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[RP]Sauvez Gatou!

Coyote
29/11 :Verrouillé à la demande de l'initiatrice par {Ayé}

Gatou...
Ce bon gros chat d'origine espagnole du couvent de St bertrand de Comminges... Affichait à la tare une bonne dizaine de kilo !
Et comme une telle masse de gras ça s'entretient... Voila notre feignant félin avachit, grosse panse vers le haut devant l'âtre d'une cheminée ... En mode economie d'energie- moteur a ronron au ralentit, les yeux mi- clos.
Ce gros sac à puces et à croquette, bon a tout et surtout a rien, avachi lamentablement sur ce tabouret... Est trés loin de se douter qu'à a peine plus de une heure et demi de marche de là... Une tête blonde qu'il lui avait toujours été dévoué en boustifaille et en gratouille se languissait de lui. Se languissait même a tel point qu'elle organisait en ce moment même son "Catnapping"


La petite s'en revenait de chez Abrie et Wolf, elle venait de finir ses "emprunts" nocturnes... Mertin ne lui avait pas mentit! Wolf avait bel et bien, plein de bons outils!
Elle avait emprunté:

-Un pied de biche
-Une corde en chanvre de 15 mètres
-Un bâton
-Deux silex
-Des brisures d'amadou dans une enveloppe abimée
-Une miche de pain sec
-Une pomme entamée
-Une vieille cape rapiécée
-Un sac a patate vide pour mettre le matériel dedans.

Par contre ça lui avait prit plus de temps que prevu pour s'introduire dans la grange... La serrure avait été difficile a crocheter! Cette affaire l'avait mis considérablement en retard!

Son plan était clair:
Elle savait devoir être au couvent pour 04H00- la première messe du matin.
A ce moment là les batiments seraient libres...
Les soeurs, et les pensionnaires seraient toutes dans la petite chapelle annexe au couvent pour la prière. Ce serait le moment pour elle d'aller chercher le chat. Elle savait qu'elle ne disposerait pas de plus d'un quart d'heure pour trouver le chat (qu'elle supposait devant une des 5 cheminée).Cette messe là était courte!

Cette mission là etait jouable... Mais pas toute seule, elle le savait. Le plus dur etait de rentrer dans l'enceinte, et surtout d'en ressortir!
C'est bien pour ça qu'elle comptait embarqué une autre personne dans sa manoeuvre ce soir là!
Déjà, par ce qu'il fallait deux personnes pour passer le mur sans qu'elle ne se casse une patte! Le mur mesurait un peut plus de 5 mètres... Il etait relativement facile de le monter pour peu que quelqu'un pousse un peu et pare une eventuelle chute. Mais il était dur de descendre de l'autre côté sans se ramasser lourdment quand on mesure a peine 1m55!
Ensuite, le couvent se trouvait en altitude, sur la frontière Espagnole et il lui faudrait traverser les bois pour y accéder. Traverser seule les pyrénés, entre les ours, les loups et les bandits qui rode... ça lui faisait bien trop peur!

Celui qu'elle avait choisit d'embarqué ce soir n'avait rien demandé. Peut être même qu'il n'avait rien comprit a ce qu'elle voulait faire ce soir. Mais Il avait dit "daccord" tout de même, inconscient des bêtises qelles s'apprêtait a lui faire faire.
Si elle l'avait choisit...c'est par ce qu'il etait presque aussi fort qu'un homme adulte mais qu'il n'etait pas de leur côté. Elle le savait discret, il ne repeterait rien ... Il ne semblait pas non plus se poser beaucoup de question, elle esperait qu'il la suive sans rechigner du coup...
Et puis bon...le fait qu'elle avait le béguin pour lui devait bien compter un petit peu aussi.


Son fardeau " emprunté " sur le dos... Elle pressa le pas pour retourner a sa cabane... Elle avait oublié de prendre une torche! Elle savait Mertin vivant dans une hutte dans les bois, presque au milieu de nulle part. Dejà difficile de le retrouver en plein jour, mais sans torche en pleine nuit elle se sentat sûre de ne jamais y arriver!
Aeeivée chez elle, elle ne traina pas, elle alluma sa torche avec les quelques flammes qui se mourraient dans l'âtre de sa cheminé. Puis les acheva sous un seau d'eau. Avant de reprendre sa route precipitemment d'un pas préssé en quête de la maison isolée.

Des craquement par ci, le sifflement du vent dans les branches par là... Des buissons qui bougent..Décidement, les bruits de la forêt lui flanquent méchamment les pétoches!!!
Serrant fort sa torche dans sa main. Servant a la fois d'eclairage et d'arme. Elle avance vite. Les brindille et feuilles mouillées gelées par la froidure l'hiver qui collent a ses pieds a chaques pas. Froid saisissant et sec.
Elle ne porte qu'une petite tunique simple, rien dessous, rien au pied, elle n'en a pas les moyens. Seul la cape "emprunté" trop petite et trop légére tente de recouvrir et protéger les frêle épaules...

