Falco.
Viol Danse
Ah!Ah! Mange, avale même!
Son poignet est déchiqueté jusqu'aux tendons et les os , il lui fourre le tout sur les lévres injurieuses.
Son unique main et le reste sont à l'aune d'une vie agitée. Noueuse, torsadée entre muscles et cicatrices, marques de brulures, de fractures ressoudées à la diable.
S'il vit vieux il aura sans doute arthrite le Cartel.
Mais pour le moment il asperge de son sang le visage de Garance tout en luttant hanches à hanches.
La Jargor a due en vivre des sévéres aussi à ainsi venir au devant de son bassin à s'en fêler le pubis.
Alors il rit.
Musique de boite à clous rouillés.
Son armure meurtrie la tendre chair de l'intéreur des cuisses qui semblent en avoir vues d'autres.
Garance n'a rien d'une vierge effarouchée, elle est même plutot mûre, à l'instar de son assaillant.
Ils parlent le même langage et selon les même codes.
C'est une danse injuriante, une humiliation dans les régles.
Celles de la guerre selon les gens de cuir, bien loin des codes de la noblesse et des rêves d'Eglise...Qui préfère les meurtres loins des yeux, des siens d moins, pour ne pas se salir.
Elle est brulante, bouillonnante, il est glaçé même plongé en ses tréfonds.
Elle espère quoi à l'entrechoquer? Qu'il râle de plaisir à la vitesse de combustion d'une méche de sape?
Se débarasser de lui avant le terme de la leçon?
Sa figure ruissele du crachat sanglant , gouttante sur la gorge de la blessée.
Il a planté son moignon en sol pour faire levier et mieux peser de son corps , de son blindage, de sa chair engagée bien loin.
J'ai déjà payé pour moins bien que ce que tu me donnes....Ma mie.
Il murmure, essoufflé par la lutte et ses plaisirs collateraux.
Car cet assaut à tout autre objectif qu'une jouissance volée sur un pantelante à demie morte.
Tu sais le meilleur?
La mécanique corporelle a produite sa conclusion logique, il s'immobilise , expirant lentement.
Souriant.
Cette fois c'est le sourire des aubes ou l'andouille se reveillant ignore qu'il finira une dague dans le nombril avant midi.
Ici la dague est de chair, mais le principe similaire au final.
Le meilleur...C'est que tu vas vivre...
Le ciel est bleu, le soleil fabrique des milliers d'etincelles sur les branches givrées. La souche moussue fut une bénédiction car soulevant idéalement le bas ventre de Garance. La Juge exhale de charmants nuages de vapeur, tout à son admiration du paysage, le pied posé sur des doigts transis.
Ailleur monte le bruit de la troupe qui se rassemble, unique musique, funêbre, dans la campagne tourangelle.
Il vient de terminer son office et ne peut en nier la satisfaction bestiale.
Dire qu'il a failli rester coincé à la Cathédrale à écouter les pontifes annoner...
D'ailleur cela lui donne une idée.
Elle est belle, même blessée et écartelée dans la neige, la Garance.
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Ah!Ah! Mange, avale même!
Son poignet est déchiqueté jusqu'aux tendons et les os , il lui fourre le tout sur les lévres injurieuses.
Son unique main et le reste sont à l'aune d'une vie agitée. Noueuse, torsadée entre muscles et cicatrices, marques de brulures, de fractures ressoudées à la diable.
S'il vit vieux il aura sans doute arthrite le Cartel.
Mais pour le moment il asperge de son sang le visage de Garance tout en luttant hanches à hanches.
La Jargor a due en vivre des sévéres aussi à ainsi venir au devant de son bassin à s'en fêler le pubis.
Alors il rit.
Musique de boite à clous rouillés.
Son armure meurtrie la tendre chair de l'intéreur des cuisses qui semblent en avoir vues d'autres.
Garance n'a rien d'une vierge effarouchée, elle est même plutot mûre, à l'instar de son assaillant.
Ils parlent le même langage et selon les même codes.
C'est une danse injuriante, une humiliation dans les régles.
Celles de la guerre selon les gens de cuir, bien loin des codes de la noblesse et des rêves d'Eglise...Qui préfère les meurtres loins des yeux, des siens d moins, pour ne pas se salir.
Elle est brulante, bouillonnante, il est glaçé même plongé en ses tréfonds.
Elle espère quoi à l'entrechoquer? Qu'il râle de plaisir à la vitesse de combustion d'une méche de sape?
Se débarasser de lui avant le terme de la leçon?
Sa figure ruissele du crachat sanglant , gouttante sur la gorge de la blessée.
Il a planté son moignon en sol pour faire levier et mieux peser de son corps , de son blindage, de sa chair engagée bien loin.
J'ai déjà payé pour moins bien que ce que tu me donnes....Ma mie.
Il murmure, essoufflé par la lutte et ses plaisirs collateraux.
Car cet assaut à tout autre objectif qu'une jouissance volée sur un pantelante à demie morte.
Tu sais le meilleur?
La mécanique corporelle a produite sa conclusion logique, il s'immobilise , expirant lentement.
Souriant.
Cette fois c'est le sourire des aubes ou l'andouille se reveillant ignore qu'il finira une dague dans le nombril avant midi.
Ici la dague est de chair, mais le principe similaire au final.
Le meilleur...C'est que tu vas vivre...
Le ciel est bleu, le soleil fabrique des milliers d'etincelles sur les branches givrées. La souche moussue fut une bénédiction car soulevant idéalement le bas ventre de Garance. La Juge exhale de charmants nuages de vapeur, tout à son admiration du paysage, le pied posé sur des doigts transis.
Ailleur monte le bruit de la troupe qui se rassemble, unique musique, funêbre, dans la campagne tourangelle.
Il vient de terminer son office et ne peut en nier la satisfaction bestiale.
Dire qu'il a failli rester coincé à la Cathédrale à écouter les pontifes annoner...
D'ailleur cela lui donne une idée.
Elle est belle, même blessée et écartelée dans la neige, la Garance.
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