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[Rp - Bal Royal] Salon des Nymphes

Lexhor
Lexhor écoutait sagement les conversations. Il salua les personnes qui arrivaient au fur et à mesure, il en connaissait peu.
Soudain une référence jeta un froid dans le petit groupe. Sa cavalière du moment notamment, sembla plus que touchée.

Elle refusa son invitation à danser et il la senti prête à se retirer...quand soudain, une petite voix se fit clairement entendre.

Après un moment de réflexion, Le Duc d'Orléans compris qu'il s'agissait du petit prince. Un sourire amusé apparu sur son visage. Il était marrant...et venait de faire retrouver le sourire à sa soeur qui l'entraina alors vers son frère et une jeune femme qui était surement sa Gouvernante.

Enchanté gente damoiselle...
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Anne_blanche
A l'approche d'une jeune fille inconnue, qui devait avoir à peu près son âge, Anne resserra plus fort son emprise sur la main du prince, aussitôt méfiante. Elle dut se gendarmer pour se rendre à l'évidence : que risquait l'enfant en plein Louvre ?

Mère est dans l'autre salon, je t'y emmène.

Anne en déduisit qu'il s'agissait de la fille d'Armoria, et se fendit aussitôt d'une révérence.

Le bonjour, damoiselle : je suis Loreleï d'Ylfan, la sœur de Philippe, et voici Le Duc Lexhor.

Confirmation...

Votre Altesse, Votre Grasce, je suis Anne de Culan, Dame de La Mure. Son Altesse m'a fait l'honneur de me confier la garde de Messire Philippe.

Oui, bon... Ce n'était pas tout-à-fait exact. La garde du prince, Anne l'avait un tout petit peu volée au Vicomte de Monestier, mais la chose avait été rendue nécessaire par les circonstances. Et puis un vicomte, tout Officier Royal qu'il soit, ce n'est pas franchement ce qu'il faut pour veiller sur un enfant de cinq ans.


Enchanté gente damoiselle...


Le duc d'Orléans, avait dit la princesse. Un premier nom à retenir, un visage à graver dans sa mémoire. D'autres suivraient certainement.
Alix.de.vaisneau
Alix balayait du regard la salle remplie , son cœur battait à tout rompre en voyant autant de nobles qui l’entouraient. Certes elle devait s’y faire , mais le calme du couvent lui manquait quelque fois , bien qu’elle eut fait la demande à sa mère de l’accompagner au Louvre en sa compagnie .
Son regard émeraude était attentif aux moindres déplacements, aux moindres venues envers le groupe que sa famille et les amis de celle-ci formaient.
La jeune Vaisneau se tenait non loin de sa marraine Jades de Montbazon-Navailles , ainsi que de sa mère Adela de Vaisneau. Mais malgré tout , elle était impatiente d’effectuer sa première danse. Les souvenirs fusèrent dans sa mémoire , rappelant les danses avec son père dans leur demeure , le temps était passé , et son regard de petite fille s’en était allé. Ses parents avaient dû la placer au couvent comme il se devait de l’être pour une jeune fille de son âge afin d’apprendre les us de son rang et les bonnes manières.


Hum votre altesse je ne crois point qu'il vous ai été présenté damoiselle Alix de Vaisneau et ma fille damoiselle Aurore de Montbazon-Navailles et si mes souvenirs sont bon voici damoiselle de Catalina de Volpilhat.

Douces paroles , un timbre de voix qu’elle connaissait qui la ramenèrent au présent . Un étrange sentiment de malaise en revoyant autour d’elle autant de bruits , de paroles et de rires . Alix porta son attention sur la personne qui venait de s’intégrer au groupe , entrouvrant les lèvres puis les refermant immédiatement.
Son Altesse de Montmorency était présent auprès de sa marraine , qui ne tarda point à la présenter.
Petite inclinaison de la tête , un sourire se dessinant sur ses lèvres afin de le saluer comme il se devait. Bien qu’il était nouveau pour elle de devoir effectuer tous ces sourires qui semblèrent lui figer le visage telle une poupée.


Enchantée vostre altesse.

Que de sourires, de paroles , de regards échangés dans cette salle . Tout ne semblait qu’être mise en scène pour le paraître. Du haut de ses 14 printemps , elle aimait à voir les hommes et femmes faire , était-ce là un moyen de satisfaire sa curiosité?
Néanmoins , malgré ses questions , elle souleva légèrement l’étoffe de sa robe pour avancer à l’écart de sa mère afin d’admirer et profiter un peu de cette soirée.
Le regard brillant , et les lèvres étirées en un sourire , Alix sentait le regard de sa mère pesait sur elle.
La jeune damoiselle savait que bientôt , devant elle, se tiendrait le Roy en personne. N’eut-elle point le temps d’y songer qu’elle sentit le bras de sa mère emprisonner le sien pour l’amener auprès d‘elle.
Petit moment de liberté écourté.


