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[RP] le troisième sous-sol

Mithryn
Matou prit en charge de prodiguer les premiers soins a son bras sanguinolent. Ce qui ne manqua pas de lui brailler quelques jurons quand cette dernière lui appliqua le contenu de sa dernière flasque de calva. Elle cru ensuite bon de lui arracher un autre morceau de sa chemise pour appliquer un tissu neuf sur la plaie fraichement nettoyée.
Il se retrouva ainsi avec une chemise en lambeaux et un bras inutilisable... Il avait la parfaite apparence du gueux du quartier...pratique pour se fondre dans la masse. Enfin c'était pas vraiment sa tasse de thé de passer pour un va-nue-pied.


Voilà...il faudra quand même te faire soigner...ce serait dommage que tu perdes ton bras....bon, on n'a plus de temps à perdre maintenant. Les pleurs de ce bébé viennent de cette bicoque là-bas...Allons-y


Pendant qu'ils se dirigeaient vers la maison de cette fameuse Pestis, les cris et pleurs du bébé avaient cessés. Trouvant difficilement leur chemin sans les bruits du bébé, ils se guidèrent grâce au balancement de lumière des torches dans la nuit.
Ils entendirent un léger bruissement venant du champ sur leur droite mais ne goutèrent peu a l'envie d'aller vérifier le pourquoi de ce bruit...surement un animal........
Ils arrivèrent en vu de la baraque d'où plus aucun bruits filtraient. Peu courageux, Matou, Horlo et Mith se tournèrent vers le gros bras d'Aupyl pour lui demander gentillement de passer devant.
L'homme entra doucement et plissa le front quand la porte se mit a grincer. L'homme, dans l'encadrement de la porte, fit une grimace.
Curieux de savoir le pourquoi du comment, Mith se faufila entre l'homme et le battant pour voir...


Oh bordel...On a mit le nez dans une affaire assez sordide...

Il recula pour laisser a la vue de tous le bébé éventré qui gisait sur le lit.

La personne qui a fait ça est partie il y a peu... Elle a tout laissé en plan. Le foyer encore brûlant, une soupe en train de mijoter dessus... Elle n'a pas prit le temps de cacher le corps du fait que quelqu'un soit passé par ici, ou bien nous...On peut pas dire qu'on était discret.

Il s'agissait sans doute de la maison de cette Pestis. La similitude des meurtres avec une telle sauvagerie... Ça ne pouvait qu'être elle.

Faut la retrouver avant qu'elle ne fasse d'autres meurtres...surtout dans le genre. Mais ça nous ôte un doute, elle n'était pas la femme qui a délivré le chapardeur, sinon il serait ici...et probablement mort.
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Matouminou
Silencieusement et en s'éclairant comme ils pouvaient à l'aide des torches, ils se dirigèrent vers la maison. Les cris du bébé cessèrent et il devint alors difficile de se diriger. Cependant, ils arrivèrent quand même en vue de la maison. Courageux mais pas téméraires, ils laissèrent passer devant eux Gigi, l'homme de main. Matou le vit faire une grimace. Elle imagina le pire. Mith passa devant et s'esclaffa:

Oh bordel...On a mit le nez dans une affaire assez sordide...

Mith se retourna, il était blême. Il s'écarta. Elle n'eut pas le temps de détourner le regard. La scène qui s'offrit à ses yeux était indescriptible d'horreur et de violence. Elle s'écarta et bousculant Horloger alla vomir un peu plus loin. Son corps entier était secoué de sanglots. Elle entendit vaguement Mith dire que la maison était vide depuis peu. Elle essaya de reprendre le contrôle d'elle même , en vain, elle tremblait de tous ses membres....elle revit le bébé éventré et ne put retenir un long gémissement. Mith poursuivit:

Faut la retrouver avant qu'elle ne fasse d'autres meurtres...surtout dans le genre. Mais ça nous ôte un doute, elle n'était pas la femme qui a délivré le chapardeur, sinon il serait ici...et probablement mort.
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Matouminou
Heureuse Fécampoise
Fière d'être Normande
Verba docent, exempla trahunt
Horloger


