Afficher le menu
Information and comments (0)
<<   <   1, 2, 3, ..., 8, 9, 10, 11, 12   >   >>

[RP] Tom et Jerry se marrient !

Alycianne
Elle est blonde, elle est petite, et c'est sa marraine ! Ravie d'avoir pu mettre une tête sur un nom la gamine n'arrive pas à tenir en place sur son banc. L'époux la laisse perplexe. Handicapé ? Étrange. Mais pourquoi pas, après tout ? Cela ne pose aucun problème, et doit même être plutôt pratique pour la mariée : toujours une paire de genoux où poser ses fesses.

Et le "Non" fatidique. Entre le fiancé qui n'arrive pas et un net refus du mariage, l'Alycianne n'aura donc jamais vu des épousailles se terminer selon l'habitude -bien, en l'occurrence. La jeune femme fuit en pleurs, et le cœur de la fillette de se serrer.

Qu'est ce que je peux faire ? Crier, taper du pied par terre, faire une révérence, me rouler en hurlant, faire comme Marie, suivre Papa, pleurer, m'arrêter de respirer et devenir toute rouge, me goinfrer des pâtes de fruits que je tient, écraser toutes les gourmandises d'un pied rageur, partir faire un footingue, aller regarder les araignées du coin de l'arcade de plus près.

Aucune de ces proposition de la satisfaisant complètement (quoique se boulotter les sucreries lui plaisait assurément), la gamine se promet de quoiqu'il en soit, ne pas se perdre dans Paris. Ce qui signifie ventouser quelqu'un de connu.
Ou comment choisir la rousse qui s'arrache les cordes vocales. Immédiatement, la petite se fraie un chemin jusqu'à elle, et se place à son côté.
Se souvient des missives d'Elisabeth. Elle travaille dans les chevaux, les chevaux sont à Vincennes.


- Les écuries c'est à Vincennes.

Si ça peut aider. Ça ne le fait surement pas. Tant pis.
Je vous suis !
_________________
--Donatello..
Il claque ce non dans l'atmosphère de la cathédrale, et quand elle se tourne vers elle, il lui semble que ce n'est pas Elisabeth qui l'a prononcé ce non mais bel et bien Attia, Attia qui est bien pâle et qui fuit, loin de lui et tout ce qu'il aurait voulu lui offrir. Réaction typiquement masculine, il maudit toutes les bonnes femmes, et plus encore ces deux-là qui s'échappent de la poigne des hommes, mais tout homme qu'il est, il n'en demeure pas moins habitant de l'Atelier des Doigts d'Or et à trop s'entourer de femmes, on en vient à les comprendre, à les chérir, et ces deux-là justement, il les chérit. Quand la claque implose, son écho vient glisser comme un murmure doux et quand la rouquine le frôle sans le voir, il la regarde admiratif, admiratif parce qu'elle a fait ce qu'il rêve de faire en pire, il le tuerait bien ce fiancé qui a fait fuir la môme, Sa môme.

Alors il la suit la rousse, alors qu'elle gueule comme une harpie et qu'une enfant s'accroche à elle. Le coeur se serre un instant, aura-t-il un jour un enfant à lui, un enfant qui lui ressemblerait à elle, une fille comme cette fillette. Cette enfant aurait le teint hâlé, la chevelure de soie noire de sa mère, ses yeux, ses yeux qui ont fui quelques instants auparavant. Désespérée la voix qu'il veut assurée, parce qu'il est homme.


- Attia est partie aussi.. Rétrouvez la pétite, rétrouvez la.. Qu'elle soit heureuse un poco.. Yé vais chercher Attia.

Oui, comme il aimerait la voir sourire comme elle lui avait souri quand il l'avait rencontré pour la première fois. Qu'elles soient heureuses toutes les deux, qu'elle soit heureuse, avec ou sans lui. Alors, il erre, se souvenant ce jour où elle avait fui dans l'Atelier, de manière anarchique, aucune logique dans la fuite gitane, comment pourrait-il l'être dans ses recherches. Il erre en chantant dans les rues de Paris, comme on erre en cherchant l'amour, sauf que l'amour a été trouvé mais est parti. Il ne cherche pas vraiment l'amour, ni l'amante, il cherche la femme, l'enfant, celle qu'il a vu éperdue de désespoir dans cette alcôve isolée de l'Atelier, il recherche celle qui ne demandait pas d'amour mais du réconfort. Et comme on chante, comme on prie, il parle à voix haute dans les rues de Paris, longeant les bâtisses. Certains sont les fous de Dieu, lui, il est le fou d'une Déesse, et il conte une histoire dans les ruelles sales.

