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[Rp - Bal Royal] Salon des Nymphes

Valnor


Durant le parcours, noyés dans une foule d'inconnus, des visages familiers et amicaux étaient apparus au fil des pas. Le Duc Lanfeust de Troy, son beau frère, et son fils Arthur. Légère inclinaison de tête pour les saluer. Puis la Vicomtesse Melior et son sourire amical qu'il n'avait pas vu depuis fort longtemps, richement vêtue et élégante à l'accoutumée. Il ne put s'empêcher de lui sourire à son tour afin de lui signifier un salut chaleureux. Enfin Dame Loelia, fille de son parrain et ami de toujours le Duc de Gap Estalabou.

Brefs instants d'une légère distraction. Tout à sa mission, il ne quittait pas des yeux le Roy, tout comme les autres Gardes présents.

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Elegie
Victoria mademoiselle .. Victoria


Le rouge monta une fois de plus aux joues d'Elégie. Décidément c'était le jour des gaffes. La jeune fille se mordit les lèvres. Elle tâcherait de réparer plus tard cette erreur.

Je crois que le moment est bientôt venu de se retrouver en tête à tête avec son Altesse. Je ne sais pas pour vous, mais je me sens, tout à coup, peu à mon aise.

Ouvrant des yeux comme des coupelles, elle regarde le doublet azaycien. Présentés au Roy ? Jamais en venant au Louvre, elle n'avait imaginé une telle chose ! Semias ne lui avait rien dit de tel. La nouvelle était de taille. Elle se plaisait à s'imaginer raconter les fastes du Louvre à ses amies du Bourbonnais, mais une présentation au Roy ! Un moment de panique passa en ses yeux, vite repris ainsi qu'on lui avait appris. Jamais ne se laisser aller à quelconque manifestation de quelque ordre que ce soit..


Euh .. moi ?

Et tant pis pour les non manifestations ! Un pâle sourire

Euh .. pas à mon aise du tout non plus ...
Semias .. je compte sur toi !
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Pertacus
Pertacus étais arrivé depuis peu en compagnie de sa mère Jades de Montbazon Navailles il étais émerveillé par la beauté du salon il étais légèrement perdu dans cette foule de plus en plus grande il voyais ici et la de charmante demoiselle mais n osai pas leur parlé il se demandai si il étais a la hauteur de se bal si il étais a sa place

Il regardait autour de lui toujours aussi anxieux ne sachant que faire
Vaxilart
Le Duc allait se retourner vers sa filleule, ses dernières paroles n'avaient pas l'air de l'avoir convaincu... Mais, c'est alors que le Roy, nul autre, parut! La vue du Divin suzerain avait quelque chose d'assez surprenante... Le Duc avait eu la chance une journée de voir la main royale dépassée d'un coche alors qu'il traversait Dijon en compagnie de son escorte, mais cette expérience n'avait rien à voir avec un corps complet offert à la noblesse de France!

Vaxilart abaissa la tête à son passage. On pouvait ressentir la chaleur du souffle royale effleuré la tête de chaque convive, aucun doute qu'il tenait son trône de Dieu lui-même!

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Semias
Pourquoi tant d'anxiété arrivée à l'heure de la présentation auprès du Roy ? Certes, il ne s'agissait pas de n'importe quel badaud, puisqu'il était Roy de France, de par la volonté divine qui plus est, mais il restait un homme comme tout le monde, du moins était-ce l'idée que le fils Balsac s'en faisait. Que sa jumelle soit impressionnée, il arrivait à le concevoir, après tout, il avait peut-être omis de la prévenir, il ne se souvenait plus. Mais il sentait la tension palpable tout autour, et les dires de la fille d'Azayes confirmaient ce sentiment.

- Semias... Je compte sur toi !
- Veux-tu que je te dise, petite soeur ?


Comme une manie, il l'appelait toujours ainsi, bien qu'il fussent nés jumeaux. De même qu'elle le nommait "petit frère" en retour.

- Pour ma part, je trouve tout ceci fort stimulant !

