Messires
Mess vit Cornélia à l'entrée de la chambre qui ne disait rien. Au moins elle ne le jugeait pas alors qu'il avait failli mourir. Il lui fit un sourrire pour la remercier de son silence.
Puis il sentit sa tête tournée et regarda Alphy. Est-ce du repos de se faire surveiller ainsi ? Est-ce du repos quand les personnes qui m'entoure, à part une, sont là pour me faire...chier...alors que...alors que Il baissa la tête, sa gorge se noua. Puis il continua d'une petite voix triste regardant le sol Alors que j'ai besoin de soutien... Donc si c'est pas possible d'être tranquile je pars me reposer ailleurs...
Les yeux brillants de larmes de tristesse, parce que même son meilleur ami était contre lui, il se leva, décidait à partir loin d'eux et ravageait par ce qu'il venait de se passer. Mais son corps peinait à suivre et il se mit à tituber. Il continua à marcher, se refusant à abandonner.
Arrivait à la porte, après un extrême effort, il se retourna et vit qu'il n'avait fait que 5 mètres. Son moral déjà assez bas en prix un coup et ses larmes coulèrent. Comment est-ce possible que les gens qui devrait, au moins, ne pas le juger alors qu'il avait échappé à la mort le jugeaient tout de même et restaient là juste pour l'embéter ?
Ses interrogations finirent de le ravager. Mess serra les dents, ferma les yeux et sécha ses larmes.
Puis il ouvrit les yeux et regarda longuement Alphy. On pouvait voir ses muscles de la machoire très contractés, on pouvait lire sur tout son corps la haine qu'il éprouvait mais seul ses yeux était calme. Dans son regard on pouvait lire toute la joie et le bonheur qu'il éprouvait quand il était avec elle, on pouvait voir tout l'amour tout l'amour qu'il avait pour elle et on pouvait comprendre un "merci d'être là pour moi". Cet échange du regard fut long et silencieux. On n'entendait que la respiration des personnes présentent dans la salle et le silence régnait.
Puis Messires se retourna et son regard fut rempli de haine. D'un pas faible mais décidait il prit la direction de chez lui. Lentement mais sûrement. Il s'appuyait sur tout ce qu'il pouvait. Son souffle s'accelléra
Mais une chute lui sapa bien sa volonté. Il se releva, ses larmes reprirent le dessus et sa volonté fut anéantis. Il s'asseya contre le mur et regarda droit devant lui, son visage déformé par la haine et la tristesse qu'il ressentait. Il n'avait fait qu'une dizaine de mètres...
_________________
Membre du Comité Des Fêtes Poitevins
Rédacteur en chef de la gazette poitevine
Marié à la douce Helana
Heureux papa de deux magnifiques petites filles : Chloé et Sophie
http://i39.tinypic.com/16a62h2.png
Puis il sentit sa tête tournée et regarda Alphy. Est-ce du repos de se faire surveiller ainsi ? Est-ce du repos quand les personnes qui m'entoure, à part une, sont là pour me faire...chier...alors que...alors que Il baissa la tête, sa gorge se noua. Puis il continua d'une petite voix triste regardant le sol Alors que j'ai besoin de soutien... Donc si c'est pas possible d'être tranquile je pars me reposer ailleurs...
Les yeux brillants de larmes de tristesse, parce que même son meilleur ami était contre lui, il se leva, décidait à partir loin d'eux et ravageait par ce qu'il venait de se passer. Mais son corps peinait à suivre et il se mit à tituber. Il continua à marcher, se refusant à abandonner.
Arrivait à la porte, après un extrême effort, il se retourna et vit qu'il n'avait fait que 5 mètres. Son moral déjà assez bas en prix un coup et ses larmes coulèrent. Comment est-ce possible que les gens qui devrait, au moins, ne pas le juger alors qu'il avait échappé à la mort le jugeaient tout de même et restaient là juste pour l'embéter ?
Ses interrogations finirent de le ravager. Mess serra les dents, ferma les yeux et sécha ses larmes.
Puis il ouvrit les yeux et regarda longuement Alphy. On pouvait voir ses muscles de la machoire très contractés, on pouvait lire sur tout son corps la haine qu'il éprouvait mais seul ses yeux était calme. Dans son regard on pouvait lire toute la joie et le bonheur qu'il éprouvait quand il était avec elle, on pouvait voir tout l'amour tout l'amour qu'il avait pour elle et on pouvait comprendre un "merci d'être là pour moi". Cet échange du regard fut long et silencieux. On n'entendait que la respiration des personnes présentent dans la salle et le silence régnait.
Puis Messires se retourna et son regard fut rempli de haine. D'un pas faible mais décidait il prit la direction de chez lui. Lentement mais sûrement. Il s'appuyait sur tout ce qu'il pouvait. Son souffle s'accelléra
Mais une chute lui sapa bien sa volonté. Il se releva, ses larmes reprirent le dessus et sa volonté fut anéantis. Il s'asseya contre le mur et regarda droit devant lui, son visage déformé par la haine et la tristesse qu'il ressentait. Il n'avait fait qu'une dizaine de mètres...
_________________
Membre du Comité Des Fêtes Poitevins
Rédacteur en chef de la gazette poitevine
Marié à la douce Helana
Heureux papa de deux magnifiques petites filles : Chloé et Sophie
http://i39.tinypic.com/16a62h2.png