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[RP] Oratoire Saint Michel-Archange

pnj
La question se pose surtout de savoir si eux... y survivront !

Lily avait seulement hoché la tête, avec un sourire entendu à Mag. Elle resta silencieuse même à l'arrivée de Varden. Elle se contenta de lui envoyer un petit sourire et se promit de ne plus ouvrir la bouche. A présent que ses yeux avaient inspecté une partie de l'assistance, elle jetait des coups d'oeil sur l'architecture de l'édifice, entendant au loin Aaron.

Lorsque les questions cruciales arrivèrent, elle tendit l'oreille. Tout le monde pouvait reprendre son souffle. Rien de palpitant ne s'était passé. Même pas étonnant. Ni le marié, ni la mariée n'avaient failli. Ah !


Lily détourna son regard sur Varden et, après une brève hésitation, se pencha pour lui chuchoter tout doucement à son oreille :


"Il n'y a pas Groland, je n'ai pas vu Groland. Tu l'as vu, toi ? "

Un peu contrariée, elle continua sur le même ton :

"Crois-tu que Maltea l'a invité ?"


C_lotus
Clotus broyait la main de yedis sans s'en rendre compte,Maltea allait elle dire le oui qui la lierait à jamais à un homme,ou bien allait elle refusée.

Clotus retenait sa respiration prête a faire une syncope.quand maltea dit oui de sa voix claire et assez forte pour que toute l'assemblée entendent,Clotus
relacha sa respiration,.

elle avait dit oui,Clotus était heureuse pour Maltea bien des fois elle avait vu Malt comme personne ne la voyait ou seulement ses intime beaucoup la pensaient garce se qu'elle pouvait être à ses moments,mais surtout c'était une femme entière qui ne mâchait pas ses mots et qui n'hésitait pas dire les chose.elle pouvait être fragile et peu sure d'elle comme les deux fois ou elle s'était présentée au ducale ou pour la prise du château où beaucoup de beau monde l'avait descendu.

La voilà maintenant retourné à son rang et à ses obligations qu'il en découlera,Clotus souria en pensant à tout ce que malt détestait dans le protocolaire.

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Adelahis
Adélahis sourit... Elle avait tout dit, Maltea avait tout dis. Elle soupira. Maltea Mariée. Jamais elle ne l'aurait parié. Il faut dire qu'elles s'étaient un peu éloignées ces derniers temps. Maltea était maintenant une Dame, avait des titres. Mais au fond, ça ne changeais rien pour Adélahis. Elle était toujours Malt, sa garce, virulente, fonceuse, changeant d'avis comme d'homme... enfin non plus ça maintenant.

Richard avait fait du bien à Maltea. Et maltea méritait le bonheur qui lui avait tant manqué. Elle était heureuse pour elle. Adélahis ne se sentait pas vraiment à sa place parmi tout ces gens. Mais elle devait être là.

Malgrés la différence de classe sociale, malgré leurs prises de bec, Adélahis considérait toujours Maltea comme son amie. L'avenir dirait le reste.

Adélahis rajusta son mantel, adressant une prière à Aristote pour que ce couple perdure, elle sortit discrètement de l'oratoire.
Aaron
La vicomtesse venait à son tour de dire le mot de la journée ! Le cardinal sourit et écarta les bras, cherchant du regard les témoins qui ne devait pas se trouver bien loin...

Que les témoins s'approchent pour l'échanges des anneaux...
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Onagre
A l'appel de Son Eminence, le médicastre s'approcha de Richard.

Onagre tenait aussi élégamment que possible un petit coussinet de velours rouge au centre duquel se trouvait un anneau unique. Celui-ci était d'une grande sobriété mais c'est ce qui en faisait tout le charme. Anneau paré d'une perle noire aux reflets bleutés, l'alliance s'imprégnait à merveille dans le cadre du jour.
Maltea
La cérémonie se déroulait sans l’ombre d’un problème. C’était maintenant au tour des témoins de prendre place.

Maltea se sentait observée, quoi de plus normal ? Cependant, la sensation était étrange. Elle se retourna et croisa son regard. Il était venu… Elle en était quelque peu déstabilisée… En une seconde, elle vit défiler devant ses yeux, leur rencontre, leur liaison puis l’amour qui les avait unis avant de se transformer en reproche et rancoeur. Elle n’avait pas su faire fi de ses défauts et les crises avaient eu raison de leur couple.
Son regard aujourd’hui, trahissait ce qu’il lui avait dit, mais que bornée, elle n’avait jamais voulu croire. Maintenant, en paix avec elle-même, elle avait compris.

