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[RP] Le Lac de Genève

Eleonore.


Elle attendait... de l'inattendu.. et tout naturellement ses bottes la menèrent au lac..
D'abord passage sur les feuilles tombées aux douces couleurs.. par moment des bruits.. enfin.. des murmures ou des soupirs de .. hein? non?! rhoooo ....
Elle s'approche, écoute et regarde et.. rho!

Va y avoir plein de bébés poissons mal foutus. La génétique n'est pas au point si lion et hydre se mélangent aux poissons

Mais mélange.. enfin.. la chair... et tout et tout... lève les yeux au ciel..! pas idées de se rincer l'oeil quand elle se promene sans son mâle.. pourtant pas le printemps.. plutôt un temps à se réchauffer!

Elle en avait assez vu, assez entendu... zou! direction un verre bien mérité d'un alcool fort!

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Gildas


Gil depuis son arrivée n'était pas sorti de sa chaumière, juste ces derniers un peu en taverne. Par ce soleil radieux il décida d'aller voir le lac. Tranquillement il prit le chemin et ...

Ben mon coeur, que fais-tu là, seule ! Tu m'aurais dit je t'aurai accompagné

Il venait d'apercevoir son Eleo, sa compagne adorée.

Lui prenant la main il lui dit "Viens avec moi, je vais te faire découvrir le lac, ses buissons et ses rives. Il paraît qu'elles sont heu ... bien fréquentées et qu'elles offrent un lieu de repos idéal.

Lui fait un clin d'oeil coquin et l'enlace par la taille tout en lui donnant un baiser fougueux
Eleonore.


Oh chouette j'adore découvrir ... la nature.. et l'anatomie des grenouilles.. enfin...! Jète un oeil sauvage sur Gil.. fait une fort jolie grenouille.. y regarde d'encore plus près avec les mains... et les lèvres qui se collent dans une parfaite et exquise harmonie.
Lui prend la main et le dirige vers le coté opposé d'où elle venait.. le glauque du fada lanceur de pierres, elle n'aime pas trop.. la vue du sang ne l'a jamais dérangé mais là elle se sentait trop amoureuse pour gâcher une gourmandise passionnée...

T'as raison trouvons un coin... mon baton de réglisse!.. clin d'oeil et sourire qui en disent bien long.. le couple chemine, laissant les oiseaux et les "sang-chauds" s'occuper comme ils pouvaient, le ciel dégagé à la brise un peu frisquette permettra aux deux fougueux de trouver un coin à l'abri des yeux lubriques et sadiques.. que de buissons...

Sourire!

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Gildas


Gil avait bien compris le message des yeux de sa belle. Il la suivit, elle savait trouver les endroits exquis afin qu'il puisse découvrir l'anatomie des cuisses de grenouille. Il éclata de rire à cette expression. Il sentait en lui quelque chose évoluer .. c'est vrai qu'elle lui collait à la peau son Eleo.

Qielques instant plus tard, ils s'arrêtèrent sur un tapis de mousse parsemé de jolies feuilles rousses et rouges symbole de l'automne.

On sera bien ici ... l'entraînant avec lui, ils se retrouvèrent les yeux dans yeux, allongés et enlacés.

Tu me parlais de bâton de réglisse .... il mit la main de sa compagne dans sa poche et lui fit sentir quelque chose de dur ... prends-le c'est comme une sucette, c'est bon pour la gorge et l'haleine .. je suis sûr que tu en redemenderas

Puis il mit sa tête contre la poitrine de son aimée et écouta battre son coeur
Eleonore.


Il ne manquait que le chant des cigales.. et un soleil qui chauffe chaud.. les Alpes c'est du froid jusque dans les coeurs et la gestion politique.. avec le temps elle avait simplement fini par détester l'Helvétie, au plus haut point.. et le chant des cigales lui manquait ..
Guidée par Gil elle oublie un instant ces tourments et ses manques et se laisse aller à la tiédeur d'une fusion au bord de l'eau, au bord d'une extase dans un partage sanguin.

Sucette dis-tu? ... elle y avait gouté la coquine et pas qu'une fois, après tout l'anatomie l'amusait, surtout ses changements selon ce qui est fait et joué .. là c'est une symphonie tribale, un homme et une femme et peut-être le ciel pour témoin..
Les bruits changeaient selon les mouvements et les jeux.. le rythme s'accélérait .. les yeux et les lèvres se mélaient aux pulsions.. à deux ils se torturaient , à deux ils s'accompagnaient.. gravissaient les sommets jusqu'aux suplice finale qui laisse l'âme libérée et le corps enfin déchargé de toute frustration, de tout interdit..


