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[RP] Quand les fleurs du mal poussent dans l'automne

Akeo




Chant d'automne (Les fleurs du mal)

I

Bientôt nous plongerons dans les froides ténèbres ;
Adieu, vive clarté de nos étés trop courts !
J'entends déjà tomber avec des chocs funèbres
Le bois retentissant sur le pavé des cours.

Tout l'hiver va rentrer dans mon être : colère,
Haine, frissons, horreur, labeur dur et forcé,
Et, comme le soleil dans son enfer polaire,
Mon coeur ne sera plus qu'un bloc rouge et glacé.

J'écoute en frémissant chaque bûche qui tombe ;
L'échafaud qu'on bâtit n'a pas d'écho plus sourd.
Mon esprit est pareil à la tour qui succombe
Sous les coups du bélier infatigable et lourd.

Il me semble, bercé par ce choc monotone,
Qu'on cloue en grande hâte un cercueil quelque part.
Pour qui ? - C'était hier l'été ; voici l'automne !
Ce bruit mystérieux sonne comme un départ.

II

J'aime de vos longs yeux la lumière verdâtre,
Douce beauté, mais tout aujourd'hui m'est amer,
Et rien, ni votre amour, ni le boudoir, ni l'âtre,
Ne me vaut le soleil rayonnant sur la mer.

Et pourtant aimez-moi, tendre coeur ! soyez mère,
Même pour un ingrat, même pour un méchant ;
Amante ou soeur, soyez la douceur éphémère
D'un glorieux automne ou d'un soleil couchant.

Courte tâche ! La tombe attend ; elle est avide !
Ah ! laissez-moi, mon front posé sur vos genoux,
Goûter, en regrettant l'été blanc et torride,
De l'arrière-saison le rayon jaune et doux !

Charles Baudelaire.



Post RP dédié aux combats ou aux coulisses de ce qui se passe sur et près du champ de bataille de Nakatsu

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Akeo


[Dans la bâtisse de soins]



- Arrrgghhhhhh, AAAiiiiieeeeeeee, rrhhâââââââ
- Mais avec les cochons pourtant ça marche !
- Oui, mais c'est pas un cochon Akeo !
- Je vois bien ! Avec un cochon, tu mets un coup sur la tête là, et hop ! Plus un bruit !! Regarde, je refais
- Rrhâââââââââââââ !!!! Arrrggghhhhhhhhhh !!!!!
- Akeo, arrêtez !
- Bon en même temps, le cri d'un cochon qu'on égorge, faut avouer que c'est pire. Là, ça passe !
- Arigato, Akeo, je suis honoré que mes souffrances trouvent un écho si satisfaisant à vos ouïes.
- Chuttt, cessez donc de parler, vous me mettez du sang partout ! Quand on a les poumons percés, on ne parle pas !
- Arrghhhh, pardon, rhâââââââ
- Akeo, il va vivre ? Vous êtes médecin, non ?
- Je ne maîtrise que les bases de Biologie. Alors en l'état actuel de mes connaissances, je peux juste garantir que sous cette plaie, ce sont les poumons.
- C'est bien ! Un bon début !
- Euhhhhh, Je peux aussi vous dire que derrière ces remparts, il y a le camp d'Otomo, mais pas pour autant que... hein, vous voyez...
- Rhââââââ, Arggghhhhh, il dit quoi le médecin ?
- Rien, il dit que vous allez mour... mieux !
- Vous trouvez que je vais mieux ???
- Mais arrêtez de parler, vous en foutez partout !
- Akeo !
- Oui, oui, bon, tant pis. En même temps, le rouge et le noir, ça se marie bien.
- Arrggghhh, kesqu'il dit ?
- Rien, rien, cessez de parler et reposez-vous !
- On va vous bander comme un arc, et vous donner des herbes à machouiller. Vous verrez, bientôt, vous pourrez courir comme un lapin !
- Arrrgghhh, rhâââââ, ah oui ? quand...?
- Euh, bientôt !
- On fait quoi Akeo ?
- Soyez gentil, versez encore un peu de saké fort, surtout n'oubliez pas de lui en donner une bonne rasade avant, et rembal... pansez-le.