Elle baissa la tête sur la petite blonde que Gnia tenait par la main et sourit. Elle était tout ce qu’il restait d’un amour passionné. Son deuil était fait. Elle avait appris à aimer Richard. Elle avait accepté de devenir sa femme. Elle l’aimait différemment mais sincèrement. Dragonet aurait toujours une place dans son cœur et sa mémoire. La vie les avait séparé, mais elle se disait qu’elle avait du avoir ses raisons. Elle avait retrouvé la sérénité et l’amour dans les bras de Richard, il lui avait redonné le sourire et elle savait qu’elle avait fait le bon choix et ne le regrettait en rien.
Elle lui sourit tendrement avant de reporter son attention sur son presque époux.
Une page de son passé venait de se tourner, seul le présent et le futur comptait maintenant…

Onagre s’approcha de Richard afin de lui tendre l’alliance. Elle espérait que Gnia, n’avait pas oublié de la prendre…

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Ricw
Richard hocha la tête vers son vassal, et prit délicatement la bague entre ses doigts. Il la contempla comme la première fois, quand il était allé voir en secret l'orfèvre de Brienne, un génie de cet art si complexe. Trouver la perle avait été ce qui lui avait été le plus compliqué, mais cela en valait la peine. Du moins, il espérait qu'elle plairait à son épouser. Aprés tout, cela avait fait l'objet d'un beau quiproquo entre elle et Gabriel, quand il était revenue de sa visite briennoise, jusqu'à son chateau... Et encore, il était sur que son frère ne lui avait pas tout dit de cette visite ..

Il prit délicatement la main de Maltea, et fit glisser la bague à son doigt, en prononçant les paroles rituelles, qui ressemblait étrangement aux paroles d'allégeance :


Maltea, je te reçois comme épouse, et je me donne tout entier, corps et âme, à toi, pour t'aimer fidèlement tout au long de notre vie, et qui sait même après.
pnj
Comme à chaque invitation qu'elle recevait ces derniers temps, la question fatidique s'était posée: comment s'y rendre? Pour beaucoup d'entre elles, la réponse était simple: le mieux était de ne pas y aller, après tout, dans la foule, personne ne remarquerait son absence.
Mais cette invitation-ci était particulière, et seul un cas de force majeure l'aurait empêché de s'organiser pour être présente pour l'événement, quand bien même à Paris.
Elle ne comptait pas parmi les proches immédiats des deux époux, mais elle appréciait leurs méthodes, la justesse de leurs raisonnements et de leurs choix, et ce qu'elle apprenait peu à peu de leurs personnalités lui plaisaient de plus en plus. Il n'empêchait que son arrivée et son séjour seraient le plus discrets possibles, ne serait-ce que par sa condition.

Pour l'occasion, elle s'était contentée de nouer ses cheveux en une courte tresse pour ne pas faire concurrence avec la blondeur de la mariée, et de revêtir une robe de velours bleu turquoise, qu'elle avait cousu elle-même et qui faisait ressortir la couleur de ses yeux.
Le voyage en coche avait été relativement long et chaotique, c'était la première fois qu'elle s'y rendait, et l'excitation de la découverte de la capitale était vite retombée devant les pavés boueux et chargés d'immondices et l'architecture... somme toute assez semblable à celle de toute autre ville, sauf que celle-ci était d'une taille supérieure.
Une courte pause dans une auberge pour remettre en ordre sa tenue, et il était temps de partir pour assister aux épousailles.

Le coche s'arrêta devant l'Oratoire Saint-Michel-Archange, drôle de nom, d'ailleurs, pourquoi apposer "archange" après "saint Michel"? La très Sainte Eglise avait décidément bien des mystères à explorer.
La déception fit place à l'émerveillement devant l'édifice, et l'expectative de la cérémonie.
Elle s'assit au fond de la salle, en évitant de se faire remarquer, mais écouta attentivement la cérémonie. Elle répéta les prières, admira l'extrait choisi par le cardinal-archevêque, et se retint de soupirer de soulagement quand cette fois-ci la mariée ne prit pas la poudre d'escampette, comme elle l'avait vue quelques années plus tôt, là aussi du fond de l'église, à Sainte-Ménehould. A Paris, et vu la qualité de l'époux, cela aurait fait autrement grand bruit, et lui ne méritait pas pareil traitement.
En attendant la suite, elle détailla les têtes des autres invités, reconnut plusieurs relations, bonnes ou mauvaises, et baissa d'autant plus la tête pour ne pas se faire remarquer.
Pritinha
pritinha arriva toute essouffléé à la cérémonie.

elle etait en retard mais elle arrivait à temps pour entrendre les fameux "oui" qui uniraient son frère et Maltéa pour la vie.

elle essaya de se frayer un passage au milieu de la foule et de se degoter une place assez proche de l'autel.

son frere ricky allait etre un homme marié dans tres peu de temps et elle était ravi que Maltéa soit l'elue de son coeur.
pnj
Le temps se faisait long et la légendaire attention de l'enfant commençait à s'effriter dangereusement... Aussi, quand le Cardinal posa une question qui l'intéressa, l'enfant se reconcentra sur la cérémonie.

