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[RP] Tom et Jerry se marrient !

Lison..
[quelque part sur une ile...]

Arpentant les rues, les yeux cherchant en vain un clocher, évitant plus ou moins bien les flaques, et les éclaboussures des chariotes, et rouspétant et maugréant à tout va.

C'est où???? Nostre Dame, c'est où? Bondiou ! Ce n’est pas possible ça de faire un mariage dans cette ville pleine de ruelles où l'on tourne en rond et dans la bouillasse hein, sans trouver son chemin, pfffff, je viens de la campagne moi! Je me perds même dans le château de Dijon, alors à Paris! Pis ça pue ici !

Evitant de justesse une chariote qui filait sans prendre garde aux passants, le clocher hurlant à tue tête :

Oust là !!! On s’bouge, on s’bouge ! Bande de bouseux que vous êtes !

Oui oui, j’me pousse, rhooo attention à ma….


Trop tard, jet de boue sur la riche cape de velours vert…

Regard assassin vers la chariote déjà loin.


Vaurien, Gredin! Ville de fous furieux oui !!!! Comment peut-on vivre là ? Au milieu de la vermine et des puces.

Gratouillage inconscient en continuant son chemin, sourcils froncés, la tête rentrée dans les épaules.
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Elisabeth_stilton
Oui elle m'a fait un superbe cadeau quand à la porter ce soir ... je ne suis pas sûre qu'Attia apprécie que je modifie quelque chose à sa création.
Pas envie de voir hurler la brune à mon mariage.


Regard qui se pose sur la lettre puis sur le ciel.


Oh le temps avance. Je lui écrirais demain pour le moment il y a le mariage puis ce soir je ne pense pas avoir le temps.

Léger rosissement sur les joues blondes.

Hé mes poneys ils ne puent pas ! Non mais !

La blonde fila dans son bain car faut bien avouer elle aimait ça.
Et se faire dorloter comme ça ba oui elle aime ça aussi. Malgré son âge.

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Doyenne des Dragons et de Belrupt - Maître du Haras Royal - Professeur à l'Inquisition - Intendante à l'atelier des Doigts d'Or
Breiz24
D'accord, ils ne puent pas. Disons qu'ils sentent le poney quoi. Pour ton mariage, ça fait pas classe. Oublie pas de frotter derrière les oreilles!

La rouquine passa derrière le baquet où trempait son amie, et saisit une brosse - pas une étrille, voyons! - pour démêler les mèches blondes, avant de les remonter savamment en un très haut chignon, qui serait dissimulé sous une coiffe. A partir de ce jour, Eli était une femme mariée, et personne sauf son époux et sa servante au matin ne verrait jamais plus les blondeurs cachées sous une coiffe. En théorie. La mode évoluait tellement vite...

Il est où ton époux? Sa tenue est ici non?

Coup d'oeil à la petite servante, sourire assez engageant.

Tu peux étaler la tenue de ta maitresse sur son lit oui. Je l'habillerais moi même.

Une dernière épingle fut piquée dans le chignon, aussi la rousse s'attaqua-t-elle à la nuque nouée de son amie. Elle aimait s'occuper des gens, la rouquine. A plus fortes raisons de sa famille. Eli, c'était comme sa fille. A ceci près qu'elle n'avait que cinq ans de plus qu'elle. Mais elle avait promis. Elle avait promis à Poup, dans son demi délire aux frontières de la mort, lors de la naissance de sa fille, elle avait promis de veiller sur elle. Et elle le ferait.
Donc elle s'appliquait à détendre la pucelle avant ses épousailles. Elle lui accorda quelques instants de répit, puis, voyant que la gamine avait fini d'étaler les pièces de la tenue de la blonde sur le lit, elle se releva, et tendit un grand drap de lin devant elle.


Allez zou, sors de là. Faut y aller.