En observant autour de lui, il put observer les visages voisins. On sentait poindre sur certains la même anxiété que celle qui parcourait les deux demoiselles à ses côtés. D'autres un peu plus loin semblaient passablement excités, les yeux pétillants, un léger sourire aux lèvres qui ne parvenait pas à s'effacer. C'était sans nul doute dans cet état qu'il se trouvait, en cet instant. Les derniers, plus habitués à ce genre de festivités et à tout le protocole qui les entouraient, conservaient des visages impassibles, ou trop faussement enjoués pour paraître réalistes.

Au détour d'un groupe qu'il observait, il aperçut à nouveau la Duchesse de Chantôme. Leur dernière rencontre remontait à loin, il se souvenait de la petite auberge, aux abords de Saint-Aignan. Il s'était arrêté là au retour d'Anjou, avait invité la Duchesse pour un dîner, entre amis d'une autre époque qu'ils étaient. Le Marquis de Turenne avait fait irruption en plein repas. Oh que oui, il s'en souvenait même trop bien... Il se sentit sourire un peu plus en repensant à la frayeur que lui avait fait l'homme en surgissant au milieu de cette auberge, puis reporta son attention sur la salle dans laquelle était entré Sa Majesté. Maintenant qu'il y pensait, il n'avait pas aperçu Turenne à la réception. Peut-être aurait-il l'occasion de discuter plus en avant de ceci avec Ysandre un peu plus tard.

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Catalina_constance
Elle les regarde parler, saluer en attendant que... sans ne rien attendre, les mains croisés sur son ventre la jeune fille reste passive, les yeux qui petit à petit se perdent dans le vide, dans le fond de la salle, les yeux vers le ciel ou plutôt le plafond.
Puis son attention se dirige de nouveau vers le groupe qui l'entoure, elle regarde la jeune Elegie un sourire bienveillant s'affiche progressivement sur ses lèvres, car la demoiselle semble s'égarer un instant.
Un brin ahurit, un instant déstabilisé... Catalina songe elle aussi à ce moment de qui sera elle accompagné, elle qui malgré l'étiquette n'a pas de cavalier, ni même d'ami à ses cotés.

Puis le murmure ambiant se fait plus clair, le Roy dit-on?
Elle se tourne vers son plus proche voisin, pour voir que lui aussi regarde le sien, une drôle, une grande vague de chuchotis et de révérences provoquée par un seul homme, c'est à son tour ébahit qu'elle suit le mouvement qui parcours la foule, comme un océan qui s'ouvre en deux pour créer un chemin à Moise, elle se baisse, tenant dans une de ses mains le pan vert de sa robe.
Et encore, encore elle se baisse, la tête rejoins le mouvement des que le troisième du nom, sa majesté Levan passe devant celui dont elle voit le dos.
Une fois que c'est grand yeux couleur émeraude voient de nouveau le dos de son voisin plutôt que le sol elle se redresse.
Dans un premier temps elle reprend sa place auprès d'Alix de Vaisneau pour continuer de suivre le train de la discussion.
De temps à autre elle perd quelques mots de la conversation pour regarder celui qui entre parfois un noble comte, parfois un enfant accompagné de sa mère. Puis...
Puis, son ventre se sert, son cœur s'emballe, une petite rousse vient d'entrer, une petite au cheveux flamboyant qui ne doit pas avoir plus de 10années, mais la n'est pas le plus grand des soucis de Catalina, car en réalité elle se fiche pas mal de savoir l'age de la petite.

A la manière de l'élan qui la prend soudainement son visage s'éclaire, et elle lutte pour ne pas se mettre à courir vers l'enfant.
La jeune tante, adresse un large hochement de tête à Alix, et d'une petite voix... elle chuchote un "j'espère vous revoir plus tard" et elle se dirige vers l'entrée ou apparait petit à petit des visages connues, la Comtesse du Gevaudan, ses enfants mais pour le moment elle n'a de yeux que pour la jeune Vicomtesse.

La petite famille entrée, elle s'accroupit au près de sa nièce, le visage nouvellement paisible, elle prend la main de l'enfant dans la sienne et lui sourit de tout ce que son cœur peut, voila les deux Volpilhat au bal du Roy.
Elle songe que si le Louvre venait à prendre feu ce serait la fin de la famille alors très vite elle secoue la tête pour que cette idée affreuse s'en aille et elle lève la tête vers Polstephie puis finit par se relever sans ne rien ajouter, car dans un premier temps l'émotion ne lui permet.