- Il était oune fois dans oune village oune jeune femme à la beauté parfaite qué tous les hommes chérissaient, les mains douces, la voz chaude, à la chevelure plous soyeuse qué les tissous d'Orient. Lé temps passait y aucoune homme n'arrivait à attirer son regard. L'intouchablé, la tant-aimée attendait oune homme, oune seul mais viendrait-il, voilà cé qué répétaient los otros. Il té faut choisir, dicen..

Une ruelle, une autre, les mains dansent comme on orchestrerait un choeur de musiciens, comme on fait vivre une histoire. Et l'histoire vit alors qu'il avance.

- Yé né choisirai pas, y'aimerai ou yé mourrai.. Voilà cé qu'elle répondit.

Un sourire respectueux à une jeune femme à l'entrée d'un bordereau avant de poursuivre sa quête.

- A-t-elle aimé o est-elle morte ? Attia, le sais-tu ?
______________
ulrich
Plus de mariée... une baffe en public, suivie d'un flot d'injures...

On... on tape pas les handi... handicapés...


Soupir... Le coeur n'y est pas... Mariage ruiné... Ne reste plus qu'une alternative, la mort... oui, il allait faire ça... s'il ne la retrouvait pas...

Les larmes commencèrent à monter aux yeux du bâtard, trop dur d'être un homme... Il aurait bien appelé ses parents, mais pas certain que sa voie porte jusqu'outre tombe...
Baissant la tête pour dissimuler ses yeux brillants, il s'essuya du revers de la manche.

Il savait où elle était partie, lui. Ils se plantaient, eux, avec leurs écuries...
Direction l'hotel Volpone...
Breiz24
Merdalors !

C’est la petite Blanc-Combaz qui s’accroche à ses jupes, et qui veut retrouver la blondinette. Mais merdalors ! C’est où, Vincennes ! Parce que je sais pas si je vous l’ai dit, mais la rouquine, Paris, c’est ptet pas la première fois qu’elle y vient, mais presque !


Dis donc poulette, tu sais aller à Vincennes toi, ou on est obligées d’attendre ton papa ?

Nan parce que dans l’absolu, si la rouquine pouvait se passer de son meilleur ennemi, elle le ferait… Sauf que bon, se fier à une gamine de huit ans pour se diriger dans une ville aussi sale, puante, et surtout tortueuse et même labyrinthinque, ça allait être la misère, clairement.

Entre temps, l’Ibère la frôla, murmura, elle fit semblant de comprendre – elle n’avait pas vu la des Juli se sauver – et acquiesça. Oui, elle allait chercher la blondinette, de toutes les façons.
Elle se redressa et scruta le fond de la cathédrale. Il se remuait le fondement le paternel Blanc-Combaz ou bien ?

_________________

- Yolanda n'est pas une boite a idées, C'est un personnage original et copyrighté! -
Elisabeth_stilton
Seules Breiz et Alycianne peuvent suivre Eli sauf si elles donnent l'accord pour cela merci.


Le coche était donc parti à Vincennes. Pourquoi Vincennes, parce qu'Eli appréciait avant le droit c'était les chevaux. Elle Eux au moins ne la trahissait pas, eux ne la faisait pas souffrir. Éventuellement il la faisait tourner en bourrique mais à part ça. Elle prenait soin de ne pas salir la robe d'Attia cela aurait été un affront à son travail et la brune n'y était pour rien dans tout cela. Et puis ses écuries étaient bien entretenues naméoh ! Un noble pouvait y venir sans se crotter les souliers.

Donc la blonde était bien aux écuries mais où ... elle erra de box en box, caressant un chanfrein, donnant une carotte. Elle essayait de se rendre compte de ce qu'elle avait fait. Avait elle fait une bêtise ou alors avait elle prit la meilleure décision de sa vie ? Elle poussa une porte pour se retrouver ...
Eusaias
Pourquoi fallait toujours que sa foire ? Le nez aquilin se retroussa quand la rousse l’appela. Il allait lui cracher son venin, lui dire que c’était de sa faute ! Qu’à force de lui dire que la première fois c’est douloureux que la petite avait pris peur, mais une autre petite, la sienne attira son attention. Pourquoi une Blanc-Combaz pactisait avec Breiz ? De toute évidence la petite manquait de maturité pour s’adressait à une roturier sans « cracher ses mots ».