_________________
Aikawa.sen
Le soleil se couchait, l'horizon était d'un rouge pourpre.... La rumeur de chaque côté enflait, les voix des soldats se faisaient entendre à l'unisson, entonnant un shura-nō*

Îles bénites du Japon.
Si des étrangers essayent de pénétrer l’Esprit d’Otomo,
Dites-leur ceci :
La fleur du cerisier s’épanouit, sauvage et parfumée,
Sous les rayons roses du Soleil Levant.


Aikawa était dans les rangs, avançant devant les hommes, derrière le Taishô et les shûsa, entonnant avec eux....

Les défenseurs de Nakatsu les attendaient en haut des remparts et vinrent à leur rencontre armes levée et prêtes à s'abattre sur l'ennemi....

La bataille fit rage toute la nuit, les armes s'entrechoquaient, les flèches filaient au-dessus des têtes... Les chevaux hennissaient de douleur, les hommes hurlaient de rage de douleur....
_________________
Akeo


[Quelques heures auparavant sur les remparts]




RRRhhhhââââââââââââ


Akeo hurla lui aussi de douleur, en effet...

Mais tu me marches sur le petit doigt de pied, là !!


Akeo grommela longuement, alors que les troupes d'Otomo avançaient près des remparts. Les archers à ses côtés libéraient les fines flèches qui battaient l'air. Lui qui n'avait jamais manié l'arc les regardait faire, observant les impacts sur les troupes qui approchaient.
Une échelle de bois, puis une seconde, puis une troisième et encore d'autres et d'autres furent levées et dressées contre le mur.
Les défenseurs d'Uchi en repoussèrent quelques unes qui vinrent frapper le sol en compagnie des hommes et femmes accrochés à elles. Mais devant le nombre, certains réussirent à passer.

Les remparts se transformèrent en champ de bataille. Les coups de bâton et de katana se mirent à fendre l'air de toute part, alors que les cris d'exaltation et de panique s'élevaient dans le crépuscule. Crépuscule de la journée, et crépuscule de vies qui s'évanouissaient en même temps que certains corps frappaient le sol.

Pas le temps de penser à la mort, pas le temps de penser aux diagnostiques, il fallait frapper tous ceux qui se présentaient avec une arme face à lui. Pour lui, et pour tous ceux qui défendaient.

A peine le temps de réagir sur un coup de katana, qu'un défenseur de Nakatsu para un autre coup qui failli atteindre la tempe d'Akeo. Sourire reconnaissant d'Akeo qui n'eut pas le temps de remercier son sauveur.

Le combat était vif, et dura des heures.
Des heures au bout desquelles, las, et épuisés, les Otomiens finirent par se replier.

Ils ne passeraient pas cette fois-ci.
Nakatsu avait resisté à la première offensive.

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Miyako
Miyako s'installa avec la majorité des soldats et regarda le combat que seuls une dizaine d'Otomien menés contre le triple de défenseurs. Elle sourit satisfaite de voir que plusieurs des U chiens tombés alors que très peu d'entre eux furent touchés.

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Akeo


Au terme de la bataille, Akeo regarda en contre bas des remparts deux gamins comparer leur anatomie. Par principe, il lâcha en masquant son amusement :

- Hep, remballez-moi tout ça, sinon, je le dis à vos mères !

Les gamins s'enfuirent sur le champ. Jouer à kikalaplusgrosse n'était en soit pas gênant à 10, 11, ou 12 ans. L'essentiel était que ça leur passe au fil des ans, au risque de devenir ridicule dans le cas contraire.

Il aida à ramasser les blessés d'Uchi qui gisaient sur les remparts, se rappelant que dans une course à deux, il valait mieux terminer avant dernier que second. De quoi grandement relativiser certains termes que l'on pouvait parfois employer.

Une fois les blessés rassemblés dans la salle de soin, Akeo s'y engouffra après s'être longuement lavé les mains.

