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[RP] Tom et Jerry se marrient !

Alycianne
Alycianne ? Présente !
C'est la gamine, sur le côté du parvis, là, qui se parle à elle-même tant elle trépigne d'impatience. Robe simple, robe rouge, et autour du cou de la belle fourrure tirée des malles de l'Etincelle.
Une fois de plus, elle passe une main sur ses boucles remontées sur sa tête, emprisonnées dans un long ruban rouge. Aucune mèche rebelle en vue, mon capitaine !


- Bonjour marraine ! C'est moi vous savez, Alycianne... Je me souviens plus bien si dans ma lettre je m'étais décrite pour que vous me reconnaissez, mais dans le fait je suis souvent en rouge, et je suis brune avec des yeux bleus. Vous voyez ? Ça me ressemble, alors je pense que c'est moi.
Bien sûr que c'est moi, dans l'évidence... Je suis contente de vous voir, et puis pour votre mariage, c'est très... Fé-li-ci-ta-tions ! Aussi votre époux est très... Je sais pas, je l'ai pas encore vu. Donc voilà, je suis là, et puis j'ai même amené des pâtes de fruits, dans le cas où vous aimez ça... Et puis sinon c'est pas grave, je les mangera !
Je suis si conteeeente de vous rencontrer...


Mais le mur, bien que sensible aux sourires charmeurs et battements de cils de la fillette, ne sut trop quoi répondre et entre tous les choix lui venant à l'esprit, il se lança dans celui qui correspondait le plus à sa nature : il resta de marbre.

- Bon Alycianne, maintenant il va falloir le faire à ta vraie marraine... Où est Papa aussi ? Il va arriver avec elle. Ou sinon on lui parle après la cérémonie... Oui, c'est mieux peut-être. Sauf si j'arrive pas à retenir mes jambes qui me font courir vers elle et jeter dans ses bras ?

Perdre une deuxième mère pour prendre conscience du manque qu'elle éprouve, du manque de la personne en tant que telle, mais aussi de la place qu'elle occupait, tout le monde a besoin d'une maman. Et celle qui pourra s'approcher de la figure maternelle, sans l'être pour autant -qui pourrait prétendre les remplacer ?- c'est bien sa marraine. Celle qu'elle n'a jamais vue mais avec qui elle partage tant déjà -deux lettres, c'est pas mal beaucoup, si si.
Elle relève donc le nez, mire les invités présents, et file les rejoindre.


- Marie ! Bonjour, vous allez bien ? Sourire aux autres, elle babille son élégant : Je m'appelle Alycianne, l'Exquis Quartz de Bourgogne, avec huit ans, mais huit grands ans quand même.
Yeux qui se lèvent vers la Pair. Vous allez mieux, depuis la dernière fois, la mort d'Aleanore ? Vous pensez c'est possible d'aller mieux ?
Et presque inconsciemment, elle entoure de ses bras la taille de la brune. Temps qui se suspend, puis qui reprend à une allure folle, qui repart, comme si de rien n'était. La gamine lisse ses jupes, et suit le groupe dans la cathédrale.
Marraine, je suis làààà !
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Zya62
Il était aisé de remarquer le sourire qui s’était peint sur le visage du Blond. Il l’était moins de remarquer la petite lueur dans l’œil, amusée ?, quand il avait fait son laïus à l’Ange.

Aurait-il le goût du jeu, ce jour d’huy ? Serait-il nostalgique au point de ressortir leurs habitudes d’antan ? Celles qui leur avaient valu toutes les rumeurs les plus folles ? Ou était-il sincère ? Certes, elle savait la place qu’elle occupait, pour lui. Et puis, leurs rencontres étaient devenues rares, ces derniers mois. Quand à son comportement en public, n’en parlons pas. Tout était prétexte à s’amuser des autres qui devenaient au final, leurs spectateurs, souvent.

Le grandiloquent, l’exagéré. Deux maîtres mots de leurs rencontres publiques. Oui, publiques. Parce qu’en comité restreint, non. Les barrières tombaient et ne restaient que les vieilles connaissances qui se connaissaient par cœur. Mais ici, le masque était de mise et la belle se demandait si elle devait, ou non, chausser le sien, de même. Car, en temps normal, que répondre à un tel déballage ?