Aprés bien vingt minute de marche, elle trouva la hutte... Ou plutôt c'est la hutte qui décida de s'imposer a elle. La hutte qui se dresse devant elle semble abriter un feu. Elle luit d'une belle lueur orangée entre les arbres sombre, biscornus aux ombres absolument effrayantes! Elle hâte le pas ... Préssé de se mettre momentanément au chaud. La hutte faite en assemblement intelligent de brindilles et branchages semble n'avoir qu'un seul orifice, fermé par une cuverture d'ailleur.
Elle n'hesite pas, il fait trop froid pour ça! Elle glisse sa tête doucement a l'interieur. Elle sait que le faucon est là aussi. Il l'impressionne. Elle se mefie, ne voudrait pas qu'il l'attaque. Alors rentre sans un bruit. Un leger crepitement , celui du feu qui lèche sa réserve de bois pour la nuit, couvre le bruit de ses pas a la rencontre des jonc seché mollettonnant le sol... Sa peau brûle a la difference de temperature, ça la picote même, mais vite le feu la rechauffe et la reconforte.

Elle s'avance dans la pièce, a quattre patte, pas sur de pouvoir s'y tenir debout. son regard croise le perchoir de l'animal qui au final l'a remarqué depuis le debut et qui la devisage depuis son entrée dans la hutte a l'affut du moindre geste brusque. Il la surveille donc ... mais semble guère inquiété par le mètre et demi de la demoiselle.
Elle contourne le feu, trouve enfin celui qu'elle été venu chercher. Mertin dort ou semble dormir.
Elle s'assoit a coté de lui,contemple les courbes de son visage amacié, les lueurs du feu ondullant sur la marque de sa joue, en faisant ressortir les contours mieux que jamais. Elle fronce les sourcils en imaginant un instant la douleur qu'il a pu ressentir a une telle brûlure. Puis elle balai son regard azur sur lui. C'est là qu'elle appercoit les zebrures sur l'epaules qui depasse de la couverture... Les marques apparaisent plus clair sur la peau...Les marque semblent recentes et s'ajouter sur des zebrures plus anciennes.

Aristote seul sait ce qui la poussa a faire ça... Mais la téméraire individue avança son index vers lui et toucha la zébrure imprimé sur sa peau...
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Mertin
Un ciel bleu l'entourait. Une brise fraiche et douce le caressait. Mertin était aux anges. Juste devant lui volait Espoir. Il le guidait à travers ce royaume des airs. Au dessous d'eux la terre semblait si loin. D'ici tout semblait petit. La liberté, voilà qu'il ressentait.

Soudain le rêve, car s'en était un. Commença à s'éloigner. il chercha à le retenir par tout les moyens. D'abord, il lui demanda de rester. Mais le rêve n'écouta pas. Alors, il s'imagina avec un lasso à la main, cherchant a attraper ce rêve, à le saisir, pour le garder près de lui. Mais le rêve s'éloignait sans cesse.

Petit à petit, il reprenait conscience de la réalité. Il entendit les craquements du feux, annonçant qu'il faisait encore nuit. Il ressentit sa chaleur réconfortante. Il se laissa à aimer ce parfum si particulier du bois en train de brûler. Puis, il sentit une présence inhabituel autour de lui.

Son cœur se mit à battre un peu plus vite. Qu'est-ce que cela pouvait être? Il n'osa ni bouger, ni ouvrir les yeux. Il reprit sa respiration lente , celle du sommeil , pour simuler. Peut être que cela passerai et qu'il pourrait retourner dans ce si beau rêve.

Mais elle ne partit pas, bien au contraire. Il sentit qu'on lui touchait la peau. Sans réfléchir, il se releva brusquement et recula au bout de sa paillasse. La couverture qui le recouvrait glissa sur la côté le laissant tel à son premier jour.

Mais sa réaction avait été trop rapide. Il perdit l'équilibre et sentit sa tête tourné. Il manqua de tomber de peu, son bras droit venant le soutenir à temps. Agenouillé, il essaya de reprendre ses esprit. Ses yeux bougeaient dans tous les sens, essayant d'identifier l'étranger. Son esprit quand à lui, fonctionnait à toute vitesse cherchant les options qu'il avait.

Puis, il la vue, elle. Son cœur se calma. Ses épaules se détendirent. Ce n'était pas un danger. Cependant une autre question vint à son esprit, que devait-il faire?

C'était la première fois que quelqu'un venait à son abris. Il n'avait donc nulle idée de ce qu'il convenait de faire. Il resta donc un moment dans cette position, tandis que les flammes venaient réchauffer et éclairer son corps nu. Un geste de pudeur? Mertin ne connaissait pas cette notion.

Enfin, il se décida de réagir. Ses lèvres s'écartèrent et quelques mots vinrent à sortir.


Je... 'jour
Je... ça va?


Il resta là, regardant Coyote et ne sachant que faire. Peut être espérait-il qu'elle le lui ferait comprendre.

