Coyote
29/11 :Verrouillé à la demande de l'initiatrice par {Ayé}
Gatou...
Ce bon gros chat d'origine espagnole du couvent de St bertrand de Comminges... Affichait à la tare une bonne dizaine de kilo !
Et comme une telle masse de gras ça s'entretient... Voila notre feignant félin avachit, grosse panse vers le haut devant l'âtre d'une cheminée ... En mode economie d'energie- moteur a ronron au ralentit, les yeux mi- clos.
Ce gros sac à puces et à croquette, bon a tout et surtout a rien, avachi lamentablement sur ce tabouret... Est trés loin de se douter qu'à a peine plus de une heure et demi de marche de là... Une tête blonde qu'il lui avait toujours été dévoué en boustifaille et en gratouille se languissait de lui. Se languissait même a tel point qu'elle organisait en ce moment même son "Catnapping"
La petite s'en revenait de chez Abrie et Wolf, elle venait de finir ses "emprunts" nocturnes... Mertin ne lui avait pas mentit! Wolf avait bel et bien, plein de bons outils!
Elle avait emprunté:
-Un pied de biche
-Une corde en chanvre de 15 mètres
-Un bâton
-Deux silex
-Des brisures d'amadou dans une enveloppe abimée
-Une miche de pain sec
-Une pomme entamée
-Une vieille cape rapiécée
-Un sac a patate vide pour mettre le matériel dedans.
Par contre ça lui avait prit plus de temps que prevu pour s'introduire dans la grange... La serrure avait été difficile a crocheter! Cette affaire l'avait mis considérablement en retard!
Son plan était clair:
Elle savait devoir être au couvent pour 04H00- la première messe du matin.
A ce moment là les batiments seraient libres...
Les soeurs, et les pensionnaires seraient toutes dans la petite chapelle annexe au couvent pour la prière. Ce serait le moment pour elle d'aller chercher le chat. Elle savait qu'elle ne disposerait pas de plus d'un quart d'heure pour trouver le chat (qu'elle supposait devant une des 5 cheminée).Cette messe là était courte!
Cette mission là etait jouable... Mais pas toute seule, elle le savait. Le plus dur etait de rentrer dans l'enceinte, et surtout d'en ressortir!
C'est bien pour ça qu'elle comptait embarqué une autre personne dans sa manoeuvre ce soir là!
Déjà, par ce qu'il fallait deux personnes pour passer le mur sans qu'elle ne se casse une patte! Le mur mesurait un peut plus de 5 mètres... Il etait relativement facile de le monter pour peu que quelqu'un pousse un peu et pare une eventuelle chute. Mais il était dur de descendre de l'autre côté sans se ramasser lourdment quand on mesure a peine 1m55!
Ensuite, le couvent se trouvait en altitude, sur la frontière Espagnole et il lui faudrait traverser les bois pour y accéder. Traverser seule les pyrénés, entre les ours, les loups et les bandits qui rode... ça lui faisait bien trop peur!
Celui qu'elle avait choisit d'embarqué ce soir n'avait rien demandé. Peut être même qu'il n'avait rien comprit a ce qu'elle voulait faire ce soir. Mais Il avait dit "daccord" tout de même, inconscient des bêtises qelles s'apprêtait a lui faire faire.
Si elle l'avait choisit...c'est par ce qu'il etait presque aussi fort qu'un homme adulte mais qu'il n'etait pas de leur côté. Elle le savait discret, il ne repeterait rien ... Il ne semblait pas non plus se poser beaucoup de question, elle esperait qu'il la suive sans rechigner du coup...
Et puis bon...le fait qu'elle avait le béguin pour lui devait bien compter un petit peu aussi.
Son fardeau " emprunté " sur le dos... Elle pressa le pas pour retourner a sa cabane... Elle avait oublié de prendre une torche! Elle savait Mertin vivant dans une hutte dans les bois, presque au milieu de nulle part. Dejà difficile de le retrouver en plein jour, mais sans torche en pleine nuit elle se sentat sûre de ne jamais y arriver!
Aeeivée chez elle, elle ne traina pas, elle alluma sa torche avec les quelques flammes qui se mourraient dans l'âtre de sa cheminé. Puis les acheva sous un seau d'eau. Avant de reprendre sa route precipitemment d'un pas préssé en quête de la maison isolée.
Des craquement par ci, le sifflement du vent dans les branches par là... Des buissons qui bougent..Décidement, les bruits de la forêt lui flanquent méchamment les pétoches!!!
Serrant fort sa torche dans sa main. Servant a la fois d'eclairage et d'arme. Elle avance vite. Les brindille et feuilles mouillées gelées par la froidure l'hiver qui collent a ses pieds a chaques pas. Froid saisissant et sec.