Aussi ne put-elle retenir un sourire amusé, qu’on prendrait peut être pour charmé bien que ce ne soit le cas (n’oublions pas qu’elle le connait par cœur) et elle de répondre :


Duc, vous me voyez ravi d’apprendre que vous avez reçu la dernière missive vous invitant. J’avoue que je me suis demandée, un instant, si vous étiez encore vivant, ne recevant de vos nouvelles après cette lettre. Et l’idée m’effleura que recevoir nouvelles de moy vous tua sur le coup… Mais il n’est point et ceci me rassure. Je cuide que votre épouse m’en aurait voulu à mort, si tel était le cas, n’ayant point encore eu héritier tous deux…

Comment ça, elle restreint leur mariage à ça et c’est maaaal ? Mais après tout, il n’est que pour « ça », justement. Et sans « ça », pffffuiiitttt ! envolés les titres des Von Frayner pour la De Vergy… faut pas se leurrer… mais être réaliste jusqu’au bout ! Et si vous ajoutez à cela qu’en cas de mort par sa faute indirecte, elle se retrouverait ornée d’un contrat sur la tête, vous comprendrez aisément que oui, Cyrielle s’est inquiétée… Mais pas que pour ça, rassurez-vous. Seulement là, elle n’est pas encore encline à en parler. A lui de le deviner dans ses non-dits.
Elle ponctua donc ces quelques mots d'un sourire amusé et entendu et reprit.


A présent que je me trouve rassurée quand à votre santé physique mon vie… cher ami,, pourriez-vous me donner le bras, tel le serviteur d’un évènement que vous vous proposez d’être ? Marie a raison, le futur mari étant entré, nous devrions nous installer, ou nous n’aurons plus le choix de la meilleure place à l’intérieur. Je vous dirai alors, en attendant le début des épousailles, à quel point je suis ravie que vous ayez trouvé le temps, en votre emploi du temps, de me tenir compagnie ce jour.

Et de déposer délicatement ses doigts gantés sur l’avant bras de son cavalier d’un mariage, avant que de se tourner vers Alice et son Chess… une Alice qui venait de se faire alpaguer par deux bras d’enfançon, repoussant inéluctablement le moment de s’installer… ou pas, la jeune fille ayant décidé de les suivre directement.
Aussi, après un sourire à celle qui avait l’âge (ou presque) du jeune d’Arduilet, et un regard à ses compagnons, ils avancèrent pour prendre place dans les travées des nobles, avant que la cérémonie ne débute sans eux.

Elisabeth_stilton
Un coche à Paris, devant la cathédrale Notre Dame ...
Une robe signée Attia d'une pure merveille ...
Des amis et des connaissances venus pour eux ...
La Famille ...
Et un mari qui l'attends ...

Voilà ce qui passait dans la tête blonde de la Stilton, là, pendant qu'elle attendait pour entrer dans l'église. Il en avait de drôles d'idée tonton. Se faire désirer, sauf que s'ils attendaient trop, Ulrich voudrait sans aucun doute partir, et ça elle ne le voulait sous aucun prétexte.
Elle commençait à angoisser la blonde. La gamine qu'elle était refaisait surface pour dominer la personne sûre d'elle qu'elle présentait à tout le monde. Elisabeth allait sans aucun doute affronter l'épreuve la plus dure de sa vie, se marier.

Alors pourquoi Ulrich ? Pourquoi un estropié en plus ?
Les raisons sont multiples, déjà elle savait que chez elle, chez son père elle serait vouée à un mariage qu'elle ne voulait pas, c'était une des raisons principales enfin le disait elle.
Ensuite il y avait l'accident elle se sentait coupable de l'avoir blessé. Coupable d'avoir voulu se venger, coupable d'être attirée par lui, coupable d'être relié à lui ...
Puis une raison simple, il le lui avait demandé, alors pourquoi pas.
Et l'amour dans tout ça me direz vous. Il existe un tas de mariage qui se font sans amour, et bien les deux avaient du respect l'un pour l'autre et cela semble suffisant.
Sauf qu'elle l'aimait, elle l'aimait depuis ce premier jour aux dragons, depuis qu'il avait jouer avec elle dans la salle des étudiants, et de plus en plus au fur et à mesure du temps. Elle n'avait jamais voulu l'accepter mais les faits étaient là.

Bon elle commençait à en avoir marre d'attendre, elle regarda son oncle et l'entraina par le bras. Elle voulait épouser Ulrich, devenir sa femme, elle voulait l'embrasser, elle voulait ... heu vous avez compris ... Elle voulait qu'ils fassent corps et âmes. Les cloches avaient sonnées depuis longtemps, elle était morte de peur mais elle le voulait.

On y va !

Elle leva la tête et avança accrochée au bras du Baron de Digoine, pendant qu'on entendait la musique s'échapper de l'orgue. Avant d'entrée dans la cathédrale, elle vérifia sa tenue, lissa les plis de sa robe et respira un bon coup. Enfin le grand moment était venu.

Le couple entra et remonta la nef au rythme de la musique. Elle regardait son futur mari. Dieu qu'il était beau, elle était en admiration devant lui, elle l'adorait, elle aurait presque souri tant elle était heureuse. Après ce moment ils pourraient vivre ensemble heureux à jamais, dans une belle maison, avec pleins de chevaux. Elle s'occuperait des bêtes pendant qu'il dirigerait les paysans sous leurs ordres. La petite propriété bourguignonne leur donnerait de quoi être heureux jusqu'à la fin de leurs jours. Si elle avait pu elle l'aurait embrassé de suite son futur époux.
Au lieu de cela, elle se plaça à ses côtés.