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Description RP
Coyote
Tandis que son doigt effleura la cicatrice de l'endormi .

D'etranges sensations s'emparèrent d'elle...
D'abors, la peur du monstre qui avait infligé tel blessures et la colère qu'elle avait à son encontre... La haine même! Comment pouvait on être si cruel? Elle s'interrogea briévement sur ses geniteurs... Auraient ils etaient capable de choses pareils? Pour le peu qu'elle en savait... Elle craignait que oui.

Une autre forme de trouille l'habitait. Les hommes restait pour elle une forme d'espèce rare, une curiosité, presque une anomalie.. Elle voyait leur taille, leur force, entendait leur voix rauque... L' apparente solidité qu'ils degagaient. Ils etaient taillés pour le combat. Ils etaient si semblables et pourtant si differents d'elle... Effrayants et attirants.
Ce qui l'effrayé l'attiré toujours. Elle aimait avoir la frousse, c'est dans les extrêmes qu'elle se sentait vivre...
En 12 ans passé au couvent on s'etait arrangé pour qu'elle ne croise aucun individu masculin. Alors ne serait ce que effleurer la peau d'un homme du bout des doigts de façon si chaste soit elle... Avait de quoi nourir sa curiosité. Surtout cet homme là... Plus singulier que nul autre..

Les considerations de la petite blonde ne durèrent qu'une fraction de seconde. Puisqu'a peine l'eu telle touché que Mertin se leva brusquement! Coyote accroupi aux côtés du dormeur, déja ebranlée nerveusement , par son cambriolage et sa traversée nocturne a travers les bois ...Bondissa en arrière en geste d'auto-défense !

Son dos se cogna contre le mur de la hutte et fit pleuvoir sur elle une nuée de brindilles, de terres et de feuilles mortes...

Elle toussa... s'esuya les yeux et les ouvrit . O_O Pour aussitot les refermer et se jetter les mains sur les yeux!
Au couvent , la pudeur etait la premiere chose qu'on lui avait ensignée... Et une des rares leçons qu'elle avait retenu surtout.
Il etait nu... Elle n'etait pas sur d'avoir bien vu. Alors elle ecarta une de ses mains et regarda entre ses doigts. Sisi... euh ... il etait vraiment nu.Elle s'empourpra violemment elle avait l'impression ... pour la premiere fois de sa vie d'etre une intrue!

Elle venait de remarquer deux details. Dont chacun d'eux a eu seul la laissé consterné!
Tout d'abord le corps de son ami etait cribblé de cicatrice... Rares etaient les parcelles de son corps qui ne portaient aucune trace. Et ensuite, il avait visiblement un appendice different ... des femmes.
Elle aurait d'abord pensé a une malformation si quelque jour avant on ne lui avait pas expliqué que les hommes n'etait pas exactement fait pareil que les femmes..Bien sur on n'avait pas pu lui expliquer en quoi exactement c'etait different.
Mais...Là ça va.Elle venait de pigé, a la lueur d'une flamme... C'etait trés parlant!

Elle resta là... Bien deux minutes en silence. Elle aurait bien une bonne dizaine de question assomantes et passablement indiscrétes a lui poser. Mais les sons d'un clocher au loin portés par le vent la tirèrent de ses reflexions! Elle venait de se rappeller soudainement du but premier qui l'avait mené jusqu' ici et paniqua... L'heure avançait. Et pourtant son etat de choc l'avait comme suspendu dans le temps..Enfin il brisa le silence .

Citation:
Je... 'jour
Je... ça va?


Un chaud -froid passa sur son coeur... Fallait qu'elle lui reponde un truc... N'importe quoi... Mais absolument qu'elle arrête de paraître godiche comme ça. Elle entrouvrit les lèvres et parvint a repondre enfin:

Euh... je bah...euh...bin...fin...Bref. Tiens.
Si elle voulait avoir l'air interessante, bah sur ce coup elle sentit que c'etait foiré. Mais fallait avancer maintenant, l'heure passe. Toute fébrile. Elle Attrappa les vêtements qui gisaient non loin du feu et les lui apporta... Tout en detournant le regard en direction d'Espoir qui emit d'ailleur un petit couinement joyeux.
La joie de faire une ballade? Ou se foutait il de sa gueule?

Contrarié par ses performances vocales ce soir... Elle prit un ton un peu autoritaire pour se donner contenance . Et jetta un:

"Mertin tu viens?" Tout en sortant de la hutte d'un pas determiné ayant attrappé son sac de jutte au passage.

Il allait falloir traverser les bois, et c'etait encore une bonne petite trotte avant le couvent. Fallait pas trainer pour arriver a l'heure.
Elle resta planté devant la porte d'entrée de la hutte en tapant du pied. Elle estima qu'une minute devait etre suffisant pour mettre des braies puis elle s'engouffra a nouveau dans la hutte...

