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[RP] Le Lac de Genève

Lavatar
Un instant d'inattention, un seul.... et la plus agréable des surprises lui caresse le cou....

Reconnaissant de suite le parfum et la douceur du baiser, le chevalier se tourne, sourire claironnant et yeux pétillants de malice...


Demat charmant Messire, y'aurait il une place en ce coin de paradis, pour une charmante jeune femme en manque de tendresse et de baiser?

— En manque de tendre et de baisers ??? Crénom de Zeus !!! Mais les hommes feraient-ils défaut à cette contrée qu'ils ne vous ont pas encore embrassé les petons ?... * le grand gaillard prend tendrement le menton de sa rouquinette adorée et fait glisser ses lèvres sur les siennes *

Hummmmmm.... Comment vas-tu , mon coeur ? le réveil a-t-il été doux ? Je regardais les hirondelles voler au ras de l'eau, insouciantes et heureuses de vivre... Je me disais que j'étais comme elles à présent, maintenant que je t'ai retrouvée... Da garan, ma charmante damoiselle... Me laisseras-tu être ton preux chevalier ?

Lavatar se leva, récupérant la besace bien chargée - c'est que le jeune homme n'aimait manquer de rien, surtout s'il s'agissait de nourriture et de fins breuvages - puis il prit sa belle par les épaules, embrassant à son tour son cou si délicat.

— Et bien, à droite, vers les oies au regard farouche, ou bien à gauche, vers les aguicheurs marchands de gourmandises... à moins que tu ne préfères une romantique promenade en barque ? je me sens d'humeur marine aujourd'hui !

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En avant pour Vannes !
Alwenna.
Je souris avec tendresse a mon aimé, me coulant dans ses bras avec bonheur, effleurant d'un doux baiser ses lèvres.

Citation:
Je regardais les hirondelles voler au ras de l'eau, insouciantes et heureuses de vivre... Je me disais que j'étais comme elles à présent, maintenant que je t'ai retrouvée... Da garan, ma charmante damoiselle... Me laisseras-tu être ton preux chevalier ?


Je le regarde me noyant presque dans son regard de braise, ce regard qui m'a fais chavirer, qui a rendu mon monde si beau, qui m'a rendue si forte, et qui m'a permis de toujours croire aux lendemains heureux.

Je me dis que je suis tout aussi heureuse et insouciante de vivre a tes cotés, tout me semble parfait et beau, nous avons le monde a nos pieds, pas le monde, monde mais notre monde a nous, notre univers, fais de douceur, d'amour et de confiance absolue, oui je te veux pour preux chevalier jusqu’à la fin des temps.

Prenant a nouveau ses lèvres, je l'embrasse avec tout mon amour, puis regardant un peu les choix proposés pour notre balade d'amoureux,

Mum je me laisserais bien tenter par une balade marine, au grès du vent, et des clapotis de l'eau, nous pourrons ainsi nous dénicher un petit coin calme pour un pique nique amoureux qu'en penses tu?

Restant blottit contre lui je laisses mon regard vagabonder sur les merveilles de ce monde a ses cotés.

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Lavatar
Lavatar se laissa emporter par la déraison de l'élan amoureux de sa belle.... puis il se ressaisit doucement, humant à loisir le parfum de sa chevelure.

Mum je me laisserais bien tenter par une balade marine, au grès du vent, et des clapotis de l'eau, nous pourrons ainsi nous dénicher un petit coin calme pour un pique nique amoureux qu'en penses tu?

— Par tous les merveilles du monde ! Voilà qui convient parfaitement à mon humeur de ce jour.. Tiens, en voici un qui loue des barques là-bas....

Lavatar paya grassement le vieux pêcheur d'eau douce qui tenait la place, puis il aida sa dulcinée à s'installer à bord de la chaloupette. Une fois l'amarre retirée, le jeune breton d'adoption commença à ramer, jetant parfois un regard en arrière, le plus souvent se délectant des yeux et des courbes de sa belle, que le soleil par moment dévoilait par la grâce de ses rayons aux travers de sa robe de printemps.

— Ma rouquinette, dis-moi si tu vois un endroit qui te convienne... il me tarde de me retrouver à nouveau tout contre toi, héhé.... Alors, comment se porte le prochain de la Croix Rousse ? j'espère qu'il ne t'empêche pas trop de dormir et qu'il ne gigote point trop !

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En avant pour Vannes !
Alwenna.
[Le lendemain..]

