Margaut_de_roanne
Voilà, comment je me suis retrouvée dans une taverne de Montpensier sans père ni mère, en compagnie de la mère de mon prince que je surnommais affectueusement tata Azz. La tavernière au demeurant fort agréable nous emmena comme convenu une liqueur pour Azzera et un lait pour moi-même. Lait qui me laissa pantoise quelques instants. Je lorgnais sur Azzera confuse, ne comprenant pas pourquoi des flotteurs orangés cétaient glissés sournoisement dans ma tasse. Je ne fis cependant aucun reproche de peur quAzzera ne me traite encore de duduche capricieuse. A Mimizan je ne me serais point gênée et aurais par la suite rigolé du surnom quAzzera prenait grand plaisir à me donner. Mais ici, je préférais autant que possible que ça ne ce sache. Je fis donc un gracieux sourire à la tavernière en guise de remerciement et plongea avec un visage crispé mais lèvres dans la tasse. Je le lapais à peine comme laurait fait un chaton qui découvre. Sait on jamais que le lait ne mattaque sournoisement. Il faut dire que du lait, cest du lait, un lait avec des amis dedans ce nest plus du lait. Le goût cependant bien que différent de celui auquel jétais habitué me plus. Je ne me fis, alors, pas prier pour boire à grande gorgée. A peine avais je entrepris la dégustation de mon lait quune dame, pris ma tante dans ses bras. Je levais alors les yeux ainsi que ma bouche ornée dune moustache de crème.
Salut toi.......
.......une future dame blanche?
Bonjour, Dame, je suis Margaut.
Je replongeais alors dans mon lait sans autre formalité. Après tout les dames blanches je ne connaissais que de nom et je préférais laisser Azzera réglé tout cela avec ses surs. Je pris alors une brioche que je coupe en deux et tartine allègrement de beurre, avant de refermer les deux moitié et de la fourrer dans ma bouche. Cest alors quune deuxième dame rentre dans la taverne et se dirige vers nous. Elle me fixe dun air que je connais que trop, de celui qui dit : cest qui celle la , ou encore : pour qui elle se prend celle la. Je ne men formalise cependant pas, après tout je supposais quil sagissait dune autre des surs de Azz et quelle ne devait me connaitre.
Je levais alors un regard sur la dame à la chevelure brune agrémentée de magnifique boucle. Je pris alors une de mes mèches de cheveux entre mes mains et la regardait. Il semblait que je nétais point la seule brune bouclée dans les parages. Je dévoilais alors un somptueux visage qui offrait en plus de la moustache de lait, un reste de brioche logé avec art sur le coin de ma bouche. Duduche vous avez dit ? Bin vous vous trompez moilà.
Bonjour, Dame, je suis Margaut.
Je souriais, si avec ça toute la taverne navait pas compris que je me nommais Margaut cest quils étaient sourds. Je regardais désormais la brune et la blonde.
Vous connaissez, tata Azz ? Elle maccompagne pour que je rencontre ma famille.
Mais, moi, je ne les ais jamais vu, je ne sais pas comment elle est ma famille. Papa et Maman ils men ont beaucoup parlé alors je suis venue ici. Parce quapparemment, ils sont ici au BA. Peut être vous les connaissez mes parents ? Pierre et Damisella.
Jattrape alors deux brioches sur la table puis me lève pour me diriger vers les deux dames. Père et mère mavaient appris à partager alors même au BA nous partageons. Je les tends à la brune et à la blonde en souriant.
Vous en voulez ?
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Salut toi.......
.......une future dame blanche?
Bonjour, Dame, je suis Margaut.
Je replongeais alors dans mon lait sans autre formalité. Après tout les dames blanches je ne connaissais que de nom et je préférais laisser Azzera réglé tout cela avec ses surs. Je pris alors une brioche que je coupe en deux et tartine allègrement de beurre, avant de refermer les deux moitié et de la fourrer dans ma bouche. Cest alors quune deuxième dame rentre dans la taverne et se dirige vers nous. Elle me fixe dun air que je connais que trop, de celui qui dit : cest qui celle la , ou encore : pour qui elle se prend celle la. Je ne men formalise cependant pas, après tout je supposais quil sagissait dune autre des surs de Azz et quelle ne devait me connaitre.
Je levais alors un regard sur la dame à la chevelure brune agrémentée de magnifique boucle. Je pris alors une de mes mèches de cheveux entre mes mains et la regardait. Il semblait que je nétais point la seule brune bouclée dans les parages. Je dévoilais alors un somptueux visage qui offrait en plus de la moustache de lait, un reste de brioche logé avec art sur le coin de ma bouche. Duduche vous avez dit ? Bin vous vous trompez moilà.
Bonjour, Dame, je suis Margaut.
Je souriais, si avec ça toute la taverne navait pas compris que je me nommais Margaut cest quils étaient sourds. Je regardais désormais la brune et la blonde.
Vous connaissez, tata Azz ? Elle maccompagne pour que je rencontre ma famille.
Mais, moi, je ne les ais jamais vu, je ne sais pas comment elle est ma famille. Papa et Maman ils men ont beaucoup parlé alors je suis venue ici. Parce quapparemment, ils sont ici au BA. Peut être vous les connaissez mes parents ? Pierre et Damisella.
Jattrape alors deux brioches sur la table puis me lève pour me diriger vers les deux dames. Père et mère mavaient appris à partager alors même au BA nous partageons. Je les tends à la brune et à la blonde en souriant.
Vous en voulez ?
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