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- Yolanda n'est pas une boite a idées, C'est un personnage original et copyrighté! -
Warthe
Ils étaient arrivés la veille du jour J.
Warthe avait fait visiter à son Parrain la suite qu'il possédait grâce à sa fonction de Secrétaire d'Etat.
Le Seigneur d'Aincille aurait pu emmener le Duc à la Garde Royale mais c'était moins spatieux, et les Parrains, faut toujours les surprendre !

Après le repas léger du réveil, le jeune gascon avait donné ses recommandations aux domestiques pour que tous sois prêt quand ils se rendraient au mariage d'Ulrich, dans quelques instants.


C'est bien dommage que je ne puisse être accompagné que d'une seule personne.
Regarde son parrain
Mais sache que je suis bien content de découvrire La Cathédrale de Paris avec toi.

Puis, quelques instants plus tard, le duo gascon se trouvait dans la callèche aux couleurs d'Aincille qui se rendait droit en direction de la Cathédrale.

Et dis moi, les Donostiritar ne font pas trop d'anneries ? Tu ne m'as jamais fait visiter tes terres... Un reproche ? Peut-être.. M'enfin, ce n'était pas le plus pressant pour le jeune gascon, les donzelles l'interessait au plus haut point en se moment. Peut être que les Donostiritar sont plus belles que les Aincillenne ?
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Riwenn


Les secrétaires d'Estat avaient droit à un luxe prononcé. Warthe devait s'estre habitué à sa condition noble avant l'heure. En tout cas, c'est ce que s'estait dict son parrain en visitant les appartements du petiot.

Aintzila avait esté invité au mariage d'un ami, et pas n'importe lequel, et il avait décidé d'inviter Donostiri, comme tout bon filleul qu'il estait. Le Duc ne savait pas trop quoi respondre au départ, mais quand il sut qu'il s'agissait des épousailles d'Ulrich, il accepta avec plaisir. Il avait esté présent lors de l'octroi de sa seigneurie et se faisait déjà un plaisir de le revoir.


C'est bien dommage que je ne puisse être accompagné que d'une seule personne. Mais sache que je suis bien content de découvrir La Cathédrale de Paris avec toi.

La dernière fois qu'il estait venu à Paris pour un mariage, il n'avait vu la cathédrale que de l'extérieur. Les épousailles ayant eu lieu au sein du cimetière qui entourait l'édifice religieux.

Sache fillot que ce plaisir est partagé.

Le Duc s'en estait remis aux gardes de Warthe et avait laissé les siens en Gasconha, à Donostiri, pour protéger le domaine familial et les gens qui le composaient.

Et dis moi, les Donostiritar ne font pas trop d'âneries ? Tu ne m'as jamais fait visiter tes terres... Peut être que les Donostiritar sont plus belles que les Aintzildar ?

Sourire du vieil homme.

Mon bon Warthe, je pense que les deux se valent. Mais ne t'inquiète pas, tu auras l'occasion de t'en rendre compte par toi-mesme très prochainement. Il n'en dict point davantage pour l'heure, le jeune homme aurait l'information en temps et en heure. Pour le moment, rendons-nous aux épousailles et profitons de la cérémonie et de la feste. La calèche continuait sa toute en direction de Nostre-Dame. Riw sourit de plus belle en retrouvant au dehors le paysage parisien qu'il connoissait déjà.

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Héraldique européenne
Xollir
La veille au soir :

Deux ombres se glissent dans la cour encadrée par de grands murs de pierre : celle de l'hôtel de l'ordre du dragon. La plus grande des deux referme la grille après leur passage, donnant deux tours d'une grande clef qu'il range ensuite dans sa besace. Il se retourne d'un air assuré et désigne les bâtiments alentours d'un large geste. Sa voix vivre de la fierté qui l'anime tandis que Xollir annonce sans ambage :

Et voici l'académie des dragons!

Magnifique, n'est-ce pas? J'y ai une fort belle chambre, au premier étage, avec vue sur cette entée. Une chambre très confortable. Nous y serons bien plus agréablement installé que dans une auberge, et cela m'évitera d'y emporter mes livres. Je vous en prêterai, si vous le désirez. J'espère juste qu'un ou l'autre étudiant ne dérangera point notre repos. J'ai certains... chahuts encore en mémoire. Je vous raconterai cela une foy que nous serons installé. Mais venez. Je me doute que vous brûlez d'envie de tout voir, mais... Il est tard. Demain, si vous le désirez.