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Gildas


Les oiseaux chantaient et regardaient leurs corps enlacés, soulagés et remplis de bonheur, moites du plaisir qu'ils s'étaient donnés et échangés dans un accord complet, à l'unisson dans leur acte charnel.

Un papillon vire-volta autour de leur tête puis s'en alla heureux de voir cette étincelle dans leur yeux ... ah ! l'amour de deux êtres pensa-t-il c'est beau, je vais aller prévenir mes amis afin qu'ils leur fassent la fête.

Eleo bougea doucement son bras et Gil revint à la réalité, la regarda, lui donna un baiser .... je faisais un beau rêve ... une nuée de papillons nous honoraient, c'était mignon tout plein.

Gil éclata de rire, se releva sur un coude "je t'adore, tu me combles de bonheur .... comment ne pas t'aimer"
Sembreendevant...
Le regard de Phonya croise celui de Sembre. La bouche est en moue plus qu'en sourire et les beaux yeux bleus sont un peu gris et Sembre sait de quoi c'est signe.

Mais on m'a dit que tu avais trouvé du plaisir ici! J'en suis ravie .. Vraiment.

Sembre sourit aux propos de Phonya, qui cachent mal l'irritation légère de la belle genevoise.


Je ne sais qui est ce On, auquel tu te réfères à l'envi. Ni vraiment de quel plaisir tu parles à mon propos. Je n'en ai plus eu ici, depuis cet après midi de novembre, lors d'une séance d'essayage si agréablement mouvementée et, hors de Genève, c'est depuis, un nuit de février à Chambéry. Seule une aurait pu ou pourrait compter, mais je me sens indigne d'elle et puis toujours ...
demi-sourire ou rictus.. il y a toi et la pensée de toi.

Il y a un bonheur serein, d'être avec Léandre, de partager ses rires, ses émois, de sécher ses larmes en nettoyant un bobo ou lui parlant de toi, de l'aider à devenir lui-même, encourageant d'un sourire ses entreprises et grondant tendrement les écarts du messire lionceau. Il y a de l'agrément à voir du monde ici, sensation de ces liens, ténus et forts, qui unissent les Genevois. Il y a la chaleur de l'amitié, et même, avec ces Genevoises que l'on sait si jolies et si libres, celle du badinage ...hum .. courtois qui ne doit pas laisser certaines insensibles. Alors que je n'osais trop me montrer aux premiers temps où nous étions mari et femme, il y a ce sentiment d'utilité et un peu de fierté à agir avec d'autres pour Genève. Pas pour ses murs et ses pierres, ni pour l'intérêt purement matériel de ses habitants. Je puis reprendre les mots d'un autre, un capitaine dont le nom finit comme celui d'une fleur : "Genève, c'est bien plus qu'un tas de pierre, tu le sais bien. Genève c'est une idée qui se nourrit des hommes et femmes qui y croient et qui la défendent." Pensant à toi, j'en deviens plus lyrique ajoute une légère pointe d'exagération, mais c'est juste pour traduire cette idée qui nous imprègne qui est à la fois, peu et beaucoup. Je sens le réformé, le genevois ou la genevoise, presque aux premières des phrases que j'entends d'elle ou de lui. C'est vrai pour beaucoup, en tout cas. Aussi ne fronce pas les sourcils, quand je dis ça de toi. Tu es la première qui m'ait fait percevoir cela et si intensément ... et ça dure toujours, même loin de Genève.

Le grand blond genevois, pose un baiser léger sur la joue de Phonya, pas trop loin quand même de sa bouche.

Ne sois pas ainsi renfrognée, Pho. Ni Genève, ni son esprit, ni ses habitants n'ont vraiment changé, même si la gravité de la guerre est encore vive dans les mémoires. Te voir aux rives de ce Lac, où je t'ai observée souvent et accompagné quelquefois, où je suis venu, après Annecy et le reste, seul ou avec Léandre, malheureux, joyeux, nostalgique ou plein d'espoir, c'est léger ... un léger plaisir comme un passé qui ne passerait pas tout à fait..
Eleonore.


