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[RP] le troisième sous-sol

pnj


C'est avec soulagement que le garde poussa la porte qui menait dans le couloir de la mairie. Le bourreau n'y était pas allé de main morte. Il sentait encore sa poigne le prenant au collet. Il s'adossa au mur pour reprendre ses esprits et vit le maire en faire autant. Il avait l'air sérieusement ébranlé. Marrant, il l'aurait cru plus solide....un fin gestionnaire ça oui...il tenait les caisses d'une main de maître...par contre un peu fragile au niveau des tripes....C'est vrai que le spectacle avait été rude...Il se souvint des paroles du bourreau et se tourna vers le maire:

Bon...ben on a c'que j'appelerais un cadavre, en bas...et ce s'rait l'aide du bourreau...M'sieur le Maire...çuici a dit qui voulait un cercueil...faut trouver un bon menuisier...à ct'heure...j'ai pas d'idée...

Il regarda le maire qui, doucement, reprenait des couleurs. Il avait une petite fiole de calva sur lui, il hésita et fit fi des convenances. Il la sortit de sa poche et la lui tendit:

J'pense que ça va vous donner un coup d'fouet....et c'est pas plus mal...vot' journée va être longue....j'me tiens à votre disposition...
Matouminou
DANS LA TAVERNE



Matou écouta Horloger la rassurer. Cependant, pour la première fois, il n'y arriva pas totalement. Elle fit cependant bonne figure. Elle se demanda qui pouvait être l'homme retrouvé dans le troisième sous sol. Elle songea à ceux dont on n'avait plus de nouvelles: le chapardeur et l'aide du bourreau, comment s'appelait-il?... Heptoi...quelque chose. Elle leva les yeux vers son mari:

Chéri, je viens de penser à quelque chose...l'aide du bourreau? avait-il une clé pour entrer au 3ème sous-sol? Il y a eu accès pour ranger les instruments de torture....

Elle ne put s'empêcher de frissonner en prononçant ces mots mais poursuivit comme si de rien n'était:

Crois-tu que Pestis l'ait soudoyé? Je suis sûre qu'elle est à l'origine de cette histoire...je le sens...appelle ça comme tu veux....mais, elle est là...pas loin et elle attend patiemment....pourquoi? c'est ça qui m'échappe....Je...j'ai .....

La jeune femme ne trouvait plus les mots. Elle sentait la menace palpable et ne comprenait pas qu'on ne prenne pas plus au sérieux cette affaire. Jusqu'à présent, les maires avaient fermé les yeux, seul Aupyl semblait réagir... L'enquête sur les meurtres de la femme et de ses enfants avaient été expédiée. Il est vrai que celà s'était passé dans les bas-fonds de Fécamp. Peu s'intéressaient à ces quartiers et moins on en entendait parler mieux c'était. Mais là, le danger était bien réel et tout proche. C'était au centre de Fécamp que ça s'était passé, et pas n'importe où: à la mairie. Combien de temps Aupyl réussirait-il à tenir cette affaire secrête?Elle avala son verre de calva et se leva.

Il faut que je parte, j'ai encore du travail...je pense que je chercherai Mahaut un peu plus tôt dans l'après midi....ne t'en occupe pas mon coeur. Je vais aussi essayer de savoir le nom de l'homme qui a été assassiné...

Elle s'interrompit une seconde et eut une idée:

Chéri? si on prenait un chien? Il surveillerait ton troupeau de moutons et nous alerterait en cas de souci....

En voyant la tête de Horloger, elle sut que l'idée n'était pas bonne du tout, elle se pencha pour l'embrasser et lui dit:

D'accord, d'accord..ne dis rien j'ai compris....c'était juste pour....enfin, ça ne fait rien....A plus tard , bonne journée mon amour...