Sans attendre de réponse, il fait trois pas vers l'imposante porte bardée de fer, puis semble se raviser et s'arrête brusquement.

A cette heure, nous de devrions croiser personne, mais qui peut savoir? Je suis sûr que vous viendrez un jour étudier en ce lieu de connaissances, tout comme moi. Mais aujourd'hui, si nous croisons quelqu'un, il ne faut pas que vous me fassiez honte. Voyons votre tenue. Il faut être impeccable.

Tout en parlant, l'Angevin fixe d'un regard attentif la jeune femme qui l'accompagne. Il retire une feuille prise dans ses cheveux, redresse sa cape, tire ceci, brosse cela, lisse une mèche rebelle... Tel un artiste méticuleux, il tourne autours de l'infortunée, corrigeant de menus détails qu'il peine à discerner dans la lumière du crépuscule. Visiblement nerveux, il formule d'ultimes recommandations.

Laissez-moy voir. Vous en avez ramassé de la poussière sur la route. Vous auriez pu faire plus attention. Redressez-vous, marchez l'air dégagé, souriez si nous croisons quelqu'un... Ne faites pas de bruits quand nous serons à l'intérieur. Tâchez de prendre un air studieux et appliqué. Et ne dites rien de désagréable.


Jour de la cérémonie, matinée :

Le soleil déjà haut dans le ciel illumine la chambre. Lorsqu'elle arrive sur les paupières de l'avocat, celui-ci gémit légèrement, puis redresse légèrement une tête ébouriffée. Le lit, confortable pour une personne, se révèle un peu étroit à deux. Clignant des yeux dans l'éblouissante clarté, c'est d'une voix pâteuse qu'il déclare :

Klervia... Vous avez bien dormi? Je crois... qu'il est temps de se préparer pour le mariage. Quelle heure est-il?
Klervia
La veille au soir

C'est fatiguée que Klervia arriva à l'académie de l'ordre du dragon. Forcément, de nuit elle pouvait pas trop se rendre compte de la qualité de l'édifice. Elle n'aspirait qu'à une bonne couche accompagnée d'une nuit réparatrice. La jeune femme observait son époux qui prenait ses grands airs comme à son habitude.

Oui oui c'est bon, je vois, je vois. Allons nous coucher, voulez-vous?

Alors qu'ils s'apprêtaient à passer la porte, l'avocat se ravisa et se tourna de nouveau vers sa compagne. Klervia poussa un profond soupir et le regarda d'un air désabusé.

*Comment ça lui faire honte? pensa t-elle.

Et voilà qu'il se mettait à l'inspecter et qu'il l'arrangeait. Avait-elle épousé un homme ou une gouvernante? Dans un mouvement d'impatience, elle écarta les mains de Xollir.


Ah ça suffit! Cessez donc vos pitreries, vous êtes ridicule! En plus il n'y a personne. Du reste je sais beaucoup mieux me tenir que vous! Ce n'est pas moi qu'on retrouve ivre morte dans les tavernes!

Le lendemain matin

Klervia avait eu du mal à s'endormir. Elle était furieuse après Xollir qui avait préféré dormir dans sa petite chambre à l'hotel des dragons plutôt que d'en louer une à l'auberge. Or le lit était minuscule... Il fallut une bonne partie de la nuit à la jeune femme pour décolérer et arriver à trouver le sommeil.

La voix de son époux la tira de son sommeil. Encore agacée, elle le poussa violemment hors du lit de façon à ce qu'il se retrouve par terre. Puis elle déclara d'une voix chantante:


Oh mais vous êtes déjà sorti du lit! Allons préparons-nous sinon nous allons encore être en retard.
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Mariealice
Un sourire en le voyant avant d'entrer plus avant, de lui faire signe de se rapprocher et d'en faire le tour, observant sa tenue, les mains dans le dos, air sévère.