Chlodwig_von_frayner
Inutile de décrire à quel point sa voie est à son comble lorsqu’elle daigne, non seulement poser un regard sur lui, mais qui plus est lui adresser la parole. Et pas d’une manière sèche, une fin de non recevoir, ou sarcastique, ou même haineuse ou encore simplement méchante, non, non, elle lui adressait la parole en souriant. Cette fois, le sourire se fait léger, paisible, bien loin des turpitudes terrestres et autres tracas quotidiens. L’instant compte-t-il seulement ? Le lieu revêt il quelque importance. Non, Ses préoccupations, que dis je, ses pensées sont ailleurs, dans un paradis qu’il s’est créé, sous les yeux d’un ange. Un paradis fermé à clé, dont il n’a pas le droit de profiter. Pourtant… le serpent en son cœur s’est glissé. Une pomme ?

Les autres… qu’importe. On paierait les conséquences plus tard, en temps et en heure. En ce jour elle seule importait. Ou alors… peut être seul importait son propre plaisir à lui, celui de la contempler, celui de la toucher, celui de se croire un instant ailleurs, d’ s’offrir une bouffée d’oxygène. Sourire à nouveau.


Veuillez croire sincèrement, comtesse, que réponse vous a été envoyée et je suis navré que vous ne l’ayez reçue. Pour rien au monde je n’aurais pu manquer pareil instant si cela permit, un quelque secondes peut être de trouver grâce à vos yeux… que vous avez toujours aussi beaux.

Nul besoin de la contredire sur le reste des points, elle a raison, elle le sait, il le sait. Il a été lâche, elle le sait, il le sait. Il l’a blessé… tous les deux savent ce qu’il en est. Mais où en sont-ils ça c’est autre chose. Le savent ils réellement ? Plus ou moins ça c’est sur au vue de leurs dernières rencontres. Mais veulent ils réellement se l’avouer ? C’est une autre question. Mais se laisser porter à présent, à leur âge, enfin plutôt, avec leur rang, leur position, c’était plus difficile… Elle était le Grand Écuyer de France, chevalier, comtesse aussi, et lui le Duc de l’Aigle, qui recommençait (encore) à faire parler de lui. Elle était veuve, il était marié… avec la réputation qu’on lui connaissait. Alors… Quoi d’autre ?

Il lui saisit le bras, ainsi qu’elle le lui avait suggéré… délicatement, comme si il avait peur de la briser… puis plus fermement, retrouvant au passage son parfum, la sensation délicate de son bras contre le sien… souvenir… Bisounours lui ? Accro peut être… nostalgique sur et certain. Il glissa à Marie un « je vous l’arrache l’espace de quelque temps… n’ayez crainte je vous la rendrais intacte… du moins je l’espère » et l’accompagna jusqu’à l’intérieur de l’édifice. Par moments, il se retournait vers elle pour la contempler, pouvant par moment faire ressembler son visage à celui d’un enfant ayant reçu une sucette… ou de quelqu’un en extase peut être… surtout quand le regard glissait franchement dans le décolleté généreux qui lui était offert… Une histoire de syncrétisme entre la robe et lui, comme il l’avait dit autrefois à une Orvalounette. Pouvait jamais s’en empêcher…


Oh pour mon physique… figurez vous que je me suis à peine remis de mon naufrage au large de Brest… comme vous le savez peut être, une bande de pirates nous a assaillis et laissé dériver… Inutile de dire que le combat fut rude… un contre trois ! Mais nous avons succombé sous le nombre… Plus JAMAIS je ne refoutrais les pieds sur un maudit rafiot… je préfère la terre ferme… t’as moins de chance d’y crever noyé. Voici une des raisons, sans doute pas la principale, mais en tout cas qui explique certaines de mes périodes de silence.

Il sourit légèrement et l’entraîna vers une place… tout devant bien sur, mais sur un côté… ben tiens pas loin d’un pilier en fait, un endroit qui pourrait peut être les abriter du regard des autres (pouvait on rêver). Ah oui… la mariée arrivait. Mais dites moi ? Qui se mariait déjà ?
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Uriel
Le Premier Archidiacre de Trèves déposa dans la sacristie tous documents nécessaires au fait qu'il pouvait exceptionnellement officier en ce lieu.
Décidément il avait eu beaucoup de chance pour un simple clerc non-ordonné ... la Cathédrale de Trèves, celle d'Aix, Notre-Dame de Paris et même la Basilique San Titus à Rome ... tant d'endroits qui avaient été foulés par de si grandes personnes de l'Église Aristotélicienne, même des Saints et voilà que lui humble et simple mortel suivait leurs pas.
Enfin, il n'était pas là pour lui aujourd'hui, mais pour Eli.

