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[RP] le troisième sous-sol

Horloger


Horlo avait fait la tournéee des "victimes" du chapardeur, et avait rendu à chacun son bien, soit une dizaine d'écus. Il restait 3 écus, et tous ceux et celles qui avaient été volés par le chapardeur étaient tombés d'accord pour dire que le reliquat serait donné aux pauvres. Horlo avait fait un détour par l'église, et avait avisé un pauvre hère, accroupi dans le renfoncement de la porte. Vêtu de haillons, il tendait une main décharnée et crasseuse, en baissant la tête. Horlo fouilla sa besace, et, s'approchant de lui, laissa tomber les 3 écus dans la main du mendiant. Celui-ci releva la tête, et Horlo croisa son regard, mélange de reconnaissance et de misère. Il lui sourit, et lui dit:

"Qu'Aristote vous garde, Messire!"

Horlo lui rendit son sourire, et lui répondit:

"Qu'Aristote te garde à toi aussi...aujourd'hui, tu pourras acheter un pain; j'ai vu dans ta sébile que tu avais quelques écus d'avance..." Le mendiant sourit, arborant quelques chicots, et dit, plus bas:

"Vous savez, j'en retire, de ce qu'on me donne; je ne laisse pas tout dans l'assiette, sinon, les gens ne donnent rien...il faut les apitoyer, Ventrebleu, sinon, comment est-ce que je mangerais, moi, tous les jours?"

Horlo sourit, et il était sur le point de partir, lorsqu'il se ravisa, et s'accroupit près du mendiant.

"Dis-moi, l'ami...tu as entendu parler de celui qu'on a appelé le chapardeur? Il est resté au pilori des jours, les gardes lui donnaient à manger..." L'homme sourit de façon fugace, et Horlo vit passer un éclair dans le regard du mendiant.

"Pour sûr, Messire, que je le connais! Un malandrin, assez connu dans les alentours...Aristote sait ce qu'il est devenu!"

L'homme souriait, mi-énigmatique, mi-malicieux. Il ne fallut pas longtemps à Horlo pour comprendre. Il ouvrit sa besace, et en retira trois autres écus, qu'il fit mine de lancer dans la sébile. L'homme fut rapide comme l'éclair; il s'en empara, et les fit disparaître dans ses haillons.
Il baissa la voix, et murmura:

"L'autre nuit, j'étais en train de dormir, dans les buissons, vers là-bas..." Il désigna un bosquet, entre le pilori et l'église. "Hé ben, vous me croirez si vous voulez, mais j'ai entendu une brouette. Elle faisait un bruit! Elle couinait tout ce qu'elle savait! En pleine nuit! J'ai ouvert un oeil, et j'ai vu quelqu'un qui poussait une brouette, et qui allait au pilori. L'autre, le chapardeur, y'a longtemps qu'il ne gueulait plus, vous pensez...des jours accroché là...j'ai attendu, caché dans les fourrés...et la brouette est repassée. Ben, elle n'était plus vide...il y avait quelque chose dedans, le tout recouvert d'une toile de jute. Et j'ai vu quelqu'un la pousser, la brouette. Petit, avec des habits aussi luxueux que les miens...voilà ce que je peux dire..."

Horlo avait écouté avec interêt. Il s'approcha de l'homme, et lui dit:


"Ouvre l'oeil, et le bon. Il se pourrait que d'autres écus viennent rejoindre ceux que je t'ai donnés."

L'homme sourit, et cligna d'un oeil, avant de reprendre sa position prostrée. Horlo se releva, et se dirigea vers les tavernes, afin de voir s'il y avait du nouveau concernant le bourreau et son acolyte.
--Yersinia_pestis


voulez vous que je vous aide...vous avez l'air fatigué...je peux ensuite vous raccompagner chez vous.....vous me raconterez un peu la vie de ce quartier...je cherche quelqu'un à vrai dire...

La jeunette l'avait rattrapé et la collait.
Pff, pas facile de s'en défaire de celle-là
Ah, vous cherchez qui donc? Vous savez, j'en connais pas mal des gueux d'ici. Tiens, visez celui-là, là-bas. Ben il cogne sa femme quand il a bu et il boit souvent, du mauvais calva que l'autre qui habite par là distille, sans autorisation, en plus. M'enfin, vous voulez savoir quoi? et peut-être qu'en mettant le prix, je pourras bien vous éclairer votre lampion.

