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[RP] L'auberge de Montauban : les Quatre Vents.

Drian
Le chemin jusqu’à Montauban lui avait paru interminable. Lui qui s’était fait une joie de rejoindre enfin Cahors pour s’y arrêter. S’y installer peut être. Mais au moins pour se reposer. Il n’avait pas l’habitude des longs voyages, et celui qu’il avait fait dans l’ouest de la France l’avait fatigué plus qu’il ne l’aurait imaginé. Surtout lorsqu’il avait du courir sur plusieurs lieues afin de semer des marauds qui lui avait volé tous ses biens. Ses biens… Ils se résumaient facilement. Quelques écus afin de pouvoir s’acheter de quoi se sustenter, et une miche de pain presque rassis.

Mais il avait retrouvé sa moitié à Cahors et cela lui avait réchauffé le cœur. Il lui avait expliqué son malheur en essayant d’enjoliver les choses. Il avait fui parce qu’ils n’étaient pas armés, mais si cela avait été le cas… Peut être en effet aurait-il osé se retourner contre ses ennemis. S’ils avaient été moins nombreux… Mais peu importait tout cela désormais. Il se trouvait enfin à Montauban, les vêtements crottés par un si long voyage et un… « oublie » de lavage. Etait-ce sa faute s’il n’avait pas de vêtements de rechange ? Lui et sa jumelle étaient partis rapidement de chez leurs parents, après ce… tragique… accident. Fermer les yeux avant de les rouvrir. Vite. Chasser cette image. Ces cris. Ce sang…

Ce fut la voix de sa chère sœur qui le ramena dans le présent. Cette sœur qui lui était si chère. Cette sœur pour qui il donnerait sa vie. Pour qui il ferait tout pour la protéger. Tout. Même le pire…


Dis Drian ? T'crois qu'j'pourrais apprendre, moi 'ssi les armes ? T's'ais faire toi l'épée ? T'm'apprendrais ? Comme ça j'saurais t'défendre contre les marauds ...

Un léger sourire le disputait à l’envie de hurler. Pourquoi voulait-elle apprendre à faire couler le sang ? Se rendait-elle compte de ce que cela provoquait ? Faisait ? Son pas se ralentit quelque peu tandis qu’il se rappelait cette odeur étrange. La montée de l’adrénaline. Le plaisir sauvage…

Drian ?! J'faim et j'suis fatiguée. N'y a pas d'auberge 'ci ?

Il cligna des yeux, comme s’il sortait d’une transe. Lâchant un soupir, il rattrapa le léger retard qu’il avait pris sur sa moitié afin de se trouver à nouveau à sa hauteur. Un léger sourire étira ses fines lèvres. Il était vrai que lui aussi commençait à avoir faim. Mais une auberge… Sa main gauche vint caresser doucement la bourse qui pendouillait à sa ceinture. Il avait réussi à se refaire quelques économies. Cela n’avait pas été facile. Travailler dans une mine… Pouah ! Comme s’il était bon qu’à ça ! Il faudrait qu’il trouve une solution…Pour eux deux. Pour elle.

On va là frérot ?!

Pffffff, t’peux jamais t’taire !

Une voix faussement en colère avant de laisser échapper un petit rire. Il aimait bien taquiner sa sœur. Surtout qu’elle le prenait souvent à la lettre. Cela le faisait toujours rire. Même maintenant. Surtout maintenant. Maintenant qu’ils étaient loin de tout ça.

J’crois qu’j’peux t’offrir ça. J’mang’rai un sanglier !

'Jour. Vous cherchez quelque chose ?
Salut Ricky, merci pour tout.
Entrez, restez pas sur l'pas de la porte.


Il se tint d’un coup sur ses gardes, son regard noisette s’assombrissant sous la colère. Qui était cet inconnu ? Que leur voulaient-ils ? S’il voulait sa bourse, il faudrait d’abord qu’il morde la poussière. Le jeune homme regretta soudain de ne pas avoir emmené son couteau. Ce couteau qui l’avait délivré – qui les avait délivré – de leur passé. Un bruit sourd remonta de sa gorge comme un grondement. Il posa sa main encroûtée de terre sur le bras de sa sœur afin de la tenir éloignée de ce qui pourrait arriver.