"Si quelqu’un doit s’opposer à cette union, qu’il parle maintenant ou se taise à jamais."

Voilà qui était intéressant ! C'était une drôle de question. Pourquoi personne ne répondait-il donc ? Il fallait qu'elle donne son avis sur la question. Mais alors qu'elle ouvrait la bouche pour dire ce qu'elle avait à dire, une main énergique se plaqua sur celle-ci. Le regard, quelque peu amusé de son frère, la mit cependant en garde: elle avait assez parlé pour aujourd'hui. Mais le doute s'empara d'elle. Devait-elle donc se taire à jamais ? Sa gorge se noua. Elle ne s'imaginait pas ne plus parler. C'était totalement impossible ! Cependant, Gabriel ne retira pas sa main avant que le Cardinal ait repris la parole.

Isaure se tourna vers celui qui venait de la contraindre au silence à vie ! Plus jamais elle ne pourrait parler, et jamais elle ne lui pardonnerait ! Pourtant, à sa grande surprise, des sons sortirent de sa bouche alors que les fiancés étaient sur le point d'être mariés.


Je ne veux pas ne plus parler à tout jamais ! Oh ! Mais je peux parler ! Écoutez-moi Gabriel, je parle encore ! Ma voix n'est pas partie !

Et l'enfant, rassurée, reporta de nouveau son attention sur le jeune couple, bien que des regards désapprobateurs se soient posés sur elle. Vivement qu'ils finissent de se marier et que le banquet ait enfin lieu !
Gnia
Le prélat avait demandé aux témoins de s'avancer. Faisant mine de lisser avec attention les plis de sa robe, Agnès observa à la dérobée vers où se dirigeait le témoin de Richard. Bien... Il tendait le bijou posé sur son coussin à Richard. Agnès savait désormais ce qui lui restait à faire.

Tandis que le duc de Brienne passait la bague au doigt à Maltea, Agnès, très concentrée, avait fait joindre les mains, paumes vers le ciel, à Isaline et avait déposé avec délicatesse dans le creux ainsi formé, le nid de soie sur lequel reposait la bague que l'épousée allait offrir à son mari.
Puis, les mains posées sur les épaules de la petite fille pour la guider, elles marchèrent ensemble lentement vers le couple et une fois arrivées à hauteur de la mariée, Agnès s'agenouilla et joignit ses mains à celles d'Isaline pour tendre vers Maltea le magnifique ouvrage qui avait été commandé durant leur escapade à Paris.
Maltea
Richard lui prit la main et glissa à son doigt un anneau dont la pierre noire avait des reflets bleutés. Elle sourit en pensant aux deux couleurs, le noir pour elle et le bleu pour lui.

Elle retint son souffle lorsqu’il prononça les paroles d’usage. La cérémonie avançait et dans très peu de temps, elle serait son épouse. Elle en était la première étonnée. On ne pouvait pas dire que leur histoire avait commencé dans l’amitié. Elle ne savait pas le souffrir, puis un bête accident avait eu raison d’eux et ils avaient appris à s’apprécier dans un premier temps, puis l’amour avait fait le reste. Aujourd’hui, il se donnait corps et âme…

Elle vit Gnia et Isaline s’approcher. Elle fut émue de voir sa fille présenter l’anneau. Elle sourit à son amie et caressa la joue de l’enfant avant de prendre la bague.
Elle remercia le ciel en même temps d’avoir choisi un témoin moins tête en l’air qu’elle.

Plongeant son regard dans celui de Richard, elle lui prit elle aussi la main. Même geste si ce n’est que la sienne tremblait en lui passant l’anneau. Elle essaya de se calmer mais l’émotion s’entendait dans sa voix lorsqu’elle prononça la formule rituelle.


Richard, je te reçois comme époux et je me donne à toi pour t'aimer fidèlement tout au long de notre vie.

Elle entrelaça ses doigts aux siens quelques instants, comme pour qu’il lui donne un peu de son calme.
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Varden
Moment de plaisir infini ...

Le visage de Richard ... Il faudrait qu'il fasse un voyage en Champagne à l'occasion. Si il pouvait voir une telle expression, voir pire car le bleu n'était pas le plus haineux, sur nombre de ceux qui composaient l'élite Champenoise, il ne s'en priverait pas ...

Joie intérieure, contenue, qui s'illustre par un sourire radieux ...

Il plissa des yeux en voyant Mag lui sourire ... Vraiment, vraiment intéressant ce mariage ...