Horloger avait fait un pas dans la maison. Le spectacle était d'une sauvagerie sans nom. Le corps du bébé gisait sur le lit, éventré. Il ferma les yeux, et un bruit attira son attention. Une soupe bouillonnait sur le feu. Horlo prit la louche qui était accrochée au rebord de la marmite, et jeta la soupe sur le feu; les flammes battirent en retraite, et finirent par s'éteindre. Il n'était nul besoin de mettre encore le feu à une maison. Rapidement, il embrassa la pièce du regard. Un lit, dans l'angle, près de la cheminée; quelques planches clouées au mur en guise d'étagères; une table rustique au milieu. Nulle trace du chapardeur...il enleva sa chemise, et recouvrit le corps de l'enfant. Il sortit, et alla réconforter Matou, l'enlaçant tendrement, tandis que Mith et l'acolyte d'Aupyl, encore choqués, se tenaient devant la maison, le regard vide.
Horloger se mit à réfléchir, tandis que Matou se calmait dans ses bras. Tout cela n'était pas clair; ou bien trop clair. Il se tourna vers les hommes, et, regardant Matou et eux alternativement, dit:


"Bon. La première chose à faire va être de retrouver cette femme. Mais, après tout, rien ne prouve encore que ce soit elle..."

Il fit une courte pause, et reprit:

"Le chapardeur est, lui aussi, introuvable. Nous pensions qu'il était peut-être ici; c'est raté...mais qu'est-ce que dit que ce n'est pas lui qui ait tué ce pauvre gosse?"
Matouminou


Matou sanglota encore un moment dans les bras de Horloger. Elle réussit à se calmer grâce à la présence réconfortante de son compagnon. Mith et la baraque sur pied ne disaient rien et semblaient encore sous le coup de l'émotion. Nul, en effet, n'est préparé à un tel spectacle. Elle regarda Horloger qui prit la parole:

"Bon. La première chose à faire va être de retrouver cette femme. Mais, après tout, rien ne prouve encore que ce soit elle...Le chapardeur est, lui aussi, introuvable. Nous pensions qu'il était peut-être ici; c'est raté...mais qu'est-ce que dit que ce n'est pas lui qui ait tué ce pauvre gosse?"


Elle sentit un frisson la parcourir. Elle avait froid et était fatiguée. Les trois hommes n'avaient pas bonne mine non plus. Mith était blessé. Leurs torches commençaient à donner des signes de faiblesse. La sienne s'était éteinte. Autour d'eux aucun bruit, la nuit était déjà bien avancée. De temps en temps, le cri d'un oiseau nocturne retentissait. elle se serra contre Horloger et murmura:

On devrait rentrer...il faut signaler ce crime...c'est bien le bébé de la femme qui a été assassinée...je suis sûre que Pestis est responsable de tout ça...cette femme et dangereuse...on doit la retrouver....mais nous devons nous reposer..ça ne sert à rien de rester ici...on ne trouvera plus rien...

Elle se tourna vers Mith et, regardant le bandage rougi de sang, elle lui dit:

Tu dois te faire soigner au plus vite....la blessure est peut-être plus profonde que tu ne le penses....

Elle avait hâte de quitter ce quartier, elle voulait oublier la vision d'horreur qu'elle avait reçu de plein fouet...elle voulait serrer sa fille dans ses bras, sentir son petit corps chaud, vivant contre elle. Elle voulait fermer les yeux ...oublier....hélas elle savait que le spectacle de ce bébé la poursuivrait encore longtemps. Elle ravala ses larmes et dit d'une voix tremblante:

Rentrons...je... je... crois qu'on a eu notre.... content pour cette nuit!!

