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[RP] Tom et Jerry se marrient !

Alycianne
Minette qui grimpe sur le cheval avec son père. Et 'CHTINGUE !', illumination Alyciannesque. Et de prendre un petit air blasé, comme si cela ne faisait pas 6 minutes 37 secondes qu'elle se torturait les méninges à s'en faire éclater la cervelle.

- Ben, suffit de demander à du valet d'ici... Et à celui qui venait de leur céder le cheval -non sans réticence, mais face à une furie rousse pareille et un Balbuzard...- :

- Vous ! Vous connaissez la route de Vincennes pour les Ecuries de sa Royalité ?
- Beeh... Petite moue embarrassé de l'intéressé, compréhensible d'ailleurs : l'a pas envie de voir partir le cheval sous sa responsabilité à Vincennes s'il sait montrer la direction, mais d'un autre côté, le trio Blanc Combaz père, Blanc Combaz fille et Rousse pas commode ne lui parait guère chose à laquelle se frotter.

- ... Oui ? Sourire engageant de la gamine.
Je t'aime bien valet, plein d'amour tout flottant dans mon coeur, j'aime aussi ma marraine, alors... Cils qui papillonnent sur des yeux remplis d'espoirs.

Quelque chose craque du côté du jeune garçon -Gagné !- et il pousse un petit soupir.

- Ben suffit à vous d'suivre la Seine de c'côté, et z'allez sur la rive gauche tomber sur l'bois d'Vincennes, suffira de d'mander les écuries là-bas, M'sieur dame.

Petit doigt ravi qui se lève pour souligner le :

-Et demoiselle ! Merci bien !

Dans l'autre main, toujours le petit paquets de sucreries destiné à Elisabeth. Tête qui se tourne vers son père.

- On y va !

Et de lui laisser le rôle de diriger le cheval. Cela vaut mieux, en effet.
Direction Vincennes !
Mais, au fait, c'est grand comment les Écuries Royales ?

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Breiz24
Et fouette cocher. Enfin, baron, vu que de coche, ils n’ont point – c’est la blondasse qui a fui avec ! – et de filer comme le valet a dit.

Dites baron, tenez bien la petite hein, il est vif votre cheval puis tant mieux, ça urge là ! VOUS LA ! DEBLAYEZ !

Une furie, je vous dis. Déjà, le cheval qu’elle a « trouvé » était celui d’un homme, en témoigne les étriers, deux étriers, un de chaque coté au lieu de la gracieuse fourche prévue pour la monte en amazone, celle qui prend en compte les amples jupons de ces dames.
Qu’à cela ne tienne, elle retrousse ses jupons pour se hisser sur son poney grande classe, essaye vaguement de les arranger pour masquer ses mollets et ses chevilles – ça marche pas Breiz de toutes façons, t’acharnes pas va – et en avant marche, les ruelles de Paris sont dévorées à toute allure, direction les écuries royales. La seine, la rive gauche le bois, youhou y’a quelqu’uuuuuuuuuuuuuuuun ?

Un tour à droite, un tour à gauche… un bâtiment ?


Dites, vous croyez qu’on est bientôt arrivés ? Parce que dans les bois, on y est, là, non ?

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- Yolanda n'est pas une boite a idées, C'est un personnage original et copyrighté! -
Eusaias
On arrive, on arrive ce sont les étalons qui vous rendent impatiente ?

Un bras enroulé à la taille de sa fille, la plaquant contre elle, les pieds dans les étriers c’est tout le bois de Vincennes qui défile devant le Baron. L’air frais lui emplit les poumons alors que son « bec » tend de l’avant. C’était certain, il ferait fouetter le cochet pour avoir fouetté les chevaux afin de les semer, mais pour l’instant ce fut l’immense et énorme donjon qui se dessina à l’horizon. Il fit ralentir sa monture et passa une main sur la chevelure de la petite Alycianne.

