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[Rp - Bal Royal] Salon des Nymphes

Velden
Impressionné par tant de volupté et de faste, Velden s'accrochait fermement aux bras de sa tante. Certes Chantôme était lieux où le goût et la beauté était roi, mais là tout était grand ! Un peu gêné par les regards interrogatifs lancés vers eux, il baissa la tête et se demanda si sa place était vraiment en ces lieux ...

N'est-ce pas splendide ?
La Vertudieu, ces lieux feraient frémir...


Eh bien ma tante, en effet c'est vraiment, ...
il releva la tête et regardait les lustres, ... splendide. J'espère que tout ce passera bien ... Que je ne serai pas maladroit avec les us et coutumes de la Cour.
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ellesya
Ne désirant pas encombrer Nico de sa présence alors qu'elle supposait qu'il avait largement de quoi s'occuper, Sya jeta son dévolu sur son parrain.
Se mettant à sa hauteur, discrètement, elle lui prit le bras et afficha un fin sourire avec une note d'espièglerie. Le voilà hameçonné.

Elle n'était pas petite ni fragile, ayant été élevée dès l'âge de six printemps avec une épée dans la main par l'ancien Connétable de Rome, mais sa taille n'égalait pas celle du Cardinal. Aussi se haussa t'elle légèrement sur la pointe des pieds et glissa à Aaron, inaudible pour d'autres en ce qui concernait le début de son propos.


Je préfère le Jardin de France à sa capitale. Et encore plus son joyau ambacien...

L'on vous connait comme étant l'un des cardinaux les plus mondains de votre génération... D'ailleurs, vous êtes très élégants, bien que ce ne soit pas une surprise. Je suis fière de paraître à vos cotés, entourée de mon parrain et de ma marraine.
Mais ce n'était pas le but de mon propos. Je parlais de votre réputation pour vous demander si vous seriez d'accord de me présenter l'une ou l'autre personne. A force de ne point quitter Rome ou le siège de l'archevêché, je ne connais finalement que des clercs et non mais pairs..

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Blanche_
Sentant une présence derrière elle, et désespérant que le jeu du chat et de la souris ne se finisse un jour, la jouvencelle apeurée se retourna, scrutant d'un œil fin l'observateur impoli. Oh ! C'était Riwan !

Vous ici, cher Riwan
, susurra t'elle. Un peu plus, et on croirait presque qu'elle l'apprécie. Le sachant assez proche pour que lui seul entende, mais préférant chuchoter en leur langue maternelle, elle lui murmura à l'oreille : Je suis forte aise de vous voir. Ces jeunes dames sont toutes bien nées, et je me sens comme un poisson hors de l'eau.

Regard de conspiratrice au jeune Prince, qu'autrefois elle dévorait des yeux. N'en reste désormais qu'une admiration profonde, bien qu'elle ne se le soit jamais encore avoué. Apprécier un individu si peu aimable lui semble indigne de la ligne de conduite qu'elle s'est fixée.
Pourtant, il lui ressemble. Héritant comme elle d'une famille noble et prépondérante en Bretagne, il était plus souvent considéré par son nom, plutôt que par ses actes. Raison, par là-même, qui avait poussé l'enfante à cacher ses origines.


Mesdames, je vous présente -si vous ne le connaissiez déjà- Riwan Nathan de Brocéliande, futur Duc de Brocéliande, et Baron d'Anast. En plus de ses multiples fonctions, Riwan est le petit fils de notre regretté souverain, Amalric le trente-sixième.

Quoi, elle en avait trop fait ? Il en fallait, si elle voulait que les regards se tournent vers le nouveau venu. Est ce que les damoiselles tomberaient en pâmoison ? L'espérant un peu, un sourire ravi s'immisça sur ses lèvres, illuminant son visage guilleret. Pour sûr, que ça allait être marrant !

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Riches, tenez bon !
Flex
Aux latrines du Louvre

Combien de personnes pouvaient se vanter de chier allègrement sur le trône du Louvre ? Très peu. Et le lieu était très approprié pour méditer sur le fondement même de la chose. Mais comme d'habitude, et dans toutes les choses extravagantes, on retrouvait Flex, Flex et encore Flex. Don du destin ou bien provocation volontaire ? Un peu des deux. Mais là, la faute revenait entièrement à...
.. Dame Finute. Pourquoi avait-il fallu qu'elle lui propose, pendant le trajet, cette petite boite à déguster pour faire passer le temps ennuyeux ?! Ces pruneaux étaient la cause de ses horribles contractions à son estomac. Bien évidemment il ne put s'empêcher de dévorer tout les fruits. Les premières fuites n'étaient que bruiteuses.. Mais cela ne suffisait plus.