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Matouminou
Heureuse Fécampoise
Fière d'être Normande
Verba docent, exempla trahunt
Matouminou
Ils sortirent du quartier et se dirigèrent vers le centre de Fécamp, ils avaient froid et étaient encore choqués par ce qu'ils avaient vu. Ils ne prononcèrent pas un mot mais tous savaient que cette affaire n'était pas finie. Arrivés sur la place de la mairie, ils se séparèrent pour rentrer chez eux. Matou se serra contre Horloger. Elle n'aspirait qu'à une chose, retrouver la quiétude de leur maison.
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Matouminou
Heureuse Fécampoise
Fière d'être Normande
Verba docent, exempla trahunt
pnj
Sire De Ducastel entra dans la cave , et regarda les lieux avec effroit...Il se souvint de Jadeeleonore , qui l'avait quittée...
Quand il fut remis , il s'assit sur une chaise et décida d'attendre la venue d'une personne ...
--Lebourreaurouge


Le Bourreau, après avoir fait affûter sa hache chez Horloger, était reparti au Nain, où il logeait. de temps à autre, il revenait vers le Bas Fécamp, le quartier où le meurtre sordide avait eu lieu; mais également le lieu de toutes les débauches. Il avait retrouvé, durant quelques jours, la même bonne ribaude. Ce quartier, ainsi que les filles, étaient le pendant de la noirceur de son métier. Il avait besoin de penser à autre chose, et elles étaient là pour ça...bien sûr, il se retrouvait délesté de quelques écus, mais le jeu en valait la chandelle.

En descendant l'escalier de bois menant à la salle principale, il se demanda où était passé le chapardeur. Cela faisat également bien longtemps qu'il n'avait pas croisé en ville l'homme silencieux de la taverne; ni la jeune femme; ni le propriétaire de la taverne. Il partait souvent aux aurores; rentrait à point d'heure...pas évident, dans ces conditions, de trouver quelqu'un pour discuter. Et Heptoilabas! celui-là...disparu corps et biens!

Il attrapa une chaise, et s'y assit à califourchon, posant sa tête entre ses bras. La cagoule rouge le masquait. Il essaya de réfléchir à toute cette affaire. Quitte à rester coincé dans cette ville, autant essayer de retrouver ceux qui avaient disparu...il lui fallait déjà essayer de revoir les dernières personnes qu'il avait vues. Horloger, ainsi que la jeune femme, sa compagne...peut-être passeraient-ils en taverne. Il ne les croisait jamais au marché; il y était souvent à l'heure ou les marchands remballaient; il n'aimait pas les regards sur lui; la foule...il préférait se tenir à l'écart des gens. Ce n'est pas au marché qu'il pourrait avoir des nouvelles; les gens refusaient de lui parler. Il se versa un verre de calva, et décida d'attendre qu'une des personnes qu'il avait déjà croisées passe ici. C'était le plus sûr moyen de ne plus les rater...
Matouminou
Le jour commençait à peine à se lever. Il faisait froid et l'humidité ambiante traversait les vêtements. Le petit groupe se hâtait vers le "Nain", pressé de trouver un peu de chaleur.



Matou entra dans la taverne encore bouleversée du spectacle qu'elle n'avait pu éviter de voir. Les images du bébé éventré lui revenaient à l'esprit, violentes, précises et terrifiantes. Mith et Horloger la suivaient. Ils avaient signifié son congé à l'homme de confiance d'Aupyl.
Il y avait peu de monde à l'intérieur. Quelques hommes qu'elle reconnut. C'était des commerçants qui venaient s'installer comme tous les matins sur le marché. Ils avaient certainement l'habitude de boire un petit calva avant de commencer leur longue journée. Elle balaya la salle du regard et se figea. Assis à une table non loin de la cheminée , se trouvait le Bourreau. Elle fit la grimace. Ce n'était pas vraiment la personne qu'elle avait envie de rencontrer à cette heure. Elle se tourna vers Horloger et Mith et leur murmura en désignant d'un mouvement de la tête l'homme:

Il est toujours là lui? je me demande ce qu'il peut bien attendre....son client s'est échappé....!



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Matouminou
Heureuse Fécampoise
Fière d'être Normande
Verba docent, exempla trahunt
--Lebourreaurouge


Le Bourreau regarda la porte de la taverne s'ouvrir. Ah tiens, les gens qui étaient partis en quête du Chapardeur...il finit prestement son verre, et se resservit, en jetant un oeil sur le groupe qui venait d'entrer. La femme le regardait avec méfiance; mais il avait l'habitude. Cela ne lui faisait plus rien, ou si peu! D'un geste, il leur désigna les chaises devant lui.

