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[RP]Quand les fleurs d'Otomo tombent sur Uchi

Akeo


Vous auriez pu choisir de continuer à tisser, mais non, vous avez décidé d'apporter la mort sur une province pacifique que vous avez attaqué.
Nous, nous la défendons au péril de notre vie.
Trouvez si ça vous arrange un lien entre votre situation et la notre, mais pourtant, tout nous sépare, Confucius San.

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Miyako
Miyako avait rangé le bureau et l'avait remit entre les mains de celui qu'elle jugeait le plus apte en ce temps guerre.
Son plastron attendait depuis des jours, et il était temps pour elle de se joindre aux soldats.

Elle le revêtit et envoyant un messager avertir le Taisho qu'elle arrivait, emmenant avec elle les derniers membres de son clan qui étaient restés au domaine pour prendre la route avec elle.
Impatiente, elle faisait les cents pas dans la cour du chateau quand arriva enfin ceux qu'elle attendait. Distribution des lames qui avaient été forgées par le meilleur forgeron d'Imari, quelques sacs de riz et autres provision, et enfin ils prirent la route.

Elle se retourna,à quelques distance, jeta un regard au chateau qui se découpait sur l'horizon, avec un pincement au coeur, mais aussi soulagée de savoir Otomo entre de bonnes mains.

Miyako talonna sa monture et fonça, laissant le vent jouer dans ses cheveux, encore un peu, elle devrait les attacher bientôt, mais elle aimait les sentir libre ainsi. Elle ne jeta pas en regard, derrière elle, connaissant bien sa soeur et son amie elle savait qu'aucune ne se perdrait et la suivrait de près jusqu'au bout.

Longtemps, elle avait du débattre, hésitant entre aller chercher son frère à la prison, l'arracher aux mains des gardes qui l'y maintenaient, mais...elle savait qu'il serait dans une colère noire si elle s'en mêlait, autant lui laisser croire qu'elle restait bien à l'abri du domaine.

Et puis...Il était hors de question de ralentir l'allure ou même de s'arrêter, ce n'est qu'une fois près de Lui qu'elle poserait pied à terre et n'en bougerait plus, cela faisait bien des jours qu'ils étaient séparés, des jours...une éternité à son avis.
Elle finit par rejoindre le campement de l'armée, et posa pied à terre, allant en tout premier lieu prendre les ordres du Taisho, laissant son cheval souffler enfin au soin d'un soldat.

Le sourire aux lèvres, les yeux rendus brillants par l'excitation du galop, les cheveux tout emmêler, qu'elle lissa d'une main distraite, elle s'inclina et le salua.


"Hanzo-dono...konnichi wa...nous nous mettons sous vos ordres toutes les trois...Indiquez à ma soeur et mon amie où elles peuvent se rendre le plus utile, elles sont armées et entrainées, et faites de moi ce que bon vous semble."

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Confucius
Confucius après avoir écouter les propos de Kamakura,
esquissa un petit sourire, et se dit qu'il y a avait eu une mauvaise compréhension de ses propos, il bu une gorgée de thé avant de lui répondre.


il y a je pense eu une méprise lors que je parle de combattants je ne remet pas en question leur statut citoyens libres où le fait qu'il se défendent,
je veut juste dire qu'il prennent part aux combats.
Après que vous voyer Otomo comme envahisseur ca je ne peut le nier
mais oppresseur par contre j'ai jamais vu oppression sur les habitant de Kokura ou Hita, ni même se plaindre ou se revoter contre les méchants pas beau d'Otomo.


Après avoir finit de boire son bol de thé, et entendu les paroles de Akeo


j'ai effectivement décidé d'apporter éventuellement la mort à toute personne qui comme moi risque sa vie en combattant,
tout ne nous sépare pas puisque l'on prend part a la même guerre, que l'on est sur la même ile
Maruku
Nakatsu, sur un mur, le même que la dernière fois.


