Tord_fer
Maintenant, Duché d'Anjou, Craon...
[Quand le destin sacharne ]
Le hululement dune chouette penché au dessus de lui, bien installé sur sa branche réveilla Tord Fer. Allongé a même le sol, bien emmitouflé dans sa veste il resta étendu un moment, le cerveau engourdi de sommeil et dalcool, vaguement conscients de ce qui se passait autour de lui. Sa main recouverte dune mitaine jaillit de son sa veste de grosse toile et se referma sur le col dune bouteille dalcool posé prés de sa tête. Le tas de loque quil formait se tortilla un moment, quelques glouglous se firent entendre, suivis dun silence, et dun grognement. Tord Fer émergea se grata soigneusement le crane et la barbe, avala les dernières goutes de vinasse histoire de se protéger du froid matinale avant de replonger dans sa torpeur.
Soudain il grogna et, après une brève lutte de son esprit contre les objets de terreur tapis aux confins de son couchage, il se redressa lourdement et fila, fou de panique, dans les buissons. Au bout de cinq ou six pas, ses neurones se remirent à fonctionner, et trois enjambes plus loin, il sarrêta, secoué par une longue quinte de toux, puis retourna à sa couche sous les rhododendrons. Avec des gestes méthodiques il fourra dans son sac neuf ses possessions, trop précieuse pour les laisser derrières lui, commença à boucler le sac, sinterrompit, le rouvrit et fouilla dedans tout au fond. Ses doigts se refermèrent sur ce quil cherchait, un coutelas sale et rouillée certes, mais qui tranchait pas mal.
Une fois le couteau ajusté à sa ceinture il épousseta son manteau et balança dun geste son sac sur son épaule droite et repris sa route en boitant.
Cela faisait plusieurs jours quil dormait a même le sol dans la foret. Ses réveilles particulier il les avait toujours eu par contre Si il dormait dans la foret ce nétait pas vraiment par choix
Plus tôt, Duchée de Berry, Vers Bourges...
[ Joyeuse rencontre et trébuchage ]
Je vais vous conter ce quil lui est arrivé :
Un peu plus tôt dans le mois, alors quil marchait tranquillement dans la foret, le cur joyeux, le cur léger, sifflotant gaiment, sautillant parmi les fleurs et les petits faons euh .ouais, bon bref, parmi les faons donc, Tord Fer rencontra une jolie Dame accompagner dun sire tout de noire vêtu. Dans sa bonne humeur quotidienne qui le suit partout tous le temps, il leur souhaita bien lbonjour et leur adressa un grand sourire charmeur de ces jolie dents blanches qui reflétait les rayons du soleil (euh, petit aparté la ! jsuis vraiment obligée de dire toute cest connerie ???! oui ? bon ou jen étais, ha oui ) reflétant les rayons du soleil. Le sire le foudroya du regard et la dame en fit de même ! Celle-ci, encore plus mauvaise que son compagnon, lui fit même un croche patte ! Oh la vilaine !
Tord Fer, pauvre viel homme boitillant sans défense, sans arme, le cur aussi pur quune pucelle, ne put garder son équilibre et tomba essayant de se rattrapé comme il put il essaya de sagripper a la donzelle mais ne put se raccrocher qua sa bourse bien remplie qui dépasser de sous sa chemise. Ca alors ! Comble de lironie, la bourse céda sous son poids et Tord Fer saffala contre le sol dur et froid du jolie petit chemin de la foret .
Réaction étrange de lhomme, il lui jeta sa bourse et au lieu daider le pauvre homme a se relever, pris la main de la Dame et tout deux partir en criant et en hurlant comme des petits êtres effrayé ! Tord Fer ouvrit grands ses deux yeux (oui détails important pour la suite) dincompréhension.
[Quand le destin sacharne ]
Le hululement dune chouette penché au dessus de lui, bien installé sur sa branche réveilla Tord Fer. Allongé a même le sol, bien emmitouflé dans sa veste il resta étendu un moment, le cerveau engourdi de sommeil et dalcool, vaguement conscients de ce qui se passait autour de lui. Sa main recouverte dune mitaine jaillit de son sa veste de grosse toile et se referma sur le col dune bouteille dalcool posé prés de sa tête. Le tas de loque quil formait se tortilla un moment, quelques glouglous se firent entendre, suivis dun silence, et dun grognement. Tord Fer émergea se grata soigneusement le crane et la barbe, avala les dernières goutes de vinasse histoire de se protéger du froid matinale avant de replonger dans sa torpeur.
Soudain il grogna et, après une brève lutte de son esprit contre les objets de terreur tapis aux confins de son couchage, il se redressa lourdement et fila, fou de panique, dans les buissons. Au bout de cinq ou six pas, ses neurones se remirent à fonctionner, et trois enjambes plus loin, il sarrêta, secoué par une longue quinte de toux, puis retourna à sa couche sous les rhododendrons. Avec des gestes méthodiques il fourra dans son sac neuf ses possessions, trop précieuse pour les laisser derrières lui, commença à boucler le sac, sinterrompit, le rouvrit et fouilla dedans tout au fond. Ses doigts se refermèrent sur ce quil cherchait, un coutelas sale et rouillée certes, mais qui tranchait pas mal.
Une fois le couteau ajusté à sa ceinture il épousseta son manteau et balança dun geste son sac sur son épaule droite et repris sa route en boitant.
Cela faisait plusieurs jours quil dormait a même le sol dans la foret. Ses réveilles particulier il les avait toujours eu par contre Si il dormait dans la foret ce nétait pas vraiment par choix
Plus tôt, Duchée de Berry, Vers Bourges...
