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[RP] Eglise Saint-Miguaël de Dijon

Antonio
Très rapidement, le bourgmestre fit rejoint par l'évêque qui ne manqua pas l'occasion de lui lancer un petit sermon. Suite auquel il répondit avec un sourire aux lèvres.

Monseigneur ! Effectivement, comme vous semblez le comprendre parfaitement, mes obligations envers la Capitale et envers le Duché de Bourgogne me prennent beaucoup de mon temps, ce qui m'empêche d'exercer au mieux ma foi aristotélicienne. Mais soyez en sûr, cela ne m'empêche pas de prier le Très-Haut plusieurs fois par jour !

Il espérait ne pas en avoir trop fait, et à sa deuxième phrase il ne put s'empêcher de le rectifier.

Elle n'est plus Femme d'Armes, mais Écuyère de la Licorne, Monseigneur.

Puis, il laissa l'évêque sonner les cloches afin que toute la ville les entendent. Quelques secondes seul pendant lesquelles il profita pour jeter un petit coup d'oeil dans "l'arrière église" afin de voir si il y avait eu des changements depuis qu'il avait renoncé à sa fonction de diacre.
Soudain son regard fut rapidement dévié vers les grandes portes d'entrée, en effet sa future filleule venait d'arriver. Elle était - comme toujours - toute en beauté, bien que sa tenue lui faisait légèrement penser à une tenue de bonne soeur. Sans doute était-ce pour plaire à Monseigneur... Lorsqu'elle s'approcha de l'autel, il croisa son regard et ne put s'empêcher lui aussi de sourire du coin de ses lèvres.


Bonsoir ma Chère, vous êtes resplendissante.

Le Dijonnais se retourna vers l'évêque, la cérémonie pouvait commencer.
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Seigneur de Fraize
Maistre Académique de l'Institut Royal de Politique ~ Procureur en Cour d'Appel
Baronsengir
De retour de ses cloches, l'évesque aperçut la future fidèle, qu'il salua.

Eh bien! Ce fut épique pour parvenir à ce jour! Je crois que nous n'avons plus besoin de préliminaires, après tout ce temps!

Se tenant au milieu de la nef ; il fallait bien changer de temps en temps ; il s'exclama :

En ce 29 Décembre de la vieille année 1458, nous sommes ci réunis afin de célébrer l'entrée dans la communautés des fidèles d'Arambour! Sa volonté de se baptiser est restée forte, malgré les obstacles et les contretemps, et la voici récompensée de son attente par le sacrement à venir!

Que ce jour soit une nouvelle naissance pour toi ma fille! Tu te retrouveras l'asme purifiée et la foy exaltée. Mais avant que de te présenter pieusement devant le Très Haut, il est nécessaire de lui faire brin de toilette auparavant! J'entends par là, la prière du pardon! Qu'elle soit pour tous ici présents premier pas d'humilité envers le Divin, complété par une confession, que tout fidèle baptisé est en droit, et en devoir, d'effectuer afin d'attendre le Paradis Solaire.

Avec moi! Une, deux...




Quand le dernier "...chés" fut prononcé, BaronSengir poursuivit.

Antonio, votre filleule a fait preuve de fidélité à votre égard. Malgré sa mission qui l'a tenue éloignée de Dijon si longtemps et son ardent désir de se baptiser, elle a toujours voulu attendre que vous soyiez présent pour estre son parrain. J'espère qu'en tant qu'ancien clerc et que parrain, vous serez toujours là pour la conseiller et la remettre si besoin sur le chemin de la vertu. Et autant commencer à lui donner l'exemple, en récitant, en chantant, en déclamant le credo aristotélicien!
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Antonio
Le Dijonnais écoutait avec attention l'évêque, même s'il fut quelques fois déstabilisé par sa filleule à qui il ne pouvait s'empêcher de jeter un petit coup d'oeil de temps en temps. Il essaya de suivre de son mieux a prière de confession et acquiesça ensuite à chaque mots de l'évêque sur la baptisée. Bien sûr qu'il serait toujours là pour lui donner conseils, et si nécessaire pour la remettre vers le chemin de la vertu... Puis, alors qu'il suivait tranquillement les paroles de l'évêque, ce dernier lui demanda de réciter le credo. Cela faisait des mois et des mois qu'il ne l'avait pas prononcé, il ne se souviendrait jamais des paroles exactes, quelle honte pour un ancien diacre...
Il marmonna donc dans sa barbe qu'il n'avait pas, un bredouillement totalement incompréhensible.