"N'ayez craintes, Messires et gente Dame, je ne fais pas mal! J'en veux pour preuve qu'aucun de ceux que j'ai raccourcis ne s'est plaint!"

Il partit d'un grand rire, avala une rasade de calva, et s'essuya la bouche du revers de sa manche.

"Alors, avez-vous des nouvelles de celui que vous appelez le Chapardeur? Et auriez-vous également des nouvelles de mon aide, Heptoilabas? il semble qu'ils aient disparu corps et biens, tous deux!"
Matouminou


Elle entendit le Bourreau Rouge les interpeler.

"N'ayez craintes, Messires et gente Dame, je ne fais pas mal! J'en veux pour preuve qu'aucun de ceux que j'ai raccourcis ne s'est plaint!"

Quel horrible bonhomme, en plus il faisait de l'humour! Ils s'approchèrent de lui et s'installèrent sur les chaises qu'il leur désignait. Matou était épuisée par cette nuit affreuse. Ses idées étaient confuses. Il pousuivit:


"Alors, avez-vous des nouvelles de celui que vous appelez le Chapardeur? Et auriez-vous également des nouvelles de mon aide, Heptoilabas? il semble qu'ils aient disparu corps et biens, tous deux!"


Elle se tourna vers Horloger et Mith et leur dit d'une voix remplie de lassitude:

Racontez lui...moi je ne peux pas...

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Mithryn
Racontez lui...moi je ne peux pas...


N'étant pas très enclin a parler de cette fâcheuse histoire, Mith attendit qu'Horlo si colle...Celui-ci ne tint mots a propos de leur enquête.
Ennuyé par ce silence, il finit pas la brisé:


On revient des bas quartiers... On pensait qu'une personne aurait pu nous renseigner un peu mieux a propos du chapardeur...une certaine pestis. Elle agissait bizarrement ces derniers temps, sortant de plus en plus de chez elle pour faire des emplettes...De plus les gueux lui remettaient sur le dos le meurtre d'une femme et d'un de ses enfants.
Pour faire taire toute ambigüité elle a recueilli le bébé d'après les habitants...Nous sommes allés voir dans sa demeure, peut-être avec la chance d'y trouver le chapardeur...On n'y a rien trouvé. Personne, même pas cette fameuse pestis...


Il ne dit rien a propos du bébé retrouvé mort pour la simple et bonne raison qu'il ne voulait pas que cette horreur s'ébruite. De plus des gens mal intentionnés pourraient mettre cette affaire sur le dos du petit groupe. C'était facile d'accuser autrui.


On pense qu'elle s'est enfuie, quand nous étions sur la route de chez elle, on a entendu quelqu'un courir dans les champs...Impossible d'aller vérifier qui y était, déjà car dans la nuit c'est compliqué, et ça aurait pu être un animal ou autre saloperies domestiques.

Il grimaça en touchant son bras qu'un chien avait profondément mordu. Il se congratula malgré tout pour le désordre qu'il avait pu mettre cette nuit là...Au moins il n'avait rencontré personne sur le retour, étant tous activés a éteindre le feu qui s'était légèrement propagé.

Pour ton aide...aucune nouvelle. Il mène peut-être sa propre enquête... Je demanderai a Huggy si il a une quelconque information a propos de ce gamin...

Il haussa ensuite les épaules, imageant ainsi l'avancée de leurs fouilles...nulle. Ils étaient toujours au point de départ. Il avait simplement découvert une meurtrière...Et pas n'importe laquelle, une meurtrière d'enfants et femmes sans défenses et qui plus est, en liberté!
Cette affaire tournée vraiment dans tous les sens. On voulait simplement tuer un simple jeune voleur a la tire...pour "montrer l'exemple". Le fait est que maintenant, une femme encore plus dangereuse se baladée dans la nature...
Son attention n'était plus vraiment tournée vers le chapardeur...
Il but une rasade de calva et se tut pour laisser la paroles aux autres...