La nuit a passée, rageuse et dévastatrice, je reviens prés de ce lac, ou quelques heures avant le début du combat, heures insouciantes ou tout semblait magnifique et indestructible, au coté de celui que j'aime plus que tout au monde, je me souviens de ce pique nique au gout sucré, je me souviens de ses mains sur mon ventre ou grandissait une vie, mais une vie est si fragile, et tout peut basculer très vite.

J'avise une vieille souche, et m'assois grimaçant et tenant mon ventre pansée, je regarde les reflets de l'eau, je regarde les scintillements du soleil sur l'eau, les larmes remontant au bord de mes yeux, mes yeux fatigués par cette nuit terrible, mes yeux qui ont vu l'horreur, qui ont vu l'homme que j'aimais blessé, et qui ont vu le sang coulé de mon ventre avant de plonger dans le noir infini.

Si je me concentre un peu plus, je peux encore ressentir, la douleur fulgurante dans mon ventre, l'odeur acre du sang, et la vie qui quitter mon corps, je peux encore ressentir les mains de mon aimé me porter pour me protéger de ce carnage, je peux encore entendre sa voix me supplier de rester prés de lui, moi je suis rester mais une partie de moi s'est envolée, quelque chose s'est brisé...

Je caresse encore mon ventre, cette coquille vide maintenant, ce petit être qui a déjà rejoins le paradis des anges, sans même que je puisses le connaitre et le toucher, une larme amère coule sur ma joue, il faut avoir la force d'avancer maintenant de faire le deuil de ce petit être.

Je ferme les yeux un instant restant la, voulant revenir en arrière, bien que cela me soit impossible a présent.
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Lavatar
Lavatar la voit... Là... Assise... Immobile et l'air tellement absent... Il se dit que tout est de sa faute...
Jamais il n'aurait dû l'entraîner dans cette aventure... Il hésite, la douleur qu'elle ressent , il la partage... mais elle, elle a porté le fruit de leur amour. Oui, il l'a caressé certes, embrassé même... cependant, c'est bien elle qui la sentit grandir et peu à peu bouger et faire preuve de sa vitalité. Le très Haut, dans ses divins desseins, en a décidé autrement... et la tristesse a remplacé ce jour le ravissement qui éclairait ses yeux de biche...

Le chevalier s'avance, pose sa main sur son épaule, puis se penche et dépose un tendre baiser sur sa nuque si blanche. Il ferme les yeux, hume son parfait si délicat, puis passe ses bras autour de sa poitrine, n'osant les poser sur son ventre entre ceint d'un bandage qui lui rappelle le malheur de la veille...

Il se tient derrière, et murmure à son oreille...


— Da garan, ma jolie... Bientôt, nous partirons de cet enfer... Je... je suis désolé... pour ce qui est arrivé...

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En avant pour Vannes !
Alwenna.
Sentant une main posée sur mon épaule, je frissonne a ce doux contact, a ce contact chargé de tendresse et d'amour, je l'écoute me parler avec douceur, voulant me rassurée, cela me met du baume au cœur, notre amour est notre force, notre amour ne peut être vaincu, ça je le savais au fond de moi, que nos malheurs font que notre amour se renforce chaque jours un peu plus,

Citation:
Da garan, ma jolie... Bientôt, nous partirons de cet enfer... Je... je suis désolé... pour ce qui est arrivé...


Je souris a ce mot d'amour, sucré et sincère, je pose ma main sur la sienne, la serre un peu plus fort, l'invitant a s'assoir a mes cotés, me blottissant contre lui,

Mon ange, tu n'y es pour rien, je ne veux pas que cela te mine, toi et moi on a vaincu les rumeurs, on a abattu des montagnes pour être ensemble, nous en sommes sortis vainqueurs et encore plus amoureux qu'auparavant, cela est encore une épreuve du Très Haut mais je sais que cela va nous renforcer encore plus.


Déposant un léger baiser sur ses lèvres, je lui souris, le regardant avec les yeux brillants comme aux premiers jours, me sentant forte et en sécurité dans ses bras.

Da garan mon ange, da garan pour toujours.

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Lavatar
Le grand blond s'assit docilement à côté de sa rouquinette... Le passant devait trouver la scène bien étrange, un géant farouche avec la jambe emmaillotée semblant obéir au doigt et à l'oeil, si charmant par ailleurs, à une jeune fille au teint maladif et elle-même le flanc enrobé de fins bandages dentelés...

