Eilinn_melani
[Episode 13 : Natural disaster]
Aristote n'est pas encore arrivé quand Eilinn se matérialise dans la pièce. Les formules mathématiques ont disparu, des lourdes tentures de velours de toutes les couleurs recouvrent maintenant une partie des murs de la pièce. Des statues et des peintures ont pris place également sur les murs. Le canapé a même changé, c'est maintenant un drôle de fauteuil qui a pris sa place. Eilinn s'y asseoit, le trouvant très confortable.
- Tiens, c'est quoi ça ?
Eilinn se penche sur l'accoudoir, et distingue 4 petits carrés noirs, avec chacun un petit symbole dessus. Elle distingue une croix, un rond, un triangle et un carré.
Un instant à hésiter, elle regarde autour d'elle, toujours pas d'Aristote en vue. Elle décide d'appuyer sur le triangle du haut, se demandant ce qui va se passer. Quelque part, un "clic" retentit, un peu sinistre et annonciateur de futurs désastres.
Eilinn retire sa main aussitôt de la drôle de télécommande, et les secondes s'écoulant, constate qu'il ne se passe rien. Rassurée, elle décide d'appuyer sur le carré.
Une bougie s'allume alors.
- Wouah ! C'est trop bien la magie !
Eilinn rappuye sur le carré, et une autre bougie s'allume. Enthousiasmée par sa découverte, elle rappuye plusieurs fois de suite, voyant un cercle de bougie s'illuminer autour d'elle.
- Rhooo c'est trop bien !
Mais avant d'avoir pu dire ouf, le tapis s'enflamme, et Eilinn pousse un glapissement. Elle se carre dans le fauteuil, rappuyant sur le carré en espérant faire cesser le début d'incendie, mais cela a l'effet inverse, des brasiers s'allumant partout dans la pièce, enflammant les belles tentures d'Aristote.
- ARRETE TOI ! MAIS ARRETE-TOI !
Eilinn appuye alors sur le rond. De la pluie se met alors à tomber du plafond, éteignant les incendies.
Satisfaite sur l'instant, Eilinn commençe à se sentir un peu mouillée par l'eau céleste.
- Ah mais non !
Elle tente de rappuyer sur le rond pour faire arrêter la pluie, mais celle-ci redouble de plus belle, et la môme finit par se retrouver aussi trempée qu'un ver sur un hameçon.
- Aaaaaaaaaaaah !
De l'orage commence à gronder, et un éclair frappe le fauteuil ou s'asseoit Aristote habituellement.
Eilinn sursaute de peur et tombe du fauteuil, qui se renverse avec elle. La chute n'est pas rude, l'eau commence à monter dans la pièce avec toute la pluie qui tombe. Eilinn s'agrippe au fauteuil qui flotte, tentant de se rasseoir dessus, mais il tangue trop pour cela.
En desespoir de cause, elle appuye sur la croix.
Et ô miracle, la pluie s'arrête. Eilinn écarte les mèches de cheveux qui cachent ses yeux, constatant le désastre.
Une porte se matérialise alors au milieu de la pièce et s'ouvre. Et là, c'est la cata ! L'eau commence à s'évacuer par la porte, tentant d'entrainer celui qui est derrière.
Une main s'agrippe alors au montant de la porte pour ne pas être emportée par les flots qui se déversent. Le fauteuil se repose à terre, Eilinn toujours agrippée à la télécommande.
Aristote, trempant ses bottes, rentre dans la pièce, les yeux écarquillés par l'horreur. Les statues sont brisées, les tableaux délavées, les tentures brulées, tout comme le tapis. Quant à son fauteuil fétiche, il est carbonisé.
- Bon sang mais c'est quoi ce foutoir ?!? Mes tentures ! Mes vases !
Eilinn voyant Aristote arriver, décide aussitôt de lever le camp.
- Hiiiiiiiiiiiii !
Eilinn disparait dans un panache de fumée. On ne l'y reprendra pas à cliquer sur des boutons. Nul doute qu'à la prochaine séance on lui présenterait la facture.