Veuillez nous excuser mais je pense qu’il est temps que je présente Alix afin qu’elle puisse profiter de la suite de la soirée.

Alix aurait apprécié ne point sentir l’anxiété de sa mère dans la chair de son bras. Mais ses pas se firent tantôt courts, tantôt accélérés , évitant de justesse cette mer de jupons , pour ne point s’y noyer. Fixant le devant de sa robe , pour plus de concentration , la jeune damoiselle craignait de se prendre les pieds dans un amas d’étoffes pour se retrouver au sol , étalée de tout son long. Il ne manquerait plus que cela pour sa première sortie.
Grande respiration , discrète toutefois , la Vicomtesse Adela et sa fille s’arrêtèrent lorsqu’elles virent un sire approcher.
Les yeux de la jeune Vaisneau se posèrent sur sa mère pour tenter d’en apprendre plus , mais que néni, simplement un sourire sur le visage de sa mère qui montra que la personne présente était un ami de la famille.


Alors, ou vas tu ainsi? tu quittes déjà la soirée?

Alix le regardait , sa curiosité non rassasiée . Pourtant elle devrait s’en contenter.

Mais non mon ami, pas sans t’avoir salué auparavant. J’emmenais Alix dans la salle du trône afin de la présenter à Sa Majesté. Je sais qu’elle attend impatiemment le moment où elle pourra danser un peu.
Mais… N’es-tu pas accompagné ?


Ah que oui! Sa mère ne se méprenait point dans les envies de sa fille. Alix esquissa un fin sourire tout en écoutant distraitement , pour tenter d’assouvir sa curiosité.
N’était-ce point là le comportement de toute personnes? Écouter pour apprendre et comprendre.
Polstephie
Interdite... Il n'y avait pas d'autre mot possible. Elle était restée interdite devant tant d'incorrection. Quand donc cette gamine apprendrait-elle qu'on n'agissait pas comme elle le faisait ? Et qu'attendait donc son tuteur pour la prendre en main ? Paula se perdait dans des interrogations plus nombreuses les unes que les autres...

Mais elle était aveugle cette idiote pour ne pas voir que la petite mourait de peur et essayait presque littéralement de rentrer sous les jupes de Pol ? Et la voilà maintenant qui essayait de lui agripper la main pour la garder sous sa coupe. Il suffisait. Ce n'était pas parce qu'elle pensait qu'on pouvait se conduire comme on le désirait que tel était le cas.

Paula salua comme il se devait la jeune Clémence qu'elle avait déjà aperçue par le passé et essaya de ne pas laisser son sang parler en entendant parler de ce couard, de ce chien et de de fils de ... humf enfin bref de cet assassin d'Appérault...

Une fois salutations données, un froncement de sourcil fut dirigé vers Catalina pendant que la main s'abattait sur la sienne. Tape de remontrances d'une femme envers une enfant. Une gifle aurait sans doute eu le même effet. Et puis la voix, encore basse parce que point encore délivrée de ce carcan qui l'étouffait... qui énonça la sentence :


Suffit Jeune Fille. Vous faites honte à Celle qui fut Votre Soeur en vous comportant ainsi. Et honte à votre famille... Que je ne vous revois pas affoler encore ma Pupille ou vous le regretterez !

Et de serrer tendrement la petite menotte tremblant presque dans sa main tout en ne quittant pas l'impertinente du regard. L'Ambre voilée de sombre ne laissait rien présager de bon.

Vous, une Volpilhat... Venir vous pavaner ici alors que c'est justement ce qui Lui fut lié qui la tua. Vous me faites honte Catalina ! Je ne vous reconnais pas ! Ressaisissez-vous pendant qu'il en est encore temps Jeune Fille !

Et pour ne pas aller plus loin, pour ne pas la frapper davantage de ses mots, la Comtesse se tourna vers la jeune Clémence.

Vous me voyez contrite de ne pouvoir prendre de vos nouvelles comme il se doit et de vous donner une bien piètre image du Languedoc en cette soirée. Mais je ne saurais tolérer l'impertinence ni même excuser la bêtise quand elle est aussi affligeante. Je vous souhaite le bonsoir Demoiselle... Que le Très Haut vous ait en Sa Sainte Garde.

Puis se tournant vers Catalina.

Et Vous, qu'Il vous prenne en pitié...

Et de revenir aussitôt à ce qui était réellement important en tournant le dos et en entraînant sa Pupille bien aimée ainsi que les autres membres de la petite troupe vers un endroit plus calme où Jehanne_Elissa pourrait comprendre mieux et savourer une douceur sortie tout droit de l'aumônière de Pol.
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Beatritz
Le narrateur ayant, peu à peu, perdu le fil, autant sinon davantage que le personnage, et dans ce qu'il n'a pas perdu, ayant décelé tant d'incohérence qu'il renonce à les expliquer, s'attachera pour cette fois à commenter les précédentes interventions et tirer l'ensemble vers une issue satisfaisante pour tous - y compris les pauvres organisateurs du superbe bal royal, en peine de ne trouver courtisans assez empressés pour aller saluer le Roi.

