Geronimo2751
Gérault poussa la porte de l'atelier qui leur avait été confié, il avait rapidement fait le tour le jour où on leur avait donné les clefs, mais depuis rien !
L'endroit était sobre et possédait une grande ouverture sur l'extérieur, ce qui permettait probablement aux valets des toiles de s'occuper de leurs grands filets.
Il posa sa gibecière anormalement rempli, et pour une fois pas de becquade, sur le plan de travail le plus proche de la fenêtre ... Premier arrivé, premier servi, il lui fallait de la lumière pour préparer avec minutie ses leurres.
Il commença par ouvrir la fenêtre ce qui fit voler la poussière et le fit tousser.
Saleté ...
Battant de la main pour évacuer la poussière il fit un pas en arrière pour respirer.
Il se ré-aventura ensuite vers l'établi et ouvrit sa gibecière. Le fauconnier en sorti une série d'aiguille, allant de la très fine à la plus grossière et épaisse. Il les planta sur un porte aiguille qui portait ses armes, s'en suivit logiquement du fil, grossier mais aussi fin comme celui des couturières.
Vint ensuite des affaires plus traditionnelles de fauconnier, deux gants de cuir, des grelots, une longue, des jets, deux chaperons.
Il retourna sa gibecière et la secoua, en sortit une quantité importante de plume de toute sorte.
Le jeune homme tira un tabouret et commença à les trier. Il avait demander à Lucie de faire un saut aux cuisines pour lui ramener de quoi faire un leurre et elle ne devait plus tarder.
Un sourire se dessina sur ses lèvres en pensant que peut être sa femme et son fils viendraient pour dresser leur lanier ...
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Pour ma patate
L'endroit était sobre et possédait une grande ouverture sur l'extérieur, ce qui permettait probablement aux valets des toiles de s'occuper de leurs grands filets.
Il posa sa gibecière anormalement rempli, et pour une fois pas de becquade, sur le plan de travail le plus proche de la fenêtre ... Premier arrivé, premier servi, il lui fallait de la lumière pour préparer avec minutie ses leurres.
Il commença par ouvrir la fenêtre ce qui fit voler la poussière et le fit tousser.
Saleté ...
Battant de la main pour évacuer la poussière il fit un pas en arrière pour respirer.
Il se ré-aventura ensuite vers l'établi et ouvrit sa gibecière. Le fauconnier en sorti une série d'aiguille, allant de la très fine à la plus grossière et épaisse. Il les planta sur un porte aiguille qui portait ses armes, s'en suivit logiquement du fil, grossier mais aussi fin comme celui des couturières.
Vint ensuite des affaires plus traditionnelles de fauconnier, deux gants de cuir, des grelots, une longue, des jets, deux chaperons.
Il retourna sa gibecière et la secoua, en sortit une quantité importante de plume de toute sorte.
Le jeune homme tira un tabouret et commença à les trier. Il avait demander à Lucie de faire un saut aux cuisines pour lui ramener de quoi faire un leurre et elle ne devait plus tarder.
Un sourire se dessina sur ses lèvres en pensant que peut être sa femme et son fils viendraient pour dresser leur lanier ...
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Pour ma patate