A peine arrivé au Louvre dont il n'eut le temps d'admirer les couleurs & couloirs, son visage marqué par l'effroi qui le guettait horrifiait les gardes qui se demandaient bien ce qu'il lui prenait. Peut être avait-il l'envie d'arriver en premier au bal ? Ca oui, il était arrivé dès le début ! Mais direction les chiottes, sans aucune autre forme de procès.

Le soulagement fut très brutal. Même si cela lui faisait un grand bien, il en avait mal au cul. Il grommelait sans cesse,


« - C'est à cause de vous dame Finute, grrrmbl ! »

La prochaine fois il ne fera que mettre sa gourmandise de côté. Il ratait là le bal du Louvre. Entre un juron qui grognait dans ses dents et ses mains qui soutenaient sa tête lourde, il priait Aristote qu'il n'arriverai pas trop tard - et que son vice se termine très vite. Il s'en souviendrait de ce bal.
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Della
La Princesse Armoria avait fondu sur nous comme un rapace lorsqu'il vient de choisir la mignonne petite bestiole qu'il s'apprête à dévorer toute crue.
A son regard, j'en déduis que son plat principal comporterait du Duc bourguignon si celui-ci ne se faisait aussi inoffensif qu'un agneau avec la fille de la Princesse. Fille de la Princesse que je trouvais tout à fait mignonne aussi avec ses pommettes devenues aussi rouges que des cerises d'été lorsque le Duc lui avait adressé quelques mots.
Quelques mots qui furent aussitôt sanctionnés par une réplique sèche de chez Juste Sèche, le charcutier renommé de Paris, lancée par ma Duchesse !
C'était bon signe le fait que Béatrice réagisse, cela voulait dire qu'elle était encore assez au fait de ce qu'il se passait autour d'elle.
C'est que je m'inquiétais de plus de plus en voyant ses regards de biche apeurée balayer la foule.
Béatrice n'avait encore jamais réellement toucher la vie et ses étourdissements, et, pour une première, ici, au Louvre, ce n'était pas une sinécure.
Je commençais tout doucement, moi aussi, à sentir la tête me tourner.
Si seulement l'endroit pouvait être un peu plus aéré...

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Fitzounette
[Bonjour, bonjour, je viens vous inviter…]

Et pendant que la Duchesse papillonne auprès des Damoiselles, et régresse, s’amusant comme une enfante, un domestique de la maison du Roy fait tout ce qu’il peut pour attirer son attention.

Vostre Grace…. Euh, votre Graaaaace…. Aheum.

Quand enfin il arrive à capter le regard de la dilettante. Elle hausse un sourcil. M’enfin, y aurait il un problème ? Un ménestrel qui se sent nauséeux, ou pire, bien pire, un risque de pénurie de cake aux olives ? Le valet se penche sur elle et lui murmure :

Vot’ Grace, Sa Majesté le Roy s’apprête à prendre place dans la Salle aux milles Lys.

Sursaut de la Blonde, il est l’or, il est l’or Monseignor…
Fini de jouer, on attaque les choses sérieuses. La Môme salue rapidement les personnes avec qui quelques minutes plus tôt elle devisait gentiment (ou pas) et commença à traverser la marée humaine en marchant… en crabe… Ben oui, y avait pas trop le choix aux vues de l’embouteillage.


Poussez vous, excusez moi… Oh Duchesse Ysandre, ravie de vous voir ! Pardon, je passe….

Et ainsi de suite, jusqu’à arriver à hauteur d’Armoria. Elle salue alors les personnes présentes dans son cercle de conversation puis se penche vers elle, murmurant.

Princesse, pardonnez moi de vous interrompre... Sa Majesté le Roy est sur le point de prendre place. Souhaitez vous que la délégation étrangère soit présentée par vos soins en tout premier lieu à sa Très Gracieuse Majesté ?
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En mémoire des joueurs de Fablitos et Zoko33.
Aleanore
Un sourire à sa nouvelle amie et la voilà qui retient un rire en entendant son ventre faire du bruit. Coup d'oeil à droite, à gauche, cela l'aurait étonnée qu'elle trouve quelque buffet dans le Salon des Nymphes qui n'était destiné qu'à les faire attendre l'arrivée du Roy. La main de Cyanne dans la sienne, elle s'apprête à rejoindre le groupe de jeunes femmes où se trouve à présent, un jeune homme qui d'après les dires de la Blanche est un futur duc, sourire sincère, que ne le regarde-t-elle pas plus la Blanche, elle verrait qu'à son mignon breton, il faut une fiancée bretonne, et que son blanc minois aurait surement plus de chances que nul autre. Toutes à ses réflexions, elle entend le valet interpeller la Blonde qui part aussi vite qu'elle-même essaye d'arriver.

