Meranie
La mère Méranie était revenue à Rennes pour une triste cérémonie, les obséque d'un membre de sa famille.
Le cercueil, posé au milieu de la croisée de transept était entouré de quatre sellettes sur lesquelles avaient été posés les éléments qui composent tout homme, leau et la terre, mais aussi le feu et lair.
Dans une coupe était de leau, dans un panier dosier était la terre cette terre bretonne que le défunt avait tant aimée, dans un petit récipient brique brûlaient quelques brandons et sur une des sellettes un anneau tressé en rotin laissait passé lair.
Des fleurs avaient été déposées au pied du cercueil ainsi quune panière dans laquelle les fidèles présents pourraient déposer leurs offrandes, pain, fruits ou autres qui serviraient à faire charité après la cérémonie.
Labesse savança auprès du cercueil et pris la parole sadressant au défunt.
Phoenélion, tu es comme toute créature vivante , deau et de terre, mais tu es pourvu dune âme qui, par lamitié Aristotélicienne, si elle est digne, sélèvera vers le Très Haut, ton créateur, et ne rejoindra pas le feu de lenfer lunaire.
Le prêtre entonne alors le premier quantique à répons
Le prêtre : Après tous nos regards qui ont croisé le sien, que ses yeux puissent enfin voir le tien seigneur.
Les fidèles : Seigneur ne détourne pas ton regard de son âme.
Le prêtre : Après lamitié reçue et qui a guidé sa vie, accorde lui lamitié ultime quest la tienne Seigneur.
Les fidèles : Seigneur ne détourne pas ton regard de son âme.
Le prêtre : Après les peines et les larmes qui ont obscurci sa vie, illumine sa route pour léternité.
Les fidèles : Seigneur ne détourne pas ton regard de son âme
Le prêtre : Seigneur, nous tournons vers toi nos espoirs à lheure où disparaît le corps que nous portons en terre et qui nous est cher.
Accorde-nous lespérance de le revoir auprès de Toi pour une éternité déternité.
Tous : Quil en soit ainsi !
_________________
Mère Méranie de Montfort-Toxandrie
Curé de Brest
Le cercueil, posé au milieu de la croisée de transept était entouré de quatre sellettes sur lesquelles avaient été posés les éléments qui composent tout homme, leau et la terre, mais aussi le feu et lair.
Dans une coupe était de leau, dans un panier dosier était la terre cette terre bretonne que le défunt avait tant aimée, dans un petit récipient brique brûlaient quelques brandons et sur une des sellettes un anneau tressé en rotin laissait passé lair.
Des fleurs avaient été déposées au pied du cercueil ainsi quune panière dans laquelle les fidèles présents pourraient déposer leurs offrandes, pain, fruits ou autres qui serviraient à faire charité après la cérémonie.
Labesse savança auprès du cercueil et pris la parole sadressant au défunt.
Phoenélion, tu es comme toute créature vivante , deau et de terre, mais tu es pourvu dune âme qui, par lamitié Aristotélicienne, si elle est digne, sélèvera vers le Très Haut, ton créateur, et ne rejoindra pas le feu de lenfer lunaire.
Le prêtre entonne alors le premier quantique à répons
Le prêtre : Après tous nos regards qui ont croisé le sien, que ses yeux puissent enfin voir le tien seigneur.
Les fidèles : Seigneur ne détourne pas ton regard de son âme.
Le prêtre : Après lamitié reçue et qui a guidé sa vie, accorde lui lamitié ultime quest la tienne Seigneur.
Les fidèles : Seigneur ne détourne pas ton regard de son âme.
Le prêtre : Après les peines et les larmes qui ont obscurci sa vie, illumine sa route pour léternité.
Les fidèles : Seigneur ne détourne pas ton regard de son âme
Le prêtre : Seigneur, nous tournons vers toi nos espoirs à lheure où disparaît le corps que nous portons en terre et qui nous est cher.
Accorde-nous lespérance de le revoir auprès de Toi pour une éternité déternité.
Tous : Quil en soit ainsi !
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Mère Méranie de Montfort-Toxandrie
Curé de Brest