L'attente n'est pas son fort, et Maruku commence à trouver le temps long dans cette ville assiégée de très loin, même si finalement la vie y est plutôt agréable. Ils sont bien installés et passent quelques moments joyeux en gargote, mais voilà, le jeune brun à la tignasse en bataille éprouve de plus en plus de difficultés à demeurer en place lorsque rien ne bouge suffisamment autour de lui. Avant il parvenait assez aisément à s'échapper par ses rêveries, mais aujourd'hui, même si ses pensées vagabondent toujours à leur gré, il lui faut souvent plus d'action. Peut-être parce qu'il est déjà comblé dans sa vie de jeune homme. Depuis que la brunette le dorlote, le meneur des lucioles n'a plus grand chose à souhaiter ou à imaginer de mieux. Comme si son inconscient n'avait plus rien à chercher dans un monde imaginaire, et que seul comptait à présent de vivre des aventures bien réelles avec sa compagne adorée.

Enfin, quelque soit la cause profonde, l'ennui lié à l'inactivité guette. Assis sur le rebord des remparts, les jambes battant dans le vide, ne semblant pas indisposé par les plusieurs mètres de vide qui le sépare du sol en contrebas, l'apprenti médecin souffle tandis qu'il semble se débattre avec un antique rouleau plein d'idéogrammes compliqués.
Partageant son perchoir, un vénérable ancêtre à la longue barbe blanche et au crâne dégarni scrute l'horizon de son perçant regard d'aigle déplumé.

A son tour, Maruku relève les yeux et les braque dans la même direction que son ainé. Souvent lorsqu'ils sont côte à côte, ces deux là se comprennent à demi-mots, ressentent les mêmes choses, bien qu'en apparence aucun ne parvienne à réellement supporter le caractère de l'autre. Ce qui donne d'ailleurs parfois des conversations assez particulières, dures à décrypter pour le néophyte qui ne connait rien au lien qui les unit.


Ils reviennent on dirait.
Oui.
Une seule troupe, encore un drôle de manège.
Ils ne donneront pas l'assaut, mais peut-être qu'ils envoient des écorcheurs pour bloquer les arrivées et installer un début de siège.
Décidément, ce conflit est mené d'une bien piteuse manière jusqu'ici. Dirigeants d'Otomo ou d'Uchi, même constat, les "grands" de ce monde sont vraiment petits.

Le jeune chef de clan repense alors à sa dernière intervention face à certains décideurs impliqués dans cette guerre. Obligé de leur mettre le nez dans leur propre crotte pour espérer obtenir un début de réflexion. Le tout suivi bien entendu d'une mise à l'écart plus prononcée, afin que les paroles dérangeantes ne viennent plus troubler la petite cervelle de certains. C'est vrai que ça fait mal à la tête de réfléchir...
Enfin, lui est déjà considéré comme un traitre il parait, mais les esprits mal éclairés qui ont décrété ceci ne se rendent sans doute pas compte que depuis le début, ils ont eux-mêmes éloigné ou provoqué le sentiment de rejet face à leur conduite d'une partie de leurs soutiens éventuels.


Enfin... rien de transcendant nous concernant donc. Les choses continuent d'évoluer à un rythme désespérément lent. Attendre et voir, comme toujours...

L'étudiant pousse alors un léger soupir en reprenant son déchiffrage.
Par contre ce traité d'acuponcture, c'est du chinois pour moi.
Maruku...
Hm?
C'est du chinois!
Ah... oh... je comprends mieux, enfin non toujours pas, mais je sais pourquoi au moins. Je ne sais dire que je t'aime en chinois moi.
Le garçon se tourne alors vers le vieil homme en arborant un sourire un peu niais, contrastant avec la mine dépitée qui vient s'installer sur le visage ridé.
Au fait sensei... je voulais vous demander, tout ce passe bien avec votre copine de chambrée, vous devez retrouver une seconde jeunesse hein?
La question s'accompagne d'un rictus amusé, et d'un mouvement de sourcils équivoque. S'il avait osé, le beau brun aurait même ponctué sa remarque d'un clin d'oeil et d'un petit coup de coude complice.

