Miyako
[Otomo, Bureau du Daimyo.]
Miyako regardait les cartes, les tournant, les retournants, lisant les différentes notes, les différentes informations qui arrivaient et la situation semblait empirer de jour en jour.Depuis le jour ou une très ancienne carte avait dévoilé que toute l'ile jusqu'au kuni d'Ito faisait partie de la même province, Otomo.
En désespoir de cause, elle convoqua les deux chefs d'armée, le Taisho, le daikan pour les coûts engendrés, l'intendant des armées, une décision définitive devait être prise.
Des mois de préparations, des semaines que les soldats s'entrainaient sans relâche en vu de cette mission que tous considérés comme essentielle pour l'avenir de leur kuni et tout cela pour rien ? Elle n'en revenait pas qu'à quelques jours de la date prévue, alors que le plan était exposé au conseil, tout ai été divulgué. Elle ne savait plus à qui faire confiance, elle ne pouvait que constater que des fuites avaient lieu...trahison ? par inadvertance ou stupidité ?
Il était temps de prendre une décision, et pour cela elle voulait l'avis des experts de l'armée.
La discussion dura des heures, entre l'envie de tout arrêter, la colère que tout ai été dévoilé, le désir d'éviter les morts de nombre de personnes innocentes.
Un plan...il ne satisfaisait personne...Un autre plan...qui n'avait toujours pas l'approbation et ainsi s'écoulèrent des heures, des jours. le désespoir gagnait certains, puis repartait et pour finir une idée...la dernière, l'ultime, à quitte ou double, réussir ou seppuku, tel était la dernière solution.
Miyako regarda le Général du kuni puis le chef de l'armée et donna son accord.
Les ordres fusèrent, en moins de temps qu'il ne faut pour le dire des troupes entières se déplacèrent direction kokura.
A partir de cet instant, les heures d'angoisse, d'incertitude d'avoir pris la bonne décision, tourner et virer, attendre ...attendre...
Qui gagnerait de vitesse ? Le navire ? les soldats ? les renforts ? les traitres ?
Miyako se triturait les mains, marchant de long en large, sursautant au moindre bruit dans l'attente d'un messager quelconque.
La peur lui nouait le ventre, elle ne voulait perdre aucun de ceux qu'elle aimait mais l'attente se prolongeait...
(dit pour balisage)
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Miyako regardait les cartes, les tournant, les retournants, lisant les différentes notes, les différentes informations qui arrivaient et la situation semblait empirer de jour en jour.Depuis le jour ou une très ancienne carte avait dévoilé que toute l'ile jusqu'au kuni d'Ito faisait partie de la même province, Otomo.
En désespoir de cause, elle convoqua les deux chefs d'armée, le Taisho, le daikan pour les coûts engendrés, l'intendant des armées, une décision définitive devait être prise.
Des mois de préparations, des semaines que les soldats s'entrainaient sans relâche en vu de cette mission que tous considérés comme essentielle pour l'avenir de leur kuni et tout cela pour rien ? Elle n'en revenait pas qu'à quelques jours de la date prévue, alors que le plan était exposé au conseil, tout ai été divulgué. Elle ne savait plus à qui faire confiance, elle ne pouvait que constater que des fuites avaient lieu...trahison ? par inadvertance ou stupidité ?
Il était temps de prendre une décision, et pour cela elle voulait l'avis des experts de l'armée.
La discussion dura des heures, entre l'envie de tout arrêter, la colère que tout ai été dévoilé, le désir d'éviter les morts de nombre de personnes innocentes.
Un plan...il ne satisfaisait personne...Un autre plan...qui n'avait toujours pas l'approbation et ainsi s'écoulèrent des heures, des jours. le désespoir gagnait certains, puis repartait et pour finir une idée...la dernière, l'ultime, à quitte ou double, réussir ou seppuku, tel était la dernière solution.
Miyako regarda le Général du kuni puis le chef de l'armée et donna son accord.
Les ordres fusèrent, en moins de temps qu'il ne faut pour le dire des troupes entières se déplacèrent direction kokura.
A partir de cet instant, les heures d'angoisse, d'incertitude d'avoir pris la bonne décision, tourner et virer, attendre ...attendre...
Qui gagnerait de vitesse ? Le navire ? les soldats ? les renforts ? les traitres ?
Miyako se triturait les mains, marchant de long en large, sursautant au moindre bruit dans l'attente d'un messager quelconque.
La peur lui nouait le ventre, elle ne voulait perdre aucun de ceux qu'elle aimait mais l'attente se prolongeait...
(dit pour balisage)
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