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[Rp - Bal Royal] Salon des Nymphes

Riwan
[oui oui, j'arrive]


En débarquant au Louvre, je m'étais laissés entrainer par le flot des invités, l'odeur des parfum m'enivrait. Penser à toute ces chaires fraîches disponibles, enfin plus ou moins, me rassurait.
Il serait bien étonnant que parmi toute ces belles, il ne se trouve pas une futur Duchesse de Brocéliande. Depuis la mort de Sa Majesté mon grand-père, j'étais le seul, le dernier des Brocéliandes.

Après avoir prêté allégeance au futur...futur futur Souverain -et apparemment c'est pas demain la veille- je serais Duc de Brocéliande. Il m'incomberait alors de trouver une Dame féconde afin de perpétuer la lignée, et ainsi sauver le nom d'une des plus prestigieuses familles bretonnes.


C'est donc en ayant en tête ce devoir sacrée que je me mis à scruter la salle. Et j'en oubliais mes devoirs.
C'est en suivant de la tête une blonde chevelures que je m'aperçois que la charmante Demoiselle de Blanche semble en difficultés.
Je traverse donc d'un pas rapide la distance qui me sépare du groupe, mais pas assez rapidement pour arriver avant la fin du problème.

En avançant je crois reconnaître un visage. J'ai beau chercher... Ah si, une Duchesse angevine. La fameuse qui a levé le vieux lièvre Choletais.

Je ne suis plus qu'à quelque pas, mais je n'ose interrompre la discussion. Ou plutôt, j'attends que la charmante Demoiselle de Walsh m'introduise.

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Son Altesse Riwan Nathan De Brocéliande
Beatritz
Froncement de nez de la Duchesse de Nevers, qui écoutait tant bien que mal. D'un air contrit elle s'adressa à Vaxilart :

-« Monseigneur de Volvent nous avait pourtant assuré de votre haute moralité... La demoiselle a raison, c'était inconvenant. Sachez vous tenir, Dieu ! On dirait un enfant. »
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Bisous, bisous, gentil béa-nours !
Loelia
D'un temperament tres joueur, apres quelques discutions legeres, ses yeux de biches partent à l'affut d'un jeu innoportun avec les convives. Son regard dévisage les convives les uns apres les autres, un certains sire semble attiré les couroux de la princesse, à tout les coups il est comme Phelim celui là pensa t elle. Pas le temps de fini sa ronde qu'une voix infime et harmonieuse l'interpelle. Temps de pause, effet de surprise qu'elle a peine a dissimuler, elle fait volte face à la dame, s'appretant à râler avec courtoisie, trouvant 3 jeunes femmes plus ou moins proche en observation de sa personne.. S'eclipser! ne pas rougir! sourire! se tenir droite! Pas le temps de paniquer plus longtemps. Face à elle, une main tendue, a qui appartient elle? pourquoi est elle là? est ce celle du murmure intime? Extirpée de ses pensées par un long silence embarassant, elle se ressaisit. Sourire complice, echange de regards malins, elle saisit de cette proposition gracile avant de s'interrompre. Convenances oubliées! malheur! qu'allait on penser d'elle? Oh puis zut, mieux vaut tard que jamais. Abandon de cette chaleur naissante, reverence furtive et inachevée presque forcée, reprise de ce doux contact.

En effet Cyanne Loelia, c'est bien cela, enchantée!!
Retourner aupres des grandes dames? pourquoi pas..


Bruit sourd en provenance de son petit ventre plat à l'abri de sa belle robe. Regard circulaire, personne ne l'a repéré, soulagement. Pointe d'hésitation se tournant vers sa voisine.

Que penseriez vous plutot d'aller emprunter une ou deux miniardises préparées pour l'occasion, la fragrance de fleurs de buddléia que je porte suscite en moi des envies de voyage des sens.. à commencer par la degustation.