Elle ne porte qu'une petite tunique simple, rien dessous, rien au pied, elle n'en a pas les moyens. Seul la cape "emprunté" trop petite et trop légére tente de recouvrir et protéger les frêle épaules...
Aprés bien vingt minute de marche, elle trouva la hutte... Ou plutôt c'est la hutte qui décida de s'imposer a elle. La hutte qui se dresse devant elle semble abriter un feu. Elle luit d'une belle lueur orangée entre les arbres sombre, biscornus aux ombres absolument effrayantes! Elle hâte le pas ... Préssé de se mettre momentanément au chaud. La hutte faite en assemblement intelligent de brindilles et branchages semble n'avoir qu'un seul orifice, fermé par une cuverture d'ailleur.
Elle n'hesite pas, il fait trop froid pour ça! Elle glisse sa tête doucement a l'interieur. Elle sait que le faucon est là aussi. Il l'impressionne. Elle se mefie, ne voudrait pas qu'il l'attaque. Alors rentre sans un bruit. Un leger crepitement , celui du feu qui lèche sa réserve de bois pour la nuit, couvre le bruit de ses pas a la rencontre des jonc seché mollettonnant le sol... Sa peau brûle a la difference de temperature, ça la picote même, mais vite le feu la rechauffe et la reconforte.
Elle s'avance dans la pièce, a quattre patte, pas sur de pouvoir s'y tenir debout. son regard croise le perchoir de l'animal qui au final l'a remarqué depuis le debut et qui la devisage depuis son entrée dans la hutte a l'affut du moindre geste brusque. Il la surveille donc ... mais semble guère inquiété par le mètre et demi de la demoiselle.
Elle contourne le feu, trouve enfin celui qu'elle été venu chercher. Mertin dort ou semble dormir.
Elle s'assoit a coté de lui,contemple les courbes de son visage amacié, les lueurs du feu ondullant sur la marque de sa joue, en faisant ressortir les contours mieux que jamais. Elle fronce les sourcils en imaginant un instant la douleur qu'il a pu ressentir a une telle brûlure. Puis elle balai son regard azur sur lui. C'est là qu'elle appercoit les zebrures sur l'epaules qui depasse de la couverture... Les marques apparaisent plus clair sur la peau...Les marque semblent recentes et s'ajouter sur des zebrures plus anciennes.
Aristote seul sait ce qui la poussa a faire ça... Mais la téméraire individue avança son index vers lui et toucha la zébrure imprimé sur sa peau...
_________________
Gatou...
Ce bon gros chat d'origine espagnole du couvent de St bertrand de Comminges... Affichait à la tare une bonne dizaine de kilo !
Et comme une telle masse de gras ça s'entretient... Voila notre feignant félin avachit, grosse panse vers le haut devant l'âtre d'une cheminée ... En mode economie d'energie- moteur a ronron au ralentit, les yeux mi- clos.
Ce gros sac à puces et à croquette, bon a tout et surtout a rien, avachi lamentablement sur ce tabouret... Est trés loin de se douter qu'à a peine plus de une heure et demi de marche de là... Une tête blonde qu'il lui avait toujours été dévoué en boustifaille et en gratouille se languissait de lui. Se languissait même a tel point qu'elle organisait en ce moment même son "Catnapping"
La petite s'en revenait de chez Abrie et Wolf, elle venait de finir ses "emprunts" nocturnes... Mertin ne lui avait pas mentit! Wolf avait bel et bien, plein de bons outils!
Elle avait emprunté:
-Un pied de biche
-Une corde en chanvre de 15 mètres
-Un bâton
-Deux silex
-Des brisures d'amadou dans une enveloppe abimée
-Une miche de pain sec
-Une pomme entamée
-Une vieille cape rapiécée
-Un sac a patate vide pour mettre le matériel dedans.
Par contre ça lui avait prit plus de temps que prevu pour s'introduire dans la grange... La serrure avait été difficile a crocheter! Cette affaire l'avait mis considérablement en retard!
Son plan était clair:
Elle savait devoir être au couvent pour 04H00- la première messe du matin.
A ce moment là les batiments seraient libres...
Les soeurs, et les pensionnaires seraient toutes dans la petite chapelle annexe au couvent pour la prière. Ce serait le moment pour elle d'aller chercher le chat. Elle savait qu'elle ne disposerait pas de plus d'un quart d'heure pour trouver le chat (qu'elle supposait devant une des 5 cheminée).Cette messe là était courte!
Cette mission là etait jouable... Mais pas toute seule, elle le savait. Le plus dur etait de rentrer dans l'enceinte, et surtout d'en ressortir!
C'est bien pour ça qu'elle comptait embarqué une autre personne dans sa manoeuvre ce soir là!