_________________
Aristote n'est pas encore arrivé quand Eilinn se matérialise dans la pièce. Les formules mathématiques ont disparu, des lourdes tentures de velours de toutes les couleurs recouvrent maintenant une partie des murs de la pièce. Des statues et des peintures ont pris place également sur les murs. Le canapé a même changé, c'est maintenant un drôle de fauteuil qui a pris sa place. Eilinn s'y asseoit, le trouvant très confortable.
- Tiens, c'est quoi ça ?
Eilinn se penche sur l'accoudoir, et distingue 4 petits carrés noirs, avec chacun un petit symbole dessus. Elle distingue une croix, un rond, un triangle et un carré.
Un instant à hésiter, elle regarde autour d'elle, toujours pas d'Aristote en vue. Elle décide d'appuyer sur le triangle du haut, se demandant ce qui va se passer. Quelque part, un "clic" retentit, un peu sinistre et annonciateur de futurs désastres.
Eilinn retire sa main aussitôt de la drôle de télécommande, et les secondes s'écoulant, constate qu'il ne se passe rien. Rassurée, elle décide d'appuyer sur le carré.
Une bougie s'allume alors.
- Wouah ! C'est trop bien la magie !
Eilinn rappuye sur le carré, et une autre bougie s'allume. Enthousiasmée par sa découverte, elle rappuye plusieurs fois de suite, voyant un cercle de bougie s'illuminer autour d'elle.
- Rhooo c'est trop bien !
Mais avant d'avoir pu dire ouf, le tapis s'enflamme, et Eilinn pousse un glapissement. Elle se carre dans le fauteuil, rappuyant sur le carré en espérant faire cesser le début d'incendie, mais cela a l'effet inverse, des brasiers s'allumant partout dans la pièce, enflammant les belles tentures d'Aristote.
- ARRETE TOI ! MAIS ARRETE-TOI !
Eilinn appuye alors sur le rond. De la pluie se met alors à tomber du plafond, éteignant les incendies.
Satisfaite sur l'instant, Eilinn commençe à se sentir un peu mouillée par l'eau céleste.
- Ah mais non !
Elle tente de rappuyer sur le rond pour faire arrêter la pluie, mais celle-ci redouble de plus belle, et la môme finit par se retrouver aussi trempée qu'un ver sur un hameçon.
- Aaaaaaaaaaaah !
De l'orage commence à gronder, et un éclair frappe le fauteuil ou s'asseoit Aristote habituellement.
Eilinn sursaute de peur et tombe du fauteuil, qui se renverse avec elle. La chute n'est pas rude, l'eau commence à monter dans la pièce avec toute la pluie qui tombe. Eilinn s'agrippe au fauteuil qui flotte, tentant de se rasseoir dessus, mais il tangue trop pour cela.
En desespoir de cause, elle appuye sur la croix.
Et ô miracle, la pluie s'arrête. Eilinn écarte les mèches de cheveux qui cachent ses yeux, constatant le désastre.
Une porte se matérialise alors au milieu de la pièce et s'ouvre. Et là, c'est la cata ! L'eau commence à s'évacuer par la porte, tentant d'entrainer celui qui est derrière.
Une main s'agrippe alors au montant de la porte pour ne pas être emportée par les flots qui se déversent. Le fauteuil se repose à terre, Eilinn toujours agrippée à la télécommande.
Aristote, trempant ses bottes, rentre dans la pièce, les yeux écarquillés par l'horreur. Les statues sont brisées, les tableaux délavées, les tentures brulées, tout comme le tapis. Quant à son fauteuil fétiche, il est carbonisé.
- Bon sang mais c'est quoi ce foutoir ?!? Mes tentures ! Mes vases !
Eilinn voyant Aristote arriver, décide aussitôt de lever le camp.
- Hiiiiiiiiiiiii !
Eilinn disparait dans un panache de fumée. On ne l'y reprendra pas à cliquer sur des boutons. Nul doute qu'à la prochaine séance on lui présenterait la facture.
_________________