Ainsi donc, après s'être déshabillé, il revêtit une aube blanche, une soutane noire et une étole, car il y aurait ce jour partage du pain et du vin.
Laissant de côté les gants, il détestait les porter ... ils étaient sensés éloigner du monde et de la corruption les clercs, mais il se sentait trop proche des gens que pour volontairement s'en tenir écartés. Enfin, il enleva son anneau doctoral, ne souhaitant pas montrer ou démontrer des signes ostensibles de pouvoir ou de reconnaissance.
Prêt ... il était prêt ... enfin presque, il fallait encore prendre quelques feuilles de menthe pour garder l'haleine fraîche quoique ... une gorgée de mirabelle aurait bien fait l'affaire, mais de si tôt matin, cela aurait été abuser.

Sortant alors de la sacristie, il vint se placer près de l'autel, tournant les pages du Livre des Vertus presque automatiquement. Il regarda distraitement les quelques personnes qui entraient, les saluant au passage ; il fut surpris de voir en ces lieux Chlodwig, à qui il accorda un sourire et un signe de tête. Avec un peu de chance, et de temps, il trouverait l'opportunité de venir saluer son beau-frère après la cérémonie ; certes il n'avaient jamais trop l'occasion de se voir ou de discuter, l'un lié en Lorraine et l'autre un peu aux quatre vents toujours à défendre une cause ... en Provence, en Alençon ... bref, là où il avait des batailles. Uriel à sa grande habitude, ne jugeait pas et appréciait sincèrement le frère aîné de son épouse. Il reconnût également la jeune fille nommée Zya qu'il avait entrevu, voici si longtemps, au domaine de Villemaur ...
Et c'est ainsi qu'il reporta son attention sur le devant de la scène où était apparu le Lasteyrie ; Uriel contourna l'autel pour venir le saluer, et l'entendre quémander à manger.


Hum ... bhen ... j'ai bien le pain mais c'est pour après la cérémonie ... je peux vous en donner un morceau pour éviter un concert venant de votre estomac.


Pas de chance, ils auraient été à Trèves, il aurait pu faire amener un repas mais ici ...

Résonnez tambours, sonnez trompettes, les portes s'ouvrirent en grand pour laisser entrer une Eli plus ravissante que jamais. Il la contempla s'avancer vers eux, le long de l'allée centrale, semblant se déplacer au rythme d'une nappe de brume, tant doucement qu'avec légèreté.
Les principaux acteurs étaient là, on allait pouvoir commencer ...
Walan
Avec un salut poli à l'intention de la GEF, puis de l'homme qu'elle appela auprès d'elle, Walan écouta distraitement la conversation. Un bref sourire apparut lorsqu'il entendit l'échange de paroles entre les deux personnes. Visiblement les taquineries n'étaient pas de mises que de son propre chef aux dépends de Marie, et c'est d'ailleurs avec un regard qui n'était pas s'en rappeler un "et toc !" qu'il se tourna pour lui tendre son bras pour inviter à entrer.

Sauf qu'entre temps une tornade brune -oui, pour Walan tout enfant, particulièrement de sexe féminin, qui semble apparaître comme par magie à un lieu où il n'y avait rien l'instant d'avant tellement il court rapidement sur ses petites jambes, est assimilable à une tornade (et souvent traité avec la prudence assortie)- était apparue, se présentait à tous, s'adressait à Marie en particulier, la serrait dans ses bras puis s'écartait. Sans Repos en était encore à se demander s'il avait eut le temps de respirer pendant qu'elle faisait le tout.

Adressant un léger signe de tête à la dénommée Alycianne pour la saluer, le vicomte offrit son bras à Marie afin qu'ils imitent le couple les précédant dans Notre-Dame. Ce faisant, il s'interrogeait tout de même sur le nombre d'enfants qui semblait entourer la GMF, quoique ce questionnement céda vite, très vite, extrêmement vite face à la découvert et l'observation de l'intérieur de la Cathédrale, immense, majestueuse et de ses si colorés vitraux.

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Attia.
Elle n'aime pas les mariages. ben oui qui aimerait se voir envoyer a la figure une félicité qui manque cruellement ?

Nan mais elle est pas encore completement aigrie.
Elle se dit la gitane " Vas y comme une Guest Star ". T'es rien au milieu de ces gens, mais dans le reflet du jupon doré peut etre des yeux admiratifs qui sait ?
Oui l'Ego ça aide beaucoup quand on a que ça comme richesse.
Alors elle avait fait le chemin jusqu'a Paris. Tu parles d'une ville. ça Pue et ça gueule.

Ses premiers pas dans la capitale ne se font pas sans un rictus de dégout. Elle a bien fait de mettre les bottes et de garder les souliers pour plus tard.
Elle garde un air hautain, fermant son regard a toute accroche possible. Elle n'etait pas femme a accorder un brin de causette au premier pecquenaud soit il parisien venu.
Mais il a bien fallu demander son chemin dans l'histoire. Sur le parchemin c'etait marqué Notre dame... De paris evidemment!