Un grognement et une taloche derrière la tête plus tard, la réponse était donnée.
Le jeune et le vieux reprenant alors leurs activités précédentes, en silence...

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~ . ~ Luciole ~ . ~

Kamakura


Citation:
mais oppresseur par contre j'ai jamais vu oppression sur les habitant de Kokura ou Hita, ni même se plaindre ou se revoter contre les méchants pas beau d'Otomo.


moi je vois par contre oppression sur les habitants de Nakatsu, j'ai reçu un courrier ce soir me disant que Otomo voulait nous affamer et avez vidé notre marché...

Stupéfaction en m'y rendant, plus de riz, plus de udon, plus de poisson, plus de champignon ou peu, plus de viande... Savez vous que sa s'exporte très bien ce genre de denrées et que sa se vend très bien également, donc ne venez pas me dire cette fois que vous avez fait cela pour aider les cultivateurs et éleveurs à vendre leur production pourrissante, je ne suis pas d'accord.

Par contre moi je suis tisserand, j'ai des hakamas en vente qui vont bientôt être bouffé par les mites tellement sa fait longtemps qu'ils y sont, on a du coton à tour de bras ainsi que du lin, si vous voulez réellement aider les pauvres paysans Uchiens, achetez donc leur production...

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Hattori_hanzo
[Kokura - avant le départ pour Nakatsu]

Il regardait les préparatifs du départ des Loups d'Otomo pour Nakatsu...ses fiers et valeureux guerriers qui avaient tout bravé: le simulacre de justice totalement inique d'Uchi, la verve colérique des habitants, les insultes, les mensonges des malveillants. Mais rien n'entachait leur moral, la volonté farouche d'en découdre avec les gaijin profondément ancrée en eux... Otomo pouvait être fier de ses enfants. En tout cas, Hanzo était content d'être leur Taishô, et si c'était à refaire, il ne changerait ses hommes pour rien au monde.

Il fallait maintenant en finir avec Uchi, une bonne fois pour toute. Uchi, et ses dirigeants perfides cachant leur fourberie et leur volonté de détruire Otomo pour leur refus du Mantoru, comme certains de leur conseillers n'avaient pas hésité à le crier haut et fort en gargote. Et ces couards n'assumaient par leur choix, pleuraient et s'indignaient...ils avaient fait preuve de la plus honteuse défiance et comme les chiens qu'ils étaient, ils hurlaient au scandale après avoir eux même allumé le feu de la guerre et l'avoir attisé.

Pour Hanzo, il n'y avait pas besoin de plus de raisons ou de faux prétextes pour faire la guerre: la menace formulée d'une volonté délibérée de nuire au peuple qui l'avait accueilli lors de son errance suffisait sans conteste à justifier l'offensive, et n'importe quel stratège averti aurait fait de même...c'est eux ou nous, pensa-t-il... et il avait bien raison en réalité. Chaque action des uchi no mono renforçait sa détermination à poursuivre le combat. Leur capacité à camoufler leur mensonge derrière le voile d'honorabilité, se targuant d'être des défenseurs de la liberté, eux qui avaient menacé mandat après mandat celle des habitants d'Otomo, c'était vraiment le bonze qui se moquait de la charité.


Tout à sa réflexion il vit Miyako arriver, accompagnée de sa sœur ainsi que d'une autre personne qu'il ne connaissait pas. Il les salua...

Citation:
Hanzo-dono...konnichi wa...nous nous mettons sous vos ordres toutes les trois...Indiquez à ma soeur et mon amie où elles peuvent se rendre le plus utile, elles sont armées et entrainées, et faites de moi ce que bon vous semble.