Le lac à la nuit tombante

Le calme règne, le couple rhabillé au mieux, enlacé et parfois un peu frissonnant, laisse la nuit les envahir, les étoiles brillent fortement dans le ciel dégagé. Il ne reste rien de la journée où certains ont un peu manqué de se cacher pour libérer leur corps mais qu'importe elle en avait vu d'autre et parfois même dans ses songes elle s'était permise de laisser les visions du jour rejoindre les démons de la nuit. Le rêve laisse à l'âme le droit de s'exprimer et quand parfois les yeux voient ce que le corps réclame alors.. le trouble pointe le bout de son nez et la rouquine s'émoustille.. le rêve .. laisser au jour le bonheur d'un corps affamé et s'affairer à résoudre l'énigme du plaisir..
Le bonheur tend ses bras, elle s'y engouffre sans invitation mais sait l'amant, le compagnon partageur de ces instants de tendresses et d'amour..
La nuit, complice de bien des évènements laisse le couple dans leur béatitude ..


Lodève me manque.. ! j'ai l'impression d'en être partie depuis si longtemps.. nous n'y sommes restés que si peu de temps.. elle savait que la joute réveillerait des démons et que la bataille de l'âme reprendrait jusqu'à ce qu'elle arrive à apaiser la torture..

Te sens tu prêt à en découdre?

Elle murmurait pour ne pas géner quelques voisins .. les mains parcourant le corps de Gil à la recherche d'un peu de chaleur car la nuit devenait trop fraîche..

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Gildas


Ils étaient bien dans la nuit tombante, seuls sous les grands arbres. Des yeux lumineux les regardaient avec bienveillance comme pour les protéger ... des chouettes.
Elle lui posa une question tout en mettant ses mains au chaud sous la cape que Gil avait pris soin d'étendre sur eux.

Oui je suis prêt à en découdre, j'attend ce moment avec impatience ... Oui je suis prêt aussi à te suivre à Lodève, nous y resterons le temps qu'il te plaira

Il se serra un peu plus contre elle, attira sa tête à lui et déposa un long baiser sur ses lèvres.

Dormons veux-tu afin être frais et dispo demain soir sur le noeud pour combattre

Il sentit le souffle de sa douce compagne diminuer d'intensité ... ferma les yeux .... Bonne nuit mon coeur
Eleonore.


Ca passera... oui ça passera! bien obligé.. le coeur de la Languedocéenne n'avait pas fait tout ce chemin pour perdre.. même si la petite voix murmurait "peut-être, qui sait.."
"Qui sait" .. en attendant elle avait fermé les yeux.. le rêve venait à elle, profond, rempli de fougue et d'ardeur, il glissait en elle comme l'amant prend la femme..
Elle savait que demain tout changerait surement mais là dans cette nuit profonde aux prises d'images folles... c'était un corps qu'elle touchait et goutait.. c'était la sueur qui perlait, c'était le râle de plaisir que l'on entendait.. c'était le rêve ..
Aux images se mèlent les bruits de lames qui se choquent.. à moins que.. tout simplement cela ne soit que les battements de son coeur essouflé par le feu qui brule en elle.. la fougue en plein jour est décuplée quand la nuit prend place.. "au plaisir de vous sentir" pourquoi cette phrase résonnait-elle ainsi dans son rêve..
Les yeux ouverts, le coeur battant elle regarde autour d'elle... Le lac.. elle avait oublié un instant qu'ils n'avaient pas quitté l'endroit..
Elle se blottit contre le corps chaud ..
Demain...

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Phonya
Le baiser posé, la Genevoise sourit malicieuse.

Mais Sembre ... Ce "on" c'est toi. Ni plus ni moins.
Ce que tu n'as pas fait lorsque nous étions époux, préférant l'ombre après la naissance de Léandre.
Ce que tu as fait quand je suis partie, ce que tu fais pour Genève encore, je n'y suis pour rien.
Tu aurais pu prendre les chemins, tu aurais pu te terrer, tu aurais pu ... que sais-je encore ... Chercher à pêcher les sirènes du Lac ?


Elle s'interrompt un instant.

Mais, tu as choisi la lumière du Phare.
Toi seul.
Tu la perçois maintenant peut-être mieux que moi. Et en cela, je suis heureuse.


A son tour elle pose ses lèvres sur la joue du blond retenant quelques mots qu'elle lui dira certainement en un autre lieu, plus tard, avant de s'éloigner lentement.
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Sembreendevant...
Sourires esquissés, échangés ... peut être nez qui plisse ou tignasse ébouriffée.