Tout en disant ceci, elle tendit discrètement sa main, espérant y voir appaître quelques écus.
Cbxlegueux
dans quelques jours je pourrais p-e retourné au troisième sous sol

on peut s'aranger pour une petite visite des lieux que seul quelques privilégié ont eut l'occasion de découvrir, ou de subir....
Matouminou


Matou regarda la vieille femme de plus près...décidément, elle n'arrivait pas à s'ôter de la tête une impression de danger....Elle l'écouta et lui répondit:

Je cherche un homme....assez jeune et mal en point certainement.....il se pourrait bien qu'il se cache ici...

Matou ne pouvait pas en dire plus, seule, elle se savait vulnérable...elle aurait aimé savoir où habitait cette femme. Elle regarda autour d'elle, de vieilles bicoques tenaient on ne sait comment, les ruelles étroites étaient boueuses...ici et là on pouvait voir des tas d'immondices où poules et cochons se disputaient le privilège d'une pitance peu ragoutante....des odeurs de fumier lui arrivèrent jusqu'aux narines. Elle n'avait qu'une envie....fuir... Et puis, elle devait se tromper certainement...Ce n'était qu'une pauvre vieille sans le sou...elle eut un mouvement de pitié et sortit quelques écus qu'elle lui déposa dans la main,
puis elle lui dit:


Si vous vous souvenez de quelque chose, si vous croisez un visage inconnu ou si vous entendez parlez de quoi que ce soit, n'hésitez pas à me contacter à la maréchaussée....et.....qu'Aristote vous garde....

_________________
Matouminou
Heureuse Fécampoise
Fière d'être Normande
Verba docent, exempla trahunt
--Yersinia_pestis


Pfff, ma pauvre dame, des hommes jeunes, c'est pas s'qui manque par ici. D'ailleurs, si je pouvais m'en trouver un. Et des mal en point, ça non plus, ça manque pas. Vous croyez qu'on bouffe à not'e faim tous les jours, dans le coin? Pfff, z'êtes loin de savoir tout.

La dame lui donna quelques écus dans sa main tendue, elle referma celle-ci prestement pour éviter la convoitise des autres gueux qui les observaient.

M'enfin, je verrais si je trouve quelques . . . . . . . renseignements. Z'êtes bien bonne, ma dame.

Puis Yersinia repartit vers un lopin de terre voisin et coupa de l'herbe avec sa faucille. Elle avait réussi à berner la sergente, et espérait la revoir dans les prochains jours en lui donnant de fausses informations, tout en lui soutirant quelques écus.
pnj


Sur la place du village

Il était resté caché, honteux sous l'estrade des exécutions. Il avait dormi, roulé en boule, cuvant son vin. Le bruit de la foule s'était estompé depuis longtemps. Il souleva le drap qui cachait les madriers, et regarda au dehors. Les gens étaient indifférents, ils avaient attendus le spectacle, et celui ci avait été reporté aux calendes grecs. Heptoilabas sortit de sa cachette, se dirigea vers un abreuvoir, s'y plongea la tête dedans. Une mare irisée apparut à l'endroit où ses cheveux gras avaient plongé.

Il regarda autour de lui, cherchant son maître du regard. Rien. Il se rémémora, qu'un soir de beuverie il lui avait confié qu'il allait souvent voir les filles de petite vertu. Heptoilabas se renseigna auprès des passants, dans quel coin, il devait se rendre pour trouver ces dames et retrouver son mentor. A cause de son tact grossier et mal élévé, la moitié de la ville fut presque au courant des moeurs de son maître.
Matouminou


DANS LES BAS FONDS DE FECAMP

Elle écouta distraitement la femme en hochant la tête. Elle venait de réaliser qu'elle ne connaissait même pas son nom, elle la regarda s'éloigner avec un sentiment d'impuissance. Autour d'elle, quelques personnes s'étaient attroupées. Avaient-ils vu qu'elle avait donné quelques écus à cette femme. Elle frissonna et commença à avoir peur. Il était grand temps pour elle qu'elle quitte ce quartier glauque. Elle avisa cependant, une femme qui tenait dans ses bras un bébé. Un petit garçon pleurait accroché à sa jupe rapiécée à plusieurs endroits. Son coeur se serra, elle pensa à Mahaut ....

S'il vous plait brave dame....vous connaissez la vieille femme qui s'éloigne là-bas?

La jeune femme, car elle semblait encore bien jeune malgré son visage marqué par la misère et une vie certainement trop lourde à porter, haussa les épaules et lui répondit:

c'te vieille ? J'la connais point et pourtant j'vis ici d'puis ma naissance...elle est point du quartier....j'peux vous l'dire....j'l'avions vu une fois ou deux...elle fait peur à mon p'tit gars....j'la trouve pas nette....enfin...des gens louches, ici...y'en a un paquet.....j'sais juste qu'elle s'appelle Pestis.....
Z'auriez pas une p'tite pièce?