Je crois en mqdfihrjqblrigfvqhrfjfgversigaejgdfqozl ...
AMEN !


Il espérait que personne ne s'en rendrait compte et que l'évêque allait rapidement enchaîner...
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Seigneur de Fraize
Maistre Académique de l'Institut Royal de Politique ~ Procureur en Cour d'Appel
Baronsengir
Le blond haussa un sourcil. Avait-il été mal compris? Il n'avait compris traistre mot en tout cas de ce qu'avait baragouiné le bourgmestre.

Hum hum!

Je disais donc : récitez, chantez, déclamez! Voyez vous la vieille décrép... cette très chère Cunégonde qui vient tous les jours à l'église en son banc du fond? Il faut qu'elle vous entende allons! Bien, encore une fois.

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Arambour
La jeune femme fronça les sourcils.. mais qu'est-ce donc que ce chant tribal qu'il faisait déclamer ? Le pauvre Evêque commença seul, jusqu'au moment où la Démesquine se souvint de cette partie de la cérémonie et récita donc d'une même voix avec l'Evêque, sans grande conviction cependant.... Il ne fallait point trop en demander tout de même !

Soudain, vint le moment de la récitation du crédo pour le parrain, et là... Ce fut le drame. Il ne souvenait que du début, et encore, certainement parce que Cunégonde le lui avait soufflé !
L'Écuyère lâcha un profond soupire de désespoir en secouant négativement la tête.
Un oeil noir jeté sur le Bourgmestre, il lui payerait cette honte à la sortie de l'église. Puis, retour sur l'Evêque.


-Monseigneur ? Puis-je me permettre de rafraîchir la mémoire de mon parrain en récitant le crédo ? Il faut le comprendre ce pauvre homme se fait vieux.. La mémoire se perd vite à cet âge et lorsqu'on ne vient que peu à la messe, il est bien normal que ces chants puissent se perdre dans les méandres dans son cerveau.

Un sourire en coin accompagna la deuxième partie de son "discours". C'était tellement tentant...
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Mikhnienko
Mik était enfin revenu de sa période de retrait spirituelle et vint à l'église. Comme à son habitude il entra et à peine le seuil de la grande porte passé, il s'agenouilla puis fit un signe de croix la tête baissé pour saluer le Très Haut et ses prophètes. Il se redressa puis se mit à une place regardant vite fait l'assemblée présente. Il fut surpris de revoir le visage de dame Arambour, une des premières dame qu'il avait rencontré dans sa jeune vie. Puis il aperçu aussi son bourgmestre baragouiner en azertysienincomprehensible, lui aussi connaissait bien ce langage.

Son attention se porta sur l'évêque et Mik le suivi en récitant le crédo. Il regarda la future baptisé qui était à l'honneur en ce jour et regarda la scène.
Baronsengir
Par charité aristotélicienne, l'évesque, bel et blond au demeurant, décida d'accorder faveur à la Démesquine et d'abréger les souffrances de l'anciennement, très anciennement diacre.

Fort bien ma fille, démontrez par là votre proclamation de foy. Juste un instant.

Pas toutes les souffrances quand mesme.

Mon cher Antonio, à la suite de votre filleule, vous qui avez su si bien défendre sa cause et plaider son baptesme tout ce temps par vos lettres en quantité... Je vous enjoindrais à discourir au sujet d'icelle, à vanter ses mérites, à relater son parcours et sa vie, à pointer ; vous qui avez l'oeil exercé d'un ancien pasteur ; les signes chez elle d'une vraie aristotélicienne.

Oh! Et pensez à Cunégonde, voulez-vous? Qu'elle puisse vous entendre!