Il sourit en coin, haussant un sourcil, étonné par ses dernières paroles, puis il tendit le bras dans une direction... Konnichi wa... Bienvenues parmi les Loups d'Otomo. Pour votre affectation, allez voir Aikawa Juni, elle saura vous aider à vous intégrer à la bonne section...c'est la demoiselle là bas, vous voyez? Il inclina la tête afin de leur faire signifier qu'il les enjoignait à s'y rendre instamment. Que les Kami vous gardent.
Quant à vous Miyako dono...Il tourna le regard vers elle et sourit... puisque je peux faire de vous tout ce que bon me semble, vous allez rester avec moi... j'ai une petite idée et j'aurais besoin de vos compétences pour la mettre en place, si vous le voulez bien... Il ouvrit l'accès à sa tente et l'invita à entrer avant de la suivre et refermer derrière eux.
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"Tout but envisagé indépendamment des moyens mis en œuvre pour l'atteindre est une illusion. Le devenir est une négation de l'être"
gros toto, incarné par Guyhom


[ Pub de recrutement]

- wesh, tu fais wak?
- ben je zone quoi, y'a rien faire ici, c'est ripoux à kiganaz!
- hey les jeunes, ça chie sa mère nagasaki?
- oh ben wai!
- alors récup maintenant le forfait reggae, d'otomo & co!
- hey zy va, c'est quoi ça?
- le forfait reggae, c'est trop fun, trop chanmé, si tu signes pas, c'est qu't'es un gros zena!
- wai zy va, signe où, suis pas un zena!
- là!

......

- allez les jeunes, en avant vers la caserne à l'entrainement!
- oh sa reme la p...on a signé pour l'armée!
- punaise la zone...


Le forfait reggae, 20 de service dans l'armée d'otomo pour les jeunes branleurs qui sont trop bêtes pour lire ce qu'on leur fait signer!



Akihiko
Dirigeant le Kuni d'Otomo depuis la baie de Nagasaki, Akihiko était déçu de ne pas pouvoir combattre, lui qui était persuadé que son mandat au conseil se terminerait inéluctablement afin de lui permettre de rejoindre le front sans aucune responsabilité ni charge ne pouvant le retenir outre mesure.

Croyait il qu'Ebisu ten le laisserait partir ainsi ? Qu'Amaterasu allait donc le laisser compromettre les plans que la déesse avait pour Kyushu ? Les Kami affectionnaient jouer avec les destinées de certains hommes, manipulant leurs fils d'âmes comme les ficelles de pantins de chiffon.

L'Okinawaïen se demandait d'ailleurs si le choix d'être emporté par les Shinigamis n'était pas plus enviable que celui de revêtir le titre de Daimyo des Terres Sacrées d'Otomo en pareilles circonstances.
Voilà des nuits qu'il passait avec ses généraux et son conseil devant ses cartes, à élaborer des stratégies. Il y a avait Aikendo-sama, Kiato-sama, Amateratsu-dono, Ikichi-dono, les autres étant sur le front.


….qu'on m'apporte un thé, des ramen, et une soupe miso. Je ne peux pas me concentrer le ventre vide.
Alors donc, comme ça, l'opération "Rouleau de Printemps" qui consistait à prendre Nakatsu avec nos shinobis n'a pas été un succès ? Apprenons de cet échec.…vous saviez ce que disait Sun Tzu le Chûgoku Jin ? Que tout l'art de la guerre, c'est de savoir soumettre ses ennemis sans combat.

Mais visiblement les Uchi Jin sont davantage féru de lectures occidentales, au point qu'elles en ont imprégné leur mode de vie et même leur vocabulaire paraît il. Que ces barbares aient prise sur Honshu et soient actuellement responsables de la médiocrité de leur gestion, soit, mais cet engeance ne doit pas se propager sur Kysuhu.

Certains me poussent à abandonner, d'autres me demandent simplement : mais pourquoi avoir continué la guerre, pourquoi ne pas tout simplement l'arrêter ? Je citerais les paroles d'un autre senseï japonais :" Celui qui excelle à vaincre ses ennemis triomphe avant que les menaces de ceux-ci ne se concrétisent."