Pour ceux qui ne connaisse pas il s'agit d'un parfum exquis que degage les magnifiques fleurs en forme de grappe de raisins, de cette plante, le buddléia, qui a pour vertu d'attiser les plus beaux papillons des environs, de nuit comme de jour. Qu'on se le dise, elle porte de parfum que convoite les plus belles creatures animales qu'il soit.
Cheveulure scintillante aux reflets de lumiere, réhaussée à l'aide d'une tige en argent, quelques meches rebelles ondulées pour l'occasion se perdant sur ses épaules. Un côté naturel mis en avant fort attendrissant. Visage de poupée au regard saisissant continuant son oeillade aupres de la jeune Aleanore.
Archibaldane
Antoineleroy a écrit:
Non seulement le cocher de sa calèche l'avait laissé comme un brin d'herbe en plein milieu de Paris* mais en plus ce valet à fouetter n'avait pas su mener au bon endroit son amie la Dame de Saint Julien... Fichtre, c'est qu'il l'a veut sa punition ce bougre!
Antoineleroy était resté devant l'entrée, sa flasque d'Armagnac descendant petit à petit au fil des minutes qui s'écoulaient si bien qu'elle était désormais vide... Et là la situation devenait très grave!
Les yeux grands ouverts face à ce gros problème, le Vicomte devint blanc

" Non di dju... "
Il chercha des yeux un endroit où pouvoir la remplir, mais le Louvres n'avait pas à proximité une seule taverne ou échoppe permettant un accès rapide à de l'alcool. Le coeur du Chancelier battait la chamade
* Qu'est-ce que je suis venu faire dans cette galère? *
Y avait-il de l'alcool à l'intéreur? Haussant les épaules, le médicastre se risqua à entrer puis il chercha des yeux se qui pouvait se rapprocher de la forme recherchée


[entre l'hostellerie et le Louvre]

Archibaldane est hors d'elle... Décidément le cocher de son ami Antoine est un âne !... Les voilà coincés dans une rue encombrée de marchands, de charrettes, de cavaliers et de piétons tous plus énervés les uns que les autres... Tout ce beau monde s'invective à qui mieux mieux, se jetant à la face des petits noms déplacés, quelques poissons ont même volés car un pêcheur venu de loin, se battait avec paysan afin de savoir qui vendrait ses poulets ou ses harengs... Que les poulets volent, passent encore, quoiqu'ils ne volent guère loin, mais les harengs !!! Lassée de ce retard, la dame de St-Julien, attrapant le fouet du cocher, finit par se jeter elle-même dans la bagarre, tapant l'épaule du pêcheur avec l'instrument, et mettant un bon coup de pied dans le séant du pêcheur au passage... Celui-ci s'étale de tout son long dans les poulets qui se sont égayés dans toutes les directions. Ce qui incite le paysan a lâcher la bride de l'âne qui tire l'équipage du pêcheur, afin de rattraper ces gallinacés... L'âne, affolé, part dans une ruade qui renverse la charrette et déverse les harengs sur le pavé de la rue. Les parisiens les plus pauvres se jettent alors sur le poisson séché. Les poulets se retrouvent cachés sous les manteaux des gueux... Bref...

Ce que voyant, la dame de St-Julien s'éclipse discrètement à pieds, en pouffant de rire devant le spectacle...


"Ah Paris !!!" se dit Archibaldane, "... D'ici à quelques siècles, si ça continue comme ça, on ne pourra plus avancer dans ces rues étroites... "

[devant les portes du Louvre...]


Trottinante, courant presque, dame Archibaldane de St-Julien parvient aux portes du château royal. Elle aperçoit, parmi les robes et les vêtures de fête, une tête écarlate et livide tour à tour, qui cherche du regard on ne sait quoi ou qui... Antoine... Elle hurle par dessus la "cliquetaille" des chevaux, les bavardages oiseux, et négligeant les sourires narquois :


- VIIIIIIIIIIIIIIICOMTEEEEEEEEEEEEEEE JE SUIS LAAAAAAAAAAAAAAAA !!!
Lexhor
Ses yeux fixés sur l'entrée, regardant Clémence arriver, très entourée, il ne s'aperçu pas tout de suite que Sebbe lui avait faussé compagnie. Le regardant s'éloigner il sourit un instant. Le vieux loup solitaire n'était pas dans son élément.

Il détourna les yeux et tomba sur une scène assez comique. Son altesse Armoria semblait suivre de près les faits et gestes d'une exquise jeune femme. A en juger par les regards qu'elle adressait à l'homme ayant tenté une approche de la demoiselle, le Duc d'Orléans en conclut qu'elle devait être sa fille. Ceci conforté par la ressemblance frappante qui liait les deux femmes.

Lexhor profita donc d'un moment de calme pour aller saluer mère et fille.

S'inclinant respectueusement vers la Princesse et sa progéniture.


Bien le bonsoir votre altesse. Veuillez excuser mon intrusion mais je ne pouvais décemment pas passer la soirée en ce lieu sans vous saluer.