Soupir excédé, tout va toujours trop vite, et jamais comme elle veut. Pour un peu, elle en voudrait au Roy, au futur Duc, à tous, sauf à elle. Petite main glissée avec confiance dans la sienne.


Il n'y a rien à manger dans cette pièce, je le déplore, néanmoins, je pense que dans la salle de bal, le buffet sera présent et bien rempli. Enfin, je l'espère. Venez donc que je vous présente à ma soeur, vous êtes venue seule ou avec un cavalier ? Des parents ?


Trop de questions tue la question, et voilà l'Etincelle qui ramène sa nouvelle amie auprès de son cavalier, sa soeur et son chevalier. Reprenant place auprès de son cavalier, main sur sa manche, sourire rassurant, moue taquine.

Je n'ai pas été trop longue ? Permettez que je vous présente. Cyanne Loelia, voici, Sa Grasce le Duc de Billy, ma soeur, Maeve, et son chevalier et cavalier, Leandre Lazare, de Valfrey. Oui, elle a omit de dire Batard. Pour la simple et bonne raison, qu'elle n'aurait pas aimé qu'on lui rappelle sa batardise en plein Louvre.
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Benduguesclin
Un palais luxueux, des gentilhommes au regard hautain et des dames plus enfarinées les unes que les autres.
Le Vicomte de Biron jetta un regard rapide dans le salon, priant de tout coeur pour y voir une de ses rares connaissances de la haute société française.

C'est dans ces circonstances qu'une compagne lui manquait véritablement. Quand on est deux, on peut déjà feindre une conversation.
Puis, il apperçut Mélior au loin, ouf ! enfin une personne connue dans l'assemblée.
Arff mais celle-ci discutait déjà avec plusieurs Vicomtesses, Comtesses ou épouses de noble du Comté.

BenDuguesclin prit un verre de liqueur, histoire de se donner une contenance mais resta dans son coin.
Il ne voyait pas Flex, pourtant il avait entendu dire qu'il serait là.
Où diable était-il ? Il n'avait pas revu Flex depuis cette fameuse cérémonie où l'acolade vassalique s'était transformé en un véritable bourre-pif. S'en était suivi une vague de protestation qui avait failli réduire à néant la cérémonie d'hommage au nouveau Comte du Périgord. Tout cela était une vieille histoire mais BenDuguesclin avait promis de se venger et le moment viendrait tôt ou tard.

Il trempa ses lèvres dans le nectar, fit claquer sa langue sur son palais et engagea la conversation avec un des serviteurs.

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Caerellyn
La main aux doigts fins et aux ongles de nacre, délicatement posée sur le poignet de son époux, elle s'avance droite et fière, tentant de cacher par un port de reine et surtout une grande cape de couleur rubis, son état de grossesse avancée

La chaleur de la foule serrée lui a sautée au visage, léger malaise, fort pincement de ses ongles sur sa cuisse cachée, elle reprend souffle

Le regard de son époux ne la quitte guère, elle lui sourit mais elle sent son inquiétude l'envelopper

Elle lui murmure :


Mon doux ami, point question de ne point assister à ce bal, quitte à mettre notre enfant au monde aux pieds du Roy ! Me pardonnerait-il ? interroge-t-elle, malicieuse

Mon bel ange, apercevez-vous la princesse ma mère ? mon père peut être ?

Elle sourit soudain rassurée

Regardez, la voila entourée d'une charmante cour, j'y reconnais Dame Adela, Dame Jades, Dame Alivianne, mais n'est-ce point Notre Dame de Saint Julien?

Elle fend la foule sans trop se préoccuper de quelques pieds qu'elle écrase Quelques menus, pardonne-moi de droite et de gauche et la voila arrivée

Intimidée, soudain, elle s'arrête, ne quittant point la princesse de Montmorency des yeux.