[ Joyeuse rencontre et trébuchage ]
Je vais vous conter ce quil lui est arrivé :
Un peu plus tôt dans le mois, alors quil marchait tranquillement dans la foret, le cur joyeux, le cur léger, sifflotant gaiment, sautillant parmi les fleurs et les petits faons euh .ouais, bon bref, parmi les faons donc, Tord Fer rencontra une jolie Dame accompagner dun sire tout de noire vêtu. Dans sa bonne humeur quotidienne qui le suit partout tous le temps, il leur souhaita bien lbonjour et leur adressa un grand sourire charmeur de ces jolie dents blanches qui reflétait les rayons du soleil (euh, petit aparté la ! jsuis vraiment obligée de dire toute cest connerie ???! oui ? bon ou jen étais, ha oui ) reflétant les rayons du soleil. Le sire le foudroya du regard et la dame en fit de même ! Celle-ci, encore plus mauvaise que son compagnon, lui fit même un croche patte ! Oh la vilaine !
Tord Fer, pauvre viel homme boitillant sans défense, sans arme, le cur aussi pur quune pucelle, ne put garder son équilibre et tomba essayant de se rattrapé comme il put il essaya de sagripper a la donzelle mais ne put se raccrocher qua sa bourse bien remplie qui dépasser de sous sa chemise. Ca alors ! Comble de lironie, la bourse céda sous son poids et Tord Fer saffala contre le sol dur et froid du jolie petit chemin de la foret .
Réaction étrange de lhomme, il lui jeta sa bourse et au lieu daider le pauvre homme a se relever, pris la main de la Dame et tout deux partir en criant et en hurlant comme des petits êtres effrayé ! Tord Fer ouvrit grands ses deux yeux (oui détails important pour la suite) dincompréhension.
Citation:
05-11-2010 04:07 : Vous avez racketté un groupe composé de Nomote2 et de Jolie_coeur qui possédait 1514,47 écus.
Le dos broyait par cette chute et la jambe meurtri, Tord Fer eut du mal a se relever, nayant plus personne pour laider. Il ramassa les deux bourses assez lourdes et essaya en vain de rattraper les deux fuyards :
Hééé ! Vous avez perdu ca !!! Héhéhééééé yououhou !Que vais je donc faire de cela si vous ne venait pas les récupéré
Le pauvre homme dune bonté si généreuse, toujours aux proies aux partages et aux dons de bonne uvres se dit que puisque quil ne pouvait point les rattrapés, il allait en faire cadeau au premier va nu pied quil croiserait
Puis il baissa la tête et vit ses pieds nus. Ces pieds engourdis par le froid. Il se dit que si il emprunter quelque écus aux mendiants, cela nallait pas lui en tenir rigueur, arrivé donc dans la première ville quil rencontra il sacheta de jolie bottes chaudes, sans omettre bien sur de demander aux gens si il navait pas vue un sire et une donzelles .
Ceci paniqué par son allure, pourtant si avenante, prenez la fuite.
Bon pour la faire courte, parce que la yen a marre de dire des conneries, personne ne le renseigna, et pour être honnête il ne demanda a personne non plus, et continua sa route, son butin dans les poches
[La justice est toute puissante, soumet toi ou tu goutera son courroux ! ]
Un homme denviron quarante-huit, cinquante ans entra dans le Berry. Il avait une casquette à visière de cuir rabattue cachait en partie son visage brûlé par le soleil et le hâle et ruisselant de sueur. Sa chemise de grosse toile rattaché au col par une petite ancre d'argent, laissait voir sa poitrine velue; il avait une cravate tordu en corde, un pantalon de coutil usé et rapé, blanc a un genoux, troué a l'autre, une vielle blouse grise en haillons, rapiécée a l'un des coudes d'un morceau de draps vert cousue avec une grosse ficelle, sur le dos un sac de soldat fort plein, bien bouclé et tous neuf, à la main un énorme bâton noueux, les pieds sans bas dans des souliers ferrés, la tête tondue. La sueur, la chaleur, la poussière ajoutait un je ne sais quoi de sordide à cet ensemble délabré.
A peine le pauvre bougre eut il passait la porte vouté qui encadré lentrée de la ville que des gardes lui tombèrent dessus et lui remit un morceau de papier après avoir fait moult commentaire salasse sur son boitillement et sur ces fripes défraichies. Tord Fer ne sachant pas lire, leur demanda pour quelle raison cest foutu imbéciles lui tomber dessus sans crier garde (sans jeux de mots), les deux gardes ricanerent prirent la lettre et dune voix hautes et fortes pour que tous les entendent :
Citation:
Par la présente, les autorités de police du Comté vous signifient votre mise en accusation.
Il vous est reproché notamment des faits de trouble à l'ordre public.
Votre procès commence dès aujourd'hui. Vous êtres prié de vous rendre au tribunal d'ici à deux jours ouvrables.
Pendant la durée de l'instruction, vous resterez en liberté.
Il vous est reproché notamment des faits de trouble à l'ordre public.
Votre procès commence dès aujourd'hui. Vous êtres prié de vous rendre au tribunal d'ici à deux jours ouvrables.
Pendant la durée de l'instruction, vous resterez en liberté.
Tord Fer fit la moue et pensa aux deux individus croiser précédemment, oh ! les vilains ! en plus de lavoir fait tomber il portait plainte contre lui ..Décidément le destin sacharnait sur lui.
[RP ouvert, mais respecter la chronologie et les lieux de celui-ci, en cas de questions, envoyer des mp]
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