Lily s'adressa à lui et il fut étonné de la question ... Il posa un doigt sur son menton, tentant de réfléchir à la probabilité que Groland fut invité si lui l'état ... C'était probable ... Au moins possible ...


Je n'ai pas vu Groland non ... Je pense que si Maltea m'a invité, elle a pu en faire de même pour lui sachant que je suis parfois moins bien considéré que les Comtes Artésiens en Champagne ...

Il aperçut Belphegore ... Comme le temps passait, quand l'avait il vue pour la dernière fois ? C'était bien sympathique de la voir ici en bonne santé ...

Et il entendu une voix particulière familière quelques rangs devant ... Le sourcil levé il tenta de reconnaître l'enfant ...

Stupeur ... Isaure ... Sa filleule avec un bleu à ses côtés ... Mais qui s'occupait d'élever cette enfant à la fin ? C'était un scandale ! Promue dans la maison Melani par sa Marraine, Feu Catheolia ... Il avait laissé faire ... Mais là ... Chez les Wagner ... Ils voulaient la corrompre ... La pauvre, comme il la plaignait. Tentant d'attirer son attention il fit quelques mouvements en direction de la fillette, mouvement assez discrets selon lui mais totalement hors contexte pour la circonstance ...

Il se retourna vers Lily. Isaure ne l'avait même pas vu ou alors elle était devenue polie et sage ... Non Isaure ne l'avait pas vu ...


Isaure est là ! Avec le deuxième fils du bleu ! Tu le savais qu'ils la retenaient prisonnière ?

Soupçon prononcé ... Elle avait passé un long moment en Champagne ... Elle pouvait le savoir ...
Elleeve
"Richard, je te reçois comme époux et je me donne à toi pour t'aimer fidèlement tout au long de notre vie."

La toute jeune italienne porta les deux mains à sa bouche pour étouffer le petit cri de joie et de soulagement aussi, qui tentait de s'échapper de ses lèvres. Les joues d'Ève était rouges de plaisir et de grosses larmes d'émotion se pressaient à ses paupières, à peine retenues par les longs cils bruns qui masquaient ses prunelles de jade. Un battement d'eux et elles seraient libérées.

Car en ce jour bénit, celle qui avait été son modèle durant toutes leurs années d'enfance, celle à laquelle elle s'était efforcé de ressembler pendant si longtemps se rebellant contre l'autorité maternelle et l'amour parfois étouffant de ses quatre frères, avait fait une croix sur ses années de douce folie pour rentrer dans le rang, et accepter enfin le bonheur auquel elle avait droit.

Si elle n'avait pas eu peur de se faire rabrouer par sa grande cousine Maltéa, elle aurait traversé la nef sur toute sa longueur pour se jeter dans ses bras en riant aux éclats.
Les parents de cette dernière, c'était certain, en auraient mangé leur chapeau avec les plumes s'ils avaient pu voir le vilain petit canard à cet instant précis. Le cygne majestueux qu'elle était devenue tout en restant disponible pour ses proches, en aurait à leur remontrer, belle ironie, dommage qu'ils ne soient pas présents en ce jour glorieux.

Elle serra la main de son poète, pour contenir son excitation en attendant la fin de la cérémonie, priant la madone pour qu'elle presse un peu ce cardinal qui prenait tout son temps alors qu'elle avait si hâte d'embrasser la mariée.
Aaron
Tout deux venaient de se promettre l’un à l’autre. Ils étaient désormais liés devant Dieu et les hommes pour le restant de leur existence. L’anneau qu’ils venaient de se passer mutuellement au doigt était le signe de leur amour : parfait, immuable, sans fin, comme l’est le cercle qu’il représente. Afin de symboliser cette liaisons spirituelle et affective, le prélat pris une écharpe cousue, proche d’une étole, qu’il enroula autour des mains des nouveau mariés en disant :

Par les pouvoirs qui me sont conférés, par l’autorité du Tout Puissant et avec la bénédiction du ciel, je vous déclare unis par les liens sacrés du mariage.

Avant de poursuivre, réaffirmons notre foi en le Très Haut et en l’Eglise :



Et préparons-nous maintenant à la célébration du pain et du vin en reconnaissant que nous sommes pécheurs.
    Je confesse à Dieu tout-puissant, je reconnais devant mes frères, que j'ai péchés, en pensée, en parole, par action et par omission, oui, j'ai vraiment péché.
    C'est pourquoi je supplie les anges et tous les saints, et vous aussi, mes frères, de prier pour moi le Seigneur notre Dieu.
    Amen.

Que Dieu tout-puissant nous fasse miséricorde ; qu'Il nous pardonne nos péchés et nous conduise à la vie éternelle.


Prions ensemble et recueillons-nous un instant…
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