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Vaxilart
Le Duc regarda avec un certain effroi la future princesse quitter rejoindre sa mère. Voyant son dernier regard, il était sûr qu’elle allait lui tirer la langue… Mais… Rien de tel, elle savait mieux se tenir qu’il ne le croyait… C’est sûr qu’avec une mère de ce genre, il y avait peu de place aux écarts. Pas que la Princesse lui apparaissait comme particulièrement vertueuse, mais plutôt parce qu’elle éviterait les vices qui furent sien à sa jeune fille.

Vaxilart ne pouvait plus s’attendre qu’à recevoir les foudres de la mère, c’était bien là tout ce que recherchait Loreleï. C’était sans aucun doute un de ses plaisirs particulier, et il se demandait même si la Princesse elle-même n’était pas de connivence avec sa jeune pucelle dans tous les complots dont il était la cible de la part de cette princière famille. Mais, Armoria ne porta pas immédiatement attention aux griefs de sa jeune fille, les portugais semblaient prendre toute son attention, ce fut donc à Beatrice de la châtier…


-Oh, Duchesse! N’ayez nulle crainte… Je suis trop vieux pour m’effacer derrière quelques apparats d’homme trop sérieux. Nous sommes ici au Louvre, entre nobles, pour une fête, et pour nulle cérémonie (du moins pas encore). L’étiquette publique s’y applique en de moindres mesures.

Qui plus est, connaissant la jeune damoiselle Loreleï, je puis vous assurer qu’elle n’est point aussi courroucée qu’elle veut s’en donner l’air… Elle ne fit que saisir ma plaisanterie afin de se complaire dans les reproches que sa mère m’adressera bientôt… C’est là un passe-temps auquel elle excelle.

N’ayez craintes toutefois pour votre présentation au Roy. Il y a plusieurs masques qu’un noble doit revêtir selon les situations, je saurai m’en tenir au rôle que me dévoue ma quête devant notre Majesté.

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Finute
[Ah les Pruneaux !! Quelle histoire...]

Entre le Périgord et Le Louvre... la route est longue... trop longue, la jeune femme avait néanmoins prévu ravitaillement... des pruneaux... simple envie de se venger de certaines choses en réalité contre son fiancé.
Quoi de mieux que des pruneaux pour gâcher un petit instant ?
Bon... il n'empêche qu'il en avait mangé beaucoup trop par rapport à ce qu'elle pensait... Quel gourmand !

Le temps se rallongeait, mais cette fois elle était debout, réalisant les cents pas dans les couloirs froids mais néanmoins magnifiques avec les décorations cryptées d'or... Splendide.


Bon... cela devient long... il aurait dû savoir que les pruneaux donnaient des envies...

Un regard à l'extérieur... cet endroit du Louvre était bien calme même si l'on pouvait entendre au loin les brouhaha de la salle de bal.
Un soupir... si quelqu'un venait, elle était sûre de ne pas l'entendre... emportée dans ses rêveries... ses réflexions.
Korydwen
Couvent

Un homme ? Non une femme, voyons, les hommes n'entrent pas dans le couvent et puis, elle avait testé et vérifié elle-même, après tout, ne s'était elle pas déguisée en homme pour pouvoir quitter cet enfer et rejoindre son cher et tendre à un mariage, sauf que cette fois, elle avait une excuse toute trouvée et bien entendu le sceau sur le pli n'y était pas pour rien dans la décision des soeurs. Korydwen l'inspecta et reconnu selon de son époux, elle décacheta la missive et y trouva une invitation. Son époux l'invitait où ? En voyage, une nouvelle fois ? Korydwen la parcouru, l'invitation au bal en l'honneur du Roy ou quelque chose dans le genre, elle en avait discuté avec son époux rapidement un soir en voyant une affiche collée, elle lui avait demandé si elle était obligée d'y aller, il lui avait répondu que non, cependant, de part sa fonction à lui, il le serait sans doute, elle lui avait donc répondu qu'elle l'accompagnerait avec joie dans ce cas-là. Elle devait donc partir pour trouver quelque chose à se mettre et quoi de mieux que...

... Mirefleurs...