Bien ! Nous Eusaias de Blanc Combaz, Magnifique Baron de Digoine, Seigneur de Saint Robert, Héros des dames, demoiselles et de l’amour va sauver se mariage. Il était logique qu’il se fasse un minimum mousser. Au coche, ma fille et la Moche, à Vincenne je vous mène !

Où était Vincenne ? Strictement aucune idée, Eusaias connaissait l’Hôtel Bourguignon, Saint Antoine, Saint Paul, le Chatelet, La Cour des Miracles et un ou deux bordels, mais pour le reste de Paris, c’était niète. Qu’importe, il ferait fouetter le cocher si celui si ne trouvait pas. C’est donc d’un pas alerte et avec sa fille qu’il tenait par la main qu’il rejoignit sa Balbuzaromobile.
_________________
Breiz24
Fronçage de nez, tapage de pied, bras croisés - le tout sans lâcher les rênes du poney d'emprunt, notez l'habileté (celle du cheval, qui bien brave arrive à suivre notre excitée) - avant de marmonner, emboitant le pas du baron :

M'enfin Digoine, elle est pas là votre voiture, pourquoi vous croyez que je vous appelle!

Sourire en coin, presque malgré elle, décroisage de bras parce que c'est plus facile pour guider le cheval dans l'escalier du parvis - heureusement que les marches sont larges et le cheval, habile - seconde main tenant celle de l'exquise.
Forcément qu'elle sourit, parce qu'elle n'aurait jamais été chercher le baron si elle avait eu un cocher à harceler.


Alors on fait quoi, maintenant, hein?

_________________

- Yolanda n'est pas une boite a idées, C'est un personnage original et copyrighté! -
Natale
Cela avait commencé par un échange de bons sentiments, amenez les témoins, les ptits oiseaux qui chantent, les témoins témoignent, les choristes qui se tiennent prêt à reprendre le couplet, le ptit chouinard qui hurle au fond comme d'hab, puis la question cruciale, celle à laquelle on ne peut pas répondre "Joker", ça commence donc par un "Oui" et ça fini par un "Non", une mariée qui s'en va en courant et une porte qui claque puis une copieuse volée d'insultes en ce saint édifice.

Breiz24 a écrit:
ESPECE DE SALE PETIT CRETIN ! MAROUFLE ! MERDAILLE ! CHATRON ! CROQUE-LARDON ! BOUGRE ! MAUJOINT ! CORNARD CUIDE !* C’est de votre faute si elle fuit, coillon drubert !*


Comme une grande partie de l'assemblée il était resté debout jusque là suspendu aux paroles des tourtereaux qui avait fini par s'envoler à tir d'ailes. Le Comte Occitan se laissa choir sur le ban, résigné qu'il était, non il faudrait encore attendre avant de commencer le repas de fête.
Quelle famille cette future belle famille, d'un regard il regarda sa douce d'un air compatissant.

_________________
Mariealice
Pas qu'elle s'ennuyait, non c'était pire. Elle n'aimait pas les cérémonies et dieu savait pourtant qu'elle devait assister à plus d'une en portant un grand sourire et en faisant semblant de s'amuser. Les mariages s'étaient pire encore sans doute. Ca commençait dans la joie - la plupart du temps -, les yeux dans les yeux, je t'aime moi aussi pour finir par dormir à l'hostel du cul tourné entre deux engueulades qui permettaient de refaire la déco et en imprécations au ciel pour s'être laissés piégés.

Sauf que là pour le coup, cela ne se déroulait pas comme prévu. Un non retentissant suivi d'injures et d'une baffe tous aussi retentissants face à une fuite.

Bon... Ben comme cela au moins c'était fait d'entrée, il n'y avait plus qu'à repartir tandis que certains partaient à la poursuite de la donzelle. Rapide coup d'oeil sur Ulrich qui le vivait mal, se retenir d'aller lui dire que c'était mieux ainsi puis sur Walan, genre, bon et on fait quoi maintenant?

_________________
Nicolas.df
Indubitablement, la petite blonde avait de la classe. Une gifle magistralement assénée, et il s'y connaissait, en bon Italien dragueur qu'il était ! La sortie n'était pas mal non plus, et le silence sépulcral qui avait suivi ajoutait une touche dramatique concluant parfaitement le divertissement. Pour un peu, il aurait applaudi bruyamment en demandant un bis !