Alors elle avait fait sacrifice de demander enfin son chemin a une dame qui avait l'air plus ou moins avenante, prenant un temps fou a comprendre les dédales de cette ville inconnue et se foutant bien de savoir si elle était en retard ou pas. L'effort de sa presence seule suffisait comme gage d'amitié pour la jeune blonde qui quelques semaines auparavant en était a se questionner sur l'intimité des alcoves conjugales, le desir , le plaisir et toutes ces choses resolument indécentes au regard des gens vertueux.

Finalement la cathédrale se dessine fierement une fois le pont passé.
C'est dingue le monde qui se masse sur le parvis.
Elle repère une jeune femme, brune, mate, qui pourrait etre elle il ya quelques années, dansant contre quelques ecus, et elle lache un sourire. Le temps n'etait plus...

Avant d'entrer dans la Catthedrale elle troque les bottes crottées contre des souliers. Il faut etre classe tout de meme non ?
Alors elle rentre enfin dans la cathedrale la ou se tient l'office.
Dieu qu'elle est grande cette salle...

Des yeux elle cherche scrute la foule avance pour mieux se rapprocher jusqu'a croiser enfin le couple arborant les tenues qu'elle avait confectionnées avec minutie. Alors elle arbore un sourire satisfait la gitane c'est pas pour dire mais c'est tout de meme classe un mariage en AttiadesJuli!

Elle essaie de trouver un visage connu mais ya carrement trop de monde.
Encore quelques avancées au milieu de la foule et elle se faufile vers l'autel histoire d'avoir une vue imprenable.
Au moment ou les jeune tourtereaux se diront des mots d'amour, elle portera son attention sur leurs tenues, oui comme ça elle n'entendra pas les serments qu'elle ne fera peut etre jamais.

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© Yolanda n'est pas une boite à idées. C'est un personnage original et copyrighté ! ©
Nicolas.df
Il commençait à en avoir assez. Trop de contrariétés s'étaient lentement accumulées pour former un tas de belle taille, qui pesait désormais de tout son poids sur l'humeur de Nicolas. Alors quand en plus, en plein milieu d'une séance de coups de badine pour un trop grand nombre de fautes dans un article, il se rappela qu'Elisabeth se mariait aujourd'hui... et il était tout à fait hors de question de manquer cet évènement. Après le temps qu'il avait passé à lui tranquilliser l'esprit sur son union, le minimum était bien de faire acte de présence et de soutien ! Il interrompit donc le châtiment, monta se changer en vitesse -terme aussi relatif lorsqu'on parlait d'un Florentin que quand il était question d'une femme- et se mit en route vers Notre Dame.

Malgré ses efforts, il aurait sûrement un peu de retard, et lui qui s'arrêtait d'habitude à un étal près de l'Agence pour acheter un petit pain à la viande n'en fit rien, au plus grand étonnement de la jeune vendeuse.

Arrivant d'un bon pas sur le parvis, il eu tout juste le temps de voir la jeune femme passer les portes. Il se hâta de la suivre, gravit les marches quatre à quatre, et s'arrêta discrètement dans le fond de la cathédrale, considérant tout son saoul le dos des invités et du couple. Pour ce qu'il en voyait, la robe était finement travaillée, et renforçait assurément la maturité qu'il se plaisait à lui contester. Un petit sourire aux lèvres, il s'assit pour reprendre son souffle et attendre la fin de la cérémonie. Le tout serait d'aller féliciter le jeune Dragon le moment venu.

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Stephandra
Alors que le couple descendait de voiture, que son neveu à l’aide de porteurs alla s’installer dans la cathédrale, la jouvente repensa à sa rencontre avec Elisabeth. Cette dernière était venue aux écuries pour diverses raisons, avant de devenir Maître du haras, Eli était un peu austère alors que la Stéph très accueillante d’autant plus qu’Ulrich lui avait déjà parlé de la blonde.

Elles avaient pratiquement le même âge, alors la jouvente trouvait cela agréable, sauf qu’Ul s’était bien gardé de signifier à Eli que Stéphandra était sa tante. Aussi celle-ci était sur ses gardes, Stéph pouvait être une « proie » potentielle pour le brun.
Ensuite Ulrich était venu prendre un cours d’équitation au collège, léger sourire en y repensant, la rectrice avait faillit le rectifier de sa hache et lui pour noyer le poisson avait annoncé le décès prématuré de son oncle. Bref, ils avaient eut chaud tous les deux, car la rectrice avait lâché l’affaire heureusement…

Quelque temps plus tard, Stéphandra c’était rendue aux « dragons » pour la remise de diplôme de son neveu, c’était ce jour là qu’Eli comprit qui elle était, faut dire vu la discrétion d’Ulrich à hurler « MA TANTEEEEEEEEE », pour le coup tout le monde fut au courant. La jouvente était passée du statut de « proie » à famille, elle avait même presque réussi à obtenir un sourire d’Eli, presque hein, fallait pas trop en demander non plus.

