evidemment, Gabriel ne pouvait être que présent mais ne l'ayant pas vu, elle l'avait volontairement mis au fin fond de sa mémoire. Elle suivit le regard de Varden tout de même. Isaure. La petite Isaure. Séquestrer. C'était une manie alors ? Elle dégagea sa gorge discrètement et lui dit :
"C'est la vassale de Richard Wagner, non ? Et puis, toute jeunette... Il lui faut une bonne éducation et ça ne serait pas..."
Du luxe, pensa-t-elle.
"Inutile... De là à parler de séquestration... Elle ne semble pas malheureuse."
Eloso
Il se secoua un peu. Cela semblait sur le point de se terminer, puisque les serments étaient échangés. Signe annonciateur du banquet. Il se redressa un peu, sourit à Tia en se retenant de lui demander si c'était fini.
Il brillait au fond de ses yeux foncés une petite étincelle de plaisir lorsqu'elle regardait son amie. Des yeux qui savaient aussi noircir lorsque la belle avait quelque chose à lui reprocher, et verdir, ce qu'il préférait nettement, lorsqu'ils fixaient les siens, à les toucher.
Il avait écouté distraitement les chuchotements échangés entre Tia et sa voisine, tandis qu'Sv semblait rêvasser. Ainsi c'était une cousine de la mariée. Le monde est petit, et l'Italie entière semblait s'être déversée dans le royaume de France. Il aimait bien les italiennes, elles le faisaient rire, persuadées qu'elles étaient que la fierté et le caractère étaient leurs apanages. Si elles savaient ce que produisait la Champagne...
Il jeta un coup d'oeil à la robe chatoyante de l'officiant, se rappelant que lui aussi avait porté soutane. Un soir ou deux. Il se mordit les lèvres pour ne pas éclater de rire.
Il brillait au fond de ses yeux foncés une petite étincelle de plaisir lorsqu'elle regardait son amie. Des yeux qui savaient aussi noircir lorsque la belle avait quelque chose à lui reprocher, et verdir, ce qu'il préférait nettement, lorsqu'ils fixaient les siens, à les toucher.
Il avait écouté distraitement les chuchotements échangés entre Tia et sa voisine, tandis qu'Sv semblait rêvasser. Ainsi c'était une cousine de la mariée. Le monde est petit, et l'Italie entière semblait s'être déversée dans le royaume de France. Il aimait bien les italiennes, elles le faisaient rire, persuadées qu'elles étaient que la fierté et le caractère étaient leurs apanages. Si elles savaient ce que produisait la Champagne...
Il jeta un coup d'oeil à la robe chatoyante de l'officiant, se rappelant que lui aussi avait porté soutane. Un soir ou deux. Il se mordit les lèvres pour ne pas éclater de rire.
Svmd
C'est vrai que la mariée était rayonnante, A croire que c'était de famille !! Il quitta le magnifique plafond des yeux, puis il glissa un sourire discret à sa compagne; Elle le serait tout autant à leurs prochaines épousailles, rien qu'à la voir en ce jour, en italienne splendide et gracieuse, fière de ce qu'elle était...
A leurs côtés les deux polignacois, ne disaient mot quand il surpris le regard de Paillard qui se posaient sur eux...
Il pensa en lui-même : Pauvre Paillard, deux mariages en l'espace de deux semaines; les grands espaces devaient commencer à lui manquer...
Il lui fit un petit geste, voulant dire : Courage, cela est presque fini et nous pourrons bientôt ripailler...
A leurs côtés les deux polignacois, ne disaient mot quand il surpris le regard de Paillard qui se posaient sur eux...
Il pensa en lui-même : Pauvre Paillard, deux mariages en l'espace de deux semaines; les grands espaces devaient commencer à lui manquer...
Il lui fit un petit geste, voulant dire : Courage, cela est presque fini et nous pourrons bientôt ripailler...
Maltea
Maltea se demandait si la cérémonie était finie. Elle profita que le cardinal ne la voit pas pour regarder richard et lui faire une grimace signifiant « ça y est tu crois ? c’est fini ? »
Elle jeta un regard derrière elle et leva les mains au ciel comme pour signifier son incompréhension et surtout son impuissance.