Matou la regarda avec pitié et lui donna quelques écus en espérant qu'elle les dépenserait pour nourrir ses enfants et non pour boire quelques verres de calva. Elle retint que cette vieille n'était pas du quartier et qu'elle s'appelait "pestis". Puis après avoir remercié la jeune femme, elle s'éloigna, heureuse de sortir de cet endroit . Cependant, elle reviendrait tirer tout ça au clair. Il fallait qu'elle se renseigne à la mairie si il y avait un registre des personnes habitant ce quartier. Puis elle se souvint que c'était un sacré bazar en ce moment et que le maire avait certainement d'autres chats à fouetter...elle demanderait à Aupyl....il savait tout....

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Matouminou
Heureuse Fécampoise
Fière d'être Normande
Verba docent, exempla trahunt
--Yersinia_pestis


Tout en coupant l'herbe, elle regardait du coin de l'oeil si la femme la suivait et l'observait. A première vue, tout allait bien, mais ses sens furent en alerte quand elle la vit discuter avec une autre déguenillée accompagnée d'enfants. Elle les vit tourner la tête vers elle plusieurs fois. Cela ne présageait rien de bon. Puis elle la vit partir vers les beaux quartiers.

Elle prit l'herbe coupé dans son tablier, puis rentra chez elle. Elle déposa l'herbe dans les clapiers où trois malheureux lapins ne grossissaient peu.
D'où elle était, elle voyait la ruelle, et elle vit la femme et ses enfants, qui avaient sans doute informé la sergente, qui passaient.
-Hep, petit, tu veux voir comment je tue mes lapins?
Le gosse demanda a sa mère qui le laissa aller voir. Dès qu'il fut près de lui, et hors de portée de vue de sa mère, elle le frappa vivement avec sa faucille au niveau du coup: les carotides furent tranchées nettes. Le môme n'eut pas le temps de dire quoi que se soit en portant ses mains à sa gorge tranchée. Elle traina le corps dans un coin de son jardin. Puis elle couru rattraper la gueuse et son bébé.
-Ho! Je crois que ton gamin, l'aime pas la vue du sang. il s'est évanoui.
Elles revinrent vers le jardin, la mère voyant son gamin ayant encore des soubressauts de vie qui s'échappaient, allait se mettre à hurler quand Yersinia qui avait saisi une pelle lui asséna un violent coup avec le tranchant sur la malheureuse.
-Tu lui as dit quoi à cette saleté de flic, hein? Raclure, ribaude!! Tu vas parler!!
La rage et la haine des gens qui l'étreignait lui enlevaient tout discernement, et elle frappait, frappait, interrogeant plus qu'un corps sans vie. Yersinia ne vit pas le bébé écrasé sous le poids du corps de sa mère.
Elle rentra retrouver son chapardeur en ayant l'air de rien.
pnj
Chez elle

Quelle idée il avait eu de vouloir se lever. En s'appuyant sur Yersi et se hissant, il avait laché prise et glissé. La chute avait cassé son poignet salement, il avait pu voir des morceaux d'os dépassant de ses chairs. Il s'était retenu de ne pas hurler et dévoiler sa présence. Elle l'avait soigné en le regardant presque amoureusement, mais il ne ressentait aucune attirance pour elle voire une certaine répulsion. Elle lui faisait peur.
Sans doute le contrecoup de son accident, il se sentait de plus en plus faible. Le bandage autour de son poignet sentait une odeur de sang séché mais qui tirait vers la pourriture. Cela lui faisait peur d'avoir perdu son agilité pour s'emparer des écus des bourses.

Ce jour là, il la vit rentrer, les vêtements maculés de sang, le regard très bizarre, le même regard qu'il avait pu entre apercevoir par la cagoule du bourreau. Mais voyant un lapin mort dans sa main, il se ravisa: enfin de la viande à manger. Ca ne pourrait lui faire que du bien.
Mithryn


Mith était longtemps resté en dehors de cette histoire de chapardeur... Peu de choses l'intéressaient en dehors du calva. Ce fût certainement cette amour inconditionnel a la boisson qui l'empêcha d'accéder a un poste digne de ce nom.
Il était cependant une source d'informations inépuisable du fait de la renommée du Nain Salubre. Mith était réputé pour offrir nombre incalculable de verres de calva en une soirée, ce qui avait comme effet de délier les langues de certaines personnes.
Ayant apprit l'existence d'un homme -des bas quartiers de la ville- qui distillait son propre calva. Il s'était fait rouler par cette homme qui lui avait vendu sans y faire gaffe un tonneau de calva, qui fût d'un goût atroce. Il eut donc l'idée d'aller brûler la bicoque du salaud qui avait osé.