Puis Elisabeth était entrée aux écuries, les deux jeunes femmes s’entendaient plutôt bien et la blonde était vraiment professionnelle ce qui avait redonné du courage à la Stéph qui commençait à perdre dynamisme seule à se battre contre des moulins à vent. Voilà qu’au fil des mois, elles partageaient une certaine complicité, toutes les deux et sûrement parfois au désarroi d’Ulrich.

La mariée descendit de voiture ce qui sorti illico la jouvente de ses pensées passées, le balbuzard offrit son bras à Elisabeth, puis ils avancèrent pour pénétrer dans le lieux saint, Stéphandra admira la future mariée, sa robe lui allait à ravir , voilà le grand jour était arrivé, Eli allait faire partie de la famille, cela signifiait il qu’ Eusaias et Stéphandra allait par alliance faire partie de la même famille aussi éloignée soit elle ?

Oups légère déglutition à l’idée, c’était que jamais elle aurait pensé chose possible, mais cela était une autre histoire. Elle n’avait rien contre lui mais ils étaient très différents tous les deux et à chaque fois qu’elle le voyait , la jouvente ne pouvait s’empêcher de repenser à ses débuts en Sémur.

Son esprit était loin, lorsque le contact avec la main de son compagnon la ramena sur terre, elle le regarda amoureusement en lui souriant. Contemplant une fois de plus l’homme dont elle était éperdument amoureuse, celui qui un jour peut être serait son époux, léger soupir de contentement en se disant une fois de plus la chance qu’elle avait d’avoir croisé son chemin que le destin parfois était difficile mais que par bonheur il pouvait être magnifique aussi.

Alors que son cœur battait la chamade, que bien des mots lui brûler la bouche, que ses pensées une fois de plus partaient à la dérive sur un navire où seul Dandolo serait maître à bord, elle lui murmura simplement


Et si nous y allions ?

Elle se laissa guider à l’intérieur de la bâtisse où la musique sortait encore de l’orgue, admira pour la énième fois les lieux enchanteurs, l’heure était venue d’unir Ulrich et Elisabeth dans le mariage, Stéphandra espéra simplement que rien ni personne ne viennent troubler ce sacrement.

Espérant intimement que ça se termina rapidement afin de profiter d’un doux tête à tête avec son amant, car les foules elle n’en était pas fan, les protocoles et tout le tralala non plus. C’était pourtant sagement qu’elle s’installa aux côtés de son aimé non loin des futurs époux, adressa un sourire à Uriel qui semblait relativement concentré.

Douces pensées à feue Arianrod, mère d’Ulrich qui ne le verrait pas se ranger, la jouvente se demanda d’ailleurs pourquoi Emeline n’était pas là, ni Julien… Il était loin le temps où tous se retrouvaient à la Baronnie… D’où Arian se trouvait elle devait probablement être fière de son fils. Inconsciemment Stéphandra se serra plus prés de Dandolo, il lui faillait tirer un trait sur le passé et penser à l’avenir, leur avenir.

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Uriel
Allez, il était temps ! Uriel donna un courte et silencieuse bénédiction aux futurs mariés puis contourna l'autel.

Il se retourna, posa sa main sur son Livre des Vertus, regarda l'assemblée et dit alors :


Bien chers fidèles, chers croyants,
Bien chers Elisabeth et Ulrich,

Soyez les bienvenus en la Cathédrale Notre-Dame de Paris.

Aujourd'hui, mes amis, voici un grand jour, celui où une femme et un homme, ont décidé de clamer devant nous et devant Dieu leur Amour, leur Amitié.
Elisabeth et Ulrich vont en cette journée recevoir le sacrement du mariage.


Il tourna alors les pages du Livre des Vertus et prit un passage de la Vie de Christos :

Natchiachia versa le vin de sa cruche dans la corne de Christos, et lui demanda :
" Maître, je suis en proie à un profond tourment de l’âme. Je voudrais te suivre dans tes enseignements, mais j’aime un homme qui habite ici et qui se nomme Yhonny, je l’aime d’un amour pur comme le diamant… Que dit Aristote sur cette question que dois-je faire ? "

Christos lui répondit: " Lorsque deux êtres s’aiment d’un amour pur et qu’ils souhaitent perpétuer notre espèce par la procréation, Dieu leur permet, par le sacrement du mariage, de vivre leur amour. Cet amour si pur, vécu dans la vertu, glorifie Dieu, parce qu’Il est amour et que l’amour que les humains partagent est le plus bel hommage qui puisse lui être fait. Mais, comme le baptême, le mariage est un engagement à vie, aussi, Natchiatchia, choisis judicieusement, car une foi que tu aura épousé Yhonny, vous ne pourrez plus vous y soustraire. "

