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[RP] Eglise Saint-Miguaël de Dijon

Aryanha
La messe était longue...très longue, et l'attente n'en finissait pas. Aryanha n'avait plus mis les pieds dans une église depuis bien longtemps, et ça pour differentes raisons.
Ce jour...était different, et si même prier, elle le faisait souvent, elle préférait le faire dans un lieu privé, plus feutré, plus personnel, comme si Dieu l'était aussi avec elle.
Elle fut réconfortée de voir son père arriver. Même si ce ne n'était pas son père biologique, il en avait pourtant tous les comportements et l'affection. Une famille perdue rennaissait ce jour.
La messe finie, Aryanha laissa echapper un soupir. Elle espéra que personne ne fit attention à cette impatience.
La diaconesse commençait la cérémonie et Sara son discours. Elle était heureuse pour son père d'avoir rencontré si douce femme. Devenir sa marraine était un lien de plus, un lien qui les unissait.
Le sourire aux lèvres, Aryanha écoutait, bien plus attentive que tout à l'heure, même l'encens qui se répandait dans l'église ne la génait plus
.
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Miglia150
Dans la douce idylle d'une journée si importante, Julien sourit tendrement à Sa Sara, les yeux lui avouant son amour et sans doute trahissant sensiblement la surprise qu'il avait prévue pour ce jour là. Puisque, entre amoureux, il y a des façons particulières et non forcément rien que materielles pour faire des cadeaux lors d'un événement si significatif.

Son sourire, adressé également à sa petite Ary, était d'abord l'expression la plus simple et spontanée, celle d'un bonheur enfin retrouvé, de certitudes saisies pour la vie, car cette femme savait le rendre sur et stable sur pour toute son temps ; il n'avait point crainte du futur, au contraire il le regardait en se disant que sans doute des bonheurs encore plus forts et intenses viendrait.

Lorsque sa femme se présenta à l'autel, non seulement il fut heureux, mais la fierté s'introduit, tant sur ses lèvres satisfaites que dans ses yeux et tout son visage finalement.
Depuis leur première rencontre, Julien n'avait jamais regardé à son rang comme désavantage, la noblesse l'avait d'ailleurs très déçu et il avait pleine conscience qu'etre noble ne correspondait pas forcément à etre bien ; cet orgueil qu'il prouvait et qu'il prouva lors du discours de son aimée était suscité plus par l'etre que par l'avoir et il s'était rendu compte qu'on peut vivre dignement en étant mais en n'ayant pas mais non pas au contraire.

Julien était éclairé par le meme élément qui éclairait sa vie : sa famille, à présent unie, vive, bienheureuse.

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Chouchou1804
Chou avait écouté attentivement la présentation de Dame Sara...
Quand elle eut fini, elle lui sourit et prit la parole...

J'invite la marraine et le parrain à nous suivre au baptistère...

Chou se rendit au baptistère accompagnée de Dame Sara, de sa marraine et de son parrain...
Chou regarda la marraine...

Dame Aryanha, certifiez-vous que Sara ici présente a fait sa demande de baptesme en toute conscience, qu'elle ne subit aucune pression et que sa foy est sincère?
Jurez-vous de toujours l'accompagner sur le chemin de la foy et de l'aider à surmonter les épreuves qui pourraient s'imposer à elle?
Acceptez-vous, enfin, d'être sa marraine devant le Très Haut et les hommes ?


Puis elle regarda le parrain...

Messire Miglia, certifiez-vous que Sara ici présente a fait sa demande de baptesme en toute conscience, qu'elle ne subit aucune pression et que sa foy est sincère?
Jurez-vous de toujours l'accompagner sur le chemin de la foy et de l'aider à surmonter les épreuves qui pourraient s'imposer à elle?
Acceptez-vous, enfin, d'être son parrain devant le Très Haut et les hommes ?


Ensuite Chou se retourna vers Sara et lui demanda...

Dame Sara, certifiez-vous avoir suivi pastorale afin de vous rapprocher de la communauté des fidèles?

Quand elle lui eut répondu par l'affirmative, Chou lui demanda:

Par le sacrement du baptême, vous renoncez au péché, vous choisissez de vivre selon les règles de notre Sainte Eglise, vous choisissez de vous abstenir de tout mal, et de vous rapprocher de Dieu par la voie de l'amitié aristotélicienne.
Dame Sara, acceptez-vous cela ?
Acceptez-vous de prendre le chemin difficile des Vertus ?

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Irina
Sara écouta dame Chouchou inviter Aryanha et Julien à les suivre au baptistaire. Curieusement, la diaconesse avait déduit que l'homme venu à son baptême était son parrain. Qu'importe, la future baptisée sourit et avança afin de répondre aux questions.