En chemin, perdu dans ses pensées, la main caressant son menton, il essayait de se souvenir de la maison où se trouvait la distillerie clandestine. Soudain il se heurta a une dame, qui était elle aussi dans ses pensées...Elle sursauta vivement et releva le menton.

C'était Matou...


Bah Matou, ça va pas? Tu as l'air préoccupée! Mith s'avisa rapidement d'où venait Matou et fronça les sourcils...
Tu sais que les représentants de la loi ne sont pas les bienvenues dans le coin...tu cherches a te faire dépouiller ?

Il la gratifia d'un sourire réconfortant et attendit l'explication de Matou quand a sa présence si près de la banlieue mal famée

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Matouminou


Matou laissa derrière elle cet endroit qui lui faisait froid dans le dos...Elle était préoccupée et les quelques informations qu'elle avait lui semblaient bien maigres. Perdues dans ses pensées , elle marchait quand soudain, elle se heurta à un homme de haute stature. Elle leva les yeux et reconnut Mithryn. Immédiatement, elle lui sourit, heureuse de voir un visage ami. Elle allait s'excuser lorsqu'il lui dit avec un air étonné:

Bah Matou, ça va pas? Tu as l'air préoccupée!
Tu sais que les représentants de la loi ne sont pas les bienvenues dans le coin...tu cherches a te faire dépouiller ?


Je sais, je sais....mais je suis toujours à la recherche du chapardeur.....

Elle prit Mith par le bras et parcourut quelques mètres avec lui:

Tu as vraiment raison, cet endroit fait peur...mais je pensais y recueillir quelques renseignements...dis moi Mith....toi qui as trainé tes chausses dans pas mal d'endroits...comment tu t'y prendrais pour avoir des informations sur une personne? J'ai un nom et je voudrais vérifier le passé de cette personne...tu crois que c'est possible?

Il la regarda perplexe. Elle continua avec un petit sourire:

Au fait? Et toi que viens-tu faire par ici?....ce n'est pas du tout le chemin ni pour aller à ta forge, ni pour aller au "Nain"

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Matouminou
Heureuse Fécampoise
Fière d'être Normande
Verba docent, exempla trahunt
Mithryn


Tu as vraiment raison, cet endroit fait peur...mais je pensais y recueillir quelques renseignements...dis moi Mith....toi qui as trainé tes chausses dans pas mal d'endroits...comment tu t'y prendrais pour avoir des informations sur une personne? J'ai un nom et je voudrais vérifier le passé de cette personne...tu crois que c'est possible?

Aaaah c'est donc ça... tu reviens de là bas pour obtenir des informations sur des gueux... Mais si tu passais ne serais-ce qu'un peu plus de temps au Nain le soir tu verrais que les vieux paysans crasseux de ce quartier miteux, viennent boire les écus durement mendiaient la journée...enfin surtout un.
Je te le présenterais quand on sera là bas... Il t'aidera surement, mais pas gratuitement... espérons qu'il aura satisfait ses pulsions sexuelles quand on lui demandera des informations.



Au fait? Et toi que viens-tu faire par ici?....ce n'est pas du tout le chemin ni pour aller à ta forge, ni pour aller au "Nain"


Mith eut a cette question un sourire forcé et se mit a rire comme un abrutis et a se gratter la tête:

Ohhh tu vas rire!! Justement l'informateur là... bah il m'a dit que c'était un bon coin a champignons ici! Et comme c'est la saison...on va pas attendre que l'été nous brûle la mai...la forêt! héhé! Enfin je reviendrais un autre jour...ils vont pas s'enfuirent ...ces raclures...Il insista en serrant la mâchoire.

Bon, retournons dans notre quartier paisible...Ça pue la mort là bas. Peut-être grâce au sang et aux cadavres des personnes assassinés dans ces bosquets que les champignons poussent si bien...

Ils partirent tout deux en direction du Nain... Mith ne prit même pas la peine de lui demander qui elle cherchait, trop absorbé par une tâche qu'il accomplirait plus tard certainement...Son avis qu'il reviendrait bientôt dans ce quartier. Ne serais-ce que pour suivre Matou qui faisait trop sa fouineuse là où elle risquait sa vie...