Ele ne pouvait pas lui dire qu'elle crevait de peur et qu'elle craignait que Pestis n'en reste pas là..elle savait que c'était elle...Elle essaya de se ressaisir et se reprocha de tomber dans une paranoÏa sans doute injustifiée. Mais elle n'y arriva pas. Elle réusssit juste à plaquer un sourire sur ses lèvres...espérant que ça suffirait...Elle passa la porte sentant le regard d'Horloger la suivre. Une fois dans la rue, elle s'adossa au mur de la taverne et mit son visage dans ses mains en proie à une terrible émotion. Puis, elle se redressa. Ca ne servait à rien de se laisser abattre, mieux valait être vigilente et sur ses gardes. Elle leva les yeux vers ciel. Il était d'un bleu magnifique et le soleil brillait. Elle entendit les oiseaux chanter. Ici et là les ménagères s'interpelaient, des enfants couraient dans la rue....des enfants...Elle pensa à Mahaut.....Elle secoua la tête comme pour chasser ses idées noires et d'un pas énergique, se dirigea vers son moulin. Aupyl avait besoin de farine pour la mairie. Elle en produirait une dizaine de sacs.

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Matouminou
Heureuse Fécampoise
Fière d'être Normande
Verba docent, exempla trahunt
Horloger


DANS LA TAVERNE

Horloger avait écouté Matou avec attention. Lorsqu'elle dit:

Matou a écrit:
Chéri, je viens de penser à quelque chose...l'aide du bourreau? avait-il une clé pour entrer au 3ème sous-sol? Il y a eu accès pour ranger les instruments de torture....


Il répondit:

"Je pense qu'on a dû lui donner un passe, en effet, afin qu'il puisse déposer ses instruments. Soit lui, soit le Bourreau, ce qui est logique, puisqu'ils sont assermentés pour y avoir accès, de par leur fonction."

Lorsque Matou parla de prendre un chien, son visage s'assombrit, et il secoua la tête. L'idée d'un chien lui déplaisait; il n'aimait pas ces bêtes. Affectueuses certes, mais capables du pire aussi; pas question de courir un tel risque avec Mahaut en bas âge. Il lui dit:


"Chérie, je comprends que tu sois inquiète, mais il ne faut pas s'affoler outre mesure. Certes, d'horribles crimes ont été commis, mais nous devons avant tout être vigilants. Il faut absolument veiller à fermer à clef la porte de la maison, et ne jamais laisser Mahaut sans surveillance; moyennant quoi, rien de fâcheux ne doit arriver."

Il l'embrassa tendrement; il savait qu'elle devait partir faire la surveillance de la mairie. Il la suivit des yeux alors qu'elle sortait de la taverne. Il rassembla ses affaires; lui aussi avait du travail à la douane. Il avait pu vérifier, ainsi que Matou le lui avait dit, qu'une page du registre du mois dernier avait été arrachée. Il s'agissait de savoir ce qui était inscrit sur cette page. Tout en serrant la lanière de cuir autour de sa besace, il se doutait déjà d'une partie de la réponse. La page arrachée correspondait à l'entrée des visiteurs étrangers à Fécamp.










pnj


Boitant depuis sa chute, il avait parcouru les villes alentour. Il était revenu en ville, il espéra que les habitants de cette maudite ville avait oublié son visage. Pour plus de sureté, il s'était laissé pousser la barbe. ainsi, il espéra que personne le ne reconnaîtrait. Pour en être sûr, il déambulait assez nonchalament dans la ville depuis plusieurs heures, une canne à la main pour se soutenir à chaque pas. Sa blessure l'avait meurtri et il ne pouvait plus s'enfuir après chaque rapine. Il ne s'attaquait qu'aux écus et diverses babioles, la nuit tombée quand les bonnes gens dormaient d'un sommeil juste.
Passant devant une auberge, il vit un couple dans celle-ci, il reconnut l'homme qui lui avait soutiré son secret de la planque de ses écus. Le regard fier, il entra dans la taverne.
-Bin, le bonsoir m'sieur dame. Tavernier! A bèr! j'ai grand soif.
Matouminou
QUELQUES JOURS PLUS TARD