Puis, se tournant vers la blondinette au visage d'ange.

Enchantée demoiselle. Enchanté de vous rencontrer. Je suis Lexhor d'Amahir, Duc d'Orléans.

Tournant la tête vers Armoria.

Si j'en crois ses traits fins son port de tête grâcieux, je ne puis douter que cette jeune et fraiche demoiselle n'est autre que le fruit de vos entrailles.
Si votre ressemblance est aussi marquée quand à son caractère, nul doute que cette jeune femme se fera remarqué autrement que par son physique avantageux.


Le duc regarda la jeune femme avec un sourire amusé et plein de douceur. Ses yeux transpiraient la malice.

Je vous ai vu tenter de faire le ménage autour d'elle depuis quelques minutes. Je ne vous pensais pas si protectrice!
Si j'en crois ce que je lis dans ces beaux yeux verts c'est peine perdue princesse!
Je n'ai aucun conseil à vous donner en termes d'éducation mais il ne fait nulle doute que votre fille a la force de caractère et la raison qui vous caractérise. faites lui confiance pour ne pas prendre des décisions auxquelles vous ne penseriez pas vous-même.


Il plissa les yeux amicalement, pourtant conscient qu'il parlait trop et surtout de ce qu'il ne le regardait pas. Mais il était ainsi fait, entier et chaleureux. Pas forcément du goût de la princesse tant de familiarités, mais elle commençait à connaitre le loustic...
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Armoria
Elle en était à échanger quelques amabilités avec Milenaortiz quand une mini-tornade blonde vint se poser contre elle. Rapide inspection de l'oeil maternel, et voyant le rougissement de sa fille-coquelicot, ledit oeil - les deux, en fait, hein - se portèrent vivement vers Vaxilart, promettant enquête serrée.

Je vous présente ma fille, Loreleï d'Ylfan...

Et une nouvelle arrivée, qu'elle accueillit avec le sourire :

Et le tout nouveau Duc d'Orléans, grand amateur de champignons.

Le radar maternel se remit en route, mode vigilance maximale, quand Lexhor regarda sa fille. Le sourire baissa d'un cran.

C'est justement parce qu'elle est charmante que je la protège de tout ceux qui pourraient être indélicats.

L'air de dire : "vous compris, s'il le faut".
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Plop
Vous pouvez utiliser mes lettres RP.Héraldique
Antoineleroy
Alors qu'il allait pénétrer dans le salon à la recherche d'un alcool à boire, il sursauta en entendant la voix familière d'une femme porter au lointain

' VIIIIIIIIIIIIIIICOMTEEEEEEEEEEEEEEE JE SUIS LAAAAAAAAAAAAAAAA !!! '

Antoineleroy fit volte-face pour contempler, non sans sourire, la Dame de Saint-Julien trotiner en tenue élégante à travers les ruelles pavées de Paris menant au Louvres. Il se demandant d'ailleurs comment ele faisant dans cette robe magnifique... Mais trève de pensées ou de sourires, il fallait l'aider

" J'arrive ma mie! Enfin... mon Amie! "

Le Vicomte redescendit les marches puis s'en alla vers Archibaldane afin de lui tendre la main

" Alors très chère, le Paris intérieur est élégant? "

Large sourire

" Et ce foutre dieu de cocher, où est-il que je le pende par les pieds? "
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Lexhor

Lexhor ne pu contenir un léger rire en écoutant la princesse. Elle qui pouvait parfois être bavarde, ne l'était visiblement pas lorsque l'on parlait de sa fille.
Il était intéressant de voir que, selon les circonstances, l'on pouvait découvrir des facettes encore inconnues des gens que l'on côtoit.


Mais le message que vous voulez faire passer est tout à fait clair princesse. Impossible de le manquer.
Mais vous devez connaitre votre fille bien mieux que moi. C'est vous il y a une quinzaine d'années tout au plus. Je gage qu'à son âge vous saviez très bien vous défendre seule. Elle n'est plus une enfant maintenant, bien que vous la voyez et la verrez sûrement encore longtemps ainsi. C'est une femme. Douée de raison et qui semble avoir la tête sur les épaules.
Vous vous tuerez à la tâche en tentant de la protéger des indélicats...et de ceux qui ne le sont pas. Vous semblez tirer à vue, dans le doute.


Sourit.