Exactement, la chevauchée ne fut pas longue, Thessalie un peu calme qu'avant, elle devenait sage, à croire que c'était le contact de Korydwen qui la rendait sage, mais lorsque l'on connaissait Korydwen, l'on savait qu'elle avait du mal à être sage et là de savoir qu'elle serait avec la haute noblesse, elle n'était qu'une petite baronne et encore de part le mariage, sinon, elle n'était que simple dame de Mirefleurs, mais là n'était pas le plus important après tout, les enfants en âge de venir pouvait venir, sauf qu'elle ne savait pas qu'elle était l'âge qu'il fallait avoir et ses enfants n'étaient pas encore assez civilisés pour rencontrer la haute noblesse. Elle monta dans sa chambre et fonça dans son armoire, elle était très grande, normal avec son grand nombres de tenue, elle n'était pas une femme pour rien, pauvre Althiof qui devait supporter ses longues heures de préparation. Mais cette fois, elle ne chercha pas longtemps, elle savait ce qui lui plaisait, sa robe violette, le beau collier avec la plus grande valeur au monde, certes cela ne serait pas comme celui que portait les grandes dames, mais c'était le plus important pour lui. Et puis cela serait tout, elle admira son alliance, ou plutôt ses alliances, qui savait qu'elle avait épousé l'homme de sa vie deux fois ? Juste elle et lui, de leur mariage de toute façon, il ne restait qu'eux.

Elle monta ensuite dans le carrosse aux couleurs de Mirefleurs et prit la direction de Paris, le voyage fut bien long, bien trop long, surtout quand la hâte de retrouver l'être aimé se fait de plus en plus grande lorsque la distance diminue, le temps semble s'écouler si lentement, tout semble aller si lentement. La capitale fut en vue, Korydwen écarquilla les yeux, bien la première fois, enfin non la deuxième fois, mais le spectacle était toujours aussi surprenant. Elle descendit du coche et se dirigea vers ce qui devait être le louvre de toute façon, c'était un grand château, beaucoup plus grand que les siens tous collés.


Le Louvre.

Elle avança très timidement, jusqu'à la salle où se déroulait le bal, il y avait beaucoup de monde, sa première impression fut une grande envie de reculer et de partir en courant, l'impression de ne pas être à sa place parmi toutes ces personnes. Elle avança prudemment et doucement, discrètement entre les invités, le cherchant des yeux pourvu qu'il soit déjà arrivé, sinon, elle aurait l'air maligne entre toutes ces personnes qu'elle ne connaissait pas. Ah si quand même, elle vue de loin Damisella et Naluria, la duchesse Alivianne et une personne qui devait être son fils sans doute. Mais ne les connaissant pas vraiment, elle pouvait douter, elle aurait peut-être du s'annoncer, m'enfin, non, elle n'en n'avait pas envie, discrétion était sa meilleure amie pour le coup.

Elle déambulait et soudain... La lumière fut, euh non, elle le vit simplement, lui, enfin, il n'était pas tout seul, il était avec Marty et une dame, allons bon, Marty trompait déjà Beths ? Non elle devait se tromper, pas devant Althiof tout de même ! Elle s'avança.


Bonsoir... Mes hommages Auvergne Marty, Dame... Messire. Je suis Korydwen de Marigny... la tendre épouse d'Althiof de Marigny...

C'était bien timide, allez Kory tu peux mieux faire, mais là pour le coup, elle était vachement impressionnée. Ca faisait peur tous ces gens. Et puis, elle avait envie de rigoler un peu.

J'ai reçu une invitation de la Grand Prévôt de France, vous l'avez vu ? Il est assez grand, fort, roux ! Un peu comme vous messire d'ailleurs.

Dit elle en le regardant avec un léger sourire, les yeux pétillants comme bien souvent, en pleine forme.

Korydwen manqua de rire, et voilà, le naturel il revenait... Elle attendait une réaction de la part de son époux et puis des deux autres, réactions, autre qu'un coup de pied ou d'un gaaaaaaarde, faites sortir cette dingue d'ici...
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En deuil d'Elra de Marigny. Chef de famille des Marigny.
Edeline_de_clairval
Après un repos des plus rapides dans un hôtel, vint le temps des préparatifs.
Sa gouvernante l’aida à se préparer, à se parer de sa belle robe en velours verte émeraude, qui touchait le sol, avec des manches évasées… Bon, elle la voulait bleue, la robe, mais le tailleur la gouvernante et sa mère lui expliquèrent que le vert lui allait mieux au teint et la mettait en valeur, la bouderie finie, elle accepta tant bien que mal, et se rendit compte que finalement, cela était vrai.

