Zoelie
La jeune femme était ravie, tout à fait réjouie. A peine la capitale et ses luxueux hôtels ouverts à la population, à peine fut-elle élue à la charge d'évêque pour le diocèse, que déja, le Très Haut avait guidé les pas de personnes, compétentes, motivées et animées d'une foy sans faille pour prendre place en la nouvelle ville.
Les artisans s'étaient mis au travail. Les tailleurs de pierre, les maitres artisans, les apprentis, les ouvriers, de nombreux vagabonds même avaient travaillé sans relâche au milieu d'un apparent tumulte. Les femmes apportaient victuailles, les enfants couraient partout, se faisant rabrouer bien souvent, mais ils avaient aidé aussi en toute fin à transporter les meubles, les chaises, les bancs, les décorations.
Et ENFIN ! Par un beau jour du deuxième mois de l'an 1457, l'édifice était terminé ! La paroisse de Rodez avait son église !
Plus petite, moins imposante que la cathédrale située non loin de là, elle se dressait pimpante, accueillante pour recevoir les fidèles qui attendaient avec ferveur de partager l'amitié et de rendre hommage au Créateur.
Monseigneur de Guérande savourait ce jour. Elle souriait benoitement, passant d'un groupe à l'autre, lors de la fête donnée pour célébrer l'évènement. Elle avait une parole aimable pour chacun, souriait à tous et inclinant la tête de ci, de là, elle accordait à tous le privilège de porter la bouche sur la bague épiscopale.
Une superbe améthyste, violette, bien entendu, mais réhaussée de quelques pierreries d'un rose soutenu sur son pourtour, mais... bref ! Là n'était point le propos !
Bientôt serait célébrée la bénédiction de l'église et la présentation des guides spirituels qui prendraient en charge la paroisse.
La baronne Monseigneur se planta droite devant l'église et admira que les plans en aient été respectés dans les moindres des détails et sans retard excessif, ce qui était bien rare dans le bâtiment de nos jours.
Qu'elle est belle ! Qu'elle est belle ! Que le Très Haut soit honoré du travail de tous ! Et que Son regard se porte sur cette ville pour toujours !
Elle pria silencieusement en "Lui" adressant prière de remerciement et resta là à contempler l'église.
Les artisans s'étaient mis au travail. Les tailleurs de pierre, les maitres artisans, les apprentis, les ouvriers, de nombreux vagabonds même avaient travaillé sans relâche au milieu d'un apparent tumulte. Les femmes apportaient victuailles, les enfants couraient partout, se faisant rabrouer bien souvent, mais ils avaient aidé aussi en toute fin à transporter les meubles, les chaises, les bancs, les décorations.
Et ENFIN ! Par un beau jour du deuxième mois de l'an 1457, l'édifice était terminé ! La paroisse de Rodez avait son église !
Plus petite, moins imposante que la cathédrale située non loin de là, elle se dressait pimpante, accueillante pour recevoir les fidèles qui attendaient avec ferveur de partager l'amitié et de rendre hommage au Créateur.
Monseigneur de Guérande savourait ce jour. Elle souriait benoitement, passant d'un groupe à l'autre, lors de la fête donnée pour célébrer l'évènement. Elle avait une parole aimable pour chacun, souriait à tous et inclinant la tête de ci, de là, elle accordait à tous le privilège de porter la bouche sur la bague épiscopale.
Une superbe améthyste, violette, bien entendu, mais réhaussée de quelques pierreries d'un rose soutenu sur son pourtour, mais... bref ! Là n'était point le propos !
Bientôt serait célébrée la bénédiction de l'église et la présentation des guides spirituels qui prendraient en charge la paroisse.
La baronne Monseigneur se planta droite devant l'église et admira que les plans en aient été respectés dans les moindres des détails et sans retard excessif, ce qui était bien rare dans le bâtiment de nos jours.
Qu'elle est belle ! Qu'elle est belle ! Que le Très Haut soit honoré du travail de tous ! Et que Son regard se porte sur cette ville pour toujours !
Elle pria silencieusement en "Lui" adressant prière de remerciement et resta là à contempler l'église.