--Nanounette
[quelques temps auparavant en BA... à Montluçon]
Le vielle femme venait d'arriver dans cette ville, sous les ordres de sa jeune maîtresse. C'est que la petite avait du caractère, à ça oui, elle savait ce qu'elle voulait et il fallait s'y tenir. En même temps c'était pas n'importe qui cette petite rouquine... Toujours est-il que leur convoit les avait mener icelieu, dans cette somme toute bien tranquille...
Mais la tranquilité pour la vieille nourrice serait de courte durée. Tant de choses à préparer, à régler. Finalement ce retour paisible de chez les moines serait de courte durée.
Le vieille Nanou se retourna vers la petite. Qu'elle avait fière allure sur son étalon noir. Elle avait tout d'une grande, on s'entait la noblesse dans son sang.
Son père, homme peu fréquentable il y a peu s'était racheter une conduite depuis la mort en couve de sa femme et avait donc inculquer une très bonne éducation à sa fille. Education parfaite par l'enseignement saint de quelques curés.
La Nanou l'aimait sa jeune maîtresse, bien que son caractère ne fut pas des plus calmes. Le valet qui les accompagnait sauta de sa monture. Un soupire s'échappa des lèvres ridées de la vielle femme. Enfin ! enfin ils allait poser le pied à terre. Cela la réjouissait mais surtout ce soir, cette ville, cette arrêt garantissait de dormir dans un lit dans une masure chauffée. Une masure ? Non une terre ancestrale que sont père lui avait légué.
Nanou ! Descends allons en ma demeure !
Voilà le court de ses pensées avait été interrompu. Le valet s'approcha de la jeune fille, mais bien trop orgueilleuse pour demander de l'aide, elle l'écarta d'un coup de pied vif.
Ola nigaud ! t'ai-je demandé ton aide ?
A peine sa phrase était achevé que la jeune fille avait sauté gracieusement de sa monture.
Porte donc assistance à Nanou plutôt que de me géner.
La vielle femme plissa les lèvre dans un sourir tendre. Quel caractère...
Bien Madame, allons chez vous.
Le petit cortège se dirigea donc vers le petit manoir qui surplombait cette terre ancestrale. Nanou ne pouvait s'empêcher de repenser à tout ces bons moment passer icelieu avec le père de sa Petite Maîtresse. Une quinte de toux lui coupa une nouvelle fois le souffle.
La vielle lança ses yeux azurs sur la petite. Elle avait toujours veiller sur cette famille et la fin était proche elle le savait...
Mais pour l'heure elle était là, en vie, sereine mais en mauvaise santé. Le mouchoir tacheté de sang dissimulé dans sa poche pour en témoigner.
Elle veillerait sur la petite et ce jusqu'à sa dernière heure qu'elle savait proche.
Le vielle femme venait d'arriver dans cette ville, sous les ordres de sa jeune maîtresse. C'est que la petite avait du caractère, à ça oui, elle savait ce qu'elle voulait et il fallait s'y tenir. En même temps c'était pas n'importe qui cette petite rouquine... Toujours est-il que leur convoit les avait mener icelieu, dans cette somme toute bien tranquille...
Mais la tranquilité pour la vieille nourrice serait de courte durée. Tant de choses à préparer, à régler. Finalement ce retour paisible de chez les moines serait de courte durée.
Le vieille Nanou se retourna vers la petite. Qu'elle avait fière allure sur son étalon noir. Elle avait tout d'une grande, on s'entait la noblesse dans son sang.
Son père, homme peu fréquentable il y a peu s'était racheter une conduite depuis la mort en couve de sa femme et avait donc inculquer une très bonne éducation à sa fille. Education parfaite par l'enseignement saint de quelques curés.
La Nanou l'aimait sa jeune maîtresse, bien que son caractère ne fut pas des plus calmes. Le valet qui les accompagnait sauta de sa monture. Un soupire s'échappa des lèvres ridées de la vielle femme. Enfin ! enfin ils allait poser le pied à terre. Cela la réjouissait mais surtout ce soir, cette ville, cette arrêt garantissait de dormir dans un lit dans une masure chauffée. Une masure ? Non une terre ancestrale que sont père lui avait légué.
Nanou ! Descends allons en ma demeure !
Voilà le court de ses pensées avait été interrompu. Le valet s'approcha de la jeune fille, mais bien trop orgueilleuse pour demander de l'aide, elle l'écarta d'un coup de pied vif.
Ola nigaud ! t'ai-je demandé ton aide ?
A peine sa phrase était achevé que la jeune fille avait sauté gracieusement de sa monture.
Porte donc assistance à Nanou plutôt que de me géner.
La vielle femme plissa les lèvre dans un sourir tendre. Quel caractère...
Bien Madame, allons chez vous.
Le petit cortège se dirigea donc vers le petit manoir qui surplombait cette terre ancestrale. Nanou ne pouvait s'empêcher de repenser à tout ces bons moment passer icelieu avec le père de sa Petite Maîtresse. Une quinte de toux lui coupa une nouvelle fois le souffle.
La vielle lança ses yeux azurs sur la petite. Elle avait toujours veiller sur cette famille et la fin était proche elle le savait...
Mais pour l'heure elle était là, en vie, sereine mais en mauvaise santé. Le mouchoir tacheté de sang dissimulé dans sa poche pour en témoigner.
Elle veillerait sur la petite et ce jusqu'à sa dernière heure qu'elle savait proche.