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[RP] Un mariage pas comme les autres...

--Honorin
Assis à côté de la Tchalette , Honorin ne perdait pas une miette de la scène qui se déroulait sous ses yeux : Sons en train de jouer le curé devant ses parents, chacun à dada sur un tonneau , les témoins à côté d'eux , chope à la main , puis Messire Fyndecano tendant sa chope à son père.

Le gamin n'aurait voulu sous aucun prétexte rater le non mariage de ses parents et se sentait important : sans lui son père serait encore à ronfler à la roulotte.
Il se redressa un peu avant de se pencher vers sa soeur et lui confier tout bas :


Sont y point beaux , P'pa et M'man , hein ?

Mais la Tchalette ne répondait pas.
Lâchant quelques instants ses parents du regard , il observa sa soeur .
Droite comme une statue , les narines palpitantes , les yeux rivés sur l'assemblée , Honorin la connaissait assez pour savoir à quoi elle pensait et ce qu'elle projetait de faire.
Le gamin se promit de ne pas lâcher sa soeur un seul instant : elle n'allait pas faire çà aujourd'hui quand même , pas le jour du non mariage de ses parents !
Dina1821

Dona Dina, apres quelques verres, etourdie, observait Sons , tel le dieu Dionysos, conviant Chavrik, vigneron et Jerlac, certainement amateur d Armagnac a des Bacchanales, fetes infernales, ou ces deux derniers se promettaient de ne pas faire abstinence, et de decouvrir l ivresse

Sons tenant la thyrse comme on tient la crosse d eveque,
Sur son tonneau, Chavrik avec sa fiere allure,
Jerlac prete a succomber a ces plaisirs orgiaques

C etait des vases debordant de fruits qu elle aurait du distribuer a ces menades, et faire de ces dames des canephores, et a tous ces messires, coiffes de jolis plumes, leur offrir des couronnes de pampre et de lierre pour qu ils aillent, tels des Pans et Satyres
a ces noces de folie, noyes dans la vapeur d alcool

De sobiete, il n etait pas question
A cette delirante union
Plus tard, Sons, leur donna un sarment de vigne
Pour qu ils pretent serment, et qu ils signent
Qu ils s aimeraient, meme sobres
Sans connaitre l opprobre
Sakuralabelle
Sakura n'en revenait pas , c'était la première fois qu'elle assistait à un non mariage. Elle ne savait même pas que ça existait... Mais quand elle vit la profusion de fleurs, la décoration splendide, les mariés tout beaux surtout le marié... enfin la mariée aussi hein. Mais bon elle préfèrait le marié quand même, va savoir pourquoi...

Missanges était là. Elle l'avait vu de loin rouler des tonneaux, et trouvant qu'elle se débrouillait très bien, l'avait admiré de loin... hé Oui elle était comme ça Sakura, elle n'aimait pas dérangé, mais ne croyez pas qu'elle n'aimait pas rendre service. si si... mais des fois, pas tout le temps, quand il y avait besoin quoi.....

Elle remarqua que tous les invités étaient étrangement gaies, et riaient facilement. Sakura trouva que la soirée commençait vraiment bien. Elle s'avança vers Miss et lui murmura :

Dis donc, c'est mieux qu'un vrai!!! on s'y croirait!!!
Chavlik
Citation:
mon cher chavlik.. et ami..


Le tavernier du "Tout du Cru " ne put s'empêcher de rire grassement , de son rire si caractéristique , lorsque Sons expliqua , à la façon de Sons, évidemment , leur première rencontre .
Presque un an déjà , que le Maréchal Saintais avait trouvé ce mort vivant , sur le pas de son poste de police et avait aussitôt appelé Jerlac , l'infirmière.

La suite avait été un magnifique histoire d'amour entre l'infirmière et le blessé , histoire qui était enfin sacralisée ce soir, à leur façon, loin des Aristoteries engoncées dans leur rites aussi amidonnés qu'une mitre d'évêque.

Deux magnifiques jumeaux (en plus de Tchalette et Honorin qui avaient été adoptés) , Côme et Annelle , leur étaient nés dans une dune Normande, non loin de Bayeux, en Normandie.

Toujours assis à cheval sur sa barrique , Chav vit Fyn lui tendre un verre d' Armagnac qu'il s'empressa de mettre à l'abri de son estomac , on ne sait jamais , hein ?
Il remercia son ami breton d'un hochement de tête , tout en lui rendant le verre et tourna la tête vers celle dont il espérait qu'elle lui ferme les yeux, mais dans très longtemps, quand ils seraient, l'un comme l'autre de vieilles pommes toutes ridées.