Des conseillers acquieçaient, certains étaient amusés de voir qu'Uchi réduisait l'honneur de la guerre à l'absence d'une quelconque déclaration.

Les dirigeants d'Uchi parlent de déclaration de guerre officielle, qu'il n'auraient apparemment pas reçu bien que celle ci leur fut adressée par le Taishi. Si ca ne tenait qu'à moi, il n' y en aurais jamais eu. Quelle est donc cette "façon de faire la guerre" qui consiste à prévenir l'ennemi d'une attaque foudroyante sur son sol ? Et c'est simplement parce que cette guerre, n'en n'était pas une et ne devait être au départ qu'une campagne de réunification rapide.

La Guerre de Genpai a officiellement été reconnue comme telle après les premières batailles entre clans. Nos ancêtres riraient bien de la valeur d'une feuille de riz, quand eux n'avaient que pour seule déclaration de guerre la vision du katana d'en face qui tentait d'en faire du sashimi…

Nous vivons une époque troublée,et nul ne pourra échapper à l'immense orage qui s'annonce.


Akihiko voulait être clair à ce sujet. Il voulait informer les gens de la situation réelle, mais les stratèges le lui déconseillaient. Il fallait communiquer intelligemment. L'absence de certains communications essentielles ne s'invoquait pas en raison d'un quelconque secret d'état, mais bien par pur esprit tactique.



Chûgoku Jin = Chinois (la nationalité)
Taishi = ambassadeur
Guerre de Genpai = Guerre clanique entre le clan Minamoto et le clan Taira
Guerre d'Onin = Guerre civile entre le shogûnat et plusieurs daimyos - 1467 -1477
Edit : Merci de cette précision ljd Katsumoto, disons que nous sommes à l'aube d'une époque fortement troublée et conflictueuse.

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Katsumoto


[Nakatsu - Dans sa tente de chef]

Il était là,il comptait le peu de fortune qu'il lui restait,malgré que ses troupes scandaient son nom sans cesse lors des séances de motivations,ces derniers avaient besoins d'être nourris.Chose qui ne s'avère pas facile quand l'ennemi vide lachement le marché...Plus de nourriture a prix raisonnable et les profiteurs refont surface.Mais a quoi jouais Otomo?Cherchaient-ils de nouveaux ennemis?Leur stupidité finira bien par cessé un jour...Le peuple de Nakatsu a dit non,il dit non et il dira non.Si facile a comprendre,enfin pour ceux qui ne sont pas au conseil d'Otomo,c'est facile a comprendre,pour le conseil d'Otomo c'est si difficile,pourquoi?Comment savoir...Peut-être leurs envoyer Akeo-san,lui qui est médecin pour porc...

- Apportez moi un saké,bien chaud!

Dit-il a l'un des soldats qui gardait sa tente. Rejoignant par la suite son coussin,entourré des officiers et conseillers de son clan.

- Otomo commence a me les fendre sérieusement! Nous n'aurons bientôt plus de moyens pour nourrir nos soldats et ces pourritures du sud volent toute la nourriture du marché,ne laissant que la nourriture des profiteurs,avec leurs prix a se foutre du peuple...Ces ordures en Otomo,oh oui je vous le jure,fini la diplomatie avec ces chien,j'ai fait joujoue plus que trop longtemps.Que les kamis les maudisse et punisse leurs incompétence...

- Hai Katsumoto-sama,vous avez raison,que ces chiens paient leurs affront!
- Je m'inquiète pour les hommes,pas pour la désertion,non je les sait fidèles mais ils ne pourrons pas tenir longtemps sans manger.
- Katsumoto-sama,l'ennemi a attaquer l'un de nos soldat,et devinez quoi?L'ennemi s'est pris une dérouillée!

Dans un cri de joie,les officiers et conseillers prirent une gorgée de leurs saké.