Comme cette dernière parole frappa d’étonnement l’assemblé, car l’époque était à l’inconstance… Natchiatchia reprit :

" Mais, Maître, seront-nous assez fort pour respecter ce choix et vivre sans pêcher ? "

Alors, Christos répondit :
" Sachez que l’humain doute par nature, que l’amour qu’il éprouve pour Dieu et pour son prochain peut connaître autant d’aléas que la vie comporte d’épisodes. Mais la vie vertueuse est un idéal vers lequel l’homme doit tendre. Et, dans son chemin, il peut s’aider de la prière. La prière peut en effet être le moyen pour tous de renforcer cet amour lorsque cela est nécessaire. N’oubliez pas non plus la puissance de la miséricorde, qui est accordée grâce à la repentance. "


Il marqua une courte pause afin de laisser chacun réfléchir à ce texte, puis reprit :

Ainsi donc, Christos nous rappelle que le mariage est un engagement à vie, un choix à ne pas prendre à la légère.
Bien souvent, des jeunes gens s'engagent dans cette voie et se rendent compte, quelques semaines plus tard, qu'il n'ont pas fait le bon choix.
Mais ... gageons que celui d'Elisabeth et d'Ulrich les verra s'aimer pour de longues années !

Et avant de présenter notre Foi au Très-Haut, récitons la prière du pardon, afin d'être purs :

Je confesse à Dieu Tout-puissant, à tous les Saints, et à vous aussi, mes Amis,
parce que j'ai beaucoup péché, en pensée, en parole, en action.
Je supplie tous les Saints, et vous, mes Amis, de prier le Créateur pour moi.
Que le Très Haut nous accorde le pardon, l'absolution et la rémission de tous nos péchés.


D'un geste de la main, il invita les futurs mariés et ceux qui le voulaient, à dire ces phrases ...
Keridil
Il était tard, trop tard. Quand on pense que Della et lui, se croyant en retard presque deux heures auparavant avait moult avance, et que s'égarant dans une taverne - en tout bien tout honneur rassurez vous - ils avaient tout de même fini à la bourre.
Des fois, la première impression est la bonne en fait.
La cathédrale s'était déjà bien remplie depuis les premières heures du jour.
Bon, je vous passerai la revue des têtes connues qu'on salue et des inconnues qu'on scrute, tout en se demandant où on aurait pu les voir toussah toussah.
Au bras de sa Della, il descend du carrosse frappé de Volvent, et tous deux entrent dans l'édifice. Deuxième sortie officielle du couple en tant que fiancés, et encore un mariage. Quel étrange période que cet automne 1458.
D'habitude c'est au printemps que fleurissent les noces, et là ils enchainaient, à peine avaient-ils finis un gueuleton qu'il fallait s'en mettre un autre dans la panse, c'était un coup à ne plus pouvoir entrer dans sa tenue le jour de ses propres épousailles. D'ailleurs, faudra qu'il pense à faire un tour chez sa tailleuse, histoire qu'elle reprenne les mesures et ajuste de nouveau son pourpoint rouge et ses braies.
Le Dauphin d'Orléans, entendez par là le rejeton du Duc, qui avait parfois des envies de se la jouer, et en tant que Chambellan, décida de ne pas s'installer au fond de la cathédrale, comme son retard l'aurait pourtant exigé, et trop content de paraître aux côtés de la plus belle femme du royaume - si si je vous jure c'est bien de la Blonde Volvent dont je parle - il la guide jusqu'au milieu de la nef avant de prendre place sur un banc.
Oeil vers les mariés, oh bah...dommage y'a pas de rouge, m'enfin tant pis.
Keridil ne les connait qu'à peine. Ulrich de la bouche de Della, et Elisabeth d'un cour aux écuries royales, cour qu'il n'avait pas franchement suivi avec un intérêt des plus grands.
Allez, on cesse de faire le mariole et on regarde le prélat, on l'écoute, et sortant missel et chapelet de...de nulle part, on commence les prémisses d'une cérémonie.


Confiteor Deo omnipoténti,
Et omnes sanctis
Et vobis, fratres,
Quam peccávi nimis
Cogitatióne, Verbo et ópere.

Mea culpa, mea culpa, mea máxima culpa,
Ideo precor omnes Sanctos, et vos, fratres,
Oráre pro me ad Dóminum Deum nostrum

Amen

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Yolanda n'est pas une boîte à idées, c'est un personnage original et copyrighté
Dandolo
Comme une absence de Stéphandra dès que les futurs époux font leur apparition. Enfin... Absence... Dandolo lui-même n'affiche qu'une petite moue admirative devant les tenues des nouveaux venus. Il suit tranquillement des yeux leur équipage qui pénètre dans la nef de la Cathédrale.