P’sez-vous d’la porte si v’voulez qu’on rentre. Et gardez vos mains dans vos poches si v’voulez pas le regretter. Z’êtes prévenus !
Amarante.
Attendant devant la porte que son frère arriva à sa hauteur, elle regardait la façade de la bâtisse. Elle était entretenue et avait l'air propre. Ils n'avaient pas beaucoup d'écus, mais cela suffirait pour deux où trois jours. De plus Drian était encore fatigué et cela lui permettrait de récupérer encore un peu. Elle le regarda s'approcher avec un sourire tendre pour son opposé, l'autre moitié d'elle-même, autant physiquement qu'en caractère. Elle plutôt insouciante, lui terre a terre et prêt à embrocher tout ce qui l'approchait d'un peu trop près ... Mais elle faisait de même en ce qui concernait les femmes qui lui tournaient autour ...

Pffffff, t'peux jamais t'taire !

Yeux qui se plissent et mine qui se renfrogne. Voilà qu'il la houspillait parce qu'elle parlait trop !! Il se mit ensuite à rire, ce qui la rendit encore plus grognon. Voilà qu'il se moquait d'elle ...

J'crois qu'j'peux t'offrir ça. J'mang'rai un sanglier !

Elle était sur le point de lui dire qu'elle aussi, avait des écus pour eux deux quand elle entendit une voix féminine venir de derrière. Elle tourna alors la tête pour voir arriver une femme qui se dirigeait dans leur direction.

'Jour. Vous cherchez quelque chose ?
Salut Ricky, merci pour tout.
Entrez, restez pas sur l'pas de la porte.


Elle leur passa devant et poussa la porte de l'auberge puis s'adressa à un homme qu'elle ne voyait pas. Elle entendit alors son frère qui grognait et sentit sa main se poser sur son bras, la faisant ainsi reculer ... Elle le regarda un peu étonné. Elle connaissait bien ce regard et cela ne présageait rien de bon. Que redoutait-il ici ? Cette femme les invitait simplement à rentrer ! Pour elle, ils ne risquaient, mais apparemment ce n'était pas l'avis de son jumeau ...

P'sez-vous d'la porte si v'voulez qu'on rentre. Et gardez vos mains dans vos poches si v'voulez pas le regretter. Z'êtes prévenus !

Quand son frère était comme ça, elle se raidissait, ce tenant à l'affut d'une menace éventuelle, même si, dans ce cas-là, elle ne voyait pas ce qui pouvait bien arriver. Elle s'approcha de lui et lui chuchota très bas pour que lui seul entende ...

T'crois qu'on risque que' que chose 'ci ? L'a l'air bien c't' auberge ! Et l'dame à pô l'air méchante ... T'voit une arme sur elle ?

Elle le suivit ensuite à l'intérieur. Il lui fallut un petit moment pour que sa vue s'adapte à l'obscurité de la pièce. Les gros murs de pierres maintenaient la fraicheur agréable. Après avoir supporté la chaleur toute la journée, cela faisait du bien. Laissant traîner son regard un peu partout, elle revint sur son frère et la femme. Hésitant à parler, elle s'adressa quand même à la femme.

B'jour m'dame. S'cusez mon frère, mais l'a fait mauvaise rencontre et y s'méfit maint' nant ... M'enfin ... V'z'êtes l'taulière ? On a faim et aim'rait 'voir une chambre pour que' ques jours ...

Un peu plus diplomate que son jumeau, elle espérait que l'ambiance se radoucirait. Après, elle comprenait parfaitement Drian. Mieux valait être prudent, mais il ne fallait pas non plus voir le mal partout sinon cela deviendrait vite invivable ...
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Le fil d’or enchanté, créations de Bannières.
Cyrinea
Et voilà qu’elle était revenue. Encore. Cette ville devait agir sur elle comme un aimant, ou alors son destin y était scellé, allez savoir ! Elle avait vécu ailleurs, un peu partout à vrai dire, mais n’était jamais retournée trois fois au même endroit. Non, ça, c’était une première. Du coup, elle voulait changer de mode de vie. Cette pensée lui arracha un demi-sourire. Elle avait bien changé la Cyr et les démons s’étaient enfuis, balayés par un sentiment en lequel elle n’avait jamais cru et qui, soudain et sans crier gare, avait fondu sur elle comme un rapace sur sa proie.