Seulement voilà, une partie de publie ne partageait de toute évidence pas son enthousiasme. Et que ça s'insultait, que ça commentait à voix haute, que ça faisait ses yeux de merlan frit. une vraie bande de pies. Seul le marié gardait un peu de dignité... ah ben non, il chialait. Lamentable. Il était eunuque, ou bien ? Où était le regard furieux, la voix de tonnerre conspuant la misérable catin ayant osé le ridiculiser en public ? Non, franchement, tout se perdait. Et puisque l'officiant semblait considérer le mariage terminé -on voyait de toute façon mal comment il aurait pu reprendre- le borgne se dirigea vers la sortie. Une petite cérémonie sympathique, ça oui. Pas autant que l'anoblissement de Mahaut, mais bon.

_________________
Walan
Le vicomte suivait la cérémonie tranquillement, oscillant entre airs un peu renfermés lorsque des mauvais souvenirs lui revenaient en mémoire, regard discrets sur le côté et très légers sourires à ces instants. Toujours est-il qu'il assistait donc, silencieux et le visage impénétrable à l'exception de ces brefs retroussements de lèvres, au déroulement du mariage lorsque vint l'échange de consentements.

Et là ... et bien, la surprise fut ... surprenante. Voir la mariée dire, enfin crier, non avant de s'enfuir à toutes jambes, puis le marier se faire insulter copieusement, gifler et autres joyeusetés, le tout dans l'une des cathédrales les plus -si ce n'était la plus- célèbres et saintes du Royaume avait un côté absolument irréaliste, au point que Sans Repos ne pu s'empêcher de se demander s'il était encore tout à fait sain d'esprit.

Perplexe, il observa sa voisine pour se rendre compte qu'elle le regardait également, et avec une expression qui devait ressemblait à s'y méprendre à la sienne : "bon et on fait quoi maintenant ..?". Se penchant un peu, il lui glissa tout bas :
Je suppose que la cérémonie est annulée ..?
_________________
Eusaias
Constant effectivement que le coche n'y était plus, le balbuzard grimaça. Il était pourtant certain de bien l'avoir fait garer à un endroit réservé et aucun copeaux de bois au sol ne lui montrait une effraction. Le voleur était donc quelqu'un de connu. Il lança un regard en coin à sa fille Alycianne.

J'espère que c'est pas toi ma fille.

Puis à la rousse.

Bon ben... Vincenne à pied c'est loin ?
_________________
Breiz24
Bin... Vous savez pas monter à cheval? Moi j'ai trouvé çui là...On dit" emprunté sans demander l'avis du valet", Breiz, pas "trouvé" enfin!On va vous en trouver un aussi! Eh, toi là bas!

Certes, le cheval est moins fringant que le sien, mais le valet plus obéissant que celui au harnais doré qu'elle a "trouvé". Surement un valet qui connait le Légendaire, parce qu'il a l'air d'avoir la trouille, un peu, non?

Puis dites, vous savez y aller aux écuries royales vous hein? Vous y avez déjà été ou bien on va se perdre? Non parce que ça urge quand même, faudrait voir à se sortir les... à se dépêcher, votre baronceté!

_________________

- Yolanda n'est pas une boite a idées, C'est un personnage original et copyrighté! -
Attia.
[ Oui... Mais non... ]

Effondrée, suffocante, le fer barrant sa poitrine battant a un rythme saccadé.
Mais pourquoi fallait il qu'elle perde ses moyens? Qu'elle explose comme une madeleine ?
Comment se convaincre que c'etait normal ? Meme la mariée avait pris le large alors hein...
Fatiguée et surtout ehontée, la tete contre le mur elle pensait.
Qu'est ce qui l'empechait apres tout de repondre a la demande de l'espagnol ? Il etait bel homme, semblait attentionné et aimant, devait assurement etre bon amant. La solitude serait une ancienne histoire, elle pourrait compter enfin sur quelqu'un , une epaule puissante, protectrice et compatissante... Non en realité rien de vraiment visible ne venait perturber l'evidence d'une telle relation. L'italienne et l'ibère, deux sangs chauds, caractères de braise, prunelles sombres... Le parfait equilibre... Peut etre trop parfait...