Se tournant vers Arambour :

Je vous en prie ma fille.
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Arambour
Il lui tardait de savoir ce que l'Homme d'Armes trouverait à dire sur son compte, quels mérites aurait-il à vanter et quels moments de sa vie pourrait-il relater puisqu'elle était la seule à connaître son passé et encore point parfaitement.
Cela l'intriguait fort et ne tarda donc point à réciter le crédo afin de délivrer son parrain de son cruel et inopportun manque de mémoire ou peut seulement manque manifeste de motivation à chanter seul...

Un signe de tête en direction de l'Evêque, puis elle commença.




Puis elle attendit donc que le Messire Antonio relate faits et gestes honorables.... Dieu ce que la description sera rapide !
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Antonio
Antonio racla sa gorge, il tenait à lire, ou plutôt à citer, un court passage du Dogme aristotélicien. Il était loin d'être le fidèle parfait, et ce même si il avait été diacre, mais il avait tout de même feuilleté les pages du Dogme pour l'occasion.

Monseigneur, si vous me le permettez je souhaiterais lire une partie du Chapitre VII - « L'Amour » du Livre de la Création.

Citation:
Oane a dit : "Nous sommes certes enchaînés à la matière, certes soumis à ses lois, mais notre but est de tendre vers Toi, l’Esprit Éternel et Parfait. Donc, selon moi, le sens que Tu as donné à la vie est l’amour."
Alors Dieu répondit : "Humain, puisque tu es le seul à avoir compris ce qu’était l’amour, Je fais de tes semblables Mes enfants. Ainsi, tu sais que le talent de ton espèce est sa capacité à M’aimer et à aimer ses semblables. Les autres espèces ne savent aimer qu’elles-mêmes."


Ainsi, en entrant dans la grande Famille aristotélicienne, demoiselle Arambour, vous devenez une fille de Dieu. Même si vous n'êtes pas une … adepte des prières, le Très Haut sera à vos côtés lors de vos, de nos missions Licorneuses qui sont toujours justifiées et dans le but d'obtenir la Paix.
Du haut de vos vingt ans tout rond, vous avez déjà œuvré pour la Paix, en Maine tout d'abord, en Alençon ensuite. Vous avez prouvé votre loyauté, votre force physique et mentale, vous avez patienté un long moment pour vous faire baptiser. Vous avez un charisme d'exception, qui a d'ailleurs attiré de nombreux hommes à vos pieds...
Toutes ces qualités sont les raisons pour lesquelles je n'ai pas hésité une seconde à dire « oui » pour être votre parrain, et je tâcherai de m'en montrer digne. Vous avez de grandes ambitions, mais tout à fait réalisables pour une femme aux grandes qualités comme vous.
Un jour vous vous marierez, avec l'homme qui j'espère, partagera toute votre vie, et avec qui vous fonderez une famille.


Il se pencha vers elle pour lui murmurer quelques mots.

Vous n'avez pas intérêt à prendre la grosse tête !

Puis se retourna vers l'évêque.

J'ai terminé Monseigneur.
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Seigneur de Fraize
Maistre Académique de l'Institut Royal de Politique ~ Procureur en Cour d'Appel
Baronsengir
Fort bien.

Se tournant, il marcha vers l'autel, laissant là les deux paroissiens. Il voulait cacher le sourire qui lui était venu. Le petit discours du bourgmestre, la dernière phrase en particulier, lui semblait plus une demande en mariage qu'un hommage... Arrivé à la table où trosnait lourd Livre des Vertus, l'évesque fit lecture.



Citation:
Vita de Christos, chapitre XII

" Maître, supplia-t-il, à la plus grande surprise du Tribun, je voudrais vous suivre et faire partie de cette communauté de fidèles. Comment dois-je faire ? Je sais que je suis pécheur et que j’ai servi un mauvais maître, mais je t’en prie dis-moi comment me faire pardonner ! "

Alors Christos le releva et sous le regard médusé des romains, il prononça ces mots :
"
Pêcheur, je te le dis, tu viens de faire la première chose que les fidèles devront faire ; se montrer humble et confesser leurs pêchés. Ainsi, si ton repentir est sincère, Dieu te pardonnera. "

Christos se tourna vers ses apôtres, et continua :
"
Et vous, que les fautes commises par vos ouailles leurs soient pardonnées si elles viennent les confesser à vos oreilles, et qu’elles sont prêtes à en faire pénitence."