Le cardinal, surement plongé dans sa prière, avait dû oublier le mariage qu’il célébrait.
Elle faillit éclater de rire à cette pensée. Néanmoins n’y tenant plus, elle dit d’une voix basse :
Eminence, que fait-on maintenant ?
Elle commençait par avoir des fourmis dans les jambes et puis la chaleur des lieux lui montait à la tête. A moins que ce ne soit l’alcool que Gnia lui avait fait boire avant de se présenter face au cardinal et à son époux.
De plus elle avait faim et elle avait peur que dans ce silence religieux, son estomac ne la trahisse en criant famine devant toutes les personnes ici présentes.
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Elle jeta un regard derrière elle et leva les mains au ciel comme pour signifier son incompréhension et surtout son impuissance.
Le cardinal, surement plongé dans sa prière, avait dû oublier le mariage qu’il célébrait.
Elle faillit éclater de rire à cette pensée. Néanmoins n’y tenant plus, elle dit d’une voix basse :
Eminence, que fait-on maintenant ?
Elle commençait par avoir des fourmis dans les jambes et puis la chaleur des lieux lui montait à la tête. A moins que ce ne soit l’alcool que Gnia lui avait fait boire avant de se présenter face au cardinal et à son époux.
De plus elle avait faim et elle avait peur que dans ce silence religieux, son estomac ne la trahisse en criant famine devant toutes les personnes ici présentes.
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Aaron
Le cardinal, sortant de sa méditation, reprit la parole en écartant les bras et en regardant les époux...
Comme je le dis lors de tout les mariages que je célèbre, n’oubliez pas que l’amour est la conviction intime et incommunicable du caractère unique et irremplaçable de l'être aimé, que le mariage c’est l’agréable et le beau qui deviennent le vrai, c’est une orientation de l'âme, une inclination du cœur et du désir, qui se renforcent au fur et à mesure de la vie. Au sommet de ce mouvement, vous pourrez vous dire indifféremment : je t’aime.
Nous avons aujourd’hui lié deux destins, nous avons lié un homme à une femme. Cette cérémonie nous a permis de réfléchir sur l’amour et le mariage. Une page du livre de votre vie s’est tournée, une nouvelle histoire commence, mais cette fois à deux.
Dieu est bon, Dieu est juste, Dieu est pardon et miséricorde accordez-lui de temps à autre quelques instants de votre vie… Amis, amies, je vous bénis.
Le Seigneur soit avec vous.
Et avec votre esprit.
Que Dieu tout-puissant vous bénisse.
Amen.
Allez, dans la paix.
Nous rendons grâce à Dieu.
Et dans un magnifique mouvement d'élévation, la chorale, du haut du triforium, entama un alléluia majestueux et solennel. Puis le prélat, se tournant vers les époux avant de les laisser remonter la nef leur dit :
Mes félicitations !
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Gnia
A l'invitation du cardinal, Agnès s'était recueillie avec dévotion. Son esprit songeait non sans plaisir à ce qui venait de se dérouler sous ses yeux. Enfin, Maltea, suffisamment éprouvée ces derniers mois, trouvait là un instant de quiétude et de bonheur. Elle espérait de tout coeur que la vie soit dorénavant plus clémente avec la jeune femme, elle le méritait.
Elle fut tirée de ses méditations par le chuchotement de Maltea à l'adresse de l'officiant et se retint d'éclater de rire. Son Eminence fut tiré de ses prières et bien qu'impatiente d'entamer les festivités, Agnès écouta avec grande attention ses dernières paroles. Elles étaient précieuses à la jeune femme qui hésitait tant quant à ses véritables sentiments pour le beau seigneur qu'elle fréquentait maintenant depuis des mois. L'aimait-elle assez pour un jour unir sa vie à la sienne ? Les paroles du prélat étaient comme la seule et unique question qui valait la peine de se poser et elle les retint dans un coin de sa mémoire pour s'en soucier quand l'heure viendrait.
Le chant de la chorale prit fin et le cardinal félicita les mariés. Agnès attendait cet instant avec impatience, celui qu'elle préférait dans les mariages, celui où en un instant on passait du religieux et du recueillement au populaire et à la liesse.
