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sépulture Dame Aleanore d'Alterac

Odoacre
Le vieux Grec avait accueilli avec un grand sourire la venue d'Ingeburge. Et lui n'avait rien contre les contacts physiques, loin s'en fallait, qui plus est celui de ladite Ingeburge qui avait été pour lui un tel stimulant lorsqu'il s'était agi d'assassiner avec en un enthousiasme cruel le précédent Grand aumônier de France.

Très chère sœur, quelle surprise ! Je vous accompagne avec grand plaisir, je crois avoir fait mon devoir de pasteur auprès de la dame.


Hochant la tête à ces paroles il se retourna une dernière fois vers Marie Alice pour lui lancer un sourire empli de compréhension, puis accompagna Ingeburge là où elle le menait, histoire de s'assoir avant que commence la cérémonie... il lui glissa

Idéalement, s'il reste des fauteuils à la mode canoniale, de réputation ils sont les plus confortables qui soient !

Continuant de la suivre, il aperçut Aurélien qui entrait pour présider la cérémonie, Vanwolk l'assistant. Il ajouta, toujours à l'attention d'Ingeburge

On ne m'ôtera pas de l'idée que la mise à l'Index de mon dernier traité était une bêtise sans nom.... nous serions alors autour d'une bonne table au lieu de se farcir les roquets royaux en chasuble.
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Archevêque de Rouen
Kilia
Elle n'était pas loin, pas assez loin pour ne pas entendre les paroles de Odoacre.
Elle se vit se lever et aller vers lui sans bruit, puis vit ses mains entourer son cou, et sentit tous ses muscles se raidir, et serrer, serrer, serrer. Elle voyait les yeux de l'homme emplis d'étonnement au départ puis elle le voyait s'agiter. Mais elle ne desserrait pas. Elle le vit devenir rouge, puis encore plus rouge. Mais ses mains étaient des serres que rien ne pouvait faire lâcher. Elle se vit, au premier tressautement de l'homme, le lâcher et s'entendit lui dire. Si je vous entends dire encore une fois qu'il faut se réjouir de la mort d'un enfant, cette fois-ci je n'arrêterais pas.
Elle fut sortie de sa rêverie par Monseigneur Aurélien, et repris en chœur:

Après tous nos regards qui ont croisé le sien, qu’elle puisse enfin voir le tiens seigneur.

Seigneur ne détourne pas ton regard de notre amie.

Après l’amitié qu’elle a reçu et qui a guidé sa vie, accorde lui l’amitié ultime qu’est la tienne Seigneur.

Seigneur ne détourne pas ton regard de notre amie.

Après les peines et les larmes qui ont obscurci sa vie, illumine sa route pour l’éternité.

Seigneur ne détourne pas ton regard de notre amie.

Seigneur, nous tournons vers toi nos espoirs à l’heure où disparaît le corps de l’amie qui nous est chere.
Accorde-nous l’espérance de la revoir auprès de Toi pour les siècles des siècles.


Amen

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Dict Lumière de l'Anjou,EX-Paire de France. Future Reyne! Note JNCP: "Peut mieux faire"
Eusaias
La main du Balbuzard se décrispa sur le bras de sa suzeraine. Le message avait été suffisamment clair, il y aura bientôt des morts. Rictus indescriptible qui se fige sur le visage du piaf, les rues de paris seraient obstruées par les cadavres s’il fallait, le Balbuzard tuerait sans rechigner les ennemis des Alteracs.

Il recula alors d’un pas, lâchant le bras de sa suzeraine et porta son regard sur sa fille, Alycianne. D’un geste de la main il l’appela à lui, ne comprenant pas la valeur du présent du Joyau à l’Etincelle. Son regard désormais ne cessait de caresser le cercueil de sa promise alors qu’il reprenait au rythme des autres ces prières qui n’avaient plus aucun sens à ses yeux. L’Eglise avait assassiné Aléanore Jagellon Alterac, sans raison, par pure folie de son Camerlingue, soutenu par ses proches. Il était donc normal que le Camerlingue paye cette folie, Eusaias en fit le serment, les yeux toujours sur le cercueil d’Aléanore. Bientôt il libérait à petites doses cette haine dans ses veines, cette colère et celles-ci feront crever Clodeweck à petits feux, lentement mais surement.