Jerlac la poétesse , représentait son étai : il savait qu'il ne pourrait plus jamais avancer sans son aide.
La tête dans les étoiles et les pieds solidement ancrés en terre , telle était cette femme qu' il aimait et admirait surtout , car , tout le monde le sait , il n'y a jamais d'amour sans admiration.

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Valmyre


Tout le monde était là, enfin presque...certains invités tardaient

Valou, toujours à la droite de Sons s'aperçut que sa chope pleine n'était plus pleine que de nom.
Pas qu'elle ait tout bu sans s'en rendre compte...non, du tout, ce n'était certainement pas son style...Mais en fait elle tremblait.

Était ce l'émotion, le froid, la fatigue ou une crise de manque aigüe d'alcool?

Dans un cas comme dans l'autre, il fallait remédier au problème de manière discrète et rapide

Pendant que Sons déclamait son discours, Valou avait repéré une chope remplie d'armagnac sans doute oubliée par un convive distrait.
Tout en longeant le mur tel un crabe, elle glissa comme une ombre pour s'emparer de la dite chopine.

Heureuse qu'elle fût lorsque Sons demanda aux témoins de tendre un chope pleine aux futurs non-mariés

Valou vit tout de suite que Fyn aussi avait un léger problème de ravitaillement et sourit

Elle s'approcha de Jerlac et lui tendit la chope avec un grand sourire innocent

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"L'ALCOOL NE NOUS AIDE PAS A RÉGLER NOS PROBLÈMES...CECI DIT, L'EAU ET LE LAIT NON PLUS!!!"
Theudrik
La Trémouille au petit matin (enfin, vers 10 heures, quoi ^^)


Tac-tac ! Tac-tac !

La peste ! Qui fait donc ce raffut ?

Lové sous le gros édredon de plumes, sentant la neige qui devait tomber dehors à gros flocons, l'homme essayait de se rendormir, mais le tac-tac insistant résonnait dans sa tête.

Cornes de bouc ! Si j'attrape ce malotru, je le ...

Se levant rageusement, Theudrik se dirigea vers le volet de bois qui fermait la fenêtre d'où venait le bruit. A peine le temps de l'entrouvrir, le froid et de gros flocons entrèrent en même temps qu'un volatile gris et transi de froid qui se dirigea d'un coup d'aile vers l'âtre afin de trouver un peu de chaleur. Refermant le volet, Theud s'exclama :

Sale pigeon !

Puis, avisant la patte ornée d'un message, le lieutenant de La Trémouille s'approcha du ramier en râlant :

On n'a pas idée de livrer des messages par un temps pareil ! Allez, fais voir ce que tu as là.


Theudrik détacha le message et prit une coupelle de maïs pour nourrir le pauvre pigeon frigorifié avant de lire l'écriture fine et souple qui couvrait le petit parchemin.

Tiens ! Des nouvelles de Jerlac ! ... Hein ? Jerlac et Chav font un ... Quoi ? ... un non-mariage ? ... Alors, ça, c'est bien digne d'eux !

Theud sourit en repensant à ses deux amis si originaux qu'il avait rencontrés quelques fois à Saintes puis à Poitiers.

Bon, vu le temps qu'il fait, j'ai intérêt à partir rapidement si je veux ne serait-ce que boire une chope en leur honneur. Bon, d'abord voir où se trouve Mariechen, en taverne ou au travail ? Voudra-t-elle venir avec moi ?


Le policier s'habilla prestement, sella Epos, grimpa sur le dos de l'étalon noir et partit à la recherche de Marie.
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Fransdunord
Frans arrivait tardivement, il savait qu'il n'aurait pas beaucoup de temps en ce samedi, donnant des cours a l'université.
Il faisait bien noir dehors.
Il était passé chez lui pour se changer et mettre un costume qu'il avait toujours gardé pour une grande occasion, et qui n'etait resté que trop longtemps dans une malle...

A une dizaine de metres du lieu, il entendit beaucoup de bruit, de paroles : certains invités prenaient un peu l'air en se donnant des nouvelles, car, il faut bien le dire, cette reception faisait se rencontrer des personnes qui ne s'etaient pas vues depuis longtemps.

Il entra dans la salle et fut émerveillé par la beauté des deux protagonistes.
Il chercha quelqu'un d'autre du regard, mais sans l'apercevoir...
Apres s'etre arrété quelques instants sur le seuil, il alla vers Jerlac...



Hé bien dis moi, tu es vraiment en beauté ce soir... Félicitations !