Alors que le pauvre Heptoilabas avait été jeté dans la fosse commune, faute de famille pour réclamer son corps, l'enquête piétinait. On ne pouvait pas affirmer haut et fort que Pestis était à l'origine de ce crime. Matou avait intégré au quotidien des gestes de prudence. Elle veillait tous les matins et tous les soirs que fenêtres et portes de la maison soient bien fermées. De plus, elle ne quittait jamais Mahaut du regard, même dans le jardin, où il commençait tout doucement à être agréable de s'attarder, elle ne la laissait jamais seule. Tant que cette Yersinia Pestis ne serait pas arrêtée, la jeune femme ne serait pas tranquille. Cependant, elle se gardait bien de montrer son inquiétude à Horloger.
Ils s'étaient retrouvés en taverne, après une dure journée de labeur. Ils appréciaient ces moments de tranquillité ensemble. Ce jour là il n'y avait pas grand monde au Nain juste quelques marchands qui comptaient leur recette de la journée. Matou les reconnut, elle les avait croisés lors de sa surveillance du marché. L'un deux lui fit un signe de tête et se pencha vers la serveuse pour lui dire quelque chose en désignant leur table. Aussitôt, cette dernière leur apporta un pichet de calva. L'homme leur fit un sourire et leva son verre vers eux. Ils le remercièrent en en faisant autant. A ce moment là, la porte s'ouvrit et un homme entra. Matou lui lança un regard machinal. Il avait l'air fatigué et elle nota qu'il boitait. Puis, elle sourit à son mari et continua de siroter son verre.

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Matouminou
Heureuse Fécampoise
Fière d'être Normande
Verba docent, exempla trahunt
Pardallian
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Pardy entra pas bien longtemp derriere l'homme qui boitait,il dit bonjour a l'assemblée et vint vers Horlo et MAtou.

.
ne vous retournez pas ,mais l'homme qui vient de rentrer avant moi,il me semble le connaitre,voila plusieurs jours que je le croise,il me rappelle quelqu'un .
imaginez le sans barbe,cela ne vous dit pas quelque chose ?.

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Matouminou


Matou accueillit Pardy avec un grand sourire. Il se faisait plutôt rare ces derniers temps. Elle l'écouta parler et son sourire se figea. Elle proposa à Pardy de s'assoir avec eux et lui servit un verre de calva. Puis discrètement, elle jeta un oeil vers l'homme qui était attablé deux tables plus loin.Elle le voyait juste de profil. Elle essaya de se l'imaginer sans barbe. Difficile...pourtant Matou était assez physionomiste. Elle murmura à Horloger:

Cet homme te dit-il quelque chose chéri?..il ne m'est pas inconnu, mais je n'arrive pas à mettre un nom sur son visage. Je suis certaine de l'avoir croisé une fois....je me fais peut-être des idées...

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Matouminou
Heureuse Fécampoise
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pnj


Il sentait qu'on le dévisageait, alors afin de briser la glace et surtout trouver un endroit à visiter, il déboursa quelques écus et acheta une bouteille de calva qu'il amena sur la table des habitués et s'assit.

-Bin, le bonjour, on me nomme Malthézer, je fais le métayer depuis fort longtemps.
Avant mon accident, je pouvais courir après les cochons pour les abattre, mais, c'est du passé que tout cela. Je cherche un petit travail pas trop physique, pour gagner ma croûte, z'avez pas ça par hasard?


Il s'adressa plus particulièment au couple qui jugea relativement riche pour pouvoir faire un bon coup.
Horloger


Horloger , assis près de Matou dans la taverne, n'avait levé les yeux que machinalement lorsque la porte s'était ouverte. Une bourrasque de vent marin s'était engouffrée en même temps que l'homme, qui avait prestement refermé la porte avant de s'avancer vers une table libre, en claudiquant, s'appuyant sur une canne. Horlo se tourna vers Matou, tandis qu'il entendait l'homme dire:

L'homme qui boîte a écrit:
-Bin, le bonsoir m'sieur dame. Tavernier! A bèr! j'ai grand soif.