Vincennes ma fille ! Un des plus beaux fiefs des Valois ! Ne te perds pas dans les murs, « l’Anglais » y est resté. Parait qu’il hante le château et dévore les filles pas sages qui n’écoutent pas leur papa.

Rictus amusé sur le visage du piaf qui reprend plus fort.

S’il pouvait bouffer les rouquines qui gonflent les barons je lui témoignerai plus de respect.

Le Bourguignon mis pied à terre et descendit sa fille de la monture les yeux toujours rivés sur l’architecture militaire face à lui.

Put…. Si on pouvait avoir la même chose à Digoine, le borgne ferait bien moins le mariole.
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Breiz24
Quand vous aurez fini de vous extasier sur le paysage, vous essayerez de vous souvenir que vous avez une filleule à marier, Baron, d’accord ? En attendant, moi, je vais la chercher hein !

Elle sauta à bas de son cheval, maugréant entre ses dents : J’t’en donnerais moi des étalons ! J’suis sure qu’il mettent plus de finesse à saillir une jument que lui à monter une fille de ferme tsss ! Lui lançant un regard noir, elle se dirigea vers ce qui semblait être le corps des écuries, navigant au hasard, elle pousse un porte, passe rapidement entre les boxes, scrutant le fond de chacun, maugréant entre ses dents.
Elle sait que la blonde est là, quelque part. Elle en est certaine. Fatiguée, elle hèle un jeune garçon d’écurie :


Toi, là ! As-tu vu Damoiselle Elisabeth quelque part ? Non ? Aide moi tu veux ? Conduis moi auprès du cheval le plus mauvais de toutes les Ecuries.

Une intuition ? Non, un certitude. Si la rouquine avait voulu se cacher, elle aurait été au fond du boxe de Sombrelance, palefroi pourtant, mais rompu aux coups de sabots assassins sur le champ de bataille. C’est dans sa stalle qu’elle laissait son fils quand encore folle de chagrin, elle craignait pour la vie de l’enfant qui portait le nom de Pignon.

Abandonnée plus d’un mètre avant la porte du box par le page, elle s’avança de quelques pas, restant hors de portée des dents du cheval si jamais il lui prenait l’envie de sortir sa tête. Scrutant la pénombre, peinant à discerner si oui ou non Elisabeth s’y trouvait, elle murmura :


Eli ? Elisabeth, tu es là ?

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- Yolanda n'est pas une boite a idées, C'est un personnage original et copyrighté! -
Elisabeth_stilton
[Écuries Annexes, près des Poulains d'Epona]

Le blonde s'était réfugié auprès de ses chevaux. Enfin plutôt ceux de sa mère. Le clos d'Epona qui n'avait eu de cesse de voyager, de la ville de Cosne aux Ecuries d'Arquian, puis quand Théognis, Baron des terres perdit son domaine c'est Elisabeth qui vint sauver les chevaux de la famine en les ramenant au Valtordu, l'auberge que sa mère avait à Cosne. Là bas le jeune Alex s'occupait des chevaux alors que la vieille gouvernante s'occupait de l'auberge désormais fermée. L'élevage parti ensuite en Normandie avant de finir ici aux Ecuries Royales. Lieu le plus simple pour elle mais aussi le mieux pour ses chevaux, elle avait les infrastructure parfaite pour eux et pouvait les voir facilement. Voilà un des avantages d'être Maître du Haras Royal.

La blonde s'approcha d'un box, un petit pur sang arabe commençait à perdre sa robe coloré pour devenir blanc. Elle espérait qu'il soit aussi beau que son père mais moins têtu. Elle avait déjà commencé à le manipuler pour l'habituer au contact avec l'homme, afin de poser les bases de la relation homme animal. C'était un beau poulain, prometteur. Elle prit le nez de l'animal dans ses mains et tenta de faire le vide.
Breiz24
Ma Dame ? Vous cherchez damoiselle Elisabeth ?

Nan, je fais du crochet, ça se voit pas ?