Après ces propos liminaires, nous voici donc au cœur du sujet :


-« Gente damoiselle, messire, je me rends compte que dans la précipitation, je ne me suis même pas présenté, fautif que je suis. Nith le Perplexe, Duc de Cany, Vicomte de Vernon, Bolbec et Carentan, Seigneur de Massy, Chevalier et Héraut de l'Ordre Royal de la Licorne. Pour vous servir. »

Ça c'est du titre ! Comment Béatrice ignorait-elle qu'il existait de tels partis en France ? Peut-être n'avait-elle pas cherché assez loin. Peut-être était-il marié, ce qui expliquerait que Béatrice n'ait pas gardé ce nom en mémoire. Mais enfin... Tout de même, beau chapelet !
Sa curiosité était presque satisfaite ; le duel entre son parrain et son importun agresseur, en revanche, ne faisait que débuter.


-« Messire, dont je ne connais non plus le nom, je trouve vos allusions pour le moins déplacé, surtout en présence de mon épouse et de ma fille, ici présentes. » Confirmation -stop- Marié -stop- Try again -fin.
-« Si pour vous les liens sacrés du mariage ne représentent rien pour vous, sachez que je ne prononce ni mes vœux, ni mes serments à la légère. Loin de moi l'idée d'effectuer pareille manœuvre pour approcher les jeunes demoiselles, ma maladresse n'était pas feinte, quoi que vous pouvez sous entendre. Et si votre filleule se voit victime de pareil incident, je n'y vois pour ma part qu'une simple coïncidence, et non une tactique de séduction.

En tout cas, je ferais bien attention à mes pas désormais, mais dans cette foule, ce genre d'accident est assez fréquents sans que cela soit prémédité pour le moins du monde.

Si vous le permettez, messire, Vostre Grasce... »


Alors qu'il s'apprêtait à partir, prise d'un certain remords, Béatrice de Castelmaure, qui cherchait dans cette manœuvre à se calmer aussi elle-même, posa une main apaisante sur le bras de son parrain et s'adressa, en ces termes, au Duc de Cany :

-« Votre Grâce, pardonnez à notre parrain de vouloir nous protéger ; son intention est louable et son agacement fait suite à la maladresse inexcusable d'un hobereau de petite naissance venu se servir de notre traîne comme d'un paillasson en début de soirée.

Pour qu'aucune animosité inopportune ne demeure entre vous, laissez-nous vous présenter Vaxilart de la Mirandole, Duc de Saint-Fargeau, Baron d'Aussonne, en Bourgogne, ami et parrain, et de fait, chaperon.

Quant à nous, nous sommes Béatrice de Castelmaure, Duchesse de Nevers, Comtesse du Lauragais, Vicomtesse de Chastellux, Baronne de Chablis et de Laignes. Nous aurons, gageons-nous, l'occasion de nous recroiser plus tard dans la soirée. »


Il fallait, tout de même, se ménager une société ! Se prendre le bec avec tout un chacun conduirait la Duchesse de Nevers à la solitude, et point trop n'en fallait. Puis la famille normande s'éloigna, et dans la compagnie coite de la Princesse de Montmorency, ça s'ennuyait ferme.
Elle bailla bouche à peine entrouverte, et songea que cela traînait, et qu'après tout, il fallait être présentée à Sa Majesté.
À nouveau, la jeune Duchesse, dans cette foule, sentit sa tête la vriller. Alors, elle se pencha vers le Duc de Saint-Fargeau.


-« S'il vous plaît, allons devant le Roi. Ensuite dans la salle de bal, nous pourrons nous y asseoir, et attendre le bon vouloir de Sa Majesté... Car nous sommes fort lasse. »
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Bisous, bisous, gentil béa-nours !
Argael
[Acte I :Sur les routes déjà en retard] (en page 23)

[Acte II : Ou comment commercer sans faire de bénéfices]


Nous avions laissé notre homme énervé mouillé et croteux la dernière fois. Nous reprendrons donc au même niveau car nulle magie n’existe en ce bas monde, tout juste quelques sorcières qu’il est de mode de faire brûler, comme les roux et les Anglois il y avait encore peu. La mode a ceci d’intéressant qu’elle se renouvelle sans cesse la Saint Inquisition semblant avoir quelques idées chaque fois plus intéressantes que les précédente.
Notre homme donc venait de franchir les portes du palais s’étant au passage délester de quelques litres d’un breuvage merveilleux cédé de bonne grâce aux gardes de factions.