Haaa!
Elle poussa un petit cri de surprise, non seulement le messire semblait prendre son temps mais en plus de ça il semblait avoir son ordre bien etabli pour s'habiller. La chemise d'abord.Les braies ensuite. Deuxieme fois qu'il lui faisait un show donc!

Elle fit volte face, lui tourna le dos, face a la sortie et lui baragouina un truc géné:

Tum'dit quan't'a'fini 'stoplait? Puis'tu'peu'fairevite aussi'stoplait...
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--_le_garde_du_couvent_
Jour de l'an de Grâce 1458, le 23/11/1458.
Très tard dans la nuit, comme très tôt le matin.

Le couvent de SBC était plongé dans le noir, perché sur une colline à quelques heures de marche de la ville. Un grand portail en fer tenu par un immense mur de pierre servait d'entrée, où plutôt de barrage à qui voulait entrer. On devinait un grand parc, des arbres taillés aux feuilles près, des allées de cailloux autour d'étendues d'herbe. Quand on regarde du dessus: le couvent dessinait un U, avec plusieurs branches de bâtisses autour. Revenons sur le sol: ses murs étaient d'un gris beige, vieux, moche en faite, usés paraissant tristement tristes. Des galeries étaient formées par de grandes arches tout du long; qui maintenait l'étage au dessus, où se trouvait également une galerie, mais avec des arches beaucoup plus petites. Si on levait encore un peut les z'oeils, on pouvait voir qu'une partie de la toiture avait brulé

Puis bah..tout autour: de la forêt... de la forêt de la forêt. En CLAIRE: des arbres... des arbres des arbres. J'espère que vous suivez.

Non loin de l'entrée principale, était attaché le chien de garde du domaine. C'était un chien dégingandé, à moitié voir complètement aveugle, très baveux, d'ailleurs là..il dort dans sa bave...

Rrrrffngrrr.... RrrrFgRRrr...

Charmant n'est-ce pas ? Rajouter quelques araignées et autres insectes qui s'y trouve piègés, ça fait de la bonne bouillie!!!
Ce toutou doit être en plein rêve: qu'il vole tel un Pegase au beau milieu d'une prairie entourée de blé, un ciel camaïeu rose et des os multicolores volant autour de lui...Bref..


D'apparence on pourrait croire qu'il est FEROCE!!! Il était noir, la nuit il avait l'apparence d'une ombre, seuls ses yeux ressortaient...et LA! Ça peut faire peur... On peut dire que c'est un chien de garde malgré lui: genre une apparence d'ours avec un intérieur de gentil toutou à sa mémère.
Il ne fait qu'aboyer quand il sent une présence...simplement parce que lui a peur, mais pas pour faire peur. D'ailleurs ce chien n'a pas encore bien passé sa période d'adolescence: ses aboiements passent du GRAVE d'un doberman dominant à l'aigüe d'un chiwawa hargneux...Voyez vous don le moloss ??! O_o Impréchionant.
Il peut aboyer longtemps!!! Pourvut que les sœurs le remarque..En bref, un gros dormeur, ronfleur, et brayeur au moindre gland qui tombent à terre.

A cette heure, les sœurs et leur mère supérieure devaient dormir comme des bébés. Très tôt elles devaient se lever pour la messe, prier le bon dieu, agenouillées et les mains jointent, pour qu'il leur amenent des HOMMES...Oups.. pardon...prier le bon dieu,(...), pour qu'elles vivent en paix et qu'il protège leur âme. Amen

En attendant que les cloches sonnent, le calme et la froideur de la nuit figeait un peut plus la nature, comme pour prévenir que l'hiver n'est pas loin.
Mertin
[dans la cabane, quelque part dans la forêt]

Autant le dire de suite, Mertin ne comprit pas, mais pas du tout, la réaction de Coyote. Ô, ce n'est point le fait qu'elle se soit mise en position de défense. Lui-même, n'avait-il point réagis par instinct ?

Non, c'était plutôt le fait que son visage est changé de couleur. Et, plus que tout, qu'elle ait posé ses mains sur son visage. Était-elle souffrante ? Elle s'était peut-être blessé quand elle s'était cogné contre le mur de la cabane. Mais, nul autre signe de douleur n'était présent. Alors... était-elle triste ? Elle n'émettait nul bruit de sanglot.

C'est quand elle lui répondit d'une manière bizarre et qu'elle lui tendit ses habits qu'il eut un indice. Quelque chose sur lui la dérangeait. Mais quoi ? Voilà la question. Il ne réfléchit pas longtemps. C'était d'une telle évidence. Elle ne voulait pas voir ces cicatrices... qu'est-ce que ça pouvait être d'autre ?

Il resta un instant interdit. Un sentiment de tristesse venait de poindre en lui, qu'il ne comprenait pas. Ce ne fut que quand il entendit son "Mertin tu viens ?", qu'il se ressaisit. Il enfila rapidement sa chemise pour cacher ce qui la gênait tant, qu'elle ne pouvait pas le regarder. Puis une autre question vint...en fait, pourquoi était-elle venu ? D'autant plus qu'ils devaient repartir de suite. Il s'arrêta dans sa préparation, afin de trouver la réponse. Elle ne tarda cependant pas à venir...ah oui... le chat... dans le couvent, s'il se rappelait bien.