Et bien je juge....

Elle se planta devant lui, croisa les bras sur sa poitrine.

... Qu'il n'y a rien à rectifier.

Nouveau sourire. Il avait ce pouvoir sur elle, faire naître des sourires. Pas que cela. Il pouvait aussi la rendre chèvre, lui donner envie de le secouer mais la première des choses était tout simplement qu'il était là. Même ce jour. Elle avait tellement pris l'habitude de devoir se rendre seule à toutes les cérémonies où on l'invitait ou bien où sa présence était requise, qu'il ne pouvait savoir la gratitude, pas que cela mais le reste ne regardait qu'elle et lui. qu'elle ressentait à son égard d'avoir dit oui et de l'avoir fait.

Nous sommes en avance. Veux-tu te restaurer, boire quelque chose ou bien que nous commencions à nous y rendre? En flânant un peu.
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Walan
Sans même vraiment s'en rendre compte, Walan rendit le sourire que lui faisait Marie Alice. Lui qui était pourtant connu en Dauphiné comme un homme austère et froid, au visage impassible et aux sourires aussi rares que la neige en août, ne pouvait s'empêcher de sentir ses lèvres se relever dès qu'il la voyait, et plus encore lorsqu'elle lui souriait ainsi. Le vicomte était tout simplement heureux de la voir de la sorte, heureux de pouvoir l'accompagner et d'avoir accepté son invitation. Il avait retenu ce qu'elle avait pu lui dire parfois sur le fait d'aller seule aux cérémonies et réceptions. Il avait cru deviner également une part de ce qu'elle ne lui avait pas dit, mais en tous les cas il savait comme cela comptait pour elle d'être pour une fois accompagnée. Mais peut-être ne se rendait-il pas compte à quel point ...

Sans Repos attendit que son hôtesse ait fini son examen, allant même jusqu'à tourner un peu sur lui même avec une mine amusée, avant de lui répondre avec un doux sourire.

Et bien, s'il n'y a rien à rectifier tant mieux.
Cela étant, on ne me remarquera même pas à côté d'une noble et belle dame comme ma cavalière
, ajouta-t-il avec un air malicieux avant de répondre à sa question.

Je connais peu Paris. A vrai dire, je n'y suis pas venu fréquemment et je n'ai jamais eut le temps d'y flâner. Peut-être pourrais tu me montrer quelques endroits intéressants sur la route des noces ?

Le regard gris couleur d'acier chercha quelques instants celui noisette de sa vis-à-vis avant d'y plonger longuement. Les rues de Paris intéressaient Walan, certes, mais ils savaient tout deux que tout ce qu'il souhaitait était de demeurer à ses côtés.
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Eusaias
Il s’était extirpé des lèvres et avait coulé de la commissure de celles-ci jusqu’à la pointe du menton. Il avait évidemment fait un crochet par une joue avant de venir souiller le col du mantel. C’était souvent ainsi que le traitre « filet de bave » agissait quand le baron somnolait. Il s’était assoupi dans le coche en quittant l’Hôtel Bourguignon alors qu’il allait chercher la demoiselle. Quoi de plus normal pour la Balbuzard que de s’occuper de cette enfant quand on savait qu’il s’était longtemps occupé des cuisses de la mère. La tête du Balbuzard heurta légèrement un montant du coche ce qui le réveilla.

Nous y sommes Baron.

Bien allons voir si Elisabeth est prête. Victor nettoie le coche qu’il puisse accueillir la future mariée et fait le couvrir de fleur !

Mais vous me l’avez fait laver deux fois déjà…

Et bien trois c’est mieux que deux !

Digoine coupa court à la conversation grâce à un regard soutenu. L’intermède terminé il rejoignit la lourde bâtisse pour se faire annoncer. Le regard d’oiseau de proie se porta sur le bouton de manchette mal passé et d’une main experte rattrapa le tout.
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Anya_de_puycharic
L'invitation avait été envoyée par sa cousine. Etonnant qu'elle ne fut pas envoyée par le cousin. Sans doute qu'il avait peur de la réaction de Blondinette, qui désirait toujours autant lui faire la peau, ou au moins lui faire avaler ses dents, et ce, pour deux choses au moins...ah nan !! TROIS !!!