Traversant ainsi la cour il se dirigea vers les cuisines ou nombres de serviteurs s’affairaient au banquets tandis que la noblesse ces fort beaux partis a courtiser se pavaner. L’homme crasseux qu’il était en cet instant s’énervé tout seul a cette pensée de quelques damoiselles qui n’avaient plus que de virginité le nom, cherchant a placer leur séant plus ou moins rebondit dans le lit d’un quelconque bon parti, ne flairant point l’entourloupe qui en gage de dote offriraient en prime quelques morpions.

C’est avec quelques noire pensées qu’il se présenta en cuisine ou un malheureux jugea bon de le prendre pour un servant revenant de l’enclos à cochons ou il aurait déposé les épluchures.

Rester calme fut sa première réaction, compréhensif voila ce qu’il pensa un instant. Un instant seulement, tant la suite fut bien différente et nous impose une censure dont seule quelques brides purent y échapper.


XXXXX fichtre Dieu XXXXX incapable XXXX espèce d’Anglois, tu va me récurer ton auge porcine avec en prime un coups de chausses dans les roustons histoire de te rouler avec eux dans déjections. XXXX tu vas me tâter du fouet tu va roter du sang si tu m’appel pas le responsable de suite mécréant. Tu vas te retrouver aux premières loges XXXXX, pendu au bout d’une corde faquin si tu n’es pas sortie de mon champ de vision XXXX….

Il n’eu pas le temps de finir sa phrase que le malheureux comprenant son intérêt avait déjà fui préférant éviter les foudre du possédé en face de lui.

L’histoire aurait pu reprendre son cours normal si l’homme apeuré n’avait point tout simplement préféré fuir sans demander son reste et surtout s’éclipser sans avertir personne de la venue du ministre du Roy.
C’est donc poursuivant une journée maudite que « le fier » se vit mettre dans une attente qu’il n’était point de nature à l’apaiser, serrant les poing bientôt un cri puissant fruit de nombreuse année en tant que chef militaire s’imposa, tandis que l’épée sortie du fourreau se faisait menaçant et imposa un certain silence.

Par toute les catins de la cour des Miracles si vous voulez pas être emmurer dans la minute, que le responsable de ce taudis se présente de suite devant le Premier Secrétaire d’Etat que je suis et pour pas plus tard qu’hier. Rassurez vous j’ai supervisé mon hôtel en Lyonnais Dauphiné, bâtir quelques murs je suis fort capable de le faire et j’ai la une grande motivation.

Le responsable des cuisines un homme bedonnant transpirant sous l’effort de sa course à moins que se soit de maintenir les fesses serrées afin de ne point se soulager devant l’assistance se présenta bredouillant.

Mes resssppect vote Excellllennnnce, que puis jeeeeee poouurrr vous ?

L’homme furieux entreprit de calmer notre malheureux en rangeant son arme, la reposant à son flanc gauche, et toisa de son regard émeraude le responsable.

Moins de respect et plus d’efficacité et de travail un concept à travailler urgemment vous pouvez m’en croire sinon votre vie va se trouver raccourcie autant que vos proportions.

J’ai dans la cour un imbécile qui comme vous a le don de me mettre en rogne, il vous faut le voir, et faire entrer le contenu de la charrette dans les cuisines. Il s’agit de génépi et de confiseries du moins ce qu’il en reste. Je vous demande et quand je dis demande c’est j’exige que ces présents soit mit en valeur durant cette cérémonie et que l’on vienne me voir afin que je puisse faire quelques affaires financière d’un futur commerce, nous nous comprenons je n’en dote point. Si ces commande sont de nature à me rendre le sourire, je serais me montrer plus courtois. Action réaction chef, remuez vous les roustons, et j’y songe en guise de bonne remerciement car il parait qu’on n’a plus le droit d’écarteler ou de pendre, prenez un tonneau de nougat pour les cuisines c’est cadeau.

Bien maintenant trouve moi une bassine d’eau chaude il me faut me décroter, fichtre dieu une entrée remarquable à venir.

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Sebbe
Mais… N’es-tu pas accompagné ?

sebbe s'attendait à cette remarque sans trops avoir pourquoi d'ailleurs, il sourit, presque amusé...

Actuellement non... j'ai bienf ait danser naluria quelque peu, mais te voyant t'éloigner je suis venu a ta rencontre.

Que dire de plus? Il n'y avait rien a dire de toute facon... il en était ainsi.

Mais je ne vais t'interrompre plus longtemps, et surtout pas la jeune fille a tes cotés. M'accorderais tu la joie de t'accompagner jusque l'entrée de la salle?
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Flex
On pouvait y passer bien des choses au travers de son fondement, d'où sa démarche mi-claudiquée. Il ne savait pas où Finute était passée, mais ce qu'il savait bien, c'était que son estomac finissait enfin de lui jouer des tours ! Parti pour y rencontrer du beau monde au bal masqué - ohé ohé -, le borgne mirait la gente pour trouver une connaissance et espérer s'immiscer dans une conversation instructive.
« - J'ai faim et j'ai soif. Une déduction douée de poésie à qui l'entendrait parler seul. Il ne voyait personne à qui rencontrer - et pourtant en cherchant mieux il trouverai - ni même qu'un buffet ne venait pas à sa main et à sa bouche.. Miséricorde, il lui fallait trouver une occupation rapidement !
Le borgne s'avançait à pas de loups dans l'ingénue de foule. Son œil faillit sauter en dehors de son orbite quand il entre aperçu son padre. Quelle redoutable surprise ! En chemin il y avait Nith le Perplexe qui semblait être en colère. Flex n'osait trop le regarder ou le questionner, il ne connaissait pas assez le personnage pour se permettre de discuter avec lui dans une telle situation. Encore un coup fourré du père Mirandole, j'vous jure.