Lavatar prolongea l'étreinte, prenant soin de ne pas la blesser et se recula, pour mieux l'admirer... Il pencha la tête, intrigué... Quelque chose avait changé ... Mais quoi ?

Certes, le visage était marqué par les épreuves de ces derniers jours... et la perte de leur enfant... Le sourire était fatigué mais sincère... cependant , les yeux pétillaient toujours de cet amour espiègle qu'elle lui prodiguait avec tant de passion...

Qu'était-ce donc ? .. Il sourit alors grandement...


— Oh, Crénom de Zeus ! tu es passée chez le coiffeur !!!! Tes cheveux sont plus courts et remontés en un joli amalgame ! Tu resplendis... comme à ton habitude...héhé.

Il rit tout en avançant son doigt...

— Et tu as toujours ces quelques mèches rebelles qui s'échappent et font de toi la rouquinette que j'adore...

Il les écarte doucement pour admirer l'oeil qui sourit en dessous...

— Bien, ma douceur... je suis en train de chercher une nouvelle carriole pour que nous voyagions tranquilles lorsque tu auras récupéré... Il faudra de la place aussi lorsque nous retrouverons nos enfants en Bourgogne, et pour un tonneau de vin helvète de que j'ai marchandé tôt ce matin au tavernier de l'Embuscade... Il est dur avec les étrangers, mais si la tav" porte bien son nom, son vin est délicat et fruité à souhait.

Lavatar fixa des yeux les bateliers qui négociaient la location de leurs embarcations aux couleurs vives..

— Et bien, je pense que la promenade en barque nous est prohibée pour un certain temps... Nous ne pouvons dorénavant que donner ripaille aux oies ! *rires * Tiens , j'ai amené un peu de pain... Vu le prix de la miche au marché, c'est donné du lard aux cochons, mais au moins cela nous distraira.. Je suis content d'avoir parlé avec ton ami Michel hier, il a l'air sympathique.... pour un genevois ! * nouveaux rires * Allez, debout, marcher nous fera du bien.

Il se leva à grand mal et tendit la main à sa perle de rosée...

— Ce qui m'inquiète, par contre, c'est que je n'ai pas de nouvelles des enfants.... J'espère que tout va bien....
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En avant pour Vannes !
Alwenna.
Restant blottit contre mon ange, je regarde les oies, et autres bestioles présentes autour de nous, le bonheur simple et complet est la contre moi, mon blondinet aux mèches folle, a l'humour unique, qui sait en si peu de temps redonner couleur a mon teint pale, et sourire a mes lèvres.

Prenant ses lèvres pour un tendre baiser, je le vois me scrutant et le regarde avec espièglerie, quand enfin il trouve ce qu'il y a de changer chez moi

Citation:
Oh, Crénom de Zeus ! tu es passée chez le coiffeur !!!! Tes cheveux sont plus courts et remontés en un joli amalgame ! [...]Et tu as toujours ces quelques mèches rebelles qui s'échappent et font de toi la rouquinette que j'adore...


Oui je suis passé hier, besoin de renouveau dans ma coiffure, et de me débarrer de ces cheveux dans le dos, qui commencer légèrement a m'agacer, mais j'ai bien précisé a la coiffeuse de garder cette mèche folle que tu aime tant, mon coté farouche a moi.

Je ris doucement, un rire qui fait tant de bien, le voyant se lever, je me lève a mon tour, glissant ma main dans la sienne.

Marchant a ses cotés, je l'entends me dire qu'il a très peu de nouvelles de nos enfants, le papa poule est toujours présent,

Rassure toi mon ange, les enfants vont bien, Aaron nous attends, et Abi en fait voir de toute les couleurs a notre chère Nanie, je me demande d’où elle tient ce coté espiègle et farouche.


Riant un peu, le regardant avec taquinerie, je dépose un léger baiser sur ses lèvres.

Tu sais certes on a pas eu de chance ici, mais a tes cotés le voyage fut merveilleux quand même.

Continuant la marche paisible, au son des clapotis de l'eau, je souris en l'entendant parler cette fois de son affaire sur du vin de Genève, la une autre facette de l'homme que j'aime plus que la vie elle même, futur époux épris, papa poule, et négociateur de boisson alcoolisées hors paire.

Je ne doute aucunement du fait que tu es réussis a négocier ce vin, et j'ai hâte de le gouter, dans un de nos diners en tête que nous ferons a notre arrivée chez nous.