Je témoigne avoir suivit un enseignement afin de me rapprocher de la communauté des fidèles.

Elle marqua une pause avant de poursuivre solennellement:

J'accepte de prendre le chemin tortueux de la vertu ainsi que de renoncer au pécher et ainsi vivre selon les règles de la Sainte Église, de me rapprocher de Dieu par la voie de l'amitié aristotélicienne.

Émue, Sara du Fennec entrait par ce serment dans la communauté des fidèles.
Aryanha
Citation:
Dame Aryanha, certifiez-vous que Sara ici présente a fait sa demande de baptesme en toute conscience, qu'elle ne subit aucune pression et que sa foy est sincère?
Jurez-vous de toujours l'accompagner sur le chemin de la foy et de l'aider à surmonter les épreuves qui pourraient s'imposer à elle?
Acceptez-vous, enfin, d'être sa marraine devant le Très Haut et les hommes ?


Questions posées par la diaconesse…

Aryanha observa celle qui devenait sa filleule.
En toute conscience, évidemment la demande de Sara était des plus réfléchies et la seule pression qu’elle devait connaître était celle du cœur comme le sien en acceptant. Sa douceur et ses mots étaient exempts de perfidie. Bien sûr, elle-même étant élevée dans la foi, celle qui les conduisait ensemble sur ce chemin, celui du bonheur ou de l’adversité, ce lien serait là pour affronter toutes afflictions.
Aryanha se tourna vers la diaconesse et lui répondit d’une voix claire :


Je vous certifie que Sara, ici présente a fait sa demande de baptême en toute conscience, qu’elle ne subit aucune pression et que sa foi est sincère.
Je jure de toujours l’accompagner sur le chemin de la foi et de l’aider à surmonter les épreuves qui pourraient s’imposer à elle.
J’accepte d’être sa marraine devant le Très Haut, notre Seigneur, et les hommes.

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Miglia150
Etre parrain de Sa Sara fut tant une surprise qu'un honneur et d'ailleurs la diaconesse s'était adressée depuis le début à lui, ce fut donc le sourire aux lèvres que Julien s'approcha du baptistère en suivant sa fille.

Lorsque celle-ci termina son serment, sa voix, dévenue quelque peu solennelle pour l'occasion inattendue, répondit promptement aux questions de Dame Chouchou, les yeux plongés dans ceux de la femme qui avait su rallumer en lui le feu de l'amour.


Moi, Julien de Lancastre, certifie que la demande de baptême de la ci-présente Sara Béatrice du Fennec a été faite en pleine conscience, qu'elle ne subit aucune pression et que sa foi est sincère.

Je jure de l'accompagner sur le chemin de la foi et de la soutenir lorsqu'elle devra faire face à toute épreuve.

J'accepte, d'ailleurs en en étant honoré, d'etre son parrain devant le Très Haut et les hommes.

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Chouchou1804
Chou regarda Sara, qui était émue... Puis elle prit la parole...

Dame Sara, répètez alors le serment que je vais vous réciter, devant vos amis, votre marraine, votre parrain et le Très haut:



Chou prit la burette d'eau bénite, tout en écoutant Dame Sara portée serment...
Quand elle eut fini, Chou reprit la parole...

Dame Sara, agenouillez-vous s'il vous plait.

Chou aspergea la nuque et les cheveux de Dame Sara... Puis posa ses mains sur sa teste mouillée...

Je vous baptise au nom de l’Eglise Aristotélicienne et au nom du Très Haut, pour l’amitié de tous les Saints et pour l’amour du Père de l’humanité.
En cette église et sous le regard du Divin, soyez la bienvenue ma soeur, dans la communauté des fidèles et la famille aristotélicienne.


Chou prit le cierge qui était prest, l'alluma et le donna à Sara...



Recevez ce cierge, représentant votre asme purifiée. Soyez une lumière pour les autres et aidez-les à trouver le chemin de la foy et de la vertu. Ne laissez pas votre propre foy s'éteindre et n'oubliez jamais le serment que vous avez prononcé.

Puis elle prit la médaille et la donna à Dame Sara...



Voici la médaille aristotélicienne qui est votre. Portez-la toujours sur vous. Elle est le signe de votre engagement dans la communauté des fidèles.

Chou lui sourit... Puis reprit la parole...

Chers amis, accueillez comme il se doit ce nouveau membre de notre famille! Aidez la dans ses erreurs, guidez la sur le chemin de la vertu et ayez toujours en vers elle amitié aristotélicienne! Allez dans la paix du Très Haut!