Hola Sire de la Mirandole ! » Lança le fils au père. Il fit une fine intervention, d'une parce qu'il voulait laisser ce laps de suspense où Vaxilart pourrait très bien virer de bord, de l'autre car Flex voulait paraître correcte, d'où sa politesse.
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Adrienne
Par la malepeste, où est-il encore passé ? Pardon, pardon ... Chaud devant ! ... Oupsss, c'était votre pied ? ... Hihi, je ne fais que passer ...

Jouant des coudes pour se frayer un passage parmi cette marée caquetante, la Vicomtesse évoluait bon an mal an et à pas de souris dans le salon sensé accueillir les arrivants mais où beaucoup semblaient avoir pris racine ...

Balayant en vain la salle du regard, la jeune flamande sentait poindre l'inquiétude de savoir le petit Jehan perdu en plein Palais Royal. Qu'ils soient élevés dans la plus grande misère ou nés avec une cuillère d'argent dans la bouche, les jeunes enfants ne tiennent décidément jamais en place. Et si le petiot ne risquait pas de faire de mauvaises rencontres en ce lieu hautement sécurisé, elle craignait qu'il ne se soit égaré dans les dédales de couloirs ou les jardins labyrinthiques jouxtant les appartements royaux.

Après s'être acquittée des salutations et politesses d'usage, avoir échauffé la piste de danse en compagnie d'un charmant cavalier et dégusté toute sorte de mets raffinés en compagnie d'une petite fée angevine, son esprit aventureux lui soufflait à présent l'idée de s'éclipser loin de cette foule embaumée et de partir seule à la conquête des antichambres et alcôves secrètes du Louvre ! Retrouver un chérubin égaré serait certes le bon prétexte pour laisser libre cours à son envie de se dégourdir les gambettes.

Chemin faisant, elle croisa une Damoiselle dont le visage ne lui était pas inconnu … Elle s'arrêta pour l'observer avec perplexité, l'index sous le menton. Fichtre, où donc l'avait-elle croisé ? Voilà que sa mémoire lui jouait quelques vilains tours quand soudain son visage s'éclaira en reconnaissant Son Altesse Philippe Levan à qui elle tenait la main. TILT, oui c'était Anne de Culan, cette jeune conseillère ducale rencontrée en salle de doléances lyonnaise puis en l'hôtel du Vicomte de Monestier cette fameuse nuit où une vilaine fièvre lui avait fait craindre le pire pour le propriétaire des lieux. Se fendant d'une profonde révérence, sa robe dessinant une large corolle sur le sol, elle les salua :


Votre Altesse, mes salutations respectueuses,

Bonsoir Damoiselle de Culan, comment vous portez-vous ? Voici là un dévouement remarquable d'avoir assuré la garde du protégé de Son Excellence Argael durant son absence. Il devrait être là depuis bien longtemps, quelques urgentes affaires ont hélas dû le retenir ...


Chassant du bout des doigts une mèche rebelle lui barrant le front, elle soupira d'un air désappointé, ayant perdu tout espoir de le voir faire une de ses entrées fracassantes dont lui seul avait le secret, et à mille lieues de se douter que le Premier Secrétaire d'Etat se trouvait à l'instant même en bien mauvaise posture à quelques pas seulement de là ...
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Adela
Léger froncement de sourcils.
Un instant, la femme avait cru voir passer une lueur de résignation dans le regard de son vieil ami. Ce qui n’était pas vraiment dans son caractère.
L’inquiétude étreignit son sœur. Elle aurait aimé qu’il se confie à elle sans cela, elle ne pouvait pas lui apporter l’aide dont il pouvait avoir besoin.
Réfléchissant à toute vitesse, une idée naquit et un sourire étira ses lèvres.


Et pourquoi ne nous accompagneriez-vous pas jusque devant Sa Majesté ? Après tout, vous faites un peu partie de la famille. Ne me l’avez-vous pas vous-même répété à plusieurs reprises ? Et il serait plus convenable qu’Alix s’avance au bras d’un homme proche de la famille à défaut d’avoir son père.