Ils continuèrent à discuter; Matou lui disant que le marché était relativement calme ces derniers temps. Horlo lui répondit qu'il en était de même à la douane; il avait cependant constaté qu'une page du registre était manquante, ainsi que sa femme l'avait vu. Impossible de savoir ce que cette page était devenue. Tous deux se demandaient ce que cela signifiait, lorsque la porte s'ouvrit à nouveau, laissant entrer Pardy. Il referma la porte, et parcourant la salle du regard, vit Matou et Horlo. Il jeta également un oeil à l'homme qui était entré juste avant, et, s'approchant de la table où étaient assis Matou et Horlo, dit, à voix basse:

Pardy a écrit:
ne vous retournez pas ,mais l'homme qui vient de rentrer avant moi,il me semble le connaitre,voila plusieurs jours que je le croise,il me rappelle quelqu'un .
imaginez le sans barbe,cela ne vous dit pas quelque chose ?.


Matou jeta un oeil à l'homme, et Horlo en fit autant. Il buvait son verre, jetant de temps à autre un regard dans leur direction. Horlo n'arrivait pas à se rappeler où il avait pu voir l'homme. Quelque chose dans son attitude lui rappelait quelqu'un, mais il était incapable de se rappeler. Il regarda Pardy, puis Matou, et dit, sans élever la voix:

"Je l'ai déjà croisé, mais je ne me rappelle plus du tout où. Il me dit vaguement quelque chose, mais c'est tout!"

A ce moment, l'homme s'adressa à eux.

L'homme qui boîte a écrit:
Bin, le bonjour, on me nomme Malthézer, je fais le métayer depuis fort longtemps.
Avant mon accident, je pouvais courir après les cochons pour les abattre, mais, c'est du passé que tout cela. Je cherche un petit travail pas trop physique, pour gagner ma croûte, z'avez pas ça par hasard?


Horlo continua à siroter son verre, tout en jetant un oeil à la dérobée à l'homme à la canne. Il avait posé celle-ci contre sa jambe, et Horlo nota qu'elle était taillée dans une branche très noueuse; peut-être du chêne. Les bois noueux poussant dans les endroits pierreux et secs, l'homme devait avoir voyagé pas mal avant de venir...Horlo se fit la réflexion qu'il devrait encore une fois éplucher les registres de la douane, histoire de voir si des visiteurs du Sud étaient arrivés il y a quelques temps.














Matouminou


Matou vit avec surprise l'homme s'avancer jusqu'à leur table. Il posa une bouteille de calva et sans attendre d'y être invité, il s'installa. Son regard passa d' elle à Horloger, puis il dit:
Citation:

Bin, le bonjour, on me nomme Malthézer, je fais le métayer depuis fort longtemps.
Avant mon accident, je pouvais courir après les cochons pour les abattre, mais, c'est du passé que tout cela. Je cherche un petit travail pas trop physique, pour gagner ma croûte, z'avez pas ça par hasard?


Cette voix...Matou l'avait déjà entendu...Elle frissonna malgré elle et sous la table instinctivement saisit la main d'Horloger. Où avait-elle entendu cette voix? Elle regarda attentivement l'homme. Sa barbe bien fournie masquait une bonne moitié de son visage. Ses petits yeux sombres la fixaient. Ses cheveux lui tombaient sur le front. Il n'était pas répugnant à proprement parlé, mais il inspirait une légère pitié à Matou. C'est drôle, elle se souvint d'avoir eu cette même pitié pour...Elle blêmit et regarda de nouveau l'homme attentivement. Elle savait précisément qui il était. L'image de l'homme au pilori lui était apparut brutalement devant les yeux. Elle tenta de se donner une contenance et lui répondit:

J'ai bien un champ de légumes à cultiver demain matin....si ça vous dit. Mais....puis-je savoir ce qu'il vous est arrivé? Vous parliez d'un accident?