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Aurelien87
Nous allons maintenant accomplir le rituel des quatre signes. Sa Grandeur Marie alice va venir porter auprès de sa fille, la lumière d'Aristote. C'est le signe de la Lumière du Très haut.

Aurélien tendit une bougie à Marie Alice.



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Mariealice
Eusaias avait compris, elle le savait, un regard suffisait pour certaines choses surtout quand une haine était désormais commune. Et celle-ci l'était. Et puis peu lui importait ce que cela risquait de lui causer, depuis longtemps elle n'en avait plus que faire.

Le Grand Aumonier lui tendit une bougie. Un infime instant elle hésita à la prendre puis se souvint que c'était pour Aleanore que tout ceci était fait, non pour elle. Elle la prit donc en tremblant, après s'être levée, et vint se poser non loin du corps.

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Beatritz
Béatrice était présente. Discrète, mais présente, et de tristesse sincère. Comment ne pas être triste, lorsque la lumière, l'étincelle, l'élégance incarnée s'était éteinte ? Comment ne pas être triste du départ d'Aléanore Jagellon Alterac, comment ne pas avoir le cœur grevé d'incompréhension et de compassion pour cette femme si jeune fauchée par le désespoir ?

L'acte qui avait mené Aléanore à la mort était... On ne pouvait le décrire. Béatrice avait senti la détresse de la jeune femme, à ses noces, et... aurait-elle pu changer quelque chose ? A ce moment-là, aurait-il été encore temps de la rattraper ?

Les regrets mettraient longtemps à disparaître... Mais l'Etincelle n'aurait pas voulu que la vie s'arrêtât, que la Cour Royale retînt son souffle, que la mode mourût avec elle.

Béatrice lui devait au moins une chose : avoir, même par sa mort, réussi à la faire revenir à Paris.

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[De retour autant que faire se peut, lorsqu'on prépare les fêtes de fin d'année =) ]
Aurelien87
L’Amitié est la lumière du monde c’est la flamme qui réchauffe notre cœur.
Quelle éclaire maintenant la route de Aleanore, qu'elle la conduise maintenant au Royaume du Très Haut !"


le deuxième signe est celui de la foi. Je vais donc demander à Sa Grâce Killia de poser sur le cercueil la médaille d'aristote que Aleanore a toujours porté fièrement.


Aurélien tendit la médaille à Dame Killia.

Cette médaille est celle des fidèles, que notre amie aleanore a toujours gardé sur elle, malgré toutes les vicissitudes de la vie.



Code:
http://img21.imageshack.us/img21/9217/mdaillebapteme.gif

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Kilia
La duchesse s'approcha. Ses yeux tombèrent sur la médaille déposée dans la paume de sa main. Cette médaille, celle qu'Aleanore avait gardée autour de son cou comme un joyaux. Celle qu'on avait voulu lui retirer pour s'être investit dans un conseil ducal, point pour ses pensées, juste pour une présence. Elle déposa cette médaille et dans un murmure et avec une larme retenue.

Tu vois ma belle jamais on ne pourra te la reprendre cette fois tu l'as pour l'éternité.


Du bout des doigts elle la déposa avec une infinie tendresse comme si la duchesse la plaçait sur le cœur de Aleanore.

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Dict Lumière de l'Anjou,EX-Paire de France. Future Reyne! Note JNCP: "Peut mieux faire"
Aurelien87
Aurélien regarda Dame Killia poser la médaille. Il savait sa grande peine et les idées qui devaient lui traverser la tête en ce moment. Le mal avait été fait et il serait long temps pour penser certaines plaies.