- Mes amis,conseillers et officiers,la victoire si elle existe,elle est encore loin,mais il faut la saisire,et cet assaut lancer par otomo,qui est un échec,est un pas vers la victoire.Nous ne devons pas abandoner,mon père ne m'a pas nommer Katsumoto pour rien,Katsu signifie "Victoire",honorons la mémoire de mon père!Honorons la mémoire de mon père et de nos ancêtres,nous sommes de souche guerrière,montrons a ces couards d'Otomo comment se bat un vrai nippon!Montrons leurs comment on manie le katana dans la famille et surtout,montrons leurs qu'on ne veut pas d'eux dans le coin!

A nouveau les officiers et conseillers dans la tente lancèrent des cri d'encouragement,entendant tout le vacarme,les soldats se mirent a scander la victoire de Nakatsu qu'ils espéraient tous. Katsumoto se leva alors et sorti de sa tente,saluer ses troupes,il saisit son katana,le brandit en l'air et se mis a scander lui aussi a la victoire.

- POUR AKINA-SAMA!POUR NAKATSU!POUR UCHI!


Pour LJD Akihiko: La guerre d'Onin ne s'est pas encore produite a cette époque,nous sommes en voie de la guerre d'Onin seulement

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Aikawa.sen
[Nakatsu]

La jeune Juni d'Imari avait accueillit la sœur et l'amie de Miyako san. elle les conduisit au travers le campement et les installa dans une tente.....
Elle fit apporter un thé chaud et des friandises, qu'elle fit installer et servir aux deux femmes...



elle leur demande s'il elles désiraient autre chose et se retira afin de continuer à faire le tour du campement.....
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Confucius
Confucius qui prenait part au siège de Nakatsu, avait eu vent que certains des ennemis offusquai qu'Otomo affamais les habitants de Nakatsu en les empêchant entre autre de se rendre dans leurs champs et donc de s'approvisionner, mais n'étais c'est pas la base d'un siège d'une ville de lui couper toutes voies d'approvisionnement. seuls un chefs de guerre incompétent ferait le siège d'un ville sans couper les routes d'approvisionnements.
Mekong
Mekong! Mekong! Cité en vue!


Le jeune matelôt, surexité par sa grande découverte, était venu déranger le moine en pleine méditation. A ses pieds reposait le kiseru encore fumant de vapeurs. Mekong inclina sa tête en direction du jeune homme puis se releva.

Les mains jointes et le regarde levé, Mekong inspecta scrupuleusement l'équipage alors réuni. Les touchant de ses mains comme pour leur faire passer une énergie bénéfique, le moine continua sa marche vers le pont du Hasu. Hiiro l'y attendait pour lui faire part des dernières nouvelles.


Hiiro-sama, nous sommes arrivés en face de Nakatsu. Que l'équipage du Hasu prépare les canons, nous allons précipiter la fin de cette guerre.

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Envie de RP? RDV tout en bas du forum, dans "Ikko no runesansuki".


Sun Tzu "Tout le succès d'une opération réside dans sa préparation"
Akeo


[sur les remparts de Nakatsu]


Akeo observait, depuis les remparts de Nakatsu, la manoeuvre du navire qui offrait son flanc à sa vue.
Il ne voyait rien de ce qui se passait dans le vaisseau, mais la manoeuvre de l'équipage semblait claire.
On n'offre pas son flanc à une cible potentielle pour rien. Le port naturel de Nakatsu n'avait quant à lui hélas pas de canons pour répliquer.

Tire... tire donc sur ceux que tu oses appeler tes frères et tes soeurs. Envoie donc tes boulets frapper le coeur de la ville, ses femmes, et ses enfants. Montre ta lâcheté, prouve-nous tes mensonges en faisant feu sur ceux que tu affames.

Fais donc cracher le feu de la mort de tes flancs, donne-nous toute la mesure de ta barbarie et de ton hypocrisie lâche.