La première : il avait osé s'en prendre physiquement à Blondinettebis, manquant par là-même de s'en prendre à elle. Tout ça parce qu'elles n'avaient pas accédé toutes deux aux caprices de la souris estropiée qu'il était.

La seconde : il avait osé dire !! nan mais là, ça méritait de lui donner la mort non pas par pendaison, mais par lynchage à la serpillère. Il avait osé dire qu'elle n'était pas le meilleur médecin de Normandie !!! Elle, qui prenait notamment des cours à l'Ostel Dieu, là, juste à côté !

La troisième : il avait osé, encore une fois par vengeance, elle en était sûre, s'en prendre à un de ses Gardes, le laissant bloqué pour 45 jours à Honfleur. Oui, bien sûr, il disait que, c'était la faute de l'armée, qu'ils avaient oublié de mettre son nom sur la liste amie, etc. C'est ça !! on la lui faisait pas à Blondinette !! c'était pas un hasard que le poutré soit un des membres de sa Garde rapprochée !!

Décidément, Anya se demandait comment sa cousine pouvait épouser cet homme au cerv... hum bref. Si Blondinette venait à ce mariage, cela n'était que pour sa cousine chérie. Et après tout... si Eli aimait Ulrich... c'est que soit il avait QUAND même de bons côtés, soit... pour être plus près et attendre pour mieux frapper et se venger ^^.

Blondinette n'était pas loin. Elle se trouvait justement à Paris, à l'Ostel Dieu, tout juste à côté de Nostre Dame. Au moins, elle ne pourrait pas être en retard. Le cours sur la trépanation était déjà terminé.
Elle venait de finir de se préparer, descendit les marches de l'établissement et se dirigea vers le lieu du rendez-vous.

Le lieu du rendez-vous... cela la fit sourire. Lui rappelant la dernière missive d'Ulrich pour son soutien aux Ducales, dont faisaient partie nos deux Blondinettes. Elle avait saisi les sous-entendus de cette lettre. Elle ne s'était pas rendue au rendez-vous, sinon, elle aurait eu droit à 45 jours elle aussi, pour sûr ^^.

Arrivée sur les lieux, donc, Blondinette demanda à la première personne qu'elle croisa :


Hum... Pardonnez-moi. Pourriez-vous me dire où je pourrais trouver la future mariée ?

Arf... des mariées, y'en avait peut-être plusieurs. Autant préciser.

Je parle de Damoiselle Stilton. Je suis Anya de Puycharic, sa... "cousine".

Ce terme était toujours utilisé entre elles deux, ainsi qu'avec Ulrich. Après tout, suite à son accident, elle s'était fait passer pour la cousine de Lasteyrie et de par leur complicité, elles étaient finalement proches comme de vraies cousines. Et puis... si ça se trouvait... leurs pères étaient tous deux Lorrains. Peut-être étaient-ils de la même famille... même éloignée ?

Blondinette attendit qu'on la conduise auprès de Blondinettebis.

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En deuil...
Theognis
ZzZzZzZzZzZzZzZzZzZzZzZzzzzzz.....


L'ombre d'une fourche plane sur deux visages endormis. Elle s'approche, au-dessus de leurs chevelures mêlées marque un temps d'arrêt. Elle hésite. Elle voudrait fourrager leurs cheveux comme les italiens mangent leurs pâtes, mais pareille tâche se révèle impossible.
L'ombre de la fourche descend sur les corps enlacés. Elle s'arrête sur la main fourrée dans le faible corsage, puis continue sa route sans la toucher. C'est à présent autour de leurs jambes nouées que l'ombre s'étend. Elle se rapproche. Elle observe. Soulève un bout de jupon. Effleure le galbe de la hanche. Déjà la rousse frémit dans son sommeil et fronce les sourcils.
Vite, l'ombre se retire, laissant la cuisse à nue. Comme une main prise en faute dans le pot à confitures.
Et plus vite encore, l'ombre revient, l'ombre de ces griffes métalliques, de cette fourche qui pique les fesses du dormeur, et réveille Théo en sursaut sous un déluge d'imprécations:


Foutredieu, que faites-vous dans ma grange, bougres de peigne-culs, qu'est ce que vous faites dans mon foin, toi le coquin avec ta ribaude, rouquine comme le diable! Sortez-moi vos derches de là, et plus vite que....