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Alivianne
Alivianne était toujours entouré et de ses jumeaux, de la princesse Clémence, d'Alix, d'Adela et des autres. Lorsque les jumeaux de sa meilleure ennemie arriva.

Elle leur fit un grand sourire. La duchesse était vraiment heureuse de les voir.

Il est vrai messire Semias que ces derniers temps, la providence nous a souvent mis sur le même chemin. Et chaque fois, ce fut une merveilleuse surprise. Je suis honoré d'être cette personne qui vous présentera au roy.

regard vers ses jumeaux et les jumeaux de themis.

Semblerait que j'ai la main avec les jumeaux, en avoir deux de plus, c'est gérable. sourire taquine

Ne voulant pas ignoré la jumelle Elégie elle ajouta avec chaleur:


Vous êtes magnifique demoiselle. Votre mère serait heureuse de savoir que vous la représenter si bien. Je suis honoré d'être celle qui vous présentera au roy.

en parlant du roy le voilà justement.

Elle fit une longue et respectueuse révérence. Il se présentait si rarement, qu'elle en oubliait facilement le protocole.
La duchesse regarda ses jumeaux et leur dit :

Nous allons beaucoup de plaisir ce soir, je crois qu'on pourra bien en profiter. Je suis émue de voir le roy de si prêt.

Evidemment, Alivianne avait toujours une idée en tête et cela se voyait.
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Elegie
Vous êtes magnifique demoiselle. Votre mère serait heureuse de savoir que vous la représenter si bien. Je suis honoré d'être celle qui vous présentera au roy.

une révérence à nouveau, moins profonde cette fois.

Merci Duchesse, j'en suis fort ..honorée ..

Themis lui manquait en cet instant. Elle avait emprunté à sa garde robe sa tenue de velours bleu roy qu'elle aimait tant. Mère et fille avaient sensiblement la même taille et ainsi vêtue, Elegie se sentait plus proche de sa mère. C'était ridicule et finalement s'en voulut de cette idée saugrenue. Il était trop tard pour faire marche arrière.

Affichant un nouveau sourire en Semias stimulant, elle s'excusa


Je vous prie de bien vouloir m'excuser .. je dois saluer personnes de ma famille à présent, la bienséance m'obligeant à accomplir mes devoirs envers eux ..

Duchesse .. Damoiselle .. Damoiseau ..

une dernière révérence et la jeune fille s'éloigna pour tenter de retrouver son parrain et son épouse
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Kilia
Elle regarda passer le Roy, s'inclinant à son passage. Cette étrange sensation d'être si proche et si loin de lui à la foi. Elle se rappela d'un autre bal, d'une conversation. Elle s'était toujours demandée s'il était lui-même à ce moment là où si l'instant d'un bal il avait prit un autre visage sous son masque. Parfois elle repensait à leurs paroles qui même si elle ne l'avait jamais dit à personne lui avait surement donné l'envie d'être là où elle était aujourd'hui. La vie est parfois bien étrange. Ce soir malgré les centaines de personnes présentes à ce bal, elle avait ce sentiment d'être seule. Comme souvent elle avait pris le temps d'observer ce qui se passait autour d'elle. Elle n'avait trouvé dans les regards aucune envie de se mêler au gens, aucune envie de papoter juste pour avoir ce sentiment d'être importante.
Elle était fière d'être Pair de France, et même si cela bien souvent la mettait dans des situations embarrassantes pour rien au monde elle aurait redonné sa place. Et c'est à cette instant, durant le passage de Roy qu'elle s'en rendit compte pour la première fois. Dans un murmure:

Qu'Aristote vous garde...

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[Milite pour l'ancien Forum!] Mère D'Anjou, dict la Lumière D'Anjou
Lysesl


Ils se dirigeaient lentement vers l'autre salle, suivant plus ou moins la foule, lorsqu'elle aperçut une jeune femme se dirigeant droit sur eux, ne semblant pas les voir.
Elle posa sa main sur le bras de la jeune femme, tant pour éviter la collision que pour la saluer.