Détendez-vous princesse, laissez la profiter et profitez vous-même.
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Archibaldane
Antoineleroy a écrit:
Alors qu'il allait pénétrer dans le salon à la recherche d'un alcool à boire, il sursauta en entendant la voix familière d'une femme porter au lointain

' VIIIIIIIIIIIIIIICOMTEEEEEEEEEEEEEEE JE SUIS LAAAAAAAAAAAAAAAA !!! '

Antoineleroy fit volte-face pour contempler, non sans sourire, la Dame de Saint-Julien trotiner en tenue élégante à travers les ruelles pavées de Paris menant au Louvres. Il se demandant d'ailleurs comment ele faisant dans cette robe magnifique... Mais trève de pensées ou de sourires, il fallait l'aider

" J'arrive ma mie! Enfin... mon Amie! "

Le Vicomte redescendit les marches puis s'en alla vers Archibaldane afin de lui tendre la main

" Alors très chère, le Paris intérieur est élégant? "

Large sourire
" Et ce foutre dieu de cocher, où est-il que je le pende par les pieds? "


Archibaldane rit de bon cœur...

- Le Paris intérieur ressemble à un relais de poste le jour où une compagnie entière de soldats l'investit !!! La valetaille courre de ci de là, et les poissons volent bas... Quant à votre cocher par ma foy, il doit justement se trouver entre un poulet et un hareng... mais je vous expliquerai... plus tard. Ma tenue est-elle encore correcte mon ami ?


Antoineleroy
" Poulet? Hareng? "

Antoineleroy fronça les sourcils puis posa sa main sur le front de son amie

" Vous allez bien, pas de fièvre? "

Non, visiblement la température était correcte même si légèrement élevée du fait de sa course à travers les rues de Paris... Le Vicomte haussa alors les épaules puis rit

" Soit, vous m'expliquerez alors ma chère afin d'éclairer ma lanterne! "

Le Chancelier, devant la question d'Archie, fit un pas en arrière pour la regarder

" Parfaite... Vous êtes ravissante. "

Lui tendant le bras, ils s'en allèrent en direction du Salon
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Archibaldane
Antoineleroy a écrit:

Le Chancelier, devant la question d'Archie, fit un pas en arrière pour la regarder

" Parfaite... Vous êtes ravissante. "

Lui tendant le bras, ils s'en allèrent en direction du Salon


Posant délicatement sa main sur le bras d'Antoine, les yeux pétillants d'une joie contenue, ils entrent dans la salle de réception des invités... Archibaldane aperçoit quelques têtes connues et se réjouit à l'idée de peut-être, pouvoir échanger quelques mots avec eux... Elle tremble un peu cependant : tant de souvenirs l'assaillent, de bons, comme de moins bons.
A l'intérieur que de splendeurs !


- Mon ami, regardez : son Altesse Clémence est là...

Antoine sourit à son amie et ils se dirigent vers la Princesse... Archibaldane lui fait une profonde révérence...

- Votre Altesse...
Chacha2214
La Duchesse de Muzillac et comtesse de Josselin aperçut son blondinet passait devant elle, il allait,semble t'il, rejoindre la fille de Lusiana. Elle passait son bras sous le sien telle une amie de longue date, ilfaut dire que ce n'était pas les liens vassaliques qui manquaient à ces deux là.

Il semblait attendre quelque chose.

Alors mon prince, pensez vous trouver chaussure à votre pied ici lieu ?

Déja la Duchesse scrutait les environs. Soucieuse qu'il fasse un bon mariage avecune femme ayant quelque chose dans la cervelle, tout de même. C'est un Brocéliande, pas un coq anodin. Elle en profitait, par la même occasion, pour regarder la gente masculine présente. Ne savait on jamais. Elle n'était jamais que le meilleur parti de Breizh.
Ysandre
Aucun noble berrichon se représente le duché à ce bal, lui avait-on signalé.

Aucun?

Aucun, ma Dame.


Voilà qui était fort fâcheux s'apensa la duchesse de Chantôme, sourcilleuse et déçue.
Nul ne saurait donc lui relater les belles mises, les danses éxécutées avec grâce, les splendeurs du Louvre, hélas.
Elle s'en réjouissait à l'avance, pourtant!
Bien sûr, elle aurait pu envisager de s'y rendre elle-même..
Il ne fallu que deux courtes minutes pour qu'Ysandre se décida à abandonner quelques jours son doux Berry au profit de l'éclatante capitale.