Il était en train de commencer à enfiler ses braies quand elle réapparut. Son cri de surprise, lui fit un second choc. Surement avait-elle peur d'apercevoir d'autres marques. Il aurait pu la rassurer sur ce point. Mais, ce contenta d'une réponse courte.


Je...d'accord.

Il pressa l'allure. Il finit de mettre ses braies, sauta dans ses bottes, se couvrit de sa cape et prit son bâton. Puis il se tourna vers Espoir et lui murmura avec douceur.

Cette fois si, c'est moi qui m'envole et toi qui reste. Je reviendrai, t'en fait pas, tout comme toi.

Il s'apprêta alors à rejoindre Coyote. Ses yeux se posèrent sur elle. C'est alors qu'il remarqua, à quel point sa tenue était légère pour la saison. Il s'approcha de sa paillasse, s'empara de la couverture qui le recouvrait quelques instants plus tôt et se dirigea vers l'entrée.

Quand il arriva au côté de Coyote il la lui tendit tout en disant :


Je... tu va avoir froid.

Il n'osa pas la regarder, de peur qu'elle détourne encore les yeux et sortit en premier.

A peine sortit de la hutte, il s'accroupit, ferma les yeux un instant et les rouvrit afin de les habituer à l'obscurité. Pendant qu'il effectuait ce petit rite, il réfléchissait à toute vitesse. Quel chemin prendre ? Il ne voulait pas décevoir Coyote une nouvelle fois. Déjà qu'elle ne pouvait pas le regarder, qu'en serait-il si, en plus, il la fâchait.

Bizarrement, Mertin ce perdait moins en plein milieu de nulle part, qu'en pleine ville. Je sais, c'est... étrange. Mais que voulez-vous, Mertin est étrange. La forêt était devenue en quelque sorte son domaine. Dès qu'il entendit Coyote derrière lui, il se releva et pris direction d'un pas assuré vers le couvent, par des sentiers peu empruntés.

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Description RP
Coyote
Elle l'attendait dehors sur le pas de la porte, grelottant comme une feuille morte dans le vent de la nuit... Ell avait tellement froid qu'elle ne sentait plus ses doigts, ni ses orteils.

Citation:
Je... tu va avoir froid.
Lui dit il.

Elle frissonna nerveusement cette fois. Elle ne l'avais pas entendu arriver avec ce vent qui se déchainé dans les broussailles.
Elle regarda la couverture qu'ils vennaient de lui tendre deux bonnes seconde. En le repensant nu dedans pas plus tard que deux minutes auparavant! Elle se sentit a nouveau géné, géné d'autant plus qu'elle y repensait et qu'elle s'en voulait d'y repenser ! Mais soudain une bourrasque glaciale s'engouffra dans sa chevelure et pénetra jusqu'à ses os.
Bon bon! C'etait pas l'moment de faire sa mijorée! Elle attrappa la couverture si gentillement tendu et se l'envoya sur les epaules.

Mer...ci

Elle venait de lever son regard sur lui pour le remercier, tandis que lui detourna les siens en quittant la hutte. Elle pensa qu'au final il se sentait aussi géné qu'elle et elle se mordit la lèvre, se repprochant a elle même d'être entré de la sorte dans son intimité et de l'avoir mis dans l'embarras. Elle lui courrut aprés.

Hey!! Ou etait il? Elle le chercha du regard. Oui bah... Pas d'miracle! Elle, pas habituée, dans le noir elle y voyait rien! Elle couina un chêtif:

Heuuu Mertin?

Un bruissement à côté d'elle, le jeune homme sortit de nul part... Mais qu'est ce qu'il faisait? Puis il passa devant elle, sans un mot toujours, un faible rayon de lune l'eclairait, lui si grand par rapport a elle...

Elle le suivait, pensant qu'il la menait au sentier qu'elle connaissait. Elle pressa le pas d'abord, trop fière pour se laisser distancer... Il faisait de grande enjambée par rapport a elle, c'était dur de le suivre. Puis soudain! Il changea de direction.

Euh... Mertin... C'est pas là.

L'avait il entendu? En tout cas il continuait d'avancer de son pas deteminé l'entrainant encore plus loin de la ville et du chemin que elle connaissait. Elle le suivit quelques minutes sans se poser plus de question.
Mais une vague d'inquiètude la submergea a nouveau... La lune creusait l'ombre des joues decharnées et martelées de son compagnon. Les vêtements qu'il portait etoffés ses epaules et lui donné un aspect plus imposant que d'ordinnaire...