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Lavatar
Rassure toi mon ange, les enfants vont bien, Aaron nous attends, et Abi en fait voir de toute les couleurs a notre chère Nanie, je me demande d’où elle tient ce coté espiègle et farouche.

Lavatar s'arrêta net... face à face... Il sentait combien elle était habile à lui faire perdre ses moyens... Les mots n'étaient point nécessaires, du moins, pas toujours... Il lui adressa son légendaire sourire fossettes , légèrement de guingois, s'avança et murmura avant de glisser un baiser entre ses lèvres vermeil...


— A ton avis ?.....

Il sourit à nouveau.... Tous deux connaissaient bien la réponse...

— Ainsi donc, tu reçois de leurs nouvelles... Attends un peu que je les gronde ! la colère de Pa' D'agon va être terrrrrible ! Grrrrrroaaaaaarr !

Ils reprirent la lente marche et atteignirent enfin les oies... Lavatar s'accroupit et leur quelques morceaux de pain broyé qu'il sortit de sa besace...

— Piti, piti, piti !!!! Venez voir Tonton Lav'.... héhé... Que dirais-tu d'un bon rôti d' oie, ma rouquinette...? Elle m'a l'air bien grasse celle-là ... Approche, petite, approche....

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En avant pour Vannes !
Alwenna.
Continuant notre marche paisible sur le sujet des enfants, et notamment sur notre charmante petite princesse, voila la question a 100 écus, de qui tient elle se coté farouche, prenant un air ingénue je regarde mon tendre aimé,

Mum non je ne vois pas, mais pas du tout.


Je ris devant son air gourmand, et son sourire fossette qui me fait perdre tout moyen dans ces moments la,ne trouvant pas d'issu je lui répond avec tendresse a son baiser.

Mum tu as toujours des lèvres exquises, dis je en les lui mordillant doucement.

Puis a regret je le sentis se détacher de moi, et s'avancer vers les oies, seraient elle plus jolies que moi?? Non je dirais plutôt que leur grosseur, on donné appétit a mon ours, je le vois s'agenouiller avec des mimiques qui me font rire,

Citation:
— Piti, piti, piti !!!! Venez voir Tonton Lav'.... héhé... Que dirais-tu d'un bon rôti d' oie, ma rouquinette...? Elle m'a l'air bien grasse celle-là ... Approche, petite, approche....


Mum mon amour, dis moi tu crois pouvoir en attraper une comme cela?
Moi je dirais que cela n'est pas gagné du tout, mais bon c'est vrai qu'un bon repas avec une oie farcies et rôtis je ne dirais pas non.


M'asseyant sur une souche, je le laisses a sa chasse, le suivant d'un regard tendre et amusé.

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Lavatar
Mum mon amour, dis moi tu crois pouvoir en attraper une comme cela?
Moi je dirais que cela n'est pas gagné du tout, mais bon c'est vrai qu'un bon repas avec une oie farcies et rôtis je ne dirais pas non.


— Vois-tu, ma belle, j'ai une certaine expérience avec les animaux, et j'en ai déjà attrapés par le cou, d'un geste rapide et précis, tu vas voir... et vu le prix de miches icelieu, ce volatile palmipède ne doit pas souvent mangé des croûtons de pain... j'ai de quoi l'enguirlander.

Lavatar fit quelques pas en ce dandinant , s'approchant un peu plus du bord de l'eau... Trois oies filèrent, mais effectivement, la plus grasse, qui devaient avoir un appétit aussi gros que celui du chevalier, ne recula pas, au contraire... d'un léger mouvement de ces pattes, elle avança encore d'un mètre, regardant de guingois et d'un oeil méfiant cet humain qui lui tendait un délicieux trésor..

Lavatar ne bougea plus. De toute façon, il était si près du bord qu'il se serait mouillé autrement... Il jeta deux ou trois petits morceaux de pain sec devant l'anatidé et continua à l'appeler, de sa voix la plus chaude et douce...


— allez, mon canard... approoooche... Ouiiiiiii... Encore un peu....

L'oie s'avança, soudainement d'un air plus rassuré... devant son comportement, Lavatar la tête vers sa bien aimée, histoire de lui signifier la vérité de ses paroles et... arf !!!!! Tomba nez à nez avec le mâle de la bestiole !!!!

Caroncule énorme et rouge de colère, la forte tête du "jars" poussa un long sifflement suivi d'un cacardement bien éloquent puis attaqua à forts pincements de bec le pauvre breton qui tenait mal sur sa jambe blessé !