Chou se recula en souriant, laissant la nouvelle baptisée se faire féliciter.
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Irina
Sara ferma les yeux et répéta le crédo à la suite de la diaconesse.



Par la suite, la femme d'église posa sur elle les gestes de puretés afin de la marquer des signes des fidèles de l'Église. Elle fut ondoyée et une flamme vascilla pour elle.

À la suite de telles actions, Sara était encore plus émue. Une grande étape était franchie pour elle, elle se signa et se releva pour recevoir des mains de la diaconesse sa médaille de baptême. Elle rejoignit Aryanha et Julien afin de les remercier de leur présence en ce grand jour.
Miglia150
Julien, tout en souriant tendrement, suivit avec attention le déroulement de la cérémonie ; d'ailleurs, non seulement s'agissait-il du premier bapteme français qu'il voyait, mais de celui de son aimée de surcroit, l'émotion pour ce moment si important, marquant un début dans la vie amoureuse qui les attendait outre que dans celle spirituelle, se faisait donc sentir en lui qui ne cessait d'adresser un sourire à Sa Sara et de remercier le Très Haut.

Les mains jointes à celle de la toute nouvelle baptisée, Julien, comprenant qu'il fallait dévoiler la fameuse surprise à la préparation de laquelle il avait du reste pas mal travaillé, l'emmena de nouveau devant l'autel, tout en la rassurant du regard.
Troublé par l'importance de l'acte qu'il ferait au bout de quelques minutes, lui, noble et homme habitué à une vie publique active, voyait en cela un pas significatif et maquant toute une existance, celle de sa famille.
La voix quelque peu tremblante, il réclama d'abord l'attention des gens présent dans le sacre lieu et poursuivit ensuite dans la réalisation de ses intentions, de celles à son coeur.


Veuillez m'excuser, Mes Dames, Mes Demoiselles et Messires, je vous demande le plaisir de m'accorder quelques instants de votre attention.

Il s'adressa alors à Sa Sara, tout en sortant une bague de sa poche ; celle-ci était d'or blanc, non pas extremement fine mais épaisse non plus, dans sa consistance, et arborait une pierre précieuse, un diamant, exquisement enveloppée par le métal.

Sara Béatrice du Fennec, je te demande en ce beau jour où ton bapteme a eu lieu, devant le Très-Haut et dans Sa Sainte Maison et également en la présence des nombreux fidèles qui pourront témoigner de ce moment, d'accepter ma promesse d'un mariage proche qui nous unira à jamais devant Dieu.
Tu deviendras ainsi ma promise et ma fiancée et te devra d'arborer cette bague que je t'offre en signe de mon amour fidèle.
Le désires-tu? Acceptes-tu cet engagement dont je ne pourrai qu'etre fier?

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Irina
Elle n’entendait plus que le battement sourd de son cœur voulant s’échapper de sa poitrine. L’émotion qu’elle ressentait était d’une force étonnante qui la rendait sans voix. Elle leva la tête, plongeant son regard ébahie dans celui de Julien. Les yeux de celui-ci brillait intensément d’une fierté dont Sara imaginait mal être la source. Pourtant, il la demandait en mariage en ce lieu bénit, voulant sceller cette promesse en une étincelante bague qu’elle n’avait jamais vu d’équivalent en beauté.

Croyant chanceler tant le choc était grand, Sara glissa une main sous le bras de Julien, n’ayant point quitter des yeux les perles brillantes ornant son visage expressif. D’une voix affaiblie par l’émotion mais déterminée elle répondit à sa requête :


Julien de Lancastre, j’accepte cette demande et te fais la promesse icilieu, devant Dieu, d’unir ma vie à la tienne très bientôt… et fonder une famille… Que cette bague en soit le signe… Je te promets…

Sara du Fennec sourit à Julien de Lancastre. Dans leurs yeux passèrent des millions de mots tous plus tendres et joyeux les uns des autres. Les doigts de la femmes s’unirent à ceux de son désormais fiancé, puis avec délicatesse, l’homme glissa le somptueux bijou à l’annulaire gauche de sa compagne. Sara regarda leurs mains nouées l’une à l’autre et son cœur fit un bond. Le bonheur s’accrochait à sa vie.
Chouchou1804
Chou avait regardé la scène en souriant...
Elle s'approcha des jeunes fiancés et les félicita...

Félicitation à vous!!

Puis elle les accompagna jusqu'à la sortie...
Elle était un peu pressée de libérer les lieux pour le prochain baptesme...
Quand la maison du Très-Haut fut vide, elle nettoya un peu et laissa la place à Monseigneur...
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Antonio
[Un peu plus tard..]