La panique s'empara carrément d'elle! En rassemblant des morceaux, parler si gentillement ça aussi c'etait pas normal! Puis faut avouer que tout en lui etait louche ou presque. Maintenant c'etait bel et bien de Mertin qu'elle avait peur!
Il la menait nulle part là!
SIII! Loin de la ville! Là ou on l'entendrai pas hurler! Elle l'avait vu dépecer un lapin! Et si il lui faisait pareille??? Et puis et puis... il avait dit a son faucon qu'il revenait! Comme si il ne faisait qu'un court aller-retour!

Déboussolé, son petit cerveau se mit a fonctionner a toute vapeur et a tout de travers! La fuite! C'etait encore ce qu'il y'avait de mieux a faire quand on etait dans la categorie poid plume! L'ennui c'est qu'elle ne savait plus ou elle etait ni même ou etait la hutte ou le village! Puis les bois etait toujours aussi remplit de bruissements de feuillage, et de craquement sinistre. Elle voyait combien il marchait vite! Quant serrait il si il lui courrait aprés! Elle se voyait cerné, perdu, desarmé, aucune chance!
Le sort devait s'acharner sur elle. Un loup hurla au loin!
Cette fois, ses nerf ni tennant plus, elle eclata en larme! Des deux tueurs , y'en a au moins un sur les deux qu'elle se sentait capable de raisonné! Elle fit demi tour.

Et se jetta au bras de martin. s'agrippant au tissu de sa manche, blottissant son museau contre son épaule de toute ses force! Suppliant:

Nooonnn! Ne m'tue pas!!!!

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Mertin
Mertin, avait beau avoir appris à vivre dans les bois, cela ne changeait pas le fait que lorsque la nuit tombait, et que tout devenait sombre, les repères changeaient. Aussi, pour guider la damoiselle à bonne destination, il devait se concentrer au maximum.

La seule chose qui préoccupait Mertin, était de ne pas être trop lent. Coyote lui l'avait bien fait comprendre. Elle était pressée. Pourquoi ? Il n'avait pas trop compris. Il savait qu'il n'était pas des plus intelligents. Alors, il l'avait accepté. Poser des questions auraient surement agacé la jeune fille, et c'était bien la dernière chose qu'il souhaitait.

Aussi, pendant tout le trajet, il se répétait telle une litanie les repères. Puis, ses yeux balayant le paysage, il cherchait à les reconnaitre le plus rapidement possible.

Oh, les quelques mots prononcés par Coyote arrivaient bien jusqu'à ses oreilles. Mais Mertin n'y faisait pas grande attention. Le simple fait qu'elle suivait, lui suffisait. Puis, il ne voulait pas l'indisposer une nouvelle fois. D'autant plus, qu'elle devait surement trouver qu'ils n'allaient pas assez vite.

Enfin, il vit se dresser devant lui, les murs sombres du couvent. Il ralentit le pas, rassuré d'être enfin arrivé. Il se prépara à annoncer la nouvelle à celle qui l'accompagnait, quand arriva un imprévu... et quel imprévu !

Comment cela arriva ? Mertin ne le sut pas. Tout à coup, v'la que Coyote était agrippée à lui, tête contre son épaule. Cela avait été si rapide, que Mertin n'avait même pas eu le temps d'esquisser un geste de recul. Il resta là, incapable de réagir, figé sous le choc. Son cerveau quant à lui fonctionnait à tout rompre.

Elle était si près de lui. Il pouvait même sentir son odeur. Et cette manière de s'accrocher à lui. Le fait de sentir sa tête contre lui. Mais ce n'était pas tout. Il la sentait trembloter. Et que dire des larmes qui semblaient s'échapper d'elle. Elle semblait si fragile, si frêle. C'était tout nouveau pour Mertin. Et ce qui se passa en lui, l'était presque autant. Il sentit son coeur battre plus fort et une chaleur monter au visage. Et s'il y eu une troisième réaction montrant qu'il était ému, il n'est point convenable d'en parler.

Mais que ce passait-il ? Pourquoi faisait-elle cela ? Que devait-il faire ? Les questions fusaient dans sa tête. Il se rappela qu'Abrie lui avait dit que parfois les gens se prenaient dans les bras... ça s'appelait...câlin...s'il se souvenait bien. Elle lui avait dit que ça faisait du bien, et qu'on le faisait avec ceux que l'on appréciait. Mais... pourquoi Coyote pleurait elle alors ? Et ces mots : "Ne m'tue pas", pourquoi les avait-elle dit ? Avaient-ils échoués dans leur mission, à cause de lui ? Sauver Gatou semblait important pour elle. À moins que... oui c'étais peut-être ça. Il se rappelait avoir entendu un loup chanter. Lui aussi avait eu peur au début. Oui, ça devait être ça, il l'espérait tout du moins.

Sa réflexion le rassura quelque peu. Mais restait maintenant à savoir ce qu'il devait faire. Jamais encore il n'avait dû rassurer une personne. Il hésita un instant encore. Puis, maladroitement, entoura la jeune fille de ses bras. Il chercha les mots qui sortirent de ses lèvres.