Tout à coup, un Loup, haut comme trois pommes, s’agrippe de toute la force de ses menottes à la jambe du paysan. Il tente de le mordre, malgré le vêtement épais, avec ses dents de lait. Le cri de sa mère retentit pour le protéger, mais rien n'y fait, l'homme est furieux et s'apprête à l'expédier de l'autre côté de la grange, en le prenant par le collet de la main gauche....Mais entre les doigts de sa main droite, la fourche lui échappe soudain.
C'est Théo qui la tient désormais, et la retourne bien vite contre le vilain, pointes acérées contre le torse.


Touches un seul de ses cheveux, et je te donne à manger à tes cochons....

Impuissant, le paysan contemple la scène de retrouvailles entre la mère et le fils, entre Aria et Loup, et se demande à quelle sauce il va être mangé.

....Alors, pour le petit-déjeuner, ce sera du fromage et des oeufs, avec une bonne miche de pain. Et pour la route, un saucisson, du lard fumé et tout ce que tu trouveras pour faire un bon panier de provisions....

Une voix juvénile retient:

Et de la tarte aux pommes!

Revendication appuyée par Théo, sourire goguenard.

....Et de la tarte aux pommes. Et si tu te crois malin en lâchant tes clébards à nos trousses, regarde....

Dégageant du pied un peu de paille, il découvrit la fusée de son épée, dissimulée la veille sous le tas de foin.

Allez maintenant, je t'accompagne à la cuisine! Ouste!

Il partit avec le paysan, non sans un dernier sourire à sa louve.

Attendez-nous aux chevaux, il faudra partir vite si nous ne voulons pas être en retard pour la cérémonie.

Et c'est ainsi qu'Aria et Théo se rendirent à Paris, direction Notre-Dame, pour le mariage d'Elisabeth Stilton, avec le ventre plein et des rires à n'en plus finir sur l'épisode du matin.
Mariealice
Froncement de nez puis de sourcils suivie d'une petite moue.

Vous savez fort bien ce que je pense du noble et belle dame, messire mon cavalier.

Et de se retenir de lui tirer la langue ou de lancer un bouchon, voire une chausse, qu'elle n'avait point sous la main.

Visiter je crains que cela ne soit guère possible puisque nous ne sommes guère loin de Notre Dame. Par contre, nous pouvons tout à fait nous y rendre à pieds, en flânant. Ainsi tu pourras voir les bords de Seine puis nous irons sur l'Isle de la Cité.

Petit signe de la main indiquant la porte de la chambre, invitation à sortir s'il le souhaitait, attente de sa décision.
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Elisabeth_stilton
Et pendant que la blonde barbotait on pouvait entendre une douce mélodie ...

Un jour mon prince viendra
Un jour il me dira
Ses mots d’amour si troublant et tendre
Que j’aurais tant plaisir à entendre

Un jour mon prince viendra
Un jour il me dira
Ses mots d’amour si troublant et tendre
Que j’aurais tant plaisir à entendre

Qu’il vienne je l’attends
Craintive et cœur battant
Dans ses bras alors un beau rêve enchanteur
Deviendra réalité…


Elle fut tiré de son rêve idyllique par une réplique de la rousse.
Ba oui où c'est qu'il est son futur époux ?


Ulrich ? Ba oui qui d'autre !
Je ne sais pas où il est. Quand à sa tenue oui je l'ai je n'allais pas lui confier une des merveilles d'Attia ! Pas à un soldat.

Mais heuuu je veux rester dans l'eau.