Loin de se douter que le capitaine du navire était un moine, Akeo exhortait à mi-voix ce navire à tomber dans la bassesse la plus suprême. Bombarder à boulets rouge une ville entière. Civils, femmes, enfants... Un moine, comment pourrait-il le deviner, d'ailleurs?
Un sauvage, prêt à faire feu sur l'innocence même de ces enfants qui jouaient dans la ville, malgré la guerre. Un barbare... Akeo ne pouvait pas se le représenter autrement alors que le navire achevait sa manoeuvre pour présenter ses flancs à la ville assiégée.

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Kesta
[Quelque part en Uchi]

Kesta souriait, sachant que le temps jouait pour les siens. Un léger sourire vint se dessiner sur son visage alors qu'il repensait à un San d'Otomo, Confucius San pensait-il qui parlait souvent de la non violence de cette guerre, et qui aujourd'hui avait rejoint les kamis, bons ou mauvais. Uchi aussi avait perdu des vies, mais la guerre se poursuivait, les dirigeants d'Otomo seraient bien trop ridicules et pathétiques de reculer maintenant, même s'ils avaient déjà perdu toute once d'honneur depuis bien longtemps.

Il repensait aux absurdités et la mauvaise foi de ce félon d'Akihiko et sa clique de dégénérés, qui assurément devaient bien réaliser que cette guerre durait, et durait... Uchi ne laisserait pas tomber son dernier bastion de Kyushu, et il semblait bien qu'Otomo ne s'attendait pas à ça. Kesta pensait qu'ils devaient s'en mordre les doigts aujourd'hui, et son sourire s'élargit sensiblement.


Le temps joue pour nous....

Otomo s'essoufflait, le non-respect des traditions nippones, comme les traîtres insérés depuis des mois en Uchi qui ne se faisaient toujours pas sepeku ou comme penser qu'un acte de guerre pouvait se faire en fourbe alors même qu'Otomo avait envoyé en Uchi quelques semaines auparavant des dirigeants en "ami" pour pouvoir passer des accords judiciaires.... Proposition d'accords qui prenait tout son sens aujourd'hui, considérant les chialeries d'Akihiko pour les envoyés d'Otomo manipulés qui se retrouvaient devant la justice d'Uchi. Bref, c'est cette attitude de lâche qui n'hésitait pas à se faire passer pour un "ami" pour pouvoir mieux préparer ses mesquineries par derrière qui faisait honte à leurs propres ancêtres ainsi qu'à tout le nippon. C'est ce même comportement qui s'était retourné contre eux, et leur conscience serait entachée éternellement par le sang et la honte.

Le Kesta souriait franchement, repensant à toute cette mascarade qui finalement ne discréditait aux yeux de l'Empire que les dirigeants d'Otomo et leur avidité puérile non assumée. Comment pouvait ils nous parler traditions alors qu'il était maintenant clairement établis qu'ils mentaient depuis la prise de Kokura ? Le mensonge était il traditionnel en ce pays ? A se demander d'où ils venaient, certainement d'un lointain royaume barbare et décadent, sûrement pas du Japon. Dans le pays d'où provenait Kesta, un envahisseur déclarait ses intentions avant d'attaquer, et s'y tenait. Il ne changeait pas de version tous les deux jours, à moins d'être le dernier des lâches, ce à quoi les dirigeants d'Otomo les avait habitué depuis le début de leur guerre.

Kesta se remit au service de son kuni, passant des directives par volatiles aux personnes de confiance, plus discret ainsi.
La guerre était longue et elle serait encore longue, et le temps jouait pour les siens, il le savait.

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消極的 ..
Aikawa.sen
Aikawa regardait ces remparts, si robustes qui abritaient les derniers résistants d'Uchi... Elle était là pour la bonne cause, comme on le lui avait expliqué. en gargote elle avait rencontré des Uchiens respectueux contre qui elle était honorée de se battre...
Cette guerre serait longue et ardue, elle n'en doutait pas un instant, mais qu'importe elle était une Bushi et devait faire son travail avant tout.....
Son regard quitta les remparts et revint vers le campement. D'un pas décidé elle se dirigea vers sa tente, elle avait encore certaines choses à régler....
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