Alors, Christos s’approcha de la fontaine, et dit encore au Centurion :
"
Par la grâce de l’éternel, je vais te laver de tes péchés, te ceignant d’eau, source de vie. "

Et Christos plongea ses mains jointes sous le jet de la fontaine. Il aspergea la figure du Centurion de cette eau en chuchotant ces paroles :

"
Seigneur, daigne laver cet homme de ses péchés, et lui donner ainsi une nouvelle naissance parmi les croyants ! Au nom du Très Haut. Amen "

Puis, Christos nous appela à lui, nous, ses apôtres et, les uns après les autres, il nous ceignit de l’eau de la fontaine, nous faisant naître à nouveau. Il nous dit: "
Mes apôtres, tant hommes que femmes, par la grâce de Dieu, vous voici lavés de vos péchés. A vous de Lui montrer que vous saurez vous montrer digne de cet honneur qu’Il vous fait, car le sacrement du baptême pourra être retiré à quiconque en trahit l’essence. "


Laissant les paroles mariner dans l'esprit des deux dijonnais... Et Cunégonde! Il ne fallait oublier Cunégonde!

Chers amis, comme vous le savez, l'Eglise Aristotélicienne a été fondée par Christos, suivant les enseignements d'Aristote et l'exemple d'Oane. Seul le pur et le vertueux aura accès au Paradis solaire, tandis que ceux qui se seront vautrés dans le péchés souffriront mille et mille tourments aux Enfers lunaires pour l'éternité.
J'escompte que vous ne souhaitez les rejoindre et estre corps et asmes propriété des Princes démons, à la merci de leurs tortures et autres perversions...

Une fois accueilli au sein de la famille aristotélicienne, le baptisé se voit doté d'une nouvelle vision de l'existence, allant bien au delà des choses matérielles et tendant vers les Idées qu'enseignait Aristote et les vertus qui conduiront à son salut. En effet, en tant qu'enfants du Très Haut, nous avons de Sa part promesse du Paradis, mais ce en échange d'une vie passée dans la culture de sa foy, du respect et de l'amour à Dieu, de la volonté de suivre la voie de la vertu.
Que l'asme de chaque fidèle aristotélicien se transcende par la foy et la vertu, qu'il puisse accéder au Soleil. Que chaque fidèle aide et encourage les nouveaux baptisés, ainsi que les autres fidèles, à ne pas se détourner de la vertu et à tourner le dos à la Créature sans nom.


Le prestre invita Arambour et Antonio à le suivre au baptistère.



Le bel et blond se tourna vers la parrain en premier lieu.

Antonio, certifies-tu qu'Arambour ici présente a fait sa demande de baptesme en toute conscience, qu'elle ne subit aucune pression et que sa foy est sincère?
Jures-tu de toujours l'accompagner sur le chemin de la foy et de l'aider à surmonter les épreuves ?
Acceptes-tu, enfin, d'être son parrain devant le très Haut et les hommes ?


Au tour de l'écuyère. Il aimait à responsabiliser le baptisé avant prononciation du serment.

Par le sacrement du baptême, tu renonces au péché, tu choisis de vivre selon les règles de notre Sainte Eglise, tu choisis de t'abstenir de tout mal, et de te rapprocher de Dieu par la voie de l'amitié aristotélicienne.
Arambour, acceptes-tu cela ?
Acceptes-tu de prendre le chemin difficile des Vertus ?

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Antonio
Regardant avec interrogation l'évêque qui souriait du coin de ses lèvres, le bourgmestre accompagné de sa filleule, avança jusqu'au baptistère. Puis il répondit aux trois questions posées par l'évêque, tout en jetant un petit regard à Arambour.