Alors, tant qu’à faire, autant cesser de vivre comme une bohémienne et, comme elle commençait à en avoir sérieusement marre du régime roulotte, qui soit dit en passant était un four l’été, elle entreprit de chercher l’auberge des « Quatre vents ». Sancte lui avait dit la veille qu’elle était tenue par sa fille, l’avait engagée à s’y présenter, elle y vit là un coup du sort. Elle déposa un bécot sur le front d’Alrik blotti et endormi dans ses bras et lui susurra : « Tu vas être en famille mon chou ». Faudrait néanmoins qu’elle trouve une explication si on lui posait des questions. Partie de Montauban quelques petites semaines avant et le ventre bien plat, elle y revenait avec un moufflet. Evidemment, elle n’avait pas l’intention d’aller trouver le père du môme et de le lui brandir sous le nez. Mais bon...Elle s’en débrouillerait et puis, il y avait fort à parier que, des questions, personne lui en poserait. Elle dirait que c’était son neveu, ce qui n’était pas vraiment faux. Ce qui lui plaisait avant tout ici, c’est que chacun vivait ce qu’il voulait et personne ne venait se mêler des affaires des autres. Puis, peut-être que l’aubergiste accepterait de le lui garder de temps en temps parce que, elle avait pas l’intention de vivre comme une nonne, et, le laisser seul dans la roulotte, ça lui plaisait pas trop.

De ruelle en ruelle, elle finit par tomber nez à nez avec la bâtisse. Elle la jaugea, la trouva plutôt accueillante, même si elle aurait préféré une maison à elle pour une fois. Mais bon, elle ne savait pas combien de temps elle allait rester ici et, si elle se débrouillait pour ne manquer jamais de rien, fallait pas non plus imaginer vivre grand train. Elle avait d’autres priorités.

La porte était entrouverte, elle en profita pour se faufiler à l’intérieur et lança un salut à la cantonade. C’est qu’y avait du monde. Elle espérait qu’il restait une chambre...
Melina
Mélina arriva, la trollé d'enfant qui la suit, au nombre de 4, tous en bas de 6 ans, ils semblent tous joyeux de se dégourdir les jambes. Même la plus jeune qui semble marché à peine, tenant la main d'une des deux jeune femme accompagnant la famille. Un sourire aux lèvres, Mélina était heureuse d'être enfin arrivé à Montauban pour s'y établir, mais elle aurait à attendre dame Agnès avant de pouvoir s'installer dans l'hostel. Elle n'avait point l'intention de camper dans la boulangerie ou même la carriole une nuit de plus et allait demander si des chambre étaient disponibles. Elle se croisait presque les doigts pour de la chance. Un bon bain, elle rêvait de cela en ce moment. Et peut être laisser les enfants quelques heures pour un peu de liberté, Brunehaut s'occuperait bien d'eux, ou sa cousine Yanci le ferait...Avec un acquiescement à ses pensée elle s'adressa à qui veux bien à l’auberge qui semblait assez tranquille tout de même. Une jeune femme déjà présente, elle l'avait déjà rencontré..mais son nom lui échappait.

- Bonjour! Nous aimerions avoir quelques chambres pour environs un mois je vous prit. De préférence deux des chambres côte à côte que je puisse veiller sur ces petits anges. Vous auriez cela?

Mélina sourit en attendant la réponse à sa demande.
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Marieceline
A peine arrivée à Montauban, Marie avait rencontré son ami Ricky qui lui avait conseillé cette auberge.
Elle se mit donc à sa recherche et, la trouvant enfn, entra. Etant elle même aubergiste à temps partiel, elle en profiterait pour observer l'organiation de celle-ci et voir s'il y avait quelques bonnes idées à faire siennes. Marie était perfectionniste, et elle aimait être à un haut niveau dans tout ce qu'elle faisait.
Elle entra donc. Une jeune femme attendait que l'aubergiste lui donne les clés d'une chambre supposa t elle.


Bonjour Dame ....