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Aikawa.sen
La bataille avait fait rage, la terre était couleur de sang. Aikawa, toujours son katana à la main, n'avait fait que se défendre et n'avait réussit à porter aucun coup...... Elle rageait la plume blanche.... Quand les deux camps devinrent silencieux, elle regarda autour d'elle et vit des corps allongés sans vie, certains râlaient de douleur, d'autre avaient les yeux grands ouverts, ne bougeant plus, laissant imaginer leur esprit parti rejoindre les Kamis....

elle fit le tour en courant, cherchant les soldats de son armée.... Elle vit son amie Mikomi san, qui avait l'air sonnée. Inquiète Aikawa vint jusqu'à elle, s'agenouillant, la prenant par le bras, l'aidant à se relever.... Par chance cette dernière n'avait prit qu'un coup de bâton sur le crane...

Accrochez vous à moi, je vous ramène au campement.... Par les Kamis, vous n'avez pas grand chose.... Venez....

Elles se dirigèrent vers le bas des remparts, tandis que d'autres soldats en aidaient d'autres à se remettre debout....

Il va nous falloir un médecin pour ces blessés....

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Aikawa.sen
La nuit avait été calme, chacun soignant ses blessés.... Aikawa espérait une bataille dans laquelle elle n'aurait pas besoin de penser à sa cousine qui semblait aller très mal..... Son esprit semblait être possédé par quelques démons et lui faisaient perdre le sens de la réalité....
La Tsubame faisait les cent pas.... Elle regardait vers le haut des remparts cherchant des ombres, essayant de reconnaitre des visages peut-être croisés.... Elle savait qu'une amie de sa famille était là haut dans le clan ennemi.... La jeune et jolie Fanfan dont son père lui avait souvent parlé, quand elle était enfant.... Elle devait avoir son âge, guère plus ni moins..... Tout cela la rendait nerveuse.
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Aikawa.sen
Le signal avait été donné, Aikawa, son katana au côté, et la troupe des soldats, étaient montés à l'assaut des remparts....

La nuit était froide, la lune entamait son cycle et les étoiles éclairaient la voute céleste.... Un vent frais soufflait sur Nakatsu. On entendait uniquement le bruit des lames des katanas se croiser, les flèches sifflées au-dessus des têtes.... Des hommes, des femmes tombaient en hurlant.. Des enfants criaent hurlaient dans le lointain....

Des flammes au loin éclairaient la ville, des maisons semblaient brûler.... peut-être des feux allumés au milieu des routes.... Aikawa ne savait pas...

Tout ce qu'elle voyait était les ombres autour d'elle, les yeux qui brillaient dans la nuit, comme enfiévrés d'excitation.

Elle commença à se battre contre les défenseur... Cela plusieurs heures déjà que son katana tranchait, coupait, quand une femme, qu'elle n'avait pas vu, sur son côté l'attaqua... elle n'eut que le temps de faire volte face et lui asséner un coup mortel...

Elle la vit s'effondrer, le sang se mélangeant au noir de son kimono....

Elle n'eut pas le temps de penser à ce qui se passait, elle savait juste que cette femme n'était pas Fanfan..... elle entama ensuite un autre combat dont elle sortie vainqueur...

Le vacarme se calma, après de longues heures. La fatigue avait pris le dessus de chaque côté des camps... Il fallait maintenant s'occuper des blessés, les ramener au campement et les soigner....

Quant aux morts il leur faudrait une sépulture convenable.... Allait on les laisser ici en terre Uchi ? C'était la question que se posait la jeune Tsubame quand elle fit le tour du champ de bataille....
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Mikomi
Que faisait-elle là, au milieu de ses soldats, devant ses remparts étrangères ? Elle ne s'en souvenait plus vraiment. Seule comptait la souffrance, cette douleur perpétuelle qui trompait son esprit, qui l'empéchait de sombrer dans la folie. Son esprit vascillait, son monde intérieur s'écroulait.

Mais qu'importe pourquoi elle était venue, elle était là à présent, et il fallait se battre. Elle n'aimait pas ça... La violence la répugnait même encore maintenant où elle ne savait plus trop qui elle était. Pourtant elle se battrait... Mais saurait-elle seulement comment faire. Elle se souvenait vaguement de leçons prises... Avec son père... Avec son fiancé mort... Avec son frère...