Je certifie, Monseigneur, que dame Arambour a fait sa demande de baptesme en toute conscience, et qu'elle ne subit aucune pression et que sa foy est sincère.
Je jure de toujours l'accompagner sur le chemin de la foy et de l'aider à surmonter les épreuves qu'elle rencontrera.
Enfin, j'accepte avec joie d'être son parrain devant le Très Haut et les Hommes.


Il se tourna à présent vers Arambour afin d'écouter ces deux réponses.
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Seigneur de Fraize
Maistre Académique de l'Institut Royal de Politique ~ Procureur en Cour d'Appel
Arambour
La Démesquine esquissa un sourire en coin vite réprimé à l'écoute des paroles proférées par l'Homme d'Armes. La dernière phrase la fit presque rire du fait qu'elle ne s'imaginait point du tout comme une femme mariée et, encore moins comme une femme portant la vie en elle.
Elle lui chuchota quelques mots, profitant de l'Evêque qui leur tournait le dos.


-Vous saviez bien que je ne puis prendre la "grosse tête" comme vous dites. Je savais bien avant que vous me le disiez que j'étais non loin de la perfection.

Un sourire en coin qui se dessine sur son visage, elle aimait faire ce genre de choses.. Pourtant, elle recentra son attention sur Monseigneur BaronSengir qui semblait prêt à reprendre la parole derrière sa table.
Elle l'écouta, se disant qu'il n'y avait point que des choses sans intérêt dans les Livres de la Religion et qu'elle les lirait peut être un jour, peut être...

En ce qui concernait les Enfers et le Paradis Solaire, la jeune femme s'en trouva plus mitigée.. Elle s'était persuadée qu'elle passerait sa mort à souffrir les miles tourments des Démons. Ceci pour l'unique raison qu'elle n'hésitait point elle même, de son vivant, à faire souffrir ceux qui l'entourait. Ne serait-ce point un juste retour ?
Malgré ce léger pardon auquel elle avait droit en se baptisant, elle n'espérait toujours pas rejoindre les Anges.
Arambour ferma lentement ses paupières, qu'elle rouvrit tout aussi lentement afin de chasser ses idées de son esprit, mais le légendaire sourire en coin qu'elle arborait souvent vint encore une fois s'afficher sur son visage.

L'Evêque les invita à le suivre, ce qu'elle fit sans plus tarder. Puis elle écouta encore et encore ce qu'avait à dire les uns et les autres quand finalement vint son tour de reprendre la parole.
Renoncer au péché, cela semblait faisable au premier abord. Vivre selon les règles de la Sainte Eglise aussi semblait une opération réalisable. S'abstenir de tout mal devenait déjà plus complexe à réaliser. Se rapprocher de Dieu était une chose par contre, tout bonnement irréalisable ! Mais avait-elle vraiment le choix de la réponse ?
Un léger regard d'une demie seconde en direction de son parrain pour se persuader de l'utilité profonde de ce sacrement.
Il le fallait.
C'est donc avec une forte détermination qu'elle ne laissa rien transparaître de ses véritables pensées et qu'elle répondit.


-J'accepte tout cela Monseigneur. J'accepte d'emprunter le rude cheminement des Vertus Aristotéliciennes et m'efforcerais chaque seconde de le garder aussi droit que possible.
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Antonio
On est en plein baptême là... et en plus nous sommes encore en décembre...
Merci de respecter les RP en cours, et les règles temporelles du RP.

Ce serait sympa de nous laisser terminer le baptême.

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Seigneur de Fraize
Maistre Académique de l'Institut Royal de Politique ~ Procureur en Cour d'Appel
Baronsengir
Satisfait, il demanda à la dijonnaise :

Afin de concrétiser ton entrée dans le famille des baptisés, répète aptès moi ce serment :


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Arambour
Elle écoutait l'Evêque, avec une attention toute particulière, réciter un dernier serment. Elle n'avait point pris le temps de l'apprendre celui ci avant de venir à la cérémonie.
Il n'avait rien de bien compliqué de toutes les manières, elle répéta donc sans grandes difficultés.




La Démesquine fronça légèrement les sourcils une fois qu'elle eut terminé ce Serment et, qu'elle se rendit compte de son contenu. Elle ne pouvait point faire autrement....
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