A vrai dire, elle s’interrogeait à présent si cela était une bonne idée. C’est qu’elle n’était pas tout à fait certaine que cela soit possible selon les us et coutume de la cour. Elle n’y apparaissait que très rarement, préférant son jardin médicinal et son petit laboratoire dans lesquels apparats et savoir-vivre n’y avaient pas leur place.
Ne rien laisser paraître.
Regard brillant, sourire collé aux lèvres vermeilles, elle attendit la réponse de Sebbe.

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Vaxilart
Le Duc se retourna vers l’homme qui l’interpellait tel un gueux, mais avec respect… Sans aucun doute, c’était le fiston qui apparaissait! Il préférait ne pas s’imaginer où il s’était caché tout ce temps, mais voilà que c’était la fiancé qu’il avait perdu de vu… Vis-à-vis ce mystère, le Duc eut un drôle de pensée : peut-être étaient-ils la même personne? L’idée n’était cependant pas si farfelu, le Duc connaissait son fils bien imbu de lui, et cela expliquerait par le temps même comment la pauvre Ela Digèresbacth faisait pour l’endurer… Interloqué par cette découverte, Vaxilart préféra malgré tout ne pas pousser l’investigation plus loin – les découvertes qu’il pourrait y faire étaient de celle qu’il préférait ignorer!

Une fois le fils à son hauteur, le Duc y alla d’un salut, puis d’un rappel – il ne devait être trop amical avec l’homme pour ne pas perdre encore plus l’autorité qu’il n’avait su cultivé de la jeunesse du fils alors inconnu.


Fils, je vous dis salut… J’espère que vous n’oublierez pas la famille qui est votre lorsque vous vous présenterez au Roy…

Quant à nous, nous pensons y aller bientôt, voir immédiatement.


Le Duc le tourna alors vers la jeune Béatrice. De un, pour s’assurer de son état, et de deux pour s’assurer qu’elle était bien prête. Il fallait être au mieux pour attirer l’attention du Roy, et qui sait, l’épouser!

-Seriez-vous prêtre à vous présenter devant sa majesté Duchesse? Je vois là bas que le manque de compagnie lui pèse, personne ne se dirige vers la salle… Sans doute est-ce un bon moment pour le réveiller de vos charmes et de vos atouts indéniables!
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Sebbe
Et pourquoi ne nous accompagneriez-vous pas jusque devant Sa Majesté ? Après tout, vous faites un peu partie de la famille. Ne me l’avez-vous pas vous-même répété à plusieurs reprises ? Et il serait plus convenable qu’Alix s’avance au bras d’un homme proche de la famille à défaut d’avoir son père.

Quelle proposition... Mais il était vrai que pour lui Adela était de sa famille... si ce n'est de sang... il repensa alors à quelques évènements passés avnt de tendre le bras à la jeune Alix en guise de seule réponse.
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Argael
[Acte I : Sur les routes déjà en retard] (en page 23)

[Acte II : Ou comment commercer sans faire de bénéfices] (en page 26)

[Acte III : Ou l’on apprend à ne pas se fier aux apparences]


Qu’est ce donc que la noblesse ? Est t’on plus méritant d’être bien né ? La valeur attend t’elle le nombre des années ? Avons-nous moins de valeurs par la pauvreté de nos habits ? Voici bien des questions que pour un bal si prestigieux une personne ayant connu la pauvreté, la misère aujourd’hui noble pouvait légitimement se poser. A la vue de tous ces préparatifs, cette débauche financière, il y avait de quoi perdre quelques croyances.

Taciturne, notre homme l’était, irascible il semblait l’être également aux yeux de tous.
Pour qui saurait le connaître, aurait la patience de s’y intéresser, la chose serait tout autre. Il pourrait y voir un certain mal aise à parader de la sorte devant la noblesse de sang, dont le séant n’avait connu que la soie. Une peur également de ne point tenir son rang, de porter préjudice à son duché, au royaume, à son Roy.

Ce duché, ce royaume, ce Roy, qui alors qu’il n’était qu’un simple gueux, désireux d’aider lui avait donné la possibilité de grandir, de s’éloigner de la misère, lui permettant si Dieu le veut un jour de pouvoir constituer cette famille et tenir loin du besoin sa femme, ses enfants tant désirés.

Assis ainsi sur un tabouret attendant une bassine d’eau, il s’égarait dans quelques pensées qui lui étaient propres, quelques angoisses sur un avenir incertain. Un avenir d’autant plus incertain qu’il y a encore peu il avait bien cru en avoir fini. Que cette vie était précieuse, autant que fragile, qu’il fallait en prendre soin, autant que la chérir. Profiter de ce cadeau divin, profiter donc pour s’investir pour ses convictions, ses croyances, et l’aide à autrui…..


Votre excellence, voici une bassine d’eau chaude, j’ai trouvé du savon si vous jugez en avoir besoin.