Aleanore, nous déposons cette croix aristotélicienne sur ton cercueil.
Cette croix est le signe qui relie Aristote et Christos, qu'elle soit pour toi signe de salut et de vie éternelle".



Nous allons passer au troisième signe: celui de l'amitié. Je vais donc demander à Dame Blanche, une autre de ses fidèles amies de poser la corbeille de l'amitié. Ces fleurs en sont le symbole.




Aurélien prit la gerbe, et fit un signe à Dame Blanche.



Code:
http://i82.servimg.com/u/f82/13/12/29/40/lisbla10.jpg

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Blanche_
Elle ?
Elle haussa un sourcil, muette de stupeur. Comme cette bouche très légèrement ouverte, qui tardait à se refermer. Moi ?
Dans un monde plus simple, ou l'enterrement d'une autre, Blanche y aurait consenti sans grand peine. Après tout, lancer des fleurs, c'est toujours mieux que de balancer du terreau sur les pieds des mourants.
Oui mais l'enterrement d'Aléanore était tout autre : c'était le début de sa vie nouvelle, celle où elle devait briller à sa place. Commencer à étinceler à sa manière, Blanche le voulait de toute son âme. Le faire en devant porter vers elle des fleurs mortes de n'être plus de saison, c'était un sacrilège trop insupportable.
Mais elle s'avança. Vers la gerbe de fleurs et son contour marron clair -rappelons que nous sommes alors en automne, et qu'en automne, rares sont les fleurs fraiches-, devant laquelle elle fit une grimace de dégout. Elle leva les yeux au ciel, vers Elle et le Saint Seigneur, comme pour leur dire, à eux deux qui devaient bien rire dans ce spectacle, qu'elle les emmerdait grave.
Puis.
Elle ôta habillement un gant d'une main alerte, et guida sa paume nue vers les fleurs fanées. Qu'elle arracha sans plus de considération. Elle ôta le lys mort, les fleurs roses autour qui dardaient leurs pétales vers le sol. Écrasa d'un geste dur et sans appel les boutons avortés, les feuilles asséchées et qui n'avaient plus de grâce.


Comment aurais-je pu t'offrir un bouquet de fleurs fanées ?
demanda t'elle au corps près d'elle.

Le bouquet se vidait. De fleurs il n'en restait que quelques unes, ultimes survivantes, les autres se mouraient aux pieds de Blanche. Et l'on voyait, à leur agonie sur les dalles, que cela eu été pécher que de les offrir en signe d'amitié et d'amour à l'Alterac.
Finalement, il ne resta plus grand chose : du vert sombre, des feuillages accompagnant. A vouloir trop bien faire, Blanche avait rendu l'offrande parfaite : mais vidée dans sa perfection.
Elle se retourna alors vers l'assemblée, dans un hoquet triste qui lui échappa. Une sorte d'explication, confuse, un appel qui disait qu'elle avait voulu, mais ne savait plus, qu'elle aurait aimé, sans y parvenir. Ses yeux croisèrent ceux de Béatrice. Puis ceux de Clémence.
Elle cessa soudain d'être triste, et tout en les regardant, vidée elle aussi comme les fleurs qu'elle tenait, elle se saisit de la quintefeuille en or offerte pour ses quinze ans, la quintefeuille d'Ancenis, symbole de la Bretagne qui pointait vers la France, symbole de leur relation, c'était une terre cette quintefeuille, c'était tout le duché qui embrassait de sa pointe l'Artois, c'était Blanche qui se glissait vers Aléanore, c'était symbolique. Elle porta la main à son manteau d'hermine. Agrippa les doigts autour de la masse dorée, et des pétales de pierres précieuses. Elle serra. Fort. Et tira d'un coup sec.
La broche se détacha sans un bruit. Un seul plop, qui mourut dans les touffes de poils d'hermine blanche, près d'une queue plus sombre. La broche qui maintenait son manteau avait comme accepté de s'offrir, de quitter la Bretagne qu'elle symbolisait et faisait luire : elle venait, depuis un berceau aux pieds de Nantes, un berceau de fourrure pâle, jusque dans une chapelle parisienne pour mourir dans un caveau froid.
Blanche, toujours sans regarder les gestes qu'elle exécutait, regard fixé sur Clémence et Béatrice, posa le joyau étincelant au milieu de son coussin vert, qui trônait majestueux en ultime fleur, et ultime cadeau.