Non en realité le seul obstacle a cette idylle c'etait l'amour.
Cet amour chaotique et non abouti qu'elle vouait a un blond qui tant de fois avait bafoué son coeur et son affection. Ce blond vers qui inlassablement elle retournait et qui inlassablement lui revenait apres maints naufrages...

Oui, Il y avait ce blond, leur histoire, le fait qu'elle l'aimait encore malgré tout, qu'elle esperait encore qu'ils puissent fusionner, le fait qu'il la rejoindrait bientot, le fait qu'ils avaient decidé mutuellement de se donner une nouvelle chance... Le fait qu'accepter la demande de Donatello serait tourner le dos au blond, non pas qu'il ne le meritat pas, mais c'etait surtout garder le doute, celui de ne jamais plus savoir si entre eux ça aurait pu etre beaucoup plus que les miettes qu'ils avaient été.
Alors non... non elle ne pouvait pas dire oui.

Elle reflechit. Elle n'a jamais aimé les choix.
En un sursaut elle se laisse surprendre par la voix suave et l'accent chantonnant de l'ibère. Comment l'avait il trouvée ? Se pourrait il qu'ils soient liés malgré eux, malgré elle ?

Elle l'ecoute, essaie d'entendre l'histoire, ferme les paupières et respire.


- Je ne sais pas Donatello... Je ne sais pas...

Elle trouve la force de se lever, le rejoignant.

- Je ne sais pas... Mais je sais que je ne veux pas mourir sans avoir aimé... Mais aimer me fait terriblement peur...

Les yeux humides se levent sur ceux de l'ibère. Comment lui dire que son coeur appartient encore a un autre, et qu'elle a besoin de temps, du temps de se rendre compte qu'elle se trompe et que sa place est avec lui...

- Comme cette femme ... J'attend un homme... un seul... celui qui saura me rendre heureuse... J'ai besoin de savoir si cet homme c'est toi... ou lui...

Elle l'a laché a mi mots, trop lache pour lui dire a mots decouverts. Elle cherche ses yeux, elle sait qu'il comprendra, il aime trop les femmes pour ne pas les comprendre. Et a cet instant elle l'aime...

_________________

© Yolanda n'est pas une boite à idées. C'est un personnage original et copyrighté ! ©
--Donatello..
Dieu que les hommes souffrent..

Ce n'est pas un coeur qui se brise, mais le corps tout entier qui s'affaiblit de n'être pas assez fort pour la satisfaire, pour la rassurer. C'est la douleur qui s'immisce dans ses veines, dans ses membres comme autant de ces aiguilles qu'elle chérit quand les paroles d'Attia s'affolent et tissent leurs fils autour de lui, l'étranglant à moitié. Oui, les hommes souffrent. Comment lui dire qu'est arrivé ce qu'il pouvait espérer de mieux quand ses yeux se sont posés sur elle ? L'amour a cela de mystérieux que quand on aime, quelque soit le degré de douleur, s'il arrive que l'autre ait mal aussi, la souffrance n'est plus rien, ne compte plus que l'envie de sauver l'autre. Alors, il souffre mais le cache.

Les regards se croisent, un sourire tendre et la main d'autorité vient prendre celle de la femme qu'il aime, comme on prendrait la main d'une enfant pour la réconfortait. Le corps frémissant est attiré contre lui, et doucement, les mains viennent caresser la chevelure qu'il aime tant, comme on le ferait pour calmer un cauchemar.


- Tou es si jeune. Tou as le temps de choisir et d'aimer.

Une main qui glisse dans le creux des reins avant de la ramener doucement sur le chemin de Notre-Dame. Elle est jeune, et ce "lui" l'est sûrement autant qu'elle, mais lui ? Haussement d'épaules imperceptible, comment expliquer cette soudaine crainte d'être trop vieux, de n'être plus que l'ombre du jeune homme qu'il était alors.

- Elle avait tes cheveux. La femme dé mon histoire.. Les mêmes que toi.

Et c'était sa mère qui avait finalement choisi et aimé.

- Tou crois qu'ils ont prévou un banquet ?
______________
See the RP information <<   <   1, 2, 3, ..., 8, 9, 10, 11, 12   >   >>
Copyright © JDWorks, Corbeaunoir & Elissa Ka | Update notes | Support us | 2008 - 2024
Special thanks to our amazing translators : Dunpeal (EN, PT), Eriti (IT), Azureus (FI)