"Je... Le loup va pas te manger...
Je... il chante seulement pour la lune...
Je... Engherran m'a dit que c'était sa mère...
Je... et puis... on est arrivé..."

_________________

Description RP
--_le_garde_du_couvent_
La nuit suivit sont cours et le couvent était toujours aussi...enfin il fesait peur quand même!

Revoilà notre toutou, avachit par terre, la flaque de bave c'était étendue...enfin on voit bien que c'est un dormeur professionnel.


Le vent se leva, siffla légèrement, froid à nous tétaniser tout les muscles.
Et, à la fin d'une rafale, c'est comme un cri qui résonna de derrière le mur, mais des paroles criée assez loin.


Le toutou devait entrée dans sa période de réveil: à la fin de l'échos provoquée par le cri, son museau se mit à flairer dans le vide et des grognements de sa part son le signe que le moloss, est peut être quasiment aveugle, mais pas sourd..ses oreilles balançaient de droite à gauche, vers l'avant puis, c'est sa tête qui se redressa, il bailla comme une grosse feignasse genre:

Wouaaaaaagrrmfgrmf, le dessous du museau rempli de bave c'est pas une vie ça, un jour je partirais d'ici, et je deviendrai Pégase! En plus, je devrais pensai à me tricoter une petite laine, commence à faire froid ici.

Il se leva d'un trai, son ventre était un peut graisseux..mais bon. Resta les oreilles dressées et la tête relevée à l'affut du moindre bruit.

D'ailleurs, comme des bruits de pas se rapprochant de plus en plus se font entendre...le toutou fesait un pas à chaque foi que le bruit s'intensifiait, marchant dans sa bave au passage, puis laissant échapper des couinements de façon régulière.
Et d'un coup il pencha la tête vers la gauche, pensant entendre, en plus des pas, des chuchotements. ça semblait tout proche. Ses couinements se changèrent en aboiements...de l'aigüe au plus grave, hein, je vous refait pas le topo:


whAaaaaOuuwuaawhuaOuUuuuuhhuuu Huhuh HOUUUUhuuuuuuuu... ça s'égosille dans l'air..mais une foi parti, on ne l'arrête plus!

Il était 3h30,inutil de vous dire que les aboiements du toutou devraient avancer le réveil de la mère supérieure et des sœurs qui ne tarderont plus à sonner les cloches de la messe: en faite, si j'ai bien compris, elles (les sœurs) sonneront elles même surement. J'ai bon, j'ai bon?!
_Soeur_Orth_ance_ Titin, incarné par Titine
Bah pas le temps de le dire deux fois que la mère supérieure venait deja d'ouvrir les yeux d'un trai: enfin en fait on ne le voyait pas, elle avait un masque pour dormir... réveillée bien sur par les aboiements du toutou à l'extérieur! Elle se redressa de dessous la couverture, tapota un peut partout pour allumer la lumière, là trouva, se leva en vitesse les mains en avant pour éviter tout obstacles: la paniiique!!

Vite!! Il fallait s'habiller en vitesse et réveiller toutes les sœurs.

Une foi habillée, son masque de nuit restait à son cou, elle se précipita dans les galeries du couvent et frappa à toutes les portes. Les sœurs, en 5 minutes sortirent toutes habillées, enfin habillée débraillées, et elles finissaient toute de mettre soit une chaussette, soit une chaussure...bref. Pressant toute le pas derrière la mère supérieure: direction la chapelle. Elle descendirent l'escalier qui menait à la galerie d'en dessous, passèrent devant l'entrée du couvent...tournèrent sur la gauche, puis entrèrent dans la chapelle. Les cloches sonna, et la messe... de...presque 4h pouvait commencer.
Coyote
Elle était là, sanglotantes, ses petits doigts congelés crispés sur la manche, toujours le nez enfoui dans les tissus qui couvraient son épaule, le temps et la nature comme arrêté autour d'eux en attente de la mise a mort.
Au lieu de ça, contre toute attente, Mertin fit quelque chose de plus surprenant encore. Il se tourna un quart sur le côté et referma ses bras sur elle. Son coeur a elle, tambour battant prés à lacher de trouille! « c'est a c'moment là qu'il m'etrangle!!! » Paniqua telle un laps de seconde, quand il desarçonna son flot de délibération idiote avec quelques paroles doté de poésie, emprunt de gentillesse et d'une touche naïve.

Citation:
"Je... Le loup va pas te manger...
Je... il chante seulement pour la lune...
Je... Engherran m'a dit que c'était sa mère...
Je... et puis... on est arrivé..."

Elle se rendit alors compte de l'ampleur de sa bêtise! Elle venait d'apercevoir le mur maudit derrière lui! Mertin disait vrai! Ohlala! Quel honte... Elle venait tout bonnement de se ridiculiser! Et lui venait de rattrapper le retard qu'elle avait accumulé jusqu'alors en employant son raccourci et même venait de prendre un peu d'avance : 04h00 n'avait pas sonné.