La lumière, elle éclaire ou aveugle suivant d'où et comment on la regarde et quand elle est sur un paysage et une personne, bien des endroits ou bien des traits du visage sont laissée dans l'ombre.

Alors, si on me voit à Genève, actif, qui parle et qui écrit quand bien même l'Université n peut ni ne veut le reconnaître, le reste de ma vie est toute d'obscurité, y compris pour moi-même.

Cette lumière qui s'attache à moi, depuis Montauban, s'entoure de brume et ne m'éclaire que par intermittence. Post Lux, Tenebrae devrais-je plutôt dire.

Même si l'obscurité peut être propice aux combats et aux embuscades dans les joutes et tournois, un soleil, comme une étoile, n'a de raison d'être que de briller pour de beaux yeux et de dissiper les brumes.


C'était encore avant le tournoi ...
Bubu.la.rouquine
Mal oui elle l'était!
Mais une lumière était venue et se cherchant pour la ième fois, Bubu parcourut les berges du lac.
Elle aimait, mais n'avait rien en retour.

Se sauver! Oublier?
Oui elle le fera, mais pas seule....
Genève je t'aime! Mais pas ce que tu es actuellement!

La vérité, elle se devait de se la prendre en pleine face.
Libertine, elle ne le saura plus!
Mais libre oui!

Les berges étaient vides et cela la calma avant de repartir vers ses devoirs!

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Ma FC, la seule!
Aicelina
Allongée sur ce qu'il restait d'herbes et de feuilles, la brunette contemplait simplement le lac. Ses pensées formant un amas grouillant d'incertitudes pleurnichardes.
Au fond, la vieille ne savait pas ce qu'elle foutait à Genève.
Elle avait pris ses affaires, dit adieux aux quelques pontisaliens croisés en sortant de la ville et suivit sa soeur. Désormais elle ne payerait plus d'impôts, n'aurait plus à craindre que la famille Sparte prenne le peux de pouvoir qui ne leur était pas encore accessible. Plus de Sparte, moins d'impôts donc plus de bière.
Voilà contre quoi elle avait troqué sa vie de pontissalouarde.
Même pas contre plus de moments avec sa soeur Mathy, elles qui se voyaient encore moins. Sara était retournée dans leur ancienne ville, courant après leur ancienne vie. Dodo devait certainement picoler chez les moines. Ses enfants et son chien restés au pays. Bordel ce qu'ils lui manquaient ! Au moins pouvait-elle se rassurer de penser qu'ils étaient au chaud, bien à l'abris au château, recevant une parfaite éducation qui ferait rougir d'envie un prince.
Même son suzerain était loin d'elle. Parti retrousser les jupes d'une énième Madame de Monmouth. Ses lèvres s'élargirent d'un petit sourire en repensant comment elle avait connu celui à qui elle devrait des devoirs vassaliques. Au temps où ils n'étaient qu'amants. Souvent elle repensait à ces quelques instants qui changeraient le reste de sa vie, la liant à celle de Léochou, lui appartenant en quelque sorte, à celui qu'elle n'avait jamais réussit à aimer, elle qui crèverait de ne plus être libre.
A y réfléchir c'est ce qu'il se passait. Elle crevait à petit feux. Pourrissant de l'intérieur comme ces feuilles mortes dont elle en pris une poignée. Les balançant au vent, la vieille se redressa, cala son visage entre ses genoux, fixant sans bouger les quelques pêcheurs.
Comment en était-elle arrivé là ? Surtout pour finir dans ce patelin où elle devait se présenter comme "Ice" et ne pas annoncer son nom complet sous peine d'être fixée par des yeux ronds comme des plats suivi de rires. Décidément cette terre n'était pas pour sa p'tite pomme. Combien de temps y resterait-elle ? Quand les symptômes réapparaîtront-ils ? Quand fuira-t-elle encore ? Sheptal le savait-il seulement ?

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Musard
Alors c'est ça, le lac Léman.

A peine débarqué en ville on lui avait conseillé d'aller voir le lac... mouais, rien d'extraordinaire, quoi...

Grand... Profond, sans doute de quoi noyer quelques Musards... et puis une forte odeur de fraichin qui incommode les narines du porcher.

Pouah! Et on dit que j'pue la souille...

A ses pieds, la poiscaille fait des bulles, toute frétillante. Pour se rassurer, il tâte le cervelas qui traine au fond de sa musette. Il est pas né, celui qui fera manger de la tanche au Musard!
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