Elle se détourne, remarquant un nouvel enfant non loin, apparu surement alors qu’elle tentait de voir si Eli se cachait avec ce cheval à l’air rétif. Pardon mon garçon, je la cherche oui, elle est ici n’est-ce pas ?


Avec les poulains d’Epona, ma dame. Je vous conduis ?

O…Oui, merci… Le nom d’Epona entraine une curieuse résonnance en elle, rappelant Poup à son souvenir. Jamais elle n’aurait imaginé que les chevaux qu’elle chérissait tant aient été récupérés par sa fille, et que celle-ci les fasse vivre aux écuries royales.
Elle suit le jeune garçon d’écuries, essayant d’imaginer ce qu’elle va pouvoir dire à sa jeune amie, réfugiée auprès de ses poulains comme on court vers sa mère. Avec les poulains d’Epona, curieuse coïncidence, n’est-ce pas ?

Ils sortent des écuries, se dirigent vers un autre bâtiment, et le garçon l’abandonne à la porte.


Voila ma dame, je l’ai vue entrer ici.

Elle pousse la porte, et sourit tristement à la vue de la gamine, si belle dans sa robe de mariée, si jeune et … Et fuyarde en pleine cathédrale.

Tu aurais pu dire non sans nous faire courir dans tout Paris après, tu sais…

Elle attend que son amie se tourne vers elle et l’ait identifiée, et reprend :

J’ai du monter un canasson harnaché pour un homme, ça m’a meurtri tout l’intérieur des cuisses ! Vilaine fille !

Elle lui sourit, et s’avance vers elle. Reprenant d’un ton badin :

Ils sont beaux, tes chevaux.

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Elisabeth_stilton
Et elle se retourne en sursautant la blonde.

Ouais faut savoir monter comme ça avec une robe.

Elle laisse la rouquine venir la voir, s'attendant à une belle engueulade. Au lieu de cela non, elle lui parle des poulains.


Ce ne sont pas les miens mais ceux de Mère. Je ne voulais pas les laisser en Province alors j'ai utilisé mon droit d'utiliser ces locaux.

Elle n'avait pas beaucoup envie de parler la blonde. Juste savoir ce qu'elle devait faire.
Breiz24
Elle soupire, la rouquine, et s’approche d’Eli.

Cessons de tourner autour du pot, tu veux ? Pourquoi est-tu partie ?

Elle sourit, s’accoude au box pour regarder le poulain, et reprend :

Que tu changes d’avis au dernier moment… ma foi, mieux vaut tard que jamais. Mais pourquoi t’enfuir ? Tu avais peur de quoi ?

Enfin… personne… y’avait quand même un baron dans la nature pas bien loin des écuries.

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Elisabeth_stilton
J'ai eu peur ... peur de finir en guimauve ... peur de finir comme tous ces gens qui passent leur temps à se papouiller. Je ne suis pas comme ça. Ulrich l'est.

Elle lance un regard à la rousse, on sait pas trop ce que ça veut dire.

Je l'aime vraiment ... lui je ne sais pas et surtout je ne veux pas être dépendante de lui et comme je te l'ai dis devenir un guimauve. En plus c'est moche comme plante.

Elle soupire en caressant le chanfrein du pur sang.


Je suis partie parce je ne pouvais pas le regarder dans les yeux pour lui dire que je n'étais pas la femme docile qu'il souhaitait, que je l'aimais mais ne pouvait l'épouser dans ces conditions et surtout voir que lui ne m'aimait pas.
Breiz24
Soupir…

Oui, mais il a dit oui, lui. Sentir le léger reproche de la rouquine, qui a bousillé ses bas de soie sur des étrivières non adaptées aux dames-en-robe, qu’elle a bousillé la peau de ses cuisses avec d’ailleurs, que ça pique, que c’est certain même si elle a pas regardé, c’est rouge, et que du coup son mari va pas rater l’occasion de se foutre de sa pomme. Elle s’adoucit cependant – elle vient de réaliser que du coup, elle-même ne ratera pas l’occasion d’obliger son blond à lui passer de l’onguent – et reprend :

Et s’il a dit oui, c’est qu’il veut t’épouser. Et si il est pas totalement débile, ce que je suppose qu’il n’est pas sinon tu serais pas amoureuse, il sait très bien qu’il doit pas s’attendre à une épouse soumise. Tu crois quoi, qu’on doit changer du tout au tout dès qu’on a dit oui ? Bah purée, vous êtes pas rendus !