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Matouminou
Matou écouta Mith et au fur et à mesure qu'il parlait, elle sentit la colère monter en elle, elle se campa devant lui et lui jeta à la face:

Dis moi, Môssieur l'imbibé de calva 24h/24h....ta taverne...si je n'étais pas là...il n'y aurait pas un chat...enfin si moi!!!Alors un ton en dessous...de toute façon...j'en ai marre de passer mon temps à laver les verres et à nettoyer les latrines...sans compter que bonjour les discussions....ça vole pas haut....Moi qui rêvais d'un joli petit salon de thé avec des échanges littéraires...ben non....je suis obligée de supporter tous les poivrots de Fécamp et le plus grand c'est TOI!!!!

Elle se dirigea d'un pas décidé vers la taverne du Nain, prête à remettre à sa place quiconque lui ferait une réflexion de travers. Mith la rattrapa et lui dit en rigolant qu'il connaissait quelqu'un qui pourrait peut-être lui fournir des renseignements:

Je te le présenterais quand on sera là bas... Il t'aidera surement, mais pas gratuitement... espérons qu'il aura satisfait ses pulsions sexuelles quand on lui demandera des informations.

Elle lui jeta un oeil et sans s'arrêter de marcher lui répondit:

Ah oui? encore une idée sortie tout droit de ta petite cervelle? un informateur? vraiment? Mith ...te fiche pas de moi...et c'est quoi cette histoire de pulsions sexuelles? J'm'en vais te calmer tout ça....un bon coup de pied bien placé et il va parler l'informateur...enfin s'il existe!!! Avec toi Mith, je m'attends au pire!!!

Ils étaient arrivés au Nain. Mith eut la délicatesse d'ouvrir la porte et de s'effacer pour la laisser passer. Elle le toisa de haut en bas et le remercia du bout des lêvres. Puis avec un sourire très professionnel, elle s'installa à sa place habituel et salua tout le monde.
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Matouminou
Heureuse Fécampoise
Fière d'être Normande
Verba docent, exempla trahunt
Mithryn
Mith avait fait pas mal d'effort pour Matou et avait même remit une pendaison de crémaillère a plus tard pour lui présenter Huggylesbonstonneaux. l'informateur le plus réputé qu'il connaissait a Fécamp. Très discret, il n'en sait pas moins sur les bouseux des bas quartiers. S'avisant de sa présence dans la taverne, Mith alla chercher Matou qui s'était installée derrière le comptoir...
Il la traina jusqu'à l'homme, qui était adossé a un pilier, un verre à la main et un sourire narquois.




Mith entama la conversation...

Salut huggy! Alors ce calva, toujours a ton goût ? Te barre pas sans payer ce coup là...
Tiens en parlant de me payer... Si tu me donnes quelques informations, je veux bien effacer ta dette...
Cette dame a quelques questions pour toi, essayes d'être précis ce coup là... Et tu auras peut être une récompense.


Il sourit et attendit sa réponse...
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--Huggylesbonstonneaux


Huggy vit arriver le patron de la taverne... Il le tolerait dans sa taverne au début, puis au bout d'un moment, Huggy était devenu indispensable pour régler certaines affaires. La donne avait changée... Il récoltait toujours de quoi boire sans dépenser le moindre sous. C'était le paradis de se faire payer des verres aux frais du patron.
Il était accompagné d'une charmante jeune femme...qu'il connaissait...une fouineuse pour sûr, la sergente en personne. Il ne put s'empêcher de deviner que ce ne serait pas Mithryn le demandeur d'infos cette fois si.
Mith fut le premier a l'aborder...


Salut huggy! Alors ce calva, toujours a ton goût ? Te barre pas sans payer ce coup là...
Tiens en parlant de me payer... Si tu me donnes quelques informations, je veux bien effacer ta dette...
Cette dame a quelques questions pour toi, essayes d'être précis ce coup là... Et tu auras peut être une récompense.


Tu me feras toujours rire...tu sais bien que je paie toujours mes dettes en échange de quelques broutilles...et la petite dame, je veux bien qu'elle me paye de la même manière...en nature! Mith lui fit non de la tête en faisant un rictus qui en disait long sur le caractère de la dame... Huggy hocha la tête en souriant et aborda la dame:

Alors M'Dame la sergente, ça sera quoi pour vous servir ? Enfin pour me servir un verre...
On a des problèmes avec des malandrins ? Allez-y poser vos questions que je puisse me rincer la gorge après!


Il croisa les bras et attendit avec un sourire édenté l'interrogatoire
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