Tiens son frère... N'était-ce pas pour lui qu'elle était venue ? Tentant de s'accrocher à cette pensée, elle se rappela d'un autre visage. Pour lui aussi elle était venue. Pour lui, elle mettrait sa vie en jeu.

Le combat faisait rage autour d'elle. Comme indifférente, elle avançait droit devant elle, son corps semblant réagir indépendamment de sa volonté, parant les coups, mais ne parvenant pas à les rendre... Pas encore...

Et puis tout s'arrêta. Le combat était terminé... Mais pas la bataille... Car Nakatsu était toujours libre. Mikomi continuait d'avancée, inconsciente que c'était fini pour aujourd'hui. Puis une main se posa sur son épaule et un soldat d'Otomo la ramena au campement.

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Belsa
Son katana n'était que le prolongement de son bras...

Les journées de Belsa passaient et se ressemblaient. le jour : distribution de nourriture, réponse aux courriers, inventaire des troupes de défenseur, aide aux nécessiteux et blessés, le soir : combat.

Plus le temps de voir Guyhom, plus de temps de se reposer, elle mangeait parfois un peu de riz quand elle réalisait qu'elle ne s'était rien mis dans le ventre depuis deux jours. La fatigue? Elle ne savait pas ce que c'était... pas le temps de s'en préoccuper.

Le soir son Katana fendait l'air, les coups asséné était précis et faisait mal. Pour le moment, aucun soldat d'Otomo ne l'avait touché. De toute façon, elle n'avait pas peur.

Mais durant cette dernière nuit son ventre lui avait fait mal. Des larmes coulaient sur ses joues pendant qu'elle combattait, elle n'avait pas voulu s'arrêter et se réfugier pour autant. Elle devait être en première ligne pour combattre!

Pourtant une fois le jour levé et la fin de la bataille, une fois qu'elle fut de retour au Sô elle réalisa qu'elle avait perdu un peu de sang. Mais elle savait qu'elle ne dirait rien. Elle alla voir ses chefs de lance, pour aider à soigner les blessés, pleurer les morts et préparer la prochaine offensive.

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Cora


En haut des remparts, en sécurité relative avec son groupe de défenseurs, Cora émoussait la lame de son katana tout en cherchant Malik des yeux. Yuki ( son renard ) à ses pieds la regardait faire ou de temps à autres allait renifler de nouvelles odeurs, il y en avait tant à découvrir ! La nuit s'annonçait encore calme. Venir défendre était déjà devenu une sorte de routine. C'est alors qu'elle avait entendu des cris. Apparemment, Otomo avait enfin décidé d'attaquer. A peine eut elle le temps de se lever qu'une lame fondit sur elle. Par réflexe elle leva son arme et la fit dévier mais il s'en été fallu de peu. Son ennemi ne s'attarda pas sur elle et fonça sur quelqun d'autre apparemment très content d'agiter son katana dans tous les sens.
Les gens se battaient et tout été embrouillé. Ne sachant pas se battre ( elle ne s'entrainait que depuis le début du siège ) elle resta auprès des plus forts et essaya d'écouter, mais d'abord d'entendre les recommandations de ceux ci.
Autant quand ils étaient tous là à veiller attendant une attaque elle se sentait utile car elle participait au nombre, autant maintenant qu'il fallait se battre elle avait l'impression d'être un poids. Elle était une cible très facile, trop facile, les combattants d'Otomo, même ceux qui frappaient au hasard la dédaignaient pour de meilleurs combattants et c'était tant mieux. Cependant elle faisait de son mieux pour aider.
Elle eut l'impression de se battre quelques secondes seulement quand le calme commença à se faire autour d'elle. L'armée reculait. Epuisée elle baissa son katana et regarda autour d'elle. Certains de ces camarades étaient blessés mais miraculeusement elle était indemne excepté quelques coupures sans gravité. Elle décida de finir la nuit en allant aider à soigner.