En deux ou trois secondes, lavatar essuya sa seconde défaite en ce pays délaissé par la foi...


— Cré... nom... de Zeus !!!! Arg ! Humpf ! Vas-tu...Groumpf ! .... Tudieu...! La peste soit de...!

Le pauvre mutilé glissa sur la vase et tomba les fesses les premières dans l'onde verdâtre du lac, les bras écartés, la main resserré sur le cou de son agresseur....

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En avant pour Vannes !
Alwenna.
Restant bien confortablement assise, je regarde mon cher et tendre s'approcher de la bestiole bien grasse, je me mords les lèvres pour ne pas rire devant son déhanché, une vraie danse de l'amour envers la bestiole, échange de regards doux, mise en confiance avec appât, je vois l'oie s’approcher avec confiance, je continue de poursuivre la scène de mon regard rieur

Mon ange dis moi, ce qui me parait étrange est que nous n'ayons pas vu le ....


Je n'ai point le temps de finir ma phrase que je vois débouler l'objet de mes craintes, encore plus gras que sa compagne, avec un caractère du pire cochon que l'on est pu croiser un jour sur sa route, le voila sifflant sa foudre envers mon aimé, bec en avant, regard vif, je me dis que la partie va être serrée, suivant le début du combat, je vis que la demoiselle a plume en a profiter pour filer a l'anglaise, je me lève doucement prenant ma besace, tout en suivant le combat effréné, et vlam un coup de bec par ici et hop un coup par la, je me met a rire en voyant mon blondinet ne sachant plus se dépêtrer de la situation, mais je reste la immobile, non cela n'est pas du sadisme, simplement un émerveillement de voir son amour, se débattre avec tant de véhémence.

Mon cœur fait attention tu te rapproches du bords, ne vas pas...

Et ploufffffffff pas le temps de finir ma phrase que le voila, dans l'eau verdâtre du lac, et moi prise d'un fou rire incontrôlable face a la situation, essayer de reprendre le contrôle, je m'approche de lui secouer encore par mon fou rire, je le regarde avec tendresse cette homme, oui je l'aime a cela il n'y a aucun doute permis, je le regarde tenir fermement la bestiole qui a osé s'attaquer a ses gambettes, je le regarde avec mon air taquine et malicieuse, ouvrant ma besace j'en sort un gros cuisseau de sanglier.

Mum mon amour dis moi, tu ne préférais pas du sanglier pour le repas.?

Et me voila repartie dans un fou rire, qui secoue mon ventre de spasme, ne sachant ce qu'il va faire de moi après cela.

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Bubu.la.rouquine
Parcourant les ruelles de la ville de Genève, Bubu se retrouva en face du lac.
Elle eut une idée de folle...
Se noyer!

Doucement,elle détacha son épée et la laissa par terre.
Ses habits rejoignirent son arme et doucement elle s'approcha du lac.

Qu'il sera bon de se mourir en ce lac!
Elle aurait préféré le lac de grandson, mais celui là fera bien l'affaire!

Pas certaine et surement mal dans sa peau d'helvête, Bubu avançat dans l'eau et se surprit à ne pas vouloir mourir.
Non c'est pas l'heure! Tu as encore à faire!
Et surtout du ménage dans ta vie...

Sur ce, hallucinée par cette paraole, Bubu resortit du lac et s'empara de ses habits et de son épée.
Oui, elle devait se battre et non se morfondre sur son passé...

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Ma FC, la seule!
Herisson
quand frederic ne trouva cromwell nulle part il eu envie de se jeter dans le lac ,mais des qu'il vit bubu ,il cru avoir une allucination,il retoura chez lui et buva
le lendemain des qu'il a vu bubu dans une taverne ,il cru voir un fantome,la suite lui prouva le contraire
il retrouva la joie de vivre et abendonna sa vengence


Tom_lissime
Elle avait voulu parier! Parier qu'une certaine serait la aujourd'hui. Pourtant Tom lui avait dit qu'elle restait deux jours sur Annecy, ou peut être pas?
Bref, elle avait perdu son pari.
Qu'est ce qu'on a parié déjà? Ah oui!


A POIL PRECYE! A POIIIIIIIIIIIIIIIILLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLL!

Tom s'assit au bord de l'eau attendant que la belle vienne faire son tour du lac toute nue, c'est qu'il est grand le lac en plus!
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