Voila. déclara t'elle en posant le tout sur le cercueil.
Que la lumière soit.

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Riches, tenez bon !
Aurelien87
Aurélien regarda la jeune femme déchiqueter son bouquet avec stupéfaction. Il avait eu un mal de chien à obtenir des fleurs arrivées par diligence spéciale depuis l'Espagne, bien conservées dans des baquets d'eau fraiche pour qu'elles arrivent en état. Sa bourse s'en souvenait encore. Enfin, le principal étant le geste symbolique, Mgr Aurélien fit l'air de rien et continua la cérémonie.


Aleanore ,nous déposons ce présent sur ton cercueil, signe de notre amitié, signe de notre prière, signe de notre cœur.


Le dernier signe est le signe de la mémoire. Nous allons poser près d'Aleanore, son Livre des Vertu. Il est le signe de la mémoire aristotélicienne, de la transmission de la foy, mémoire de la vertu contre le vice de l'oubli. Je vais demander à Messire Eusaias de venir le poser. La mémoire, c'est aussi celle de l'amitié qui nous a uni à Aleanore, et cette mémoire se traduira par des mots simples, mais venus du coeur, que va dire pour nous, et pour la défunte, Messire Eusaias.


Aurélien fit un signe à Euasias, lui tendit le Livre des Vertu, et l'invita à aller à l'ambon pour parler.


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Eusaias
La patte du balbuzard se referma sur le livre des vertus. Foutue ironie qu’on lui confie ce livre afin de le porter à Aléanore. Il ouvrit le livre et tourna les pages, lentement, parcourant les écrits de ses yeux d’oiseau de proie. Fade et sans saveur il aurait pu le décrire. Les doigts habiles refermèrent le livre dans un claquement et l’amenèrent au dessus du cercueil d’Aléanore.

Tu vois ma belle, ton livre de chevet va t’accompagner.

Il se tut le temps de poser l’ouvrage sur le cercueil. Ses doigts caressèrent celui-ci comme si c’était le corps de la défunte.

Tu te souviens à quoi te servait le tien ? Un maigre sourire apparu sur le visage du Balbuzard alors qu’il revoyait Aléanore abattre le livre sur la tête de Cassian afin de lui remettre les idées en place. Ou encore quand elle s’en servait de « bélier » et qu’elle l’enfonçait dans les attributs des taverniers qui se comportaient mal. Le sourire mourut dans un soupir.

Repose en paix mon amour, je te rejoindrai bientôt.

Et au Balbuzard de rejoindre les rangs, la gorge nouée.
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Aurelien87
Aurélien regarda le jeune homme porter le Livre des Vertu auprès de Aleanore. Il savait sa peine également, et lui fit un petit signe de réconfort.

Cet enterrement nous rappelle plusieurs choses :
- Le souvenir d'une Amie aristotélicienne qui vient de nous quitter. D'une femme qui avait une histoire, unique, avec Dieu. Qui était entourée de tendresse par Dieu. Qui a fait, ou non, l'expérience de cette tendresse.
Nous voici nombreux dans cette chapelle, autour de Aleanore, pour prendre conscience de ce lien d'amour qui l'a toujours unie à Dieu, qui unit Dieu à chacun de nous, à tout instant.
- La mort viendra pour chacun de nous. pour les uns tôt, pour les autres plus tard. Pour les uns dans leur jeunesse, pour d'autres dans leur vieillesse.
Le Seigneur nous prévient : "Soyez prêts, soyez toujours prêts car vous ne savez ni le jour ni l'heure".
Aristote nous a guidé et Christos nous invite à prendre exemple sur lui, à trouver notre joie à vivre pour les autres, à aimer comme ils nous ont aimés.
Notre présence ici est prière. Nous invoquons Aristote qu’il mesure les péchés de notre soeur et que Christos intercède auprès du seigneur pour qu’il la reçoive en son Paradis.