Puis Marie patientait son tour, pour retenir deux chambres. Une pour elle et une pour Messire Tito qui avait eu la gentillesse de l'accompagner. Elle profita de cette attente pour respirer l'air Montalbanais. L'air qu'"IL" respirait tous les jours.
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Cyrinea
Cyrinea était déconfite, confuse, légèrement amusée et terriblement agacée. Avoir proposé des herbes garante de plaisir et qui protègent des inconvénients qui guettent les donzelles négligentes, herbes, qui plus est, qu’elle détenait précieusement, et ce à une Dame qui se trimbalait quatre moufflets ! Ca c’était pour la confusion et l’amusement. Pour le reste, elle réalisa que si elle voulait du calme, c’était loupé. Puis, une idée diabolique germa dans son esprit. Pourquoi quatre et pas cinq ? C’est qu’elle avait l’air d’avoir tout le personnel qui va avec !

Elle réfléchit un instant, puis se dit qu’elle n’allait pas tout de même confier l’enfant à n’importe qui. La tenancière, passe encore, c’était presque la famille. Quoiqu’il y ait là aussi un obstacle de taille, puisqu’elle ne le savait pas et ne le saurait probablement jamais. A moins que...faudrait qu’elle sympathise avec elle, ce que la jeune maman improvisée savait faire quand elle le voulait.

Il commençait à y avoir la queue dans cette auberge et Cyr n’était pas trop de genre patient. En plus, il lui fallait du lait. Alrik allait se réveiller, brailler aussi fort que son père et elle serait totalement démunie face au problème, n’ayant pas la capacité à le satisfaire naturellement.
Elle sourit tout de même à Dame Melanie, puis aux deux autres femmes qui venaient de les rejoindre.


- Vous êtes sûres qu’il y a quelqu’un ici ?

Elle se tourna vers ce qui avait l’air d’être un couple.

- Y a longtemps que vous attendez ? C’est qu’il faut que je nourrisse cet enfant moi !

Sur ce, elle pria, ce qui était chez elle presque une hérésie, afin que son protégé dorme encore un bon moment. Elle avisa un siège, s’affala dessus et, résignée, attendit.
Melina
Mélina sourit à dame Cyrinea. Son fils tirant sur sa manche pour avoir son attention, elle le prit dans ses bras et s'adressa à Cyrinea.

- Je ne saurais dire, mais j'espère qu'il y en aura sous peu ou même qu'il y a une autre auberge pour nous reposer. Car je ne connais pas beaucoup de personne qui pourrait héberger une ribambelle d'enfants ainsi que trois femmes.


Ricanne. Puis regarde l'enfant en souriant. S'adressant à sa cousine.

- Yanci, chère cousine, vous pourriez amener les enfants prendre une marche je vous prie? Ils ont besoin de se dégourdir les jambes et peut être courir un peu les aidera à dormir un peu à la sieste.

Faisant signe d'acquiescement à Brunehaut pour qu'elle les accompagne, elle repris.

- Dame Cyrinea, félicitation! Je vous souhaite autant de bonheur que j'en ai avec mes trois enfants.

Puis Mélina sourit, attendant un aubergiste. Elle se croisait presque les bras, mais tenant Redsen, il aurait été difficile de le faire. Il lui chuchota quelque chose à l"oreille et après lui avoir sourit, elle le redéposa par terre.
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Asta_
Ce jour la, les rues étaient gorgées de monde, seul un rat aurait put y passer sans difficulter. Asta en avait marre, voguait au travers de la foule n'était décidemment pas son truc. Il se posa un instant allant s'assoir sur un banc et regardait les gens passaient. Certains riches, d'autre pauvres mais tous se bousculer sans faire attention. Cette atmosphère déplaisait à Asta qui était d'ailleur en train de s'enivrer des senteur d'un alchool proche. Mais d'ou pouvit bien venir cette fragrance. Il chercha du regard les alentour sans rien vraiment trouvé. Ce fut un oiseaux qui lui indiqua la solution, les ailes vives et les plummes aux couleur ardentes interceptèrent son regards. C'est en montant dans le ciel et en se posant sur une pancarte qu'Asta compris d'ou venait ce doux parfum. Il était en réalité assis juste devant une auberge. Sur cette même pancarte résidaient les inscription "auberge des quatres vents". Si c'était bien de la que venaient ces odeur, il devait impérativement y aller !
La porte en bois culpté retint le regard adorateur d'Asta. La vitrive a coté caché un magnifique tonneau rempli surement d'un jus magnifique. Sa timidité n'étant pas veine , il prit ses deux mains et ouvrit la porte de l'auberge !