Puis il alla voir Chav pour le feliciter aussi

Felicitations mon ami, prends soin d'elle, même si je pense que tu n'as pas attendu ce jour pour le faire

Il leur offrit une assiette dans laquelle était gravés leurs prénoms et la date de ce jour mémorable.
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Jerlac
Citation:
que les témoins leurs présentent deux chopes de cette armagnac présent ici sur cet autel..
et qu'ils soit consommer par les futurs non époux en connaissance de toutes ces épreuves qui les attend..


Malgré l'inconfort de sa position, Jerlac avait suivi très attentivement le laïus de Sons et l'avait trouvé bien plus émouvant que tous les discours de n'importe quel curé.. Mais la fin, l'avait pour le moins, sinon inquiétée...désorientée.

Bien sûr les chopes remplies d'armagnac tenues par les témoins ne lui avaient pas échappé, mais la Saintaise était nonobstant loin de s'imaginer que l'une d'entre elle lui fût destinée..

un verre d'alcool fort aurait passé, mais une chope!...

Elle tourna la tête vers Chav, qui loin de ce genre de considérations, vidait gaiement la chope tendue par Fyn. Ne voulant pas être en reste, elle ferma donc les yeux, et sans se poser plus de questions, entreprit elle aussi de vider sa timbale..

A peine eût-elle finit de déglutir la derniere gorgée, qu'il lui sembla que le tonnelet sur lequel elle était assise s'était mis à rouler..

Se forçant néanmoins à garder ses esprits, elle bredouilla..comme pour se prouver qu'elle était encore capable de dire quoi que ce fût d'intelligent :

Je t'aime Chav...

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Fyndecano


Fyn observa en souriant Jerlac hésiter devant la chope qu'elle se devait d'ingurgiter d'une traite, coutume incontournable édictée par Sons qui ne rigolait jamais quand il s'agissait d'Armagnac...de Prune....enfin de tout se qui se buvait à forte contenance d'alcool.

Bon, le jeune homme n' était pas trop inquiet.

Jerlac avait le sens du devoir.....devoir ? hum....le mot n'était peut être pas approprié pour ceux qui connaissaient un tant soit peu son amie.

A peine en eut il fini de ces réflexions qu'il vit Jerlac reposer sa chope.....vide naturellement.

Oh! elle vacilla bien un peu sur son tonneau, un tonneau....quel beau symbole quand on y réfléchit...., mais se reprit bien vite.

Pour preuve, elle prononça un
" je t'aime " non pas à lui Fyn, ni à Sons ce qui aurait été pire encore, ni à Val ce qui aurait été les prémices d'un futur coma éthylique , mais bien à lui Chav son amour, sa vie...
--Tchalette
Un peu engoncée dans ses vêtements de princesse, l'ex sauvageonne , assise à côté de son frère , considérait l'assemblée d'un oeil scrutateur.

Les cérémonies , fussent elles le baroque non mariage de ses parents adoptifs n'étaient pas sa tasse de tisane : elle leur préférait de loin courir les rues ou la forêt , à la recherche de quelque aventure .

Et puis, à quoi ça sert de se lier à quelqu'un qui vous mange petit à petit le peu de liberté que l'on a , n'est ce pas ?

Passant de visage en visage , connu ou inconnu , la Tchalette ressentait comme un vide, une absence.

Elle savait qui manquait à cette assemblée : une grand dame , la seule (en dehors de maman, bien sûr) qui avait su la toucher, la comprendre ,la mettre à nu.
Tchalette savait la Dame blonde mourante et ne comprenait pas l'atmosphère de liesse et d'émotion qui régnait dans cette salle , pendant que Dame Libirou rendait son dernier soupir.

Deplus, y avait il vraiment besoin d'un curé , fut il Messire Sons , pour savoir que ses parents s'aimaient et s'aimeraient toujours , choses incompréhensible pour la jeune fille aux yeux vairons. ?

Soudain, quelque chose sortit la Tchalette de ses réflexions : ses yeux mobiles, toujours en mouvement, se posèrent sur le superbe collier qu'une jeune femme de l'assistance portait au cou...
Missanges
Dis donc, c'est mieux qu'un vrai!!! On s'y croirait!!!

Ah ! Belle Saku te voilà, je pensais que tu serais venue m’aider à décharger les tonneaux.
Mais je pense que le proverbe reste vrai. On n’est jamais mieux servit que par soi-même. Au fait tu as vu ils n’ont pas la technique. Moi lorsque je suis assise sur un tonneau je plante un tuyau dans le cœur de celui-ci et de temps en temps je m’humecte les lèvres.

C’est sûr que pour le côté mariage enfin amour ils sont meilleurs mais pour le côté boissons ils peuvent prendre des cours..