Citation:
Je confesse à Dieu Tout-puissant, à tous les Saints, et à vous aussi, mes Amis, parce que j'ai beaucoup péché, en pensée, en parole, en action.
Je supplie tous les Saints, et vous, mes Amis, de prier le Créateur pour moi. Que le Très Haut nous accorde le pardon, l'absolution et la rémission de tous nos péchés.

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--L_etincelle
Il est mesquin, brûlant ce sourire. Il est la douleur et la peine qui ravage leurs coeurs, et elle observe la flamme vacillante de la petite bougie, hésitant à souffler dessus par jeu, par envie sourde, parce qu'elle n'a pas à être allumée cette flamme.

« Tu n'es pas obligée Maman, tu sais. On est obligé à rien dans la vie.. Certainement pas au mensonge.. »

Les épaules se haussent tandis qu'en fond sonore les propos du Grand Aumônier berce la scène irréelle, ainsi, ils lui auront tout pris, et comme pour se donner bonne conscience, au de là de la vie, ils lui rendent tout ? Tout ce qui avait fait d'elle la Pieuse Aléanore. La médaille est considérée un instant, paupières closes, elle saurait en dessiner les contours, et de la voir là, où elle avait toujours été la laisse perplexe, ainsi les hommes refont-ils la loi du Très-Haut ? Elle cherche Eilinn des yeux, priant pour que l'enfante ne vienne pas à faire les mêmes conclusions désabusées qu'elle.

Les fleurs qui s'avancent vers elle, un frisson de dégoût, oseras-tu ma Blanche ? Ma douce, mon aimée, oseras-tu poser sur ma peau, sur mon coeur, une fleur flétrie ? Bien sur que non, le laid n'a pas sa place dans ce monde, pas dans le notre. Et tu l'aimes cette fleur-là, tu l'aimes et tu la cèdes. J'étais l'Etincelle, sois la Lumière et qu'elle soit belle pour ce qu'elle est plus pure qu'elle ne l'aura jamais été.

Un frisson quand le livre des vertus est refermé en claquant, au dessus de l'épaule du Balbuzard, elle observe, se retient de tourner les pages, rêve de le lui inspirer. La création, l'amour mon aimé et la décision du Très-Haut.


« J’ai fait de ton espèce Mes enfants. Je fais maintenant de vos esprits des âmes. »

L'âme de soupirer, blanche pour le deuil, noire pour l'amertume, grise pour ce qu'elle n'a jamais été que la moitié de tout, jamais vraiment entière en tout, hormis dans la Religion. Et il lui semble alors que les mots du Grand Aumônier sont pêchés, sont tissus de mensonges. Se confesser, elle l'a fait plus qu'à son tour, mais eux, eux tous, l'ont-ils fait ? Les noisettes se posent sur le père alençonnais et interrogent un instant, avant de se refixer sur le Grand Aumônier.

« Et vous mon père, vous êtes vous récemment confessé ? »

Des mensonges, des foutus mensonges qui l'accablent et la laissent pantoise et amère de la mort.

« Confiteor Deo omnipotenti, et omnibus Sanctis ... »
Odoacre
Odoacre commença à dodeliner doucement de la tête et sursauta quand Aurélien clama la prière reprise en chœur.

Regardant à droite et à gauche, le vieux Grec hocha la tête pour montrer son accord.


Oui Seigneur, pardonnez tous ces pécheurs, ils ne savent pas ce qu'ils font.

Et de continuer de hocher la tête. Lui ne récitait jamais cette prière. Un semi-ange ne pouvait pas vraiment pécher.
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Archevêque de Rouen
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