Pas évident de l’habiller, la petite, elle ne tenait pas en place. Un vrai paquet de nerfs, qui posait encore et encore des questions. Six ans, mais déjà précoce. La robe passée, les petites chausses également, elle devait se tenir tranquille pour se faire coiffer, et là, c’est le drame…
Vouloir à tout prix laisser sa chevelure indomptable au naturel, chevelure cuivrée, et ondulée. La parer uniquement de quelques épingles posées de ci, de là. Pas assez sophistiqué, lui a-t-on dit, il faut faire bonne impression devant un Roy. Venir à grommeler un peu contre ce Roy, même si on a envie de le voir, et se faire presque taper sur les doigts par Annie la gouvernante. Dure la vie de duchesse en devenir, et ce n'est que le début !

Finalement, obtenir un léger compromis. Non, non elle n’avait rien d’une enfant pourrie gâtée, mais savait y faire. Deux tresses parées de rubans de même couleur que sa robe, partaient de ses tempes et se rejoignaient sur la nuque, laissant le reste de sa chevelure libre. Quelques mèches ondulées encadrèrent son visage.

Sa mère lui avait promis un cadeau pour l’occasion. Se demander lequel, l’attendre patiemment, et quand celle-ci entra dans la chambre, l’admirer un peu dans sa robe en velours bleu roy, lui dire qu’elle est belle, comme ça, s’entendre dire à son tour que l’on est une vraie princesse, et se voir offrir une chaine en or qu’on passe immédiatement, puis partir…


[ Au Louvre, c’est pas trop tôt ! ]

Descendre du carrosse, garder la tête haute qu’on lui a dit.
Regarder le bâtiment, être impressionnée vu son jeune âge, prendre la main de sa mère, et se souvenir tant bien que mal de ce qu’on lui a appris ces derniers temps.
Monter les marches, entrer dans la salle, constater qu’il y’a beaucoup de monde, pas d’enfants de son âge, et se dire que l’on va s’ennuyer après, après la présentation du Roy. En attendant, il manquait quelqu’un dans le tableau ! Il jouait à cache cache ? Non, elle l’aurait entendu avec sa canne, à moins qu’il n’en avait plus, de canne. Retenir un rire tant bien que mal en imaginant son père faire cela.
Et on continue de chercher du regard, on remarque deux jeunes filles bien belles, puis une autre avec une magnifique robe à tassel bleu. Essayer de capter le regard de celle-ci, et lui adresser un sourire, avant de s’adresser à sa mère, avec les us de la noblesse pour une fois… Dur dur…


- Maman…Mère… Père n’ai pas arrivé encore. Tu as vu la demoiselle là bas ? Elle a une très jolie robe !

Et maintenant on fait quoi ? On attend la réponse et on se tient tranquille, enfin on essaye, et on trépigne surtout d’impatience en attendant les événements à venir en serrant un peu plus la main maternelle...
melior
A la question de Blanche, Melior avait répondu le duché de Menez. L'atmosphère était désormais plaisante, et le sourire se dessinant sur les lèvres de l'opaline jeune fille lui fit penser que la soirée s'annonçait plus agréable qu'on n'aurait pu le craindre.
De nouvelles présentations furent faites, la vicomtesse aux yeux d'onyx salua avec courtoisie le dénommé Riwenn.
Fut évoqué Almaric...Almaric....Almaric...elle connaissait ce nom...elle chercha...elle l'avait rencontré...les négociations du Mt St Michel ! Elle se souvenait.
Melior sourit doucement :


Enchantée Messire.

Mais voilà qu'elle apercevait, en retrait Benduguesclin, son regard se posa sur lui, amical et chaleureux, comme une invitation à ce qu'il vînt les rejoindre.
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Duchesse de Castelmoron d'Albret, Vicomtesse de Beaumont en Périgord
Antoineleroy
Bras dessus bras dessous, le deux amis entrèrent ensemble dans le grand salon richement décoré où grouillait déjà une foule incroyable de Nobles habillés très élégament. Le Vicomte aperçut quelques visages connus de par son passé en Bourgogne ou des réunions diplomatiques lorsque son bras fut serré un peu plus fort

" La Princesse Clémence de Cheroy dites-vous ma chère? Où donc? "

Son regard se posa au lieu décrit par Archie puis il fit un large sourire avant d'aller avec la Dame de Saint-Julien à son encontre

" Votre Altesse... Quelle joie de vous voir icelieux! Comment vous portez-vous? "

Tout à coup, un sentiment lui fit détourner son regard en direction de l'entrée et il put voir la Comtesse Caerellyn accompagnée de son époux. Le médicastre s'excusa auprès de Clémence puis fit de grands signes
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