Allant chercher au fond d'elle la voix qu'elle avait à maintes fois prises par le passé, quand il s'agissait de présider à un conseil comtal ou municipal, de prendre la parole et se faire entendre aux grand feudataires, elle s'écria
Vive les mariés !!
Sa voix se répercuta sur les arcades de pierres de l'oratoire avant d'être reprise mainte et maintes fois par l'assistance tandis que les premiers chapeaux volaient des les airs.
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Elle fut tirée de ses méditations par le chuchotement de Maltea à l'adresse de l'officiant et se retint d'éclater de rire. Son Eminence fut tiré de ses prières et bien qu'impatiente d'entamer les festivités, Agnès écouta avec grande attention ses dernières paroles. Elles étaient précieuses à la jeune femme qui hésitait tant quant à ses véritables sentiments pour le beau seigneur qu'elle fréquentait maintenant depuis des mois. L'aimait-elle assez pour un jour unir sa vie à la sienne ? Les paroles du prélat étaient comme la seule et unique question qui valait la peine de se poser et elle les retint dans un coin de sa mémoire pour s'en soucier quand l'heure viendrait.
Le chant de la chorale prit fin et le cardinal félicita les mariés. Agnès attendait cet instant avec impatience, celui qu'elle préférait dans les mariages, celui où en un instant on passait du religieux et du recueillement au populaire et à la liesse.
Allant chercher au fond d'elle la voix qu'elle avait à maintes fois prises par le passé, quand il s'agissait de présider à un conseil comtal ou municipal, de prendre la parole et se faire entendre aux grand feudataires, elle s'écria
Vive les mariés !!
Sa voix se répercuta sur les arcades de pierres de l'oratoire avant d'être reprise mainte et maintes fois par l'assistance tandis que les premiers chapeaux volaient des les airs.
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Nathy6905
Nathy était arrivée tard, même trop tard à la cérémonie, les traits du visage étirés, la fatigue la dominait...elle n'osait s'avancer, tout au fond, elle jeta un coup d'oeil aux mariés faisant un sourire en coin en les voyant si heureux...elle sursauta au crie de la dame et sortie discretement pour ne pas déranger esperant voir les mariés pour les saluer
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Maltea
Aaron sortit de sa torpeur et reprit la cérémonie. La bénédiction suivit ainsi que le chant de la chorale. Celui-ci retentit et les voix s’élevèrent dans l’oratoire. Lorsqu’il prit fin, le cardinal leur présenta ses félicitations.
Maltea lui sourit et le remercia une fois de plus.
Je ne vous remercierai jamais assez, éminence, d’avoir accepté de nous unir.
Elle allait continuer lorsque la voix de son amie et témoin retentit elle aussi dans l’édifice suivie de celles des autres personnes présentes.
Elle prit son amie dans ses bras et lui murmura : « bientôt à ton tour, j’espère ». Elle lui sourit avant de se retourner vers Richard.
Nous y allons mon... époux?
Prenant le bras de son époux, ils se dirigèrent vers la sortie. Elle se rendit compte que prononcer le mot époux, lui avait fait quelque chose. Qui se serait imaginé qu'elle se marierait un jour? Pas elle en tous cas, elle avait eu assez de désillusions mais avait réussi à les dépasser...
C’était fini, ils étaient mariés, personne ne pourrait plus s'y opposer… Le temps leur dirait s’ils avaient eu raison…
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Maltea lui sourit et le remercia une fois de plus.
Je ne vous remercierai jamais assez, éminence, d’avoir accepté de nous unir.
Elle allait continuer lorsque la voix de son amie et témoin retentit elle aussi dans l’édifice suivie de celles des autres personnes présentes.
Elle prit son amie dans ses bras et lui murmura : « bientôt à ton tour, j’espère ». Elle lui sourit avant de se retourner vers Richard.
Nous y allons mon... époux?
Prenant le bras de son époux, ils se dirigèrent vers la sortie. Elle se rendit compte que prononcer le mot époux, lui avait fait quelque chose. Qui se serait imaginé qu'elle se marierait un jour? Pas elle en tous cas, elle avait eu assez de désillusions mais avait réussi à les dépasser...
C’était fini, ils étaient mariés, personne ne pourrait plus s'y opposer… Le temps leur dirait s’ils avaient eu raison…
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