Elle sentait la sueur qui dégoulinait le long de son dos. Sa main se crispa sur celle d'Horloger. Comment le prévenir, lui ou Pardy qu'elle savait?
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Matouminou
Heureuse Fécampoise
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pnj


Pas de problème, ma petite dame, les légumes, ça m'ira bien. C'est que ca me fait mal jusqu'en haut des cuisses quand je marche trop longtemps.
Une vieille blessure quand j'étais tout p'tiot. J' travaillais pour l'arban du seigneur, j'faisais des fagots de bois, pis, un sanglier m'a chargé, ça m'a brisé la jambe en tout petit morceaux avant que les autres tuent ce sanglier.


Il se signa

j'ai eu la chance de pas rejoindre Aristote mais je porte encore ma croix. Enfin, ma canne. hahaha!
...
...
Je ne vous ai pas fait peur à rire comme ça, j'espère. Vous semblez avoir vu un fantôme. Bon, on s'attend devant l'église. Vous me montrerez le chemin de votre champ demain?

Il se leva, salua en portant sa main à la tempe. Il prit sa canne, et sortit de la taverne.
Pardallian
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pardy maintenant en était sur ,en voyant la réaction de Matou,c'était bien lui
oui il n'y avait plus aucun doute ,c'était le chapardeur ,pardy s'avait que Matou l'avait elle aussi reconnue.

quand l'homme fut sorti de la taverne ,il dit ses soupçons a ses amis.

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Matouminou


Matou regarda sortir l'homme. Elle avait le coeur qui battait la chamade. Elle tenta de parler mais l'émotion était telle, qu'elle ne put sortir aucun mot. Ce fut Pardy qui prit la parole. Il confirma ce qu'elle savait, c'était bien le chapardeur.
En essayant de retrouver son calme, elle dit aux deux hommes:


Pourquoi cet homme qui a disparu depuis des mois revient-il maintenant? Et surtout pourquoi s'adresse-t-il à nous tout particulièrement?

Elle lâcha la main d'Horloger, main qu'elle n'avait cesser de tenir jusqu'à présent, comme si elle s'accrochait à une bouée de sauvetage, et dit à son mari:

Chéri, c'est toi qui l'a obligé à dire où était l'argent volé....je....crois-tu qu'il pense à se venger?


Matou le regarda, inquiète, elle n'aimait pas la tournure que prenaient les évènements. Pestis rodait quelque part, le chapardeur, qu'on croyait mort ou du moins disparu, réapparaissait. Tout ceci ne présageait rien de bon. Elle leva vers son mari un regard désespéré, ne cherchant même plus à cacher son angoisse.

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Matouminou
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Pardallian
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pardy voyait la peur que ressentait Matou,il n'était lui meme pas tres a l'aise.
mais il se voulait rassurant.


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ne t'inquiete pas Matou ,nous avons un avantage sur lui,nous savons qui il est ,et cela lui ne le sait pas,nous allons le coincer une bonne fois pour toute,ne restes jamais seule ,et puis Horloger est là surtout ,tu ne risque rien ,je vais accentuer mes rondes autour de chez vous.

il faut reconnaitre que cet individu est gonflé de revenir a fécamp,préviens nous quand il viendra pour travailler pour toi.

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pnj
Devant l'église



Après la nuit passée dans une grange, il fouina dans un poulailler, prit deux oeufs qu'il goba. Puis il se rendit au rendez vous sur le parvis de l'église.
C'était jour de marché, les étals ployaient sous les marchandises. L'oeil vif, il vit que les bourses des marchands et des clients n'étaient pas très remplies, l'habitude qui lui faisait évaluer les bourses était toujours présente en lui.
Il attendait que son employeuse du jour soit là, il resta au soleil pour se réchauffer les os.
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