Déjà, par ce qu'il fallait deux personnes pour passer le mur sans qu'elle ne se casse une patte! Le mur mesurait un peut plus de 5 mètres... Il etait relativement facile de le monter pour peu que quelqu'un pousse un peu et pare une eventuelle chute. Mais il était dur de descendre de l'autre côté sans se ramasser lourdment quand on mesure a peine 1m55!
Ensuite, le couvent se trouvait en altitude, sur la frontière Espagnole et il lui faudrait traverser les bois pour y accéder. Traverser seule les pyrénés, entre les ours, les loups et les bandits qui rode... ça lui faisait bien trop peur!
Celui qu'elle avait choisit d'embarqué ce soir n'avait rien demandé. Peut être même qu'il n'avait rien comprit a ce qu'elle voulait faire ce soir. Mais Il avait dit "daccord" tout de même, inconscient des bêtises qelles s'apprêtait a lui faire faire.
Si elle l'avait choisit...c'est par ce qu'il etait presque aussi fort qu'un homme adulte mais qu'il n'etait pas de leur côté. Elle le savait discret, il ne repeterait rien ... Il ne semblait pas non plus se poser beaucoup de question, elle esperait qu'il la suive sans rechigner du coup...
Et puis bon...le fait qu'elle avait le béguin pour lui devait bien compter un petit peu aussi.
Son fardeau " emprunté " sur le dos... Elle pressa le pas pour retourner a sa cabane... Elle avait oublié de prendre une torche! Elle savait Mertin vivant dans une hutte dans les bois, presque au milieu de nulle part. Dejà difficile de le retrouver en plein jour, mais sans torche en pleine nuit elle se sentat sûre de ne jamais y arriver!
Aeeivée chez elle, elle ne traina pas, elle alluma sa torche avec les quelques flammes qui se mourraient dans l'âtre de sa cheminé. Puis les acheva sous un seau d'eau. Avant de reprendre sa route precipitemment d'un pas préssé en quête de la maison isolée.
Des craquement par ci, le sifflement du vent dans les branches par là... Des buissons qui bougent..Décidement, les bruits de la forêt lui flanquent méchamment les pétoches!!!
Serrant fort sa torche dans sa main. Servant a la fois d'eclairage et d'arme. Elle avance vite. Les brindille et feuilles mouillées gelées par la froidure l'hiver qui collent a ses pieds a chaques pas. Froid saisissant et sec.
Elle ne porte qu'une petite tunique simple, rien dessous, rien au pied, elle n'en a pas les moyens. Seul la cape "emprunté" trop petite et trop légére tente de recouvrir et protéger les frêle épaules...
Aprés bien vingt minute de marche, elle trouva la hutte... Ou plutôt c'est la hutte qui décida de s'imposer a elle. La hutte qui se dresse devant elle semble abriter un feu. Elle luit d'une belle lueur orangée entre les arbres sombre, biscornus aux ombres absolument effrayantes! Elle hâte le pas ... Préssé de se mettre momentanément au chaud. La hutte faite en assemblement intelligent de brindilles et branchages semble n'avoir qu'un seul orifice, fermé par une cuverture d'ailleur.
Elle n'hesite pas, il fait trop froid pour ça! Elle glisse sa tête doucement a l'interieur. Elle sait que le faucon est là aussi. Il l'impressionne. Elle se mefie, ne voudrait pas qu'il l'attaque. Alors rentre sans un bruit. Un leger crepitement , celui du feu qui lèche sa réserve de bois pour la nuit, couvre le bruit de ses pas a la rencontre des jonc seché mollettonnant le sol... Sa peau brûle a la difference de temperature, ça la picote même, mais vite le feu la rechauffe et la reconforte.
Elle s'avance dans la pièce, a quattre patte, pas sur de pouvoir s'y tenir debout. son regard croise le perchoir de l'animal qui au final l'a remarqué depuis le debut et qui la devisage depuis son entrée dans la hutte a l'affut du moindre geste brusque. Il la surveille donc ... mais semble guère inquiété par le mètre et demi de la demoiselle.
Elle contourne le feu, trouve enfin celui qu'elle été venu chercher. Mertin dort ou semble dormir.
Elle s'assoit a coté de lui,contemple les courbes de son visage amacié, les lueurs du feu ondullant sur la marque de sa joue, en faisant ressortir les contours mieux que jamais. Elle fronce les sourcils en imaginant un instant la douleur qu'il a pu ressentir a une telle brûlure. Puis elle balai son regard azur sur lui. C'est là qu'elle appercoit les zebrures sur l'epaules qui depasse de la couverture... Les marques apparaisent plus clair sur la peau...Les marque semblent recentes et s'ajouter sur des zebrures plus anciennes.
Aristote seul sait ce qui la poussa a faire ça... Mais la téméraire individue avança son index vers lui et toucha la zébrure imprimé sur sa peau...
_________________