Sorti de ces pensées, il toisa le jeune homme qui venait de s’adresser à lui, avec une diction claire et protocolaire, chose surprenante. A y regarder de plus près, il ne pouvait point s’agir d’autre chose qu’un serviteur pourtant. Mains creusées calleuses et sales, voici une chose qui ne trompait que bien peu, sur la condition de manœuvre de petites gens. Haut de 5.5, 6 pieds, de corpulence trapue, à vrai dire le face à face ici vécu faisait se trouver deux hommes séparés de 20 ans d’un côté, mais que la condition physique rapprochait bien plus. Le Premier Secrétaire d’Etat eut un premier sourire de la journée, à constater cela avant de prendre la parole.

Merci jeune homme, une intention fort louable, comment t’appelles-tu ? Viens avec moi, je vais me débarbouiller dans un coin un peu plus calme que les cuisines.

L’échange se poursuivit le temps pour le duo de trouver une pièce plus à l’écart. Une fois au calme, il entreprit de se débarbouiller, tandis qu'Etienne le serviteur se dandinait d’une jambe à l’autre mal à l’aise quand à la façon de se comporter.

Dis-moi, il me faut me changer, et nous semblons avoir même taille, as-tu des vêtements pour moi ? je gage que si je te donne mon mantel et autre tenue que je porte l’échange t’est profitable, jeune homme.

Opinant de la tête, le jeune Etienne parti heureux de retrouver un instant sa vie ordinaire loin des protocoles et du mal aise. Lorsqu’il revint ce n’était plus un noble qu’il trouva mais à peine un vagabond relativement propre sur lui.

Enfilant la tenue de serviteur il acquiesça de la tête, il avait vu juste il avait la même stature.

Merci à toi, je t’ai laissé quelques écus dans mes vêtements, tout est à toi, mais ne le montre pas trop, j’imagine que tu pourras en tirer un bon prix, tu en as là pour pas moins de 400 écus.

Silence du jeune homme, comme interdit devant la situation. Le ministre du Roy s’approcha alors et déposa une main amicale sur l’épaule du jeune homme et ajouta.

Ne doute jamais de ta destinée jeune homme, instruis-toi, reste volontaire et garde tête haute, à ton âge je coupais moi le sapin dans les montagnes alpines, sans grande éducation.

Il se dirigea ensuite vers l’entrée du bal, sans se retourner pour voir un serviteur, mantel dans les mains, interloqué.

Une porte - symbole fort- derrière ce dérobé pour les serviteurs se trouvait la salle d’entrée pour la noblesse. On ne mélangeait point les genres, la roture n’existant que pour servir la noblesse. Un masque, reprendre l’attitude de sa fonction, malgré les circonstances, subir les railleries de quelques nobles à le voir ainsi fagoté, sourire, jouer sur l’apparence. Au final combien il aurait voulu ne point être là, à écouter nombre de nobliaux, à la science infuse persuadés d’être si supérieurs, combien il aurait aimé les voir dans le froid chemise trempée, les mains en sang, a couper le bois.

Porte ouverte, chose imprévue les gardes se dirigeant vers lui, le sourire pour sur entrevu avec le serviteur venait de nouveau de s’estomper.

Nous sauterons ce moment qui rappellerait trop l’arrivée du Vicomte au Louvre des plus discrètes, pour retenir au final, son entrée que les gardes lui laissèrent faire.

Regard sur l’assistance nombre de personnes connues ou entrevues, qui ne manqueraient point de bientôt médire sur la condition du Premier Secrétaire d’Etat, la belle noblesse était si prévisible, ceci trop souvent.

On trouvait ici des pairs de France, des Grands officiers de la Couronne, des Grands Feudataires, des partis influents de la noblesse, des Ambassadeurs. Une bien belle assemblée, que l’on n’avait point vue depuis bien longtemps, mais la raison était suffisamment rare et d’exception cette fois.

Et puis, dans un coin deux des raisons de sa venue ; un enfant et une femme non loin de cet enfant. Le petit fils du Roy dont il avait la charge, le jeune Philippe Levan qu'on lui avait confié, à lui l’homme bourru par excellence. La chose ici en aura surpris plus d’un sans doute, il n’en avait cure, sur sa vie, il protégerait la sienne. Et puis cette femme, non loin, une femme qui lui rendait le sourire alors qu’il pensait la chose impossible, cette femme à qui il avait fait une promesse.

Silencieux, il longea le mur pour s’approcher du petit groupe. Arrivant par derrière, il s’exprima en souriant.

Jeune Philippe Levan, avez-vous vu les bateaux et les canons ? Ou alors seriez vous désireux d’en voir ? J’espère et je ne doute pas que la Dame de la Mure aura pris soin de vous en mon absence. J’ai à vrai dire quelques surprises pour vous, j’ai trouvé un livre que vous affectionnez durant mon absence, vous savez Ysengrin ce goupil dans « le roman de renard » et puis j’ai quelques nougats également pour vous, mais cela dépendra de ce que me dira Anne de Culan sur votre conduite.