A ce moment là, on frappa à la porte, Lucine se précipita pour voir, ça lui faisait un moment de répits loin de la rousse qui lui faisait peur. C'est connu les roux sont les créatures du diable. Elle se signait à chaque fois qu'elle en voyait et là mon Dieu une touchait sa maîtresse. Non décidément elle préférait partir voir la porte. Quelques secondes plus tard elle revint bon gré mal gré avec des nouvelles.

Miss ?
Oui Lucine ?
Un homme vous attends avec un coche, il dit qu'il est le Baron de Digoine.
Ah tonton est là ! Mais Ulrich n'est même pas là ! Je ne vais quand même pas arriver avant lui.
Bon Lucine tu explique à tonton que nous ne sommes pas prêtes, tu le mets dans le salon de réception avec de quoi se rafraichir et se restaurer.


Bon là plus de temps pour barboter il fallait se dépêcher. Aussi elle se leva bien difficilement pour se sécher tout en priant pour qu'Ulrich arrive pour se changer.

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Doyenne des Dragons et de Belrupt - Maître du Haras Royal - Professeur à l'Inquisition - Intendante à l'atelier des Doigts d'Or
Breiz24
Nom de dieu! C'est à peu près tout ce qui vient à la pensée de la rouquine quand elle entend qui est à la porte. Avec deux secondes plus tard un léger bug : le mari est pas là, mais sa tenue, oui, et la cérémonie commence dans... Enfin bientôt, et faut qu'elle se grouille les miches parce que elle non plus elle n'est pas habillée pour s'y rendre. Bordel!

Eli, sèche toi tu veux. Je vais euh... saluer ton oncle. Genre, elle le hait, mais elle va lui dire bonjour. Comme sortie discrète, c'est raté, mais sait-on jamais, peut être que la blondinette n'est pas tout à fait au courant de ses inimitiés personnelles. Et pour citer un célèbre penseur : "on ne sait jamais, sur un malentendu, ça peut marcher!"*
Elle abandonne donc Eli et son drap de bain au coin du feu, pour suivre la gamine et retrouver l'Eusaias là où on l'a conduit, c'est à dire, normalement, dans le salon. Ou quelque part entre le salon et la porte d'entrée, si elle se grouille. Ah! le voilà!


Dites, Baron, bonjour, j'm'occupe d'Eli, là, vous z'inquiétez pas, même si vous m'détestez, faites pas d'esclandre ça serait pas gentil pour Eli, et surtout, je suis l'apprentie de Maitre Attia, fournisseure royale, qui a cousu la tenue des époux.Nan, elle lui laissera pas le temps de respirer, s'il arrive à l'interrompre elle pourra plus parler, voire elle se fera foutre dehors, et en ce cas, Eli serait ultra mal fagotée dans sa robe a vertugadin et multiples couches de soies, pierres, et ors. Donc faut débiter encore plus vite que son rythme habituel - et son niveau d'excitation du type "femelle avec une copine le jour de son mariage" y aide grandement - pour envoyer les infos : Donc pour l'habillage de la mariée, je gère, et je vous l'amène dès qu'elle est prête. Par contre, vous rendriez un fier service à tout le monde si vous arriviez à mettre la main au collet du marié - il est facile à repérer, il peut pas marcher - et à le foutre dans un baquet d'eau propre. Parce qu'il est nulle part, mais sa tenue est ici. Et c'moi qui vais l'habiller aussi. Faites ça pour Eli, hein? Qu'elle se retrouve pas à attendre seule face à l'autel. S'vous plait!

Oui, pour son amie, la rousse a réussi à causer à Eusaias sans gros mot, en collant du "vous" et du titre au coin de chaque phrase. Elle est l'amie d'Eli, elle est aussi l'apprentie d'une fournisseur royale, et du coup elle peut plus gueuler sur les nobles autant qu'avant, même quand elle pense qu'ils ne méritent pas leur titre. Comme quoi tout arrive. Sauf le fiancé, d'ailleurs, qu'on aimerait bien voir arriver pour le coup!

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