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Valmyre


Valou avait réussi son coup, Jerlac avait bu tout d'un trait.
Elle eut un moment de panique en la voyant tanguer sur son tonneau mais fût ravie de la voir vite se redresser et prononcer ces mots d'amour.

De loin, elle aperçu Frans qui venait d'entrer
Mais un bruit suspect la rappela à l'ordre

Un fabuleux GROUUUUIIIINNNIIIOOONNNG se fit entendre

Valou devint rouge comme une tomate en voyant des paires d'yeux se tourner vers elle et mit une main sur son ventre espérant ainsi le calmer...elle mourait de faim!

Devait encore avoir lieu l'échange des anneaux et puis après le banquet.
Val se demanda combien de temps encore elle tiendrait avant de se ruer sur les victuailles.




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"L'ALCOOL NE NOUS AIDE PAS A RÉGLER NOS PROBLÈMES...CECI DIT, L'EAU ET LE LAIT NON PLUS!!!"
Sons
une fois que les deux futurs non époux ai eu fini d'ingurgiter leurs tisane légèrement relevée.. et rendu leurs chope de nouveau aux deux témoins..
le prêtre improvisé pût continuer son allocution..

avant de poursuivre je vous demanderais toute fois de bien vouloir ne pas trop vous agiter sur vos tonnelets..
je ne doute pas de leurs netteté.. mais je ne voudrais guère que votre fessier.. ou pied ne trempe dans se ci bon alcool sur lequel vous êtes assis..
je compte bien me le réserver pour plus tard..

ceci fait.. nous pouvons continuer..

ainsi..
En buvant ce premier verre les époux.. par un amour immodéré de la chope sont appelés à former cette union parfaite qui est le gage de la sauvegarde du patrimoine viticole de notre Royaume.
A travers cette symbiose si belle des époux.. c'est la vigne elle -même.. source de tout amour qui est glorifiée..
Le mariage est indispensable à l'amour du picrate.. car il fonde une communauté de vin qui débouchera sur la mise en fûts et la fondation d'une famille d'ivrognes et de joyeux fêtards afin de rendre présente la fécondité de l'amour..
C'est un engagement ferme et fort dans lequel les époux se promettent de lutter ensemble contre les germes de l'abstinence et de tristesse.. par delà les difficultés de la vie quotidienne..

que leurs soit versé une chope de Prunavampi a chacun.. en honneur a se sacrement qui sait lié le vigneron a sa vendange.. et l'ivrogne a sa chope..

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au fil de l'eau.. où le courant le mène..
Valmyre


Ayant du mal à suivre le rythme éthylique imposé par Sons, Valou remplit la chope de Pruneavampi demandée.

C'est le ventre toujours en alerte, que Val la tendit à Jerlac, espérant qu'elle ne tombe pas dans le coma juste avant de passer la bague au doigt de Chav

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"L'ALCOOL NE NOUS AIDE PAS A RÉGLER NOS PROBLÈMES...CECI DIT, L'EAU ET LE LAIT NON PLUS!!!"
Jerlac
Jerlac avait les plus grandes difficultés à réagir à ce qui lui était demandé.. Il lui sembla même que les mouvements de roulis du tonnelet s'étaient intensifiés.. et cette main tendue... Une diablesse déguisée en tentatrice sans nul doute.. ne tenait-elle pas encore une chope dans la main?

Soudain, d'étranges borborygmes, émanant visiblement de l'appareil digestif de la femme du Malin, lui donnèrent à penser qu'elle était toujours sur terre..

Impression rapidement confortée par une voix qui , bien que déformée, ressemblait étrangement à celle de Sons..

Citation:
que leurs soit versé une chope de Prunavampi a chacun.. en honneur a se sacrement qui sait lié le vigneron a sa vendange.. et l'ivrogne a sa chope..


Nonnnnnnnnnnnnnnn !

elle se sentait incapable d'avaler quoi que ce fût de plus..

Elle sentit toutefois des dizaines de paires d'yeux braqués sur elle, attendant qu'elle s'acquitte avec bravoure et dignité des formalités qui feraient d'elle Madame Dumontier.. Elle ne pouvait décemment pas decevoir ses amis..

Luttant contre les mouvements désordonnés du tonnelet, elle tendit la main en direction de la chope, et contre toute attente, réussit à s'en saisir..

Une fois encore elle s'apprêta à boire.. mais cette fois, de la coupe aux lèvres, le pas paraissait une lieue.. Elle se concentra sur sa tâche et parvint à vider la chope de prunavampi. Au roulis s'ajoutaient à présent les mouvements de tangage, propres à la haute mer..
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