Ses bras, jusqu'alors ballant le long de son corps montèrent alors se poser sur la taille du jeune homme... Elle se sentait affreusement géné, le coeur sérré, le visage enflammé... mais elle était si bien... Il était tout chaud, en l'espace de ses bras elle se sentait comme dans un refuge ou rien ne pouvait lui arriver.Il sentait si bon les arbres résineux, le bois brulé mais aussi quelque chose derrière qui la troublait bien d'avantage. Une note ambré et suave qui la bouleversait, provoquant en elle une sensation indescriptible et jamais ressentit alors..
Elle lui murmura un:
« ...Merci... ».
Elle serait bien resté encore là, a se repaître de son odeur et de sa chaleur mais...

Citation:
whAaaaaOuuwuaawhuaOuUuuuuhhuuu Huhuh HOUUUUhuuuuuuuu...
Se fit entendre!



Oooooh! Non! Le vieux garde à puce du couvent! Elle savait que ce chien là n'avait pas une vu des meilleurs, comme elle n'ignorait pas qu'il en était du contraire avec son ouïe!!
Il n'était pas méchant, mais elle avait des raisons de le detester! Cétait a cause de lui qu'elle avait échoué tant d'évasion! Au moindre bruit il huUUuuUUUuuuuurlé!!!
Elle se demanda une fraction de seconde comment ça se faisait que le chien pouvait les entendre sa niche était sensé être de l'autre côté du couvent qui était pourtant grand!! Elle tilta! Le raccourci ne les avait pas mené au bon endroit du mur! Détail non négligeable! Un peu plus et c'est dans la cour principale de la chapelle qu'ils debarqués!Juste devant la chambrine de la mère supérieur, cette affreuse peau de vache de soeur Orthance!

Elle soupira et se détacha de Mertin à regret...
Et se rapprocha et se colla dos au mur et leva la tête pour ecouter!
Le chien hurlait, la soeur le cria? Le chien se tut! OOOh la garce! Elle avait dût lui donner un coup de bâton! Sans quoi c'te bête la fermé jamais!

Coyote détestait cette femme! Son dos se rappelait encore de ses corrections!
Puis elle entendit les pas et les coup sur les portes s'éloigner... ça y'est! L'heure de la messe serrait légèrement avancé!

Elle regarda Mertin, porta un doigt a ses lèvre sans faire de bruit pour lui faire signe de ne pas faire de bruit. Comprenait il? Elle l'espérait! Elle attrapa sa main et le tira derrière elle pour lui faire comprendre qu'il devait la suivre puis le relacha . Elle marchait sur la pointe des pieds longeant le rempart. Tentant de limiter un maximum les craquement de branche sous ses pieds... C'était pas tout a fait parfait, marcher dans les broussailles, pied nu en plus... N'etait pas dans ses habitudes.
Mais en tous cas, le chien ne se remit pas à aboyer. C'était le but recherché!

Elle jetta un oeil a son compagnon, s'assurant qu'il suivait encore. Puis s'arrêta a l'endroit qu'elle avait prevu dans ses plans et qu'elle pensait propice a leur infiltration. Elle plia la couverture qu'elle avait sur le dos. La froidure lui brulant a nouveau la peau et lui rappellant combien elle etait peu vêtu. D'ailleur c'est a ce moment qu'elle réalisa qu'elle allait grimper devant son compagnon les miches a l'air Oh-oh... Elle n'avait pas pensé à ça! Si elle lui demandait de fermer les yeux, il ne la verrait plus, et en tel cas il ne pourrai pas la rattrapper en cas de chute!Et puis toute façon fallait qu'il la pousse! Le mure n'offrait quasiment aucune prises, il mesurait 5mètre, et elle savait qu'à eux deux il ne mesurerait a peu prés que 3m25! Même si elle etait bonne grimpeuse, elle avait besoin de lui pour l'assurer en bas et pour grimper sans se blesser. Alors elle opta pour un savant mélange de noeuds dans le bas de sa tunique lui taillant une sorte de short trés court!
Elle sortie de son sac de jute la corde qu'elle avait vol...emprunté et la noua sous les grosses branches d'un arbre qui se situé le plus prés du mur. Pour avoir ligotté ses camarades dans le passé (et avoir eu le plaisir de mettre la mère superieur en colère aprés!) La petite blonde s'y connaissait en matière de noeud. Elle savait qu'il tiendrai! Elle lia l'autre bout de la corde autour de ses hanches puis ne souhaitant plus perdre de temps en explication.
Elle poussa et plaqua son compagnon dos au mur du rempart. Puis sans un mot elle posa une main sur son epaule, le pied sur son genou, l'autre pied sur l'epaule, la main de l'epaule sur une prise puis l'autre pied chercha une prise sur le mur... Seul la peinture ecaillé offrait des prises! Qui en plus s'emiettaient... Arf... Elle s'agrippait comme ne folle. Les deux derniers mètres seraient difficile!

Mertin! Pousse moi! Lui chuchota telle.
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