Il serait peut-être temps de suivre le mouvement... Légère pression sur sa main et azurs brillants qui se fixent sur ses bruns. Son amante se fait radieuse mais il perçoit les signes d'une douce agitation sous l'apparent calme des flots bleus de son regard. Bref instant coupé du monde au milieu d'un brouhahas de pas, de murmures et du bruissement des robes qui se meuvent. L'amant contemple son être aimé en se disant qu'il a bien de la chance d'être lié à si délicieuse personne... Et aussi que décidément ce décolleté...

La belle va rompre ce silence mais ne lâche qu'un simple "
Et si nous y allions ?". Le Gascon hausse son bras pour le lui offrir galamment puis entreprend de se laisser porter par le courant qui les mènera avec la foule. Les deux s'installent et la cérémonie débute. Alors que l'officiant appelle les Fidèles au Confiteor, Dandolo sent la présence physique de son ange vouloir se faire plus aigue encore. Tout en déclamant la prière, il lui sourit: de son amour pour elle, il ne veut absolument pas rémission.
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Saint Sépulcre.
Warthe
Déjà vue la Cathédrale... Hum... De loin oui.
Par contre, je n'ai jamais eu l'occasion de rentrer à l'intérieur.


Il rougit légèrement.

Mais il faut bien une première fois. Grâce au mariage du nain, oui, oui, il parlait bien d'Ulrich, et avec ta présence.

Un sourire allongé mais non appuyé apparu sur le visage de Warthe.

Dong ... Dong ... Dong ... Dong ...


Aaah... Le jeune Senhor gascon observa la clochet de la cathédrale puis baissa lentement ses yeux jusqu'aux portes ouvertes.

Je crois qu'il faut y aller Parrain !

Warthe commença le court trajet pour fouler l'intérieur de la Cathédrale tout en abandonnant ses Ciliens et sa Quatre Chevaux.

Après le Bâptème, la visite de la Cathédrale de Paris.
Tu crois que les hommes de foi d'ici sont comme Espelette ?

Mauvais souvenir de son Bâptème qui, a cause de sa langue qui avait fourché, avait failli lui coûter la vie...
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Mariealice
Elle les observait, amusée, suivant les répliques et regards de l'un et de l'autre, se disant qu'ils avaient l'air complice et que le sourire allait toujours aussi bien à Zya.

Puis les évènements se précipitèrent. Une petite brune se jeta dans ses jambes et l'accueillit d'un sourire et d'un baiser sur le front, un pincement au coeur néanmoins.


Bonjour Alycianne. Je vais.. Et toi mais tu es ravissante.

Regards échangés entre deux brunes, la grande et la petite, question dans les yeux à laquelle elle ne pouvait répondre. Comment pourrait-elle aller mieux alors que sa fille n'était plus... Mais d'ailleurs la fillette était repartie et emboitait le pas au cortège et aux mariés. Walan lui ayant tendu le bras pour en faire autant, elle posa sa main dessus et ils firent de même. Elle n'était pas certaine que Zya et Chlodwig aient grande envie de les voir s'installer près d'eux. Alors elle remonta l'allée et invita le Vicomte à s'installer près d'elle. Ni trop près ni trop loin des mariés, parce que pas membres de la famille et parce qu'elle voulait tout de même voir et entendre. Elle glissa à l'oreille de son cavalier que la fillette était l'un des enfants adoptés par Eusaias puis se redressa pour suivre la cérémonie.
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Riwenn


Ce sera également une première pour moi.

Le tintement des cloches ecclésiastiques ponctua la phrase du Duc.

Oui allons-y respondit-il à son filleul.

Ils se dirigaient vers la Cathédrasle quand Warthe posa une question existentielle.

Tu crois que les hommes de foi d'ici sont comme Espelette ?

Houlà ! Question pour un champion : Évesque de Bazas, j'ai été à plusieurs reprises Duc dé Gasconha, j'ai comme surnom Le Juste, je suiségalement curé de Dacs, j'ai acquis en fief de mérite le Ducat d'Ezpeleta, je fus à de nombreuses reprises conseiller ducal gascon, j'ai également agi en Provence par le passé. Je suis ? Je suis ? ...

Monseigneur Gabriel Von Wittelsbach.

Quel drosle de religieux icelui ! Mais ce ne serait pas lui qui officierait pour cette cérémonie. Ce n'estait peut-estre pas plus mal, vues ses pratiques.


D'un costé, j'espère bien que non, il serait bon que les épousailles se déroulent au mieux, mais d'un autre, un peu d'animation ne faict jamais de mal.

Il se souvint d'ailleurs que son filleul, lors de son baptesme, avait failli se noyer lors de sa bénédiction par l'homme d'Église.

Nous verrons bien, entrons. l'invita-t-il d'un léger sourire.

Et ainsi rejoignirent toutes les personnes déjà présentes en la Cathédrasle, et ils estaient nombreux. La cérémonie venait de commencer. Le temps estait à la confession.

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Héraldique européenne
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