Elégie... quelle joie de te revoir !
Mais tu sais, si tu te promènes toujours ainsi à regarder ailleurs, tu va finir par entrer en collision avec quelqu'un.


Elle ne pouvait s'empêcher de sourire...
Tu sais que tu es ravissante ce soir ? Le bleu te va à merveille.

Serrant la main de son mari, elle ajouta... Besoin d'une escorte pour traverser la salle en toute sécurité ?

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Mariealice
Patienter, attendre, observer, aux côtés d'un Gardon plutôt sage et presque muet pour le coup.... Et discuter avec un verre n'avait rien d'engageant. Elle savait quel effort il avait fait pour venir ici, lui qui avait horreur des bals et autres cérémonies officielles. Mais il l'avait fait pour les filles et pour elle également.

Les noisettes vinrent se planter dans l'azur, muet remerciement mais il la connaissait si bien qu'il saurait lire. Longue gorgée alors qu'elle reportait son attention sur la foule bigarrée. Foule qui se mit à plonger en avant comme suivant un ordre précis et elle finit par comprendre le pourquoi.

Révérence à son tour, plongeant en avant, attente de la fin du passage royal pour se redresser.

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Bitterly
AAAAAHHHH ! Fut un cri qui résonna sûrement dans tout le royaume de France. Le cri de desespoir d'une Duchesse de Touraine à l'emploi malheureusement inélastique et pourtant très très très chargé. Or, ce jour, elle l'avait noté, en grand, Bal, Roy, Thomas. Mais non... Elle n'avait percuté cela qu'à l'heure... Ou elle aurait dû être en route !

S'extirpant du fin fond de son trône d'ou elle lisait une pile de missives qui devait faire au moins sa taille, elle se précipita dans ses appartements.
Hoplaboom. Robe ? Humpf. Nan, tout mais pas ca... Elle chercha des braies propres. Fichtre de diantre, ou diable Gerli les avait-elle rangé ? Après cinq minutes à tout retourner en appelant sa chère Gerli, la Vendômoise se rendit à l'évidence. Elle devrait se contenter de cette robe marron. Pff. Comme elle avait horreur de ces bouts de tissus ! M'enfin, elle se depecha de l'enfiler, saisit un chapeau au passage - de même couleur pour une fois - et partit en courant.



Quelques temps après, Bitterly arrivait là ou elle avait dit qu'elle serait. A l'entrée elle fut estomachée. Tout ce monde... Elle baissa les yeux sur ses chausses, hum elle avait oublié de changer... Robe marron élimée, chapeau marron plissé, chausses noires toutes crades. Ne devait-elle pas là avoir l'air d'une gueuse parmis les riches personnes qui l'entouraient ? Une fois n'est pas coutûme si elle ne faisait pas honte à Thomas avec ca... Humpf. Elle regarda du mieux qu'elle pu, cherchant une tête connue, la plus importante si possible.

Elle vit au loin Adela, ou du moins quelqu'un qui lui ressemblait. N'était ce pas...? Hum oui bref il y avait que du beau monde. Enfin en theorie. Elle fit quelques pas en avant, se retournant regulièrement, faisant des tours sur elle-même. Bien sûr elle ne manqua pas de se prendre le pied dans sa robe, manquant de peu de s'étaler et se ridiculisant dans un desequilibre grotesque. Elle n'oublia pas non plus de marcher par megarde sur les pieds de quelques personnes... Puis enfin le but de sa venue ici : Thomas de Clerel. Habit rouge et bleu il semblait méditer.

A quoi pouvait-il donc penser ? Mystere. Elle s'approcha joyeusement et se retint de justesse de ne pas le prendre dans ses bras. Pas sûre que devant tout le monde comme ca c'était la chose à faire, elle se contenta donc de lui prendre la main en souriant.


Bonjour ! Oui je sais... Je suis en retard !


Elle fit la grimace.