L'intèrieur était bien agencé, il continua sa marche en direction du bar. L'obscurité lui empecha de voir clairement la personne a qui il allait s'adresser mais il le fit tout de même :

- Bonsoir, je suis Asta, serait-il possible de prendre une table, ?
Ayanah
Ayanah était partie tôt le matin afin de se balader dans la forêt environante. Rien de mieux pour se changer les idées, qu'elles soient noires ou bonnes. Elle avait laissé l'auberge ouverte au cas où, on ne pouvait jamais savoir.
En revenant, la jeune femme décida de s'arrêter au marché, en effet, les provisions manquaient à l'auberge. Elle acheta trois gros poissons et des légumes. Elle avait de quoi préparer un bon repas pour le midi.
Panier à la main, elle traversa Montauban la Réformée car bien évidemment, le marché n'était pas à côté de l'auberge.

Elle poussa la porte de l'auberge et fût surprise par le nombre de personnes qui attendait pour avoir une chambre. Ou plus.


Bonjour, je suis Ayanah, l'aubergiste. J'espère que je ne vous ai pas trop fait attendre.

Elle posa rapidement son panier à la cuisine pour revenir à la salle principale. Avisant le nombre d'enfants présents dans la pièce, elle posa des bols et du lait sur une table. Il était tôt, et elle savait qu'un gosse de cet âge là avait besoin de lait. A n'importe qu'elle heure remarque...

S'adressant à la dame des quatre gosses, apparement :

Alors, voyons voir... Plusieurs chambres me dites vous ? Huum, j'en ai trois qui devraient faire l'affaire. Les deux premières sont en face l'une de l'autre, et la troisième touche les deux, c'est au fond du couloir en fait. Ca vous ira ?
Ayanah lui sourit et posa trois clés sur le comptoire.
J'en ai une quatrième pas très loin non plus si vous voulez. Voyez comme ça vous arrange.

Ayanah reconnu dame Cyrinea qu'elle avait déjà croisé.
Bonjour, vous désirez une chambre ?
Voyant le petit dans ses bras :
J'ai posé du lait sur la table, pour le petit.
Elle sourit et lui tendit une clé.
Premier étage, sur votre droite.

Ayanah fit signe à la jeune femme, donc la dernière, de venir.
Bonjour, c'est pour une chambre aussi ?
Elle posa une clé sur le comptoire.
Si vous avez besoin d'une autre chambre, attendez moi deus petites secondes, je vais sortir le poisson du panier.

Elle s'appréta à filer en cusine lorsque un homme se présenta dans l'auberge, désirant manger.

Bonjour messire Asta, je suis Ayanah, l'aubergiste d ces lieux. Pour la table, n'hésitez pas, asseyez vous, je vais aller préparer le repas. Ce midi c'est ragoût de poisson. Ca vous ira ?


Désolée pour le temps de réaction, j'étais absente dimanche en fin de journée jusqu'à ce matin
Melina
Entendant la proposition des 3 chambres côte à côte, elle était ravie. Qui plus est, sa cousine pourrait avoir une chambre pour elle seule. C'était magnifique. Elle replaça son fils sur sa hanche, pour mieux le tenir et prit les trois première clef.

- Je vous remercie, oui je crois que la quatrième chambre serait mise à profit pour ma cousine qui m'aide énormément.

Elle sourit à Yanci et fit signe à Yanci de prendre la quatrième clef de l'aubergiste. Entendant l'énoncer du repas, Mélina salivait déjà et les yeux de Redsen brillait déjà à l'idée du bon repas à venir. Il adorait le poisson presque autant que sa mère!


- Brunehaut, faite parvenir les sacs aux chambres de vous prie, Je vous aiderez pendant que Yanci prends les enfants.


Redsen se tenu fortement au cou de sa mère ne voulant la laisser. Mélina le regarda avec de gros yeux réprobateur et avec une mine basse il accepta d'être déposé enfin. Puis se dirigea vers la carriole.

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Asta_
Il aperçut la tenanciere qui venait des escalier. Elle venait de raccompagner une jeune femme à la voix familière et ses enfants dans leurs chambres surement.


du lait était posé sur la table et attendait tout bonnement d'être bû, il était certainement préparé pour les trois lorgnons qui venait de partir dans leur logîs du soir.