Penchée sur son écritoire, le calame à la main, elle rédigea une courte missive à l'attention de son neveu l'enjoignant à rejoindre le castel le soir même. A la parfin, cette échappée parisienne en compagnie de Velden lui plaisait prou et bientôt, fut-elle des plus impatientes de départir et de se distraire quelque peu.

[Au louvre.]


Le choix de la mise n'avait guère été difficile, son immutable Bertille ne lui avait proposé que les modèles de couleur bleu ciel sachant combien sa maitresse avait pente à les porter lors de ses sorties officielles.
Pimpelochée avec soin mais point trop, Ysandre avait opté pour quelques affichets de valeur certes, mais discrets.

Elle s'avanca sur les parquets luisants au bras de son neveu si cher à son coeur et lui glissa à l'oreille:


N'est-ce pas splendide ?
La Vertudieu, ces lieux feraient frémir...

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Armoria
Le sourire se maintint, mais le sourcil se leva - le droit.

Je tire à vue, messire Duc, mais force est de constater que les hommes aussi, en général. Et c'est justement parce qu'à son âge, j'ai eu à me défendre d'eux, et que j'étais seule à le faire, que ma fille n'aura pas à pâtir d'une telle chose.

Elle s'accorda quelques secondes pour réfléchir. Elle le savait têtu, et loin d'être bête. Son sourire redevint chaleureux, et elle mit toute sa science féminine à ne pas le faire refleurir trop vite sur ses lèvres. Un sourire lentement éclos était fort sensuel, et elle le savait.

Profiter, dites-vous ? Soit : je vous accorde ma première danse !

Certains oiseaux simulaient une blessure pour attirer l'attention des prédateurs et les éloigner de leurs petits.

Cui-cui.

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Plop
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Aaron
Le voyage dans le carrosse de la princesse impérial fut silencieux. Assit à côté d’elle, ils tranchait tout deux dans leur habillement l’un avec l’autre, et avec la couleur ivoire du tissu recouvrant les fauteuils rembourrés de la voiture. Elle toute de noir vêtue, aux multiples pièces de tissu précieux et brodé, lui, tout de pourpre, et dont les traînes respectives se mêlaient au centre du véhicule en une sorte d’amas d’étoffe. En face d’eux, deux « enfants », ravissant dans leur jeunesse, qui ne devaient savoir où mettre leurs pieds.

La voiture arriva au Louvres où déjà un encombrement de carrosses et de chevaux barrait la route au cardinalice attelage. Ils avancèrent ainsi à de mètre en mètre jusqu’à la monter des marche qui menait au vestibule du palais.

La princesse descendit la première de voiture à la sortie de laquelle l’attendait une haie de jeune garde de sa maison. L’on ne l’aurait pas connue que l’on aurait dit qu’elle était en deuil. Que de noir, autant sur elle que sur se qui l’entourait. Vint ensuite la tour du cardinal de Nagan. Entièrement vêtu de pourpre, il portait une longue soutane de crêpe et de soie, retenu à la taille par une écharpe de soie aux reflets moirés. Une pèlerine des mêmes tissus venait couvrir ses épaules, alors qu’un large et long ferraiolo, cape cardinalice, de velours et de soie damassée, nouée au cou par deux longues cordelettes, recouvrait le tout en revenant légèrement sur le devant, et traînant sur trois pas au derrière du cardinal.

Outre sa croix pectorale, le doyen du Sacré Collège arborait au cou le Grand Collier de l’Ordre Aristotélicien de Lisbonne, et à la poitrine, l’Etoile de Grand Officier de l’Ordre d’Aristote. Sa calotte replacée correctement, la couronne ducale de la princesse placée sur sa tête, le petit groupe monta les marche et se fit annoncé solennellement par l’un des garde rapproché de la cardinal des Saintes Armées.

Le cardinal invita la jeune Ellesya, resplendissante de sobriété dans laquelle les émeraudes ses parures trouvaient tout leur éclat, et le jeune Hakon à le devancer pour qu’il ferma la marche. Il passèrent au devant de la comtesse de Malmorte qu’il salua avec déférence, lui prenant la main, inclinant la tête et laissant échapper un baiser à quelque centimètre de sa peau.


Madame, c’est un honneur…

Son regard se posa ensuite tout autour de lui, cherchant ça et là une connaissance de vue ou d’intimité. Il salua de mouvement de tête ceux qui le saluait, et il continua de se frayer un passage parmi l’assemblée pressée dans la grand salle.
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