Elle sourit franchement maintenant, à l’idée des discussions à rallonge que ça pourrait donner dans le couple. Si jamais ils finissaient par s’épouser.

Si tu ne veux pas devenir ainsi, il ne tient qu’à toi de ne point le devenir. A toi, et à lui. Ca s’appelle « faire des compromis » et c’est la base d’un mariage heureux.

Elle caresse le poulain aussi à présent, et sa voix s’adoucit presque jusqu’au murmure :

Quand Milo et moi on s’est mariés, on s’engueulait tout le temps, au début. J’étais déjà enceinte lors du mariage, mais je ne le réalisais pas encore, je pensais être stérile après la naissance pénible de Gauvain, et mon fils était tout pour moi, je n’avais jamais envisagé qu’il ne soit plus mon unique enfant. J’en ai beaucoup voulu à Milo pour ça, et je crois qu’il m’en a voulu aussi. Puis tu vois, à force de parler, on finit par accorder nos violons.

Elle sourit, se retenant d’ajouter qu’accorder les corps joue pour beaucoup dans l’accordage de violons d’un couple. Sachant que la nuit de noce est la pire crainte de la blondinette, persuadée que le plaisir n’est pas fait pour elle, ça serait un très mauvais exemple.
Elle reprend, dans un souffle presque inaudible :


Tu sais, si on est certains de s’aimer, ça suffit pour s’épouser, je crois.

Et, à peine plus haut : Il sera toujours temps de s’accorder après.

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ulrich
[Un cavalier !
qui surgit hors de la pluie!]


Elle n'était pas chez les dragons... Lasteyrie était retourné à Notre Dame, histoire de piquer de couteux ornements de la cathédrale, qu'il revendrait en Normandie à Aupyl pour son mariage, afin de n'avoir pas totalement perdu sa journée ...

Le jeune désaxé y apprit qu'un petit groupe était parti la quérir aux écuries royales... Bon sang, mais c'était bien sûr!

Il y fonça donc à bride abattue, suivi par Jacques, qu'il enfourcha pour rejoindre le petit groupe...

Évidemment, c'était la rouquine qui blablatait! Évidemment, c'était elle qui l'avait fait renoncer! Elle devait encore être en train de médire, là! Il était peut-être temps de mettre un terme à son existence!
Grande inspiration avant la tempête, la vague d'injures, puis d'un trait, sans réfléchir...


Pour-vous-quand-il-vous-plaît! Mais épousez moi!


L'histoire de ce cri de constitution en esclavage avait débuté au premier amour vrai du bâtard, amour qu'il pensait avoir oublié... Soumission qu'il s'était juré de ne jamais reproduire...
Breiz24
[Et court, vers l’aaaaaaventure au galoooooooop]

Ah ! Tu vois qu’il t’aime !

Un cri du cœur. Parce que la rouquine elle aime quand ça finit bien, et là, forcément, ça va bien finir. Le pauvre éclopé qui court dans tout paris (grâce aux jambes des poneys, certes) à la recherche de sa Cendrillon en fuite, c’est trop boooooooooooo.
Elle l’aiderait presque à descendre de cheval, et se retient juste à temps. L’assoir dans la paille, c’est pas top digne pour des retrouvailles – sortez les violons je vous prie – et puis en plus, c’est la blonde qui a fui !