Puis devant la Vicomtesse dont la tenue du fier ne manqua sûrement pas d’étonner, il se retourna.

Bonjour à vous Vicomtesse Adrienne de Hoegaarden, me pardonnerez vous de mon retard, il semble que le très Haut ait décidé de mesurer ma volonté à me trouver ce jour devant vous, en témoignent ma tenue et mes cheveux encore humides.
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Catalina_constance
Cette mine perplexe devint tout à coup espoir...

La jeune femme dont elle ne connaissait que peu de chose de plus que son nom, dont elle n'avait que le bref souvenir, le souvenir d'un visage plus ou moins net, des bribes d'une histoire passée... lui donnait envie de croire mais à quoi?
Catalina était tout à fait ignorante elle n'avait pour ainsi dire jamais rien su alors elle se faisait un jugement de façon plus ou moins maladroite avec le peu qu'elle savait, elle voulait croire, renaitre.
De n'importe qu'elle manière.
N'importe qui qu'aurait bien pu être tout ces gens, elle abordait la chose avec un regard nouveau sans préjugé ni, rien d'autre, pour oublier.
Vraiment avec une grande, une immense naïveté qui peut être se révèlerait peu saine et c'est ainsi que la question vint se poser, oui c'est alors qu'elle regardait Clémence de l'Épine avec un sourire sincère que les mots restèrent en suspens et que son air se fit pincé elle tourna alors la tête avec lenteur, presque sa bouche se serait ouverte si elle n'avait pas eu l'idée de serrer les dents en voyant le visage contrarié de celle qui était à l'origine de ce geste.

Presque inquiète elle retourna la tête vers Clémence, déboussolée, perdue, un regard d'au secours, peut être...
Non bien sur, cela se passait seulement entre la Comtesse et la jeune Catalina, tristesse puis colère.
Sa poitrine se gonfla, fulminante elle garda ce long soupire, ce cri en elle, car jamais elle n'aurait voulu manquer de respect à quelqu'un comme Paula, jamais elle ne voudrait montrer ses faiblesses de cette manière, elle resta ainsi droite, passive, seul dans son regard on aurait peut être pu lire de la tristesse.

Comment, oh oui, comment s'appropriait-on celle qui pour la jeune Volpilhat était tout, celle qui était de son sang alors que, oui elle le pensa ainsià cette instant, la dame d'Alanha n'avait pas ce lien et n'était rien vraiment. N'était-elle pas fille de sa sœur celle qu'elle avait tant aimé,
comment Paula pouvait-elle s'accorder plus de mérite et d'amour que la Volpilhat qui avait juste eu la malchance d'estre jeune et insouciante.
Elle s'en voulu soudainement de ne pas avoir été plus vielle, elle aurait tout donné pour s'occuper de l'enfant...
Corps et âme au sans nom...

Sur la vue de cette petite terrifiée et de la main de celle qui semblait à cette instant sans cœur, qui semblait ne jamais l'avoir vraiment aimé, elle... de cette main qui autrefois l'avait réconforté et qui aujourd'hui se faisait menaçante et oh combien blessante!
Au fur et à mesure des paroles la déchirure se fit telle qu'on sembla qu'on lui perçait le cœur, une petite larme perla au coin de son œil alors elle baissa la tête vers la petite rousse, elle eu envie de tendre les mains de se jeter à terre et de lui hurler tout son amour.

Et une fois talons tournaient, assaillit par la peine elle eu l'envie de mourir...

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Finute
Revenant de la Salle de Bal légèrement palote, la Blanche -et à ce moment ce surnom lui allait très bien- entra de nouveau dans cette foule de nobles, des robes de Duchesses, Comtesses et on en passe...

En rentrant dans la salle, une bouffée de chaleur monta en elle, ne la rendant pas moins palote pour autant. Comment allait-elle retrouver son fiancé ?
Au moins, plusieurs étaient déjà partit voir Sa Majesté.

A l'entrée, un femme intrigua Ela. Elle la connaissait comme ancienne Dame Blanche... Elle se souvint des départs... surtout celui de celle qui fût sa marraine Dame Blanche.
Adela faisait partit de celles qui étaient hors de l'ordre à présent.
Un léger sourire qui ne l'avait pas quitté, la Blanche se dirigea vers le petit groupe.
De sa main destre, elle epousseta sa robe avant de se présenter...


Adela... Ravie de t..vous revoir. Lui dit-elle en lui faisant une révérence
Se tournant vers les personnes présentes, Ela leur fit un sourire et également une révérence.


Damoiselle, Vostre Grasce... Ela de Diesbach de Belleroche, Dame de Montferrand du Perigord, promise du Vicomte de Mussidan Flex de la Mirandole et de Dublith, Ecuyère et Lieutenante dans l'Ordre de la Dame Blanche à l'Ecu Vert.

Comment allez-vous ?


Un sourire qui appuyait ses dires, malgré sa pâleur, elle restait forte... et elle le devait.
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