Enfin ! Cela faisait des mois que l'organisation de ce baptême trainait, à cause de plusieurs faits : Une mission Licorneuse en Maine, puis en Alençon, l'impossibilité pour la future baptisée de se rendre à Dijon, et enfin ce précédent baptême qui avait donc décalé celui-ci.
Le Bourgmestre de la Capitale avait revêtu sa tenue de cérémonie, sobre, mais toujours avec sa petite touche de couleur sur son crâne : son chapeau mauve. Après avoir traversé plusieurs rues dans la capitale, et salué quelques Dijonnais qu'il venait de croiser, il gagna l'église Saint-Miguaël de Dijon. Personne n'était encore arrivé, ni le curé-évêque, ni sa chère future filleule. Il marchait le long de l'allée bredouillant un petit air « Tada dada, tada dada, tada dada dadada dadadaaaa », puis tout en secouant sa tête, il se rendit compte que ce n'était pas du tout l'objet de cette cérémonie. Il ne manquerait plus qu'au moment de faire son serment de parrain il réponde : « Oui, je le veux »... ce serait le comble.
Il fit de son mieux pour rapidement reprendre ses esprits, puis ne voulant s'assoir tout de suite, resta debout près de l'autel, attendant les prochaines arrivées.

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Seigneur de Fraize
Maistre Académique de l'Institut Royal de Politique ~ Procureur en Cour d'Appel
Aryanha
Aryanha avait suivi la demande solennelle de son père à Sara. En être le témoin l'émut au plus au point. Les laissant un instant dans leur monde, elle s'approcha d'eux.

Félicitations à tous les deux.


Se couvrant de sa cape, elle leur dit au revoir.

Nous nous révérons à la Burgondière pour célébrer l'évènement.

Une main affectueuse sur le bras de Sara, elle adressa un sourire à son Miglia.
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Baronsengir
Le blond avait reçu mot en presbytère. C'était enfin le moment! Se pressant pour l'église, il y vit le parrain que l'on n'attendait plus.

Ah mon cher! Vous vous faites rare, mon fils! Seraient-ce vos obligations?

Bien, pendant que notre femme d'armes arrive, je m'en vais sonner cloches.


Et l'évesque de se rendre dans les parties réservées aux clercs ; de lourds secrets y étaient gardées, ou plus simplement quelques réserves de vin de messe qui n'égalaient toutefois pas la cave du presbytère. En vis à vis avec la longue corde, il s'en saisit et commença à tirer, faisant résonner les cloches dans l'air de la capitale.


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Arambour
L'Evêque avait eu une fort bonne idée en proposant un baptême en fin de journée et non point aux aurores, comme les clercs en avaient l'habitude. De vrais sadiques fous ces Hommes d'Eglise de toutes les manières.... Il étaient capables de se lever le matin dans le seul but de réveiller une moitié du village en sonnant les cloches pour une quelconque cérémonie. Le pire, c'était tout de même le dimanche ! Où là, ils osaient sonner les cloches pour inviter les villageois courageux à venir à l'église pour la messe.

Du coup, elle s'était octroyée une "journée de congé" loin du rempart, d'autant plus que les civils n'étaient point appelés à y être. Il fallait qu'elle soit parfaite, du moins plus présentable que lorsqu'elle se trouvait là haut à faire le guet. Mais comme on ne change point les habitudes de la Démesquine comme on change d'avis, ce serait une tenue dans les tons violets, réalisée par Maître Clervie.
Une fois vêtue, les cloches ne sonnant point encore l'heure de la cérémonie, elle s'était assise sur l'un des bancs de la maison, un livre entre les mains, puis elle attendit patiemment que son heure vienne.

Les minutes et les heures passèrent, et le vacarme infernal venant de l'église se fit entendre. L'écuyère ferma donc l'ouvrage dans lequel elle s'était plongée et prit la route vers Saint-Miguaël.
Arrivée sur les lieux, elle ne prit point la peine de se signer, ce rituel que beaucoup faisaient avant d'entrer dans une église, elle ne s'y adonnait point. La jeune femme s'avança donc seulement jusqu'à l'autel, aux côtés du Messire Antonio Licors, auquel elle jeta un léger coup d'oeil accompagné d'un sourire en coin, avant de le reposer sur l'Evêque.


-Monseigneur, Cher Parrain, le Bonsoir. Dans l'espoir que cette cérémonie se déroule mieux que son organisation qui fut bien difficile.

Un léger sourire en coin accompagna cette phrase. S'en suivit l'attente, encore et toujours cette fameuse attente.
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