C'n'est qu'un concours de circonstances malheureuses, si, si, vous assure ! Hum.
The_undertaker
Tak ne put s'empêcher de sourire à l'inevitable collision avec Elegie.
Il sourit et salua la Dame :


- Bien le bonsoir ... dit-il en s'inclinant.

Puis souriant à son épouse :

- besoin de protection ??.... toujours present.
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Blanche_
Et la blanche Hermine de constater avec étonnement le va-et-vient oculaire de la françoyse, qui glisse malicieusement entre Riwan, et elle. Presque outrée par la déduction logique qu'elle est en mesure de faire, elle voudrait clamer sa non-appartenance aux groupies princières, prouver sa pureté face à ces donzelles en rut.
Mais malheureusement, il lui est impossible de faire disparaitre la vénération certaine qui se lit dans ses iris grisés, bien qu'elle tente par son attitude de la troquer contre un mépris moins protocolaire.
Certes, elle le déteste. Il représente tout ce qu'elle exècre, depuis son imposante stature, jusqu'à son manteau d'hermines. Elle le hait, le déteste, le maudit, le méprise. Force est d'admettre que malgré toute l'énergie qu'elle dépense pour entretenir sa mésestime, elle finit toujours par l'aimer un peu.

*Un peu ?!? Mais qu'est ce qui t'arrive ? Tu le dé-tes-tes, Gwen. Voyons, te souviens tu au moins de qui il est ?* Oui, oui. Elle le déteste, c'est vrai.
Regard en biais sur le profil princier, mais les yeux fuient, et son visage se détourne rapidement dès qu'elle présent une découverte. Cette situation est vraiment ridicule, tout du moins est-ce ce qu'elle pense. Essayant de passer outre la palpitation qui reprend, et noue son estomac d'une tension certaine, elle répond d'une voix tremblante :


Nombre des membres de ma famille habitent en France, vous savez. Il m'est arrivé, petite fille, de voyager jusqu'à Toulouse pour y retrouver une cousine Montfort. Petit sourire entendu, elle raconte : Il m'était arrivé un épisode fâcheux, et ma mère a préféré m'éloigner un instant du château familial. Force est d'admettre que l'escapade en terres ensoleillées m'aura été bénéfique.

Elle se tait, un voile sombre passant devant ses yeux. Douloureux souvenirs que cette échappée nocturne, enlèvement dans des geôles glaciales. Instants d'angoisse ou sa vie avait failli basculer, instants qu'elle préfère oublier.

Mais dites moi, où habitez vous, Vicomtesse ?

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Riches, tenez bon !
Finute
Saluant par ci par là les nobles qu’elle rencontrait, la Belle avançait doucement, le sourire aux lèvres, son fiancé étant partit elle ne sait où. Perdu de vue !
Des conversations fusaient de toutes parts.
Sa Suzeraine en vue, la Blanche allait pour la rejoindre lorsque les chuchotis sur la venue du Roy allaient de bon train.
Du fait, Ela se plaça sur le côté et en même temps que le froissement des robes, réalisa une révérence comme le souhaitait l’Etiquette. Une belle et respectueuse révérence…
Le souffle royal se ressentait, un frisson. Pesant, stressant, par Aristote… LE Roy passait non loin d’elle, le rouge étonnant ses papilles, n’était-ce pas le bleu habituellement ?

A la fin du passage, la jeune femme se redressa et chercha des yeux Enguerrand. Où pouvait-il donc être passé…
Un demi tour et la Blanche partit à la recherche de son futur époux, mais une personne retenu son attention, le Duc de St-Fargeau.
Le sourire s’élargit… Elle ne pouvait pas ne pas le saluer... Une révérence…


Votre Grasce, c’est un plaisir que de vous revoir.

Un regard vers la jeune femme présente à ses côtés, Ela lui fit également une révérence.

Votre Grasce… Ela de Diesbach de Belleroche, Dame de Montferrand-du-Perigord.

De Diesbach… mais pour combien de temps encore ? Sa vie basculera dans peu de temps, une nouvelle rencontre émouvante, une nouvelle vie, une vérité, sur elle, sur son nom, sur ses parents… et prochainement une union.
Un grand changement en somme pour la Blanche. Un changement auquel elle ne s'attend pas.
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