L'aubergiste se tourna donc vers lui, des présentations rapides mais efficaces prirentplace :

-Bonjour messire Asta, je suis Ayanah, l'aubergiste d ces lieux. Pour la table, n'hésitez pas, asseyez vous, je vais aller préparer le repas. Ce midi c'est ragoût de poisson. Ca vous ira ?

- Ragout de poisson hein ?! Ce sera parfait !

Asta prit place sur la chaise proposé et commenca à admirer la décoration de l'endroit. La femme, Ayanah, était,elle, allait préparer ce fameux ragout qui s'annoncait bien apetissant rien qu'a en prononcer les syllabes. et qu'en était-il de l'odeur. Après seulement trois minutes, la douce odeur du poisson frais emplissaient les sombre pièce éclairaient par quelques bougies. L'attente paraissait longue mais il n'en était rien, c'était seulement l'envie de delecter ce repas qui rallonger le temps. Au bout de d'une dizaine de minutes tout au plus, la porte de la cuisine semblait s'ouvrir ....
Ayanah
- Je vous remercie, oui je crois que la quatrième chambre serait mise à profit pour ma cousine qui m'aide énormément.
- Très bien, les chambres sont au premier étage à gauche, la quatrième est juste en face de l'escalier. Si vous avez besoin d'aide pour monter vos affaires, je suis à la cuisine.

Ayanah lui sourit en s'en retourna préparer son poisson. Elle le découpa soigneusement, enleva les écailles, et le mis enfin à cuire dans la grosse marmitte. Elle rajouta quelques légumes, ceux qu'elle avait acheté le matin même, et attendit. Fallait pas le laisser crâmer tout de même...
Une dizaine de minutes plus tard, le plat était prêt.
Ayanah prit sa grosse marmitte et alla la poser sur une table. Elle attrappa le nombre de couverts nécessaires et les installa, avant de servir le ragoût.


Bon appétit !
Melina
Mélina sourit.

- Je vous remercie dame Ayana, nous n'utiliserons que le nécessaire le temps que la maisonnée soit prête a nous accueillir. Nous pourrons ainsi venir nous sustenté, après un bon bain rafraichissant et un changement de vêtement bien mérité.

Mélina avait fait faire quelques bagages pour la transition avant l'arrivé de dame Gnia à Montauban. Elle avait bien hâte de la revoir en forme. Même si les quelques derniers événements allaient probablement la rendre furieuse, ou peut être pas finalement... elle verra bien.

Une fois le bain donner a cette ribambelle, ils redescendirent tous pour manger... l'idée d'un bon repas lui ouvrait déjà l’appétit. Souriant à tout ceux présent, le petit groupe remplissait bien une table complète... et les conversation étaient varié entre adultes entremêler de babillage d'enfants qui semblaient très bien se comprendre entre eux. la plus jeune des fille s'accrochait à Mélina, un peu timide, elle ne semblait pas totalement apprécié le moment elle. Mélina gardait une main dans son dos, essayant de la rassurer.

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Sancte
Ayant renvoyé au bain toute la clique des imbéciles, le bon et généreux bourgmestre se présenta à l'auberge, souris au coin des lèvres.

Je vois que ma fille vous a déjà fait bon accueil, Melina. Pour les bains, n'oubliez pas non plus que nous disposons d'étuves publiques et pour ce qui est des vêtements, s'ils venaient à manquer, nul doute que Matalena saura vous en faire à bon prix, conformément à son âme charitable.

Il ne gaspilla pas plus longtemps sa salive et alla prêter main-forte à sa progéniture en allant repeindre la façade des Quatre Vents, renonçant à s'occuper de l'accueil, certain qu'ils ne pourrait que contribuer à terrifier la clientèle de passage.
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"Aux hommes la droiture et le devoir, et à Dieu seul la gloire !"
S.I. - Gouverneur de Montauban-la-Réformée.
Melina
Mélina sourit en accueillant l'arrivée du maire.

Je vois que ma fille vous a déjà fait bon accueil, Melina. Pour les bains, n'oubliez pas non plus que nous disposons d'étuves publiques et pour ce qui est des vêtements, s'ils venaient à manquer, nul doute que Matalena saura vous en faire à bon prix, conformément à son âme charitable.


Mélina acquiesça, le sourire aux lèvres.

- Merci pour cette précision Sancte, je saurai en faire bon usage.

Puis le regarda aller travailler. Son attention revins à ses progénitures.

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