Le lendemain ses coupures avaient un peu cicatrisées et elle revint en haut des remparts. Tous étaient sur leur garde une mini attaque pouvant surgir à tout moment. Hier après le combat elle avait cherché partout Yuki mais il avait disparu et elle n'avait pas osé trop s'éloigner. Malik non plus elle ne l'avait pas revu. Elle était morte d'inquiétude mais pensait que s'il avait été blessé elle l'aurait vu et ça l'apaisait un peu.
La lune toute ronde était haute dans le ciel et cependant aucun ennemis n'était venu troubler l'ambiance de solidarité qui régnait en haut des remparts. Lassée de s'inquiétait inutilement, elle commença à se demander comment elle allait agir si l'armée revenait. Hier, l'attaque avait été rapide si bien qu'elle n'avait pas eu le temps de penser. Mais s'ils revenaient, qu'allait elle faire ? Pourrait elle tuer quelqun de sang froid ou en se défendant ? Elle ne savait pas comment agir mais c'est alors que le moment redouté vint. Elle se battit courageusement comme elle put et encore une fois fut épargnée.
Akeo


[Dans la maison des soins]



Akeo allait et venait d'un blessé à l'autre. Du saké fort pour désinfecter, des bandages, des herbes, il s'activait à panser les plaies. Quelques mots de réconfort, quelques gestes de bienveillance, Akeo essayait de ne pas se laisser déborder avec les uchiens qui l'aidaient à soigner les leurs.

Quelques râles s'échappaient des uns et des autres, quelques soupires soulagés en apprenant que leurs plaies étaient parfois superficielles. Des visages endoloris et préoccupés aussi.

Akeo restait méthodique et calme, il prenait ses marques doucement. Quelques tapes amicales.

Te voilà requinqué, tu pourras reprendre le combat dès demain, lâcha-t-il à plusieurs hommes et femmes.

Coups d'oeils inquiêts jetés par l'ouverture de la bâtisse pendant que le combat semblait faire rage. Soulagement quand on lui apprit que les défenseurs se battaient courageusement et efficacement. Cette fois-ci encore, Otomo serait de nouveau repoussée.

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Dayzo
Le combat fit rage, la tête froide et le coeur chaud, notre lance ne s'inquiète plus. Elle est prête à recevoir l'assaut ennemi et à lui donner ce qu'elle souhaite trouver en chacun de nous: notre honneur et notre fierté sera récompensé.

Les consignes sont validées par notre détermination de résister. Les porteurs de sabre tel des forces vives à l'avant et les porteurs de bâton sur les flancs en protection.

L'ennemi approche, plus féroce que jamais. L'un d'eux s'affronte à Fanfan à travers une attaque directe et de face. Fanfan, stoïque guerrière, laisse passer la force brute de son adversaire en s'enroulant autour de son assaillant et prolongeant son mouvement limpide par une attaque décisive déterminant l'issu fatal pour l'ennemi de cette ultime et éphémère rencontre. Fanfan est la grâce même, elle est tout simplement belle à travers cette horreur immuable..

Vous ne passerez pas! criait-elle...

Une seconde attaque surgit du flanc gauche de notre lance. A notre tour de protéger nos forces et notre honneur. J'esquive tant bien que mal cette adversaire, puis portant un coup de déstabilisation permettant à Fanfan d'en découdre avec l'ennemi. celui-ci sera grièvement blessé, mais mis hors de combat.

L'assaut est repoussé...
Aikawa.sen
La nuit avait été longue..... Aikawa avait tenté de repousser l'ennemi avec les soldats d'Otomo, mais cette fois-ci ils avaient du reculer..... Elle était en train de parer un coup quand elle vit, juste au moment où elle tournait la tête, Fanfan, l'amie de sa famille, mettre un coup terrible de katana à Lagunn san...
Aikawa de rage se mit à hurler..... se battant plus férocement que jamais.... Mais elle n'arrivait pas en toucher, son katana fendait l'air et elle reculait de plus en plus..... Des larmes dans les yeux elle fit comme les autres soldats encore valides et se replia vers le campement.......
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