Sourire en coin, elle recule, se fond dans la pénombre, se glisse près de la porte. Historie de bloquer tout baron ayant l’idée de fouiller par là. Puis d’éviter d’éventuels cris. Car n’oublions pas que le Laysterie, tout fou d’amour qu’il soit, a osé entrer à cheval dans les écuries.
A savoir si la blonde va fondre, ou lui hurler dessus pour avoir osé effrayer ses précieux poulains !

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Alycianne
Tandis qu'une Rouquine s'était dirigée droit dans la bonne direction, la gamine, elle, était partie un peu au hasard, certaine de s'y retrouver et en ayant bien assuré son père : non, elle ne finirait jamais à devoir manger du cheval cru, perdue dans les dédales des immenses écuries. Elle réfléchissait donc, tentait d'imprimer le chemin parcouru dans son ciboulot. Ne pas se perdre. Quand, surgissant de nulle part, un cavalier lui passa devant le nez.
Et cela la décoiffa.


- Pas besoin d'aller dans l'aussi vite, il m'a pas vue, le bizarre d'homme, ou quoi ? Bizarre ? Pourquoi il était bizarre ?

Elle fronça les sourcils, tenta de se rappeler... Mais bien sûr ! C'était l'époux ! Et de se ruer sur ses traces, en appelant son père :


- Papa, par ici !


Elle tambourine contre la porte qui s'est refermée sur le cavalier. Question discrétion pour ne pas effrayer les poulains, c'est loupé.
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Elisabeth_stilton
[Son nom il le signe à la pointe de l'épée, perdez pas le ryhtme]

Hein mais comment cela était possible ? Comment pouvait il l'avoir retrouvé. Ouais bon en même temps c'était pas super difficile à deviner. Elle rassure le poulain un peu nerveux de voir tout ce monde et le lâche. Prenant son courage à deux mains elle s'approche de son ex futur mari. Elle avait besoin de le questionner, elle avait besoin de savoir le fonds de sa pensée. Elle avait besoin de savoir s'il l'aimait simplement.


Ulrich pourquoi m'épouser ? Pourquoi moi ?
Vous savez que je ne serais jamais l'épouse docile qui fait du point de croix, du crochet ou quelque autre activité. Je monte à cheval comme un homme, je plaide dans des tribunaux, j'enseigne le droit. Je ne suis point femme à rester à la maison pour obéir docilement à un homme.
M'aimez vous ?
ulrich
[D'une croix, parsqu'y sait pas signeeer!]


C'était le moment de sortir les confettis, et d'ouvrir les glandes lacrymales en grand... Le bâtard ouvrit grand les bras pour faire un câlinou à la rouquine, mais il songea que c'était complètement inapproprié, et qu'il risquait une seconde baffe: une par jour, surtout le jour des noces étant amplement suffisant.


Toujours sur sa monture (Jacques, ou un cheval, selon comme on aura interprété les phrases alambiquées et coupées de l'auteur de ces lignes), il s'exclama:


Souvenez-vous!
L'hotel Volpone, où nous nous rencontrâmes!
Ce jeu, du chat et de la souris que nous menâmes, ces petites piques, et mesquines vengeances, qui tentent de masquer maladroitement un amour qui semble trop grand pour nous, et dont nous aurions peur! Comme si en nous abandonnant totalement à lui, nous risquions de perdre notre raison!
Oui, c'est cela que j'aime chez vous! C'est pourquoi je vous désire plus que tout, les écus inclus!

Ben oui, on est Normand, ou on l'est pas!

Vous ne cherchez pas à vous faire materner, vous encaissez, et rendez coup sur coup, c'est ce que j'admire en vous!

Et pourtant, malgré votre regard dur, je sais qu'au fond, vous êtes douce, aimante et soutenante!

C'est... c'est cela que j'aime en vous, c'est... c'est vous, vous, dont je désire être aimé jusqu'à ce que le tout puissant me rappelle à lui, et après s'il est possible d'obtenir une dérogation divine!
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