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Matouminou


Mith avait fort bien résumé la situation. Matou admira le tact avec lequel il avait passé sous silence l'assassinat du bébé. Il est vrai qu'il valait mieux que cette épisode dramatique n'arrive pas aux oreilles de tous les fécampois. Cela ne ferait qu'attiser la peur et déclancherait peut-être une vague inutile de paranoïa. Cependant l'affaire n'était pas à prendre à la légère. Pourtant, il lui semblait que la situation leur échapper. Comme le faisait fort justement constaster Mith, on ne savait pas où se trouvait Pestis et c'était inquiétant. Quant au chapardeur, selon son implication dans cette épouvantable histoire, il devait se terrer quelque part.

Votre client....il a séjourné chez cette Pestis, j'en suis certaine...laissa-t-elle échapper du bout des lèvres.

Elle regarda Mith et lui dit:


Tiens c'est vrai....Huggy...peut-être a-t-il de nouveaux tuyaux!!

Elle posa sa tête sur l'épaule de Horloger, elle se sentait si fatiguée...rien n'avait avancé...ils étaient dans une impasse.
Elle sentit ses paupières se fermer , cette nuit interminable avait été chargée en peurs et en émotions diverses. Il fallait qu'elle dorme. Elle sentit Horloger l'enlaçait, les bruits s'estompèrent. Elle sombra dans le sommeil....

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Matouminou
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Horloger


Horloger réveilla doucement Matou. Ils étaient tous exténués, et avaient besoin de sommeil. Il se leva, et s'adressant au Bourreau:

"Messire, je crois que vous avez votre chambre à l'étage. Nous allons rentrer, pour notre part; nous commençons à être épuisés, et n'avons plus les idées claires. Je vous propose que nous nous retrouvions ici demain, afin de voir si nous pouvons recouper nos informations. Inutile de persévérer dans nos états; cela serait en pure perte."

Il salua le Bourreau, puis serra la main de Mith. Matou se leva, et ils sortirent de la taverne, laissant Mith et le Bourreau seuls. Matou et Horloger avaient vu des choses abominables durant ces derniers jours, et il leur fallait un peu de temps, et de sommeil, pour récupérer.

Ils sortirent dans la nuit; le froid vif les saisit. Ils pressèrent le pas, afin de rentrer chez eux; ils récupèreraient Mahaut en passant.
Aupyl


Aupyl avait apris toutes ces tristes nouvelles. Fécamp devenait un cloaque terrifiant. Il ne comprenait pas comment on pouvait laisser des criminels impunis tels en ville. Le maire devait faire quelque chose, soit bruler tout le quartier, soit éliminer cette racaille par des moyens plus brutaux.

Il retourna vers une taverne pour essayer d'avoir plus d'informations sur ces crimes.

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en cours de réalisation.
pnj


Il se promenait dans les ruelles de Fécamp quand une femme qui semblait avoir le diable aux trousses, le bouscula à un angle de rue, ils tombèrent tous deux l'un sur l'autre. Elle l'avait dévisagé rapidement:
-Eh mais? vous êtes l'aide du bourreau, vous? C'est vrai que vous connaissez des choses qu'on connait pas?
Il avait sourit puis voulant l'impressionner, il lui avait proposé de lui faire visiter l'antre de l'horreur qui se trouvait sous la mairie. Ils avaient pris des chemins détournés pour ne pas se faire repérer, et ils descendirent dans les entrailles de la mairie.
Elle avait émis le risque de se faire surprendre dans un endroit interdit, il avait donc barré la dernière porte avec un épar.
Le peu de clarté qu'apportait la torche éclairait les ustensiles de torture. Elle frissona et se rapprocha d'Heptoilabas. Il se sentit tout penaud de se sentir attirant, cela ne lui avait jamais arrivé. Elle l'enlaca, le fit tourner un peu, puis d'un coup sec, elle porta tout son poids sur lui pour le faire reculer, il partit à la renverse et se retrouva empalé dans la vierge de Nuremberg.

Sans avoir le temps de crier quoi que se soit, il mourut plus rapidement que les condammés qu'il avait torturé.
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